Earnings Release • Apr 27, 2017
Earnings Release
Open in ViewerOpens in native device viewer
L'information ci-jointe constitue de l'information réglementée au sens de l'arrêté royal du 14 novembre 2007 concernant les obligations des émetteurs des instruments financiers qui sont admises à la négociation sur un marché réglementé.
Bruxelles, 27 avril 2017 – Telenet Group Holding SA ('Telenet' ou la 'Société') (Euronext Bruxelles: TNET) publie ses résultats consolidés (non audités) pour les trois mois se terminant le 31 mars 2017. Les résultats sont conformes aux International Financial Reporting Standards tels qu'approuvés par l'Union européenne ('EU IFRS').
(a) Le rapprochement entre notre Adjusted EBITDA pour l'exercice 2017, et notre Adjusted EBITDA CAGR pour la période 2015-2018, et un critère EU IFRS n'est pas disponible comme tous les éléments de ce rapprochement ne sont pas retenus dans nos prévisions et comme certains éléments peuvent varier d'une manière considérable d'une période à une autre.
(b) Le rapprochement entre notre Adjusted Free Cash Flow pour l'exercice 2017 et un critère EU IFRS n'est pas disponible comme tous les éléments de ce rapprochement ne sont pas retenus dans nos prévisions et comme certains éléments peuvent varier d'une manière considérable d'une période à une autre. ▪ Prévisions pour l'ensemble de l'exercice 2017 confirmées, avec comme objectif (i) des revenus stables et une croissance de l'Adjusted EBITDA(a) vers le milieu d'une fourchette de croissance à un chiffre sur une base remaniée, (ii) des dépenses d'investissements à imputer (hors droits de retransmission du football) s'élevant à environ 24 % de nos revenus, et (iii) un Adjusted Free Cash Flow(b) sain entre 350,0 et 375,0 millions €.
| Pour la période de trois mois se terminant au 31 mars | 2017 | 2016 | Variation % |
|---|---|---|---|
| CHIFFRES CLÉS FINANCIERS (en millions €, sauf montants par action) | |||
| Produits (2) | 616,0 | 552,5 | 11 % |
| Résultat opérationnel | 112,5 | 132,6 | (15)% |
| Bénéfice (perte) net de la période | 65,8 | (8,6) | N.M. |
| Marge bénéfice (perte) net | 10,7% | (1,6)% | |
| Bénéfice (perte) ordinaire par action en € | 0,55 | (0,07) | N.M. |
| Bénéfice (perte) dilué par action en € | 0,55 | (0,07) | N.M. |
| Adjusted EBITDA (3) | 289,4 | 262,1 | 10 % |
| Marge Adjusted EBITDA | 47,0% | 47,4 % | |
| Dépenses d'investissement à imputer (4) | 125,5 | 188,4 | (33)% |
| Dépenses d'investissement à imputer en tant que % des produits | 20,4% | 34,1 % | |
| Flux net de trésorerie générés par les activités opérationnelles | 117,3 | 45,0 | 161 % |
| Flux net de trésorerie utilisés pour les activités d'investissement | (145,2) | (1.291,3) | (89)% |
| Flux net de trésorerie générés par les activités de financement | — | 1.179,0 | (100)% |
| Adjusted Free Cash Flow (5) | (15,9) | (69,1) | 77 % |
| CHIFFRES CLÉS OPERATIONNELS | |||
| Télévision câblée | 1.996.300 | 2.041.100 | (2)% |
| Télédistribution de base (6) | 268.700 | 322.300 | (17)% |
| Télévision premium (7) | 1.727.600 | 1.718.800 | 1 % |
| Internet haut débit (8) | 1.608.100 | 1.577.300 | 2 % |
| Téléphonie fixe (9) | 1.258.200 | 1.234.200 | 2 % |
| Téléphonie mobile (10) | 2.837.500 | 3.016.600 | (6)% |
| Postpayé | 2.154.100 | 1.998.100 | 8 % |
| Prépayé | 683.400 | 1.018.500 | (33)% |
| Clients triple play | 1.137.600 | 1.109.000 | 3 % |
| Services par relation client (11) | 2,28 | 2,24 | 2 % |
| ARPU par relation client (€ / mois) (11) (12) | 54,4 | 52,3 | 4 % |
N.M. - Not Meaningful (Non Significatif)
"J'ai le plaisir de constater que la poursuite de notre stratégie "multiple-play" a permis d'enregistrer des performances opérationnelles et financières remarquables sur les trois premiers mois de 2017. Dans le contexte d'un environnement de marché de plus en plus concurrentiel, nous avons réalisé 3900. abonnés nets à nos services de pointe d'Internet à haut débit, de télévision Premium et de téléphonie fixe au 1er trimestre 2017, ce qui constitue un rythme inférieur aux trimestres précédents, alors que le nombre d'abonnés ayant renoncé à la télévision est passé à lui seul à 21.200 en raison de vents contraires concurrentiels et de l'annonce de l'ajustement de certains tarifs. Nos packs convergents touten-un novateurs "WIGO", que nous avons lancés fin juin de l'année dernière, continuent à gagner du terrain avec un total de 188.600 abonnés à la fin mars 2017 et un afflux net de 37.100 abonnés au 1er trimestre de cette année. Sans tenir compte des abonnés mobiles de BASE, cela se traduit par un taux de pénétration quadruple-play de 24 % de nos abonnés au câble, contre environ 21 % au 1er trimestre de l'année dernière. Dans le segment mobile, le nombre total de nos abonnés a été impacté par la vente de notre filiale directe Ortel à Lycamobile, donnant lieu à une réduction non organique de 157.900 abonnés en prépayé dans le 1er trimestre 2017. Comme évoqué ci-dessus, nous avons conclu un contrat Full MVNO avec Lycamobile et allons héberger leurs nombreux clients internationaux en prépayé sur notre réseau. Même si nous continuons à souffrir de défis structurels dans le segment prépayé, notamment en raison de l'enregistrement obligatoire des cartes SIM prépayées en Belgique pour début juin de cette année, nous avons affiché de solides performances dans le segment postpayé avec, au 1er trimestre 2017, 43.000 nouveaux abonnés nets imputables à nos offres "WIGO" et au succès des offres promotionnelles de BASE. Nous avons également enregistré d'excellentes performances opérationnelles dans le segment B2B grâce à nos packs "FLUO" et "WIGO" et continuons à voir de nombreuses opportunités sur ce marché. Au mois de mars de cette année, nous avons lancé "Digitale Versnelling" (accélération numérique), un programme visant à soutenir les petites et moyennes entreprises dans leur stratégie numérique.
Étant donné que les clients souhaitent de plus en plus une connectivité sans faille sur tous leurs appareils, indépendamment du réseau utilisé, nous avons récemment lancé "Flow Tech", un ensemble de technologies intelligentes visant à garantir aux clients un accès optimal aux réseaux fixe et mobile, quel que soit l'appareil. Ce faisant, nous continuons à investir dans la mise à niveau et la modernisation de nos réseaux fixe et mobile. Notre programme de mise à niveau de 500 millions € "Les Grands Travaux du Réseau", dont le but est d'augmenter la capacité de notre réseau câblé à 1 GHz afin d'obtenir des vitesses de téléchargement d'au moins 1 Gbit/s, a atteint un nouveau palier à la fin du 1er trimestre 2017 avec 44 % des nœuds mis à niveau, tandis que notre ambition demeure un pourcentage de mise à niveau supérieur à 60 % d'ici la fin de l'année. Tout comme pour notre infrastructure mobile, nous avions modernisé à la fin du mois de mars approximativement 25 % des macrosites, soit 700 unités, et achevé le déploiement d'un peu plus de 100 nouveaux sites mobiles. Je suis heureux de voir que la migration de nos clients MVNO avance bien avec un peu plus de 135.000 clients désormais rattachés à notre réseau mobile à la fin de mars 2017, ce qui fait que nous restons en bonne voie pour atteindre les 220 millions € de synergies d'ici 2020 dans le cadre de l'acquisition de BASE.
En ce qui concerne nos performances financières, avec 616 millions €, nos revenus sont restés généralement stables au 1er trimestre 2017 sur une base remaniée en comparaison avec l'année dernière. Tandis que nos activités dans le secteur du câble ont assuré une solide croissance vers le milieu d'une fourchette de croissance à un chiffre, soutenue par une augmentation des recettes d'abonnement au câble et des recettes B2B, nos activités mobiles continuent à subir l'impact de défis structurels et réglementaires, ainsi des revenus moins élevés provenant de la vente d'appareils par rapport au 1er trimestre de l'exercice précédent. Notre bénéfice net au 1er trimestre 2017 a atteint 66 millions € contre une perte nette de 9 millions € pour la période correspondante de l'exercice précédent, et a été impacté par l'augmentation de l'Adjusted EBITDA et certains gains hors trésorerie, qu'il s'agisse de gains de change ou de gains sur dérivés de taux d'intérêt. Notre Adjusted EBITDA pour le 1er trimestre 2017 était de 289 millions €, soit une hausse de 6 % en glissement annuel sur une base remaniée. La croissance de notre Adjusted EBITDA remanié a été appuyée par (i) les coûts moins élevés des ventes et des subventions sur les appareils, (ii) la diminution des frais de ventes et de marketing en raison de leur phasage, (iii) la diminution des coûts d'intégration et de transformation, ainsi que (iv) le contrôle plus rigoureux des coûts, y compris une meilleure attention à l'égard des frais généraux. Au 1er trimestre 2017, nos dépenses d'investissements à imputer représentaient environ 20 % de nos revenus, soit 126 millions €. En comparaison avec le 1er trimestre de l'année dernière, nos dépenses d'investissements à imputer reflétaient principalement l'impact d'investissements plus élevés dans le réseau, comme évoqué ci-dessus. Enfin, au 1er trimestre 2017, nous avons généré un flux net de trésorerie provenant des activités d'exploitation, un flux net de trésorerie affecté aux activités d'investissement et un flux net de trésorerie lié aux opérations de financement de
respectivement 117 millions €, 145 millions € et un montant nul, entraînant un Adjusted Free Cash Flow négatif de 16 millions € pour le 1er trimestre 2017.
Après avoir enregistré de solides résultats pour les trois premiers mois de 2017, nous confirmons nos prévisions pour l'ensemble de l'exercice telles qu'elles avaient été communiquées mi-février 2017. Pour rappel, nos prévisions pour l'ensemble de l'exercice ne reflètent pas les impacts potentiels de l'acquisition de SFR BeLux après obtention de l'approbation réglementaire. Nous sommes convaincus de notre capacité à finaliser cette acquisition avant la fin de l'été 2017. Fin mars 2017, le ratio de levier financier net se situait à 3,5x et il devrait passer à 3,7x après l'acquisition de SFR BeLux (après obtention de l'approbation réglementaire). Ce ratio de levier financier net remanié reste dans la plage à moyen terme visée par le conseil et nous offre toute la flexibilité financière requise pour d'éventuels futurs projets liés à la croissance et/ou pour des fusions et acquisitions créatrices de valeur, conformément à notre Vision 2020 communiquée précédemment. Pour 2017, le conseil a approuvé un programme de rachat d'actions à hauteur de 60 millions €, dont environ un tiers a été exécuté à ce jour. »
Reclassement des revenus wholesale: Depuis le 1er trimestre 2017, nous avons modifié la façon de présenter les revenus générés par nos partenaires wholesale fixes et mobiles. Depuis le 1er janvier 2017, ces revenus sont comptabilisés sous autres revenus, alors qu'avant cette date, nos revenus wholesale étaient présentés sous nos revenus de téléphonie mobile. Nous avons aussi appliqué rétroactivement cette modification à la période correspondante de l'exercice précédent.
Reclassement des dépenses relatives au déploiement de techniciens pour l'équipement chez les clients: Depuis le 1er trimestre 2017, nous avons modifié la façon de présenter les dépenses engagées pour le déploiement de techniciens pour l'equipement chez les clients. Depuis le 1er janvier 2017, ces dépenses sont comptabilisées sous les charges d'exploitation des services de réseau, alors qu'avant cette date, elles étaient présentées sous le poste « sous-traitance de travaux et de services professionnels ». Nous avons aussi appliqué rétroactivement cette modification à la période correspondante de l'exercice précédent.
Au 31 mars 2017, nous avions fourni à nos 2.134.200 clients uniques 4.862.900 services d'abonnement (« RGU ») dans notre zone de couverture de 2.996.700 résidences en Flandre et une partie de Bruxelles. Au niveau produit, notre base d'unités de service se composait de 1.996.300 abonnements vidéo, 1.608.100 accès à l'Internet haut débit et 1.258.200 abonnements de téléphonie fixe. En outre, environ 87 % de nos abonnés vidéo avaient opté pour notre plateforme de vidéo numérique au 31 mars 2017 et peuvent ainsi profiter d'une expérience TV beaucoup plus riche, y compris l'accès à un large éventail de chaînes de sport numériques, HD et payantes, une vaste bibliothèque de contenu national et international de vidéo à la demande (« VOD ») sur une base transactionnelle et par abonnement, et l'accès à notre plateforme OTT « Yelo Play ». Par rapport au 31 décembre 2016, notre base d'unités de service totale (à l'exception de la téléphonie mobile) est restée globalement stable avec 4.862.600 unités étant donné que la croissance continue de nos RGU pour l'Internet haut débit et la téléphonie fixe a été compensée par une hausse du nombre d'abonnés ayant renoncé à la télévision en raison d'un environnement extrêmement concurrentiel et l'annonce de l'ajustement de certains tarifs. Nous avons achevé le premier trimestre 2017 avec un ratio de groupage de 2,28 RGU par client (1er trimestre 2016 : 2,24), environ 53 % de nos clients ont souscrit à un produit triple play, 21 % à un produit double play et 26 % à un produit single play, avec des opportunités de montée de gamme constantes au sein de la clientèle existante. Au 31 mars 2017, nous avions également servi 2.837.500 clients mobiles actifs par rapport à 3.016.600 au 31 mars 2016, y compris un peu plus de 2,1 millions d'abonnés au postpayé, ce qui reflète la vente d'Ortel à Lycamobile le 1er mars 2017.
Au 1er trimestre 2017, nous avons poursuivi notre stratégie « multiple-play » créatrice de valeur de manière à ce que nos clients puissent profiter de tous les avantages de leur mode de vie numérique, tant à domicile qu'en déplacement. Notre premier forfait convergent tout-en-un pour les familles et les entreprises, « WIGO », que nous avons lancé en juin de l'année dernière, avait atteint 188.600 abonnés au 31 mars 2017. Pour le 1er trimestre 2017, cela représentait un bel afflux de 37.100 nouveaux abonnés nets « WIGO ». Au prix de 100 € à 140 € par mois (dont une TVA de 21 %), les trois offres groupées résidentielles « WIGO » incluent une connexion haut débit ultrarapide, une connexion WiFi, des appels illimités fixes et mobiles en Belgique et une allocation de données mobiles à partager entre les différents membres de la famille. Même si la grande majorité des abonnés « WIGO » sont des clients avec lesquels nous étions déjà en relation, nous continuons à profiter d'une solide croissance d'abonnés nets en postpayé grâce à nos offres « WIGO ».
L'ARPU par relation client, qui exclut les revenus de la téléphonie mobile et certains autres types de revenus, a rapporté 54,4 € pour les trois premiers mois de 2017, une hausse de 2,1 €, soit +4 %, par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent. La croissance de l'ARPU par relation client a été soutenue par (i) une proportion plus élevée d'abonnés « multiple play » dans notre mix client général, (ii) une part plus importante des clients de vidéo premium souscrivant à nos services de divertissement de première qualité « Play », « Play More » et « Play Sports », (iii) le bénéfice de la majoration sélective des prix sur certains services fixes à partir de la mi-février 2017, et (iv) une modeste diminution du
nombre total de relations clients uniques en raison d'un environnement extrêmement concurrentiel. Ces effets ont été compensés dans une certaine mesure par une proportion croissante de remises liées aux forfaits et autres réductions.
Au 31 mars 2017, nous servions 1.608.100 abonnés à l'Internet haut débit (+ 2 % en glissement annuel), ce qui équivaut à 53,7 % des résidences desservies par notre principal réseau HFC. Au 1er trimestre 2017, 6.400 abonnés nets se sont ajoutés à notre service Internet haut débit, un chiffre globalement stable par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Cette croissance nette des abonnements s'explique principalement par d'excellentes performances dans le segment professionnel en raison de la percée continue de nos offres groupées « FLUO » et « WIGO ». Grâce à nos offres « Corporate Fibernet », nous fournissons à présent des vitesses de téléchargement pouvant atteindre 500 Mbit/s à certains de nos clients professionnels. Notre taux de désabonnements annualisé a atteint 9,1 % au 1er trimestre 2017 contre 8,3 % au même trimestre de l'exercice précédent, reflétant l'environnement extrêmement concurrentiel et la mise en œuvre de notre adaptation tarifaire à la mi-février.
Comme les clients s'attendent de plus en plus à profiter d'une connectivité ultrarapide à la maison, au travail ou en déplacement, la connectivité sans faille, y compris le WiFi, reste l'un des piliers de notre stratégie de connectivité. Mimars, nous avons lancé "Flow Tech", un ensemble de technologies intelligentes visant à garantir aux clients un accès optimal aux réseaux fixe et mobile, quel que soit l'appareil. Aujourd'hui, nous avons déployé 1,4 million de WiFi Homespots et exploitons environ 1600 WiFi hotspots dans les lieux publics. Grâce à des partenariats avec notre actionnaire majoritaire Liberty Global, certains de ses affiliés, et le câblo-opérateur VOO en Wallonie, les clients à l'Internet haut débit des deux sociétés du câble peuvent utiliser gratuitement les WiFi Homespots sur le réseau de l'une ou l'autre entreprise en Wallonie et dans un certain nombre de pays européens, où le service est assuré par d'autres réseaux de Liberty Global et certains réseaux affiliés.
Nous servions 1.258.200 abonnés à la téléphonie fixe au 31 mars 2017 (+2 % en glissement annuel), ce qui équivaut à 42 % des résidences desservies par notre réseau. Au 1er trimestre 2017, nous avons obtenu un afflux net de 2.800 abonnés à la téléphonie fixe, ce qui représente un nouveau ralentissement par rapport au 4e trimestre de l'année dernière et a été principalement affecté par un taux de désabonnement plus élevé. Au 1er trimestre 2017, notre taux de désabonnements annualisé a augmenté de 140 points de base, soit 10,6 %, par rapport au 1er trimestre 2016, reflétant l'environnement extrêmement concurrentiel et un déclin général du marché.
Au 31 mars 2017, nous servions un total de 2.837.500 abonnés mobiles actifs, y compris 2.154.100 abonnés au postpayé. Le reste des abonnés mobiles reçoivent des services prépayés sous la marque BASE et divers contrats de revendeurs de marques différentes, notamment JIM Mobile. Au 1er trimestre 2017, le nombre d'abonnés au prépayé a été impacté par la vente d'Ortel à Lycamobile le 1er mars 2017. Par conséquent, 157.900 abonnés au prépayé ont été soustraits du nombre d'abonnés externes pendant le 1er trimestre 2017.
Au 1er trimestre 2017, nous avons ajouté pas moins de 43.000 abonnés nets au postpayé en dépit d'un environnement extrêmement concurrentiel. Le résultat net en termes d'abonnés au postpayé est imputable au succès de nos packs « WIGO » ainsi qu'à la spirale positive que connaissent les abonnements postpayés chez BASE suite au lancement récent de nos offres promotionnelles attrayantes liées aux données mobiles. Nos activités dans le domaine du prépayé continuent à être impactées par un déclin structurel que renforce l'enregistrement obligatoire des cartes prépayées en Belgique pour début juin 2017. Au 31 mars 2017, nous avions enregistré un peu plus des deux tiers de notre base actif d'abonnés au prépayé. Si l'on inclut les abonnés mobiles au prépayé, mais que l'on ne tient pas compte des abonnés associés à Ortel Mobile, notre base d'abonnés mobiles totale a augmenté de 3.500 au 1er trimestre 2017. Notre ARPU mobile mixte était de 21,3 € au 1er trimestre 2017, interconnexion comprise, et reflétait des revenus hors forfaits inférieurs ainsi qu'une plus grande proportion de remises liées à « WIGO » attribuées aux revenus de la téléphonie mobile.
Au 31 mars 2017, environ 87 % de nos clients vidéo se sont abonnés à nos services de télévision premium, leur permettant d'apprécier une expérience TV beaucoup plus riche. Cela s'est traduit par 1.727.600 clients en télévision premium au 31 mars 2017. Au 1er trimestre 2017, nous avons perdu 5.300 abonnés nets à la télévision premium par rapport au 31 décembre 2016, la conséquence d'un environnement extrêmement concurrentiel et de l'annonce de l'ajustement de certains tarifs à la mi-février 2017. Au 31 mars 2017, environ 26 % de nos abonnés aux services de télévision premium utilisaient activement notre application « Yelo Play », grâce à laquelle ils bénéficient d'une expérience unique de contenu sur plusieurs appareils connectés à leur domicile et en déplacement par le biais de nos WiFi Homespots et Hotspots.
Au 31 mars 2017, nos forfaits VOD « Play » et « Play More » comptaient 361.600 clients, soit une augmentation de 15 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent, favorisée en partie par la réorganisation de notre plateforme de divertissement « Play More » que nous avons enrichie d'une nouvelle expérience visuelle linéaire en introduisant une interface utilisateur revisitée avec des fonctions de recherche et de recommandation améliorées. Au cours du 1er trimestre 2017, nous avons également annoncé notre intention de poursuivre nos investissements dans un contenu local prometteur en 2017 et au-delà, par le biais notamment de coproductions avec les chaînes commerciales « VIER » et « VIJF » dont nous sommes copropriétaires, ainsi que par l'ajout de contenu exclusif.
Outre nos chaînes de télévision payantes premium, nous proposons l'offre la plus vaste en matière de sport grâce à « Play Sports » qui combine football belge et étranger avec d'autres événements sportifs majeurs, y compris du golf, de la formule 1, du volley-ball, du basket-ball et du hockey. Nous y avons récemment ajouté le tennis avec les ATP World Tour Masters. Au 31 mars 2017, 231.100 clients étaient abonnés à nos chaînes de télévision payantes sportives, soit une augmentation de 2 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent.
Par rapport au 31 décembre 2016, les abonnés à la totalité de nos services de vidéo de base et numérique ont diminué de 21.200 pour atteindre 1.996.300 au 31 mars 2017. Par rapport aux trimestres précédents, nous avons connu une perte organique plus élevée, impactée par un environnement de plus en plus concurrentiel, y compris les effets de l'accès réglementé au câble pour les entreprises. Le ratio précité des clients (abonnés) qui, de façon naturelle, quittent Telenet vers la concurrence exclut les migrations vers nos services de vidéo bonifiée et représente des clients se désabonnant au profit de plateformes de concurrents, comme d'autres fournisseurs de services de télévision numérique, OTT et satellite, ou des clients ayant résilié leur abonnement TV ou ayant quitté la zone couverte par nos services. Compte tenu de la pénétration vidéo historique dans notre secteur, l'expansion limitée du nombre de foyers desservis par nos services et une forte concurrence sur le marché de la télévision nationale, nous prévoyons encore des désabonnements du total de nos clients vidéo.
Les trois premiers mois de 2017, nous avons généré un revenu de 616,0 millions €, ce qui représente une hausse de 11 % par rapport aux 552,5 millions € réalisés sur la période correspondante de l'exercice précédent. L'augmentation de notre revenu déclaré a été principalement soutenue par des mouvements non organiques tels que la contribution de l'opérateur mobile BASE depuis le 1er janvier de cette année, sachant que l'année dernière, BASE n'a été consolidé dans nos résultats qu'à partir du 12 février 2016. Ceci a été en partie contrebalancé par la vente d'Ortel à Lycamobile le 1er mars 2017 ainsi que par l'arrêt de la commercialisation d'anciens produits fixes chez BASE.
Aux trois premiers mois de 2017, nous avons réalisé une hausse de revenus stable sur une base remaniée, conformément à nos prévisions pour l'ensemble de l'exercice 2017. Nos activités dans le secteur du câble ont assuré une solide croissance vers le milieu d'une fourchette de croissance à un chiffre pour les trois premiers mois de 2017, soutenue par 3 % d'augmentation des recettes d'abonnement au câble et un revenu tiré des services aux entreprises plus élevé. Côté négatif, nos revenus de téléphonie mobile ont diminué de 4 % sur une base remaniée en raison (i) de défis structurels dans le segment prépayé se traduisant notamment par une baisse constante du nombre d'abonnés actifs, (ii) une utilisation hors forfaits inférieure générée par nos abonnés mobiles, et (iii) une plus grande proportion de remises liées à « WIGO » attribuées aux revenus de la téléphonie mobile. Enfin, nous avons également généré 6 % de revenus en moins sur une base remaniée en comparaison avec l'année dernière, ce qui s'explique par la diminution considérable des ventes d'appareils
Nos revenus vidéo représentent les montants payés mensuellement par nos abonnés vidéo pour les chaînes de base qu'ils reçoivent et le revenu généré par nos abonnés vidéo numérique, ce qui comprend essentiellement (i) les frais de location de décodeur récurrents, (ii) les frais des offres de contenu premium en supplément, y compris nos forfaits VOD « Play », « Play More » et « Play Sports », et (iii) les services transactionnels et de retransmission à la demande. Les trois premiers mois de 2017, nos revenus vidéo étaient de 141,0 millions €, soit un montant relativement stable par rapport aux 141,1 millions € réalisés sur la période correspondante de l'exercice précédent. Les frais de location de décodeur récurrents plus élevés et une croissance des abonnements premium dans le cadre de nos activités VOD ont été contrebalancés par un déclin graduel de notre base d'abonnés vidéo totale et des revenus légèrement inférieurs de nos services transactionnels VOD.
Les revenus générés par les abonnements à nos services Internet haut débit pour clients résidentiels et petites entreprises s'élevaient à 148,0 millions € pour les trois premiers mois de 2017 et affichaient une hausse de 6 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent au cours de laquelle nous avions enregistré des revenus Internet haut débit de 139,9 millions €. La croissance de nos revenus Internet haut débit a été soutenue par 2 % d'augmentation de notre base d'abonnés et les bénéfices tirés de la hausse des prix de février 2017 mentionnée ci-dessus, partiellement contrebalancés par une proportion croissante de remises liées aux forfaits.
Nos revenus de téléphonie fixe comprennent les revenus d'abonnements récurrents de nos abonnés à la téléphonie fixe et des revenus variables liés à l'utilisation, à l'exception des revenus liés à l'interconnexion générés par ces clients qui sont rapportés sous autres recettes. Les trois premiers mois de 2017, nos revenus de téléphonie fixe ont augmenté de 1 %, ce qui représente 60,4 millions € contre 59,7 millions € pour la période correspondante de l'exercice précédent. La croissance de notre revenu a été soutenue par une augmentation de 2 % des abonnés à la téléphonie fixe et par les bénéfices tirés de la hausse des prix de février 2017 mentionnée ci-dessus, ce qui a été partiellement contrebalancé par une proportion croissante de remises liées aux forfaits et par un trafic plus faible.
Nos revenus de téléphonie mobile représentent les revenus liés aux abonnements générés par nos abonnés directs à la téléphonie mobile et les revenus hors forfaits, à l'exception (i) des revenus liés à l'interconnexion générés par ces clients, (ii) des revenus issus des ventes d'appareils et (iii) des revenus comptabilisés sous nos programmes « Choisissez votre
appareil » que nous avons lancés mi-2015. Les trois premiers mois de 2017, nous avons généré des revenus de téléphonie mobile de 133,9 millions €, une hausse de 34,1 millions € par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent. Cette augmentation du revenu de 34 % en glissement annuel reflète l'acquisition de BASE, qui a pris effet le 11 février 2016. Sur une base remaniée, nos revenus de téléphonie mobile ont diminué de 4 % en glissement annuel, la croissance saine et continue d'abonnés nets en postpayé étant contrebalancée par (i) des revenus liés à l'utilisation par utilisateur moins élevés, (ii) la baisse des revenus liés au roaming en raison du changement de règlement de l'UE, (iii) l'impact de nos programmes « Choisissez votre appareil », ces revenus étant sous autres recettes plutôt que sous nos revenus de téléphonie mobile comme pour nos anciens programmes d'échelonnement des paiements pour appareils, et (iv) une plus grande proportion de remises liées aux packs compte tenu du succès de nos offres quadruple-play « WIGO ».
Les revenus déclarés au titre des services aux entreprises concernent (i) les revenus générés sur les produits non coaxiaux, y compris la fibre et les lignes DSL louées, (ii) nos activités d'opérateur, ainsi que (iii) des services à valeur ajoutée tels que l'hébergement et les services de sécurité gérés. Les revenus générés par nos clients professionnels sur tous les produits liés au câble sont attribués aux recettes d'abonnement au câble et ne sont pas saisis dans Telenet Business, notre division de services aux entreprises. Telenet Business a généré un revenu de 33,9 millions € pour les trois premiers mois de 2017, soit une hausse de 11 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent sur une base remaniée. La croissance de nos revenus B2B a été principalement soutenue par des revenus liés à la sécurité plus élevés et des revenus plus élevés issus des solutions de connectivité pour les entreprises PME.
Les autres revenus comprennent principalement (i) les revenus liés aux services d'interconnexion issus de nos clients de téléphonie à la fois fixe et mobile, (ii) les ventes d'appareils mobiles, y compris les revenus générés par nos programmes « Choisissez votre appareil », (iii) les revenus wholesale générés par nos activités wholesale à la fois commerciales et réglementées (iv) les frais d'activation et d'installation et (v) les revenus des ventes de décodeurs. Ces autres revenus ont généré 98,8 millions € sur les trois premiers mois de 2017, soit une baisse de 6 % sur une base remaniée s'expliquant par des revenus considérablement moins élevés provenant de la vente d'appareils par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent.
Les trois premiers mois de 2017, nous avons engagé des charges totales de 503,5 millions €, ce qui représente une hausse de 20 % par rapport aux 419,9 millions € de la période correspondante de l'exercice précédent, et reflète la contribution de BASE à l'ensemble du 1er trimestre 2017 contre seulement six semaines en 2016 ainsi que la vente d'Ortel évoquée ci-dessus. Pour les trois premiers mois de 2017, les charges totales ont diminué de 3 % sur une base remaniée par rapport au 1er trimestre de l'année dernière dont les charges comprenaient 3,4 millions € de coûts d'intégration liés à l'acquisition de BASE. En outre, les charges plus élevées pour l'exploitation des services de réseau ainsi que l'augmentation des coûts liés à la programmation et aux services professionnels ont été largement compensées par les coûts moins élevés des ventes et des subventions sur les appareils, par la diminution des frais de ventes et de marketing ainsi que par les frais de personnel réduits. Nos charges d'exploitation totales représentaient environ 82 % de notre revenu pour les trois premiers mois de 2017. Les coûts de services fournis, en pourcentage de notre revenu, représentaient environ 63 % de la totalité de notre revenu pour les trois premiers mois de 2017, alors que les frais de vente, les frais généraux et administratifs représentaient environ 19 % de la totalité de notre revenu pour les trois premiers mois de 2017.
Nos charges d'exploitation des services de réseau ont atteint 49,1 millions € pour les trois premiers mois de 2017 contre 33,8 millions € pour les trois premiers mois de 2016 (+45 % en glissement annuel), reflétant principalement les effets de l'acquisition de BASE, comme évoqué ci-dessus. Sur une base remaniée, nos charges d'exploitation des services de réseau ont augmenté de 6 % en glissement annuel pour les trois premiers mois de 2017, ce qui découle de frais de licence et de maintenance plus élevés et de coûts d'électricité plus importants.
Nos coûts directs comprennent toutes nos charges directes telles que (i) les coûts liés à l'interconnexion, (ii) les ventes et subventions sur les appareils et (iii) la programmation et les droits d'auteur. Les trois premiers mois de 2017, nos coûts directs représentaient 149,1 millions €, soit une hausse de 9 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent, principalement en raison de l'acquisition de BASE et de la vente d'Ortel. Sur une base remaniée, nos coûts directs ont diminué de 5 % par rapport au 1er trimestre de l'année dernière, étant donné que les frais plus élevés liés au contenu en raison de notre stratégie de divertissements connexes et les coûts plus élevés liés aux ventes d'appareils ont été plus que contrebalancés par des coûts considérablement inférieurs liés aux ventes et subventions sur les appareils et des charges d'interconnexion à la baisse, y compris les coûts liés aux MVNO.
Les charges liées au personnel ont augmenté de 7,1 millions €, soit 63,9 millions € pour les trois premiers mois de 2017, reflétant la consolidation de BASE pour l'ensemble du trimestre. Sur une base remaniée, nos frais de personnel ont diminué de 2 % au 1er trimestre 2017. Les coûts salariaux plus élevés ont été largement compensés par l'augmentation du travail capitalisé, soutenue par la modernisation de nos réseaux fixe et mobile.
Les frais de ventes et de marketing pour les trois premiers mois de 2017 ont atteint 18,9 millions € contre 23,6 millions € pour la période correspondante de l'exercice précédent. Sur une base remaniée, nos frais de ventes et de marketing ont diminué de 6,8 millions € au 1er trimestre 2017, sachant que le premier trimestre de l'année dernière a été marqué par plusieurs campagnes de marketing majeures avec notamment des promotions sur les appareils.
Les coûts liés à la sous-traitance de travaux et de services professionnels étaient de 10,4 millions € pour les trois premiers mois de 2017 contre 7,2 millions € pour les trois premiers mois de 2016. Sur une base remaniée, les coûts liés à la soustraitance de travaux et services professionnels avaient augmenté de 1,8 million € au 31 mars 2017.
Nos autres charges indirectes ont atteint 35,2 millions € pour les trois premiers mois de 2017, soit une hausse de 10 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent, en raison de l'acquisition de BASE. Sur une base remaniée, nos autres charges indirectes pour les trois premiers mois de 2017 ont diminué de 9 % par rapport au 1er trimestre 2016.
Les amortissements et dépréciations, y compris les bénéfices sur la vente d'immobilisations corporelles et autres immobilisations incorporelles, ont atteint 172,1 millions € pour les trois premiers mois de 2017 contre 127,5 millions € pour le 1er trimestre 2016. Cette augmentation reflète principalement les effets de l'acquisition de BASE et des charges d'amortissement plus élevées liées au lancement du projet de modernisation du réseau mobile annoncé en août 2016, ainsi qu'aux plateformes et systèmes informatiques.
Pour les trois premiers mois de 2017, les charges financières nettes ont totalisé 21,9 millions € contre 118,9 millions € de charges financières nettes engagées pour les trois premiers mois de 2016. Par rapport au 1er trimestre 2017, au cours duquel nous avions subi une perte hors trésorerie de 59,3 millions € sur nos produits dérivés, l'évolution de la juste valeur de nos produits dérivés a donné lieu à un gain hors trésorerie de 15,2 millions € au 1er trimestre 2017. En outre, nous avons enregistré un gain de change hors trésorerie de 20,1 millions € sur notre dette en USD au 1er trimestre 2017. Nos intérêts débiteurs nets, notre perte de change et nos autres charges financières ont diminué de 5 %, passant de 59,9 millions € au 1er trimestre 2016 à 57,2 millions € au 1er trimestre 2017, ceci s'expliquant par certains refinancements récents qui ont allongé l'échéance moyenne de notre dette et ont réduit nos intérêts débiteurs en général.
Nous avons enregistré une charge d'impôts de 23,0 millions € pour les trois premiers mois de 2017 contre une charge d'impôts de 20,1 millions € pour les trois premiers mois de 2016, soit une augmentation de 14 % en glissement annuel.
Nous avons réalisé un bénéfice net de 65,8 millions € pour les trois premiers mois de 2017 contre une perte de 8,6 millions € pour la période correspondante de l'exercice précédent, donnant lieu à une marge bénéficiaire nette de 10,7 % contre une marge déficitaire nette de 1,6 % au 1er trimestre 2016. L'augmentation de notre bénéfice net s'explique essentiellement par un gain de 15,2 millions € sur nos produits dérivés contre une perte de 59,3 millions € l'année passée,
ainsi que par le gain de change de 20,1 millions € susmentionné. Sans ces éléments, notre bénéfice net aurait été moins élevé.
Les trois premiers mois de 2017, nous avons réalisé un Adjusted EBITDA de 289,4 millions €, soit une hausse de 10 % par rapport aux 262,1 millions € réalisés sur la période correspondante de l'exercice précédent. Notre Adjusted EBITDA pour les trois premiers mois de 2017 inclut la contribution de BASE à partir du 11 février 2016 et reflète la vente d'Ortel en date du 1er mars 2017, comme indiqué plus haut. Par rapport au 1er trimestre 2016, nous avons réalisé une solide croissance de notre Adjusted EBITDA remanié au 1er trimestre 2017, à savoir 6 %. La croissance de notre Adjusted EBITDA remanié a été appuyée par (i) les coûts moins élevés des ventes et des subventions sur les appareils par rapport aux activités promotionnelles du 1er trimestre de l'exercice précédent, (ii) la diminution des frais de ventes et de marketing en raison de leur phasage, (iii) des coûts d'intégration et de transformation moins élevés liés à l'intégration de BASE par rapport 1er trimestre de l'année dernière, et (iv) le contrôle plus rigoureux des coûts, y compris une meilleure attention à l'égard des frais généraux. Notre marge Adjusted EBITDA a atteint 47,0 % pour les trois premiers mois de 2017 contre 47,4 % sur une base rapportée pour les trois premiers mois de 2016. Cette modeste diminution de marge est principalement due à une proportion plus élevée de revenus des contenus premium et de revenus de téléphonie mobile à faible marge, y compris la contribution de BASE depuis son rachat.
| (en millions €) | Pour la période de trois mois se terminant au 31 mars |
||
|---|---|---|---|
| 2017 | 2016 | Variation % | |
| Bénéfice (perte) de la période | 65,8 | (8,6) | N.M. |
| Impôts | 23,0 | 20,1 | 14 % |
| Quote-part dans le résultat des entités mises en équivalence | 1,8 | 2,2 | (18)% |
| Charges financières nettes | 21,9 | 118,9 | (82)% |
| Amortissements et dépréciations | 172,1 | 127,5 | 35 % |
| EBITDA | 284,6 | 260,1 | 9 % |
| Rémunération en actions | 4,4 | 1,1 | 300 % |
| Charges d'exploitation liées aux acquisitions ou cessions | 0,4 | 1,1 | (64)% |
| Coûts de restructuration | — | (0,2) | (100)% |
| Adjusted EBITDA | 289,4 | 262,1 | 10 % |
| Marge Adjusted EBITDA | 47,0% | 47,4 % | |
| Marge bénéfice (perte) net | 10,7% | (1,6)% |
N.M. - Not Meaningful (Non Significatif)
Les trois premiers mois de 2017, nos opérations, y compris la contribution de BASE à l'ensemble du trimestre et la vente d'Ortel, ont rapporté 117,3 millions € de trésorerie nette par rapport aux 45,0 millions € générés sur la même période lors de l'exercice précédent. La trésorerie nette générée par nos activités d'exploitation a augmenté de 161 % en glissement annuel, en raison du fait que le même trimestre de l'année dernière comprenait une sortie de fonds non récurrente de 23,5 millions € suite à une renégociation de contrat favorable ainsi que le paiement de frais de pointage de 18,7 millions € liés à l'acquisition de BASE. En outre, la croissance de la trésorerie nette générée par nos activités d'exploitation s'explique par (i) une forte croissance sous-jacente de notre Adjusted EBITDA comme indiqué ci-dessus, (ii) des intérêts débiteurs moins élevés résultant de récentes opérations de refinancement et (iii) une amélioration de tendance concernant notre fonds de roulement, partiellement contrebalancée par le paiement d'impôts en espèces plus élevés de 27,3 millions €.
Au cours des trois premiers mois de 2017, nous avons utilisé 145,2 millions € de flux net de trésorerie dans des opérations d'investissement contre 1.291,3 millions € de flux net de trésorerie pour des opérations d'investissement au 1er trimestre 2016, ce qui reflète le rachat de BASE le 11 février 2016. Le flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement pour les trois premiers mois de 2017 comprend des paiements comptants pour nos dépenses d'investissements, dont un paiement comptant semestriel pour les droits de retransmission du football belge. Au 3e trimestre 2016, nous avons mis en place un programme de financement des achats grâce auquel nous sommes en mesure d'étendre nos modalités de paiement concernant certains fournisseurs à 360 jours à un coût global intéressant. Au cours du trimestre terminé le 31 mars 2017, 21,8 millions € de dépenses ont été financés par le programme susmentionné, ayant un effet positif sur les flux nets de trésorerie dans des opérations d'investissement pour le même montant. Veuillez consulter la Section 2.7 - Dépenses d'investissements pour des informations détaillées concernant les dépenses d'investissements à imputer sous-jacentes.
Le flux net de trésorerie généré par les opérations de financement a été nul pour les trois premiers mois de 2017 contre 1.179,0 millions € de flux net de trésorerie lié aux opérations de financement du 1er trimestre 2016, ce qui s'explique principalement par certaines opérations de refinancement en lien avec l'acquisition de BASE en février 2016. Au 1er trimestre 2017, nous avons dépensé 8,6 millions € au titre du programme de rachat d'actions 2017, nets de la cession d'actions propres suite à l'exercice de certaines options sur actions. Le restant du flux net de trésorerie lié aux opérations de financement a été principalement composé (i) de la croissance du solde de notre dette à court terme en raison du financement des achats, (ii) de remboursements au titre de contrats de location-acquisition et (iii) d'autres charges financières.
Les trois premiers mois de 2017, nous avons généré un Adjusted Free Cash Flow négatif de 15,9 millions € contre un Adjusted Free Cash Flow négatif de 69,1 millions € pour les trois premiers mois de 2016 dont l'Adjusted Free Cash Flow avait été impacté par une sortie de fonds non récurrente de 23,5 millions € suite à une renégociation de contrat favorable ainsi que par le paiement de frais de pointage de 18,7 millions € liés à l'acquisition de BASE. Au 1er trimestre 2017, notre Adjusted Free Cash Flow a été impacté par le paiement de 114,3 millions € d'impôts en espèces au 1er trimestre 2017 ainsi que par des dépenses d'investissements en espèces plus élevées suite à nos programmes de modernisation du réseau. Ces deux éléments ont été largement contrebalancés par (i) la forte croissance de notre Adjusted EBITDA, (ii) des intérêts débiteurs moins élevés, (iii) le bénéfice susmentionné du programme de financement des achats, et (iv) une amélioration de tendance concernant notre fonds de roulement. Étant donné que nous ne prévoyons le paiement d'aucun nouvel impôt en espèces en 2017, notre Adjusted Free Cash Flow devrait s'améliorer de manière significative en 2017.
En date du 31 mars 2017, nous avons reporté un solde total de la dette (y compris des intérêts courus) de 4.794,5 millions €, dont (i) un montant principal de 3.002,3 millions € dû au titre de notre facilité de crédit de premier rang modifié de 2015, et (ii) un montant principal de 1.230,0 millions € correspondant aux billets garantis de premier rang dont l'échéance est comprise entre 2022 et 2027. Notre solde total de la dette au 31 mars 2017 comprenait également (i) 73,0 millions € de dette à court terme liée à notre programme de financement des achats et (ii) 23,7 millions € pour l'encours du spectre du service mobile 3G, y compris des intérêts courus. Le reste représente principalement les obligations découlant de contrats de location- acquisition liées à l'acquisition d'Interkabel.
Au cours du trimestre terminé le 31 mars 2017, aucun nouveau financement ni refinancement n'a eu lieu. Par conséquent, le profil d'échéance de notre dette demeurait globalement inchangé au 31 mars 2017 par rapport au 31 décembre 2016. Nous n'avons pas d'échéances d'emprunts (hormis la dette à court terme liée à notre programme de financement des achats) avant août 2022, compte tenu du fait que les montants dus en vertu de nos facilités de crédit renouvelables sont maintenant intégralement remboursés. En avril 2017, nous avons émis un nouveau prêt à terme de 1,3 milliard € ainsi qu'un prêt à terme de 1,8 milliard USD. Veuillez consulter la section 3.3 - Événement survenu après la date du bilan pour de plus amples informations.
Le tableau ci-dessous donne un aperçu de nos instruments de dette et de nos plans de paiement au 31 mars 2017.
| Facilité totale au |
Montant prélevé |
Montant disponible |
Échéance | Taux d'intérêt | Paiement des intérêts dus |
|
|---|---|---|---|---|---|---|
| 31 mars 2017 | ||||||
| (en millions €) | ||||||
| Senior Credit Facility ajusté en 2015 |
||||||
| Prêt à terme AE | 1.600,0 | 1.600,0 | — | 31 janvier 2025 | Flottant EURIBOR 3 mois (0% seuil) + 3,25% |
Trimestriel (janv., avril, juillet, oct.) |
| Prêt à terme AF | 1.402,3 | 1.402,3 | — | 31 janvier 2025 | Flottant LIBOR un mois (0% seuil) + 3,00% |
Trimestriel (mars, juin, sep., dec.) |
| Facilité de crédit renouvelable AG |
400,0 | — | 400,0 | 30 juin 2023 | Flottant EURIBOR 1 mois (0% seuil) + 2,75% |
Pas applicable |
| Facilité de crédit renouvelable Z |
120,0 | — | 120,0 | 30 juin 2018 | Flottant EURIBOR 1 mois (0% seuil) + 2,25% |
Pas applicable |
| Autorisation de découvert | 25,0 | — | 25,0 | 31 décembre 2017 |
Flottant EURIBOR 1 mois (0% seuil) + 1,60% |
Pas applicable |
| Senior Secured Fixed Rate Notes |
||||||
| 450 millions € Senior Secured Notes venant à échéance en 2022 |
450,0 | 450,0 | — | 15 août 2022 | Fixe 6,25% | Bi-annuel (février et août) |
| 250 millions € Senior Secured Notes venant à échéance en 2024 |
250,0 | 250,0 | — | 15 août 2024 | Fixe 6,75% | Bi-annuel (février et août) |
| 530 millions € Senior Secured Notes venant à échéance en 2027 |
530,0 | 530,0 | — | 15 juillet 2027 | Fixe 4,875% | Bi-annuel (janvier et juillet) |
| Montant total nominal | 4.777,3 | 4.232,3 | 545,0 |
Au 31 mars 2017, nous détenions 71,3 millions € de trésorerie et équivalents de trésorerie contre 99,2 millions € au 31 décembre 2016. Pour minimiser le risque lié à la concentration des contreparties, nos équivalents de trésorerie, certificats de dépôt et SICAV monétaires ont été placés auprès d'institutions financières européennes et américaines de premier ordre. La diminution marquée de notre solde de trésorerie par rapport au 31 décembre 2016 est principalement imputable à des dépenses d'investissements en espèces plus élevées, largement compensées par la croissance de notre trésorerie nette provenant des activités d'exploitation. En outre, nous avons payé 114,3 millions € d'impôts en espèces au 1er trimestre 2017 et utilisé 8,6 millions € pour le rachat d'actions en vertu de notre programme de rachat d'actions 2017, nets des actions propres qui ont été cédées. Nous avons actuellement accès à 400,0 millions € et 120,0 millions € d'engagements disponibles en vertu respectivement de la facilité de crédit renouvelable AG et de la facilité de crédit renouvelable Z, sous réserve du respect des clauses mentionnées ci-dessous. En outre, nous avons conclu une autorisation de découvert de 25,0 millions € en septembre 2016, permettant une gestion plus stricte des soldes de trésorerie restant dus.
A compter du 31 mars 2017, le solde de nos emprunts et le solde de trésorerie - comme définie dans notre Senior Credit Facility changé en 2015 - ont entraîné un ratio de dette nette/EBITDA sur une base annualisée de 3,5x (31 décembre 2016 : 3,5 x). Comme définie dans notre Senior Credit Facility changé en 2015, notre EBITDA reflète certaines synergies non réalisées dans le cadre de l'acquisition de BASE. Au 31 mars 2017, notre ratio de dette nette ne reflétait pas l'impact de la proposition de reprise des activités d'Altice en Belgique et au Luxembourg (« SFR BeLux ») qui est en attente d'approbation réglementaire. Notre ratio de levier financier net actuel est considérablement en deçà du covenant de 6,0x et du test de disponibilité de 5,0x.
Les dépenses d'investissements à imputer ont atteint 125,5 millions € pour les trois premiers mois de 2017, ce qui représente environ 20 % de nos revenus contre environ 34 % pour les trois premiers mois de 2016. Nos dépenses d'investissements à imputer pour les trois premiers mois de 2016 reflétaient la comptabilisation des droits de retransmission non exclusifs de la Jupiler Pro League pour la saison actuelle actuelle 2016-2017, qui constituera la dernière saison relevant du contrat actuel, et l'extension de l'exclusivité des droits de retransmission de la première division britannique pour les trois prochaines saisons, à compter de la saison 2016-2017. Conformément au référentiel IFRS tel qu'adopté par l'UE, ces droits de retransmission ont été capitalisés comme immobilisations incorporelles et seront amortis au prorata au fur et à mesure que la saison progresse. Au 1er trimestre 2017, nous n'avons pas comptabilisé de droits de retransmission du football, car les enchères sont encore en cours pour la Jupiler Pro League. Si l'on exclut ces droits de retransmission, nos dépenses d'investissements à imputer représentaient environ 17 % de nos revenus pour les trois premiers mois de 2016.
Avec un montant de 8,3 millions €, les dépenses d'investissements relatives aux boîtiers décodeurs pour les trois premiers mois de 2017 sont restées globalement stables par rapport au 1er trimestre de l'année dernière, et représentaient environ 7 % de la totalité de nos dépenses d'investissements à imputer.
Les dépenses d'investissements pour les installations clients s'élevaient à 15,8 millions € pour les trois premiers mois de 2017 ou environ 13 % de la totalité des dépenses d'investissements à imputer, contre 17,8 millions € au 1er trimestre de l'année dernière. La diminution de 11 % en glissement annuel de nos dépenses d'investissements liées aux installations clients reflétait une proportion plus élevée d'auto-installations chez les nouveaux clients et une efficacité accrue de nos processus d'installation.
Les dépenses d'investissements à imputer pour le développement et la modernisation du réseau s'élevaient à 51,6 millions € pour les trois premiers mois de 2017, et représentaient environ 41 % de la totalité des dépenses d'investissements à imputer. L'augmentation de 61 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent reflétait les effets de l'acquisition de BASE et le début de notre programme de mise à niveau du réseau de l'accès radio mobile ("RAN") à la fin du 3e trimestre 2016. Après le rachat de BASE en février 2016, nous avons l'intention d'investir jusqu'à 250,0 millions € dans la modernisation du réseau mobile dont nous avons fait l'acquisition, y compris (i) la mise à niveau d'environ 2.800 macrosites équipés des dernières technologies, (ii) le déploiement de 800 à 1000 nouveaux sites mobiles dans toute la Belgique, et (iii) des investissements ciblés dans le raccordement à la fibre optique pour la grande majorité de nos macrosites actuels et futurs. En outre, les dépenses supérieures par rapport à l'exercice précédent ont été également entraînées par des investissements plus élevés dans notre réseau HFC dans le cadre de notre programme d'investissement réseau de 500,0 millions € sur cinq ans « Grands travaux du Réseau » qui devrait se terminer mi-2019.
Le reste de nos dépenses d'investissements à imputer ont inclus des rénovations et remplacements de matériel de réseau, des coûts d'acquisition de contenu sportif et des investissements récurrents dans notre plate-forme et nos systèmes informatiques. Ces montants ont atteint 49,8 millions € pour les trois premiers mois de 2017, contre 130,3 millions € pour les trois premiers mois de 2016, et ont été impactés par la comptabilisation des droits de retransmission du football susmentionnés au 1er trimestre 2016.
Ceci implique qu'environ 61 % de nos dépenses d'investissements à imputer pour les trois premiers mois de 2017 ont été évolutives et liées à la croissance du nombre de nos abonnés, à l'exclusion des droits de retransmission du football susmentionnés. Nous allons continuer à surveiller étroitement nos dépenses d'investissements pour garantir qu'elles entraînent des rendements supplémentaires.
Après avoir réalisé, aux trois premiers mois de 2017, une hausse de revenus remaniée globalement stable ainsi qu'une croissance de l'Adjusted EBITDA remaniée de 6 %, nous sommes en voie de réaliser nos prévisions pour l'ensemble de l'exercice 2017, telles qu'elles avaient été présentées le 16 février 2017. En 2017, nous nous attendons à ce que la croissance de notre chiffre d'affaires soit fortement impactée par des vents contraires réglementaires ainsi que par les défis structurels incessants qui pèsent sur les activités mobiles que nous avons acquises, ce qui devrait être contrebalancé par une croissance solide et soutenue dans les domaines de la connectivité et du divertissement ainsi que de nos activités B2B. En raison des impacts réglementaires évoqués ci-dessus, nous prévoyons des revenus stables en 2017 sur une base remaniée. Sans ces impacts négatifs, nous estimons que la croissance remaniée de nos revenus pour 2017 aurait été beaucoup plus élevée.
Dans ce contexte réglementaire, nous projetons pour l'ensemble de l'exercice 2017 une solide croissance de l'Adjusted EBITDA(a) vers le milieu d'une fourchette de croissance à un chiffre, et ce, sous l'impulsion (i) de meilleures synergies résultant du rachat de BASE, en particulier sur le plan des économies liées aux MVNO, (ii) de la diminution des coûts d'intégration par rapport à l'année dernière et (iii) d'une maîtrise plus rigoureuse des coûts puisque nous allons continuer à nous focaliser sur une gestion plus stricte de nos dépenses externes. Ce faisant, nous sommes en bonne voie pour réaliser notre objectif à moyen terme communiqué précédemment, à savoir un Adjusted EBITDA(a) CAGR de 5 à 7 % sur la période 2015-2018.
Du côté des investissements, nous constatons que les dépenses d'investissements à imputer (hors droits de retransmission du football) représentent environ 24 % de nos revenus, ce qui s'explique par des investissements temporairement plus élevés dans notre infrastructure mobile, lesquels devraient être en grande partie achevés mi-2018. Sans tenir compte des investissements prévus dans la modernisation de notre réseau mobile, les investissements à imputer équivaudraient plutôt à 20 % des revenus.
Enfin, nous prévoyons une solide augmentation de notre Adjusted Free Cash Flow(c) de l'ordre de 350,0 à 375,0 millions € grâce à une contribution plus élevée de notre plateforme de financement des achats, comme indiqué précédemment, au paiement d'intérêts débiteurs moins élevés par rapport à l'année passée suite aux opérations de refinancement de novembre 2016, et à l'absence de frais de pointage, en partie contrebalancée par le paiement d'impôts en espèces plus élevés.
| Prévisions 2017 | |
|---|---|
| Revenus (sur base remaniée) | Stable |
| Croissance de l'Adjusted EBITDA(a) (sur base remaniée) | Mi-chiffre |
| Dépenses d'investissement à imputer, en tant que % des revenus | Aux alentours de 24%(b) |
| Adjusted Free Cash Flow(c) | 350.0 à 375.0 millions €(d) |
(a) Le rapprochement entre notre Adjusted EBITDA pour l'exercice 2017, et notre Adjusted EBITDA CAGR pour la période 2015-2018, et un critère EU IFRS n'est pas disponible comme tous les éléments de ce rapprochement ne sont pas retenus dans nos prévisions et comme certains éléments peuvent varier d'une manière considérable d'une période à une autre.
(b) Y exclus la comptabilisation des droits de diffusion pour le football belge.
(c) Le rapprochement entre notre Adjusted Free Cash Flow pour l'exercice 2017 et un critère EU IFRS n'est pas disponible comme tous les éléments de ce rapprochement ne sont pas retenus dans nos prévisions et comme certains éléments peuvent varier d'une manière considérable d'une période à une autre.
(d) En supposant que le paiement de l'impôt dû sur l'exercice 2016 ne se produira pas avant le début de 2018.
Pour 2017, le conseil d'administration a approuvé un programme de rachat d'actions à hauteur de 60 millions € (le « programme de rachat d'actions 2017 »), en vigueur depuis le 16 février 2017. Ce programme autorise Telenet à racheter occasionnellement ses actions ordinaires, jusqu'à un maximum de 1 100 000 actions, pour un montant maximal de 60 millions € au cours d'une période de six (6) mois. Ces rachats d'actions sont réalisés selon les conditions approuvées par l'assemblée générale extraordinaire de la société du 30 avril 2014. Au 31 mars 2017, un total de 307 903 actions avaient été rachetées par un intermédiaire pour un montant total de 16,7 millions d'euros.
Le conseil d'administration reste déterminé à offrir aux actionnaires une valeur durable et attractive, en phase avec le ratio de dette nette/EBITDA à long terme de la société sur une base annualisée. Cette méthodologie veille à un équilibre optimal entre croissance, rendement pour les actionnaires et accès attractif aux marchés des capitaux. Pour atteindre son objectif à l'égard du ratio de levier financier, la société envisage des fusions et acquisitions créatrices de valeur et/ou des investissements ayant pour but de soutenir la croissance future des activités et le rendement pour les actionnaires, le tout étayé par la génération d'un solide Adjusted Free Cash Flow et par une optimisation continue de la structure financière.
Le 4 avril 2017, Telenet Group Holding NV ("Telenet" ou la "Société") annonce la syndication d'un nouveau Term Loan Facility pour un montant de 1,33 milliards d'euros (« Facilité AH ») et d'un nouveau Term Loan Facility pour un montant de 1,8 milliards de dollars US (« Facilité AI ») dont le terme expirera respectivement le 31 mars 2026 et le 30 juin 2025. La Facilité AH est assortie d'une marge de 3,0% au-dessus de l'EURIBOR avec un plancher de 0% et a été émise à 99,75%. La Facilité AI est assortie d'une marge de 2,75% au-dessus du LIBOR avec un plancher de 0% et a été émise à 99,75%.
Le Groupe Telenet a l'intention d'utiliser le produit net de ces facilités pour le remboursement anticipé total des facilités de crédit suivantes en vertu du Senior Credit Facility de Telenet, tel qu'amendé en 2015 : (i) la Facilité AE (1,6 milliards d'euros dont le terme expirera en janvier 2025, EURIBOR +3,25%, plancher de 0%), et (ii) la Facilité AF (1,5 milliards de dollars US dont le terme expirera en janvier 2025, LIBOR +3,00%, plancher de 0%). Au travers de cette opération, la Société est parvenue à allonger la maturité moyenne de sa dette de 8 ans à la fin de décembre 2016 à 8,6 ans post-refinancement à des conditions de marché attractives, tout en assurant une flexibilité accrue de ses engagements à l'avenir.
| Pour la période de trois mois se terminant le 31 mars | 2017 | 2016 | Variation % |
|---|---|---|---|
| Services d'abonnement | |||
| Maisons raccordables - Réseau Combiné (13) | 2.996.700 | 2.953.500 | 1 % |
| Télévision câblée | |||
| Télédistribution de base (6) | 268.700 | 322.300 | (17 )% |
| Télévision premium (7) | 1.727.600 | 1.718.800 | 1 % |
| Total télévision câblée | 1.996.300 | 2.041.100 | (2)% |
| Internet haut débit | |||
| Internet haut débit résidentiel | 1.477.300 | 1.437.700 | 3 % |
| Internet haut débit professionnel | 130.800 | 139.600 | (6 )% |
| Total internet haut débit (8) | 1.608.100 | 1.577.300 | 2 % |
| Téléphonie fixe | |||
| Téléphonie fixe résidentiel | 1.164.600 | 1.170.900 | (1 )% |
| Téléphonie fixe professionnel | 93.600 | 63.300 | 48 % |
| Total téléphonie fixe (9) | 1.258.200 | 1.234.200 | 2 % |
| Unités génératrices totales de revenus (14) | 4.862.600 | 4.852.600 | — % |
| Taux d'attrition (15) | |||
| Télévision câblée | 9,7% | 8,7% | |
| Internet haut débit | 9,1% | 8,3% | |
| Téléphonie fixe | 10,6% | 9,2% | |
| Relation client | |||
| Clients triple play | 1.137.600 | 1.109.000 | 3 % |
| Total relations client (11) | 2.134.200 | 2.163.800 | (1 )% |
| Services par relation client (11) | 2,28 | 2,24 | 2 % |
| ARPU par relation client (€ / mois) (11) (12) | 54,4 | 52,3 | 4 % |
| Pour la période de trois mois se terminant le 31 mars | 2017 | 2016 | Variation % |
| Services mobiles | |||
| Téléphonie mobile | |||
| Postpayé | 2.154.100 | 1.998.100 | 8 % |
Remarque: Notre nombre d'abonnés prépayés au 31 mars 2017 reflète l'impact de la vente d'Ortel à Lycamobile le 1 mars 2017. Ainsi, 157.900 abonnés prépayés ont été retirés de notre nombre d'abonnés externes.
Téléphonie mobile 2.837.500 3.016.600 (6)%
| Pour la période de trois mois se terminant au |
|||
|---|---|---|---|
| (en millions €, sauf actions et montants par action) | 31 mars | ||
| 2017 | 2016 | Variation % | |
| Résultat de la période | |||
| Produits | 616,0 | 552,5 | 11% |
| Charges | |||
| Coût des services fournis | (387,5) | (316,7) | 22% |
| Bénéfice brut | 228,5 | 235,8 | (3%) |
| Coûts commerciaux et administratifs | (116,0) | (103,2) | 12% |
| Bénéfice opérationnel | 112,5 | 132,6 | (15%) |
| Produits financiers | 35,3 | 0,3 | N.M. |
| Produit d'intérêt et de change nets | 20,1 | 0,3 | N.M. |
| Bénéfice net sur instruments financiers dérivés | 15,2 | — | —% |
| Charges financières | (57,2) | (119,2) | (52%) |
| Charge d'intérêt, pertes de change et autres charges financières nettes | (57,2) | (59,9) | (5%) |
| Perte nette sur instruments financiers dérivés | — | (59,3) | (100%) |
| Charges financières nettes | (21,9) | (118,9) | (82%) |
| Quote-part du résultat des entités mises en équivalence | (1,8) | (2,2) | (18%) |
| Bénéfice avant impôts | 88,8 | 11,5 | 672% |
| Charges d'impôts | (23,0) | (20,1) | 14% |
| Résultat net (perte) de la période | 65,8 | (8,6) | N.M. |
| Résultat net comptabilisé directement en capitaux propres Éléments qui ne seront pas recyclés dans l'état consolidé du résultat Reévaluation de passifs/(actifs) provenant de plans de pension à prestations définies Impôts différés |
— — |
— — |
—% —% |
| Résultat net comptabilisé directement en capitaux propres | — | — | —% |
| Résultat global (perte) de la période | 65,8 | (8,6) | N.M. |
| Résultat imputable aux : | 65,8 | (8,6) | N.M. |
| Propriétaires de la Société | |||
| Intérêts minoritaires | |||
| 63,6 2,2 |
(8,6) — |
N.M. —% |
|
| Résultat global de la période, imputable aux : Propriétaires de la Société |
65,8 63,6 |
(8,6) (8,6) |
N.M. N.M. |
| Pour la période de trois mois se terminant au |
|||||
|---|---|---|---|---|---|
| (en millions €, sauf actions et montants par action) | 31 mars | ||||
| 2017 | 2016 | Variation % | |||
| Nombre moyen pondéré d'actions ordinaires | 115.483.364 | 116.421.952 | |||
| Bénéfice (perte) ordinaire par action en € | 0,55 | (0,07) | |||
| Bénéfice (perte) dilué par action en € | 0,55 | (0,07) | |||
| Produits par nature | |||||
| Produits des abonnements: | |||||
| Télévision câblée | 141,0 | 141,1 | —% | ||
| Internet haut débit | 148,0 | 139,9 | 6% | ||
| Téléphonie fixe | 60,4 | 59,7 | 1% | ||
| Produits des abonnements liés au câble | 349,4 | 340,7 | 3% | ||
| Téléphonie mobile | 133,9 | 99,8 | 34% | ||
| Total des produits des abonnements | 483,3 | 440,5 | 10% | ||
| Services aux entreprises | 33,9 | 30,9 | 10% | ||
| Autres | 98,8 | 81,1 | 22% | ||
| Total des produits | 616,0 | 552,5 | 11% | ||
| Charges par nature | |||||
| Coûts d'exploitation du réseau | (49,1) | (33,8) | 45% | ||
| Coûts directs (programmation et droits d'auteur, interconnection et autres) | (149,1) | (136,9) | 9% | ||
| Frais de personnel | (63,9) | (56,8) | 13% | ||
| Coûts des ventes et frais de marketing | (18,9) | (23,6) | (20%) | ||
| Coûts liés aux services du personnel et aux services professionnels externalisés | (10,4) | (7,2) | 44% | ||
| Autres coûts indirects | (35,2) | (32,1) | 10% | ||
| Coûts de restructuration | — | 0,2 | (100%) | ||
| Charges d'exploitation liées aux acquisitions ou cessions | (0,4) | (1,1) | (64%) | ||
| Rémunérations à base d'actions des administrateurs et des travailleurs | (4,4) | (1,1) | 300% | ||
| Amortissements et dépréciations | (110,0) | (80,6) | 36% | ||
| Amortissements | (42,6) | (32,2) | 32% | ||
| Amortissements sur droits de diffusion | (18,0) | (15,1) | 19% | ||
| Perte sur la vente des filiales | (1,5) | 0,4 | (475%) | ||
| Total des charges | (503,5) | (419,9) | 20% |
N.M. - Not Meaningful (Non Significatif)
| Pour la période de trois mois se terminant au 31 mars |
|||
|---|---|---|---|
| (en millions €) | 2017 | 2016 | Variation % |
| Flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles | |||
| Bénéfice (perte) de la période | 65,8 | (8,6) | N.M. |
| Amortissements, pertes de valeur et restructurations | 172,1 | 127,5 | 35% |
| Variation des fonds de roulement et autres | 12,5 | (40,9) | N.M. |
| Impôts sur le résultat | 23,0 | 20,1 | 14% |
| Charges d'intérêt, pertes de change et autres charges financières nettes | 37,1 | 59,6 | (38%) |
| Perte nette sur instruments financiers dérivés | (15,2) | 59,3 | N.M. |
| Intérêts pécuniaires payés et dérivés | (63,7) | (85,0) | (25%) |
| Impôts payés | (114,3) | (87,0) | 31% |
| Flux net de trésorerie générés par les activités opérationnelles | 117,3 | 45,0 | 161% |
| Flux de trésorerie liés aux activités d'investissement | |||
| Acquisition d'immobilisations corporelles | (99,6) | (67,8) | 47% |
| Acquisition d'actifs incorporels | (45,8) | (45,5) | 1% |
| Acquisition de filiales, sous déduction de la trésorerie acquise | (0,6) | (1.180,6) | (100%) |
| Produits de la vente d'immobilisations corporelles et autres actifs incorporels | 0,8 | 2,6 | (69%) |
| Acquisition de droits de diffusion pour revente | (0,1) | (0,1) | —% |
| Produits de la vente de droits de diffusion pour revente | 0,1 | 0,1 | —% |
| Flux net de trésorerie utilisés pour les activités d'investissement | (145,2) | (1.291,3) | (89%) |
| Flux de trésorerie liés aux activités de financement | |||
| Produits de la levée de prêts et emprunts | 16,5 | 1.217,0 | (99%) |
| Rachat d'actions propres | (20,0) | (20,0) | —% |
| Vente d'actions propres | 11,4 | — | —% |
| Paiement de frais de transaction lors de l'émission d'emprunts | (0,3) | (14,0) | (98%) |
| Autres (y inclus engagements de leasing) | (7,6) | (4,0) | 90% |
| Flux net de trésorerie générés par les activités de financement | — | 1.179,0 | (100%) |
| Diminution nette de trésorerie et équivalents de | |||
| Trésorerie et équivalents de trésorerie au début de la période | 99,2 | 277,3 | (64%) |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie à la fin de la période | 71,3 | 210,0 | (66%) |
| Diminution nette de trésorerie et équivalents | (27,9) | (67,3) | (59%) |
| (en millions €) | Pour la période de trois mois se terminant au 31 mars |
||
|---|---|---|---|
| 2017 | 2016 | Variation % | |
| Adjusted Free Cash Flow | |||
| Flux net de trésorerie générés par les activités opérationnelles | 117,3 | 45,0 | 161% |
| Charges d'exploitation liées aux acquisition ou cessions | — | 2,9 | (100%) |
| Coûts financés par un intermédiaire | 16,5 | — | —% |
| Acquisition d'immobilisations corporelles | (99,6) | (67,8) | 47% |
| Acquisition d'actifs incorporels | (45,8) | (45,5) | 1% |
| Amortissements en capital sur les obligations de location-financement (hors contrats de location liés au réseau) |
(0,5) | (0,4) | 25% |
| Amortissements en capital sur les dotations aux contrats de location liés au réseau après acquisition | (3,8) | (3,3) | 15% |
| Adjusted Free Cash Flow | (15,9) | (69,1) | N.M. |
N.M. - Not Meaningful (Non Significatif)
| 31 mars | 31 mars | ||
|---|---|---|---|
| (en millions €) | 2017 | 2017 | Variation |
| Actif | |||
| Actifs non courants : | |||
| Immobilisations corporelles | 2.025,4 | 2.046,8 | (21,4) |
| Goodwill | 1.540,9 | 1.540,9 | — |
| Autres immobilisations incorporelles | 682,3 | 709,2 | (26,9) |
| Actifs d'impôt différé | 167,4 | 135,5 | 31,9 |
| Participations dans et prêts aux entités mises en equivalence | 25,3 | 27,4 | (2,1) |
| Autres investissements | 2,3 | 1,8 | 0,5 |
| Instruments financiers dérivés | 53,1 | 49,7 | 3,4 |
| Créances commerciales | 5,2 | 4,8 | 0,4 |
| Autres actifs | 17,6 | 16,5 | 1,1 |
| Total des actifs non courants | 4.519,5 | 4.532,6 | (13,1) |
| Actifs courants : | |||
| Stocks | 27,1 | 21,7 | 5,4 |
| Créances commerciales | 197,9 | 206,0 | (8,1) |
| Autres actifs courants | 145,3 | 125,2 | 20,1 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 71,3 | 99,2 | (27,9) |
| Instruments financiers dérivés | 24,1 | 22,8 | 1,3 |
| Total des actifs courants | 465,7 | 474,9 | (9,2) |
| Total des actifs | 4.985,2 | 5.007,5 | (22,3) |
| Capitaux propres et passifs | |||
| Capitaux propres : | |||
| Capital social | 12,8 | 12,8 | — |
| Primes d'émission et autres réserves | 966,6 | 966,1 | 0,5 |
| Perte reportée Réévaluations |
(2.130,0) (14,8) |
(2.190,1) (14,8) |
60,1 — |
| Capitaux propres attribuables aux propriétaires de la société | (1.165,4) | (1.226,0) | 60,6 |
| Intérêts minoritaires | 20,5 | 18,4 | 2,1 |
| Total des capitaux propres | (1.144,9) | (1.207,6) | 62,7 |
| Passifs non courants : | |||
| Emprunts et dettes financiers | 4.631,6 | 4.642,5 | (10,9) |
| Instruments financiers dérivés | 83,4 | 94,7 | (11,3) |
| Produits différés | 0,6 | 0,7 | (0,1) |
| Passifs d'impôt différé | 164,7 | 166,0 | (1,3) |
| Autres dettes | 111,1 | 94,6 | 16,5 |
| Total des passifs non courants | 4.991,4 | 4.998,5 | (7,1) |
| Passifs courants | |||
| Emprunts et autres passifs financiers | 162,9 | 139,4 | 23,5 |
| Dettes fournisseurs | 194,6 | 182,3 | 12,3 |
| Charges à imputer et autres passifs courants | 513,1 | 559,2 | (46,1) |
| Produits différés | 98,3 | 101,7 | (3,4) |
| Instruments financiers dérivés | 19,3 | 16,0 | 3,3 |
| Passif d'impôt courant | 150,5 | 218,0 | (67,5) |
| Total des passifs courants | 1.138,7 | 1.216,6 | (77,9) |
| Total des passifs | 6.130,1 | 6.215,1 | (85,0) |
| Total des capitaux propres et des passifs | 4.985,2 | 5.007,5 | (22,3) |
(7) Un abonné à la télévision Premium est une habitation, une unité d'habitation dans un immeuble comptant plusieurs unités d'habitation ou une unité dans un immeuble commercial qui, via un signal vidéo numérique sur le Réseau Combiné, reçoit le service de télévision câblée de Telenet sur la base d'un abonnement à un service mensuel récurrent nécessitant l'usage d'une technologie d'encryptage. Les abonnés à la télévision Premium sont comptés sur la base du nombre d'immeubles. Ainsi, un abonné qui dispose d'un ou plusieurs boîtiers décodeurs et qui reçoit le service de télévision câblée de Telenet dans un seul et même immeuble est en principe compté comme un seul abonné. Un abonné à la télévision Premium n'est pas compté parmi les abonnés à la télédistribution de base. À mesure que des clients Telenet passent de l'offre de base à l'offre Premium de télévision par câble, Telenet fait état d'une diminution du nombre d'abonnés à l'offre de base équivalente à l'augmentation du nombre d'abonnés à l'offre Premium.
(8) Un abonné internet est une habitation, une unité d'habitation dans un immeuble comptant plusieurs unités d'habitation ou une unité dans un immeuble commercial qui reçoit des services internet sur le Réseau Combiné.
Conférence téléphonique pour investisseurs et analystes – Telenet donnera, le 27 avril 2017 à 18:30 h (heures de Bruxelles), une conférence téléphonique sur les résultats financiers pour investisseurs institutionnels et analystes. Vous trouverez les détails et les liens du webcast sur : http://investors.telenet.be.
| Relations avec les investisseurs: | Rob Goyens | [email protected] | Téléphone: +32 15 333 054 |
|---|---|---|---|
| Relations presse et médias: | Stefan Coenjaerts | [email protected] | Téléphone: +32 15 335 006 |
Ce document a été autorisé à la publication le 27 avril 2017 à 7.00 h, heure de Bruxelles.
Building tools?
Free accounts include 100 API calls/year for testing.
Have a question? We'll get back to you promptly.