Registration Form • Jul 23, 2020
Registration Form
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DOCUMENT D'ENREGISTREMENT UNIVERSEL
2020
au cœur de l'expérience_ high-tech
Le Groupe LDLC poursuit son développement avec un leadership affirmé dans le high-tech online. Nos enseignes, portées par la passion, l'agilité et l'esprit d'entreprendre qui caractérisent le Groupe, sont idéalement positionnées pour tirer pleinement parti des opportunités de croissance et de conquête sur leur marché respectif.
Toujours pionnier, le Groupe va continuer de concevoir et développer des solutions innovantes et à forte valeur ajoutée pour mieux répondre aux attentes des clients. Cette exigence de chaque instant vis-à-vis du client est au cœur de la confiance qu'il nous accorde. C'est aussi un moteur puissant de l'engagement toujours renouvelé de nos collaborateurs.
Laurent DE LA CLERGERIE Président du Directoire et Fondateur du Groupe LDLC
au 31 mars 2020
L'exercice 2019-2020 marque une nette progression des résultats financiers du Groupe avec un retour, notamment au second semestre, à un niveau de rentabilité supérieur aux performances historiques. Ils témoignent de la pertinence des orientations stratégiques structurantes mises en œuvre sur les 18 derniers mois pour renforcer notre offre et notre positionnement sur les marchés du high-tech. En outre, le Groupe a considérablement renforcé sa situation financière au cours de l'exercice, avec un endettement financier net ramené à 8,6 M€ contre 60,3 M€ un an plus tôt sous l'effet conjoint des cessions immobilières et d'un solide cash-flow opérationnel de 12,4 M€.
Le Groupe est confiant, malgré le contexte perturbé de ces derniers mois, dans sa capacité à poursuivre et accélérer sa trajectoire de croissance rentable sur l'exercice 2020-2021 avec un objectif de plus de 635 M€ de chiffre d'affaires, soit une croissance supérieure à 28%, et de 38 M€ d'excédent brut d'exploitation, intégrant l'acquisition récente du fonds de commerce Top Achat. »
La crise sanitaire du Covid-19, qui a touché plus de la moitié de la population mondiale, a mis en exergue la résilience du Groupe, grâce notamment à l'esprit de solidarité de ses collaborateurs.
Dans un contexte difficile, l'ensemble des salariés du Groupe s'est mobilisé pour garantir la continuité des activités et la qualité du service qui fait la renommée du Groupe. En l'espace de quelques jours, le Groupe a réorganisé son activité avec près de 1 000 collaborateurs opérationnels en télétravail. Un immense défi aisément relevé par les équipes, pleinement engagées et déjà coutumières du travail à distance !
Des initiatives d'entraide ont vu le jour pour permettre à chacun de répondre présent dans un environnement chahuté à l'instar des activités logistique et service client particulièrement sollicitées dans ce contexte de crise.
L'activité BtoB du Groupe a été fortement perturbée par l'arrêt généralisé de l'activité économique en France. Soucieuses de leurs clients, les équipes en charge des professionnels ont eu à cœur d'être présentes pour eux, en prenant régulièrement des nouvelles, en leur apportant l'écoute et le soutien nécessaire.
Pour aider dans la lutte contre la pandémie, le Groupe a mis à profit ses contacts et circuits d'approvisionnement afin de faciliter l'acheminement d'équipements sanitaires depuis l'Asie.
Pour limiter les répercussions de cette crise sur ses partenaires et fournisseurs, le Groupe s'est engagé à avoir une conduite exemplaire avec un strict respect des délais de paiement pendant la période. Le Groupe LDLC a également porté une attention toute particulière à épauler ses franchisés dans ce contexte difficile avec un gel des factures et la mise en œuvre de mesures visant à préserver leur trésorerie.
Le Groupe LDLC est l'une des premières entreprises à s'être lancée dans la vente en ligne en 1997. Aujourd'hui, distributeur spécialisé multimarques et acteur majeur du e-commerce sur le marché de l'informatique et du high-tech, le Groupe LDLC s'adresse à une clientèle de particuliers (BtoC) et de professionnels (BtoB) au travers de 15 enseignes dont 7 sites marchands.
Avec aujourd'hui 4 marques présentes sur la vente en ligne de produits high-tech, le Groupe LDLC a mené un travail de positionnement de chacune des entités afin de mieux répondre aux attentes de leur segment de clientèle.
Variété du catalogue, services proposés, positionnement prix, ces éléments sont aujourd'hui propres à chaque site du Groupe et déterminés en fonction du profil des clients des différentes enseignes.
Les plus exigeants trouveront ainsi leur bonheur avec des produits et services premium de Materiel.net alors que les clients en attente de qualité à budget maîtrisé se dirigeront plus naturellement vers les sites de Top Achat ou shop.hardware.fr. Pierre angulaire de cette stratégie de marque, le site LDLC se distingue par son offre plus large, sa qualité de service reconnue et sa notoriété grand public.
Au-delà du travail de repositionnement, l'organisation a été revue pour permettre à chaque marque de disposer d'une équipe marketing dédiée et autonome, plus à même de se concentrer sur les attentes des clients.
| SYSTÈME D'INFORMATION | ACHATS ET RÉFÉRENCEMENTS | LOGISTIQUE |
|---|---|---|
| ----------------------- | -------------------------- | ------------ |
En avril 2020, le Groupe LDLC a fait l'acquisition du fonds de commerce Top Achat. Créé en 1999, le site est l'un des pionniers de distribution en ligne de produits informatiques et électroniques grand public en France et bénéficie aujourd'hui encore, d'une forte notoriété auprès d'un public de passionnés soucieux de leur budget. Ce rapprochement, déjà opérationnel, s'intègre pleinement à la stratégie de distributeur spécialisé multimarques du Groupe et est une source d'opportunités et de synergies complémentaires pour le nouvel ensemble.
Christophe BÉGUÉ, Directeur Relation Clients du Groupe LDLC
08
C'est une véritable volonté du management d'investir dans la Relation Clients. Il y a de nombreuses années, nous avons fait le choix de nous doter d'une équipe de 55 conseillers experts, 100% en interne et basé au siège du Groupe.
C'est leur passion qui garantit la satisfaction de nos clients au quotidien. Naturellement, cela se traduit par d'excellentes performances sur l'enquête «Service Client de l'année.»
Nous évoluons dans un secteur très affinitaire et nos conseillers sont donc animés par la même passion pour le high-tech que nos clients, cela permet d'échanger entre pairs.
Nous accompagnons nos conseillers pour leur apporter notre vision de la Relation Clients. Après une sélection stricte, les conseillers font leurs armes sur les canaux emails, avec une relecture systématique dans les premiers temps avant de prendre en charge les demandes clients par chat ou au téléphone, avec l'appui de l'équipe.
Au-delà de la transmission du savoir par les équipes, nous investissons dans la formation des conseillers via des modules d'e-learning. Nous leur proposons par exemple de se former pour obtenir la certification Le Robert.
Autonomie et responsabilité sont les maîtres mots de notre action à la Relation Clients. Nous favorisons l'accompagnement et un cadre de travail motivant. Avec la diversité des missions : chaque conseiller intervient sur les différents canaux de communication (téléphone, email, réseaux sociaux, chat) ce qui permet d'éviter la monotonie et de gérer les pics d'activité au téléphone (99% des appels reçus sont décrochés).
Ces efforts sont pour nous payants avec un turnover particulièrement faible pour ces métiers. Cette cohésion d'équipe s'est montrée également très utile pendant la période de confinement avec la généralisation du télétravail, déjà mis en place de façon partielle depuis plus d'un an.
Le réseau de boutiques LDLC poursuit son fort développement avec l'ouverture de 9 boutiques, en franchise, sur l'exercice 2019-2020. Pour soutenir la croissance du réseau et garantir le succès des points de vente, le Groupe a mis en œuvre une stratégie d'accompagnement sur mesure de ses franchisés.
140 salariés en boutiques
44 ans d'âge moyen des franchisés
| Service Service | |||
|---|---|---|---|
références accessibles sur commande
113 m2 de surfaces de vente moyenne
candidatures à la franchise/an
51 boutiques LDLC*
* au 31 mars 2020
Yann BENOIT, Responsable Formation Franchise
Nous voulons avant tout transmettre à nos franchisés notre savoir-faire et les valeurs de service qui font le succès de la marque LDLC depuis près de 25 ans. En tant qu'ancien responsable de la boutique LDLC de Lyon, j'apprécie et je souhaite transmettre l'exigence de l'enseigne quant à la qualité et la technicité des produits qu'elle propose. Nous avons à cœur que nos gérants de boutiques soient au plus près des besoins du client et leur propose la réponse la plus adaptée. « Le conseil avisé et honnête », c'est notre devise !
Le parcours d'accompagnement débute dès la phase du projet de franchise. Nos franchisés suivent également une formation initiale de 25 jours (sur 5 à 6 sessions), axée autour de 3 grands thèmes : le management, le commerce et la technique. Durant cette période, nos franchisés et leurs équipes alternent entre formation théorique et immersion en boutique. Après l'ouverture, nous maintenons un lien constant avec nos franchisés, notamment au travers de l'équipe d'animation du réseau ou de modules de formation complémentaires.
Nos franchisés ont accès à un extranet, avec l'ensemble des guides pratiques, qui font l'objet d'une mise à jour constante, sur les sujets comme l'évolution règlementaire ou les nouveautés du SI bien sûr. C'est également un moyen pour nous de transmettre à l'ensemble du réseau les best practices, qui nous remontent des animateurs terrain ou des réunions régionales.
L'accompagnement du réseau de franchisés, dans ce contexte, a été une priorité, avec deux axes : la sécurité des personnes (salariés et clients) pour les boutiques restées ouvertes et les mesures de soutien dans les démarches administratives (PGE, chômage partiel, etc.). Le pôle formation s'est adapté à la crise sanitaire en ayant administré plus de 450h de formations réparties en 13 modules différenciés sous forme de classes virtuelles.
Nous avons également lancé un grand dispositif d'évaluation d'acquis sous forme de QCM en ligne afin de repérer les axes d'amélioration de chaque salarié en boutique.
Nous avons pour projet de proposer un parcours de formation certifiant
L'École LDLC s'est donnée pour mission d'accompagner ses étudiants dans la construction de leur parcours professionnel.
Dans un objectif de professionnalisation, L'École LDLC inclut dans son parcours près de 10 mois de stage et 6 séminaires. Ces stages et séminaires sont proposés aux étudiants grâce aux liens forts qui unissent le Groupe aux entreprises de la région lyonnaise mais également grâce au réseau des anciens étudiants de l'École.
Afin d'accompagner au mieux ses étudiants dans cette quête de l'insertion professionnelle optimale, L'École assure deux niveaux d'accompagnement professionnel : d'abord, par un suivi individuel dans la création de leur parcours professionnel, mais également par des ateliers de développement personnel.
La force de L'École réside dans la diversité des profils de son équipe pédagogique. Des expériences professionnelles différentes qui viennent enrichir le retour fait aux étudiants leur permettant d'avoir un accompagnement complet et convergent.
30% de femmes dans les 10 plus hautes rémunérations
à l'index de l'égalité femmes/hommes (pour l'unité économique et sociale Groupe LDLC)
Près de 1 000 collaborateurs
35,4 ans moyenne d'âge
23% taux de turnover
(< moyenne du secteur)
0,69 jour d'absences injustifiées par salarié
Le Groupe est, depuis toujours, attaché à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, dès leur recrutement et tout au long de leur carrière professionnelle dans l'entreprise, au principe de non-discrimination du fait du sexe dans le monde professionnel.
Que ce soit en matière de rémunération, de formation ou d'évolution professionnelle, le Groupe LDLC s'assure de la plus grande équité entre les collaborateurs femmes et hommes.
Cet engagement de longue date permet au Groupe d'obtenir une note globale de 84/100 à l'index de l'égalité femmes / hommes, en ligne avec la performance moyenne des grandes entreprises. La formalisation du calcul de cet indice a permis d'identifier les points de progression encore possible sur le sujet de l'égalité professionnelle.
Ne pas faire de différence, c'est notre seul volontarisme.
LYON ASVEL Féminin devient LDLC ASVEL Féminin Fortement ancré dans l'histoire du basket français, LDLC affirme à nouveau son soutien, en associant son nom à celui de l'équipe féminine lyonnaise, maintenant dénommée LDLC ASVEL Féminin.
Ce partenariat sur quatre ans, aux côtés de l'équipe féminine, s'inscrit dans une vraie cohérence de marque, LDLC ASVEL, avec le partenariat déjà conclu pour l'équipe masculine. Il témoigne de l'importance donnée par le Groupe LDLC sur les sujets de parité femmes / hommes. Le Groupe est fier d'accompagner ces joueuses, à la sportivité et à la ténacité sans pareilles, dans leur réussite. Championne de France 2019, LDLC ASVEL Féminin est entrée cette saison dans la cour des plus grands clubs d'Europe en disputant l'EuroLeague Women.
Le 1er mars 2020, LDLC OL remporte la Lyon E-Sport sur League Of Legends.
DU E-SPORT AVEC LDLC OL LDLC a été l'un des premiers acteurs à investir dans l'univers du gaming et de l'e-sport. Depuis ses débuts, il y a 10 ans, la Team LDLC a conquis de nombreux titres nationaux et internationaux (actuelle Championne de France sur League of Legends et Championne du Monde sur WRC).
Le partenariat récent avec la team OL e-sport vient renforcer le leadership de la nouvelle équipe LDLC OL sur la scène e-sport française et internationale.
Annoncé en janvier 2020, le rapprochement des activités e-sport de l'Olympique Lyonnais et du Groupe LDLC démontre un réel engagement stratégique inédit de ces deux acteurs pour l'e-sport français et dote la nouvelle équipe d'atouts majeurs.
L'équipe e-sport professionnelle LDLC OL, impliquée dans les jeux FIFA, League Of Legends, Counter Strike, Fortnite, WRC et d'autres disciplines à venir, évolue depuis juillet dans un nouveau centre e-sport à Lyon. Dans ce lieu, peuvent se tenir, les compétitions, les entraînements, les tournages vidéos / photos, des événementiels, etc. L'équipe ambitionne de développer des offres de pratique d'e-sport à destination de tous les publics (jeunes, associations, entreprises, collectivités, etc.) de la grande région lyonnaise afin d'attirer des talents nationaux et internationaux.
Le 10 mai 2020, la Team LDLC OL est devenue Championne d'Europe en remportant les European Masters de League of Legends en gagnant la finale sur le score de 3-0 contre l'équipe polonaise de K1CK.
En septembre 2019, la Tony Parker Adéquat Academy a ouvert un cursus dédié à l'e-sport. Ce parcours combine des entraînements e-sportifs donnés par LDLC OL et des cours au sein du lycée privé Acadomia intégré à l'Academy.
Avec cette formation, LDLC OL espère développer les talents locaux de manière responsable et sécurisée, en permettant aux joueurs de concilier carrière e-sportive et parcours scolaire.
Pour assurer aux meilleurs joueurs un avenir professionnel et rendre accessible cette formation, le principe de « bourse d'études performance » a été retenu. 10 joueurs ou joueuses de haut niveau, lycéens, bénéficient de ce programme « e-sport-étude » et leurs frais de scolarité seront entièrement pris en charge.
L'innovation est une composante fondamentale de l'ADN du Groupe LDLC. Une cellule « Innovation produits », composée de 6 collaborateurs, travaille pour faire émerger de nouveaux produits et services, en phase avec les attentes des clients du Groupe. Cette année signe le lancement commercial de 5 nouveaux produits et la poursuite du développement du clavier dynamique « NEMEIO ».
Déjà primé lors du CES de janvier 2019, NEMEIO est le 1er clavier universel, basé sur la technologie d'écran E-paper. Il s'adapte à tous les alphabets, tous les caractères, tous les symboles de votre choix et permet de définir des comportements spécifiques sur chacune de ses 81 touches. Le CES 2020 a été l'occasion de recueillir les intérêts des principaux acteurs en vue d'une prochaine commercialisation.
Expériences de réalité virtuelle sur-mesure avec
LDLC VR Studio est un studio de conception de jeux vidéo en Réalité Virtuelle créé en 2020. Il s'adresse aux propriétaires d'espaces de Réalité Virtuelle et a pour ambition de proposer des expériences immersives à la frontière du rêve et de la réalité. Le premier opus du studio s'intitule « Catch The Dragon » et est déjà disponible dans la salle MultiWorld de Bourgoin-Jallieu.
Le Groupe développe actuellement une activité de marketplace visant à élargir significativement le nombre de références proposées aux clients sur des catégories de produits connexes (informatique, image & son, téléphonie & auto, jeux & loisirs, objets connectés ou papeterie), sur lesquelles un sourcing propriétaire par le Groupe LDLC n'est pas justifié. Plusieurs marchands sont aujourd'hui actifs.
Depuis novembre 2019, LDLC commercialise le tout premier clavier AZERTY respectant la norme NF Z71-300. Baptisé AZERTY+, ce clavier améliore la disposition AZERTY habituelle afin de la rendre plus efficace à la saisie des caractères accentués et des signes diacritiques (accents, trémas, cédilles…) de la langue française.
Premier né du service Recherche et Développement du Groupe LDLC, développé en interne, le sabre connecté SOLAARI est disponible à la vente depuis décembre 2019. Inspiré de l'univers fantastique, le sabre SOLAARI s'adresse aussi bien aux fans de pop-culture, aux cosplayeurs, aux artistes qu'aux sportifs aguerris et adeptes d'arts martiaux.
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En décembre 2019, LDLC a ajouté à sa gamme de produits innovants un clavier à cellules photovoltaïques. Le LDLC SWL10 est un clavier sans fil à usage bureautique et multimédia. Sans aucune manipulation nécessaire, le clavier se recharge grâce à la lumière solaire ou artificielle offrant une liberté totale à l'utilisateur.
| (1er avril - 31 mars) | Compte de résultat simplifié en M€ |
||||
|---|---|---|---|---|---|
| Chiffres audités | 2019-2020 | S1 2019-2020 |
S2 2019-2020 |
2018-2019* Retraité |
Les points à retenir |
| 12 mois | 6 mois | 6 mois | 12 mois | • Activités BtoC en croissance | |
| Chiffre d'affaires | 493,4 | 222,0 | 271,4 | 507,5 | au 2nd semestre 2019-2020 |
| Marge brute | 95,1 | 42,3 | 52,8 | 86,1 | • Amélioration structurelle de la marge brute à 19,3% |
| % marge brute | 19,3% | 19,1% | 19,5% | 17,0% | (vs. 17,0% en n-1) |
| Excédent brut d'exploitation 1 | 15,7 | 4,7 | 11,0 | 1,8 | • EBE en très forte croissance à 15,7 M€ (vs. 1,8 M€ en n-1) |
| % marge d'EBE | 3,2% | 2,1% | 4,1% | 0,4% | • Accélération de la dynamique |
| Résultat d'exploitation | 6,6 | 0,8 | 5,8 | -5,5 | de croissance rentable en 2020-2021 |
| Résultat net des sociétés | 8,3 | -4,8 |
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intégrées
| 2019-2020 | 2018-2019* | |
|---|---|---|
| Capitaux propres | 62,4 | 54,3 |
| Endettement net | 8,6 | 60,3 |
| Gearing** | 0,14 | 1,11 |
Principaux éléments du bilan
(au 31 mars) en M€
* Comptes 2018-2019 retraités en normes françaises
** Endettement net sur capitaux propres
Panier moyen 2019-2020 LDLC.com
426€ht (contre 389 €ht en 2018-2019)
Nombre de titres 6 322 106
Capitalisation boursière au 30 juin 2020 138 millions d'euros Analyste suivant la valeur Gilbert Dupont - Ning GODEMENT
Place de cotation* EURONEXT Growth Code ISIN FR0000075442 ALLDL Indices CAC All Shares, Enternext PEA-PME 150
Midcap Partners - Alessandro CUGLIETTA **
* Le Groupe a réalisé, sur l'exercice 2019-2020, un transfert de cotation sur Euronext Growth, approuvé par l'Assemblée Générale du 1er juillet 2019, avec une mise en œuvre effective le 2 septembre 2019.
** initiation de couverture en juillet 2020
| Chiffre d'affaires T1 2020-2021 | 23 juillet 2020 |
|---|---|
| Assemblée Générale Annuelle | 25 septembre 2020 |
| Chiffre d'affaires T2 2020-2021 | 29 octobre 2020 |
| Résultats semestriels 2020-2021 | 3 décembre 2020 |
| Chiffre d'affaires T3 2020-2021 | 28 janvier 2021 |
| Chiffre d'affaires T4 2020-2021 | 29 avril 2021 |
| Résultats annuels 2020-2021 | 17 juin 2021 |
• + bas 1 an : 5,74 €
• + haut depuis 3 ans : 29,10 €
Cours de bourse au 30 juin 2020 21,90 € par action
*Répartition sur la base des déclarations effectuées sur les 12 derniers mois
Laurent DE LA CLERGERIE : 19,40% Caroline DE LA CLERGERIE : 9,94% Olivier DE LA CLERGERIE : 9,74% Suzanne DE LA CLERGERIE : 1,13%
**aucune action de concert, cette ligne regroupe les membres de la Famille DE LA CLERGERIE
DOCUMENT D'ENREGISTREMENT UNIVERSEL
Société anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de 1 137 979,08 euros Siège Social : 2, rue des Érables – CS21035 – 69578 Limonest cedex RCS Lyon 403 554 181
Document d'enregistrement universel
contenant le rapport annuel
Ce document d'enregistrement universel a été déposé le 23 juillet 2020 auprès de l'AMF, en sa qualité d'autorité compétente au titre du Règlement (UE) n°2017/1129, sans approbation préalable conformément à l'article 9 dudit Règlement.
Le document d'enregistrement universel peut être utilisé aux fins d'une offre au public de valeurs mobilières ou de l'admission de valeurs mobilières à la négociation sur un marché réglementé s'il est complété par une note relative aux valeurs mobilières et, le cas échéant, un résumé et tous les amendements apportés au document d'enregistrement universel. L'ensemble est approuvé par l'AMF conformément au Règlement (UE) n°2017/1129.
En application de l'article 19 du Règlement (UE) 2017/1129 du 14 juin 2017, les informations suivantes sont incluses par référence dans le présent document d'enregistrement universel :
Le document est disponible sans frais au siège social de la société, ainsi qu'en version électronique sur le site de l'AMF (www.amf-france.org) et sur celui de la société (www.groupe-ldlc.com).
| Remarques générales | 27 | |
|---|---|---|
| Chapitre 1. | Personnes responsables, informations provenant de tiers, rapports d'experts et approbation de l'autorité compétente |
28 |
| 1.1. 1.2. |
Responsable du document d'enregistrement universel Déclaration de la personne responsable relative aux informations contenues dans le document d'enregistrement universel |
28 28 |
| Chapitre 2. | Contrôleurs légaux des comptes | 29 |
| 2.1. | Commissaires aux comptes titulaires | 29 |
| 2.2. | Commissaires aux comptes suppléants | 29 |
| Chapitre 3. | Facteurs de risques | 30 |
| 3.1. | Risques liés à l'activité du Groupe | 31 |
| 3.2. | Risques financiers | 33 |
| 3.3. | Risques juridiques, réglementations et litiges | 35 |
| 3.4. | Risques de sinistres | 36 |
| Chapitre 4. | Informations concernant l'émetteur | 38 |
| 4.1. | Dénomination sociale et nom commercial de la société | 38 |
| 4.2. | Lieu et numéro de l'enregistrement de la société | 38 |
| 4.3. | Date de constitution et durée | 38 |
| 4.4. | Siège social de la société, forme juridique, législation applicable et site Internet | 38 |
| Chapitre 5. | Aperçu des activités | 39 |
| 5.1. | Principales activités | 39 |
| 5.2. | Principaux marchés | 43 |
| 5.3. | Positionnement concurrentiel en France | 47 |
| 5.4. | Investissements | 48 |
| 5.5. | Questions environnementales pouvant influencer l'utilisation, faite par l'émetteur, de ses immobilisations corporelles | 49 |
| Chapitre 6. | Structure organisationnelle | 50 |
| 6.1. | Organigramme juridique au 31 mars 2020 | 50 |
| 6.2. | Liste des filiales principales de la société | 50 |
| 6.3. | Prises de participations significatives ou prises de contrôle | 51 |
| 6.4. | Liste des succursales existantes | 51 |
| Chapitre 7. | Examen de la situation financière et du résultat | 52 |
|---|---|---|
| 7.1. | Analyse de la situation financière du Groupe | 52 |
| 7.2. | Analyse du résultat d'exploitation et du résultat net | 56 |
| 7.3. | Présentation des comptes annuels et méthodes d'évaluation – Résultats des activités de la société Groupe LDLC | 58 |
| 7.4. | Stratégie ou facteurs de nature gouvernementale, économique, budgétaire, monétaire ou politique ayant influé sensiblement ou pouvant influer sensiblement, de manière directe ou indirecte, sur les opérations de l'émetteur |
59 |
| 7.5. | Activité et résultats des filiales et des sociétés contrôlées | 59 |
| 7.6. | Activité en matière de recherche et développement de Groupe LDLC | 69 |
| 7.7. | Évènements importants survenus depuis la clôture de l'exercice | 70 |
| Chapitre 8. | Trésorerie et capitaux | 71 |
| 8.1. | Informations sur les ressources financières à court terme et à long terme du Groupe | 71 |
| 8.2. | Analyse des flux de trésorerie | 73 |
| 8.3. | Information sur les conditions d'emprunt et la structure de financement du Groupe | 76 |
| 8.4. | Informations concernant toute restriction à l'utilisation des capitaux ou pouvant influer sensiblement, de manière directe ou indirecte, sur les opérations du Groupe |
78 |
| 8.5. | Informations concernant les sources de financement attendues pour réaliser les investissements prévus | 79 |
| Chapitre 9. | Environnement réglementaire | 80 |
| 9.1. | Réglementation en matière de commerce électronique | 80 |
| 9.2. | Réglementation en matière de protection des données personnelles | 81 |
| 9.3. | Réglementation en matière d'installations classées pour la protection de l'environnement et précisions sur les contributions pour la prévention et la gestion de déchets |
82 |
| Chapitre 10. Informations sur les tendances | 83 | |
| 10.1. Principales tendances ayant affecté la production, les ventes et les stocks, les coûts et les prix de vente, et tout changement significatif de la performance financière du Groupe depuis la fin du dernier exercice jusqu'à la date du document d'enregistrement |
83 | |
| 10.2. Tendances connues, incertitudes, contraintes, engagements ou événements susceptibles d'influer sensiblement les perspectives de la société pour l'exercice en cours |
89 | |
| Chapitre 11. Prévisions ou estimations du bénéfice | 89 | |
| Chapitre 12. Organes d'administration, de direction et de surveillance et Direction Générale | 90 | |
| 12.1. Membres du Directoire et membres du Conseil de Surveillance | 90 | |
| 12.2. Conflit d'intérêts au niveau des organes d'administration, de direction et de surveillance et de la Direction Générale | 92 | |
| Chapitre 13. Rémunérations et avantages | 93 | |
| 13.1. Rémunérations des membres du Directoire et des membres du Conseil de Surveillance | 93 | |
| 13.2. Sommes provisionnées ou constatées par la société ou ses filiales aux fins de versement de pensions de retraites ou d'autres avantages au profit des mandataires sociaux |
101 | |
| 13.3. État récapitulatif des opérations des dirigeants et des personnes mentionnées à l'article L.621-18-2 du Code monétaire et financier sur les titres de la société réalisées au cours de l'exercice écoulé |
101 |
| Chapitre 14. Fonctionnement des organes d'administration et de direction | 102 |
|---|---|
| 14.1. Direction de la société | 102 |
| 14.2. Informations sur les contrats liant les dirigeants et la société ou l'une de ses filiales | 102 |
| 14.3. Conseil de Surveillance – Gouvernement d'entreprise | 102 |
| 14.4. Procédures de contrôle interne et de gestion des risques | 102 |
| 14.5. Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise | 104 |
| 14.6. Rapport des commissaires aux comptes établi en application de l'article L.225-235 du Code de Commerce, sur le rapport du Conseil de Surveillance de la société Groupe LDLC |
117 |
| Chapitre 15. Salariés | 118 |
| 15.1. Nombre de salariés et répartition par société au titre des trois derniers exercices | 118 |
| 15.2. Participations et stock-options des organes d'administration et de direction | 119 |
| 15.3. Accords prévoyant une participation des salariés au capital de la société | 119 |
| 15.4. Accords d'intéressement et de participation de la société | 119 |
| Chapitre 16. Principaux actionnaires | 120 |
| 16.1. Évolution de la répartition du capital de la société au cours des trois derniers exercices | 120 |
| 16.2. Déclarations de franchissements de seuils publiées depuis le 31 mars 2020 | 121 |
| 16.3. Existence de droits de vote différents | 121 |
| 16.4. Contrôle de la société | 121 |
| 16.5. Accord connu de l'émetteur dont la mise en œuvre pourrait, à une date ultérieure, entraîner un changement de son contrôle 122 | |
| 16.6. Informations sur l'évolution et la situation boursière | 122 |
| Chapitre 17. Opérations avec des apparentés | 123 |
| 17.1. Opérations avec des apparentés conclues par la société durant les trois derniers exercices | 123 |
| 17.2. Rapport spécial des commissaires aux comptes sur les conventions et engagements réglementés au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020 |
124 |
| Chapitre 18. Informations financières concernant l'actif et le passif, la situation financière et les résultats de l'émetteur |
126 |
| 18.1. États financiers consolidés du Groupe au 31 mars 2020 | 126 |
| 18.2. Rapport d'audit des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés établis en normes françaises | |
| pour l'exercice clos le 31 mars 2020 | 178 |
| 18.3. États financiers en normes françaises de la société au 31 mars 2020 18.4. Rapport d'audit des commissaires aux comptes sur les comptes annuels pour l'exercice clos le 31 mars 2020 |
181 207 |
| 18.5. Informations financières pro forma | 210 |
| 18.6. Date des dernières informations financières | 210 |
| 18.7. Politique de distribution des dividendes | 210 |
| 18.8. Proposition d'affectation du résultat de l'exercice clos le 31 mars 2020 | 211 |
| 18.9. Dépenses non déductibles fiscalement de la société | 211 |
| 18.10.Décomposition des dettes fournisseurs et créances clients de la société par date d'échéance | 212 |
| 18.11.Tableau des résultats des 5 derniers exercices de la société | 213 |
| 18.12.Procédures judiciaires et d'arbitrage | 214 |
| Chapitre 19. Informations supplémentaires | 215 |
|---|---|
| 19.1. Capital social | 215 |
| 19.2. Acte constitutif et statuts | 218 |
| Chapitre 20. Contrats importants | 220 |
| 20.1. Contrat de crédit en date du 31 mars 2016 tel que modifié par avenants | 220 |
| 20.2. Contrat de crédit-bail immobilier en date du 30 novembre 2015 | 220 |
| 20.3. Contrat de naming avec L'ASVEL en date du 11 septembre 2018 | 220 |
| 20.4. Contrat de naming avec L'ASVEL Féminin en date du 27 août 2019 | 221 |
| 20.5. Contrat de partenariat avec l'Olympique Lyonnais en date du 8 janvier 2020 | 221 |
| Chapitre 21. Documents disponibles | 222 |
| Chapitre 22. Déclaration de performance extra‑financière | 223 |
| 22.1. Modèle d'affaires | 223 |
| 22.2. Méthodologie | 226 |
| 22.3. Respect des personnes/Capital humain | 228 |
| 22.4. Actions pour l'Environnement | 238 |
| 22.5. Impact sur notre territoire | 241 |
| 22.6. Sensibilisation et formation à l'éthique | 243 |
| 22.7. Perspectives | 245 |
| 22.8. Table de concordance avec les Objectifs de Développement Durable (ODD) | 246 |
| 22.9. Note méthodologique | 247 |
| Chapitre 23. Rapport de l'organisme tiers indépendant sur les informations sociales, environnementales et sociétales |
249 |
| Chapitre 24. Rapport spécial relatif aux attributions gratuites d'actions |
251 |
| Chapitre 25. Montant global des rémunérations versées aux 10 personnes les mieux rémunérées |
254 |
| 25.1. Attestation des rémunérations prévue à l'article L.225-114-4 du Code de Commerce | 254 |
| 25.2. Attestation des commissaires aux comptes sur les informations communiquées dans le cadre de l'article L.225-115 4° du Code de Commerce relatif au montant global des rémunérations versées aux personnes les mieux rémunérées pour l'exercice clos le 31 mars 2020 |
254 |
| Chapitre 26. Montant global des versements effectués en application des 1 et 5 de l'article 238 bis du Code Général des Impôts ainsi que de la liste des actions nominatives de parrainage, de mécénat |
256 |
| 26.1. Attestation prévue à l'article L.225-115-5° du Code de Commerce | 256 |
| 26.2. Attestation des commissaires aux comptes sur les informations communiquées dans le cadre de l'article l.225-115 5° du Code de Commerce relatif au montant global des versements effectués en application des alinéas 1 et 5 de l'article 238 bis du Code Général des Impôts |
256 |
Dans le présent document, et sauf indication contraire :
Le présent document d'enregistrement universel contient des informations relatives à l'activité du Groupe ainsi qu'au marché sur lequel celui-ci opère. Ces informations proviennent d'études réalisées soit par des sources internes soit par des sources externes (ex : publications du secteur, études spécialisées, informations publiées par des sociétés d'études de marché, rapports d'analystes). La société estime que ces informations donnent à ce jour une image fidèle de son marché de référence et de son positionnement concurrentiel sur ce marché. Toutefois, ces informations n'ont pas été vérifiées par un expert indépendant et le Groupe ne peut pas garantir qu'un tiers utilisant des méthodes différentes pour réunir, analyser ou calculer des données sur les marchés obtiendrait les mêmes résultats.
Le présent document d'enregistrement universel comporte également des informations sur les objectifs et les axes de développement du Groupe. Ces indications sont parfois identifiées par l'utilisation du futur, du conditionnel et de termes à caractère prospectif tels que « estimer », « considérer », « avoir pour objectif », « s'attendre à », « entend », « devrait », « souhaite » et « pourrait » ou toute autre variante ou terminologie similaire. L'attention du lecteur est attirée sur le fait que ces objectifs et axes de développement ne sont pas des données historiques et ne doivent pas être interprétés comme une garantie que les faits et données énoncés se produiront, que les hypothèses seront vérifiées ou que les objectifs seront atteints. Il s'agit d'objectifs qui par nature pourraient ne pas être réalisés et les informations produites dans le présent document pourraient se révéler erronées sans que le Groupe se trouve soumis de quelque manière que ce soit à une obligation de mise à jour, sous réserve de la réglementation applicable.
Les investisseurs sont également invités à prendre en considération les facteurs de risques décrits à la section 3 « Facteurs de risques » du présent document avant de prendre leur décision d'investissement. La réalisation de tout ou partie de ces risques serait susceptible d'avoir un effet négatif sur les activités, la situation, les résultats financiers ou objectifs du Groupe.
Conformément au point 18.1.1 de l'annexe 1 du Règlement délégué (UE) 2019/980 de la commission du 14 mars 2019 applicable sur renvoi du point 1.1 de l'annexe 2 dudit Règlement, le présent document comporte (directement ou par incorporation) des informations financières historiques auditées sur les trois derniers exercices.
Toutefois, nous vous rappelons qu'en raison de l'admission des instruments financiers de la société sur le système multilatéral de négociation organisé Euronext Growth et leur radiation concomitante du marché réglementé Euronext Paris, la société a choisi d'adopter le référentiel comptable français pour l'établissement de ses comptes consolidés au lieu et place du référentiel IFRS (International Financial Reporting Standards) appliqué jusqu'à la précédente clôture annuelle au 31 mars 2019.
La société a appliqué le Règlement CRC 99-02 pour la première fois lors de l'établissement de ses comptes consolidés semestriels au 30 septembre 2019.
Le changement de référentiel comptable de la société, pour l'établissement de ses comptes consolidés, emporte l'obligation corrélative de retraiter l'exercice précédent, soit l'exercice clos le 31 mars 2019, en normes françaises pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02 et permettre l'insertion d'informations comparatives entre cet exercice et l'exercice clos le 31 mars 2020 (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020).
Le tableau de passage entre les comptes consolidés établis en norme IFRS pour l'exercice clos le 31 mars 2019 et les comptes retraités en normes françaises au titre de ce même exercice figure sous la note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
En conséquence, les données financières figurant aux chapitres 5, 7 et 8 du présent document vous sont présentées de façon comparative, sur deux exercices, en normes comptables françaises.
Groupe LDLC, société anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance Siège Social : 2, rue des Érables – CS21035 – 69578 Limonest cedex
J'atteste, après avoir pris toute mesure raisonnable à cet effet, que les informations contenues dans le présent document d'enregistrement universel sont, à ma connaissance, conformes à la réalité et ne comportent pas d'omission de nature à en altérer la portée.
J'atteste, à ma connaissance, que les comptes sont établis conformément aux normes comptables applicables et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et du résultat de la société et de l'ensemble des entreprises comprises dans la consolidation, et que le rapport de gestion qu'il contient aux pages 30 à 257 présente un tableau fidèle de l'évolution des affaires, des résultats et de la situation financière de la société et de l'ensemble des entreprises comprises dans la consolidation et qu'il décrit les principaux risques et incertitudes auxquels elles sont confrontées.
Le 23 juillet 2020
Groupe LDLC
Représenté par Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie, ès-qualités de Directeur Général
Cap Office, représenté par Monsieur Rémi Charnay, 12 quai du Commerce, 69009 Lyon.
Date de renouvellement : 28 septembre 2018
Durée du mandat : 6 exercices
Date d'expiration du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale des actionnaires statuant sur les comptes de l'exercice devant se clore le 31 mars 2024.
Cap Office est membre de la Compagnie Régionale des commissaires aux comptes de Lyon.
Mazars, représenté par Monsieur Pierre Beluze et Madame Séverine Hervet, situé Immeuble Le Premium, 131 boulevard Stalingrad – 69100 Villeurbanne.
Date de nomination : 27 septembre 2019
Durée du mandat : 6 exercices
Date d'expiration du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale Ordinaire annuelle appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2025.
Mazars est membre de la Compagnie Régionale des commissaires aux comptes de Lyon.
Fabrice Goenaga, 12 quai du Commerce, 69009 Lyon.
Date de renouvellement : 28 septembre 2018
Durée du mandat : 6 exercices
Date d'expiration du mandat : lors de l'Assemblée Générale des actionnaires statuant sur les comptes de l'exercice devant se clore le 31 mars 2024.
Fabrice Goenaga est membre de la compagnie Régionale des commissaires aux comptes de Lyon.
Frédéric Maurel, Immeuble Le Premium, 131 boulevard Stalingrad – 69100 Villeurbanne.
Date de nomination : 27 septembre 2019
Durée du mandat : 6 exercices
Date d'expiration du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale Ordinaire annuelle appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2025.
Frédéric Maurel est membre de la Compagnie Régionale des commissaires aux comptes de Lyon.
Les investisseurs sont invités à prendre en considération l'ensemble des informations figurant dans le présent document d'enregistrement universel, y compris les facteurs de risques spécifiques à la société et décrits dans la présente section, avant de décider d'acquérir ou de souscrire des actions de la société.
Dans le cadre de la préparation du présent document d'enregistrement universel, la société a procédé à une revue des risques importants qui lui sont spécifiques et qui pourraient avoir un effet défavorable significatif sur son activité, sa situation financière, ses résultats ou sa capacité à réaliser ses objectifs. La société a évalué, à la date de dépôt du présent document d'enregistrement universel, l'importance des facteurs de risques en fonction de la probabilité de les voir se matérialiser et de l'ampleur estimée de leur impact négatif en tenant compte des politiques de gestion des risques en place. Toutefois, ces politiques ne peuvent fournir une garantie absolue quant à la maîtrise de ces risques.
Dans le cadre de son évaluation, la société a également pris en compte la pandémie de Covid-19 et ses impacts avérés et/ou attendus sur la situation du Groupe (cf. infra).
La société a synthétisé ces risques en 4 catégories cidessous sans hiérarchisation entre elles. Toutefois, au sein de chaque catégorie, les risques les plus importants d'après l'évaluation effectuée par la société vous sont présentés en premier lieu compte tenu de leur incidence négative sur la société et de la probabilité de leur survenance, par ordre décroissant, à la date de dépôt du document d'enregistrement universel.
| Risques significatifs et spécifiques auxquels le Groupe estime être exposé | Criticité nette | |
|---|---|---|
| Risques clients, fournisseurs et produits | Élevée | |
| Risques de marché | Modérée | |
| Risques technologiques | Modérée | |
| Risques de liquidité | Modérée | |
| Risques de garantie produits | Modérée | |
| Risques de change | Modérée | |
| Risques de taux d'intérêt | Modérée | |
| Risques liés à la propriété intellectuelle | Modérée | |
| Risques liés à la réglementation et son évolution | Modérée | |
| Risques litiges | Modérée | |
| Risques liés aux stocks et au transport | Modérée | |
Lorsque cela était possible, la société a également fourni une information quantitative sur la matérialité du facteur de risque.
Face à la crise sanitaire actuelle, le Groupe a pris les mesures nécessaires pour assurer la protection de ses collaborateurs et la continuité de son activité.
L'impact du Covid-19 est suivi attentivement par le Groupe pour mener les actions nécessaires en fonction de la situation.
À la date de dépôt du présent document, le Groupe estime que l'épidémie de Covid-19 ne devrait pas avoir d'impacts négatifs sur ses activités au global. Le confinement général de cette crise a d'ailleurs eu un impact positif sur la
consommation en ligne. Il est cependant impossible à ce jour de déterminer si cet impact sera durable.
Par précaution, le Groupe a toutefois mis en place, fin avril, 4 prêts « PGE » de 4,5 millions d'euros chacun en vue de financer les besoins éventuels de trésorerie du Groupe. Ce montant de 18 millions d'euros de prêts bénéficie à hauteur de 90% de la garantie de l'État accordée aux établissements de crédits et sociétés de financement en application de l'article 6 de la loi n°2020-289 du 23 mars 2020 de finance rectificative pour 2020.
La crise du Covid-19 incite à la prudence. Aussi dans ce contexte, le Groupe continue de suivre attentivement l'évolution de la situation et ses potentiels impacts.
Le Groupe est susceptible d'être exposé au risque d'impayés en raison notamment des caractéristiques mêmes du marché de particuliers auquel s'adresse la société, qui génère une multitude de petites créances, pouvant être difficiles à recouvrer à l'unité.
Un service de relances clients a été mis en place afin de minimiser au maximum le risque d'impayé qui est plutôt limité de par la structure de l'entreprise, environ 65% du chiffre d'affaires étant réalisés auprès des clients particuliers qui payent principalement au moment de l'expédition de la commande.
Le nombre de fraudes diminue d'un tiers, soit moins de 2 pour 1 000 en 2019 (1 000 rejets CB pour 750 000 transactions) en prenant une marge de manœuvre.
Pour toujours mieux se prémunir contre ce risque, le Groupe a également mis en place, en interne, des systèmes de contrôle avant de valider les commandes et une démarche d'amélioration continue.
Le Groupe a fréquemment recours à une société d'assurance-crédit afin de minimiser le risque sur les clients professionnels.
Toutefois, le développement de ses activités en BtoB et en franchise pourrait l'exposer à ce risque et donc avoir des conséquences sur la situation financière du Groupe. Le risque reste maîtrisé grâce à la mise en place de procédures internes permettant de le contrôler et de le limiter considérablement.
Des éléments d'information complémentaires relatifs aux risques créances clients figurent dans les notes des états financiers consolidés (note 2.4.2).
Une augmentation significative des impayés pourrait par conséquent, directement ou indirectement, avoir un impact significatif défavorable sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
Le Groupe s'approvisionne chez de nombreux fournisseurs, la plupart étant des grossistes. Il n'existe aucune dépendance significative vis-à-vis de l'un d'entre eux. Par contre, le Groupe peut délibérément choisir de privilégier un partenaire auprès de qui les conditions commerciales (prix, délais, qualité,…) sont les plus avantageuses.
Le marché auquel s'adresse le Groupe LDLC connaît certains effets de mode. Dans ce cas, si le Groupe devait connaître des difficultés d'approvisionnement, le problème serait identique chez ses concurrents. Les volumes commandés par le Groupe, renforcés par l'entrée dans le périmètre de Materiel.net, Top Achat, et sa place de leader du High-Tech en France donnent au Groupe une position significative auprès de ses fournisseurs.
Au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020, le principal fournisseur du Groupe LDLC a représenté environ 18% des approvisionnements et les 10 premiers environ 60%.
Une dégradation des relations du Groupe avec ses principaux fournisseurs, un durcissement des conditions exigées par ces derniers, ou le non-renouvellement ou la résiliation anticipée des principaux contrats de fournitures de marchandises ou de services du Groupe pourraient avoir un effet défavorable significatif sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
La conjoncture économique a peu d'impact sur la consommation des ménages en matière de matériel High-Tech qui reste l'un des secteurs les plus favorisés par les consommateurs. Il est cependant à noter que l'évolution du dollar US ou des composants comme les puces mémoires, cartes graphiques ou processeurs, dont le prix peut être amené à varier de façon significative, sont des éléments importants dans le cadre du secteur High-Tech. Ils peuvent avoir un effet de ralentissement sur le niveau d'activité du Groupe comme nous avons pu le connaître par le passé. En effet, concernant le dollar US, l'ensemble des produits (même ceux achetés en euros) sont impactés à un moment donné par cette évolution. La société gère ce risque commercial en étant capable d'ajuster très rapidement ses prix de ventes pour se réadapter à la réalité du marché, ainsi qu'en faisant varier son niveau de stock lorsque cela est nécessaire pour étaler l'évolution de la devise dans le temps.
Le Groupe a mis en place des outils d'analyse de rotation des stocks afin d'optimiser la gestion des approvisionnements et la gestion des stocks (voir note 2.4.1.2 des états financiers consolidés).
La réalisation d'un ou plusieurs de ces risques pourrait par conséquent, directement ou indirectement, avoir un impact significatif défavorable sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
Afin de garantir l'image du Groupe, les franchisés sont sélectionnés selon une grille de critères très rigoureuse, sont accompagnés à la création de leur(s) boutique(s) avec une formation au management, à la vente, au service aprèsvente, etc.
L'accompagnement et le suivi de ces différents franchisés peuvent avoir un impact sur les performances financières et opérationnelles, et sur la réputation du Groupe au cas où les pratiques des franchisés ne seraient pas conformes aux réglementations, aux standards ou aux valeurs du Groupe.
Dans ce contexte, une structure dédiée au suivi des franchisés a été mise en place. Ce dispositif permet ainsi de garantir le bon déroulement des relations contractuelles ainsi que le respect de l'ensemble des obligations des franchisés concernant notamment le service apporté et la qualité de l'image de la marque.
La société a procédé et pourrait continuer à procéder à des opérations de croissance externe, quelles qu'en soient leurs modalités juridiques, au travers notamment d'acquisitions d'activités ou de sociétés, ou de fusions, de taille variable, dont certaines pourraient être significatives à l'échelle du Groupe.
Ces opérations de croissance externe impliquent des risques et notamment les suivants : (i) les hypothèses des plans d'affaires sous-tendant les valorisations des entités cibles peuvent ne pas se vérifier, en particulier concernant les synergies et l'évaluation de la demande commerciale ; (ii) la société pourrait ne pas réussir l'intégration des sociétés acquises ou fusionnées, de leurs technologies, gammes de produits et salariés ; (iii) la société pourrait ne pas être en mesure de retenir certains salariés, clients ou fournisseurs clés des sociétés acquises ; (iv) la société pourrait être contrainte ou souhaiter mettre fin à des relations contractuelles préexistantes à des conditions financières coûteuses et/ou défavorables ; (v) la société pourrait accroître son endettement en vue de financer ces opérations de croissance externe ; (vi) la société pourrait être amenée à faire un appel à un ou plusieurs investisseurs moyennant l'émission d'actions ou de valeurs mobilières nouvelles avec suppression du droit préférentiel de souscription des actionnaires pour financer tout ou partie des besoins correspondants entraînant une dilution complémentaire pour les actionnaires et (vii) la société pourrait être contrainte de céder des activités ou de limiter la croissance de certaines activités afin d'obtenir les autorisations nécessaires à la réalisation des opérations, notamment au titre de la réglementation sur la concurrence.
La réalisation d'un ou plusieurs de ces risques pourrait par conséquent, directement ou indirectement, avoir un impact significatif défavorable sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
Le positionnement très spécifique du Groupe LDLC en tant que distributeur spécialisé lui permet de minimiser fortement le risque de concurrence de la part d'acteurs généralistes qui n'offrent pas la même expertise, ni la même profondeur de son catalogue de produits. Ces dernières années, un mouvement de concentration et disparation de certains acteurs de la vente en ligne de matériel informatique ou électronique a eu lieu notamment par le rachat de certaines marques par des acteurs de la distribution traditionnelle. Le Groupe LDLC a réagi et participé à cette concentration en rachetant en mars 2016 la totalité du capital social de Domisys (marque Materiel.net), son principal compétiteur. Le rachat de la société OLYS en janvier 2018 est là encore venu renforcer le positionnement de spécialiste du Groupe LDLC notamment sur l'environnement Apple dans le monde professionnel. Récemment, l'acquisition du fonds de commerce Top Achat, le 10 avril 2020, va permettre au Groupe LDLC de rajouter une marque historique du High-Tech à son catalogue pour continuer son développement.
Toutefois, l'augmentation de l'intensité concurrentielle pourrait avoir des effets défavorables significatifs sur l'image, les activités, les résultats, la situation financière, les parts de marché et les perspectives du Groupe.
Les sites du Groupe sont administrés par la société, dans des Datacenter spécialisés, qui en assure la maintenance et la sécurité, avec la mise en place de systèmes de protection contre les attaques informatiques (anti-virus, firewall), de sauvegardes permettant la récupération de données informatiques, de systèmes informatiques redondants afin de faire face à une défaillance matérielle et de systèmes de paiements sécurisés proposés par nos prestataires partenaires.
Une fragilité ou une défaillance de ces systèmes pourrait perturber la conduite des opérations avec des impacts potentiellement importants sur les performances commerciales et financières notamment au niveau des sites Internet, des systèmes de commandes et d'encaissement et plus particulièrement lors des pics d'activité comme en fin d'année.
La réalisation d'un ou plusieurs de ces risques pourrait par conséquent, directement ou indirectement, avoir un impact significatif défavorable sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
Le risque de liquidité du Groupe est étroitement et régulièrement apprécié par le Groupe à l'aide de reportings financiers périodiques.
L'exposition au risque de liquidité est détaillée dans les notes 2.4.4, 3.9, 3.10 et 3.13 des états financiers consolidés. Par ailleurs nous vous invitons à vous référer à la section 8.1 et plus particulièrement au tableau relatif aux échéances de la dette financière du Groupe au 31 mars 2020.
Nous vous invitons également à prendre connaissance des ratios bancaires à respecter par le Groupe figurant à la section 8.4.
Les nantissements mis en place dans le cadre des financements octroyés sont détaillés dans la note 5.2.1 de l'annexe aux états financiers consolidés.
Dans le cadre du financement de sa croissance externe et de son activité, la société a mis en place le 31 mars 2016 un contrat de crédit avec un pool bancaire regroupant cinq banques (nous vous invitons à vous reporter au chapitre 20 du présent document d'enregistrement universel).
Le contrat de crédit comporte des clauses usuelles pour ces types de financement, à savoir des engagements financiers, des engagements restrictifs généraux et des cas d'exigibilité anticipée.
Le contrat de crédit est également assorti de ratios bancaires (ratios, limites d'investissements…) dont le non-respect peut entraîner, sous certaines conditions, le remboursement anticipé.
Ces ratios sont testés semestriellement.
Les ratios calculés ci-dessous portent sur une période de douze mois, du 1er avril 2019 au 31 mars 2020.
| En millions d'euros | Note | Calcul |
|---|---|---|
| Dettes financières nettes consolidées (1) | 10,28 | A |
| Fonds propres consolidés (2) | 62,46 | B |
| Ratio de DFN consolidées / FP consolidés | 0,16 | A/B |
| En millions d'euros | Note | Calcul |
|---|---|---|
| Dettes financières nettes consolidées (1) | 10,28 | A |
| EBE consolidé retraité (3) | 16,66 | B |
| Ratio de DFN consolidées / EBE consolidé retraité | 0,62 | A/B |
(1) Les dettes financières nettes consolidées correspondent à l'endettement financier (voir note 3.13 des états financiers consolidés du 31 mars 2020) diminuées de la trésorerie (voir note 3.10 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), et augmentées des engagements par signature donnés à titre de garantie pour un montant de 89 milliers d'euros.
(2) Les fonds propres consolidés correspondent au total des capitaux propres y compris les intérêts minoritaires (voir note 1.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020).
(3) L'« EBE consolidé retraité » correspond à la somme du résultat d'exploitation augmenté des dotations nettes aux amortissements et provisions incluses dans le résultat d'exploitation (voir note 2.5 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises et des escomptes obtenus auprès des fournisseurs.
Le montant des investissements est inférieur à la limite fixée à 7 millions d'euros pour l'exercice clos le 31 mars 2020.
Les ratios bancaires sont respectés au 31 mars 2020 et sont soumis à une attestation des commissaires aux comptes (cf. chapitre 8.4.1).
Pour votre parfaite information, vous trouverez ci-dessous une synthèse de la situation d'endettement et de la situation de trésorerie disponible du Groupe au 31 mars 2019 et au 31 mars 2020 :
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité* |
|---|---|---|
| Dettes financières brutes | 28 435 | 78 797 |
| Disponibilités et valeurs mobilières de placement | 19 859 | 18 531 |
| Trésorerie nette | (8 576) | (60 266) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Les engagements du Groupe au titre du contrat de crédit réduisent la flexibilité du Groupe dans la conduite de ses activités, mais sans que cette liste soit exhaustive, quant à la réalisation de certaines opérations d'investissements, la modification de la structure financière du Groupe y compris son endettement.
Le Groupe pourrait ne pas être en mesure de respecter certaines de ses obligations au titre du contrat de crédit et en particulier les clauses restrictives, notamment en raison de circonstances affectant les marchés ou les activités du Groupe. Un manquement à l'une de ces clauses, notamment celles de covenants, pourrait constituer un cas de défaut au titre du contrat de crédit, au titre duquel l'agent du contrat de crédit pourrait, et devrait à la demande des prêteurs, (i) annuler avec effet immédiat les engagements de chaque prêteur, (ii) prononcer l'exigibilité anticipée de l'ensemble des sommes dues au titre du contrat de crédit (incluant les intérêts courus sur celles-ci et tous les autres montants dus en vertu du contrat de crédit).
En cas d'exigibilité anticipée des sommes dues au titre du contrat de crédit, le Groupe pourrait faire face à une insuffisance de trésorerie. Cette situation pourrait avoir un impact négatif significatif sur l'image, l'activité, les résultats, les perspectives, la situation financière et le patrimoine du Groupe.
Dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire Covid-19, le Groupe a souscrit, par précaution, fin avril, 4 prêts « PGE » de 4,5 millions d'euros chacun en vue de financer les besoins éventuels de trésorerie du Groupe. Ce montant de 18 millions d'euros de prêts bénéficie à hauteur de 90% de la garantie de l'État accordée aux établissements de crédits et sociétés de financement en application de l'article 6 de la loi n°2020-289 du 23 mars 2020 de finance rectificative pour 2020.
Pour votre parfaite information, vous trouverez ci-dessous une synthèse des emprunts par échéance de remboursement au 31 mars 2020 :
| Montants en milliers d'euros | Capital restant dû |
Capital à -1 an |
Capital de 1 an à 5 ans |
Capital de + 5 ans |
|---|---|---|---|---|
| Emprunts | 27 527 | 7 728 | 19 343 | 455 |
| Contrats de location-financement | 71 | 30 | 40 | 0 |
| Total | 27 597 | 7 758 | 19 384 | 455 |
La société a procédé à une revue spécifique de son risque de liquidité et considère être en mesure de faire face à ses échéances à venir durant les douze mois suivant la date de dépôt du présent document en ce inclus le respect des ratios bancaires devant être testés semestriellement sur cette même période. La revue spécifique du risque de liquidité tient compte de l'obtention par la société des prêts « PGE » ; étant toutefois précisé que la société considère être en mesure de faire face à ses échéances à venir durant les douze mois suivant la date de dépôt du présent document sans avoir besoin de mobiliser les prêts « PGE ».
L'ensemble des termes et conditions des lignes de financement du Groupe est détaillé dans la note 3.13 des états financiers consolidés.
Depuis mars 2017, la société Groupe LDLC a conclu avec l'ensemble de ses filiales une convention de gestion de trésorerie centralisée pour une durée d'un an, reconductible tacitement par nouvelles périodes d'un an. Les nouvelles filiales de la société Groupe LDLC sont intégrées au fur et à mesure à cette même convention. Cette convention a pour objet la centralisation de la gestion de la trésorerie du Groupe de façon à favoriser la coordination et l'optimisation de l'utilisation des excédents de trésorerie ou de la couverture des besoins de trésorerie appréciés globalement au niveau du Groupe.
La conformité aux réglementations des produits du Groupe est un élément important pour lequel une prise en compte insuffisante pourrait avoir des impacts potentiellement négatifs sur la réputation, les activités et la performance financière du Groupe ainsi que des conséquences judiciaires.
Le Groupe réalise la grande majorité de ses ventes dans la devise de l'euro. En revanche, le Groupe s'approvisionne en dollar américain pour une partie significative de ses achats de marchandises. Les principales sources de risque de change transactionnel du Groupe sont donc liées aux achats de marchandises réalisés en dollar américain.
Les variations des devises représentent un enjeu de compétitivité à gérer au mieux. La politique de gestion du risque de change du Groupe consiste à réduire le risque de change en sécurisant les politiques de prix et les marges brutes. La volatilité des parités conduit le Groupe à adapter en permanence sa politique tarifaire, et donc à ajuster ses prix de ventes. Le Groupe peut avoir recours également à des contrats de change à terme pour couvrir une partie de ses achats en dollar.
Les détails relatifs aux risques de change sont traités dans les notes des états financiers consolidés (note 2.4.1.1).
Pour les besoins de son développement et de sa politique d'investissements, le Groupe a recours à différentes formes de financement (emprunts bancaires, crédit renouvelable…).
La part de l'endettement financier à taux variable représente 43% de la dette totale dont 100% est couvert par des instruments financiers (contrats swap).
Le Groupe a réalisé une analyse de sensibilité afin de mesurer l'impact sur le résultat d'une variation de taux sur les emprunts. Une variation de 0,50 point de base des taux d'intérêts aurait un impact sur le résultat consolidé avant impôt du Groupe au 31 mars 2020 de 152 milliers d'euros.
Les détails relatifs aux risques de taux sont traités dans les notes aux états financiers consolidés (notes 2.4.3, 3.13 et 3.15).
Le Groupe LDLC est propriétaire de différentes marques déposées en France ou dans les pays où le Groupe les exploite ou est susceptible de les exploiter. La disponibilité des marques et des noms de domaine associés fait l'objet de recherches d'antériorité qui ne peuvent, compte tenu de particularités, totalement exclure les risques de contestations par des tiers, détenteurs de droits sur des signes similaires.
Il est procédé régulièrement à la vérification de la régularité et du suivi des droits de propriété intellectuelle du Groupe et des actifs nécessaires à l'exploitation des activités du Groupe. Ces vérifications permettent aussi de se protéger du risque de non-respect de la propriété intellectuelle par des tiers.
L'ensemble des logiciels dont la société est propriétaire constitue un actif-clé du Groupe. Leurs qualités de développement et leur parfaite adéquation à l'activité sont déterminantes dans la capacité du Groupe à absorber régulièrement des volumétries croissantes.
Cependant, le Groupe ne peut être certain que les démarches entreprises pour protéger ses droits de propriété intellectuelle et industrielle seront efficaces ou que des tiers ne pourront pas contrefaire, détourner ou faire annuler ses droits de propriété intellectuelle ou industrielle.
La réalisation d'un ou plusieurs de ces risques pourrait par conséquent, directement ou indirectement, avoir un impact significatif défavorable sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
Dans le cadre de son activité transversale le Groupe est soumis à de nombreuses réglementations, notamment, loi numérique, urbanisme, établissement recevant du public, réglementation logistique, consommation et protection des données. Il convient de suivre régulièrement ces dernières afin de s'assurer d'être en conformité.
L'ouverture et l'agrandissement des boutiques peuvent être soumis à des procédures d'autorisations administratives du fait de l'évolution de ces dernières.
Le Groupe est également soumis à l'évolution régulière de la réglementation relative à la vente à distance en tenant compte des nouveaux usages (délai de rétractation, médiation, paiement à distance), ainsi qu'à la loi « Informatique et Libertés » concernant la protection des données personnelles de ses clients et notamment la mise en place de la réglementation GDPR.
Le respect de ces dispositifs pourrait avoir un effet négatif significatif sur l'activité (notamment baisse des prix, réduction des marges, perte de parts de marché), la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
De plus, des sanctions financières et/ou la publication de ces sanctions pourraient être prononcées contre le Groupe si la mise en conformité du Groupe n'était pas jugé suffisamment robuste ce qui pourrait par conséquent, directement ou indirectement, avoir un impact significatif défavorable sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
Le Groupe peut régulièrement faire l'objet de litiges et de plaintes ou être impliqué dans un litige, une procédure d'arbitrage ou tout autre contentieux de même nature.
En cas de réclamations formulées à l'encontre du Groupe émanant d'un ou plusieurs de ses cocontractants, ou de toute autre partie intéressée, de telles réclamations, quel que soit leur fondement, peuvent nuire à l'activité du Groupe, à ses résultats d'exploitation et à ses perspectives.
Les litiges sont gérés par différents services du Groupe, en collaboration avec des cabinets d'avocats.
À la connaissance du Groupe, il n'existe pas de procédure gouvernementale, judiciaire ou d'arbitrage actuellement en cours, à laquelle le Groupe serait partie, qui soit susceptible d'avoir ou qui ait eu, au cours des 12 derniers mois, des effets significatifs sur la situation financière du Groupe.
Les trois risques relatifs aux stocks sont : la destruction par incendie, la rupture sur certains produits et enfin la démarque inconnue (vol ou casse).
Le risque d'incendie est le risque majeur auquel est confronté le Groupe car la destruction des stocks signifierait l'arrêt des expéditions. Outre la souscription de polices d'assurances multi-risques professionnelles, le Groupe a adopté une politique active de prévention des risques liés aux stocks et à la démarque inconnue, avec la mise en place de mesures et d'outils adéquats : surveillance par vidéo, alarmes, détecteurs, extincteurs, contre le risque majeur d'incendie, le risque de vol et de casse.
De plus, depuis la reprise de Materiel.net, ce risque a été minimisé puisque si l'un des deux centres logistiques du Groupe venait à être défaillant, le deuxième site pourrait être utilisé afin de prendre le relais pour l'ensemble des expéditions.
Concernant le cas de rupture de stocks, le Groupe afin de s'en prémunir a mis en place un logiciel spécifique très performant qui permet d'optimiser la gestion des stocks et d'éviter, au maximum, les ruptures. Les seuls cas de ruptures de stocks auxquels a été confronté le Groupe venaient de l'indisponibilité des composants chez le fournisseur.
En termes de transport, le Groupe a diversifié ses prestataires et utilise à la fois les services de La Poste mais également ceux de compagnies de transport privées, atténuant ainsi les risques liés à des grèves. Le véritable risque viendrait de conditions météorologiques extrêmes (neige, pluies) qui ne permettraient pas d'acheminer les livraisons. Cependant avec désormais deux sites logistiques principaux, l'un à côté de Lyon et l'autre à Nantes, le Groupe a la capacité de faire face à ce risque.
La réalisation d'un ou plusieurs de ces risques pourrait par conséquent, directement ou indirectement, avoir un impact significatif défavorable sur l'activité, la situation financière, les résultats, le développement et les perspectives du Groupe.
La politique d'assurance du Groupe LDLC est notamment basée sur l'identification des risques assurables à travers une revue régulière des risques existants et émergents, en étroite collaboration avec les opérationnels et la Direction du Groupe, et accompagnée par des courtiers.
Cette politique vise à maintenir ou améliorer la protection du patrimoine, de la clientèle et des collaborateurs du Groupe, tout en maîtrisant les coûts.
La société centralise sa politique d'assurance pour garantir une cohérence, une mutualisation des couvertures d'assurance et bénéficier des économies d'échelle, lorsque la réglementation et les contraintes opérationnelles le permettent. Toute nouvelle société créée en cours d'année est immédiatement couverte dans le cadre du programme d'assurance Groupe aux mêmes termes et conditions. Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, les entités du groupe OLYS ont été intégrées aux polices du Groupe LDLC, à l'exception de la police concernant l'environnement qui devra être intégrée sur l'exercice clos au 31 mars 2021.
L'ensemble des polices d'assurances a été conclu avec des compagnies d'assurance ayant la capacité d'en assumer les garanties. En général, les polices d'assurances sont révisées en moyenne tous les 3 ans.
Groupe LDLC a diverses activités qu'il a assurées en garantissant la responsabilité d'exploitation à hauteur de 10 000 000 d'euros par sinistre et la responsabilité professionnelle à hauteur de 3 000 000 d'euros par année d'assurance.
Groupe LDLC assure tous ses locaux avec une garantie dommages aux biens et la perte d'exploitation consécutive, pour les risques usuels tels que l'incendie, inondation, vol, etc. avec une limitation contractuelle à hauteur de 130 000 000 d'euros par sinistre.
Groupe LDLC assure également, à hauteur de 5 000 000 d'euros par sinistre et par an, ses risques environnementaux que ce soit en responsabilité civile « atteintes à l'environnement », responsabilité environnementale, frais de dépollution du site et frais de prévention de dommages garantis.
Groupe LDLC a souscrit une police d'assurance responsabilité des dirigeants à hauteur de 5 000 000 d'euros par année d'assurance. Elle garantit la responsabilité civile, les frais de défense ainsi que d'autres extensions de garantie.
Groupe LDLC a souscrit à une garantie d'un capital décès et de perte totale et irréversible d'autonomie pour Messieurs Laurent de la Clergerie et Olivier de la Clergerie.
La police d'assurance transport du Groupe LDLC couvre les dommages aux marchandises transportées quel que soit le mode de transport, maritime, fer, air ou routier. Ce contrat garantit les risques de transport jusqu'à 600 000 euros par évènement.
La société a pour dénomination sociale : Groupe LDLC
La société est titulaire des noms commerciaux suivants : FRE – Multi Expéditions – SOLAARI – Hardware.fr – Top Achat – Materiel.net
La société est immatriculée auprès du Registre du Commerce et des Sociétés de Lyon sous le numéro unique d'identification 403 554 181.
Le Code LEI de la société est : 969500DJ67NWWO3OJ977
La société a été immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Lyon le 25 janvier 1996 pour une durée de 99 ans arrivant à expiration le 25 janvier 2095, sauf dissolution anticipée ou prorogation.
Le siège social de la société est situé : 2, rue des Érables – CS21035 – 69578 Limonest cedex
Numéro de téléphone : 04 72 52 37 77
La société est une société anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance régie par le droit français.
Site Internet : www.groupe-ldlc.com
Nous attirons l'attention du lecteur sur le fait que, sauf s'il en est disposé autrement au sein du présent document d'enregistrement universel, les informations figurant sur ce site web ne font pas partie du présent document.
Lors de sa création en 1996, le Groupe LDLC s'est affirmé comme l'un des pionniers du e-commerce en France. Plusieurs fois récompensé pour la qualité de sa relation clients, reconnu pour l'efficacité de sa plateforme logistique intégrée, le Groupe LDLC s'est imposé comme le leader du e-commerce sur le marché de l'informatique et du High-Tech en s'employant à répondre aux besoins croissants, des particuliers comme des professionnels, en matériel de dernière technologie.
Le Groupe LDLC exerce ses activités au travers de 15 enseignes et dispose de 7 sites marchands, couvrant très majoritairement le marché de l'informatique et du High-Tech et aussi de manière plus connexe l'univers de la puériculture. Depuis 2013, le Groupe a lancé le développement d'un réseau de magasins sur son marché principal (en nom propre ou en franchise) ; à la date du 31 mars 2020, le Groupe LDLC avait ouvert 51 magasins à la marque LDLC.com en France.
Sur l'exercice 2019/2020, l'effectif moyen du Groupe s'élevait à près de 1 000 collaborateurs.
L'offre du Groupe LDLC peut être classée en trois catégories, les activités dédiées aux particuliers (BtoC), les activités dédiées aux professionnels (BtoB) et les activités annexes.
Le Groupe LDLC exerce son activité principalement en France, mais aussi dans les zones francophones proches comme la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Depuis septembre 2018, le Groupe était également présent en Espagne avec un site marchand et 2 boutiques, à Madrid et Barcelone, dont le Groupe a annoncé la fermeture en février 2020.
LDLC.com est le leader du High-Tech online (estimation management). Il propose un catalogue de plus de 30 000 références parmi plus de 900 marques actives en informatique, dont la marque LDLC pour certains produits, dans les univers de l'informatique, l'audio, la téléphonie, l'image… Le site LDLC.com enregistre en moyenne 11 millions de visiteurs uniques par an et 193 millions de pages vues annuellement.
Materiel.net a été créé en 1999 et a rejoint le Groupe LDLC en 2016. Il est également un spécialiste de la distribution online de produits High-Tech. Tout comme LDLC.com, Materiel.net bénéficie d'une forte notoriété et propose aujourd'hui un catalogue de plus de 14 000 références. Le site enregistre en moyenne 7 millions de visiteurs uniques par an.
Top Achat a été créé en 1999. Passé dans le giron de Rue du Commerce (groupe Carrefour) en 2009, le fonds de commerce de Top Achat a été acquis par Groupe LDLC en avril 2020. Le site est l'un des pionniers de la distribution en ligne de produits informatiques et électroniques grand public en France et jouit d'une forte notoriété auprès d'un public de passionnés soucieux de leur budget. Le site enregistre en moyenne 9,8 millions de visiteurs uniques par an.
L'Armoire de Bébé est un e-shop lancé en 2015 spécialisé dans la puériculture. Cette nouvelle boutique en ligne propose tout l'univers de bébé à portée de clic avec plus de 8 600 références et 250 marques soigneusement sélectionnées. L'Armoire de Bébé dispose aujourd'hui d'une première boutique physique en périphérie de Lyon, inaugurée en avril 2018.
Shop.Hardware.fr propose des ordinateurs fixes et portables, des composants (processeurs, mémoire, etc.), des périphériques (écrans, imprimantes...) ainsi que de quoi mettre en place son réseau domestique (modems, CPL...). Ce site d'achats en ligne s'appuie sur la notoriété de Hardware.fr, média francophone dédié au matériel PC qui propose un espace d'échanges pour guider les lecteurs dans leur choix de matériel informatique. Shop.Hardware.fr, le forum et Hardware.fr comptabilisent environ 150 millions de pages vues par an.
Le pôle BtoC représente environ 60 conseillers à l'écoute de leurs clients et environ 600 millions de pages vues par an.
La position de spécialiste du Groupe LDLC lui a permis également, à la différence de nombre de ses compétiteurs notamment généralistes, de mettre en place un site et des services dédiés aux professionnels.
De l'équipement informatique le plus simple jusqu'au plus spécifique, le site www.ldlc.pro est devenu rapidement un partenaire proche des entreprises, des administrations, de l'enseignement, des collectivités et des revendeurs. Conscient des impératifs techniques et financiers auxquels sont confrontées les entreprises, et des opportunités à saisir pour un acteur capable de les accompagner dans leurs choix techniques, LDLC a décidé d'accélérer le développement de son offre BtoB. Une centaine d'ingénieurs commerciaux est à l'écoute des PME et ETI pour leur proposer des solutions personnalisées. LDLC.pro cumule, sur les 3 dernières années, près de 80 000 comptes actifs dont 17 000 acquis en 2019/2020.
DLP Connect est, dans le domaine des professionnels, un atout supplémentaire pour permettre aux entreprises de réaliser leurs installations et intégrations électriques et électroniques (électricité, réseau informatique, vidéosurveillance, domotique).
BIMP Apple Premium Reseller, BIMP offre des solutions informatiques pour particuliers et professionnels, sous macOS, Windows et plateformes mobiles.
Sur l'exercice 2019/2020, 329 000 comptes (BtoB et BtoC) ont été ouverts.
Évolution du panier moyen (BtoB et BtoC) sur une période de 5 ans (en euros HT)
Anikop est le leader français des solutions de traitement des titres prépayés, chèques cadeaux, chèques vacances et titres restaurant. Filiale du Groupe LDLC, Anikop garde une avance considérable sur son marché grâce à sa technologie unique de reconnaissance d'image.
LDLC Event : agence de communication spécialisée dans l'e-sport, LDLC Event fait bénéficier à ses clients d'une expérience professionnelle de 7 ans dans l'e-sport et de toute la maîtrise, la réactivité, la polyvalence acquises : gestion de marques, management d'équipes pro gamer ou actions ciblées sur différentes communautés.
LDLC VR Studio est un studio de conception de jeux vidéo en réalité virtuelle créé en 2020. Il s'adresse aux propriétaires d'espaces de réalité virtuelle et a pour ambition de proposer des expériences immersives à la frontière du rêve et de la réalité. Le premier opus du studio s'intitule « Catch The Dragon ».
Jouant la carte du cross-canal via un réseau de franchises et de magasins en propre, LDLC.com propose à ses clients de retrouver dans ses boutiques près de 2 000 références en PC, smartphones, tablettes et autres accessoires de gaming, sur l'ensemble des produits figurant sur son catalogue web.
Les magasins LDLC ont pour vocation d'être les vitrines technologiques de la marque. Ils proposent une offre au meilleur rapport bénéfice client/prix, à travers des produits et services conçus pour l'informatique et le High-Tech.
Outre la qualité des références proposées, les boutiques LDLC.com sont reconnues pour le niveau de service qu'elles offrent : conseils adaptés, diagnostics, réparations de tous types de matériel informatique, montage rapide et personnalisation des ordinateurs…
Les franchisés effectuent leurs achats auprès de la centrale LDLC puis versent une redevance à hauteur de 4% de leurs revenus (3% pour l'exploitation de la marque et 1% pour la communication) ainsi que 37 350 euros de droits d'entrée (incluant l'accompagnement initial).
Soucieux de maintenir une grande qualité de services, LDLC a mis en place, pour les franchisés, une formation de 25 jours chez LDLC assurée par une équipe interne dédiée. Le franchisé est ensuite accompagné tout au long de son développement. L'objectif est de générer, selon la taille du magasin, un chiffre d'affaires compris entre 1,5 et 2,5 millions d'euros HT.
Les franchisés LDLC.com sont sélectionnés entre autres sur la base de 5 critères :
Avant l'ouverture de la boutique, et afin d'accompagner les franchisés dans l'évaluation du projet, LDLC.com met à la disposition des franchisés :
Le Groupe LDLC accompagne le franchisé tout au long du contrat signé pour une durée de 9 ans : l'accompagnement au quotidien repose sur les compétences d'une équipe pluridisciplinaire spécialement dédiée (animateurs, marketing, merchandising, supply chain…), complété par une démarche collaborative qui permet de conduire avec succès les projets de franchise LDLC.com. Cet accompagnement inclut notamment la visite d'un animateur de réseau, une assistance téléphonique, des animations régulières, des actions de communication pour développer la notoriété de l'enseigne, ainsi que la création de supports marketing.
Au 31 mars 2020, le Groupe comptait 51 magasins, dont 40 en franchises, à l'enseigne LDLC.com, répartis sur l'ensemble de l'hexagone, auxquels s'ajoutent 9 concepts stores Materiel.net et 16 boutiques du groupe OLYS, dont 11 Apple Premium Reseller.
Contribution des différentes activités au chiffre d'affaires sur 3 ans en millions d'euros
| 2019/2020 | 2018/2019 | 2017/2018 | |
|---|---|---|---|
| BtoC | 323,5 | 336,0 | 340,1 |
| dont boutiques LDLC | 66,7 | 59,9 | 53,0 |
| BtoB | 162,3 | 162,2 | 120,7 |
| Autres | 7,5 | 9,3 | 11,3 |
| Total CA | 493,3 | 507,5 | 472,1 |
Dès son origine, LDLC.com a su créer une communauté de clients passionnés d'informatique en se positionnant en véritable spécialiste du High-Tech et en ouvrant dès 2007 une hotline, faisant une nouvelle fois preuve d'esprit pionnier, pour apporter du conseil et un véritable service clients.
Pilier stratégique du Groupe, le service relation clients du Groupe LDLC est à la fois reconnu pour son expertise technologique et sa capacité à répondre rapidement aux problématiques des clients. Le service relation clients, composé d'environ 60 conseillers, est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 18h et le samedi de 10h à 13h et de 14h à 17h. Il s'engage à répondre en moins de 4 heures aux demandes émises via les réseaux sociaux ou par mail.
L'une des particularités du service relation clients est d'avoir des temps d'échange et de conseil assez longs afin d'affiner le besoin du client ou de répondre à ses questionnements. Le temps de conversation moyen entre le support et le client dépasse ainsi bien souvent plus de 6 minutes. La qualité de ce service a été plusieurs fois récompensée.
LDLC.com a ainsi été élu « Service Client de l'Année » pour la 6ème année consécutive en 2020 dans la catégorie Distribution de produits techniques, avec cette année la note exceptionnelle de 19,07/20, un record au sein du concours (Étude Inference Operations – Viséo CI – mai à juillet 2019 – Au total 225 tests, par téléphone, mail, Internet ou via les réseaux sociaux, ont été réalisés par des clients mystères afin d'évaluer la réactivité, le conseil et l'écoute dont font preuve les conseillers. Plus d'infos sur escda.fr).
Réputé pour la profondeur de son catalogue, LDLC.com est aussi reconnu pour la qualité du matériel de sa marque LDLC. Afin d'offrir des produits au rapport qualité/prix imbattable, LDLC.com a créé en 2012 sa propre marque de produits High-Tech : PC portables, tablettes, composants et accessoires informatiques…
Autre atout fort, LDLC.com dispose de son propre service montage sur-mesure offrant ainsi la possibilité de proposer des configurations spécifiques et de monter une machine personnalisée avec les composants sélectionnés par le client. Ce service très prisé, notamment utilisé par les gamers, est véritablement différenciant et contribue à la réputation de pure player du Groupe.
Cette reconnaissance de spécialiste se retrouve dans les réseaux sociaux. Aujourd'hui le Groupe compte une communauté de fans très importante avec, au 30 avril 2020, 3 500 000 fans sur les réseaux sociaux (Facebook, twitter, Instagram, etc.).
Fort d'une longue expérience de la vente en boutique avec un premier magasin créé à Lyon en 1998, puis un deuxième à Paris en 2006, le Groupe LDLC a fait le choix de capitaliser sur cette expérience et de se rapprocher de ses clients afin de toujours mieux les écouter et les servir. Le développement d'un réseau de magasins en franchises a été retenu afin de démultiplier le champ d'actions du Groupe sans recours à des investissements massifs. De plus, la franchise répond parfaitement à l'esprit d'entreprendre qui anime le Groupe.
L'une des premières étapes a été de définir un concept en cohérence avec les fondements du succès du Groupe. Vitrine technologique, le magasin LDLC.com est différent des standards connus avec une surface comprise entre 100 et 300 m2 . Le magasin est articulé autour d'une zone de conseil et de démonstration. Les clients ont accès à plus de 2 000 références sur les 25 500 que compte le catalogue LDLC.com consultable au sein même des boutiques via des bornes numériques. Pour chaque univers produits, un espace est dédié aux offres et promotions du moment.
Une cellule SAV et montages spécifiques complète le dispositif et apporte un service personnalisé et sur-mesure. Lieux de proximité et de conseil avant tout, ces boutiques viennent en complément du site LDLC.com qui reste l'hyperstore avec une interaction profitant à chacun des deux canaux.
Le design intérieur des boutiques a été conçu par une agence spécialisée pour être convivial et moderne. Le recrutement des franchisés est assuré par une équipe dédiée.
Le Groupe LDLC s'illustre également par la qualité de sa logistique. Le Groupe dispose aujourd'hui de trois centres à Saint-Quentin-Fallavier (38), à Nantes (44) et à Gennevilliers (92). Ces trois centres, qui représentent 42 000 m2 d'entrepôts, sont entièrement gérés par les équipes du Groupe et traitent jusqu'à 16 000 colis par jour.
Afin de maîtriser l'ensemble de sa chaîne de valeur et ainsi garantir un service de qualité à ses clients, le Groupe LDLC a fait le choix stratégique, en 2005, d'intégrer sa plateforme logistique et de développer son propre système d'information.
Le site de Saint-Quentin-Fallavier en Isère comprend des entrepôts logistiques d'une surface totale de 21 000 m2 . Ils incluent une cellule de réception et de stockage pouvant accueillir 5 000 palettes soit 1,2 million de produits, une chaîne automatisée de préparation de commandes capable de traiter jusqu'à 16 000 colis par jour, un espace expédition relié à 7 transporteurs choisis en fonction de la typologie des clients, un service de montage regroupant une vingtaine de techniciens à même de réaliser des configurations techniques pointues et sur-mesure des matériels, un service SAV doté d'une quinzaine de techniciens afin de libérer les clients des contraintes liées aux défaillances des équipements. Au total, ce sont plus d'une centaine de collaborateurs qui travaillent chaque jour sur ce site pour que chaque client du Groupe reçoive, en temps et en heure, son colis et bénéficie d'un service de très haute qualité. Cette plateforme approvisionne également les succursales et les franchises du Groupe.
Le site de Nantes représente une superficie de 18 000 m2 . Le site de Gennevilliers comprend 3 000 m2 d'entrepôts, entièrement automatisés, permettant ainsi une plus grande réactivité dans la gestion des commandes en Île-de-France, pour les clients BtoB notamment.
Conscient de l'évolution rapide des besoins de ses clients et de son environnement marché, le Groupe adapte en permanence son offre technologique et propose quotidiennement des offres promotionnelles et des opérations spéciales réservées aux abonnés de ses newsletters. Positionné comme le leader français du High-Tech, le Groupe LDLC mise sur la qualité des services proposés plutôt que sur une politique de prix agressive.
C'est dans ce cadre également que LDLC.com a été l'un des premiers acteurs à investir dans l'univers du gaming et de l'e-sport. Depuis 2011, il dispose de sa propre équipe d'e-sport (ex Team LDLC) ; une équipe s'est associée en janvier à l'Olympique Lyonnais pour devenir LDLC OL.
Afin de capitaliser sur son expérience et ses savoir-faire, le Groupe a créé LDLC Event, agence de communication spécialisée dans l'e-sport.
Dans le cadre de cet esprit innovant, LDLC a été l'un des tout premiers acteurs à équiper ses boutiques d'une zone d'expérimentation à la réalité virtuelle. Le Groupe a choisi d'investir plus avant dans le domaine de la réalité virtuelle début 2020, avec la création de la marque nommée LDLC VR Studio, un studio de conception de jeux vidéo en réalité virtuelle.
L'expérience unique du Groupe lui a permis également de lancer des sites de e-commerce complémentaires à l'image de L'Armoire de Bébé qui rencontre un franc succès auprès des parents recherchant des produits tendance en puériculture, ou shop.Hardware.fr qui cible les jeunes recherchant des composants à des prix attractifs.
Enfin, le Groupe s'est doté en 2017/2018 d'une équipe de recherche et développement qui a pour objectif de concevoir et mettre sur le marché des produits innovants, à fort potentiel commercial, dans l'univers d'expertise du Groupe. Deux produits, le sabre laser SOLAARI et le clavier dynamique Nemeio sont issus de ce laboratoire d'innovation. Le sabre laser SOLAARI a déjà reçu un accueil favorable avec près de 500 exemplaires précommandés au cours de la campagne Kickstarter et est disponible depuis fin 2019. Le clavier « dynamique » à écran Nemeio a, lui, été primé lors du CES de Las Vegas en janvier 2019. Sans pouvoir pleinement mesurer à ce jour la contribution en termes d'activité, les premiers retours positifs laissent entrevoir de nouvelles sources de croissance pour le Groupe.
En 2019/2020, le Groupe a également lancé sur le marché deux nouveaux claviers : le LDLC SWL10, un clavier sans fil à usage bureautique et multimédia qui se recharge grâce à la lumière solaire ou artificielle et le clavier AZERTY+, premier clavier AZERTY respectant la norme NF Z71-300 et destiné à rendre plus efficace la saisie de certains caractères français comme par exemple les majuscules accentuées ou les guillemets à doubles chevrons.
Le Groupe LDLC est en premier lieu un pure player du High-Tech online/offline ; il distribue auprès d'une clientèle de particuliers et de professionnels des produits informatiques et multimédia (composants, ordinateurs et périphériques, image et son, téléphonie, jeux et consoles, consommables, connectiques, logiciels).
Misant sur une position de spécialiste et de qualité de services (conseil, logistique, SAV), le Groupe LDLC avait jusqu'à présent fait le choix de ne pas héberger de market place, à la différence des autres acteurs, plus généralistes, de la distribution online en France (Amazon, Fnac-Darty, Cdiscount…). Le Groupe entend développer son activité de market place, lancée en 2019, sur les années à venir pour élargir significativement le nombre de références proposées aux clients sur des catégories de produits connexes (informatique, image & son, téléphonie & auto, jeux & loisirs, objets connectés ou papeterie), sur lesquelles un sourcing propriétaire par le Groupe LDLC n'est pas justifié.
Avec un objectif de plus de 100 000 références supplémentaires à moyen terme, ce nouveau développement devrait permettre au Groupe LDLC d'enrichir son offre, d'attirer de nouveaux clients et de générer des revenus complémentaires sur les activités BtoC.
Le développement du Groupe est soutenu, depuis sa création, par l'évolution du e-commerce et du marché des produits informatiques mais également par des prises de parts de marché grâce à son positionnement de pure player.
Concernant la ventilation du montant total des revenus de Groupe LDLC par type d'activité au cours des deux derniers exercices, nous vous invitons à vous référer à la note 2.5 de l'annexe aux comptes consolidés figurant en section 18.1 du présent document d'enregistrement universel.
Avant-propos : les données reprises ci-après sont issues de l'étude annuelle 2019 ainsi que du bilan du e-commerce en France 2019 de la Fevad, Fédération e-commerce et vente à distance, qui réalise en propre ou avec différents partenaires (instituts officiels de statistiques nationaux et sectoriels, instituts de sondage et d'opinion, fédérations professionnelles,…) une veille permanente sur l'évolution économique des marchés e-commerce. Certaines données de marché figurant ci-dessous n'ayant pas été actualisées par la Fédération au 31 décembre 2019, nous avons laissé ici les données antérieures.
En 2019, le e-commerce a franchi le cap historique des 100 milliards d'euros avec un total des ventes sur Internet en France à 103,4 milliards d'euros, en hausse de +11,6% par rapport à 2018, malgré un fléchissement de la croissance observé au dernier trimestre de l'année.
Plus de 1,7 milliard de transactions ont été enregistrées en 2019 par les sites de e-commerce, ce qui correspond à une hausse annuelle de +15,7%. Cette augmentation s'accompagne d'une baisse du panier moyen, lequel passe sous la barre des 60 euros.
2019 marque, par ailleurs, la 3ème année de forte croissance des ventes aux professionnels sur Internet (+14,2%), malgré un ralentissement constaté sur le 4ème trimestre (+9,9%) (Source : iCE / Fevad).
L'offre en ligne continue de s'étoffer avec plus de 190 000 sites marchands recensés, soit une hausse de 15% sur un an. Une majorité de ces sites réalise moins de 100 transactions par mois.
Chiffre d'affaires du e-commerce en France (en milliards d'euros)
Entre 2010 et 2019, les ventes sur Internet ont enregistré un taux de croissance moyen de près de 15% par an (source Fevad iCE).
Sur le 1er trimestre 2020, la croissance a été impactée par la crise sanitaire du Covid-19, avec une très légère hausse : +1,8% par rapport au 1er trimestre 2019. Le montant dépensé atteint 25,3 milliards d'euros sur les 3 premiers mois de l'année avec un panier moyen (produits et services) en baisse de 2,3% par rapport au 1er trimestre 2019.
Pour 2020, la Fevad anticipait, en février 2020 avant la crise sanitaire, un niveau de croissance comparable à celui de 2019, soit un chiffre d'affaires 2020 de 115 milliards d'euros et près de 2 milliards de transactions.
En 2019, ce sont environ 38,8 millions de français (soit près de 9 internautes sur 10) qui ont effectué au moins un achat sur Internet (source Médiamétrie – Observatoire des Usages Internet – T1 2019) tous écrans confondus et 13,8 millions d'entre eux (contre 12,1 en 2018) ont déjà effectué un achat à partir de leur mobile, soit 33% de mobinautes (source Médiamétrie – Observatoire des Usages Internet – T1 2019).
Les ventes sur terminaux mobiles (mobiles et tablettes) poursuivent leur développement rapide. La part des ventes sur terminaux mobiles continue à progresser rapidement : 39% du chiffre d'affaires des sites du panel iCM, soit 4 points de plus sur un an. Dès 2022, la majorité des commandes sur ces sites pourrait provenir des smartphones (source bilan e-commerce 2019 Fevad).
En 10 ans les ventes de produits et de services sur Internet ont été multipliées par 4. Toutefois, les ventes de produits ne représentent aujourd'hui encore que 10% en moyenne de l'ensemble du commerce de détail, contre 90% des ventes qui se font toujours en magasin. Par ailleurs, on estime que plus de la moitié des ventes de produits sur Internet sont réalisées par des sites d'enseignes magasin (source bilan e-commerce 2019 Fevad).
Plus spécifiquement, sur le segment « Maison High-Tech », sur lequel se place le Groupe LDLC, les ventes e-commerce représentaient, en 2018, 26% de parts de marché pour un chiffre d'affaires estimé à 3,2 milliards d'euros (source : Estimation Fevad - Chiffres clés 2019).
(Source : PhoCusWright/Enjeux e-Tourisme Fevad, GfK, IFM, Ipea, Nielsen).
Produits alimentaires/CHR Matériaux & équipements/construction Équipements & fournitures/CHR Pièces & équipements auto Fournitures & éqts industriels/commerce/services Pneumatiques Fournitures & équipements médicaux Matériels informatiques Fournitures & équipements de bureaux Voyages & transports 24% 16% Alors que l'on dénombre 190 200 sites marchands actifs en France au T1 2020 (contre 82 000 en 2010), le secteur du e-commerce reste concentré, selon une estimation de la Fevad, 90% du chiffre d'affaires e-commerce passe par 5,5% des sites marchands (10 000 sites). Ainsi, 0,9% des sites marchands français réalisent plus de 10 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2018 (soit 69,5% du CA total), 4,6% des sites marchands français réalisent plus de 1 à 10 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2018 (20% du CA total), 94,5% des sites marchands français réalisent moins de 1 million d'euros de chiffre d'affaires en 2018 (10,5% du CA total) (Source : Fevad - Chiffres clés 2019).
21 Total Hors voyages d'affaires La baisse du panier moyen confirme la normalisation des achats en ligne, le montant moyen d'une transaction représentait 59 euros en 2019 en repli de 3,4% par rapport à 2018. En moyenne, un acheteur réalise 43 transactions en ligne pour un montant de plus de 2 577 euros (données 2018 : 38 transactions pour 2 577 euros) (Source Fevad Bilan e-commerce 2019).
71 48 53 35 62 18 Ventes dématérialisées Achats dématérialisés La complémentarité online/offline est de plus en plus présente à toutes les étapes de l'achat, renforcée par l'usage croissant des écrans mobiles au long du parcours d'achat. On note (source Fevad Chiffres clés 2019) que 56% des e-acheteurs équipés d'un téléphone mobile utilisent leur mobile pour faire des recherches avant l'achat d'un produit/d'un service en magasin. De plus, 80% des e-commerçants constatent un impact du site sur leurs magasins : augmentation de la fréquentation en magasin physique (79%), augmentation du CA en magasin physique (63%) et élargissement de la zone de chalandise (42%) (Source : Profil du e-commerçant spécial TPE-PME, Oxatis/Ernst&Young - janvier 2019). 28% des e-acheteurs ont profité du retrait d'une commande dans un point relais ou un magasin pour acheter d'autres produits dans ce point relais ou ce magasin (Source : Baromètre Fevad/CSA - janvier 2019).
L'Europe représente aujourd'hui 30% du chiffre d'affaires e-commerce mondial avec un chiffre d'affaires du e-commerce BtoC estimé à 547 milliards d'euros en 2018,
en hausse de 11,8% par rapport à 2017. Les 5 pays les plus actifs sont par ordre décroissant : le Royaume-Uni avec 174 milliards d'euros, l'Allemagne (non communiqué), la France 93 milliards d'euros, l'Espagne 28 milliards d'euros, l'Italie 27 milliards d'euros (Source : Ecommerce foundation).
2% Ainsi, le e-commerce européen qui compte plus de 750 000 sites marchands, selon les estimations d'Ecommerce Europe, représente annuellement 296 millions d'acheteurs en ligne soit 57% des internautes et plus de 4,2 milliards de colis. Malgré un taux d'équipement Internet équivalent à la moyenne européenne (83%), le taux d'e-acheteurs en France est de 10 points au-dessus de la moyenne européenne (67% contre 57% en Europe) (Source : Eurostat 2017).
5% 9% 13% 21% 25% 25% 30% Autre tendance forte du e-commerce BtoC, les places de marché occupent une place de plus en plus importante au sein de l'activité e-commerce. Le volume d'affaires réalisé via les places de marché représente 33% du volume d'affaires des sites qui les hébergent, en croissance de 14% par rapport à 2018 (Source : iCE / Fevad). 30,0 36,5 43,6 49,5
Le marché français de l'e-commerce BtoB (inter-entreprises) est estimé par l'Insee à 460 milliards d'euros en 2016, soit environ 18% du montant total des ventes BtoB (11% environ hors voyages d'affaires) et recèle un potentiel de croissance important dans les années à venir. Selon une étude Insee, 86 milliards d'euros de chiffre d'affaires ont été réalisés en 2015 depuis un site e-commerce et 340 milliards d'euros depuis une solution EDI. Tourisme
Sur les bases d'estimations Next Content – Crédoc réalisées pour la Fevad et la DGE, les achats e-commerce BtoB (sur 8 secteurs d'activité hors Télécoms et Pharmacie) réalisés depuis un site e-commerce ou depuis des solutions numériques pourraient représenter d'ici à 2020 24% des ventes BtoB soit une croissance de 32% en 5 ans. Maison high-tech Maison électroménager Habillement Meuble Produits grande consommation … dont drive
14%
2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
Produits culturels physiques et dématérialisés …dont produits culturels physiques neufs
Produits grande consommation
Le secteur des « matériels informatiques » qui concerne le Groupe LDLC, et plus particulièrement LDLC.pro, est le 3ème secteur le plus actif avec une part de marché de 30%. 14% 7,1% 5,7% 19% Produits culturels physiques et dématérialisés …dont produits culturels physiques neufs Maison high-tech
(Source Étude Fevad/DGE octobre 2015).
Selon l'Insee, un peu plus de 20% de l'ensemble des entreprises françaises procèdent à des achats en ligne (via un site Internet ou via EDI – système d'échanges de données informatiques). Cette pratique est plus importante dans les grandes entreprises, en raison notamment de l'utilisation de l'EDI. 2010 2015 2020 Voyages & transports 11% Total Hors voyages d'affaires
(Source : Insee, enquête TIC 2016/données 2015).
Ainsi, 53% des entreprises de moins de 50 salariés procèdent à des achats en ligne.
Le marché des produits techniques est notamment porté par i/ les cycles d'innovation à l'image de l'explosion des ventes de smartphones par exemple, ii/ le taux d'équipement des ménages, iii/ la rapidité de remplacement/renouvellement des équipements et iv/ la conjoncture économique et notamment l'évolution du revenu des ménages.
48% Selon le cabinet d'études Gartner, les ventes mondiales d'ordinateurs personnels, de tablettes et de téléphones mobiles dans le monde en 2020 devraient connaître une forte baisse à 1,87 milliard d'unités, contre 2,16 milliards en 2019 en raison de l'impact du Coronavirus.
2% 5% 9% 13% 21% Matériaux & équipements/construction Le nombre de PC achetés, tous formats confondus, passerait ainsi de 406 millions d'unités en 2019 à 368 millions en 2020. Les ventes de PC traditionnels (notebooks et PC de bureau) devraient représenter 170 millions d'exemplaires en 2020 contre 193 millions lors des douze mois précédents. Les ventes d'ordinateurs portables et de tablettes devraient diminuer plus lentement que le marché des PC, bénéficiant de la tendance du travail à domicile.
25% 25% 30% 33% 53% Fournitures & équipements médicaux Matériels informatiques Fournitures & équipements de bureaux Selon le cabinet d'études, les livraisons de téléphones mobiles devraient reculer de 14% en 2020 à 1,5 milliard d'unités vendues, conséquence d'une baisse des revenus disponibles. La durée de vie moyenne des téléphones haut de gamme devrait en effet s'étendre à 2,7 ans en 2020 contre 2,5 ans en 2018. Les téléphones 5G pourraient représenter 11% des expéditions totales de téléphones mobiles en 2020. Cependant, cela ne suffira pas à favoriser les remplacements des téléphones.
Le Groupe LDLC s'est engagé depuis plusieurs années dans une stratégie de distributeur spécialisé multi-marques et multi-canal qui vise aujourd'hui les marchés BtoC et BtoB. Le développement du Groupe LDLC est jalonné d'étapes importantes : le déploiement d'un réseau de magasins (en propre et en franchise), le renforcement de l'offre professionnelle (lancement d'un nouveau site LDLC.pro en 2015) et la conquête de parts de marché par croissance externe avec le rachat de son principal concurrent (Materiel.net) puis du groupe OLYS (premium Reseller Apple) et tout récemment du fonds de commerce Top Achat, le 10 avril 2020.
Le Groupe LDLC dispose ainsi d'une offre complète, couvrant ses différents segments de marché adressables, soutenue par une expertise métier et logistique permettant de délivrer un service client de qualité et une bonne performance économique.
Dans le BtoC online, les sites LDLC.com, Materiel.net, shop.Hardware.fr et Top Achat, étant donné leurs notoriétés, leurs positions de spécialistes et leurs positionnements différenciés et complémentaires, devraient continuer à gagner des parts de marché avec une croissance régulière du chiffre d'affaires.
Ventes dématérialisées Achats dématérialisés
2010 2015 2020
Le Groupe continue d'investir dans des moteurs d'accélération de la croissance tels que :
1/ le déploiement du réseau de magasins avec un chiffre d'affaires qui croît à un rythme soutenu au fur et à mesure de l'ouverture des nouveaux magasins en propre ou franchisés,
2/ le marché BtoB, porté par des tendances de fonds favorables (renouvellement des flottes informatiques, nouveaux produits, développement des achats e-commerce),
3/ le développement des activités complémentaires et connexes : L'Armoire de Bébé, Anikop, développement par la cellule R&D de produits innovants à fort potentiel commercial, à l'instar du clavier « dynamique » à écran Nemeio primé lors du CES de Las Vegas en janvier 2019,
4/ le déploiement progressif d'une activité de place de marché pour les produits où un sourcing propriétaire n'est pas pertinent.
Nous vous invitons à vous reporter aux sections 7.6 et 7.7 du présent document d'enregistrement universel concernant les événements importants dans le développement des activités de la société.
La stratégie du Groupe en matière extra-financière est développée en section 22 du présent document.
Les compétiteurs du Groupe LDLC sont à la fois des enseignes généralistes et notamment les enseignes de la grande distribution, des enseignes spécialisées comme Fnac-Darty, Boulanger, But, Cultura… via un réseau de points de vente et le cas échéant d'un site Internet ou encore des pure players online qui rassemblent i/des acteurs généralistes (Amazon, Cdiscount ou Rue du Commerce) et ii/des spécialistes (Grosbill ou Top Achat par exemple). L'un des avantages notables des enseignes spécialisées et encore des pure players en ligne réside dans la profondeur de gammes qu'ils proposent auxquelles ils associent des conseils et des services (livraison à domicile, SAV,…).
Depuis sa création, le Groupe LDLC poursuit une stratégie invariante qui repose sur un positionnement de spécialiste du High-Tech et ainsi garder une identité claire avec des produits et des services de qualité. Ce positionnement affirmé permet au Groupe d'appliquer une politique de prix moins agressive que certains de ses compétiteurs et notamment des acteurs comme Amazon ou Cdiscount qui mènent une politique de prix très agressive non compatible avec le développement maîtrisé recherché par le Groupe LDLC.
Dans un marché en concentration qui a enregistré ces dernières années de nombreux mouvements (M&A, disparition de certains acteurs,…), le Groupe LDLC s'affiche clairement comme un pôle de regroupement ; l'acquisition début 2016 de Materiel.net, l'un de ses principaux concurrents avec un positionnement très proche, en est l'illustration.
Principales opérations intervenues en France dans le secteur :
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | Dont acquisitions LDLC VR Studio et Avitech (variation de périmètre) |
31/03/2019 |
|---|---|---|---|
| Immobilisations incorporelles | 2 494 | 411 | 4 383 |
| dont écarts d'acquisition nets | 324 | 324 | 0 |
| dont concessions, brevets, licences | 1 407 | 50 | 2 461 |
| dont droit au bail | 70 | 0 | 50 |
| dont autres immobilisations incorporelles | 37 | 37 | 0 |
| dont immobilisations incorporelles en cours | 656 | 0 | 1 871 |
| Immobilisations corporelles | 3 401 | 1 469 | 6 781 |
| dont installations et agencements | 1 983 | 1 144 | 3 195 |
| dont matériel | 198 | 143 | 163 |
| dont matériel de transport | 7 | 0 | 97 |
| dont matériel de bureau et mobilier | 929 | 180 | 1 692 |
| dont immobilisations corporelles en cours | 283 | 0 | 1 634 |
| Total acquisitions immobilisations incorporelles et corporelles | 5 895 | 1 880 | 11 163 |
| Montant des investissements donnant lieu à commentaires détaillés ci-dessous |
4 747 | 1 880 | 9 391 |
| % des investissements commentés par rapport au montant total des acquisitions |
81% | 100% | 84% |
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, l'acquisition des sociétés LDLC VR Studio et Avitech a généré un écart d'acquisition pour respectivement 89 milliers d'euros et 236 milliers d'euros. À cela s'ajoutent divers investissements incorporels à hauteur de 87 milliers d'euros, dont 40 milliers d'euros provenant de la société LDLC VR Studio et 47 milliers d'euros de la société Avitech.
Les immobilisations corporelles liées à la variation de périmètre pour 1 469 milliers d'euros proviennent de la société LDLC VR Studio pour 1 134 milliers d'euros et 335 milliers d'euros de la société Avitech.
Les acquisitions d'immobilisations incorporelles constatées au 31 mars 2020 sont constituées principalement des développements en interne de projets informatiques pour 943 milliers d'euros, et des projets de recherche et développement pour 986 milliers d'euros, ce qui représente 78% des nouveaux investissements incorporels de l'exercice. Concernant les acquisitions relatives aux projets de recherche et développement constatées sur l'exercice, 60% sont en immobilisations en cours.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, les acquisitions correspondent essentiellement à des travaux d'aménagement :
Les principaux investissements incorporels réalisés sur l'exercice clos au 31 mars 2019 provenaient des développements en interne de projets informatiques et de recherche et développement, à hauteur respectivement de 2 934 milliers d'euros et 1 059 milliers d'euros, ce qui représentait 91% des nouveaux investissements incorporels de l'exercice.
L'exercice clos au 31 mars 2019 avait été marqué par sa première implantation physique à l'étranger avec l'ouverture de deux boutiques situées respectivement à Barcelone et Madrid (Espagne). Des investissements avaient été
réalisés pour un montant total de 1 437 milliers d'euros, dont 165 milliers d'euros d'immobilisations incorporelles correspondant essentiellement à la traduction du site en espagnol et 1 272 milliers d'euros d'actifs corporels pour l'aménagement de ces deux nouvelles boutiques. Pour rappel, suite à la décision du Groupe d'arrêter les activités boutiques en Espagne, les immobilisations de la boutique de Barcelone ont été mises au rebut au 31 mars 2020. La société Groupe LDLC España est toujours locataire de la boutique de Madrid au 31 mars 2020 ; ainsi, les investissements de la boutique de Madrid ont été dépréciés.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2019, des travaux d'aménagement avaient été réalisés dans :
Le 10 avril 2020, la société Groupe LDLC a réalisé l'acquisition du fonds de commerce de Top Achat pour un montant de 3 millions d'euros.
Sur l'exercice 2020/2021, l'ouverture de nouvelles boutiques en propre pour l'ensemble des marques du Groupe et l'entretien du parc existant sont aussi envisagés pour un montant total de l'ordre de 2,5 millions d'euros.
Sur les deux ou trois prochaines années, il est aussi prévu de poursuivre la mise en œuvre d'outils de modernisation logistique pour un montant global de l'ordre de 4 millions d'euros.
Enfin, les investissements concernant les projets internes comme la recherche et le développement ou les projets informatiques sont évalués à environ 1 million d'euros pour le prochain exercice.
Nous vous invitons à vous référer à la section 8.5 du présent document d'enregistrement universel s'agissant des modes de financement des principaux investissements visés cidessus.
Le Groupe LDLC est conscient des impacts environnementaux générés par ses activités et prend la responsabilité d'avoir une politique environnementale engagée.
Nos priorités sont la diminution des impacts sur le climat et l'optimisation de ses déchets.
La section 22 du présent document concernant la déclaration de performance extra-financière traite également des aspects environnementaux de manière plus générale.
L'organigramme ci-dessous présente la société et l'ensemble de ses filiales au sens de l'article L.233-1 du Code de Commerce au 31 mars 2020.
50
Se référer à la note 2.3 des états financiers consolidés (section 18.1 du présent document d'enregistrement) décrivant le périmètre de consolidation du Groupe.
L'ensemble des filiales de la société a son siège social en France, à l'exception de Groupe LDLC España S.L dont le siège social est situé à Madrid.
Nous vous rappelons que, s'agissant de Groupe LDLC España S.L, la société a annoncé le 6 février 2020 le désengagement de sa présence physique en Espagne avec la fermeture de ses deux boutiques LDLC.com, situées à Madrid et Barcelone.
Conformément aux articles L.233-6 alinéa 1 et L.247-1, I-1° du Code de Commerce, nous vous indiquons que la société a pris, directement, une participation à hauteur de plus :
Outre les informations ci-dessus, aucune modification significative n'est intervenue dans les participations détenues par la société au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020. Par ailleurs, la société n'a procédé à aucune prise de contrôle au sens de l'article L.233-3 du Code de Commerce et aucune cession de l'une de ses participations à un tiers au Groupe à l'exception de la cession de 20% du capital et des droits de vote de la société Bluescreen.
Depuis le 31 mars 2020, nous vous rappelons que dans un souci notamment de simplification et de rationalisation de la structure juridique du Groupe, la société OLYS d'une part et la société Mac & Co Digital d'autre part ont convenu de procéder à la fusion-absorption de Mac & Co Digital par OLYS dans le cadre du régime juridique prévu aux articles L.236-1 et suivants et R.236-1 et suivants du Code de Commerce, et plus particulièrement des dispositions de l'article L.236-11 du Code de Commerce relatif au régime juridique des fusions dites « simplifiées » dans la mesure où OLYS détient l'intégralité du capital et des droits de vote de Mac & Co Digital.
En outre, dans ce même souci de simplification et de rationalisation de la structure juridique du Groupe, il est envisagé, durant l'exercice en cours, de procéder à la fusion-absorption de la société I-Artificielle par la société OLYS et des sociétés LDLC Bordeaux, LDLC Villefranche, LDLC Cormeilles, LDLC Lille V2, LDLC Lyon 7 et Avitech par LDLC Villeurbanne dans le cadre du régime juridique prévu aux articles L.236-1 et suivants et R.236-1 et suivants du Code de Commerce, et plus particulièrement des dispositions de l'article L.236-11 du Code de Commerce relatif au régime juridique des fusions dites « simplifiées » dans la mesure où l'intégralité du capital et des droits de vote de ces sociétés serait détenue par une même société mère.
La réalisation de ces opérations a fait ou fera, selon le cas, l'objet des dépôts et publicités requis par la loi et les règlements.
Conformément à l'article L.232-1, II du Code de Commerce, il est rappelé la liste des succursales de la société existant à la date d'enregistrement du présent document :
| Adresse | Commune | Adresse | Commune |
|---|---|---|---|
| 22, rue de la Gare | Lyon 9ème (69) | Rue Olivier de Serres | Grandchamps-des-Fontaines (44) |
| 24, rue de la Gare | Lyon 9ème (69) | 724, avenue du Club Hippique | Aix-en-Provence (13) |
| 20, rue du Ruisseau | Saint-Quentin-Fallavier (38) | 18, rue Edison | Montgermont (35) |
| Boulevard de Satolas | Saint-Quentin-Fallavier (38) | 100, rue Lucien Faure | Bordeaux (33) |
| 12-14, rue de l'Église | Paris 15ème (75) | 11 C route de Brumath | Vendenheim (67) |
| 42, avenue Général de Croutte Toulouse (31) | 281, route d'Espagne | Toulouse (31) | |
| 47, route principale du Port | Gennevilliers (92) | 4, avenue du Général de Gaulle | Chelles (77) |
| 31, rue du Pont aux Pins | Montlhéry (91) | 150, allée des Frênes | Limonest (69) |
| 9, rue des Moissons | Marquette-Lez-Lille (59) | 3/14/17, rue de Bruxelles et 3, rue de la Haye Saint-Quentin-Fallavier (38) | |
| 188 B route de Rennes | Nantes (44) | ||
La trésorerie nette est constituée de la trésorerie brute et des équivalents de trésorerie, diminués de l'endettement financier brut.
La définition est donnée dans la section 7.1.1.1 du présent document d'enregistrement universel.
La définition est donnée dans la section 7.1.1.1 du présent document d'enregistrement universel.
Les indicateurs de performance extra-financière du Groupe sont développés en section 22 du présent document. (voir notamment pages 229, 231, 233, 235, 237, 239, 240, 241, 242, 243, 244 et 245).
Les informations financières publiées présentées cidessous sont issues des états financiers consolidés des exercices clos les 31 mars 2019 et 31 mars 2020, préparés conformément aux dispositions légales et règlementaires françaises prévues par les dispositions du Règlement 99-02 du Comité de la Réglementation Comptable, relatives aux comptes consolidés des sociétés commerciales et qui sont d'application obligatoire à cette date.
Les données financières présentées ci-dessous doivent être lues en parallèle avec les états financiers consolidés de l'exercice clos le 31 mars 2020 figurant à la section 18.1 du présent document d'enregistrement universel.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 493 396 | 507 494 |
| Marge brute | 95 112 | 86 074 |
| Taux de marge brute en % du chiffre d'affaires (1) | 19,3% | 17% |
| Résultat d'exploitation (2) | 6 643 | (5 543) |
| Taux de marge d'exploitation en % du chiffre d'affaires (3) | 1,3% | (1,1%) |
| Résultat courant des sociétés intégrées | 5 681 | (7 603) |
| Résultat net des sociétés intégrées | 8 308 | (4 820) |
| Résultat net de l'ensemble consolidé | 8 308 | (4 820) |
| Résultat net par action (en euros) | 1,31 | (0,76) |
| Résultat net dilué par action (en euros) | 1,31 | (0,76) |
| EBE (4) | 15 747 | 1 848 |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
(1) Le taux de marge brute en % du chiffre d'affaires correspond au rapport de la marge brute sur le chiffre d'affaires.
(2) Le résultat d'exploitation correspond au cumul des produits d'exploitation duquel sont déduites les charges d'exploitation.
(3) Le taux de marge d'exploitation en % du chiffre d'affaires correspond au rapport du résultat d'exploitation sur le chiffre d'affaires.
(4) L'EBE correspond au résultat d'exploitation augmenté des dotations nettes aux amortissements et provisions incluses dans le résultat d'exploitation (voir note 2.5 des états financiers consolidés au 31 mars 2020).
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Actif immobilisé | 69 026 | 101 820 |
| Actif circulant | 126 299 | 128 315 |
| Capitaux propres | 62 457 | 54 287 |
| Provisions | 5 097 | 4 160 |
| Total des dettes | 127 771 | 171 687 |
| Emprunts et dettes financières | 28 435 | 78 797 |
| Disponibilités et valeurs mobilières de placement | 19 859 | 18 531 |
| Trésorerie nette | (8 576) | (60 266) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
La forte variation des actifs immobilisés et des dettes financières, constatée au 31 mars 2020, s'explique essentiellement par la sortie du contrat de location-financement immobilier du siège social, ainsi que la réalisation de la vente d'ensembles immobiliers, situés respectivement sur Grandchamps-des-Fontaines et Nantes, détenus par les SCI Domimo 2 et Domimo 3.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Capacité d'autofinancement avant impôt | 11 365 | 462 |
| Variation du BFR | 7 476 | 2 564 |
| Flux nets de trésorerie générés par l'activité | 12 421 | 3 286 |
| Flux nets de trésorerie liés aux investissements | 20 172 | (11 491) |
| Flux nets de trésorerie liés aux financements | (31 172) | (5 009) |
| Trésorerie nette | (8 576) | (60 266) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
La forte variation des flux de trésorerie, constatée au 31 mars 2020, s'explique essentiellement par la cession du siège social du Groupe acquis en 2017 dans le cadre d'un contrat de location-financement par la société CAMPUS 2017, ainsi que la réalisation de la vente d'ensembles immobiliers, situés respectivement sur Grandchamps-des-Fontaines et Nantes, détenus par les SCI Domimo 2 et Domimo 3.
Les variations des flux de trésorerie sont traitées dans la section 8.2 du présent document d'enregistrement universel.
Le tableau suivant présente la ventilation du chiffre d'affaires du Groupe par zone géographique :
| Variation 03/2020 - 03/2019 | ||||
|---|---|---|---|---|
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 | En milliers d'euros | en % |
| Ventes de marchandises France métropole | 414 963 | 426 745 | (11 782) | (2,8%) |
| Ventes de marchandises Export | 53 921 | 57 762 | (3 841) | (6,6%) |
| Total ventes de marchandises | 468 884 | 484 507 | (15 622) | (3,2%) |
| Production de services France métropole | 19 726 | 18 283 | 1 443 | 7,9% |
| Production de services Export | 4 786 | 4 704 | 82 | 1,7% |
| Total production de services | 24 512 | 22 987 | 1 525 | 6,6% |
| Total chiffre d'affaires net | 493 396 | 507 494 | (14 097) | (2,8%) |
Le chiffre d'affaires du Groupe au 31 mars 2020 s'établit à 493 millions d'euros, contre 507 millions d'euros au 31 mars 2019. Le chiffre d'affaires est donc en repli de 2,8% au 31 mars 2020 par rapport à l'exercice précédent.
L'exercice 2019/2020 a été particulièrement intense pour le Groupe. Des chantiers stratégiques essentiels pour l'avenir ont été menés (voir section 10.1 du présent document).
Pour rappel, le Groupe a arrêté les activités de Maginea au 4ème trimestre 2018/2019, ce qui représentait 2,2 millions d'euros sur l'ensemble du dernier exercice.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, l'activité BtoC affiche un chiffre d'affaires de 323,5 millions d'euros contre 335,9 millions d'euros sur l'exercice clos au 31 mars 2019. Cette activité a été impactée sur le 1er semestre par des effets négatifs du repositionnement stratégique de l'offre Materiel.net. En effet, sur le premier semestre de l'exercice clos au 31 mars 2020, Materiel.net a fait l'objet d'une forte évolution de son mix produits, visant à réduire la mise en avant des produits faiblement contributifs en termes de marge brute. Cette décision stratégique a pesé facialement sur le chiffre d'affaires de cette période.
Hors Materiel.net, les activités BtoC affichent une croissance de 2,7% sur l'exercice clos au 31 mars 2020 par rapport à l'exercice précédent. Le chiffre d'affaires des boutiques LDLC sont en forte hausse de 11,2% pour atteindre 66,7 millions d'euros.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, les autres activités (hors Maginea) totalisent un chiffre d'affaires cumulé de 7,5 millions d'euros, contre 7,1 millions d'euros au 31 mars 2019. Ceci reflète les bonnes performances de L'Armoire de Bébé dans l'univers de la puériculture.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, les activités BtoB sont stables par rapport à l'exercice précédent et enregistrent un chiffre d'affaires de 162,3 millions d'euros. Ces activités qui affichaient une progression de +3,5% sur les neufs premiers mois de l'exercice, sont plus particulièrement affectées par le fonctionnement ralenti des entreprises depuis l'entrée en vigueur des mesures de confinement en France, soit le 17 mars 2020.
Pour rappel, au 31 mars 2019 le chiffre d'affaires passait le cap symbolique des 500 millions d'euros. Le groupe OLYS acquis sur l'exercice clos le 31 mars 2018 contribuait à hauteur de 65,1 millions d'euros au chiffre d'affaires de l'exercice.
Le chiffre d'affaires est principalement composé de ventes de marchandises qui représentent près de 95% du chiffre d'affaires total du Groupe sur les exercices clos au 31 mars 2020 et 31 mars 2019.
Durant la période de confinement mise en place suite à la crise sanitaire du Covid-19, des impacts variables sont constatés en fonction des différentes activités du Groupe.
Les boutiques et les activités BtoB connaissent temporairement une baisse sensible d'activité.
Les sites de vente en ligne sont quant à eux totalement opérationnels dans un contexte logistique toutefois légèrement perturbé, et bénéficient d'une demande soutenue.
Le Groupe LDLC a mis en place l'ensemble des mesures appropriées à la bonne marche des activités et accompagne ses franchises pour permettre une réouverture rapide du réseau de boutiques.
L'activité du Groupe est fortement saisonnière et marquée par une augmentation significative de la fréquentation des magasins et du trafic sur les sites Internet en fin d'année, par l'opération « Black Friday » fin novembre et en décembre par la période de Noël.
Au 31 mars 2020, le Groupe a réalisé 31% de son chiffre d'affaires consolidé annuel au cours du troisième trimestre, et a enregistré une croissance de son activité de 3,3% par rapport au troisième trimestre de l'exercice précédent.
Au 31 mars 2019, le chiffre d'affaires du troisième trimestre s'élevait à 145,8 millions d'euros et contribuait à hauteur de 29% du chiffre d'affaires de l'exercice.
Le Groupe est exposé au risque de change provenant essentiellement du dollar américain. Pour faire face à la volatilité du dollar, le Groupe a recours à des contrats de change à terme ou procède à l'ajustement de ses prix de ventes (voir note 2.4.1.1 des états financiers consolidés clos au 31 mars 2020).
Au 31 mars 2020, aucun contrat de change à terme n'est en cours.
Le tableau suivant montre l'évolution du nombre de boutiques sur la période :
| 2020 | 2019 | ||||||||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| En propre | Franchise | Total | En propre | Franchise | Total | ||||||||||||
| 9 | 40 | 49 | 8 | 32 | 40 | ||||||||||||
| 9 | 0 | 9 | 9 | 0 | 9 | ||||||||||||
| 16 | 0 | 16 | 18 | 0 | 18 | ||||||||||||
| 2 | 0 | 2 | 0 | 0 | 0 | ||||||||||||
| 1 | 0 | 1 | 1 | 0 | 1 | ||||||||||||
| 37 | 40 | 77 | 36 | 32 | 68 | ||||||||||||
| 0 | 0 | 0 | 2 | 0 | 2 | ||||||||||||
| 37 | 40 | 77 | 38 | 32 | 70 | ||||||||||||
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, le Groupe a racheté en propre une boutique faisant partie du réseau de franchises « LDLC » et a ouvert 8 boutiques en franchise.
Le Groupe avait réalisé sa première implantation à l'étranger et procédé à l'ouverture de 2 boutiques physiques « LDLC » en propre en Espagne sur l'exercice clos le 31 mars 2019. Le 6 février 2020, le Groupe a fermé ses deux boutiques basées en Espagne, situées à Madrid et à Barcelone (voir notes 3.4, 3.12 et 4.5 des états financiers consolidés).
Sur le périmètre OLYS, deux anciennes boutiques « BIMP » commercialisent et affichent sur l'exercice clos au 31 mars 2020 la double enseigne « LDLC - BIMP ».
Le Groupe LDLC avait ouvert en France une boutique « LDLC » en propre et 10 boutiques en franchise sur l'exercice clos au 31 mars 2019.
L'exercice clos au 31 mars 2019 avait également été marqué par la fermeture de 3 boutiques « BIMP » en propre et 2 ouvertures sur le périmètre OLYS.
Les résultats des boutiques détenues en propre sont consolidés dans les comptes du Groupe. Le Groupe analyse l'évolution de son chiffre d'affaires sur une période donnée en tenant compte de l'ensemble du parc des boutiques.
Concernant les boutiques exploitées en franchise, la vente de marchandises aux franchisés est comptabilisée dans le chiffre d'affaires marchandises du Groupe et la redevance sur le chiffre d'affaires généré par les franchises auprès de leurs clients est comptabilisée dans le chiffre d'affaires services du Groupe.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | (en % du chiffre d'affaires) |
31/03/2019 Retraité * |
(en % du chiffre d'affaires) |
|---|---|---|---|---|
| Total chiffre d'affaires net | 493 396 | 100% | 507 494 | 100% |
| Autres produits d'exploitation | 341 | 0,1% | 382 | 0,1% |
| Achats consommés | (398 626) | (80,8%) | (421 801) | (83,1%) |
| Marge brute | 95 112 | 19,3% | 86 074 | 17% |
| Autres achats & charges externes | (27 409) | (5,6%) | (29 845) | (5,9%) |
| Impôts et taxes | (2 841) | (0,6%) | (3 395) | (0,7%) |
| Charges de personnel | (48 091) | (9,7%) | (50 334) | (9,9%) |
| Dotations & reprises aux amortissements & provisions | (9 104) | (1,8%) | (7 390) | (1,5%) |
| Autres charges et produits | (1 024) | (0,2%) | (653) | (0,1%) |
| Résultat d'exploitation | 6 643 | 1,3% | (5 543) | (1,1%) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation du Groupe enregistre un bénéfice de 6 643 milliers d'euros et représente 1,3% du chiffre d'affaires annuel consolidé, contre un déficit de 5 543 milliers d'euros au 31 mars 2019, soit (1,1)% du chiffre d'affaires annuel consolidé.
Malgré un recul du chiffre d'affaires consolidé de 14,1 millions d'euros au 31 mars 2020 par rapport à l'exercice précédent, le résultat d'exploitation enregistre une forte progression. Avec le repositionnement stratégique des marques du Groupe, la marge brute progresse de +2,3 points pour atteindre 19,3% au 31 mars 2020. Cette croissance couplée aux efforts d'optimisation des charges liées aux synergies justifie l'amélioration significative du résultat d'exploitation.
La baisse des charges de personnel pour 2 243 milliers d'euros, constatée au 31 mars 2020, s'explique par la réduction des effectifs sur l'exercice.
La hausse des dotations aux amortissements provient essentiellement de l'activation des projets internes, et justifie une augmentation de ce poste à hauteur d'un million d'euros au 31 mars 2020.
Le résultat d'exploitation déficitaire au 31 mars 2019 provenait principalement d'une hausse significative des charges de personnel. Sur l'exercice clos au 31 mars 2019, le Groupe avait mené de nombreux projets structurants et créateurs de valeur pour le futur, avec notamment la mise en place de synergies logistiques avec Materiel.net, l'intégration du groupe OLYS acquis en janvier 2018, l'évolution de ses systèmes d'information et le développement de nouvelles plateformes des sites Materiel.net et LDLC.com. Le Groupe avait donc mis des ressources internes et externes supplémentaires importantes pour accompagner l'ensemble de ses projets.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Intérêts des emprunts | (968) | (1 653) |
| Intérêts bancaires, compte courant et commissions de financement | (258) | (181) |
| Coût de l'endettement financier | (1 226) | (1 834) |
| Dotation et reprise de provisions pour dépréciation d'éléments financiers | 248 | (286) |
| Autres produits financiers | 36 | 87 |
| Autres charges financières | (21) | (26) |
| Résultat financier | (962) | (2 060) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Le résultat financier enregistre un déficit de 962 milliers d'euros au 31 mars 2020 contre un déficit de 2 060 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Au 31 mars 2020, les intérêts d'emprunts, qui représentent 968 milliers d'euros, comprennent à hauteur de :
La provision pour dépréciation d'éléments financiers d'un montant de 248 milliers d'euros qui avait été constatée au 31 mars 2019, et relative aux actions propres acquises avec un objectif de plan d'actions gratuites, a été reprise en totalité au 31 mars 2020.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Produits exceptionnels | 45 551 | 381 |
| Charges exceptionnelles | (35 062) | (437) |
| Résultat exceptionnel | 10 489 | (56) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Au 31 mars 2020, ce poste représente un produit net de 10 489 milliers d'euros, contre une charge nette de 56 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La forte hausse des produits exceptionnels constatée au 31 mars 2020 s'explique essentiellement par :
Le poste des charges exceptionnelles au 31 mars 2020 correspond principalement :
Au 31 mars 2019, le poste « charges exceptionnelles » correspondait exclusivement à la valeur nette comptable des immobilisations cédées au cours de l'exercice clos le 31 mars 2019.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Résultat avant impôt | 16 170 | (7 658) |
| Impôts sur le résultat | (7 862) | 2 839 |
| Résultat des sociétés mises en équivalence | 0 | 0 |
| Résultat de l'exercice : | 8 308 | (4 820) |
| Aux actionnaires de la société | 8 308 | (4 820) |
| Aux intérêts minoritaires | 0 | 0 |
| Nombre moyen pondéré d'actions en circulation | 6 319 394 | 6 317 858 |
| Résultat de base par action (€/action) | 1,31 | (0,76) |
| Résultat dilué par action (€/action) | 1,31 | (0,76) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Le résultat net par action correspond au résultat net part du Groupe rapporté au nombre moyen des actions en circulation au cours de l'exercice.
Les règles de présentation et les méthodes d'évaluation comptables sont conformes à la réglementation en vigueur.
Les comptes annuels ont été établis dans les mêmes formes que les exercices précédents et en conformité avec les dispositions du plan comptable général.
Les états financiers des comptes sociaux du 31 mars 2020 figurent en section 18.3 du présent document d'enregistrement universel.
Au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020, la société Groupe LDLC a réalisé un chiffre d'affaires net de 420 654 389 euros, contre 436 471 148 euros au titre de l'exercice précédent.
Le montant des charges d'exploitation au 31 mars 2020 s'élève à 413 628 688 euros, contre 446 205 224 euros au 31 mars 2019.
Le total des produits d'exploitation s'élevant à 426 765 380 euros, le résultat d'exploitation présente un solde bénéficiaire de 13 136 692 euros contre un solde déficitaire de (938 083) euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Les charges financières de l'exercice clos le 31 mars 2020 se sont élevées à 10 820 314 euros (contre 1 655 106 euros
au titre de l'exercice précédent) et les produits financiers ont atteint la somme de 440 953 euros (contre 506 334 euros, au titre de l'exercice précédent). Le résultat financier est, par conséquent, déficitaire et ressort à (10 379 361) euros, contre un résultat déficitaire de (1 148 773) euros au titre de l'exercice précédent.
Le résultat courant avant impôts est bénéficiaire et ressort à 2 757 331 euros, contre un déficit de (2 086 855) euros pour l'exercice précédent.
Le total des produits exceptionnels s'élevant à 491 586 euros et le total des charges exceptionnelles s'élevant à 622 901 euros, le résultat exceptionnel de l'exercice ressort déficitaire à (131 315) euros, contre un résultat exceptionnel bénéficiaire de 12 883 euros au titre de l'exercice précédent.
Compte tenu de ces résultats, d'une charge d'impôt sur les sociétés d'un montant de 1 603 756 euros et d'une participation des salariés aux résultats de l'entreprise de 778 082 euros, l'exercice clos au 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 244 179 euros, contre un déficit de (1 290 746) euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
L'avenant au contrat de crédit qui intègre les acquisitions de 2016 et 2018 comporte des clauses usuelles pour ces types de financements, à savoir des engagements financiers, des engagements restrictifs généraux et des cas d'exigibilité anticipée.
Les engagements du Groupe au titre du contrat de crédit réduisent la flexibilité du Groupe dans la conduite de ses activités, mais sans que cette liste soit exhaustive, quant à la réalisation de certaines opérations d'investissements, la modification de la structure financière du Groupe y compris son endettement (voir note 3.2.1 relative aux risques de liquidité du présent document d'enregistrement universel).
Conformément aux dispositions de l'article L.233-6 al. 2 du Code de Commerce, nous vous rendons compte ci-après de l'activité et des résultats des filiales de la société et des sociétés qu'elle contrôle, par branche d'activité :
L'ensemble des données présentées ci-après est exprimé en euros
| Activité | Chiffre d'affaires |
Résultat courant avant impôts |
Résultat net après IS |
Nouveaux investissements corporels |
Effectif moyen |
Période |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Conception, réalisation et exploitation | ||||||
| de sites Internet, contenu éditorial | ||||||
| Hardware | 449 429 | 235 298 | 167 556 | 0 | 1 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 449 429 | 235 298 | 167 556 | 0 | 1 | |
| Commerce de gros de tous matériels, logiciels informatiques et tous services rattachés |
||||||
| 01/04/2019 au | ||||||
| Nemeio | 2 201 | (2 528) | (2 528) | 0 | 0 | 31/03/2020 |
| Total activité | 2 201 | (2 528) | (2 528) | 0 | 0 | |
| Installation de réseaux câblés, système de contrôle d'accès, vidéosurveillance, télécommunications |
||||||
| DLP Connect | 1 690 319 | (95 364) | (129 008) | 3 205 | 14 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 1 690 319 | (95 364) | (129 008) | 3 205 | 14 | |
| Conception, réalisation et vente de logiciels et prestation de services informatiques, maintenance à titre accessoire SAV de matériel vendu, formation |
||||||
| Anikop | 2 803 991 | 100 414 | 101 796 | 27 064 | 28 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 2 803 991 | 100 414 | 101 796 | 27 064 | 28 |
| Activité | Chiffre d'affaires |
Résultat courant avant impôts |
Résultat net après IS |
Nouveaux investissements corporels |
Effectif moyen |
Période |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Création et développement d'un réseau de distribution dans le domaine de la vente de tous matériels, tous services, ainsi que la concession de tous droits de franchise ou de licence |
||||||
| LDLC Distribution | 3 237 116 | (213 177) | (213 177) | 2 460 | 21 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 3 237 116 | (213 177) | (213 177) | 2 460 | 21 | |
| Enseignement supérieur | ||||||
| L'École LDLC | 339 022 | 65 049 | 46 852 | 15 972 | 5 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 339 022 | 65 049 | 46 852 | 15 972 | 5 | |
| Infogérance de parc informatique pour clients professionnels, supervision à distance, prestation de services sur site, centre de réparation de produits informatiques |
||||||
| Bluescreen | 77 287 | (89 163) | (89 163) | 7 911 | 3 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 77 287 | (89 163) | (89 163) | 7 911 | 3 | |
| Exploitation de tous fonds de commerce ayant pour objet la pratique d'activités sportives et/ou de loisirs indoor, le développement et la commercialisation de jeux vidéo, la restauration à consommer sur place ou à emporter |
||||||
| LDLC VR Studio | (187) | (115 280) | (115 696) | 7 375 | 1 | 01/01/2020 au 31/03/2020 |
| Total activité | (187) | (115 280) | (115 696) | 7 375 | 1 | |
| Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
||||||
| LDLC Villefranche | 1 849 402 | 21 634 | 22 594 | 0 | 5 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC Bordeaux | 1 698 168 | (72 006) | (72 006) | 0 | 5 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC Villeurbanne | 1 722 168 | 53 874 | 39 662 | 0 | 5 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC Lille V2 | 1 143 587 | 40 652 | 40 652 | 2 885 | 3 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC Lyon 7 | 1 660 491 | 86 387 | 81 349 | 1 047 | 4 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC Cormeilles | 1 362 323 | 89 720 | 89 720 | 0 | 3 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Avitech | 2 063 570 | 61 643 | 61 643 | 22 181 | 4 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Activité | Chiffre d'affaires |
Résultat courant avant impôts |
Résultat net après IS |
Nouveaux investissements corporels |
Effectif moyen |
Période |
|---|---|---|---|---|---|---|
| LDLC7 | 0 | (2 964) | (2 964) | Néant | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC9 | 0 | (2 923) | (2 923) | Néant | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC11 | 0 | (2 881) | (2 881) | Néant | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC12 | 0 | (2 928) | (2 928) | Néant | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| LDLC13 | 0 | (2 880) | (2 880) | Néant | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Groupe LDLC España | 2 380 263 | (2 130 742) (5 011 018) | 28 763 | 17 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
|
| Total activité | 13 879 972 | (1 863 414) (4 761 980) | 54 876 | 46 | ||
| Commerce de détail en boutique, de produits d'équipement de la personne et de produits de puériculture |
||||||
| ADB Limonest | 931 955 | (174 271) | (174 271) | 527 | 6 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| ADB Orgeval | 0 | (53 870) | (53 870) | 124 594 | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 931 955 | (228 141) | (228 141) | 125 121 | 6 | |
| Organisation d'évènements et gestion de projets évènementiels, notamment dans le domaine du sport électronique |
||||||
| LDLC Event | 1 052 763 | (751 302) | (764 829) | 296 517 | 6 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 1 052 763 | (751 302) | (764 829) | 296 517 | 6 | |
| Acquisition d'un terrain, exploitation et mise en valeur de ce terrain pour édification d'un immeuble et exploitation par bail |
||||||
| Domimo 2 | 322 901 | 6 138 | 3 556 974 | 0 | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Domimo 3 | 83 116 | 32 412 | 687 889 | 0 | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 406 017 | 38 550 | 4 244 863 | 0 | 0 | |
| Acquisition d'un terrain et construction d'immeubles à usage de bureaux par voie de crédit-bail, location administration desdits immeubles, acquisition et gestion de tous biens meublés |
||||||
| CAMPUS 2017 | 525 298 | (87 716) | 7 497 622 | 21 589 297 | 0 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 525 298 | (87 716) | 7 497 622 | 21 589 297 | 0 |
| Activité | Chiffre d'affaires |
Résultat courant avant impôts |
Résultat net après IS |
Nouveaux investissements corporels |
Effectif moyen |
Période |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Négoce, représentation sous quelque forme que ce soit de matériel informatique et de tous dérivés de matériels de produits de téléphonie et accessoires, de réseau et multimédia |
||||||
| OLYS | 62 491 953 | (3 232 449) (3 261 471) | 248 730 | 183 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
|
| I-Artificielle | 385 766 | (34 912) | (34 912) | 0 | 2 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Mac & Co Digital | 3 978 578 | (27 761) | (28 465) | 163 067 | 15 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| MyMultimedia | 1 199 235 | (7 246) | (12 099) | 218 415 | 4 | 01/04/2019 au 31/03/2020 |
| Total activité | 68 055 532 | (3 302 368) (3 336 947) | 630 212 | 204 | ||
| Total | 93 450 715 | (6 309 142) | 2 417 220 | 22 760 010 | 335 | |
Le chiffre d'affaires de la société Hardware est en baisse de 15,9% et atteint le montant de 449 milliers d'euros au 31 mars 2020 contre 534 milliers d'euros au 31 mars 2019. En mai 2018, la société Hardware avait cessé son activité de rédaction d'articles et n'avait conservé que son activité de vente de matériel informatique sur son site Internet. L'arrêt de l'activité rédaction avait entraîné le départ des salariés pigistes sur l'exercice précédent entraînant une baisse de la masse salariale de 32,18% soit 142 milliers d'euros au 31 mars 2020 contre 209 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 212 milliers d'euros contre un bénéfice de 234 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 168 milliers d'euros contre un bénéfice de 185 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
L'activité de la société Nemeio est arrêtée depuis le 1er octobre 2017, la société a réalisé un chiffre d'affaires de 2 milliers d'euros sur l'exercice correspondant essentiellement à l'annulation des avoirs de clients sur exercices antérieurs.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (3) milliers d'euros contre un déficit de (7) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 est déficitaire de (3) milliers d'euros contre un déficit de (7) milliers d'euros le 31 mars 2019.
Au 31 mars 2020, la société DLP Connect connait une baisse de son chiffre d'affaires de 12% et atteint le montant de 1 690 milliers d'euros contre 1 921 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'activité de vente de marchandises est en nette diminution avec une baisse de 131 milliers d'euros par rapport à l'exercice précédent.
L'activité de prestation de services est également en léger recul au 31 mars 2020, diminuant ainsi d'environ 7,9% soit de 109 milliers d'euros par rapport à l'exercice précédent, alors que l'activité de prestation de maintenance commence à se développer et atteint un chiffre d'affaires de 11 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (89) milliers d'euros contre un bénéfice de 8 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 est déficitaire de (129) milliers d'euros contre un bénéfice de 1 millier d'euros le 31 mars 2019.
La société DLP a pour objectif de déployer un site Internet de vente en ligne de produits électroniques afin de compléter son offre et d'augmenter sa visibilité.
Au 31 mars 2020, la société Anikop enregistre un chiffre d'affaires de 2 804 milliers d'euros contre 2 695 milliers d'euros sur l'exercice clos au 31 mars 2019, ce qui constitue une progression du chiffre d'affaires de 4,03%.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 108 milliers d'euros contre un bénéfice de 197 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Au 31 mars 2020, les charges de personnel progressent de 21%, justifié par l'embauche de 5 salariés sur l'exercice.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 102 milliers d'euros contre un bénéfice de 186 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Le chiffre d'affaires de la société LDLC Distribution est en légère augmentation avec un montant de 3 237 milliers d'euros sur l'exercice clos au 31 mars 2020 contre 3 151 milliers d'euros au titre de l'exercice précédent. La baisse du taux de refacturation de la redevance marketing, qui est réduit de moitié sur l'exercice, explique notamment la faible augmentation du chiffre d'affaires malgré l'ouverture de nouvelles boutiques.
Le nombre de boutiques avec l'enseigne LDLC est de 51 au 31 mars 2020 dont 11 boutiques en propre. Parmi ces 11 boutiques, deux d'entres elles affichent la double enseigne LDLC - BIMP. Le nombre d'ouvertures sur l'exercice se maintient avec 9 ouvertures de boutiques en franchise au 31 mars 2020 contre 10 sur l'exercice précédent.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (216) milliers d'euros contre un bénéfice de 102 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (213) milliers d'euros contre un bénéfice de 106 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
La fréquentation de L'École LDLC est en baisse, avec un total de 62 élèves pour l'année scolaire 2019/2020, soit une baisse de 17 élèves par rapport à l'année scolaire 2018/2019.
L'exercice enregistre un chiffre d'affaires de 339 milliers d'euros, contre 376 milliers d'euros au 31 mars 2019 soit une diminution de 37 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 58 milliers d'euros contre un bénéfice de 203 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La réduction de la subvention allouée par Groupe LDLC à L'École contribue à la baisse du résultat constatée au 31 mars 2020.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 47 milliers d'euros contre un bénéfice de 151 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
La société Bluescreen, anciennement LDLC8, a changé de dénomination sur l'exercice.
Groupe LDLC a cédé, le 29 novembre 2019, 20% des titres de la société Bluescreen.
La société Bluescreen était intégrée fiscalement au Groupe depuis le 1er avril 2018. La cession des titres réalisée sur l'exercice engendre sa sortie du périmètre d'intégration fiscale sur l'exercice clos au 31 mars 2020.
La société Bluescreen a démarré son activité le 1er décembre 2019 et réalise pour son premier exercice un chiffre d'affaires de 77 milliers d'euros ; celui-ci se décompose en une activité de vente de marchandises à hauteur de 57 milliers d'euros et une activité de prestation de services pour 20 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (89) milliers d'euros contre un déficit de (4) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (89) milliers d'euros contre un résultat déficitaire de (4) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
La société LDLC VR Studio a intégré le Groupe suite au rachat par Groupe LDLC de la totalité des actions de la société Katzami le 18 décembre 2019.
À la suite de ce rachat, la société a changé de dénomination pour devenir LDLC VR Studio, et a complété la liste des activités exploitées, en ajoutant l'activité de développement et de commercialisation de jeux vidéo et l'activité complémentaire des loisirs indoor via la mise à disposition d'outils virtuels.
Suite au rachat, le siège social de la société LDLC VR Studio situé initialement au 62, chemin du Moulin Carron à Dardilly a été transféré au 2, rue des Érables à Limonest. Les locaux de Dardilly ont été conservés en tant qu'établissement secondaire et sont utilisés par la société LDLC VR Studio pour exercer son activité. Des travaux d'aménagement de ces locaux vont être réalisés afin de démarrer cette nouvelle activité.
La date de clôture, initialement au 31 décembre, a été modifiée au 31 mars afin de coïncider avec la date de clôture du Groupe. Ainsi, l'exercice fiscal est exceptionnellement de trois mois.
Du fait de la transition d'activité, la société LDLC VR Studio n'a pas enregistré de chiffre d'affaires pour ce trimestre alors qu'il s'élevait à 260 milliers d'euros au 31 décembre 2019 pour l'activité de restauration sur 12 mois.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (113) milliers d'euros pour 3 mois contre un déficit de (406) milliers d'euros au 31 mars 2019 pour 12 mois d'activité.
L'exercice clos le 31 mars 2020 est déficitaire de (116) milliers d'euros pour 3 mois contre un déficit de (383) milliers d'euros le 31 décembre 2019 pour 12 mois d'activité.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, fin mars 2020, la société LDLC VR Studio a sollicité sa banque auprès de laquelle un emprunt est souscrit et a obtenu une suspension des échéances pour une durée de 6 mois.
Au 31 mars 2020, le chiffre d'affaires de la boutique de la société LDLC Villefranche est relativement stable par rapport à l'exercice précédent et s'élève à 1 849 milliers d'euros contre 1 853 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La marge de la société LDLC Villefranche est relativement stable par rapport à l'exercice précédent.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 21 milliers d'euros contre un bénéfice de 2 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 23 milliers d'euros contre un bénéfice de 2 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de LDLC Villefranche a réduit fortement son activité à partir du 17 mars 2020, réalisant des ventes limitées à des demandes urgentes et nécessaires de la part de ses clients.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
Au 31 mars 2020, la boutique de la société LDLC Bordeaux enregistre un chiffre d'affaires de 1 698 milliers d'euros contre 1 712 milliers d'euros sur l'exercice clos au 31 mars 2019.
Le montant des prestations de services s'établit à 62 milliers d'euros au 31 mars 2020 contre 48 milliers d'euros au 31 mars 2019 ; cette progression contribue à l'amélioration de la marge brute.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (64) milliers d'euros contre un déficit de (134) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 est en hausse et enregistre un déficit de (72) milliers d'euros contre un résultat déficitaire de (141) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société LDLC Bordeaux a fermé ses portes dès le 17 mars 2020, ne générant ainsi aucun chiffre d'affaires jusqu'au 10 mai 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
Au 31 mars 2020, la boutique de la société LDLC Villeurbanne enregistre un chiffre d'affaires en recul de 178 milliers d'euros, pour atteindre 1 722 milliers d'euros contre 1 900 milliers d'euros au 31 mars 2019, soit une baisse de 9,3%.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 54 milliers d'euros contre un bénéfice de 25 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 40 milliers d'euros contre un bénéfice de 19 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société LDLC Villeurbanne a réduit fortement son activité à partir du 17 mars 2020, réalisant des ventes limitées à des demandes urgentes et nécessaires de la part de ses clients.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
Au 31 mars 2020, la boutique de la société LDLC Lille V2 enregistre un chiffre d'affaires de 1 144 milliers d'euros contre 1 205 milliers d'euros au 31 mars 2019, soit une baisse de l'ordre de 5%.
Le montant des prestations de services s'établit à 73 milliers d'euros au 31 mars 2020 contre 64 milliers d'euros au 31 mars 2019 ; cette progression contribue à l'amélioration de la marge brute.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 45 milliers d'euros contre un déficit de (54) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 41 milliers d'euros contre un déficit de (59) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société LDLC Lille V2 a réduit fortement son activité à partir du 17 mars 2020, réalisant des ventes limitées à des demandes urgentes et nécessaires de la part de ses clients.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
Au 31 mars 2020, la boutique de la société LDLC Lyon 7 enregistre un chiffre d'affaires de 1 660 milliers d'euros contre 1 501 milliers d'euros au 31 mars 2019, soit une hausse de l'ordre de 10,7%.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 87 milliers d'euros contre un bénéfice de 45 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 81 milliers d'euros contre un bénéfice de 42 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société LDLC Lyon 7 a réduit fortement son activité à partir du 17 mars 2020, réalisant des ventes limitées à des demandes urgentes et nécessaires de la part de ses clients.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
La boutique de la société LDLC Cormeilles a démarré son activité le 5 octobre 2018, il s'agit donc du premier exercice complet de la société.
Au 31 mars 2020, la boutique de LDLC Cormeilles enregistre un chiffre d'affaires de 1 362 milliers d'euros contre 501 milliers d'euros au 31 mars 2019, soit une hausse de l'ordre de 171,7%, justifiée par une activité de 6 mois sur l'exercice précédent.
Le montant des prestations de services s'établit à 61 milliers d'euros au 31 mars 2020 contre 20 milliers d'euros au 31 mars 2019 pour 6 mois d'activité ; cette progression contribue à l'amélioration de la marge brute.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 93 milliers d'euros contre un déficit de (120) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 90 milliers d'euros contre un déficit de (122) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
La progression du résultat de LDLC Cormeilles s'explique notamment par le fait qu'au 31 mars 2020, la société n'a pas été impactée par des frais liés à l'ouverture de la boutique (travaux, communication d'ouverture, honoraires liés au bail commercial) contrairement à l'exercice précédent.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de LDLC Cormeilles a réduit fortement son activité à partir du 17 mars 2020, réalisant des ventes limitées à des demandes urgentes et nécessaires de la part de ses clients.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
La société Avitech faisant partie du réseau de franchises du Groupe a été rachetée par la société Groupe LDLC le 5 février 2020, avec une acquisition de 100% des actions de cette société.
Le compte de résultat de la société Avitech n'a pas été intégré au compte de résultat consolidé du Groupe du 31 mars 2020. Compte tenu de la date d'acquisition du 5 février 2020, proche de la clôture annuelle du Groupe, l'impact du compte de résultat ne présente pas un caractère significatif.
Cette société exerce son activité sur Avignon.
Au 31 mars 2020, la boutique d'Avitech enregistre un chiffre d'affaires de 2 064 milliers d'euros contre 2 014 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 66 milliers d'euros contre un déficit de (99) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 62 milliers d'euros contre un déficit de (155) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société Avitech a réduit fortement son activité à partir du 17 mars 2020, réalisant des ventes limitées à des demandes urgentes et nécessaires de la part de ses clients. Fin mars 2020, la société Avitech a sollicité sa banque auprès de laquelle un emprunt est souscrit et a obtenu une suspension des échéances pour une durée de 6 mois.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
La société Groupe LDLC España a été créée le 28 mars 2018 et a commencé son activité le 17 septembre 2018 avec l'ouverture de la boutique de Barcelone. Le site marchand LDLC.es a été mis en ligne le 17 octobre 2018 et la boutique de Madrid a ouvert le 24 octobre 2018.
En mars 2020, la société Groupe LDLC España a procédé à une augmentation de ses capitaux propres de 5,2 millions d'euros par incorporation de créance de la société Groupe LDLC.
Au 31 mars 2020, le chiffre d'affaires s'établit à 2 380 milliers d'euros contre 773 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Le 6 février 2020, le Groupe a annoncé le désengagement de sa présence physique en Espagne avec la fermeture de ses deux boutiques situées à Madrid et Barcelone, ce qui justifie la comptabilisation de charges exceptionnelles pour 2 284 milliers d'euros sur l'exercice clos au 31 mars 2020. Ces charges exceptionnelles correspondent essentiellement à la sortie des actifs de la boutique de Barcelone, à la dépréciation des actifs de la boutique de Madrid, aux coûts de location des boutiques et aux coûts de ruptures de contrats des salariés de la société Groupe LDLC España.
Ainsi, l'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (5 011) milliers d'euros contre un déficit de (1 788) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
La boutique ADB Limonest a ouvert ses portes début avril 2018.
Au 31 mars 2020, la boutique ADB Limonest enregistre un chiffre d'affaires de 932 milliers d'euros contre 725 milliers d'euros au 31 mars 2019 soit une hausse de l'ordre de 28,5%.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (164) milliers d'euros contre un déficit de (232) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit (174) milliers d'euros contre un déficit de (240) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société ADB Limonest a été contrainte de fermer ses portes dès le 14 mars 2020, ne générant ainsi aucun chiffre d'affaires jusqu'au 10 mai 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau L'Armoire de Bébé de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
La société ADB Orgeval, anciennement dénommée LDLC10, a changé de dénomination sociale sur l'exercice.
L'activité de la société a également été modifiée. La principale activité de la société ADB Orgeval est dorénavant le commerce en boutique de produits d'équipement de la personne et de produits de puériculture.
L'ouverture de la boutique physique est prévue sur le mois de juin 2020, ainsi aucun chiffre d'affaires n'est constaté sur l'exercice. Cette boutique sera la deuxième du Groupe avec une activité dans la puériculture et représentant la marque Armoire de Bébé.
Des travaux d'aménagement de la future boutique sont en cours au 31 mars 2020 à hauteur de 125 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (53) milliers d'euros contre un déficit de (4) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (54) milliers d'euros contre un déficit de (4) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
La société LDLC Event a pour principale activité la gestion de l'équipe d'e-sport du Groupe LDLC, à savoir la Team LDLC.
Pour son quatrième exercice, la société LDLC Event enregistre un chiffre d'affaires de 1 053 milliers d'euros contre 964 milliers au 31 mars 2019.
Sur le 1er trimestre 2020, la société a déménagé dans de nouveaux locaux situés à Gerland, ce qui explique la hausse significative de ses investissements.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (741) milliers d'euros contre un déficit de (277) milliers d'euros au 31 mars 2019.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, la société LDLC Event a doublé ses effectifs avec 6 salariés au 31 mars 2020, entraînant une hausse de la masse salariale de l'ordre de 212 milliers soit une augmentation de près de 96%.
Les charges de sous-traitance, constituées principalement des rémunérations des joueurs et des prestataires des équipes e-sport, représentent sur l'exercice un montant de 940 milliers d'euros contre 687 milliers d'euros au 31 mars 2019 soit une augmentation de près de 37% par rapport à l'exercice précédent.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (765) milliers d'euros contre un déficit de (283) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
En juin 2019, la SCI Domimo 2 a procédé à la cession de l'entrepôt et des bureaux situés à Grandchampsdes-Fontaines pour un montant de 11,3 millions d'euros dégageant ainsi une plus-value de cession de 5,3 millions d'euros.
Suite à cette vente qui marque l'arrêt de la sous-location envers la société Groupe LDLC, le chiffre d'affaires de l'exercice clos au 31 mars 2020 enregistre une baisse de l'ordre de 76% et s'établit à 323 milliers d'euros contre 1 361 milliers d'euros au titre de l'exercice précédent.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 82 milliers d'euros contre un bénéfice de 719 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 3 557 milliers d'euros contre un bénéfice de 443 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
En février 2020, la SCI Domimo 3 a procédé à la cession d'un bâtiment à usage commercial situé à Nantes pour un montant de 1 400 milliers d'euros dégageant ainsi une plusvalue de cession de 943 milliers d'euros.
Suite à cette vente qui marque l'arrêt de la sous-location envers la société Groupe LDLC, le chiffre d'affaires de l'exercice clos au 31 mars 2020 enregistre une baisse de l'ordre de 8% et s'établit à 83 milliers d'euros contre 90 milliers d'euros au titre de l'exercice précédent.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est bénéficiaire pour s'élever à 38 milliers d'euros contre un bénéfice de 56 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 688 milliers d'euros contre un bénéfice de 33 milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Le siège social du Groupe acquis en 2017 par la société CAMPUS 2017 dans le cadre d'un contrat de locationfinancement a été cédé le 31 juillet 2019 pour un montant de 32 300 milliers d'euros, dégageant ainsi une plus-value de cession de 10 385 milliers d'euros.
Suite à cette vente qui marque l'arrêt de la convention de sous-location envers la société Groupe LDLC, le chiffre d'affaires de l'exercice clos au 31 mars 2020 enregistre une baisse de l'ordre de 63% et s'établit à 525 milliers d'euros contre 1 420 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (144) milliers d'euros contre un déficit de (353) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un bénéfice de 7 498 milliers d'euros contre un déficit de (361) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Au 31 mars 2020, le groupe OLYS dispose de 16 boutiques BIMP sur le territoire français.
Début avril 2019, la société OLYS a transféré son personnel dans les nouveaux locaux de Limonest de la société Groupe LDLC et partage l'entrepôt de la société Groupe LDLC situé à Vaise.
Le 7 janvier 2020, la société OLYS a racheté 147 000 actions de la société Mac & Co Digital pour un montant de 150 milliers d'euros, et devient ainsi l'unique actionnaire avec une détention de 100% du capital.
Au 31 mars 2020, le chiffre d'affaires est relativement stable et s'établit à 62,5 millions d'euros contre 62,2 millions d'euros au titre de l'exercice précédent.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (3 095) milliers d'euros contre un déficit de (3 931) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (3 261) milliers d'euros contre un déficit de (3 994) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
La hausse des provisions enregistrées sur l'exercice clos au 31 mars 2020, impacte de manière significative le résultat de la société OLYS, avec une provision pour dépréciation du stock de 370 milliers d'euros contre 77 milliers d'euros au 31 mars 2019, ainsi que la provision nette sur créances douteuse d'un montant de 2 058 milliers d'euros contre 886 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, les boutiques de la société OLYS ont fermé leurs portes dès le 17 mars 2020 au soir, ne générant ainsi aucun chiffre d'affaires jusqu'au 10 mai 2020.
Afin de limiter les impacts liés à la fermeture de ses boutiques, une partie du stock de la société OLYS a été revendu auprès de la société Groupe LDLC, afin de permettre son écoulement via le réseau web.
Fin mars 2020, la société OLYS a sollicité ses banques auprès desquelles des emprunts étaient souscrits et a obtenu une suspension des échéances pour une durée de 6 mois.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau BIMP de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
La société I-Artificielle est une filiale détenue à hauteur de 60% par la société OLYS.
Au 1er avril 2019, la société a transféré son siège social au 2, rue des Érables à Limonest et détient toujours un établissement commercial à Compiègne.
Au 31 mars 2020, le chiffre d'affaires enregistre une baisse et s'établit à 386 milliers d'euros contre 480 milliers d'euros au titre de l'exercice précédent, soit une baisse de l'ordre de 20%.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (26) milliers d'euros contre un déficit de (258) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (35) milliers d'euros contre un déficit de (266) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société I-Artificielle a fermé ses portes dès le 17 mars 2020 au soir, ne générant ainsi aucun chiffre d'affaires jusqu'au 10 mai 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau BIMP de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
Depuis le 7 janvier 2020, la société Mac & Co Digital est détenue à 100% par la société OLYS.
La société Mac & Co Digital occupe un local qui, précédemment, était dédié à une activité exclusivement de ventes aux professionnels. La société a réalisé des travaux d'aménagements afin d'accueillir du public et d'ouvrir son activité auprès des particuliers. Cette boutique réalise dorénavant des ventes sous les enseignes LDLC et BIMP.
Des travaux de réaménagement ont été réalisés dans la boutique à hauteur de 161 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, le chiffre d'affaires enregistre une hausse et s'établit à 3 979 milliers d'euros contre 2 513 milliers d'euros au titre de l'exercice précédent, soit une hausse de l'ordre de 58%.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (27) milliers d'euros contre un déficit de (87) milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (28) milliers d'euros contre un déficit de (91) milliers d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société Mac & Co Digital a fermé ses portes dès le 17 mars 2020 au soir, ne générant ainsi aucun chiffre d'affaires jusqu'au 10 mai 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC - BIMP de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
La société MyMultimedia est une filiale détenue à hauteur de 60% par la société OLYS.
Au cours de l'exercice clos au 31 mars 2020, la société MyMultimedia a déplacé sa boutique historique située sur Bourg-en-Bresse sur un nouvel emplacement toujours situé dans la zone de Bourg-en-Bresse.
Cette nouvelle boutique réalise dorénavant des ventes sous les enseignes LDLC et BIMP.
Sur l'exercice, la société MyMultimedia a réalisé des travaux d'aménagement à hauteur de 217 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, le chiffre d'affaires enregistre une hausse et s'établit à 1 199 milliers d'euros contre 638 milliers d'euros au titre de l'exercice précédent, soit une hausse de l'ordre de 88%.
Au 31 mars 2020, le résultat d'exploitation est déficitaire pour s'élever à (6) milliers d'euros contre un bénéfice de 1 millier d'euros au 31 mars 2019.
L'exercice clos le 31 mars 2020 enregistre un déficit de (12) milliers d'euros contre un bénéfice de 1 millier d'euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
Suite à la crise sanitaire du Covid-19, la boutique de la société MyMultimedia a fermé ses portes dès le 17 mars 2020 au soir, ne générant ainsi aucun chiffre d'affaires jusqu'au 10 mai 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC - BIMP de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des règles sanitaires.
Les sociétés LDLC7, LDLC9, LDLC11, LDLC12 et LDLC13 n'ont pas eu d'activité sur l'exercice clos au 31 mars 2020 et sont intégrées fiscalement à la société Groupe LDLC depuis le 1er avril 2018.
Conformément à l'article L.232-1 du Code de Commerce, nous vous indiquons que depuis l'exercice clos au 31 mars 2016, la société Groupe LDLC développe une activité en matière de recherche et développement. En décembre 2016, le Groupe a commercialisé son premier produit créé par son équipe de recherche et développement.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, le Groupe a considéré que les conditions d'activation des frais de recherche et de développement étaient remplies pour certains projets. De ce fait, le Groupe a comptabilisé les frais de recherche et de développement en charges de l'exercice ou en immobilisations selon les projets.
Le montant des projets de recherche et développement qui ont été activés sur l'exercice clos au 31 mars 2020 s'élève à 986 milliers d'euros contre 1 059 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Après avoir fait forte impression au CES 2019 de Las Vegas, le 17 décembre 2019, le Groupe via sa marque SOLAARI lance la commercialisation de son premier sabre connecté. Ce sabre fabriqué par le Groupe avait bénéficié, en janvier 2019, d'un pré-lancement sous le format d'un Kickstarter. Cette plateforme de financement participatif avait permis à plus de 400 passionnés de pré-commander leur sabre. Le 5 mars 2020, la société Groupe LDLC a signé un partenariat avec la Fédération Française d'Escrime et son académie de sabre laser pour une durée de 3 ans.
Le clavier « dynamique » à écran Nemeio, primé lors du CES de Las Vegas en janvier 2019, est toujours en cours de conception au 31 mars 2020.
La société Groupe LDLC a bénéficié d'un crédit d'impôt recherche au titre de l'année 2019 de 40 milliers d'euros contre 247 milliers d'euros au titre de l'année 2018. Le crédit d'impôt recherche est un crédit d'impôt offert aux entreprises investissant significativement en recherche et développement.
Le 10 avril 2020, la société Groupe LDLC a réalisé l'acquisition du fonds de commerce de Top Achat pour un montant de 3 millions d'euros. Ce rapprochement est une source d'opportunités et de synergies complémentaires. L'activité de Top Achat s'intègre pleinement à la stratégie de distributeur de produits High-Tech.
Fin avril 2020, la société Groupe LDLC a souscrit 4 prêts « PGE » de 4,5 millions d'euros chacun en vue de financer les besoins de trésorerie du Groupe. Ce montant de 18 millions d'euros de prêt bénéficie à hauteur de 90% de la garantie de l'État accordée aux établissements de crédits et sociétés de financement en application de l'article 6 de la loi n°2020-289 du 23 mars 2020 de finance rectificative pour 2020.
Durant la crise sanitaire du Covid-19, l'activité des boutiques du réseau LDLC, Materiel.net et BIMP a été définie par arrêté ministériel du 15 mars 2020 comme indispensable à la vie de la Nation. Malgré ce statut, certaines boutiques ont fermé leurs portes. Le Groupe a maintenu quelques boutiques ouvertes avec une activité réduite, afin de permettre notamment la distribution et la gestion des SAV de matériel informatique aux particuliers et aider les entreprises dans l'accès au matériel nécessaire au télétravail.
La boutique Armoire de Bébé a été contrainte de fermer ses portes dès le 14 mars 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau, fermées depuis le 17 mars 2020, de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des mesures « barrières » préconisées.
Conformément aux dispositions de l'article L.232-1 II du Code de Commerce, nous vous précisons qu'aucun autre événement important susceptible d'avoir une incidence significative sur l'appréciation de la situation de la société n'est intervenu ou n'a été connu postérieurement à la date de clôture de l'exercice (cf. section 10 du présent document).
Les principaux besoins en capitaux du Groupe LDLC proviennent de ses besoins en fonds de roulement et de ses investissements opérationnels. En janvier 2018, pour financer l'acquisition des sociétés OLYS et Synopsis, le Groupe LDLC avait eu recours à l'émission de deux emprunts de respectivement 5,3 et 10 millions d'euros. En mars 2016, le Groupe LDLC avait souscrit un emprunt de 23 millions d'euros pour financer l'acquisition du groupe Materiel.net.
Concernant l'emprunt de 10 millions d'euros, la durée de remboursement avait été alignée avec le prêt relatif à l'acquisition 2016.
Le remboursement de l'emprunt de 5,3 millions d'euros prendra fin le 31 janvier 2025.
Le tableau de variation des capitaux propres consolidés est présenté à la note 1.3 des états financiers des comptes consolidés pour l'exercice clos au 31 mars 2020 et la composition du capital à la note 3.11 de ces mêmes états figurant en section 18.1 du présent document d'enregistrement universel.
La trésorerie : le montant des disponibilités et valeurs mobilières de placement au 31 mars 2020 est de 19 859 milliers d'euros, contre 18 531 milliers d'euros au 31 mars 2019.
L'endettement : compte tenu de l'acquisition des sociétés OLYS et Synopsis au 25 janvier 2018, le Groupe avait eu recours à l'émission de deux emprunts de 5,3 et 10 millions d'euros. Par ailleurs l'acquisition du groupe Materiel.net en mars 2016 avait donné lieu à la souscription d'un emprunt de 23 millions d'euros. Ces emprunts étaient assortis également d'un crédit renouvelable de 15 millions d'euros, qui a été porté à 13,5 millions au 31 mars 2020 et dont la durée a été prorogée jusqu'au 31 mars 2021.
En juillet 2019, le Groupe a cédé les murs de son siège social situé sur Limonest et acquis en 2017 dans le cadre d'un contrat de location-financement, ce qui a permis une réduction de l'endettement à hauteur de 19,1 millions d'euros.
La réalisation en juin 2019 et février 2020 de la vente d'ensembles immobiliers situés respectivement sur Grandchamps-des-Fontaines et Nantes, détenus par les SCI Domimo 2 et Domimo 3, justifie une réduction de la dette à hauteur de 4,5 millions d'euros.
Le Groupe a recours à des emprunts qui ont pour vocation de soutenir sa stratégie, avec notamment l'ouverture de boutiques physiques en propre et l'accompagnement du développement de ses projets internes.
La trésorerie nette du Groupe représente une dette financière et se ventile de la façon suivante :
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Dettes financières brutes | 28 435 | 78 797 |
| Disponibilités et valeurs mobilières de placement | 19 859 | 18 531 |
| Trésorerie nette | (8 576) | (60 266) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Montants en milliers d'euros Total À moins d'un an 1 an à 3 ans 3 ans à 5 ans De plus 5 ans Emprunts et dettes financières à long terme (1) 19 839 0 14 724 4 660 455 Emprunts 19 839 0 14 724 4 660 455 Emprunts et dettes financières à court terme (2) 8 596 8 596 0 0 0 Dépôts reçus en garantie 0 0 0 0 0 Emprunts 7 734 7 734 0 0 0 Intérêts courus/emprunts 24 24 0 0 0 Découverts bancaires 510 510 0 0 0 Comptes courants 327 327 0 0 0 Total 28 435 8 596 14 724 4 660 455
Le tableau ci-après présente les échéances de la dette financière du Groupe au 31 mars 2020 :
(1) Dont 11,3 millions d'euros relatifs aux prêts des acquisitions 2016 et 2018. (2) Dont 5,5 millions d'euros relatifs aux prêts des acquisitions 2016 et 2018.
Suite à la crise sanitaire liée au Covid-19, les sociétés du Groupe ont obtenu fin mars 2020 de la part de l'ensemble des banques une suspension des mensualités d'emprunts pour une durée de 6 mois, ce qui représente un report des échéances de fin mars 2020 à hauteur de 2,9 millions d'euros, ainsi qu'un report de la dette à moins d'un an de 1,7 million d'euros.
En avril 2019, la société Groupe LDLC a souscrit un emprunt de 1,1 million d'euros afin de financer le BFR du Groupe.
L'acquisition sur l'exercice des sociétés LDLC VR Studio et Avitech a contribué à la hausse de l'endettement financier du Groupe à hauteur de respectivement de 129 milliers d'euros et 131 milliers d'euros.
Aux fins de financer partiellement en mars 2016 l'acquisition du groupe Materiel.net et en janvier 2018 l'acquisition des sociétés OLYS et Synopsis, le Groupe avait mis en place de nouvelles sources de financement.
Le Groupe avait ainsi signé un contrat de crédit avec un pool de 5 banques le 31 mars 2016. Un avenant n° 2 au contrat de crédit en date du 31 mars 2016 avait été signé le 19 janvier 2018 et se décomposait en :
• Une ligne de crédit long terme pour l'acquisition 2016 d'un montant de 23 millions d'euros d'une durée de 7 ans au taux Euribor 3 mois auquel s'ajoute une marge « prêt d'acquisition » réajustée annuellement en fonction du niveau de ratio de levier.
Pour couvrir les intérêts de ces emprunts à taux variable relatifs aux acquisitions 2016 et 2018, des contrats de swap avaient été souscrits.
L'avenant n°2 au contrat de crédit qui intègre les acquisitions de 2016 et 2018 est assorti de respect de deux ratios bancaires financiers basés contractuellement sur les comptes consolidés et qui sont testés semestriellement. Suite au transfert de la cotation des actions du Groupe LDLC sur le marché Euronext Growth à Paris, la définition du résultat opérationnel courant a été revue par l'avenant n°4 :
• Un ratio de levier : ce ratio est défini comme les « dettes financières nettes consolidées » (soit l'endettement financier diminué de la trésorerie et augmenté des engagements par signature donnés à titre de garantie pour un montant de 89 milliers d'euros) divisé par « l'EBE consolidé retraité » (soit le résultat d'exploitation du Groupe augmenté des dotations nettes aux amortissements et provisions incluses dans le résultat d'exploitation, augmenté de la cotisation sur la valeur ajoutée et des escomptes obtenus auprès des fournisseurs).
• Un ratio de gearing : ce ratio est défini comme les « dettes financières nettes consolidées » (soit l'endettement financier diminué de la trésorerie et augmenté des engagements par signature donnés à titre de garantie pour un montant de 89 milliers d'euros) divisé par les « fonds propres consolidés » (y compris les minoritaires).
Conformément à l'avenant n° 2 du contrat de crédit, les cessions des actifs immobiliers réalisées sur l'exercice ont entraîné en décembre 2019 un remboursement anticipé de 6 millions d'euros, soit 3 millions d'euros sur chacun des deux emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros, écourtant ainsi la durée de remboursement de ces deux emprunts. Le dernier remboursement interviendra donc le 30 septembre 2022 pour l'emprunt de 23 millions d'euros et le 30 septembre 2021 pour celui de 10 millions d'euros.
Le contrat de crédit, par son avenant n° 4 signé en date du 15 juillet 2019, comporte également une limite d'investissements à respecter par les membres du Groupe.
Le 19 janvier 2018, le Groupe avait également souscrit un emprunt complémentaire de 5,3 millions d'euros en complément de l'emprunt de 10 millions d'euros. Cet emprunt est remboursable sur une durée de 7 ans au taux fixe de 1,31% l'an avec un différé d'amortissement des 8 premiers trimestres.
Le siège social du Groupe situé à Limonest acquis en 2017 dans le cadre d'un contrat de location-financement, a été cédé en juillet 2019. Cette cession a généré une baisse de l'endettement de 19,1 millions d'euros au 31 mars 2020. La dette financière relative à ce contrat de contrat de location-financement représente un endettement financier de 19,5 millions d'euros au 31 mars 2019.
Pour rappel, la société Groupe LDLC avait signé en mars 2017 un nouveau contrat d'affacturage avec Eurofactor.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2019, deux emprunts d'un montant total de 5 millions d'euros, avaient été souscrits par la société Groupe LDLC afin de financer les investissements du Groupe.
En mars 2019, la société Groupe LDLC avait contracté un emprunt de 900 milliers d'euros afin de financer le BFR du Groupe.
Un emprunt de 500 milliers d'euros avait été souscrit en avril 2018 par la société OLYS pour financer le rachat des parts minoritaires de la société BIMP Éducation qui représentaient 40% du capital.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Flux nets de trésorerie générés par l'activité | 12 421 | 3 286 |
| Flux nets de trésorerie liés aux investissements | 20 172 | (11 491) |
| Flux nets de trésorerie liés aux financements | (31 172) | (5 009) |
| Variation nette de la trésorerie | 1 421 | (13 213) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
| 31/03/2019 | ||
|---|---|---|
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | Retraité * |
| Résultat net des activités poursuivies | 8 308 | (4 820) |
| Élimination des charges et produits sans incidence sur la trésorerie | 7 631 | 8 053 |
| Charge d'impôts (courants et différés) | 7 862 | (2 839) |
| Plus ou moins-values de cessions d'actifs | (12 436) | 67 |
| Capacité d'autofinancement avant impôt | 11 365 | 462 |
| Impôts versés | (6 419) | 260 |
| Variation du besoin en fonds de roulement | 7 476 | 2 564 |
| Flux nets de trésorerie générés par l'activité | 12 421 | 3 286 |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Les flux nets de trésorerie liés à l'activité au 31 mars 2020 s'établissent à 12 421 milliers d'euros contre 3 286 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La forte variation des plus ou moins-values de cessions d'actifs provient principalement des plus-values générées sur les cessions des actifs immobiliers, dont 9 111 milliers d'euros relatifs à la cession du siège social du Groupe, 3 202 milliers d'euros sur la cession des murs de l'entrepôt et des locaux administratifs détenus par la SCI Domimo 2 et 668 milliers d'euros sur la vente du concept store de Nantes détenu par la SCI Domimo 3.
L'amélioration du résultat constaté au 31 mars 2020 contribue fortement à l'évolution de la capacité d'autofinancement.
Le résultat déficitaire du 31 mars 2019 avait pour effet de dégrader fortement la capacité d'autofinancement.
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Produits des cessions d'actifs immobilisés nets d'impôts | 45 050 | (11) |
| Acquisitions d'actifs immobilisés | (26 338) | (11 824) |
| Réductions d'actifs immobilisés financiers | 1 400 | 345 |
| Variation de périmètre | 61 | 0 |
| Flux nets de trésorerie liés aux investissements | 20 172 | (11 491) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Au 31 mars 2020, les flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissements font apparaître une ressource de 20 172 milliers d'euros contre un emploi de trésorerie de 11 491 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La recette nette des flux de trésorerie liés aux investissements de 20 172 milliers d'euros au 31 mars 2020 est justifiée principalement par :
• les cessions des actifs immobiliers, avec 32,3 millions d'euros relatifs à la cession du siège social du Groupe, 11,3 millions d'euros liés à la vente des murs de l'entrepôt et des locaux administratifs détenus par la SCI Domimo 2 et 1,4 million d'euros relatifs à la cession du concept store détenu par la SCI Domimo 3 ;
Au 31 mars 2019, les flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissements présentaient un emploi de trésorerie de 11 491 milliers d'euros et s'expliquaient essentiellement par :
| Montants en milliers d'euros | 31/03/2020 | 31/03/2019 Retraité * |
|---|---|---|
| Opérations sur actions propres | 7 | (14) |
| Autres impacts | (1) | (312) |
| Nouveaux emprunts | 1 100 | 6 408 |
| Remboursements des emprunts | (31 917) | (9 425) |
| Remboursements des contrats de location-financement | (378) | (1 439) |
| Variation des financements liés aux créances cédées | 0 | 0 |
| Variation des autres dettes financières | 17 | (176) |
| Augmentation de capital (nominal) | 0 | 0 |
| Prime d'émission + réserves indisponibles + report à nouveau | 0 | 0 |
| Réduction des capitaux propres (dividendes) | 0 | (50) |
| Flux nets de trésorerie liés aux financements | (31 172) | (5 009) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020.
Les flux nets de trésorerie liés aux activités de financement présentent un emploi de trésorerie de 31 172 milliers d'euros au 31 mars 2020 contre un emploi de trésorerie de 5 009 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La forte progression des remboursements d'emprunts constatée au 31 mars 2020 provient essentiellement de :
• les cessions des actifs immobiliers réalisés sur l'exercice ont entraîné le remboursement anticipé de 3 millions d'euros sur chacun des emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros conformément à l'avenant n°2 du contrat de crédit.
Un emprunt à hauteur de 1 100 milliers d'euros a été contracté en avril 2019 afin de financer le BFR du Groupe.
Les remboursements sur contrats de location-financement concernent principalement le siège social du Groupe. La levée d'option de ce contrat de location-financement, exercée fin juillet 2019, justifie la baisse significative de ces remboursements.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2019, deux nouveaux emprunts avaient été souscrits afin de financer les investissements du Groupe pour un montant total de 5 millions d'euros, un emprunt de 900 milliers d'euros pour financer le BFR du Groupe, ainsi qu'un emprunt de 500 milliers d'euros afin de racheter les parts minoritaires de la filiale BIMP Éducation du groupe OLYS.
Les remboursements d'emprunts constatés au 31 mars
2019 s'expliquaient notamment par l'intégration du périmètre OLYS à hauteur de 780 milliers d'euros. De plus, l'emprunt qui avait été souscrit en janvier 2018 dans le cadre de l'acquisition des sociétés OLYS et Synopsis expliquait 1,8 million d'euros de remboursement sur l'exercice.
Des informations relatives au financement des activités du Groupe figurent à la section 8.1 « Informations sur les ressources financières à court terme et à long terme de la société » du présent document d'enregistrement universel et dans les notes 1.4 et 3.13 des états financiers consolidés de l'exercice clos au 31 mars 2020 figurant en section 18.1 du présent document d'enregistrement universel.
Le Groupe a acquis 100% du capital des sociétés LDLC VR Studio et Avitech pour respectivement 20 milliers d'euros et 90 milliers d'euros en décembre 2019 et février 2020.
La filiale OLYS a acquis les parts minoritaires de la société Mac & Co Digital, soit 49% du capital pour 150 milliers d'euros en janvier 2020 et détient ainsi l'unique actionnaire avec une détention de 100% du capital.
Le Groupe avait acquis les parts minoritaires de la société BIMP Éducation qui représentaient 40% du capital et qui avaient été financées par un emprunt de 500 milliers d'euros en avril 2018.
Par ailleurs, dans le cadre de l'acquisition d'une participation de 20% dans la société CG Développement, le Groupe avait décaissé un montant de 400 milliers d'euros en décembre 2018.
En janvier 2018, l'acquisition des sociétés OLYS et Synopsis avait été financée par un apport en numéraire qui avait donné lieu à la souscription de deux emprunts de 10 et 5,3 millions d'euros. Se reporter à la note 8.1 du présent document d'enregistrement universel et à la note 3.13 des états financiers consolidés de l'exercice clos au 31 mars 2020.
En mars 2016, l'acquisition du groupe Materiel.net avait été financée par un apport en numéraire qui avait donné lieu à la souscription d'un emprunt de 23 millions d'euros, un apport en nature qui avait donné lieu à l'émission de nouvelles
actions et par la remise d'actions auto-détenues. Se reporter à la note 8.2.4 du présent document d'enregistrement universel et à la note 3.14 des états financiers consolidés de l'exercice clos au 31 mars 2018.
Le Groupe n'a pas réalisé d'autre opération de croissance externe au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020.
En juillet 2019, le Groupe a levé l'option du contrat de location-financement immobilier relatif au siège social, puis a cédé l'ensemble immobilier à la même date. Le Groupe devient donc locataire du siège social.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, le Groupe a vendu son concept store de Nantes ainsi que les murs de son entrepôt et ses locaux administratifs situés à Grandchamps-des-Fontaines détenus respectivement par les SCI Domimo 3 et Domimo 2. Le Groupe est donc dorénavant locataire de ces actifs immobiliers. Suite à ces cessions, l'ensemble des emprunts rattachés à ces actifs immobiliers a par conséquent été remboursé sur l'exercice.
L'ensemble des locaux exploités à ce jour par le Groupe sont donc tous pris en location.
En septembre et octobre 2018, la société Groupe LDLC avait souscrit deux emprunts de 2,5 millions d'euros chacun afin de financer les investissements du Groupe.
Le besoin en fonds de roulement du Groupe est financé par des crédits court terme et long terme (voir note 3.13 des états financiers consolidés de l'exercice clos au 31 mars 2020).
En avril 2019, la société Groupe LDLC a souscrit un nouvel emprunt de 1 100 milliers d'euros afin de financer le BFR du Groupe.
En mars 2019, la société Groupe LDLC avait contracté un nouvel emprunt de 900 milliers d'euros en vue de financer le BFR du Groupe.
Les autorisations de découverts accordées au Groupe s'élèvent à 8,02 millions d'euros au 31 mars 2020.
Le Groupe bénéficie d'un crédit renouvelable de 15 millions d'euros utilisable par tirage d'un montant minimum de 1 million d'euros. Ce crédit a été prorogé jusqu'au 31 mars 2021 pour un montant de 13,5 millions d'euros.
Le Groupe procède à des cessions de créances sans recours, un nouveau contrat avait été signé en mars 2017 avec la société Eurofactor.
| Montants en milliers d'euros | Capital restant dû |
Capital à -1 an |
Capital de 1 an à 5 ans |
Capital de + 5 ans |
|---|---|---|---|---|
| Emprunts | 27 527 | 7 728 | 19 343 | 455 |
| Contrats de location-financement | 71 | 30 | 40 | 0 |
| Total | 27 597 | 7 758 | 19 384 | 455 |
| Montants en milliers d'euros | Emprunts | Contrats de location financement |
Total |
|---|---|---|---|
| 31/03/2018 | 61 058 | 20 968 | 82 026 |
| Souscriptions | 6 408 | 41 | 6 449 |
| Remboursements | (9 425) | (1 439) | (10 864) |
| Autres mouvements | (3) | 0 | (3) |
| 31/03/2019 | 58 038 | 19 570 | 77 608 |
| Souscriptions | 1 100 | 0 | 1 100 |
| Remboursements | (31 917) | (378) | (32 295) |
| Autres mouvements | 306 | (19 122) | (18 816) |
| 31/03/2020 | 27 527 | 71 | 27 597 |
Les autres mouvements de 306 milliers d'euros constatés sur la période arrêtée au 31 mars 2020 s'expliquent à hauteur de 277 milliers d'euros par l'intégration des flux générés par la société LDLC VR Studio, pour 148 milliers d'euros, et par la société Avitech pour 129 milliers d'euros.
La société Groupe LDLC a signé, le 12 juin 2019, la vente des murs de l'entrepôt et des locaux administratifs situés à Grandchamps-des-Fontaines (44) détenus par la SCI Domimo 2, filiale à 99,98% de la société Groupe LDLC. Le prix de cession s'est établi à 11,3 millions d'euros. Cette opération a généré un remboursement anticipé de la dette financière à hauteur de 4,3 millions d'euros.
La société Groupe LDLC a signé, le 21 février 2020, la vente de son concept store de Nantes détenu par la SCI Domimo 3, filiale à 99,9% de la société Groupe LDLC. Le prix de vente s'est établi à 1,4 million d'euros. Cette opération a généré un remboursement anticipé de la dette financière à hauteur de 216 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, le Groupe n'a pas utilisé le crédit renouvelable de 15 millions d'euros, contrairement à l'exercice précédent sur lequel le crédit était utilisé en totalité.
Conformément à l'avenant n° 2 du contrat de crédit, les cessions des actifs immobiliers réalisées sur l'exercice ont entraîné un remboursement anticipé de 6 millions d'euros le 13 décembre 2019, soit 3 millions d'euros sur chacun des deux emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros.
Ces remboursements anticipés ont été pondérés par un report des échéances obtenu par le Groupe de la part de l'ensemble des banques suite à la crise sanitaire liée au Covid-19, et représentent un montant de 2,9 millions d'euros au 31 mars 2020.
Le désengagement en juillet 2019 du Groupe sur le contrat de location-financement souscrit dans le cadre des locaux du siège social explique les autres mouvements de (19 122) milliers d'euros constatés sur les locations financement au 31 mars 2020.
Aux fins de financer partiellement les acquisitions du groupe Materiel.net, le 31 mars 2016 un contrat de crédit de 23 millions d'euros avait été souscrit par Groupe LDLC. Dans le cadre du financement de l'acquisition des sociétés OLYS et Synopsis, un avenant n°2 au contrat de crédit en date du 31 mars 2016 avait été signé le 19 janvier 2018.
L'avenant n°2 au contrat de crédit qui intègre les acquisitions de 2016 et 2018 est assorti de respect de ratios bancaires (ratios, limites d'investissements…) dont le non-respect peut entraîner, sous certaines conditions, le remboursement anticipé. Suite au transfert de la cotation des actions du Groupe LDLC sur le marché Euronext Growth à Paris, la définition du résultat opérationnel courant a été revue par l'avenant n°4. La limite d'investissements a également été revue par l'avenant n°4 signé en date du 15 juillet 2019.
Ces ratios sont testés semestriellement.
Les ratios calculés ci-dessous portent sur une période de douze mois, du 1er avril 2019 au 31 mars 2020.
| En millions d'euros | Note | Calcul |
|---|---|---|
| Dettes financières nettes consolidées (1) | 10,28 | A |
| Fonds propres consolidés (2) | 62,46 | B |
| Ratio de DFN consolidées / FP consolidés | 0,16 | A/B |
| En millions d'euros | Note | Calcul |
|---|---|---|
| Dettes financières nettes consolidées (1) | 10,28 | A |
| EBE consolidé retraité (3) | 16,66 | B |
| Ratio de DFN consolidées / EBE consolidé retraité | 0,62 | A/B |
(1) Les dettes financières nettes consolidées correspondent à l'endettement financier (voir note 3.13 des états financiers consolidés du 31 mars 2020) diminué de la trésorerie (voir note 3.10 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), et augmenté des engagements par signature donnés à titre de garantie pour un montant de 89 milliers d'euros.
(2) Les fonds propres consolidés correspondent au total des capitaux propres y compris les intérêts minoritaires (voir note 1.3 des états financiers consolidés du 31 mars 2020).
(3) L'« EBE consolidé retraité » correspond à la somme du résultat d'exploitation augmenté des dotations nettes aux amortissements et provisions incluses dans le résultat d'exploitation (voir note 2.5 des états financiers consolidés du 31 mars 2020), de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises et des escomptes obtenus auprès des fournisseurs.
Le montant des investissements est inférieur à la limite fixée à 7 millions d'euros pour l'exercice clos le 31 mars 2020.
Les ratios bancaires sont respectés au 31 mars 2020 et sont soumis à une attestation des commissaires aux comptes.
Au 31 mars 2020, l'exposition aux différents risques est analysée dans la note 2.4 des états financiers consolidés de l'exercice clos au 31 mars 2020 figurant à la section 18.1 du présent document d'enregistrement universel.
Une analyse de sensibilité est faite sur les emprunts à taux variable dans la note 3.15 de ces mêmes états.
L'acquisition du fonds de commerce de Top Achat d'un montant de 3 millions d'euros a été réalisée avec les fonds propres du Groupe.
Fin avril 2020, la société Groupe LDLC a souscrit 4 prêts « PGE » de 4,5 millions d'euros chacun en vue de financer les besoins de trésorerie du Groupe. Ce montant de 18 millions d'euros de prêt bénéficie à hauteur de 90% de la garantie de l'État accordée aux établissements de crédits et sociétés de financement en application de l'article 6 de la loi n°2020-289 du 23 mars 2020 de finance rectificative pour 2020.
Sur l'exercice, la société Groupe LDLC pourra souscrire de nouveaux emprunts pour financer tout ou partie de ses investissements.
En raison de son activité de e-commerce, le Groupe opère dans un environnement réglementaire complexe qui évolue rapidement. Ces réglementations concernent principalement la réglementation en matière de commerce électronique, de protection des données personnelles et d'installations classées pour la protection de l'environnement.
Vous trouverez ci-dessous une description des principales réglementations susceptibles d'influer de manière significative sur les activités du Groupe ainsi que toute mesure ou tout facteur de nature administrative, économique, budgétaire, monétaire ou politique ayant influé sensiblement ou pouvant influer sensiblement, de manière directe ou indirecte, sur les activités de la société.
En qualité d'acteur du e-commerce à destination de consommateurs, et outre les obligations générales applicables à tout vendeur, notamment sur un marché BtoC, le Groupe sera tenu à un ensemble de règles spécifiques issues du droit de la consommation et du commerce électronique. Les principales obligations à prendre en compte portent notamment sur :
• Les conditions de rétractation : les articles L.221-18 et suivants du Code de la Consommation accordent aux consommateurs un délai de rétractation de 14 jours pour tout contrat, notamment de vente, conclu à distance. Ce droit doit pouvoir s'exercer à titre gratuit.
Tout opérateur de e-commerce est ainsi tenu d'informer ses clients consommateurs de l'existence de ce droit et de le rendre facilement accessible via la mise en place d'un formulaire dédié.
Cela implique qu'en principe, un e-commerçant ne peut adresser de newsletters ou offres publicitaires à des clients et prospects qui ne l'auraient pas expressément accepté au préalable.
Le texte prévoit néanmoins plusieurs exceptions à cette exigence, en particulier si le destinataire de la prospection est déjà client de l'entreprise concernée et si la prospection concerne des produits ou services analogues à ceux déjà fournis par l'entreprise audit client.
• Le contrôle des avis en ligne : le nouvel article L.111-7- 2 du Code de la Consommation impose à tout opérateur collectant et/ou diffusant des avis de consommateurs en ligne, la délivrance d'une information loyale, claire et transparente sur les modalités de publication et de traitement desdits avis.
L'opérateur doit notamment indiquer les modalités de contrôle des avis, les dates de publication et mise à jour, les raisons du refus ou retrait d'un avis, etc. Il doit également mettre en place un mécanisme de signalement motivé en cas d'avis douteux. Une Directive adoptée le 8 novembre 2019 vient renforcer cette obligation en ajoutant l'absence de fourniture d'une telle information à la liste des pratiques commerciales déloyales.
Ces différentes obligations, et notamment les plus récentes en matière de plateformes en ligne et de contrôle des avis en ligne, peuvent nécessiter une adaptation des conditions générales d'utilisation des sites de e-commerce, parfois également des interfaces et du fonctionnement des sites, et plus généralement des pratiques en la matière.
• Dans le cadre de sa nouvelle activité de marketplace, Groupe LDLC est également soumis à une obligation d'information renforcée :
Le détail des informations devant être fournies aux consommateurs est prévu par les articles D.111-7 et suivants du Code de la Consommation. En substance, doivent notamment être indiquées les modalités de référencement, de déréférencement et de classement des contenus ainsi que l'existence d'une rémunération ou autre relation capitalistique entre un vendeur et la plateforme marketplace. La Directive précitée, adoptée le 8 novembre 2019, vient renforcer ces obligations en ajoutant l'absence de fourniture de telles informations à la liste des pratiques commerciales déloyales. Cette Directive ajoute également une obligation d'information du consommateur relative à toute publicité payante ou paiement effectué pour obtenir un meilleur classement sur la plateforme de marketplace. Cette Directive doit encore faire l'objet d'une transposition en droit français.
En application du Règlement Platform to business du 20 juin 2019, applicable à compter du 12 juillet 2020, les marketplaces doivent informer les entreprises utilisatrices des mesures prises pour garantir l'équité et la transparence sur la plateforme (par exemple : indiquer les motifs de suspension et de fermeture des comptes de vendeur, les principaux paramètres de classement ou encore les informations relatives au traitement des litiges et à l'accès à la médiation).
En outre, les activités de la société sont susceptibles d'être influencées par l'entrée en vigueur de la Directive révisée sur les services de paiement (DSP2). Selon la commission européenne (cf. communiqué du 27 novembre 2017), la révision de la Directive permet d'élargir et d'améliorer le choix des consommateurs sur le marché des paiements de détail dans l'UE. Dans le même temps, elle instaure des normes de sécurité plus strictes pour les paiements en ligne. La société n'étant pas prestataire de services de paiement, elle n'entre pas dans le champ d'application des normes. Toutefois, la mise en œuvre de la DSP2 par les prestataires de services de paiement (notamment la mise en place de « l'authentification forte »), en tant qu'intervenant du processus d'achat des clients de la société, serait susceptible d'avoir une incidence sur l'activité du Groupe.
Cette réglementation a connu une évolution récente avec l'entrée en vigueur le 25 mai 2018 du Règlement UE 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, et abrogeant la directive 95/46/CE (Règlement général sur la protection des données « RGPD »), et qui a nécessité une adaptation de la réglementation nationale, via en particulier l'adoption de la nouvelle loi « Informatique et Libertés » n°2018-493 du 20 juin 2018 et de son décret d'application n°2018- 687 du 1er août 2018, puis ultérieurement l'Ordonnance n°2018-1125 du 12 décembre 2018 prise en application de l'article 32 de la loi n°2018-493 du 20 juin 2018 relative à la protection des données personnelles et portant modification de la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés et diverses dispositions concernant la protection des données à caractère personnel.
Cette nouvelle réglementation vient renforcer les obligations des entreprises et opérateurs traitant des données à caractère personnel, les droits des personnes concernées par de tels traitements et les pouvoirs des régulateurs (telle que la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés – CNIL pour la France).
Ainsi et dans le cadre de leurs obligations, les entreprises doivent notamment s'assurer de mettre en place les procédures et documentations permettant de justifier du respect des obligations de la réglementation (registre des traitements, notification de violations de données personnelles, contractualisation avec les sous-traitants, etc.) et de garantir l'exercice des droits des personnes (mentions d'informations, formulaires de collecte des consentements notamment pour certains types de cookies, procédures de gestion des droits, etc.).
Ces obligations sont particulièrement impactantes sur les activités de e-commerce qui impliquent le traitement de volumes importants de données de consommateurs, avec parfois un niveau de connaissance élevé des personnes concernées pouvant être un facteur de risque (analyses de panier d'achat, cookies de retargeting, profilage et publicité ciblée, etc.).
Dans les prochaines années, les activités de la société/du Groupe seront susceptibles d'être influencées par l'adoption à venir du Règlement E-Privacy (ou « Règlement vie privée et communications électroniques ») qui a vocation à remplacer la Directive E-Privacy. Ce Règlement, encore en cours de discussion au sein de l'Union européenne, viendra compléter le nouveau dispositif déjà mis en place par le RGPD en matière de protection des données personnelles et encadrer la fourniture et l'utilisation de services de communications électroniques
Le Groupe exploite des plateformes logistiques sur trois sites en France, à Saint-Quentin-Fallavier (38), Grandchampsdes-Fontaines (44) et à Gennevilliers (92).
Afin de limiter les risques d'atteinte à l'environnement, certains de ces sites sont soumis à la réglementation des Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE) et doivent être exploités en collaboration avec le propriétaire des sites logistiques, conformément à un titre d'exploitation notifié par la préfecture. En particulier, les dispositions des arrêtés ministériels encadrant les activités ICPE suivantes doivent être respectées :
Dans ce cadre, sur les sites de Saint-Quentin-Fallavier et de Grandchamps-des-Fontaines, des séparateurs d'hydrocarbures pour les parkings et un système de rétention des eaux d'extinction en cas d'incendie sont installés en mesure de prévention.
Aussi, les arrêtés susmentionnés intègrent des règles sur la gestion des déchets que le Groupe doit respecter. Sur ce point, on pourra relever que l'un des objectifs du Groupe est de poursuivre l'amélioration du tri des déchets d'activité à la source afin de maximiser le recyclage des matériaux.
En outre, il convient de noter que la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire prévoit qu'à compter de 2022, les « marketplaces » et plateformes seront tenues de pourvoir ou de contribuer à la prévention et à la gestion des déchets qui proviennent des ventes à distance ou de la livraison, pour le compte d'un tiers, de produits relevant d'un régime de responsabilité élargie des producteurs (tels que les équipements électriques et électroniques). Elles ne pourront en être exemptées que si elles justifient que le tiers a déjà rempli ces obligations en matière de prévention et de gestion. Pour ce faire, elles devront consigner des justificatifs dans un registre mis à disposition de l'autorité administrative.
À l'exception des informations ci-dessous, la société n'a pas connaissance (i) d'autres principales tendances ayant affecté la production, les ventes et les stocks, les coûts et les prix de vente, et (ii) de changements significatifs de la performance financière depuis la fin du dernier exercice jusqu'à la date du document d'enregistrement.
« Le Groupe LDLC (Euronext Growth - ISIN :FR0000075442- ALLDL) annonce avoir finalisé, le 10 avril 2020, l'acquisition du fonds de commerce de Top Achat, après l'obtention de l'accord de l'autorité de concurrence et la levée des diverses conditions suspensives comme prévu dans le calendrier.
L'activité de Top Achat, qui a réalisé en 2019 un chiffre d'affaires supérieur à 90 millions d'euros, s'intègre pleinement à la stratégie de distributeur spécialisé multimarques mise en œuvre par le Groupe LDLC.
Olivier de la Clergerie, Directeur Général du Groupe LDLC, commente : Nous sommes très heureux d'accueillir les collaborateurs de Top Achat au sein de notre Groupe. Ce rapprochement, déjà pleinement opérationnel, est une source d'opportunités et de synergies complémentaires pour le nouvel ensemble. »
« Olivier de la Clergerie, Directeur Général du Groupe LDLC, commente : L'exercice 2019/2020 a été particulièrement intense pour le Groupe. Nous avons mené avec succès des chantiers stratégiques essentiels pour l'avenir, comme le repositionnement de nos offres et leur élargissement avec l'acquisition récente de Top Achat. De plus, cet exercice confirme le dynamisme de nos activités BtoB, dont le chiffre d'affaires est en croissance au 2nd semestre, en dépit de la crise sanitaire qui a impacté certaines de nos activités en fin de période.
Nous sommes confiants dans la capacité du Groupe à atteindre l'objectif d'excédent brut d'exploitation supérieur à 14 millions d'euros pour l'exercice 2019/2020 et, au-delà, à maintenir la trajectoire de croissance rentable amorcée depuis plusieurs mois. Le Groupe dispose, plus que jamais, de fondamentaux solides qui devraient lui permettre de passer avec sérénité la crise sanitaire actuelle mais surtout de tirer pleinement parti d'un retour à une conjoncture plus favorable. »
| En millions d'euros | 2019/2020 | 2018/2019 | Var. en % |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires T1 | 103,7 | 109,1 | -4,9% |
| Chiffre d'affaires T2 | 118,3 | 125,5 | -5,7% |
| Chiffre d'affaires T3 | 150,6 | 145,8 | +3,3% |
| Chiffre d'affaires T4 | 120,7 | 127,1 | -5,0% |
| Chiffre d'affaires 12 mois | 493,3 | 507,5 | -2,8% |
Données sociales : le chiffre d'affaires s'établit à 105,8 millions d'euros au T4 2019/2020 et à 420,7 millions d'euros sur l'exercice.
Le chiffre d'affaires du 4ème trimestre 2019/2020 reflète les effets contrastés de la crise sanitaire actuelle sur les différentes activités du Groupe.
Sur la période, les activités BtoB enregistrent un chiffre d'affaires de 36,9 millions d'euros contre 41,0 millions d'euros au 4ème trimestre 2018/2019.
Le chiffre d'affaires des boutiques est en recul de 3% sur le 4ème trimestre 2019/2020 pour s'établir à 15,6 millions d'euros. À la suite de la mise en place des mesures de confinement sur l'ensemble du territoire, le Groupe LDLC a procédé à la fermeture temporaire de la plupart de ses magasins. À ce jour, seules 10 boutiques, sur les 51 que compte le réseau, sont ouvertes au public, dans le strict respect des mesures « barrières » préconisées.
Les activités BtoC online affichent un chiffre d'affaires trimestriel de 61,7 millions d'euros, stable par rapport à la même période de l'exercice précédent. Les ventes en ligne sont en nette progression, mais le Groupe a enregistré au 31 mars 2020 un décalage de facturation clients du fait du calendrier et des effets de la crise sanitaire sur la chaîne logistique.
Le chiffre d'affaires des activités BtoC, au global, s'établit sur le trimestre à 82,1 millions d'euros (84,0 millions d'euros au 4ème trimestre 2018/2019).
Sur l'exercice, l'activité BtoC réalise un chiffre d'affaires de 323,5 millions d'euros, contre 335,9 millions d'euros en 2018/2019. Pour rappel, le 1er semestre 2019/2020 avait été impacté par des effets négatifs du repositionnement stratégique, aujourd'hui achevé, de l'offre Materiel.net (impact de 18,6 millions d'euros).
Hors Materiel.net, les activités BtoC affichent un chiffre d'affaires de 236,0 millions d'euros en croissance de 2,7% par rapport à l'an dernier. Les revenus des boutiques LDLC.com sont en forte hausse de +11,2%, pour atteindre 66,7 millions d'euros.
Les activités BtoB enregistrent un chiffre d'affaires de 162,3 millions d'euros sur 2019/2020, stable par rapport à l'exercice précédent. Ces activités, qui étaient en progression de +3,5% sur les neufs premiers mois de l'année, sont plus particulièrement affectées par le fonctionnement ralenti des entreprises depuis l'entrée en vigueur des mesures de confinement en France.
Les autres activités (hors Maginea) totalisent un chiffre d'affaires cumulé sur l'exercice de 7,5 millions d'euros, contre 7,1 millions d'euros en 2018/2019. Ceci reflète notamment les bonnes performances de L'Armoire de Bébé dans l'univers de la puériculture.
À date, des impacts très variables sont observés en fonction des différentes activités du Groupe LDLC. Si les boutiques et les entités BtoB connaissent temporairement une baisse sensible d'activité, les sites de vente en ligne sont totalement opérationnels, dans un contexte logistique toutefois légèrement perturbé, et bénéficient d'une demande soutenue. En matière d'approvisionnement, le Groupe LDLC dispose des stocks et canaux d'approvisionnement appropriés pour satisfaire la demande.
Malgré cette situation inédite, le Groupe estime pouvoir s'appuyer sur le juste positionnement de son offre et son panel de métiers (réseau de distribution, BtoB, BtoC online) pour ne pas subir d'effets significatifs sur son activité globale.
Le Groupe LDLC a mis en place l'ensemble des mesures appropriées à la bonne marche des activités et accompagne notamment ses franchisés pour permettre une réouverture rapide du réseau de boutiques.
Le Groupe LDLC a finalisé, le 10 avril dernier, l'acquisition du fonds de commerce de Top Achat, auprès de Rue du Commerce. L'activité de Top Achat, qui a réalisé en 2019 un chiffre d'affaires supérieur à 90 millions d'euros, s'intègre pleinement à la stratégie de distributeur spécialisé multimarques mise en œuvre par le Groupe.
Ce rapprochement déjà pleinement opérationnel est une source d'opportunités et de synergies complémentaires pour le nouvel ensemble.
Le Groupe a mis en œuvre, sur les 18 derniers mois, différents axes stratégiques (repositionnement des enseignes web du Groupe, en particulier Materiel.net, développement du réseau de boutiques, arrêt des activités de distribution physique en Espagne, acquisition de Top Achat) dont il recueille dès aujourd'hui les fruits.
Fort du succès de ces actions, le Groupe LDLC annonce l'objectif d'un excédent brut d'exploitation supérieur à 14 millions d'euros au titre de l'exercice 2019/2020.
De par son positionnement réussi de distributeur spécialisé multimarques, le Groupe est désormais inscrit dans une trajectoire de croissance rentable, portée par une évolution structurelle de son taux de marge brute normatif et les effets de la politique d'optimisation de ses charges opérationnelles.
structurantes mises en œuvre sur les 18 derniers mois pour renforcer notre offre et notre positionnement sur les marchés du High-Tech. En outre, le Groupe a considérablement renforcé sa situation financière au cours de l'exercice, avec un endettement financier net ramené à 8,6 millions d'euros contre 60,3 millions d'euros un an plus tôt sous l'effet conjoint des cessions immobilières et d'un solide cash-flow
Le Groupe est confiant, malgré le contexte perturbé de ces derniers mois, dans sa capacité à délivrer des résultats à nouveau en forte progression pour l'exercice 2020/2021 avec un objectif de plus de 600 millions d'euros de chiffre d'affaires, soit une croissance supérieure à 20%, et 33 millions d'euros d'excédent brut d'exploitation, intégrant notamment l'acquisition récente du fonds de commerce Top
opérationnel de 12,4 millions d'euros.
| Publications* | Dates | Réunions d'information |
|---|---|---|
| Chiffre d'affaires T1 2020/2021 | 23 juillet 2020 | |
| Assemblée Générale annuelle | 25 septembre 2020 | |
| Chiffre d'affaires T2 2020/2021 | 29 octobre 2020 | |
| Résultats semestriels 2020/2021 | 3 décembre 2020 | 4 décembre 2020 |
| Chiffre d'affaires T3 2020/2021 | 28 janvier 2021 | |
| Chiffre d'affaires T4 2020/2021 | 29 avril 2021 | |
| Résultats annuels 2020/2021 | 17 juin 2021 | 18 juin 2021 |
*Diffusion après clôture de la Bourse.
Olivier de la Clergerie, Directeur Général du Groupe LDLC, commente : « L'exercice 2019/2020 marque une nette progression des résultats financiers du Groupe avec un retour, notamment au second semestre, à un niveau de rentabilité supérieur aux performances historiques. Ils témoignent de la pertinence des orientations stratégiques
| 2019/2020 12 mois |
S1 2019/2020 6 mois |
S2 2019/2020 6 mois |
2018/2019 Retraité 12 mois |
Variation en M€ |
||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 493,4 | 222,0 | 271,4 | 507,5 | -14,1 | ||||
| 95,1 | 42,3 | 52,8 | 86,1 | +9,0 | ||||
| 19,3% | 19,1% | 19,5% | 17,0% | +2,3 pts | ||||
| 15,7 | 4,7 | 11,0 | 1,8 | +13,9 | ||||
| 3,2% | 2,1% | 4,1% | 0,4% | +2,8 pts | ||||
| 6,6 | 0,8 | 5,8 | -5,5 | +12,2 | ||||
| -1,0 | -2,1 | +1,1 | ||||||
| 5,7 | -7,6 | +13,3 | ||||||
| 10,5 | -0,1 | +10.6 | ||||||
| -7,9 | 2,8 | -10,7 | ||||||
| 8,3 | -4,8 | +13,1 | ||||||
Achat. »
(1) Excédent brut d'exploitation = Résultat d'exploitation + dotations & reprises aux amortissements et provisions.
Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Directoire et le Conseil de Surveillance du Groupe LDLC ont approuvé les comptes annuels consolidés au 31 mars 2020. Les procédures d'audit des comptes sont finalisées et les comptes sont audités.
Comme annoncé lors du transfert de la société sur Euronext Growth à Paris (cf. communiqué de presse du 29 août 2019), le Groupe LDLC établit, à compter de l'exercice 2019/2020, ses comptes en normes françaises. Les comptes annuels 2018/2019 (clos au 31 mars 2019) ont donc été retraités en normes françaises afin d'assurer la comparabilité des deux exercices. Le détail des retraitements des comptes annuels 2018/2019 publiés en IFRS vers les normes françaises sera disponible dans le document d'enregistrement universel 2019/2020.
La Direction du Groupe LDLC estime que le chiffre d'affaires, la marge brute et l'excédent brut d'exploitation constituent des indicateurs pertinents de l'appréciation de l'activité du Groupe, sur lesquels elle entend communiquer désormais.
Le Groupe a réalisé, sur l'exercice 2019/2020, un chiffre d'affaires annuel de 493,4 millions d'euros, contre 507,5 millions d'euros pour l'exercice précédent. Le dynamisme des activités observé sur le 2nd semestre a été en partie pénalisé par le début des effets contrastés de la crise sanitaire actuelle sur les différentes activités du Groupe au 4ème trimestre 2019/2020.
Sur l'exercice, l'activité BtoC réalise un chiffre d'affaires de 323,5 millions d'euros contre 335,9 millions d'euros en 2018/2019, avec une croissance de 1,2% au 2nd semestre (180,6 millions d'euros sur la période, vs. 178,4 millions d'euros un an plus tôt). Pour rappel, le 1er semestre 2019/2020 avait été impacté par des effets négatifs du repositionnement stratégique, aujourd'hui achevé, de l'offre Materiel.net.
Les revenus des boutiques LDLC sont en hausse de +11,2%, pour atteindre 66,7 millions d'euros, traduisant le développement continu du réseau sur l'exercice (51 magasins en France au 31 mars 2020 contre 42 un an plus tôt).
Les activités BtoB enregistrent un chiffre d'affaires de 162,3 millions d'euros sur 2019/2020, stable par rapport à l'exercice précédent.
Le panier moyen Groupe progresse de +9,5% pour atteindre 426 euros HT (389 euros HT en N-1). Le Groupe a recruté 329 000 nouveaux clients (BtoC et BtoB) sur l'exercice.
Les autres activités totalisent un chiffre d'affaires cumulé sur l'exercice de 7,6 millions d'euros, contre 7,1 millions d'euros en 2018/2019. Ceci reflète notamment les bonnes performances de L'Armoire de Bébé dans l'univers de la puériculture.
Avec le repositionnement stratégique des marques du Groupe, la marge brute progresse de +9,0 millions d'euros pour atteindre 95,1 millions d'euros sur l'exercice 2019/2020, soit 19,3% du chiffre d'affaires. Le Groupe LDLC est confiant dans sa capacité à délivrer, sur le long terme, un niveau de marge brute normatif comparable à celui de l'exercice 2019/2020 (hors impacts éventuels liés au positionnement du fonds de commerce Top Achat).
L'excédent brut d'exploitation s'établit à 15,7 millions d'euros sur 2019/2020, en progression de +13,9 millions d'euros. La marge d'EBE est ainsi passée de 0,4% en 2018/2019 à 3,2% en 2019/2020, dont 4,1% au seul 2nd semestre.
Cette nette amélioration de la rentabilité opérationnelle s'explique par la progression de la marge brute, mais également par la matérialisation des économies liées aux synergies et de l'abaissement des charges, initiés par le Groupe sur l'exercice précédent.
Le coût de l'endettement financier s'élève à 1,2 million d'euros, contre 1,8 million d'euros un an plus tôt, reflétant le désendettement enregistré sur l'exercice. Le Groupe a généré sur 2019/2020 un résultat exceptionnel de 10,5 millions d'euros, principalement lié aux cessions immobilières de l'entrepôt de Nantes et du siège social à Limonest. Ce résultat exceptionnel intègre également les charges liées à l'arrêt des activités en Espagne (2,3 millions d'euros).
Le résultat net de l'exercice 2019/2020 atteint 8,3 millions d'euros, en progression de +13,1 millions d'euros par rapport à l'exercice précédent.
Les capitaux propres s'établissent à 62,4 millions d'euros (contre 54,3 millions d'euros au 31 mars 2019) pour un endettement financier net ramené à 8,6 millions d'euros (vs. 60,3 millions d'euros au 31 mars 2019).
Cette réduction significative de 51,7 millions d'euros de l'endettement net, conséquence des cessions de l'entrepôt de Nantes (juin 2019) et des murs du siège social situé à Limonest (juillet 2019) et de l'amélioration du résultat, permet au Groupe LDLC de retrouver une marge de manœuvre financière propice au développement de ses activités.
Néanmoins, à titre de précaution dans le contexte de crise sanitaire, le Groupe a sollicité et obtenu, en avril dernier, un Prêt Garanti par l'État (PGE) d'un montant de 18 millions d'euros auprès de ses partenaires bancaires.
Durant la crise sanitaire, le Groupe LDLC a observé des impacts très différents en fonction de ses activités avec une baisse importante d'activité pour les boutiques et les entités BtoB, totalement compensée par une demande très soutenue sur les sites de vente en ligne.
Le Groupe constate que le juste positionnement de son offre et son panel de canaux de vente (boutiques physiques, BtoB, BtoC online) lui permettent, à ce jour, de ne subir aucun effet négatif sur son activité globale et même de bénéficier de manière significativement positive de son profil de distribution omnicanal.
Le Groupe LDLC œuvre actuellement à la reprise des activités qui étaient en difficulté durant le confinement, avec une attention particulière portée à l'accompagnement de ses franchisés. Il constate que le retour à la normale pour ces activités pourrait s'effectuer rapidement, les activités Internet étant pour leur part toujours en croissance.
Le Groupe LDLC a finalisé, le 10 avril dernier, l'acquisition du fonds de commerce Top Achat, auprès de Rue du Commerce. Ce rapprochement, déjà pleinement opérationnel, est une source d'opportunités et de synergies complémentaires pour le nouvel ensemble.
Les résultats de l'exercice écoulé témoignent de l'impact significatif, sur le modèle économique et la performance financière du Groupe, des différents axes stratégiques mis en œuvre sur les 18 derniers mois (repositionnement des enseignes web du Groupe, en particulier Materiel.net, développement du réseau de boutiques, arrêt des activités de distribution physique en Espagne, acquisition de Top Achat).
Fort de ces évolutions structurelles, le Groupe LDLC est confiant dans sa capacité à poursuivre et accélérer sa trajectoire de croissance rentable sur l'exercice 2020/2021, et se fixe pour objectifs de réaliser plus de 600 millions d'euros de chiffre d'affaires, soit une croissance de plus de 20%, et 33 millions d'euros d'excédent brut d'exploitation.
Sur la base de ces objectifs, le Groupe estime être en mesure d'atteindre un endettement financier net négatif à l'issue de l'exercice 2020/2021.
Le 19 juin 2020 à 10h00 – Conférence téléphonique de présentation des résultats annuels.
Pour participer à cette conférence téléphonique, merci de composer le numéro suivant : 01 72 72 74 03
Le support de présentation sera accessible depuis le lien suivant :
https://www.anywhereconference.com/?Conference=418932541&PIN=89287859&UserAudioMode=DATA
Login : 418932541/Code pin : 89287859#
Le 23 juillet 2020 après Bourse, chiffre d'affaires du 1er trimestre 2020/2021
Olivier de la Clergerie, Directeur Général du Groupe LDLC commente : « Dans le contexte de crise sanitaire et économique, nous réalisons une excellente performance pour un premier trimestre, grâce notamment à notre profil de distributeur omnicanal. Si certaines activités (BtoB et boutiques) ont été plus ou moins significativement impactées, nos ventes en ligne ont largement progressé, avec des croissances supérieures à 60%. La mobilisation et le soutien sans faille de l'ensemble des collaborateurs du Groupe pendant la période de confinement a été déterminante dans ce succès.
Depuis mi-mai, des dynamiques favorables se créent ou perdurent sur l'ensemble de nos activités. Le Groupe est ainsi confiant dans sa capacité à délivrer des résultats à nouveau en forte progression pour l'exercice 2020/2021 et relève son objectif de chiffre d'affaires à plus de 635 millions d'euros, soit une croissance supérieure à 28%, et d'excédent brut d'exploitation à 38 millions d'euros, sur le nouveau périmètre consolidé du Groupe. »
| En millions d'euros | 2020/2021 | 2019/2020 | Var. en % |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires T1 | 149,1 | 103,7 | +43,7% |
| Information trimestrielle, données sociales : le chiffre d'affaires du T1 s'établit à 139,0 millions d'euros. |
Sur le trimestre écoulé, marqué par la crise sanitaire et la période de confinement en France, l'activité BtoC réalise un chiffre d'affaires de 115,7 millions d'euros en croissance de +77,3% (+44,7% à périmètre constant). Cette performance remarquable traduit, d'une part, la très forte croissance des activités en ligne sur l'ensemble du trimestre et, d'autre part, la contribution du fonds de commerce Top Achat, récemment acquis et pleinement opérationnel depuis le 10 avril dernier.
Parmi les activités BtoC les revenus des boutiques LDLC affichent une très légère baisse de -1,9% pour atteindre 13,8 millions d'euros. L'impact des fermetures des points de vente physiques pendant la période de confinement a ainsi été quasi totalement compensé par la croissance du réseau (52 magasins en France au 30 juin 2020 contre 45 un an plus tôt) et la vive reprise de l'activité observée depuis mi-mai.
Les activités BtoB enregistrent un chiffre d'affaires de 30,5 millions d'euros sur le 1er trimestre 2020/2021, contre 36,7 millions d'euros sur la même période de l'exercice précédent dans un contexte d'activité économique au ralenti jusqu'à la fin de la période de confinement. Néanmoins, la fin du trimestre a été marquée par un effet de rattrapage fort pour ces activités, qui sont en hausse de +20% sur le mois de juin (vs. juin 2019).
Les autres activités enregistrent une progression très significative sur le trimestre (+63,8%) à 2,8 millions d'euros, contre 1,7 million d'euros au 1er trimestre 2019/2020. Cette performance est due à la très forte croissance de L'Armoire de Bébé dans l'univers de la puériculture. L'enseigne a mis à profit la période du confinement pour développer sa notoriété et affiche un chiffre d'affaires de 1,8 million d'euros au 1er trimestre, en croissance de plus de +150%.
La nette amélioration des résultats financiers du Groupe en 2019/2020 a témoigné de l'impact significatif sur le modèle économique et la performance financière du Groupe des différents axes stratégiques mis en œuvre sur les 18 derniers mois (repositionnement des enseignes web du Groupe, en particulier Materiel.net, développement du réseau de boutiques, arrêt des activités de distribution physique en Espagne, acquisition de Top Achat).
Durant la période de crise sanitaire, le Groupe a démontré la bonne résilience de son modèle économique et la pertinence de son profil de distributeur omnicanal (boutiques physiques, BtoB, BtoC online) et du positionnement de son offre.
Fort de ce positionnement et dans un contexte favorable de reprise de l'ensemble de ses activités, le Groupe LDLC est confiant dans sa capacité à poursuivre et accélérer sa trajectoire de croissance rentable sur l'exercice 2020/2021. Il se fixe désormais pour objectifs de réaliser plus de 635 millions d'euros de chiffre d'affaires (contre plus de 600 millions d'euros initialement), soit une croissance de plus de 28%, et 38 millions d'euros d'excédent brut d'exploitation (contre 33 millions d'euros initialement).
Sur la base de ces objectifs revus, le Groupe réaffirme être en mesure d'atteindre un endettement financier net négatif au cours de l'exercice 2020/2021.
La nette amélioration des résultats financiers du Groupe en 2019/2020 a témoigné de l'impact significatif sur le modèle économique et la performance financière du Groupe des différents axes stratégiques mis en œuvre sur les 18 derniers mois (repositionnement des enseignes web du Groupe, en particulier Materiel.net, développement du réseau de boutiques, arrêt des activités de distribution physique en Espagne, acquisition de Top Achat).
Durant la période de crise sanitaire, le Groupe a démontré la bonne résilience de son modèle économique et la pertinence de son profil de distributeur omnicanal (boutiques physiques, BtoB, BtoC online) et du positionnement de son offre.
Fort de ce positionnement et dans un contexte favorable de reprise de l'ensemble de ses activités, le Groupe LDLC est confiant dans sa capacité à poursuivre et accélérer sa trajectoire de croissance rentable sur l'exercice 2020/2021.
Cf. section 10.1.4. page 88 concernant l'objectif d'EBE pour 2020/2021.
La composition du Directoire est décrite dans la section 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise » du présent document.
Les membres du Directoire ont pour adresse professionnelle le siège social de la société.
L'expertise et l'expérience en matière de gestion des membres du Directoire résultent des différentes fonctions salariées et de direction qu'ils ont précédemment exercées (voir la section 12.1.5. du présent document).
Les membres du Conseil de Surveillance sont présentés dans la section 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise » du présent document.
Les membres du Conseil de Surveillance ont pour adresse professionnelle le siège social de la société.
L'expertise et l'expérience des membres du Conseil de Surveillance résultent des différentes fonctions salariées et de direction qu'ils ont précédemment exercées (voir la section 12.1.5. du présent document).
Nous vous invitons à vous référer à la section 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise » du présent document.
Nous vous indiquons que :
À la connaissance de la société, il n'existe, entre les membres du Directoire et les membres du Conseil de Surveillance, aucun autre lien familial.
À la connaissance de la société, aucun des membres du Directoire ou du Conseil de Surveillance, au cours des cinq dernières années :
Diplômé de sciences économiques et ingénieur en électronique, Laurent de la Clergerie a le profil type pour monter son propre site Internet : la connaissance informatique (indispensable) et la capacité d'analyser le marché.
En 1997, armé de son courage et de ses idées, il lance LDLC.com à Lyon. Nous sommes aux balbutiements du e-commerce… 20 années plus tard, LDLC.com est leader du e-commerce informatique et High-Tech en France.
Diplômé de l'ECAM (École Catholique d'Arts et Métiers de Lyon) en 1994, Olivier de la Clergerie a poursuivi ses études au sein de l'EM Lyon Business School.
En 1996, il aide son frère, Laurent, à créer la société LDLC.com, spécialisée dans la vente en ligne de produits informatiques et High-Tech.
Après son service militaire en République tchèque et une expérience chez Arthur Andersen en audit informatique, il rejoint définitivement LDLC.com en tant que Directeur Financier en mars 2000.
Depuis 2001, Olivier de la Clergerie est Directeur Général du Groupe LDLC, en charge des aspects Back office de l'entreprise et de L'École LDLC.
Marc Prieur a créé Hardware.fr, 1er site sur le Hardware PC en France en 1997 alors qu'il était encore lycéen. En 2000, le site est racheté par LDLC et devient une marque du Groupe. Spécialisé dans les pièces détachées, le site d'informations propose des articles, des comparatifs, des conseils et un espace d'échanges entre membres. En 2016, le site lance son activité e-commerce dans le même domaine. Marc Prieur est Directeur de Hardware.fr et membre du Directoire du Groupe LDLC depuis 2001.
Diplômée de l'EBP Bordeaux et HEC Paris en contrôle de gestion, Caroline Villemonte de la Clergerie a rejoint ses frères dès 1998, au lancement de l'aventure LDLC.com. Au poste de Directeur Administratif jusqu'en 2015, elle a accompagné la croissance du Groupe sur les volets administratifs et financiers. Caroline Villemonte de la Clergerie est membre du Directoire du Groupe LDLC.
Anne-Marie Valentin Bignier est diplômée d'HEC Paris option marketing en 1981. Elle a réalisé sa carrière en 1983 au sein du groupe EDF en occupant différents postes de responsabilité principalement dans les domaines clientèle, commercial, ressources humaines, organisationnel et audit. Anne-Marie Valentin Bignier est membre du Conseil de Surveillance du Groupe LDLC.
Suzanne Villemonte de la Clergerie a suivi des études dans le droit et la psychologie. Elle participe au projet d'entreprise familiale dès le commencement en 1997 et devient officiellement Présidente du Conseil de Surveillance du Groupe LDLC en 2000.
Diplômé de l'École Supérieure de Commerce de Bordeaux, Marc Villemonte de la Clergerie réalise sa carrière au sein du groupe Renault. Il a exercé des fonctions de direction notamment dans la finance, l'économie, le commerce et le marketing. Présent depuis le début de l'aventure entrepreneuriale de ses enfants, Marc Villemonte de la Clergerie est Vice-Président du Conseil de Surveillance depuis 2001 et membre du Conseil de Surveillance depuis 2000 (sa création).
À la connaissance de la société, il n'existe aucun conflit d'intérêts potentiel entre les devoirs à l'égard de la société et les intérêts privés et/ou autres devoirs des membres du Directoire et du Conseil de Surveillance de la société.
Le Conseil de Surveillance a adopté un Règlement intérieur dont un article intitulé « Conflit d'intérêts – Obligation de révélation » relatif à la prévention des conflits d'intérêts prévoyant l'obligation pour un membre du Conseil de Surveillance se trouvant dans une telle situation d'informer le Conseil de Surveillance dès qu'il en a connaissance, de toute situation laissant apparaître ou pouvant laisser apparaître un conflit d'intérêts entre l'intérêt social et son intérêt personnel direct ou indirect.
À la connaissance de la société, il n'existe, à la date du présent document, aucune restriction acceptée par les personnes visées à la section 12.1 ci-dessus concernant la cession, dans un certain laps de temps, de leur participation dans le capital de la société à l'exception des restrictions liées aux nantissements figurant en section 19.1.7.2 du présent document d'enregistrement universel.
Il n'existe pas, à la connaissance de la société, d'arrangement ou accord quelconque conclu avec les principaux actionnaires, clients, fournisseurs, ou autres en vertu duquel l'un des membres du Directoire ou du Conseil de Surveillance de la société ait été nommé.
En vue de nous conformer avec les dispositions du point 13.1 de l'annexe 1 du Règlement délégué (UE) 2019/980 de la Commission du 14 mars 2019, applicable sur renvoi du point 1.1 de l'annexe 2 dudit Règlement, nous vous rendons compte, au vu des informations en notre possession, des rémunérations et avantages de toute nature dus et/ou versés aux mandataires sociaux de la société durant les exercices clos le 31 mars 2019 et le 31 mars 2020. Les rémunérations et avantages ci-dessous comprennent ceux reçus de toute société comprise dans le périmètre de consolidation de la société au sens de l'article L.233-16 du Code de Commerce.
Nous vous indiquons :
Les tableaux figurant en annexe 2 de la position-recommandation AMF n°2014-14 sont présentés ci-dessous.
| Exercice clos le 31 mars 2019 |
Exercice clos le 31 mars 2020 |
|
|---|---|---|
| Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie, Président du Directoire | ||
| Rémunérations dues au titre de l'exercice (détaillées au tableau 2) | 246 747,83 euros | 199 621,71 euros |
| Valorisation des rémunérations variables pluriannuelles attribuées au cours de l'exercice |
Néant | |
| Valorisation des options attribuées au cours de l'exercice (détaillées au tableau 4) |
Néant | |
| Valorisation des actions attribuées gratuitement (détaillées au tableau 6) | Néant | |
| Total | 246 747,83 euros | 199 621,71 euros |
| Exercice clos le 31 mars 2019 |
Exercice clos le 31 mars 2020 |
|
|---|---|---|
| Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie, Directeur Général | ||
| Rémunérations dues au titre de l'exercice (détaillées au tableau 2) | 234 344,48 euros | 202 518,58 euros |
| Valorisation des rémunérations variables pluriannuelles attribuées au cours de l'exercice |
Néant | |
| Valorisation des options attribuées au cours de l'exercice (détaillées au tableau 4) |
Néant | |
| Valorisation des actions attribuées gratuitement (détaillées au tableau 6) | Néant | |
| Total | 234 344,48 euros | 202 518,58 euros |
| Exercice clos le 31 mars 2019 |
Exercice clos le 31 mars 2020 |
|
| Madame Caroline Villemonte de la Clergerie, membre du Directoire | ||
| Rémunérations dues au titre de l'exercice (détaillées au tableau 2) | 25 008,86 euros | 24 998,67 euros |
| Valorisation des rémunérations variables pluriannuelles attribuées au cours de l'exercice |
Néant | |
| Valorisation des options attribuées au cours de l'exercice (détaillées au tableau 4) |
Néant | |
| Valorisation des actions attribuées gratuitement (détaillées au tableau 6) | Néant | |
| Total | 25 008,86 euros | 24 998,67 euros |
| Exercice clos le 31 mars 2019 |
Exercice clos le 31 mars 2020 |
|
| Monsieur Marc Prieur, membre du Directoire | ||
| Rémunérations dues au titre de l'exercice (détaillées au tableau 2) | 117 494,94 euros | 107 508,42 euros |
| Valorisation des rémunérations variables pluriannuelles attribuées au cours de l'exercice |
Néant | |
| Valorisation des options attribuées au cours de l'exercice (détaillées au tableau 4) |
Néant |
Valorisation des actions attribuées gratuitement (détaillées au tableau 6) Néant
Total 117 494,94 euros 107 508,42 euros
Les tableaux suivants présentent les rémunérations dues aux mandataires sociaux dirigeants au titre des exercices clos les 31 mars 2019 et 31 mars 2020 et les rémunérations perçues par ces mêmes personnes au cours de ces mêmes exercices sur une base brute avant impôt.
Nous vous indiquons que les termes figurant dans les tableaux ci-dessous :
Nous vous indiquons également que, pour des raisons de confidentialité, le niveau des objectifs servant à la détermination de la rémunération variable annuelle de chaque dirigeant mandataire social figurant dans les tableaux ci-dessous ne peut être donné.
Enfin, nous vous indiquons qu'à ce jour la détermination de la rémunération variable des mandataires sociaux ne repose sur aucun critère de performance extra-financière mais seulement sur le résultat d'exploitation Groupe avant imputation de la participation aux salariés. L'attention du lecteur est attirée sur le fait que l'agrégat comptable « résultat d'exploitation » s'est substitué, pour la détermination de la rémunération variable susceptible d'être due au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020, à l'agrégat comptable « résultat opérationnel courant » en raison de l'adoption par la société des normes comptables françaises au lieu et place des normes IFRS résultant de son transfert sur le système multilatéral de négociation organisé Euronext Growth.
La société considère que cet agrégat comptable donne une vision suffisamment fidèle de la situation de cette dernière au cours d'un exercice donné pour refléter la performance collective et individuelle des mandataires sociaux. Par ailleurs, la société considère également que le choix de cet agrégat permet, indirectement, de prendre en compte le résultat des actions menées par la société en matière de responsabilité sociétale et environnementale.
À ce jour, la société n'entend pas intégrer, pour l'exercice devant se clore au 31 mars 2021, de critères de performance extra-financière pour la détermination de la rémunération variable des mandataires sociaux.
| Exercice clos le 31 mars 2019 | Exercice clos le 31 mars 2020 | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| Montants dus |
Montants versés |
Montants dus |
Montants versés |
||
| Rémunération fixe au titre du mandat social | 0 | 185 400,00 €(5) | 0 | 185 400,00 € | |
| Prime annuelle calculée selon la convention collective de la vente à distance sur catalogue spécialisé |
0 | 9 810,64 € | 0 | 10 552,17 € | |
| Rémunération variable annuelle(1)(2) | 0 (3) | 48 094,39 € | 34 531,61 €(6) | 0 | |
| Avantages en nature(4) | 0 | 3 442,80 € | 0 | 3 669,54 € | |
| Total | 0 | 246 747,83 € | 34 531,61 € | 199 621,71 € |
(1) Nous vous précisions que (i) le résultat d'exploitation Groupe (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) avant imputation de la participation aux salariés est le seul agrégat auquel est appliqué un pourcentage servant de base à la détermination du montant de la rémunération variable annuelle et (ii) que le montant de la rémunération variable annuelle n'est pas corrélé à la rémunération fixe perçue au titre du mandat social.
(2) Lors de ses réunions du 29 juin 2017, 20 juin 2019 et du 27 septembre 2019, le Conseil de Surveillance de la société a décidé que la rémunération variable annuelle susceptible d'être attribuée à Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie, sous réserve d'une détention par ce dernier, à la clôture de l'exercice, au nominatif de 2% au moins du capital social, serait déterminée en fonction du montant du résultat d'exploitation (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) Groupe avant imputation de la participation aux salariés, tel que comptabilisé à la clôture de chaque exercice auquel sera appliqué un pourcentage croissant compris entre 0% (en l'absence de résultat opérationnel) et 2,25% maximum.
(3) Lors de sa réunion du 20 juin 2019, le Conseil de Surveillance a constaté l'absence d'atteinte du niveau d'objectif du résultat opérationnel courant Groupe avant imputation de la participation aux salariés fixé à Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019. (4) Véhicule de fonction au titre de son mandat de membre du Directoire.
(5) Lors de ses réunions du 28 septembre 2018 et du 20 juin 2019, le Conseil de Surveillance a décidé de fixer, à compter du 1er avril 2018, la rémunération fixe annuelle brute de Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie en sa qualité de Président du Directoire à la somme de 185 400 euros.
(6) Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Conseil de Surveillance a constaté l'atteinte du niveau d'objectif de résultat d'exploitation Groupe avant imputation de la participation aux salariés fixé à Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie et l'attribution correspondante de sa rémunération variable au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020.
| Exercice clos le 31 mars 2019 | Exercice clos le 31 mars 2020 | |||
|---|---|---|---|---|
| Montants dus |
Montants versés |
Montants dus |
Montants versés |
|
| Rémunération fixe au titre du mandat social | 0 | 185 400,00 € | 0 | 187 560,00 €(6) |
| Prime annuelle calculée selon la convention collective de la vente à distance sur catalogue spécialisé |
0 | 12 396,75 € | 0 | 10 671,82 € |
| Rémunération variable annuelle(1)(2) | 0(3) | 32 062,93 € | 23 021,08 €(5) | 0 |
| Avantages en nature(4) | 0 | 4 484,80 € | 0 | 4 286,76 € |
| Total | 0 | 234 344,48 € | 23 021,08 € | 202 518,58 € |
(1) Nous vous précisions que (i) le résultat d'exploitation Groupe (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) avant imputation de la participation aux salariés est le seul agrégat auquel est appliqué un pourcentage servant de base à la détermination du montant de la rémunération variable annuelle et (ii) que le montant de la rémunération variable annuelle n'est pas corrélé à la rémunération fixe perçue au titre du mandat social.
(2) Lors de ses réunions du 28 mars 2014, du 20 juin 2019 et du 27 septembre 2019, le Conseil de Surveillance de la société a décidé que la rémunération variable annuelle susceptible d'être attribuée à Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie, sous réserve d'une détention par ce dernier, à la clôture de l'exercice, au nominatif de 2% au moins du capital social, serait déterminée en fonction du montant du résultat d'exploitation (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) Groupe avant imputation de la participation aux salariés, tel que comptabilisé à la clôture de chaque exercice auquel sera appliqué un pourcentage croissant compris entre 0% (en l'absence de résultat opérationnel) et 1,5% maximum.
(3) Lors de sa réunion du 20 juin 2019, le Conseil de Surveillance a constaté l'absence d'atteinte du niveau d'objectif du résultat opérationnel courant Groupe avant imputation de la participation aux salariés fixé à Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
(4) Véhicule de fonction au titre de son mandat de membre du Directoire.
(5) Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Conseil de Surveillance a constaté l'atteinte du niveau d'objectif de résultat d'exploitation Groupe avant imputation de la participation aux salariés fixé à Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie et l'attribution correspondante de sa rémunération variable au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020.
(6) La rémunération fixe de Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie est demeurée fixée à 185 400 euros bruts durant les exercices clos le 31 mars 2019 et le 31 mars 2020. La différence de 2 160 euros résulte d'un trop-perçu durant l'exercice clos le 31 mars 2020 restitué à la société postérieurement à la clôture et qui sera intégré dans les comptes de l'exercice devant se clore le 31 mars 2021.
| Exercice clos le 31 mars 2019 | Exercice clos le 31 mars 2020 | |||
|---|---|---|---|---|
| Montants dus |
Montants versés |
Montants dus |
Montants versés |
|
| Rémunération fixe au titre du mandat social | 0 | 21 600,00 € | 0 | 21 600,00 € |
| Prime annuelle calculée selon la convention collective de la vente à distance sur catalogue spécialisé |
0 | 1 325,15 € | 0 | 1 321,94 € |
| Rémunération variable annuelle(1)(2) | Néant (3) | Néant (5) | ||
| Avantages en nature (4) | 0 | 2 083,71 € | 0 | 2 076,73 € |
| Total | 0 | 25 008,86 € | 0 | 24 998,67 € |
(1) Nous vous précisions que (i) le résultat d'exploitation Groupe (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) avant imputation de la participation aux salariés est le seul agrégat auquel est appliqué un pourcentage servant de base à la détermination du montant de la rémunération variable annuelle et (ii) que le montant de la rémunération variable annuelle n'est pas corrélé à la rémunération fixe perçue au titre du mandat social.
(2) Lors de ses réunions du 2 avril 2013, 28 mars 2014, 29 juin 2017, 30 mars 2018, du 20 juin 2019 et du 27 septembre 2019, le Conseil de Surveillance de la société a décidé que la rémunération variable annuelle susceptible d'être attribuée à Madame Caroline Villemonte de la Clergerie, sous réserve que cette dernière (i) soit titulaire d'un contrat de travail au sein du Groupe et ne perçoive pas à ce titre de rémunération variable annuelle et (ii) justifie d'une détention, à la clôture de l'exercice, au nominatif de 2% au moins du capital social, serait déterminée en fonction du montant du résultat d'exploitation (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) Groupe avant imputation de la participation aux salariés, tel que comptabilisé à la clôture de chaque exercice auquel sera appliqué un pourcentage croissant compris entre 0% (en l'absence de résultat opérationnel) et 0,75% maximum.
(3) En l'absence de contrat de travail au sein du Groupe au 31 mars 2019, Madame Caroline Villemonte de la Clergerie ne remplissait pas la condition préalable d'allocation d'une rémunération variable annuelle au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
(4) Véhicule de fonction au titre de son mandat de membre du Directoire.
(5) En l'absence de contrat de travail au sein du Groupe au 31 mars 2020, Madame Caroline Villemonte de la Clergerie ne remplissait pas la condition préalable d'allocation d'une rémunération variable annuelle au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020.
| Marc Prieur, membre du Directoire | ||||
|---|---|---|---|---|
| Exercice clos le 31 mars 2019 | Exercice clos le 31 mars 2020 | |||
| Montants dus |
Montants versés |
Montants dus |
Montants versés |
|
| Rémunération fixe au titre du mandat social | 0 | 4 800,00 € | 0 | 4 800,00 € |
| Prime annuelle calculée selon la convention collective de la vente à distance sur catalogue spécialisé |
0 | 1 263,58 € | 0 | 368,50 € |
| Rémunération fixe au titre de ses fonctions salariées au sein de la société Hardware.fr |
0 | 86 400,00 € | 0 | 92 400,00 € |
| Rémunération variable annuelle(1)(2) | 0 (3) | 16 031,46 € | 11 510,54 €(6) | 0 |
| Rémunération exceptionnelle au titre des fonctions salariées au sein de la société Hardware.fr(4) |
0 | 7 200,00 € | 0 | 8 200,00 € |
| Avantages en nature(5) | 0 | 1 800,00 € | 0 | 1 739,92 € |
| Total | 0 | 117 494,94 € | 11 510,54 € | 107 508,42 € |
(1) Nous vous précisions que (i) le résultat d'exploitation Groupe (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) avant imputation de la participation aux salariés est le seul agrégat auquel est appliqué un pourcentage servant de base à la détermination du montant de la rémunération variable annuelle et (ii) que le montant de la rémunération variable annuelle n'est pas corrélé à la rémunération fixe perçue au titre du mandat social.
(2) Lors de ses réunions du 2 avril 2013, 28 mars 2014, 29 juin 2017, 30 mars 2018, 20 juin 2019 et du 27 septembre 2019, le Conseil de Surveillance de la société a décidé que la rémunération variable annuelle susceptible d'être attribuée à Monsieur Marc Prieur, sous réserve que ce dernier (i) soit titulaire d'un contrat de travail au sein du Groupe et ne perçoive pas à ce titre de rémunération variable annuelle et (ii) justifie d'une détention, à la clôture de l'exercice, au nominatif de 2% au moins du capital social, serait déterminée en fonction du montant du résultat d'exploitation (ou le résultat opérationnel courant s'agissant de l'exercice clos le 31 mars 2019) Groupe avant imputation de la participation aux salariés, tel que comptabilisé à la clôture de chaque exercice auquel sera appliqué un pourcentage croissant compris entre 0% (en l'absence de résultat opérationnel) et 0,75% maximum.
(3) Lors de sa réunion du 20 juin 2019, le Conseil de Surveillance a constaté l'absence d'atteinte du niveau d'objectif du résultat opérationnel courant Groupe avant imputation de la participation aux salariés fixé à Monsieur Marc Prieur au titre de l'exercice clos le 31 mars 2019.
(4) Prime de 13ème mois.
(5) Véhicule de fonction au titre du mandat de membre du Directoire.
(6) Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Conseil de Surveillance a constaté l'atteinte du niveau d'objectif de résultat d'exploitation Groupe avant imputation de la participation aux salariés fixé à Monsieur Marc Prieur et l'attribution correspondante de sa rémunération variable au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020.
Tableaux n°3 : Tableau de la rémunération des membres du Conseil de Surveillance visée à l'article L.225-83 du Code de Commerce et des autres rémunérations perçues par les mandataires sociaux non-dirigeants
| Exercice clos le 31 mars 2019 |
Exercice clos le 31 mars 2020 |
|
|---|---|---|
| Madame Suzanne Villemonte de la Clergerie, Présidente du Conseil de Surveillance |
||
| Rémunération allouée au titre de l'article L.225-83 du Code de Commerce | Néant | Néant |
| Rémunération fixe au titre du mandat social | 21 600,00 € | 21 600,00 € |
| Total | 21 600,00 € | 21 600,00 € |
| Exercice clos le 31 mars 2019 |
Exercice clos le 31 mars 2020 |
|
|---|---|---|
| Monsieur Marc Villemonte de la Clergerie, | ||
| Vice-Président du Conseil de Surveillance | ||
| Rémunération allouée au titre de l'article L.225-83 du Code de Commerce | Néant | Néant |
| Rémunération fixe au titre du mandat social | 16 800,00 € | 16 800,00 € |
| Total | 16 800,00 € | 16 800,00 € |
| Exercice clos le 31 mars 2019 |
Exercice clos le 31 mars 2020 |
|
|---|---|---|
| Madame Anne-Marie Valentin Bignier, | ||
| Membre du Conseil de Surveillance | ||
| Rémunération allouée au titre de l'article L.225-83 du Code de Commerce | Néant | Néant |
| Total | Néant | Néant |
Tableau n°4 : Options de souscription ou d'achat d'actions attribuées durant l'exercice à chaque dirigeant mandataire social par l'émetteur et par toute société du Groupe
Tableau n°5 : Options de souscription ou d'achat d'actions levées durant l'exercice par chaque dirigeant mandataire social
Néant.
Tableau n°6 : Actions attribuées gratuitement à chaque mandataire social durant l'exercice écoulé Tableau n°7 : Actions attribuées gratuitement devenues disponibles pour chaque mandataire social durant l'exercice écoulé
Néant.
Tableau n°8 : Historique des attributions d'options de souscription ou d'achat d'actions
Néant.
Tableau n°9 : Options de souscription ou d'achat d'actions consenties aux dix premiers salariés non mandataires sociaux attributaires et options levées par ces derniers
Néant.
| 28/09/2012 | 28/09/2012 | 28/09/2012 | 30/09/2016 | 30/09/2016 | 30/09/2016 | 30/09/2016 |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 24/06/2013 | 28/03/2014 | 09/07/2014 | 30/09/2016 | 29/06/2017 | 13/11/2017 | 23/02/2018 |
| 11 494 | 137 | 161 746 | 1 500 | 10 000 | 2 000 | 70 000 |
| 11 494 | 0 | 160 924 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| 23/06/2015 | 28/03/2016 | (2) | 30/09/2018 | (2) | 13/11/2019 | (2) |
| 23/06/2017 | 28/03/2018 | (2) | 01/10/2020 | (2) | 14/11/2021 | (2) |
| 11 494 | 137 | 161 746 | 1 500 | 1 000 | 2 000 | 10 000 |
| Néant | Néant | Néant | Néant | Néant | Néant | 35 000 |
| Néant | Néant | Néant | Néant | 9 000 | Néant | 25 000 |
| Valeur des actions (cours de 9,68 euros |
22,32 euros | 17,10 euros | 33,30 euros | 28,49 euros | 19,55 euros | 17,94 euros |
| Néant | Néant | 11 670,92 | Néant | 46 459,84 | 13 242,28 | 248 475,71 |
(1) En qualité de salarié de la société en charge des aspects vente, web et marketing. Monsieur Philippe Sauze n'est plus membre du Directoire depuis le 29 novembre 2017.
(2) Nous vous invitons à vous reporter au rapport spécial de l'usage fait par le Directoire des autorisations d'attribuer gratuitement des actions de la société en vertu des dispositions des articles L.225-197-1 et suivants dudit Code figurant en section 24 du présent document.
(3) Nous vous invitons à vous reporter à la note 4.2 de l'annexe aux comptes consolidés figurant en section 18.1.
Le tableau suivant apporte des précisions quant aux conditions de rémunération et autres avantages consentis aux mandataires sociaux dirigeants en fonction au 31 mars 2020 :
| travail | relatives à une clause de non |
Indemnités concurrence |
|||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Oui | Non | Oui | Non | Oui | Non | Oui | Non |
| X | X | X | X | ||||
| 07/03/2000 | |||||||
| À l'issue de l'Assemblée Générale annuelle statuant sur les comptes de l'exercice clos le 31/03/2025 |
|||||||
| X | X | X | X | ||||
| X | X | X | X | ||||
| 07/03/2000 | |||||||
| À l'issue de l'Assemblée Générale annuelle statuant sur les comptes de l'exercice clos le 31/03/2025 |
|||||||
| X (1) | X | X | X | ||||
| 14/04/2005 | |||||||
| Contrat de | Régime de retraite supplémentaire |
07/03/2000 | Indemnités ou avantages dus ou susceptibles d'être dus à raison de la cessation ou du changement de fonction y compris engagements de retraite et autres avantages viagers de l'exercice clos le 31/03/2025 de l'exercice clos le 31/03/2025 |
À l'issue de l'Assemblée Générale annuelle statuant sur les comptes À l'issue de l'Assemblée Générale annuelle statuant sur les comptes |
(1) Marc Prieur est salarié de la société Hardware.fr, filiale de la société.
100
Nous vous invitons à vous référer à la section 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise » du présent document.
À l'exception des provisions pour indemnités légales de départ à la retraite, détaillées sous la note 3.12 de l'annexe aux comptes consolidés figurant en section 18.1 du présent document, la société n'a pas provisionné de sommes aux fins de versement de pensions, retraites et autres avantages au profit des membres du Directoire et du Conseil de Surveillance.
La société n'a pas versé de prime d'arrivée ou de départ aux mandataires sociaux susvisés. Le Groupe n'a pas versé de prime d'arrivée ou de départ aux mandataires sociaux.
En application de l'article L.621-18-2 du Code monétaire et financier et 223-22-A et suivants du Règlement général de l'Autorité des marchés financiers, la société indique qu'aucune opération mentionnée à l'article L.621-18-2 du Code monétaire et financier n'a fait l'objet d'une déclaration au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020.
La composition et les informations relatives aux membres du Directoire font l'objet des développements présentés à la section 12 « Organes d'administration, de direction, de surveillance et de Direction Générale » du présent document.
Monsieur Marc Prieur (membre du Directoire) a conclu avec Hardware (filiale de la société), le 1er août 2000, un contrat de travail en qualité de rédacteur en chef.
À l'exception de ce qui précède, il n'existe pas de contrat liant un mandataire social à la société ou l'une de ses filiales.
Nous vous invitons à vous référer à la section 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise » du présent document.
Nous vous invitons à vous référer à la section 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise » du présent document.
Les procédures de contrôle interne en vigueur dans la société ont pour objet :
L'un des objectifs du contrôle interne est de prévenir et maîtriser les risques résultant de l'activité de l'entreprise et de ses filiales et les risques d'erreurs ou de fraudes, en particulier dans les domaines comptable et financier. Comme tout système de contrôle, il ne peut cependant fournir une garantie absolue que ces risques sont totalement éliminés.
(i) Le contrôle interne au sein de la société est organisé, de manière centralisée, par direction, sous la responsabilité d'un directeur/responsable de service localisé au siège social et directement rattaché au Directoire et, en particulier, au Président du Directoire et/ou aux directeurs généraux.
Les procédures de contrôle interne sont mises en place au sein de la société et, le cas échéant, sont modifiées, sur décision de la Direction Générale, en coordination et avec l'assistance de chaque directeur/responsable de service concerné. Il n'existe pas de procédure écrite, ni de manuel ou guide de procédures internes.
(ii) Les principaux services/personnes chargés du contrôle interne sont les suivants :
Présente sur 3 sites différents, la direction commerciale assure :
Dans le cadre des services proposés aux professionnels, la société est aussi à même de pouvoir assurer le câblage d'une entreprise, via sa filiale DLP Connect, ou l'installation et/ou la réparation de matériels informatiques, via la société Bluescreen.
Les collaborateurs de ce pôle ont en charge les projets informatiques suivants :
La direction des services généraux assure notamment le suivi juridique de la société, la gestion des locaux, des déplacements, la mise en œuvre des projets de déménagement ou d'extension des locaux, selon les calendriers prévus, tout retard dans la mise en œuvre de certaines décisions stratégiques pouvant impacter fortement l'activité du Groupe.
Le service centre de contact client est réparti sur 2 sites ; il est notamment en charge de la relation clients, du support technique et du contact téléphonique des boutiques, et ce pour les différents sites marchands du Groupe.
Dédié aux aspects comptables et de contrôle de gestion du Groupe, ce pôle assure les tâches suivantes :
Les relations avec les partenaires bancaires sont directement gérées par la Direction Générale.
Ce service s'occupe notamment des tâches de recrutement, mobilité, intégration, embauches, planning, gestion de la paie et des contrats de travail, ainsi que la gestion du budget formation.
Ce service s'occupe de gérer les relations contractuelles avec les fournisseurs, l'intégralité de l'approvisionnement du Groupe LDLC, ainsi que la rédaction des fiches techniques du site.
Les services logistiques s'occupent de procéder à la bonne exécution des commandes des clients du Groupe ainsi que leur acheminement à ces derniers. Ils gèrent également les flux SAV des produits et la gestion des ateliers d'assemblage d'ordinateurs.
Cette direction s'occupe de gérer l'intégralité des aspects de la marque de puériculture, des achats à l'animation des sites ou points de vente.
Ce service s'occupe de travailler sur la conception de nouveaux produits ou brevets pour la société Groupe LDLC dans le cadre de son développement et de leur mise sur le marché.
Mesdames, Messieurs, Chers actionnaires,
Conformément aux dispositions de l'article L.225-68 alinéa 6 du Code de Commerce, nous vous rendons compte dans le présent rapport des informations, le cas échéant adaptées aux sociétés à Conseil de Surveillance, mentionnées aux articles L.225-37-3 à L.225-37-5 du Code de Commerce ainsi que les observations du Conseil de Surveillance sur le rapport du Directoire et sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2020.
Les termes de ce rapport, préparé notamment sur la base des informations transmises au Conseil de Surveillance, ont été arrêtés et approuvés par le Conseil de Surveillance lors de sa réunion du 18 juin 2020.
La société précise que les dispositions de l'article L.225-37-4, 8° du Code de Commerce, sur renvoi de l'article L.225-68 du même Code, relatives au choix d'un Code de gouvernement d'entreprise, ne lui sont plus applicables. Toutefois, la société a choisi de continuer de se référer volontairement au Code Middlenext publié en décembre 2009 et révisé en septembre 2016 en tant que Code de référence en matière de gouvernement d'entreprise.
La société a estimé que ledit Code était plus adapté à sa taille et à la structure de son actionnariat.
À titre liminaire, il est rappelé que les actions de la société étant admises, depuis le 2 septembre 2019, aux négociations sur le système multilatéral de négociation organisé Euronext Growth au lieu et place du marché réglementé d'Euronext Paris, le contenu du présent rapport a été revu par rapport à l'exercice précédent dans la mesure où les dispositions suivantes ne sont plus applicables à la société :
Ce code est disponible sur le site de Middlenext (www.middlenext.com).
Le Directoire a initié une démarche, visant à une mise en conformité progressive avec les recommandations du gouvernement d'entreprise Middlenext. La révision de ce Code a d'ailleurs amené la société à poursuivre cette démarche afin de se conformer au mieux aux nouvelles recommandations en fonction de ses spécificités.
| Recommandations du Code Middlenext | Adoptée au 31 mars 2020 |
Non adoptée au 31 mars 2020 |
|---|---|---|
| I. Le pouvoir de « surveillance » | ||
| R 1 : Déontologie des membres du Conseil | X | |
| R 2 : Conflits d'intérêts | X | |
| R 3 : Présence de membres indépendants au sein du Conseil | X(1) | |
| R 4 : Information des membres du Conseil | X | |
| R 5 : Organisation des réunions du Conseil et des Comités | X | |
| R 6 : Mise en place de Comités | X | |
| R 7 : Mise en place d'un Règlement intérieur du Conseil | X(6) | |
| R 8 : Choix des administrateurs | X | |
| R 9 : Durée des mandats des membres du Conseil | X(2) | |
| R 10 : Rémunération de l'administrateur | X(3) | |
| R 11 : Mise en place d'une évaluation des travaux du Conseil | X(4) | |
| R 12 : Relations avec les actionnaires | X | |
| II. Le pouvoir exécutif | ||
| R 13 : Définition et transparence de la rémunération des dirigeants mandataires sociaux | X | |
| R 14 : Préparation de la succession des dirigeants | X(5) | |
| R 15 : Cumul contrat de travail et mandat social | X | |
| R 16 : Indemnités de départ | X | |
| R 17 : Régimes de retraite supplémentaires | X | |
| R 18 : Stock-options et attribution gratuite d'actions | X | |
| R 19 : Revue des points de vigilance | X |
(1) Si le Conseil de Surveillance est amené à évoluer, dans le cadre de cette évolution de la composition du Conseil de Surveillance, la recommandation R3 du Code Middlenext relative à la présence de deux membres indépendants sera prise en compte.
(2) Le Conseil de Surveillance considère que la durée statutaire des mandats est adaptée aux spécificités de l'entreprise, dans les limites fixées par la loi. Néanmoins, la société ne juge pas utile de proposer aux actionnaires une modification statutaire tendant au renouvellement échelonné des mandats compte tenu de la taille et de la composition du Conseil de Surveillance.
(3) Si le Conseil de Surveillance est amené à évoluer, dans le cadre de cette évolution et de la nomination éventuelle de membres indépendants, l'allocation d'une rémunération dont la répartition serait arrêtée en fonction de leur assiduité et du temps qu'ils consacrent à leur fonction, y compris l'éventuelle présence à des Comités, sera prise en compte.
(4) En vue de se conformer à la recommandation n°11 du Code Middlenext, le Conseil a procédé, lors de sa réunion du 18 juin 2020, à son auto-évaluation.
(5) Conformément à l'article 1.2 du Règlement intérieur de la société, le Conseil de Surveillance examine, s'il le juge opportun, la question de la succession du dirigeant en exercice (et éventuellement d'un certain nombre d'hommes et de femmes clés).
(6) Le Règlement intérieur du Conseil de Surveillance de la société est consultable, sur demande, au siège social.
Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Conseil de Surveillance de la société, conformément à la recommandation n°19 du Code de gouvernement Middlenext, a pris connaissance des points de vigilance dudit Code.
Aucune modification future de la composition des organes d'administration et de direction et des Comités n'a été décidée par les organes d'administration et de direction et/ou l'Assemblée des actionnaires.
La société est dirigée par un Directoire qui exerce ses fonctions sous le contrôle d'un Conseil de Surveillance.
Le Directoire est composé de cinq membres maximum. Les membres sont nommés par le Conseil de Surveillance. Toutefois, si le capital n'atteint pas 150 000 euros, une seule personne peut être désignée par le Conseil de Surveillance pour exercer les fonctions dévolues au Directoire avec le titre de Directeur Général unique.
Les membres du Directoire sont nommés pour une durée de cinq (5) ans et sont toujours rééligibles. Les fonctions des membres du Directoire prennent fin à l'issue de l'Assemblée Générale Ordinaire appelée à statuer sur les comptes de l'exercice écoulé et tenue dans l'année au cours de laquelle expirent ces fonctions.
Nul ne peut être nommé membre du Directoire s'il est âgé de plus de 65 ans. Le membre du Directoire en fonction venant à dépasser cet âge est réputé démissionnaire d'office à l'issue de la plus prochaine réunion du Conseil de Surveillance.
Les membres du Directoire peuvent être révoqués à tout moment et ce qu'elle qu'en soit la cause, par décision du Conseil de Surveillance.
Le Conseil de Surveillance détermine la rémunération des membres du Directoire et confère à l'un d'eux la qualité de Président.
En outre, conformément à l'article L.225-66 du Code de Commerce, les statuts peuvent habiliter le Conseil de Surveillance à attribuer le même pouvoir de représentation à un ou plusieurs autres membres du Directoire, qui portent alors le titre de Directeur Général.
Au 31 mars 2020, le Directoire de la société était constitué de 4 membres.
| Nom et prénom | Mandat | Date de nomination et d'échéance du mandat |
|---|---|---|
| Membre du Directoire | Première nomination : 7 mars 2000 1er renouvellement : 19 juillet 2005 2ème renouvellement : 1er juillet 2010 3ème renouvellement : 19 juin 2015 4ème renouvellement : 18 juin 2020 Date d'échéance du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes de l'exercice |
|
| Laurent Villemonte de la Clergerie | clos le 31 mars 2025 | |
| Président du Directoire | Première nomination : 7 mars 2000 1er renouvellement : 19 juillet 2005 2ème renouvellement : 1er juillet 2010 3ème renouvellement : 19 juin 2015 4ème renouvellement : 18 juin 2020 |
|
| Date d'échéance du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2025 |
||
| Olivier Villemonte de la Clergerie | Membre du Directoire | Première nomination : 7 mars 2000 1er renouvellement : 19 juillet 2005 2ème renouvellement : 1er juillet 2010 3ème renouvellement : 19 juin 2015 4ème renouvellement : 18 juin 2020 |
| Date d'échéance du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2025 |
||
| Directeur Général | Première nomination : 5 mars 2001 1er renouvellement : 19 juillet 2005 2ème renouvellement : 1er juillet 2010 3ème renouvellement : 19 juin 2015 4ème renouvellement : 18 juin 2020 |
|
| Date d'échéance du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2025 |
||
| Marc Prieur | Membre du Directoire | Première nomination : 14 avril 2005 1er renouvellement : 19 juillet 2005 2ème renouvellement : 1er juillet 2010 3ème renouvellement : 19 juin 2015 4ème renouvellement : 18 juin 2020 |
| Date d'échéance du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2025 |
||
| Caroline Villemonte de la Clergerie Membre du Directoire | Première nomination : 7 mars 2000 1er renouvellement : 19 juillet 2005 2ème renouvellement : 1er juillet 2010 3ème renouvellement : 19 juin 2015 4ème renouvellement : 18 juin 2020 |
|
| Date d'échéance du mandat : à l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2025 |
Conformément à la recommandation n°1 du Code Middlenext, les membres du Directoire n'exercent pas plus de deux autres mandats dans des sociétés dont les titres sont admis aux négociations sur un marché réglementé y compris étrangères extérieures au Groupe.
Nous vous invitons à vous reporter à la section 12.1 du présent document en vue d'obtenir plus de détails sur l'expérience et l'expertise de chacun des membres du Directoire.
Le Conseil de Surveillance est composé de trois membres au moins et de 18 membres au plus, sous réserve de la dérogation prévue par le Code de Commerce en cas de fusion.
Les membres, personnes physiques ou morales, sont nommés par l'Assemblée Générale Ordinaire des actionnaires, parmi ses membres. En cas de fusion ou de scission, la nomination peut être faite par l'Assemblée Générale Extraordinaire.
Aucun membre du Conseil de Surveillance ne peut faire partie du Directoire.
Dans la limite du tiers des membres en fonction, les membres du Conseil de Surveillance peuvent bénéficier d'un contrat de travail correspondant à un emploi effectif.
La durée des fonctions des membres du Conseil de Surveillance est de six (6) ans, expirant à l'issue de la réunion de l'Assemblée Générale Ordinaire des actionnaires ayant statué sur les comptes de l'exercice écoulé et tenue dans l'année au cours de laquelle expire le mandat.
Ils sont rééligibles. Ils peuvent être révoqués à tout moment par l'Assemblée Générale Ordinaire.
Le nombre des membres du Conseil de Surveillance ayant atteint l'âge de 80 ans ne pourra être supérieur au tiers des membres du Conseil de Surveillance en fonction.
Le Conseil de Surveillance élit parmi ses membres un Président et un Vice-Président, personnes physiques, qui sont chargés de convoquer le Conseil et d'en diriger les débats. Ils sont nommés pour la durée de leur mandat au Conseil de Surveillance. Le Conseil détermine, le cas échéant, leur rémunération.
Au 31 mars 2020, le Conseil de Surveillance de la société était composé de 3 membres.
| Nom et prénom | Mandat | Date de nomination |
Renouvellements | Date d'échéance du mandat |
|---|---|---|---|---|
| Suzanne Villemonte de la Clergerie |
Membre du Conseil de Surveillance |
7 mars 2000 | 29 septembre 2006 28 septembre 2012 28 septembre 2018 |
À l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes |
| Présidente du Conseil de Surveillance |
7 juillet 2006 22 juin 2012 13 juin 2018 |
de l'exercice clos le 31 mars 2024 | ||
| Membre du Conseil de Surveillance Marc Villemonte de la Clergerie Vice-Président du Conseil de Surveillance |
29 septembre 2006 28 septembre 2012 28 septembre 2018 |
À l'issue de l'Assemblée Générale | ||
| 7 mars 2000 | 7 juillet 2006 22 juin 2012 13 juin 2018 |
appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2024 |
||
| Anne-Marie Valentin Bignier |
Membre du Conseil de Surveillance |
7 mars 2000 | 29 septembre 2006 28 septembre 2012 28 septembre 2018 |
À l'issue de l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2024 |
Nous vous invitons à vous reporter à la section 12.1 du présent document en vue d'obtenir plus de détails sur l'expérience et l'expertise de chacun des membres du Conseil de Surveillance.
La notion de membre indépendant est celle retenue en application de la recommandation n°3 du Code Middlenext, à savoir :
Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Conseil de Surveillance a réexaminé la situation de ses membres au regard de ces critères d'indépendance et a considéré, eu égard à leur lien familial, qu'aucun d'entre eux ne répondait aux critères d'indépendance donnés par le Code de gouvernement d'entreprise Middlenext.
La durée du mandat des membres du Conseil de Surveillance est fixée à six (6) ans. La société ne juge pas utile de proposer aux actionnaires une modification statutaire tendant au renouvellement échelonné des mandats compte tenu de la taille et de la composition du Conseil de Surveillance.
En conformité avec la recommandation n°1 du Code Middlenext, chaque membre du Conseil de Surveillance est sensibilisé aux responsabilités qui lui incombent au moment de sa nomination et est encouragé à observer les règles de déontologie relatives à son mandat. Au début de l'exercice de son mandat, il signe le Règlement intérieur du Conseil et s'engage à :
informer le conseil en cas de conflits d'intérêts survenant après l'obtention de son mandat ;
faire preuve d'assiduité aux réunions du Conseil et d'Assemblée Générale ;
Les membres du Conseil de Surveillance sont choisis notamment en fonction de leur compréhension du fonctionnement du marché du e-commerce, de la connaissance de la société et de leur capacité à s'assurer que la stratégie de la société est pertinente vis-à-vis de l'intérêt social. Des informations sur l'expérience et la compétence de chaque membre du Conseil de Surveillance sont communiquées à l'Assemblée Générale en vue de la nomination de chaque nouveau membre. La nomination de chaque nouveau membre fait l'objet d'une résolution distincte.
Le Directoire est investi des pouvoirs les plus étendus à l'égard des tiers pour agir en toutes circonstances au nom de la société dans la limite de l'objet social et sous réserve de ceux que la loi attribue expressément au Conseil de Surveillance et aux Assemblées d'actionnaires.
Dans les rapports avec les tiers, la société est engagée même par les actes du Directoire qui ne relèvent pas de l'objet social à moins qu'elle ne prouve que les tiers savaient que l'acte dépassait cet objet ou qu'ils ne pouvaient l'ignorer, compte tenu des circonstances, étant exclu que la seule publication des statuts suffise à constituer cette preuve.
Conformément à l'article L.225-68 du Code de Commerce, les cautions, avals et garanties font l'objet d'une autorisation du Conseil de Surveillance. Le non-respect de cette disposition n'est opposable aux tiers que dans les cas prévus par la loi.
Une fois par trimestre au moins, le Directoire présente un rapport au Conseil de Surveillance. Dans les trois mois de la clôture de chaque exercice, il lui présente, aux fins de vérification et de contrôle, les comptes annuels et les comptes consolidés, accompagnés du rapport de gestion y afférent, auquel est joint, le cas échéant, le rapport mentionné à l'article L.225-68 du Code de Commerce.
Le Président du Directoire représente la société dans ses rapports avec les tiers.
Le Conseil de Surveillance peut attribuer le même pouvoir de représentation à un ou plusieurs membre(s) du Directoire qui porte(nt) alors le titre de Directeur Général.
Les actes engageant la société vis-à-vis des tiers doivent porter la signature du Président du Directoire ou de l'un des Directeurs Généraux ou de tout fondé de pouvoirs, dûment habilité à cet effet.
Au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020, le Directoire s'est réuni à 11 reprises avec un taux moyen de participation de 93,18%.
Le Conseil de Surveillance exerce le contrôle permanent de la gestion de la société par le Directoire.
Il nomme les membres du Directoire, en désigne le Président et, éventuellement, les Directeurs Généraux ; il fixe leur rémunération.
Il convoque l'Assemblée Générale des actionnaires, à défaut de convocation par le Directoire.
À toute époque de l'année, il opère les vérifications et les contrôles qu'il juge opportuns et peut se faire communiquer les documents qu'il estime utiles à l'accomplissement de sa mission.
Il présente à l'Assemblée Générale Ordinaire Annuelle des actionnaires ses observations sur le rapport du Directoire, ainsi que sur les comptes de l'exercice.
Au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020, le Conseil de Surveillance s'est réuni à 8 reprises avec un taux moyen de participation de 79,16%.
Conformément à la recommandation n°6 du Code Middlenext, nous vous rendons compte du choix de la société en matière de Comités spécialisés.
Au 31 mars 2020, le Conseil de Surveillance ne s'est doté d'aucun Comité spécialisé.
Nous vous indiquons que, lors de ses délibérations en date du 12 décembre 2019, le Conseil de Surveillance, sur avis favorable du Comité d'audit et des commissaires aux comptes de la société, a décidé, à l'unanimité, de dissoudre, à compter de cette même date, la formation de Comité d'audit du Conseil de Surveillance qui avait été mise en place en vue de se conformer aux dispositions des articles L.823-19 et L.823-20,4° du Code de Commerce.
Cette dissolution est justifiée d'une part (i) par le fait que les actions de la société étant admises, depuis le 2 septembre 2019, aux négociations sur le système multilatéral de négociation organisé Euronext Growth au lieu et place du marché réglementé d'Euronext Paris, la mise en place d'un Comité d'audit était désormais devenue facultative pour la société et, d'autre part, (ii) dans un souci de simplification du fonctionnement du Conseil de Surveillance compte tenu notamment de la taille de la société et de la composition de ses organes de direction et de surveillance.
En toute hypothèse, il est rappelé que le Conseil de Surveillance continuera d'assurer le suivi des questions relatives à l'élaboration et au contrôle des informations comptables et financières dans toute la mesure permise par les prérogatives légales qui lui sont reconnues aux termes de l'article L.225-68 du Code de Commerce.
En vue de nous conformer avec les dispositions de l'article L.225-37-4, 1° du Code de Commerce applicable sur renvoi de l'article L.225-68 alinéa 6 du même Code, nous vous rendons compte de la liste des mandats et fonctions exercés dans toute société (à l'exception de la société, voir le paragraphe I de la présente section) durant l'exercice clos le 31 mars 2020 par chaque mandataire social en fonction au 31 mars 2020.
| Nom | Nature du mandat | Société |
|---|---|---|
| Directoire | ||
| Laurent Villemonte de la Clergerie | Gérant non associé | Nemeio SARL (filiale de la société) |
| Gérant | IDFAMILY SCI | |
| Président | LDLC VR Studio | |
| (filiale de la société | ||
| anciennement dénommée | ||
| Katzami SAS) | ||
| Gérant non associé | Avitech SARL | |
| (filiale de la société) | ||
| Président | STTANDING SAS | |
| Membre du Comité de Surveillance | LYON ASVEL Féminin SASP | |
| Administrateur | ASVEL BASKET SASP | |
| Olivier Villemonte de la Clergerie | Gérant non associé | Anikop SARL |
| (filiale de la société) | ||
| Gérant non associé | DLP Connect SARL | |
| (filiale de la société) | ||
| Gérant non associé | Domimo 2 SCI | |
| (filiale de la société) | ||
| Gérant non associé | Domimo 3 SCI | |
| (filiale de la société) | ||
| Administrateur | Thermador Groupe SA | |
| (société cotée sur Euronext | ||
| Paris) | ||
| Président | F-LOC SAS | |
| Directeur Général | LDLC VR Studio (filiale de | |
| la société anciennement | ||
| dénommée Katzami SAS) | ||
| Gérant non associé | Avitech SARL | |
| (filiale de la société) | ||
| Marc Prieur | Gérant non associé | Hardware.fr SARL |
| (filiale de la société) | ||
| Caroline Villemonte de la Clergerie | Gérant | TD FAMILY SCI |
| Conseil de Surveillance | ||
| Suzanne Villemonte de la Clergerie | Néant | Néant |
| Marc Villemonte de la Clergerie | Néant | Néant |
| Anne-Marie Valentin Bignier | Néant | Néant |
En outre, nous vous rendons compte, conformément au point 12.1 de l'annexe 1 du Règlement délégué (UE) 2019/980 de la commission du 14 mars 2019 applicable sur renvoi du point 1.1 de l'annexe 2 dudit Règlement, de la liste des mandats et fonctions exercés dans toute société au cours des cinq dernières années pour chaque mandataire social.
| Nom | Nature du mandat | Société |
|---|---|---|
| Directoire | ||
| Laurent Villemonte de la Clergerie | Co-gérant non associé | Synopsis (Fusion) |
| Olivier Villemonte de la Clergerie | Membre du Conseil de Surveillance Co-gérant non associé |
La Vie Claire SA Synopsis (Fusion) |
| Marc Prieur | Néant | Néant |
| Caroline Villemonte de la Clergerie | Néant | Néant |
| Conseil de Surveillance | ||
| Suzanne Villemonte de la Clergerie | Néant | Néant |
| Marc Villemonte de la Clergerie | Néant | Néant |
| Anne-Marie Valentin Bignier | Néant | Néant |
En vue de nous conformer à l'article L.225-37-4 ,2° du Code de Commerce applicable sur renvoi de l'article L.225-68 alinéa 6 du même Code, nous vous indiquons qu'aucune convention, autre que portant sur des opérations courantes et conclues à des conditions normales, n'est intervenue au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020, directement ou par personne interposée, entre :
Nous vous indiquons qu'en raison de l'admission aux négociations des actions de la société sur le système multilatéral de négociation Euronext Growth au lieu et place du marché réglementé d'Euronext Paris depuis le 2 septembre 2019, les dispositions de l'article L.225-37-5 du Code de Commerce relatives aux éléments susceptibles d'avoir une incidence en cas d'offre publique d'achat ou d'échange ne sont plus applicables.
Toutefois, conformément aux dispositions de l'article L.433-5 du Code monétaire et financier et 231-1, 4° du Règlement général de l'Autorité des Marchés Financiers, les règles relatives aux offres publiques applicables aux sociétés dont les instruments financiers sont admis à la négociation sur un marché réglementé demeurent applicables pendant une durée de trois ans à compter de la date à laquelle ces instruments financiers ont cessé d'être admis aux négociations sur un marché réglementé.
Dans ce contexte, la société a décidé de maintenir, à titre volontaire, l'exposé des éléments listés à l'article L.225-37-5 du Code de Commerce susceptibles d'avoir une incidence en cas d'offre publique d'achat ou d'échange.
Se reporter au chapitre 16 du présent document.
Restrictions statutaires à l'exercice des droits de vote et aux transferts d'actions ou les clauses portées à la connaissance de la société en application de l'article L.233-11 du Code de Commerce
Nous vous rappelons que l'article 12 « Droits et obligations attachés aux actions » des statuts de la société prévoit que :
« Toute personne physique ou morale, agissant seule ou de concert, qui vient à posséder, de quelque manière que ce soit, un nombre d'actions représentant une fraction égale à 2% du capital ou des droits de vote aux Assemblées Générales, ou tout multiple de ce pourcentage, doit informer la société, dans un délai de 15 jours à compter du franchissement de ce seuil de participation, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception adressée au siège social, du nombre total d'actions et de droits de vote attachés qu'elle possède ainsi que, le cas échéant, du nombre de titres donnant accès à terme au capital et les droits de vote qui y sont attachés.
Cette obligation s'applique dans les mêmes conditions que celles prévues ci-dessus, chaque fois que la fraction du capital ou des droits de vote possédée devient inférieure à l'un des seuils prévus.
En cas de non-respect des stipulations ci-dessus, les actions excédant le seuil donnant lieu à déclaration sont privées de droits de vote pour toute Assemblée d'actionnaires qui se tiendrait jusqu'à l'expiration d'un délai de 2 ans suivant la date de régularisation de la notification. Dans les mêmes conditions, les droits de vote attachés à ces actions et qui n'auront pas été régulièrement déclarés ne pourront être exercés ou délégués par l'actionnaire défaillant.
Sauf en cas de franchissement de l'un des seuils visés à l'article L.233-7 du Code de Commerce, cette sanction ne sera appliquée que sur demande consignée dans un procès-verbal de l'Assemblée Générale, d'un ou plusieurs actionnaires possédant, ensemble ou séparément, 5% au moins du capital social et/ou des droits de vote de la société.
Le respect de cette obligation de déclarer le franchissement du seuil de 2% du capital ou des droits de vote aux Assemblées Générales, ou tout multiple de ce pourcentage, ne dispense en aucun cas les actionnaires, personnes physiques ou morales, du respect des dispositions légales prévoyant une obligation de déclaration auprès de la société en cas de détention de plus du vingtième, du dixième, des trois vingtièmes, du cinquième, du quart, des trois dixièmes, du tiers, de la moitié, des deux tiers, des dix-huit vingtièmes ou des dix-neuf vingtièmes du capital social ou des droits de vote de la société, conformément aux dispositions des articles L.233-7 et suivants du Code de Commerce. »
L'attention des actionnaires est attirée sur le fait qu'une proposition de mise en harmonie de l'article 12 des statuts tenant compte de l'admission aux négociations des actions de la société sur le système multilatéral de négociation Euronext Growth au lieu et place du marché réglementé d'Euronext Paris sera soumise à leur approbation lors de l'Assemblée Générale annuelle du 25 septembre 2020.
Sous réserve du vote favorable des actionnaires, la rédaction du nouvel article alinéa 12.6 de l'article 12 « Droit et obligations attachés aux actions » serait la suivante :
« Toute personne physique ou morale, agissant seule ou de concert, qui vient à posséder, de quelque manière que ce soit, directement ou indirectement, un nombre d'actions représentant une fraction égale à cinq (5) % du capital ou des droits de vote, ou tout multiple de ce pourcentage, doit communiquer à la société les informations visées à l'article L.233-7, I du Code de Commerce (notamment le nombre total d'actions ou de droits de vote détenus par l'intéressé ou assimilés par l'effet de l'article L.233-9 du Code de Commerce), au plus tard avant la clôture des négociations du 4ème jour de négociation suivant le jour du franchissement du seuil de participation, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception, ou par tout autre moyen équivalent pour les personnes résidant hors de France, adressée au siège social.
Cette obligation s'applique dans les mêmes conditions que celles prévues ci-dessus, chaque fois que la fraction du capital ou des droits de vote possédée devient inférieure à l'un des seuils prévus.
En cas de non-respect des stipulations ci-dessus et sur demande, consignée dans le procès-verbal de l'Assemblée Générale concernée, d'un ou plusieurs actionnaires détenant 5% au moins du capital ou des droits de vote de la société, les actions excédant la fraction qui n'a pas été régulièrement déclarée sont privées de droit de vote pour toute Assemblée d'actionnaires qui se tiendrait jusqu'à l'expiration d'un délai de deux ans suivant la date de régularisation de la notification. Dans les mêmes conditions, les droits de vote attachés à ces actions et qui n'ont pas été régulièrement déclarés ne peuvent être exercés ou délégués par l'actionnaire défaillant.
Le respect de cette obligation statutaire de déclaration de franchissement de seuils ne dispense en aucun cas, toute personne physique ou morale, du respect des obligations déclaratives prévues par les dispositions législatives et réglementaires (y compris celles du Règlement général de l'Autorité des Marchés Financiers et des règles de marché en vigueur). »
Participations directes ou indirectes dans le capital de la société dont elle a connaissance en vertu des articles L.233-7 et L.233-12 du Code de Commerce
Se reporter au chapitre 16 du présent document.
Liste des détenteurs de tous titres comportant des droits de contrôle spéciaux et la description de ceux-ci
La société n'a pas connaissance de droits de contrôle spéciaux.
Mécanismes de contrôle prévus dans un éventuel système d'actionnariat du personnel quand les droits de contrôle ne sont pas exercés par ce dernier Néant.
Accords entre actionnaires dont la société a connaissance et qui peuvent entraîner des restrictions aux transferts d'actions et à l'exercice des droits de vote
Néant.
Règles applicables à la nomination et au remplacement des membres du Directoire ainsi qu'à la modification des statuts
Les règles applicables sont celles des statuts et sont conformes à la loi.
Pouvoirs du Directoire, en particulier l'émission ou le rachat d'actions
Les délégations consenties par l'Assemblée Générale des actionnaires de la société au Directoire dans ces domaines figurent à la section 19.1.3 « Acquisition par la société de ses propres actions » et au paragraphe V ci-dessous.
Accords conclus par la société qui sont modifiés ou prennent fin en cas de changement de contrôle de la société
Nous vous invitons à vous reporter à la section 20 du présent document.
Accords prévoyant des indemnités pour les membres du Directoire ou des salariés, s'ils démissionnent ou sont licenciés sans cause réelle ou sérieuse ou si leur emploi prend fin en raison d'une offre publique
Néant.
Au présent rapport est joint, conformément aux dispositions de l'article L.225-37-4, 3° du Code de Commerce applicable sur renvoi de l'article L.225-68 alinéa 6 du même Code, un tableau récapitulatif des délégations en cours de validité accordées par l'Assemblée Générale des actionnaires dans le domaine des augmentations de capital, par application des articles L.225-129-1 et L.225-129-2, et faisant apparaître l'utilisation faite de ces délégations au cours de l'exercice.
| Nature de la délégation de compétence conférée au Directoire de la société par application des articles L.225-129-1 et L.225-129-2 du Code de Commerce |
Date de l'AGE | Durée de validité |
Montant nominal maximum d'augmentation de capital autorisé |
Augmen‑ tation(s) réalisée(s) au cours de l'exercice |
Modalités de détermination du prix |
Date et modalités d'utilisation des délégations par le Directoire |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Délégation de compétence conférée au Directoire à l'effet d'augmenter le capital social par émission d'actions ordinaires ou de toutes valeurs mobilières donnant accès au capital avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires |
28/09/2018 22ème résolution |
26 mois | 1 000 000 d'euros au titre des augmentations susceptibles d'être réalisées, immédiatement ou à terme, par émission d'actions ordinaires ainsi que de toutes valeurs mobilières donnant accès par tous moyens, immédiatement et/ou à terme, à des actions ordinaires de la société |
Néant | _ | Néant |
| 50 000 000 d'euros au titre de l'émission de titres de créances (1) |
| Nature de la délégation de compétence conférée au Directoire de la société par application des articles L.225-129-1 et L.225-129-2 du Code de Commerce |
Date de l'AGE | Durée de validité |
Montant nominal maximum d'augmentation de capital autorisé |
Augmen‑ tation(s) réalisée(s) au cours de l'exercice |
Modalités de détermination du prix |
Date et modalités d'utilisation des délégations par le Directoire |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Délégation de compétence conférée au Directoire à l'effet d'augmenter le capital social par émission d'actions ordinaires ou de toutes valeurs mobilières donnant accès au capital avec suppression du droit préférentiel de souscription des actionnaires et offre au public |
28/09/2018 23ème résolution |
26 mois | 1 000 000 d'euros au titre des augmentations susceptibles d'être réalisées, immédiatement ou à terme, par émission d'actions ordinaires ainsi que de toutes valeurs mobilières donnant accès par tous moyens, immédiatement et/ou à terme, à des actions ordinaires de la société 50 000 000 d'euros au titre de l'émission de |
Néant | Au moins égal à la réglementation applicable au jour de l'émission |
Néant |
| Délégation de compétence conférée au Directoire à l'effet d'augmenter le capital par émission d'actions ordinaires ou de toutes valeurs mobilières donnant accès au capital avec suppression du droit préférentiel de souscription des actionnaires dans le cadre d'une offre au profit d'investisseurs qualifiés ou d'un cercle restreint d'investisseurs visée au II de l'article L.411-2 du Code monétaire et financier |
28/09/2018 24ème résolution |
26 mois | titres de créances(1) 1 000 000 d'euros au titre des augmentations susceptibles d'être réalisées, immédiatement ou à terme, par émission d'actions ordinaires ainsi que de toutes valeurs mobilières donnant accès par tous moyens, immédiatement et/ou à terme, à des actions ordinaires de la société dans la limite de 20% du capital social de la société par période de 12 mois 50 000 000 d'euros au |
Néant | Au moins égal à la réglementation applicable au jour de l'émission |
Néant |
| Délégation de compétence conférée au Directoire à l'effet d'augmenter le nombre de titres à émettre en cas d'augmentation de capital avec ou sans droit préférentiel de souscription |
28/09/2018 26ème résolution |
26 mois | titre de l'émission de titres de créances(1) 15% du montant de l'émission initiale |
Néant | Mêmes conditions de prix que celles retenues pour l'émission initiale |
Néant |
| Nature de la délégation de compétence conférée au Directoire de la société par application des articles L.225-129-1 et L.225-129-2 du Code de Commerce |
Date de l'AGE | Durée de validité |
Montant nominal maximum d'augmentation de capital autorisé |
Augmen‑ tation(s) réalisée(s) au cours de l'exercice |
Modalités de détermination du prix |
Date et modalités d'utilisation des délégations par le Directoire |
|
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Délégation de compétence conférée au Directoire à l'effet d'émettre des actions ordinaires ou des valeurs mobilières donnant accès au capital de la société, en cas d'offre publique comportant une composante d'échange initiée par la société avec suppression du droit préférentiel de souscription des actionnaires |
28/09/2018 27ème résolution |
26 mois | 1 000 000 d'euros au titre des augmentations susceptibles d'être réalisées, immédiatement ou à terme, par émission d'actions ordinaires ainsi que de toutes valeurs mobilières donnant accès par tous moyens, immédiatement et/ou à terme, à des actions ordinaires de la société |
Néant | _ | Néant | |
| 50 000 000 d'euros au titre de l'émission de titres de créances(1) |
|||||||
| Délégation de pouvoir conférée au Directoire à l'effet d'augmenter le capital social, dans les limites de 10% du capital, pour rémunérer des apports en nature de titres de capital ou de valeurs mobilières donnant accès au capital de sociétés tierces en dehors d'une offre publique d'échange avec suppression du droit préférentiel de souscription des actionnaires |
28/09/2018 28ème résolution |
26 mois | 1 000 000 d'euros au titre des augmentations susceptibles d'être réalisées, immédiatement ou à terme, par émission d'actions ordinaires ainsi que de toutes valeurs mobilières donnant accès par tous moyens, immédiatement et/ou à terme, à des actions ordinaires de la société dans la limite de 10% du capital de la société 50 000 000 d'euros au titre de l'émission de titres de créances(1) |
Néant | _ | Néant | |
| Délégation de compétence | 28/09/2018 | 26 mois | 1 000 000 d'euros(2) | Néant | _ | Néant | |
| conférée au Directoire en vue d'augmenter le capital par incorporation de primes, réserves, bénéfices ou autres |
31ème résolution |
| Nature de la délégation de compétence conférée au Directoire de la société par application des articles L.225-129-1 et L.225-129-2 du Code de Commerce |
Date de l'AGE | Durée de validité |
Montant nominal maximum d'augmentation de capital autorisé |
Augmen‑ tation(s) réalisée(s) au cours de l'exercice |
Modalités de détermination du prix |
Date et modalités d'utilisation des délégations par le Directoire |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Autorisation à donner au | 27/09/2019 | 38 mois | 10% du capital social | Néant | _ | Du fait de |
| Directoire en application des articles L.225-197-1 à L.225-197-6 du Code de Commerce de procéder à l'attribution gratuite d'actions existantes ou à émettre au profit de tout ou partie des membres du personnel salarié et/ou mandataires sociaux visés à l'article L.225-197-61, II du Code de Commerce de la société et des sociétés et/ou groupements liés |
16ème résolution | l'utilisation de précédentes autorisations par le Directoire, le montant résiduel utilisable est de 7,59% du capital social actuel calculé selon les modalités de l'article L.225-197-1 alinéa 1 du Code de Commerce |
(1) Conformément à la 18ème résolution adoptée par l'Assemblée Générale des actionnaires du 27 septembre 2019 :
- le montant nominal maximum global des augmentations de capital susceptibles d'être réalisées en vertu des délégations conférées aux termes (i) des vingt-deuxième à vingt-quatrième et vingt-sixième à vingt-huitième résolutions adoptées par l'Assemblée Générale mixte du 28 septembre 2018 et (ii) de la seizième résolution adoptée par l'Assemblée Générale mixte du 27 septembre 2019 est fixé à 1 000 000 d'euros (ou la contre-valeur à la date d'émission de ce montant en monnaie étrangère ou en unité de compte établie par référence à plusieurs devises), étant précisé que s'ajoutera à ce plafond le montant supplémentaire des actions à émettre pour préserver, conformément à la loi et, le cas échéant, aux stipulations contractuelles applicables, les droits des porteurs de valeurs mobilières et autres droits donnant accès à des actions,
- le montant nominal maximum global des titres de créances pouvant être émis en vertu des délégations conférées aux termes des vingt-deuxième à vingtquatrième, vingt-septième et vingt-huitième résolutions adoptées par l'Assemblée Générale mixte du 28 septembre 2018 est fixé à 50 000 000 d'euros (ou la contre-valeur à la date d'émission de ce montant en monnaie étrangère ou en unité de compte établie par référence à plusieurs devises), étant précisé que ce plafond ne s'applique pas aux titres de créances dont l'émission serait décidée ou autorisée par le Directoire conformément à l'article L.228-40 du Code de Commerce.
(2) Le montant nominal total des augmentations de capital social susceptibles d'être ainsi réalisées immédiatement et/ou à terme ne pourra être supérieur à 1 000 000 d'euros, montant auquel s'ajoutera, le cas échéant, le montant supplémentaire des actions à émettre pour préserver, conformément aux dispositions légales ou réglementaires et, le cas échéant, aux stipulations contractuelles applicables, les droits des porteurs de valeurs mobilières ou autres droits donnant accès à des actions, étant précisé que ce plafond est fixé de façon autonome et distincte du plafond visé à la dix-huitième résolution adoptée par l'Assemblée Générale mixte du 27 septembre 2019.
Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Conseil de Surveillance a procédé à l'examen des comptes sociaux et consolidés établis par le Directoire au 31 mars 2020, ainsi qu'à son rapport y afférent, et a déclaré n'avoir aucune observation à formuler.
Nous vous invitons à vous reporter au paragraphe « Rapport sur le gouvernement d'entreprise » du rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels de l'exercice clos le 31 mars 2020 figurant en section 18.4.
Au 31 mars 2020, le Groupe emploie 949 personnes (hors Caroline, Suzanne, Laurent, Marc et Olivier Villemonte de la Clergerie, Marc Prieur et Stéphane Piquet) au sein du Groupe LDLC et de ses filiales LDLC Distribution, Anikop, Hardware.fr, DLP Connect, L'École LDLC, LDLC Villefranche, LDLC Bordeaux, LDLC Villeurbanne, LDLC Event, LDLC Lyon 7, LDLC Lille V2, ADB Limonest, Bluescreen, LDLC España et OLYS dont 908 CDI, 11 CDD, 10 contrats de professionnalisation et 20 apprentis.
Répartition des effectifs par société (hors mandataires sociaux) :
| Sociétés | Nombre de salariés 31 mars 2020 |
Nombre de salariés 31 mars 2019 |
Nombre de salariés 31 mars 2018 |
|---|---|---|---|
| Total Groupe LDLC | 618 | 673 | 503 |
| Groupe LDLC Boutiques | 70 | 95 | 41 |
| Groupe LDLC Bureau | 362 | 430 | 308 |
| Groupe LDLC Logistique | 179 | 138 | 146 |
| Groupe LDLC Toulouse | 1 | 1 | 1 |
| Groupe LDLC Gennevillers | 6 | 9 | 7 |
| Anikop | 30 | 26 | 23 |
| Hardware.fr | 1 | 1 | 2 |
| DLP Connect | 15 | 14 | 15 |
| LDLC Distribution | 20 | 19 | 15 |
| École LDLC | 4 | 5 | 5 |
| LDLC Villefranche | 5 | 5 | 5 |
| LDLC Bordeaux | 4 | 5 | 5 |
| LDLC Villeurbanne | 4 | 5 | 5 |
| LDLC Event | 9 | 5 | 2 |
| LDLC Lyon 7 | 4 | 3 | 3 |
| LDLC Lille V2 | 3 | 3 | 3 |
| LDLC Cormeilles | 3 | 3 | 0 |
| Domisys | 0 | 0 | 189 |
| ADB Limonest | 6 | 6 | 0 |
| LDLC España | 17 | 16 | 0 |
| Bluescreen | 4 | 0 | 0 |
| Total OLYS | 202 | 225 | 204 |
| OLYS | 184 | 203 | 181 |
| BIMP Éducation | 0 | 0 | 1 |
| I-Artificielle | 3 | 2 | 2 |
| Synospsis | 0 | 0 | 2 |
| Bizen | 0 | 0 | 1 |
| MyMultimedia | 4 | 3 | 3 |
| Mac & Co Digital | 11 | 17 | 14 |
| Grand total | 949 | 1 014 | 979 |
Voir sections 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise » et 16 du présent document.
Il n'existe aucun accord prévoyant une participation des salariés au capital de la société.
En outre, en vue de nous conformer à l'article L.225-102 alinéa 1 du Code de Commerce, nous vous indiquons que la proportion d'actions détenues par le personnel de la société ainsi que par le personnel de sociétés qui lui sont liées au sens de l'article L.225-180 du Code de Commerce dans le capital de la société au 31 mars 2020, recensées selon les modalités spécifiques de l'article L.225-102 alinéa 1 du même Code, représente environ 0,23% du capital social de la société.
La société Groupe LDLC a signé un accord de participation en date du 18 mars 2004.
Deux avenants ont été ensuite signés en date du 15 décembre 2009 dont l'objectif est d'intégrer la possibilité pour les salariés de demander le paiement immédiat de tout ou partie de leurs droits, puis en date du 29 novembre 2012 dont l'objet était de modifier les modalités de gestion de l'épargne salariale afin de prévoir l'affectation des sommes à un Plan d'Épargne Entreprise.
Cet accord de participation ne concerne pas les filiales.
La société Groupe LDLC ne dispose pas d'accord d'intéressement.
Le tableau ci-dessous indique l'évolution de la répartition du capital et des droits de vote de la société du 31 mars 2018 au 31 mars 2020 incluant les actionnaires détenant, directement ou indirectement, seul ou de concert, plus de 5% du capital social et des droits de vote :
| 31 mars 2018 (7) | 31 mars 2019 | 31 mars 2020 | ||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Actionnariat | Actions | % capital |
Droits de vote théo‑ riques |
% droits de vote théo‑ riques |
Actions | % capital |
Droits de vote théo‑ riques |
% droits de vote théo‑ riques |
Actions | % capital |
Droits de vote théo‑ riques |
% droits de vote théo‑ riques |
| Laurent Villemonte de la Clergerie(1) |
1 226 746(8) | 19,40 2 313 492(8) | 24,21 | 1 226 746 | 19,40 2 313 492(13) | 25,35 1 226 746 | 19,40 | 2 313 492 | 25,32 | |||
| Olivier Villemonte de la Clergerie(2) |
615 500 | 9,74 | 1 090 274 | 11,41 | 615 500 | 9,74 | 1 091 000 | 11,95 | 615 500 | 9,74 | 1 091 000 | 11,94 |
| Caroline Villemonte de la Clergerie(3) |
628 579 | 9,94 | 1 117 158 | 11,69 | 628 579 | 9,94 | 1 117 158 | 12,24 | 628 579 | 9,94 | 1 117 158 | 12,23 |
| Suzanne Villemonte de la Clergerie (4) |
71 423 | 1,13 | 562 846 | 5,89 | 71 423 | 1,13 | 562 846 | 6,17 | 71 423 | 1,13 | 562 846 | 6,16 |
| Sous-total famille de la Clergerie (5) |
2 542 248 | 40,21 | 5 078 126 | 53,14 | 2 542 248 | 40,21 | 5 084 496 | 55,71 | 2 542 248 | 40,21 | 5 084 496 | 55,64 |
| Domicorp (6) | 691 811 | 10,94 | 1 141 821 | 11,95 | - (10) | - (10) | - (10) | - (10) | - (12) | - (12) | - (12) | - (12) |
| Keren Finance | 385 447 (9) | 6,10 | 385 447 (9) | 4,03 | -(11) | - (11) | - (11) | - (11) | - | - | - | - |
| Autres actionnaires | 2 581 657 | 40,84 | 2 825 583 | 29,56 | 3 652 380 | 57,77 | 3 913 940 | 42,89 | 3 641 240 | 57,60 | 3 914 156 | 42,84 |
| Auto détention | 120 943 | 1,91 | 120 943 | 1,26 | 127 478 | 2,02 | 127 478 | 1,40 | 138 618 | 2,19 | 138 618 | 1,52 |
| Total | 6 322 106 | 100 | 9 557 564 | 100 | 6 322 106 | 100 | 9 125 914 | 100 6 322 106 | 100 | 9 137 270 | 100 |
(1) En ce compris la nue-propriété de 70 000 actions Groupe LDLC, bénéficiant chacune d'un droit de vote double, étant précisé que les droits de vote attachés auxdites actions sont détenus par l'usufruitier, à savoir Madame Suzanne Villemonte de la Clergerie, dans toutes les Assemblées Générales et par conséquent, non pris en compte dans le calcul de la participation de Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie en droits de vote théoriques.
(2) En ce compris la nue-propriété de 70 000 actions Groupe LDLC, bénéficiant chacune d'un droit de vote double, étant précisé que les droits de vote attachés auxdites actions sont détenus par l'usufruitier, à savoir Madame Suzanne Villemonte de la Clergerie, dans toutes les Assemblées Générales et par conséquent, non pris en compte dans le calcul de la participation de Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie en droits de vote théoriques.
(3) En ce compris la nue-propriété de 70 000 actions Groupe LDLC, bénéficiant chacune d'un droit de vote double, étant précisé que les droits de vote attachés auxdites actions sont détenus par l'usufruitier, à savoir Madame Suzanne Villemonte de la Clergerie, dans toutes les Assemblées Générales et par conséquent, non pris en compte dans le calcul de la participation de Madame Caroline Villemonte de la Clergerie en droits de vote théoriques.
(4) En ce compris, pour le calcul des droits de vote, l'usufruit de 210 000 actions Groupe LDLC, bénéficiant chacune d'un droit de vote double, étant précisé que les droits de vote attachés auxdites actions sont détenus par l'usufruitier, à savoir Madame Suzanne Villemonte de la Clergerie, dans toutes les Assemblées Générales et par conséquent, non pris en compte dans le calcul de la participation de cette dernière en nombre d'actions.
(5) Il n'existe aucune action de concert entre les membres de la famille de la Clergerie.
(6) « Par courrier reçu le 12 avril 2016, complété par un courrier reçu le 13 avril 2016, la société par actions simplifiée unipersonnelle Domisys (rue Olivier de Serres, ZAC Erette, 44119 Grandchamps-des-Fontaines) a déclaré avoir franchi en baisse, le 31 mars 2015, par suite d'une cession d'actions LDLC.com sur le marché, le seuil de 5% des droits de vote de la société LDLC.com et détenir, à cette date, 219 950 actions LDLC.com représentant 439 900 droits de vote, soit 3,83% du capital et 4,90% des droits de vote de cette société.
La société Domisys a précisé avoir cédé l'intégralité de ses actions LDLC.com le 30 décembre 2015 et ne plus détenir aucune action de cette société.
Par courrier reçu le 6 avril 2016, la société par actions simplifiée Domicorp (rue Olivier de Serres, ZAC Erette, 44119 Grandchamps-des-Fontaines) a déclaré avoir franchi en hausse, le 31 mars 2016, les seuils de 5% du capital et des droits de vote et 10% du capital de la société LDLC.com et détenir 885 546 actions LDLC.com représentant autant de droits de vote soit 14,01% du capital et 9,33% des droits de vote de cette société.
Ce franchissement de seuils résulte de l'acquisition, par la société Domicorp, (i) de 574 732 actions LDLC.com émises par la société LDLC.com en rémunération de l'apport de 100 367 actions Domisys, et (ii) de 117 079 actions LDLC.com auto-détenues, en rémunération de l'apport du solde de ses actions Domisys ainsi que de la quote-part du capital des sociétés Domimo 2 et Domimo 3, non détenue par la société Domisys.
Par les mêmes courriers, la déclaration d'intention suivante a été effectuée :
« La société Domicorp déclare :
- agir seule ;
- avoir acquis les 691 811 actions LDLC.com via (i) la souscription à une augmentation de capital de LDLC.com par émission de 574 732 actions nouvelles LDLC.com en rémunération d'un apport de 100 367 actions Domisys et (ii) la remise à son profit de 117 079 actions LDLC.com auto-détenues par LDLC.com en rémunération de la cession de 20 446 actions Domisys ;
- ne pas envisager de solliciter sa nomination ou celle d'une ou plusieurs personnes la représentant au Directoire ni au Conseil de Surveillance de la société LDLC.com ;
- ne pas envisager d'augmenter sa participation ni d'acquérir le contrôle de la société ;
- ne pas envisager de modifier la stratégie de la société LDLC.com et ne pas envisager l'une des opérations énumérées à l'article 223-17 I, 6° du Règlement général de l'Autorité des Marchés Financiers ;
- ne détenir aucun des instruments financiers ou accords visés aux 4° et 4° bis du I de l'article L.233-9 du Code de Commerce ; et
- n'avoir conclu aucun accord de cession temporaire ayant pour objet les actions et/ou les droits de vote de l'émetteur. » (Document AMF n° 216C0875 du 13 avril 2016).
(7) Voir les avis de franchissement de la société par actions simplifiée Amiral Gestion publiés durant l'exercice clos le 31 mars 2018 : Document AMF n° 217C1180 du 8 juin 2017 et document AMF n°217C1723 du 26 juillet 2017.
(8) Voir l'avis de franchissement de seuils publié par l'AMF : Document AMF n°218C0839 du 7 mai 2018.
(9) Voir l'avis de franchissement de seuils publié par l'AMF durant l'exercice clos le 31 mars 2018 : Document AMF n°217C2626 du 13 novembre 2017.
(10) Voir l'avis de franchissement de seuils publié par l'AMF : Document AMF n°218C1030 du 9 juin 2018 et suite à la perte de ses droits de vote double la société Domicorp est passée sous le seuil des 5% de droit de vote à la connaissance de la société.
(11) Voir l'avis de franchissement de seuils à la baisse publié par l'AMF : Document AMF n° 218C1928 du 4 décembre 2018. (12) Aucune déclaration de franchissement de seuils à la hausse ou à la baisse au sens de l'article L.233-7 du Code de Commerce, autre que celles-ci-dessus, n'a été publiée au 31 mars 2020 permettant à la société de renseigner la participation de ces actionnaires.
(13) Voir l'avis de franchissement de seuils publié par l'AMF : Document AMF n°218C1216 du 6 juillet 2018.
À la connaissance de la société, il n'existe aucun autre actionnaire détenant directement ou indirectement, seul ou de concert, plus de 5% du capital et des droits de vote.
Néant.
Conformément à l'article 12 des statuts de la société, un droit de vote double de celui conféré aux autres actions, eu égard à la quotité de capital qu'elles représentent, est attribué à toutes les actions entièrement libérées pour lesquelles il est justifié d'une inscription nominative depuis deux ans au moins, au nom du même actionnaire ; la durée d'inscription sous la forme nominative antérieure à la date de l'Assemblée Générale Extraordinaire instituant ce droit étant prise en compte.
En cas d'augmentation de capital par incorporation de bénéfices, réserves, primes ou provisions disponibles, le droit de vote double est conféré dès leur émission aux actions
À la date d'établissement du présent document, aucun actionnaire ne détient, directement ou indirectement, le contrôle de la société au sens de la rubrique 16.3 de l'annexe I du Règlement délégué (UE) n° 2019/980 de la Commission du 14 mars 2019.
nominatives attribuées gratuitement à un actionnaire à raison d'actions anciennes pour lesquelles il bénéficie de ce droit.
Toute action convertie au porteur ou transférée en propriété perd le droit de vote double. Néanmoins, le transfert par suite de succession, de liquidation de communauté de biens entre époux ou de donation entre vifs au profit d'un conjoint ou d'un parent au degré successible, ne fait pas perdre le droit acquis et n'interrompt pas le délai de deux ans.
La fusion ou la scission de la société est sans effet sur le droit de vote double qui peut être exercé au sein de la (des) société(s) bénéficiaire(s), si les statuts de celle(s)-ci l'ont institué.
Les membres de la famille de la Clergerie ne font pas partie d'un concert, ne sont pas liés par un pacte ou autre convention contraignante et exercent librement leurs droits
de vote.
À la connaissance de la société, il n'existe aucun accord dont la mise en œuvre pourrait entraîner un changement de contrôle de la société.
Au 31 mars 2020, le capital de la société est composé de 6 322 106 actions. La capitalisation boursière au 31 mars 2020 est de 56 898 954 euros.
Le volume des transactions, au cours de l'exercice, a été le suivant :
| Mois | Volume | Cours moyen |
Cours le plus haut |
Cours le plus bas |
Capitaux en millions d'euros |
|---|---|---|---|---|---|
| Avril 2019 | 327 210 | 6,22 | 7,98 | 5,94 | 2,18 |
| Mai 2019 | 253 529 | 6,78 | 8,24 | 5,50 | 1,77 |
| Juin 2019 | 240 177 | 6,29 | 7,12 | 5,82 | 1,49 |
| Juillet 2019 | 111 731 | 6,20 | 6,70 | 5,74 | 0,69 |
| Août 2019 | 225 128 | 6,89 | 8,00 | 5,88 | 1,54 |
| Septembre 2019 | 87 832 | 7,32 | 7,66 | 7,14 | 0,64 |
| Octobre 2019 | 97 523 | 7,14 | 7,30 | 6,70 | 0,70 |
| Novembre 2019 | 377 378 | 8,09 | 9,30 | 6,90 | 2,99 |
| Décembre 2019 | 589 655 | 11,19 | 13,70 | 8,58 | 6,87 |
| Janvier 2020 | 505 573 | 13,98 | 16,50 | 11,50 | 7,26 |
| Février 2020 | 255 728 | 14,22 | 16,05 | 11,20 | 3,49 |
| Mars 2020 | 324 408 | 9,93 | 13,10 | 6,00 | 3,13 |
Au cours de l'exercice écoulé, le cours le plus élevé atteint par l'action Groupe LDLC est de 16,50 euros, alors que le cours le plus bas est de 5,50 euros.
Les conventions réglementées conclues au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020 sont mentionnées dans le rapport spécial des commissaires aux comptes présenté ci-dessous (section 17.2 du présent document).
« En application de l'article 19 du Règlement (UE) 2017/1129 du 14 juin 2017, les informations suivantes sont incluses par référence dans le présent document d'enregistrement universel :
Conformément à la proposition n°4.8 de la recommandation AMF 2012-05, nous portons à votre connaissance les conclusions de la réunion du Conseil de Surveillance en date du 18 juin 2020 relatives à l'examen annuel réalisé conformément à l'article L.225-88-1 du Code de Commerce des conventions visées à l'article L.225-86 du Code de Commerce.
Le Conseil de Surveillance a procédé au réexamen du contrat de licence de la marque LDLC-PRO, dont la société est propriétaire, conclu avec la société F-LOC le 3 septembre 2018, préalablement approuvé par le Conseil de Surveillance lors de sa réunion du 30 mars 2018 puis par l'Assemblée Générale Ordinaire du 27 septembre 2019 (5ème résolution).
Le Conseil de Surveillance, à l'unanimité, a constaté que cette convention répondait toujours aux critères qui avaient conduit le Conseil à donner initialement son accord à la conclusion de celle-ci et a décidé, à l'unanimité, de maintenir son autorisation.
Aux Actionnaires de la société Groupe LDLC,
En notre qualité de commissaires aux comptes de votre société, nous vous présentons notre rapport sur les conventions réglementées.
Il nous appartient de vous communiquer, sur la base des informations qui nous ont été données, les caractéristiques, les modalités essentielles ainsi que les motifs justifiant de l'intérêt pour la société des conventions dont nous avons été avisés ou que nous aurions découverts à l'occasion de notre mission, sans avoir à nous prononcer sur leur utilité et leur bien-fondé ni à rechercher l'existence d'autres conventions. Il vous appartient, selon les termes de l'article R.225-58 du Code de Commerce, d'apprécier l'intérêt qui s'attachait à la conclusion de ces conventions en vue de leur approbation.
Par ailleurs, il nous appartient, le cas échéant, de vous communiquer les informations prévues à l'article R.225-58 du Code de Commerce relatives à l'exécution, au cours de l'exercice écoulé, des conventions déjà approuvées par l'Assemblée Générale.
Nous avons mis en œuvre les diligences que nous avons estimé nécessaires au regard de la doctrine professionnelle de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes relative à cette mission. Ces diligences ont consisté à vérifier la concordance des informations qui nous ont été données avec les documents de base dont elles sont issues.
En application de l'article L.225-88 du Code de Commerce, nous avons été avisés des conventions suivantes conclues au cours de l'exercice écoulé qui ont fait l'objet de l'autorisation préalable de votre Conseil de Surveillance.
Personnes concernées : Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie, Président du Directoire de votre société et Président de la société Katzami.
Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie, Directeur Général de votre société et Directeur Général de la société Katzami.
Nature et objet : achat de 462 220 actions de la société Katzami (802 162 321 RCS Lyon) détenues par Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie.
Achat de 224 962 actions de la société Katzami (802 162 321 RCS Lyon) détenues par Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie.
Modalités : le prix d'acquisition pour les 462 220 actions acquises auprès de Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie s'est élevé à 13 404,38 euros auquel s'ajoute 25 euros de droit d'enregistrement.
Le prix d'acquisition pour les 224 962 actions acquises auprès de Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie s'est élevé à 6 523,90 euros auquel s'ajoute 25 euros de droit d'enregistrement.
Votre Conseil de Surveillance a motivé la conclusion de cette convention par le fait qu'elle va permettre à votre société d'intégrer dans le champ de ses activités, l'activité de mise à disposition de réalité virtuelle, tout en conservant le bénéfice du droit au bail des locaux de la société Katzami.
Conventions approuvées au cours d'exercices antérieurs dont l'exécution s'est poursuivie au cours de l'exercice écoulé
En application de l'article R.225-57 du Code de Commerce, nous avons été informés que l'exécution de la convention suivante, déjà approuvée par l'Assemblée Générale au cours d'exercices antérieurs, s'est poursuivie au cours de l'exercice écoulé.
Personnes concernées : Monsieur Laurent Villemonte de la Clergerie, Président du Directoire de votre société et associé à 25% de la société F-LOC.
Monsieur Olivier Villemonte de la Clergerie, Directeur Général de votre société et Président, associé à 25% de la société F-LOC.
Nature et objet : licence d'exploitation non-exclusive de la marque verbale française LDLC-PRO dûment protégée et enregistrée auprès de l'INPI sous le numéro 18 4 456 287. Cette licence d'exploitation non-exclusive a été consentie afin de permettre à la société F-LOC de développer son activité à destination des professionnels via la mise en place de solutions de financement proposées par la société F-LOC. Les principales modalités de cette licence d'exploitation nonexclusive sont les suivantes :
Modalités : cette convention donne lieu à la constatation d'un produit d'un montant de 34 454,78 euros hors taxes au titre de l'exercice clos au 31 mars 2020.
Fait à Lyon et à Villeurbanne, le 18 juin 2020
Les commissaires aux comptes
Cap Office Mazars
Rémi Charnay Pierre Beluze Séverine Hervet
L'ensemble des données présentées ci-après est exprimé en milliers d'euros, sauf indication contraire.
| Au 31 mars | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| Actif Écarts d'acquisition nets Autres immobilisations incorporelles nettes Immobilisations corporelles nettes Immobilisations financières nettes Titres mis en équivalence Actif immobilisé Stocks Clients et comptes rattachés Autres créances et comptes de régularisation Valeurs mobilières de placement Disponibilités Actif circulant Total de l'actif |
Note | 2020 | 2019 Retraité * |
|||
| (3.2) | 27 467 | 27 142 | ||||
| (3.3) | 24 480 | 25 576 | ||||
| (3.4) | 12 400 | 43 800 | ||||
| (3.5) | 4 679 | 5 301 | ||||
| 0 | 0 | |||||
| 69 026 | 101 820 | |||||
| (3.6) | 67 195 | 63 532 | ||||
| (3.7) | 24 505 | 26 485 | ||||
| (3.8) | 14 740 | 19 766 | ||||
| (3.9) | 1 614 | 1 216 | ||||
| (3.10) | 18 245 | 17 315 | ||||
| 126 299 | 128 315 | |||||
| 195 326 | 230 134 |
| Au 31 mars | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| Passif | Note | 2020 | 2019 Retraité * |
|||
| Capital | (1.3) | 1 138 | 1 138 | |||
| Primes | (1.3) | 21 053 | 21 053 | |||
| Réserves consolidées | (1.3) | 31 985 | 36 993 | |||
| Titres auto-détenus | (1.3) | (25) | (27) | |||
| Résultat | (1.3) | 8 308 | (4 820) | |||
| Total des capitaux propres revenant aux actionnaires | 62 457 | 54 337 | ||||
| Intérêts minoritaires | (1.3) | 0 | (50) | |||
| Participations ne donnant pas le contrôle | 0 | 0 | ||||
| Total des capitaux propres | 62 457 | 54 287 | ||||
| Provisions pour risques et charges | (3.12) | 5 097 | 4 160 | |||
| Total des provisions | 5 097 | 4 160 | ||||
| Emprunts et dettes financières | (3.13) | 28 435 | 78 797 | |||
| Fournisseurs et comptes rattachés | (3.16) | 61 270 | 64 379 | |||
| Autres dettes et comptes de régularisation | (3.17) | 38 067 | 28 511 | |||
| Total des dettes | 127 771 | 171 687 | ||||
| Total du passif | 195 326 | 230 134 |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3.
| Au 31 mars | |||
|---|---|---|---|
| Note | 2020 | 2019 Retraité * |
|
| Chiffre d'affaires | (4.1) | 493 396 | 507 494 |
| Autres produits d'exploitation | 341 | 382 | |
| Achats consommés | (398 626) | (421 801) | |
| Marge brute | 95 112 | 86 074 | |
| Autres achats charges externes | (27 409) | (29 845) | |
| Impôts et taxes | (2 841) | (3 395) | |
| Charges de personnel | (4.2) | (48 091) | (50 334) |
| Dot. & rep. aux amortissements et provisions | (4.3) | (9 104) | (7 390) |
| Autres charges et produits | (1 024) | (653) | |
| Résultat d'exploitation | 6 643 | (5 543) | |
| Produits financiers | (4.4) | 284 | 87 |
| Charges financières | (4.4) | (1 246) | (2 147) |
| Résultat courant des sociétés intégrées | 5 681 | (7 603) | |
| Produits exceptionnels | (4.5) | 45 551 | 381 |
| Charges exceptionnelles | (4.5) | (35 062) | (437) |
| Impôts sur le résultat | (4.6) | (7 862) | 2 839 |
| Résultat net des sociétés intégrées | 8 308 | (4 820) | |
| Quote-part dans les résultats des entreprises mises en équivalence | (4.6) | 0 | 0 |
| Dotations aux amortissements des écarts d'acquisition | 0 | 0 | |
| Résultat net de l'ensemble consolidé | 8 308 | (4 820) | |
| Interêts minoritaires | 0 | 0 | |
| Résultat net - Part du Groupe | (A) | 8 308 | (4 820) |
| Résultat net revenant : | |||
| - aux actionnaires de la société | 8 308 | (4 820) | |
| - aux intérêts minoritaires | |||
| - aux intérêts participations ne donnant pas le contrôle | |||
| Résultats par action : résultat revenant aux actionnaires de la société | |||
| - résultat net par action (en euros) | 1,31 | (0,76) | |
| - résultat net dilué par action (en euros) | 1,31 | (0,76) |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3.
| Capital | Primes | Réserves consolidées |
Titres auto détenus |
Capitaux propres part du Groupe |
Intérêts minoritaires |
Capitaux propres |
|
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Capitaux propres au 31 mars 2018 | 1 138 | 21 053 | 39 383 | (38) | 61 536 | 0 | 61 536 |
| Résultat net au 31 mars 2019 | (4 820) | (4 820) | (4 820) | ||||
| Mouvements actions propres | (25) | 11 | (14) | (14) | |||
| Augmentation de capital et primes | 0 | 0 | |||||
| Dividendes versés | 0 | (50) | (50) | ||||
| Divers | (386) | (386) | (386) | ||||
| Changement méthode net d'impôt différé | (1 978) | (1 978) | (1 978) | ||||
| Réserves part. ne donnant pas le contrôle | 0 | 0 | |||||
| Capitaux propres au 31 mars 2019 | 1 138 | 21 053 | 32 173 | (27) | 54 337 | (50) | 54 287 |
| Résultat net au 31 mars 2020 | 8 308 | 8 308 | 8 308 | ||||
| Mouvements actions propres | 5 | 1 | 7 | 7 | |||
| Augmentation de capital et primes | 0 | 0 | |||||
| Dividendes versés | (50) | (50) | 50 | 0 | |||
| Divers | (150) | (150) | (150) | ||||
| Variation de périmètre | 6 | 6 | 6 | ||||
| Réserves part. ne donnant pas le contrôle | 0 | 0 | |||||
| Capitaux propres au 31 mars 2020 | 1 138 | 21 053 | 40 292 | (25) | 62 457 | 0 | 62 457 |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3.
| Au 31 mars | |||
|---|---|---|---|
| (en milliers d'euros sauf indication contraire) | 2020 | 2019 Retraité * |
|
| Résultat net des activités poursuivies | 8 308 | (4 820) | |
| Élimination des charges et produits sans incidence sur la trésorerie (a) | 7 631 | 8 053 | |
| Charge d'impôts (courants et différés) (b) | 7 862 | (2 839) | |
| Plus ou moins-values de cessions d'actifs | (12 436) | 67 | |
| Sous-total (capacité d'autofinancement avant impôt) | 11 365 | 462 | |
| Impôts versés | (6 419) | 260 | |
| Variation du besoin en fonds de roulement (c) | 7 476 | 2 564 | |
| Flux nets de trésorerie générés par l'activité | 12 421 | 3 286 | |
| Produits des cessions d'actifs immobilisés nets d'impôts | 45 050 | (11) | |
| Acquisitions d'actifs immobilisés (d) | (26 338) | (11 824) | |
| Réductions d'actifs immobilisés financiers (d) | 1 400 | 345 | |
| Variation de périmètre | 61 | 0 | |
| Flux nets de trésorerie liés aux investissements | 20 172 | (11 491) | |
| Opérations sur actions propres | 7 | (14) | |
| Autres impacts | (1) | (312) | |
| Augmentation part des minoritaires | 0 | 0 | |
| Nouveaux emprunts (e) | 1 100 | 6 408 | |
| Remboursements des emprunts (e) | (32 295) | (10 864) | |
| Variation des autres dettes financières (e) | 17 | (176) | |
| Dividendes versés aux minoritaires | 0 | (50) | |
| Dividendes versés | 0 | 0 | |
| Flux nets de trésorerie liés aux financements | (31 172) | (5 009) | |
| (Diminution)/augmentation de la trésorerie, | |||
| des équivalents de trésorerie et des découverts bancaires | 1 421 | (13 213) | |
| Trésorerie, équivalents de trésorerie et découverts bancaires à l'ouverture | 17 928 | 31 141 | |
| Trésorerie, équivalents de trésorerie et découverts bancaires à la clôture | 19 349 | 17 928 |
* Suite au changement de référentiel comptable (voir note 2.2.2), les données comparatives liées à l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02. Le tableau de passage entre les comptes publiés et les comptes retraités est donné en note 5.3.
(a) Correspond aux dotations et reprises d'exploitation et financières à hauteur de 7 091 milliers d'euros.
(b) Voir note 4.6.
(c) Voir note 1.5.
(d) Voir notes 3.3, 3.4 et 3.5.
(e) Voir tableau ci-dessous et note 3.13.
| Au 31/03/2019 | Variation flux de trésorerie |
Autres variations |
Au 31/03/2020 | |
|---|---|---|---|---|
| Emprunts | 58 067 | (30 817) | 277 | 27 527 |
| Dettes liées aux contrats de location-financement | 19 570 | (378) | (19 122) | 71 |
| Total dettes financières | 77 638 | (31 195) | (18 845) | 27 597 |
| Au 31/03/2019 | Au 31/03/2020 |
|---|---|
| Emprunts (31 917) |
(9 425) |
| Contrats de location-financement (378) |
(1 439) |
| Total remboursements des emprunts (32 295) |
(10 864) |
| Au 31/03/2020 | Au 31/03/2019 | |
|---|---|---|
| Stocks | (3 597) | 18 101 |
| Clients et comptes rattachés | 2 007 | (3 198) |
| Autres créances | 4 502 | (1 453) |
| Fournisseurs et comptes rattachés | (3 264) | (14 186) |
| Autres dettes | 7 828 | 3 301 |
| Total | 7 476 | 2 564 |
(Montants exprimés en milliers d'euros sauf mention contraire)
Groupe LDLC est une société anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance, dont le siège social est 2, rue des Érables CS21035 69578 Limonest Cedex, France. La société est immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés sous le numéro 403 554 181 et est cotée sur Euronext Growth depuis le 2 septembre 2019, date de transfert depuis le marché Euronext Paris - Compartiment C.
Les comptes consolidés de l'exercice clos au 31 mars 2020 sont établis conformément aux dispositions légales et règlementaires françaises prévues par les dispositions du Règlement 99-02 du Comité de la Réglementation Comptable, relatives aux comptes consolidés des sociétés commerciales. Il s'agit du premier exercice pour lequel le Groupe applique ce référentiel, les comptes consolidés étant jusqu'à la dernière clôture annuelle (31 mars 2019) établis selon les normes et interprétations comptables internationales (IAS/IFRS) telles qu'adoptées par l'Union européenne.
Les états financiers au 31 mars 2020 reflètent la situation comptable de Groupe LDLC et de ses filiales ainsi que ses intérêts dans les entreprises associées.
Les comptes consolidés au 31 mars 2020 de Groupe LDLC ont été arrêtés le 18 juin 2020 par le Directoire.
Comme annoncé dans sa communication du 20 mai 2019, le Groupe LDLC a procédé sur le premier semestre de son exercice 2019/2020 au transfert de la cotation de ses actions sur le marché Euronext Growth à Paris. La demande d'admission des titres sur ce dernier a été approuvée par l'Euronext Listing Board le 14 août 2019 et rendue effective le 2 septembre 2019.
Par ce transfert vers Euronext Growth, le Groupe souhaite se positionner sur un marché plus approprié à sa taille, simplifier le fonctionnement de la société et diminuer ses coûts, tout en lui permettant de continuer à bénéficier des attraits des marchés financiers.
En outre, ce transfert a eu pour effet d'opérer un retour vers le référentiel comptable français pour l'établissement des comptes consolidés, et ce dès la publication des comptes semestriels 2019/2020, au 30 septembre 2019 (voir détail des règles et méthodes nouvellement appliquées en note 2.2).
En juin 2019, le Groupe a réalisé la vente des murs de l'entrepôt et des locaux administratifs situés à Grandchampsdes-Fontaines détenus par la SCI Domimo 2 pour un montant de 11,3 millions d'euros.
Le siège social du Groupe acquis en 2017 dans le cadre d'un contrat de location-financement a été cédé le 31 juillet 2019 pour un montant de 32,3 millions d'euros. Cette cession a permis de générer une réduction de l'endettement financier de 19,1 millions d'euros.
Le 29 novembre 2019, la société Groupe LDLC a cédé 6 000 actions détenues sur la société Bluescreen pour un montant de 6 milliers d'euros, ce qui ramène son pourcentage de détention sur cette société à 80%.
Le 17 décembre 2019, la société Groupe LDLC ouvre les portes de sa marketplace. Cette offre complémentaire, vise à élargir significativement le nombre de références proposées. La marketplace concerne principalement des catégories connexes sur lesquelles un sourcing n'est pas justifié.
Depuis le 17 décembre 2019, la société Groupe LDLC, via sa marque SOLAARI, lance la commercialisation de son premier sabre connecté. Ce sabre fabriqué par la société Groupe LDLC avait bénéficié en janvier 2019 d'un prélancement sous le format d'un Kickstarter. Cette plateforme de financement participatif avait permis à plus de 400 passionnés de pré-commander leur sabre. Le 5 mars 2020, la société Groupe LDLC a signé un partenariat avec la Fédération Française d'Escrime et son académie de sabre laser pour une durée de 3 ans.
Le 7 janvier 2020, la société OLYS a racheté 147 000 actions de la société Mac & Co Digital pour un montant de 150 milliers d'euros, et devient ainsi l'unique actionnaire avec une détention de 100% du capital.
Le 18 décembre 2019, la société Groupe LDLC a acquis 100% des actions de la société LDLC VR Studio pour un montant de 20 milliers d'euros.
Le 5 février 2020, la société Groupe LDLC a racheté une boutique faisant partie du réseau de franchises du Groupe et a ainsi acquis 100% des actions de la société Avitech pour un montant de 90 milliers d'euros.
Le 6 février 2020, le Groupe a annoncé le désengagement de sa présence physique en Espagne avec la fermeture de ses deux boutiques, situées à Madrid et Barcelone. Cependant, le Groupe conserve une activité de distribution en ligne à destination de l'Espagne (voir note 3.4, note 3.12, note 4.5 et note 4.6).
En février 2020, le Groupe a réalisé la vente de son concept store de Nantes détenu par la SCI Domimo 3 pour un montant de 1,4 million d'euros.
Durant la crise sanitaire du Covid-19, l'activité des boutiques du réseau LDLC, Materiel.net et BIMP a été défini par arrêté ministériel du 15 mars 2020 comme indispensable à la vie de la Nation. Malgré ce statut, certaines boutiques ont fermé leurs portes. Le Groupe a maintenu quelques boutiques ouvertes avec une activité réduite, afin de permettre notamment la distribution et la gestion des SAV de matériel informatique aux particuliers et aider les entreprises dans l'accès au matériel nécessaire au télétravail.
En application du Règlement français n° 99-02 du 29 avril 1999 du Comité de la Réglementation Comptable, les états financiers consolidés du Groupe au 31 mars 2020 ont été établis en conformité avec les principes comptables et les dispositions légales et règlementaires fixés par la loi et le Code de Commerce à la date de clôture de ces états financiers et qui sont d'application obligatoire à cette date.
Les comptes consolidés ont été préparés dans le respect du principe de prudence et conformément aux hypothèses de base : continuité de l'exploitation, permanence des méthodes comptables et indépendance des exercices conformément aux règles générales d'établissement et de présentation des comptes.
Les états financiers consolidés ont été préparés sur la base de méthodes comptables homogènes au sein du Groupe et selon la convention du coût historique, sous réserve des exceptions relatives aux règles de réévaluation (Voir note 2.2.6).
Concernant la boutique du réseau Armoire de Bébé, celle-ci a été contrainte de fermer ses portes dès le 14 mars 2020, ne générant ainsi aucun chiffre d'affaires durant la période de confinement.
Les activités BtoB connaissent également temporairement une baisse sensible d'activité.
L'ensemble des activités de distribution en ligne du Groupe est resté opérationnel durant toute la période du confinement.
Le Groupe a eu recours au chômage partiel pour faire face à la baisse temporaire de son activité en boutiques ; à ce titre un produit de 75 milliers d'euros a été enregistré dans les comptes du 31 mars 2020.
Dans ce contexte de crise sanitaire, le Groupe a sollicité l'ensemble des banques auprès desquelles des emprunts sont souscrits et a pu obtenir, fin mars 2020, une suspension des échéances dues pour une durée de 6 mois (voir note 3.13).
Le Groupe applique le Règlement CRC 99-02 pour la première fois depuis l'établissement de ses comptes consolidés semestriels au 30 septembre 2019. Le référentiel des normes IFRS (International Financial Reporting Standards) était appliqué jusqu'à la précédente clôture annuelle au 31 mars 2019.
Dans le cadre de ce changement de référentiel comptable, le Groupe a choisi d'opter pour les méthodes préférentielles proposées par le Règlement CRC 99-02 dès lors qu'elles sont applicables. Les principes comptables antérieurs ont été maintenus, à l'exception de la comptabilisation de la provision pour indemnités de départ à la retraite (Voir note 2.2.20.1), et sauf en cas d'incompatibilité avec les normes françaises.
Conformément aux dispositions de l'ANC 2010-01 relatif aux modalités de première application du Règlement CRC 99-02 par les sociétés dont les instruments financiers sont transférés d'un marché règlementé vers le marché Euronext Growth, les comptes antérieurs ont été retraités de manière rétrospective en utilisant les règles et méthodes comptables en vigueur à la date de clôture de l'exercice du changement.
Les incidences du changement de référentiel comptable sur les états financiers consolidés sont présentées dans les tableaux de passage établis entre les états de synthèse des comptes annuels et les comptes retraités en note 5.3.
De même, les données comparatives liées à l'exercice clos le 31 mars 2019 indiquées en notes annexes ont été retraitées pour tenir compte de l'impact de l'application du Règlement CRC 99-02.
Lors de la préparation et de la présentation des états financiers, la Direction du Groupe est amenée à exercer fréquemment son jugement afin d'évaluer ou d'estimer certains postes des états financiers (tels que les provisions, les impôts différés, les évaluations retenues pour les tests de perte de valeur). La probabilité de réalisation d'évènements futurs est aussi appréciée. Ces évaluations ou estimations sont revues à chaque clôture et confrontées aux réalisations afin d'ajuster les hypothèses initialement retenues si nécessaire.
Le Groupe LDLC n'a pas constaté sur l'exercice une évolution du niveau des incertitudes liées à ces estimations et hypothèses, à l'exception de la volatilité du taux d'actualisation utilisé pour le calcul des engagements sociaux.
Ces estimations sous-tendent l'hypothèse de continuité d'exploitation et sont celles que la Direction considère comme les plus pertinentes et réalisables dans l'environnement du Groupe et en fonction des retours d'expérience disponibles.
Les principales hypothèses et estimations retenues par le Groupe sont détaillées dans chacun des paragraphes dédiés de l'annexe aux états financiers et notamment dans les notes suivantes :
| Estimation | Nature de l'estimation | |
|---|---|---|
| Notes 2.2.6 et 3.2 | Tests de dépréciation | Affectation des écarts d'acquisition à une seule UGT Groupe LDLC |
| des écarts d'acquisition | Principales hypothèses retenues pour la construction des valeurs d'utilité (flux de trésorerie attendus, taux de croissance à l'infini, taux d'actualisation au coût moyen pondéré du capital) |
|
| Notes 2.2.7 et 3.3 Frais de recherche |
Conditions d'activation des projets de développement | |
| et développement | Hypothèses de durée de vie des projets (calcul des amortissements) | |
| Notes 2.2.13 et 3.6 | Stocks | Perspectives d'écoulement des stocks pour le calcul de la dépréciation |
| Notes 2.2.19, 3.8 et 3.17 | Reconnaissance des impôts différés |
Hypothèses retenues pour la reconnaissance des impôts différés actifs liés aux reports déficitaires et aux différences temporelles |
| Note 3.12 | Indemnités de fin de carrière |
Taux d'actualisation correspondant au taux iBoxx Corporates AA et taux de progression des salaires |
Les sociétés dont Groupe LDLC détient le contrôle exclusif sont intégrées globalement. Le Règlement CRC 99-02 définit le contrôle exclusif comme le pouvoir de diriger les politiques financières et opérationnelles d'une entreprise afin de tirer avantage de ses activités.
À la clôture de l'exercice, il n'existe pas de société dans laquelle le Groupe exerce un contrôle conjoint ou une influence notable.
Les filiales sont consolidées par intégration globale à compter de la date de prise de contrôle par le Groupe. Elles sont déconsolidées à compter de la date à laquelle le contrôle cesse d'être exercé.
Toutes les sociétés du Groupe clôturent au 31 mars, excepté la société NLCL qui clôture ses comptes au 31 décembre.
La liste des sociétés incluses dans le périmètre de consolidation est présentée en note 2.3.
Les transactions intragroupes, les soldes et les profits latents sur les opérations entre sociétés du Groupe sont éliminés. Le cas échéant, des retraitements sont effectués sur les états financiers des filiales pour aligner les principes comptables utilisés avec ceux des autres entreprises du périmètre de consolidation.
Les états financiers consolidés sont présentés en euros, qui est la monnaie fonctionnelle et de présentation de la société.
Pour les sociétés dont la monnaie fonctionnelle n'est pas l'euro, leurs bilans sont convertis en euros au taux de change de clôture, et leurs comptes de résultats et flux de trésorerie sont convertis au taux de change moyen de la période, d'après la méthode définie au §3201 du référentiel 99-02.
La différence de conversion résultant de l'écart entre les cours d'ouverture, moyen et de clôture est inscrite dans les capitaux propres au poste « Écarts de conversion ».
Les transactions libellées en monnaies étrangères sont converties en euros en utilisant les taux de change en vigueur aux dates des transactions. En fin d'exercice, les pertes et les profits de change découlant de la conversion, aux taux en vigueur à la date de clôture, des actifs et passifs monétaires libellés en devises sont comptabilisés en résultat financier.
Lors de la première consolidation d'une entreprise contrôlée exclusivement, les actifs et passifs identifiables de l'entreprise acquise sont évalués à leur valeur d'entrée conformément aux prescriptions du §211 du CRC 99-02.
À la date de prise de contrôle, tout excédent entre le prix d'acquisition et la quote-part du Groupe dans l'actif net identifiable de la société acquise donne lieu à la comptabilisation d'un écart d'acquisition.
Le prix d'acquisition des titres correspond à la rémunération remise au vendeur par l'acquéreur, majorée du montant net d'impôt de tous les autres coûts directement imputables à l'acquisition.
Les écarts d'acquisition sont considérés comme ayant une durée d'utilisation non limitée.
Ainsi, conformément à l'ANC 2015-06, ils ne sont pas amortis et font l'objet d'un test de dépréciation au minimum une fois par an ou si un indice de perte de valeur est identifié.
Pour ce test, l'écart d'acquisition est affecté à des unités génératrices de trésorerie, qui correspondent à des ensembles homogènes générant conjointement des flux de trésorerie identifiables.
Les modalités des tests de perte de valeur des unités génératrices de trésorerie sont détaillées dans la note 3.2.
Lorsqu'une perte de valeur est constatée, l'écart entre la valeur comptable de l'actif et sa valeur recouvrable est comptabilisé sur la ligne « Dotation aux amortissements et provisions des écarts d'acquisition » après le résultat net des sociétés intégrées. Les pertes de valeur relatives aux écarts d'acquisition ne sont pas réversibles.
Conformément à l'ANC 2015-06, les frais de recherche et de développement sont enregistrés en charges de l'exercice au cours duquel elles sont encourues.
En application du Règlement précité, le Groupe comptabilise à l'actif les frais de développement dès lors que les projets respectent les conditions d'activation cumulatives suivantes :
Ces frais de développement sont amortis sur la durée de vie estimée des projets concernés.
Les frais de développement ne remplissant pas les critères d'activation sont comptabilisés en charges.
Les coûts liés à l'acquisition de licences de logiciels sont inscrits à l'actif sur la base des coûts encourus pour acquérir et pour mettre en service les logiciels concernés. Ces coûts sont amortis sur la durée d'utilité estimée des logiciels (trois ans).
Les coûts associés au développement et au maintien en fonctionnement des logiciels sont comptabilisés en charges au fur et à mesure qu'ils sont encourus.
Les coûts directement associés à la production de logiciels et de sites web identifiables ayant un caractère unique et qui sont contrôlés par le Groupe, sont comptabilisés comme des charges de l'exercice ou en immobilisations, selon si les projets répondent ou pas aux critères d'activation d'une immobilisation. Les coûts directement associés à la production comprennent les charges liées aux coûts salariaux des personnes ainsi que les coûts de sous-traitants ayant développé les logiciels et les sites web.
Le Groupe a pris l'option d'amortir les droits au bail sur la durée restante du bail.
Les principales durées d'amortissement retenues sont les suivantes :
| Nature de l'immobilisation | Durées d'amortissement |
|---|---|
| Logiciels | 3 ans |
| Marque | 10 ans |
| Contrat | 20 ans |
| Autres immobilisations incorporelles | 3 à 8 ans |
Les immobilisations corporelles sont comptabilisées à leur coût d'acquisition diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeur, le cas échéant. Le coût historique comprend tous les coûts directement attribuables à l'acquisition des actifs concernés, leur transfert jusqu'à leur lieu d'exploitation.
Les intérêts d'emprunt ne sont pas incorporés dans les coûts des actifs mais constatés en charge de l'exercice au cours duquel ils sont engagés.
Les coûts de maintenance et de réparation sont comptabilisés en charge sur la période.
Les immobilisations ne font l'objet d'aucune réévaluation.
Les immobilisations sont amorties à partir de la date de mise en service selon la méthode linéaire en fonction de la durée de vie estimée.
Les principales durées d'amortissement retenues sont les suivantes :
| Nature de l'immobilisation | Durées d'amortissement |
|---|---|
| Constructions | 15 à 25 ans |
| Installations et agencements | 8 à 10 ans |
| Matériel | 8 ans |
| Installations techniques | 8 à 10 ans |
| Matériel de bureau | 3 ans |
| Matériel de transport | 4 ans |
| Mobilier | 5 ans |
Conformément à l'ANC 2015-06, un test de dépréciation est réalisé dès lors qu'il existe un indice de perte de valeur. Une provision pour dépréciation est alors comptabilisée si la valeur recouvrable de l'immobilisation concernée est inférieure à sa valeur nette comptable.
La valeur recouvrable d'un actif représente la valeur la plus élevée entre la juste valeur diminuée des coûts de cession et la valeur d'utilité. La dépréciation ainsi déterminée est imputée en priorité sur les écarts d'acquisition puis au prorata des valeurs comptables des autres actifs.
Les durées d'utilité des actifs sont revues et, le cas échéant, ajustées à chaque clôture.
Les pertes ou les profits sur cessions d'immobilisations corporelles sont déterminés en comparant les produits de cession à la valeur nette comptable de l'actif cédé. Ils sont comptabilisés au compte de résultat.
Un contrat de location est classé en tant que contrat de location-financement s'il transfère au Groupe la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété du bien loué.
Au début de la période de location, les contrats de locationfinancement sont comptabilisés à l'actif et au passif du bilan pour des montants égaux à la juste valeur du bien loué ou, si celle-ci est inférieure, à la valeur actualisée des paiements minimaux au titre de la location déterminée, chacune au commencement du contrat de location.
Les paiements effectués au titre de la location sont ventilés entre charge financière et amortissement du solde de la dette.
La politique d'amortissement des actifs faisant l'objet d'un contrat de location-financement est similaire à celle appliquée pour les immobilisations corporelles acquises directement par l'entreprise (voir note 2.2.9 relative aux immobilisations corporelles).
Les contrats de location pour lesquels une partie significative des risques et avantages inhérents à la propriété est effectivement conservée par le bailleur sont classés en contrats de location simple. Les paiements effectués au regard des contrats de cette nature sont comptabilisés de manière linéaire sur la durée du contrat.
Conformément au Règlement CRC 99-02 §300, les dettes financières sont comptabilisées au coût historique (voir note 3.13).
Les coûts de transactions correspondent aux coûts qui sont directement rattachables à l'acquisition ou à l'émission de l'emprunt.
Le portefeuille d'instruments financiers du Groupe se compose de deux contrats de swap de taux d'intérêts souscrits afin de réduire le risque d'impact défavorable lié à la variabilité des taux d'emprunt.
Conformément à l'ANC 2015-05, les dérivés qualifiés d'instruments de couverture suivent la règle de prééminence du principe de symétrie relative à la reconnaissance de l'opération couverte d'une part, et l'effet de la couverture d'autre part.
Les swaps étant utilisés dans le cadre d'une stratégie de couverture des flux de trésorerie futurs, l'effet du dérivé est reconnu au compte de résultat en compensation du risque déjà comptabilisé sur l'opération couverte (charge d'intérêts financiers).
Les swaps étant utilisés dans le cadre d'une stratégie de couverture des flux de trésorerie futurs, l'optimisation ne fait pas prendre un risque supplémentaire ; par conséquence les variations de la juste valeur de l'option ne sont pas comptabilisées au bilan, ainsi les moins-values et les plusvalues latentes ne sont pas comptabilisées.
Le détail des instruments financiers, les sous-jacents couverts, la documentation de la relation de couverture et les impacts de leur traitement sur la période sont présentés en note 3.14.
Les montants nominaux des contrats de swap sont mentionnés dans les engagements hors bilan (note 5.2.2).
Les stocks sont évalués au plus faible de leur coût et de leur valeur nette de réalisation. La valeur nette de réalisation est égale au prix de vente estimé dans le cours normal de l'activité net des coûts restant à encourir pour l'achèvement et la réalisation de la vente.
La méthode de détermination du coût est identique pour les stocks ayant une nature et un usage similaires dans une même entité. Les stocks sont évalués selon la méthode du Premier Entré Premier Sorti (PEPS).
Les stocks comprennent tous les coûts d'achat et autres coûts encourus pour amener les stocks sur leur lieu de vente et dans l'état où ils se trouvent, tels que les coûts variables de logistique et les frais de transport. Les avantages obtenus des fournisseurs comptabilisés en déduction du coût d'achat des marchandises vendues sont déduits de la valeur des stocks.
Le Groupe peut être amené à constater une dépréciation sur ces stocks :
Les créances clients et autres débiteurs sont comptabilisées à leur valeur nominale.
Elles sont dépréciées s'il existe un indice de perte de valeur permettant au Groupe de démontrer qu'il n'est pas en mesure de recouvrer l'ensemble des sommes initialement prévues par les termes de la créance.
L'analyse se fait au cas par cas en fonction de l'ancienneté et de la recouvrabilité de la créance.
Le Groupe procède, depuis plusieurs années, à des cessions de créances avec recours et, depuis l'exercice clos au 31 mars 2017, à des cessions de créances sans recours.
Conformément au Règlement 99-02, les créances cédées ont été déconsolidées.
La rubrique « disponibilités » comprend les liquidités, les dépôts bancaires à vue, les autres placements à court terme très liquides ayant des échéances initiales inférieures ou égales à trois mois. Les découverts bancaires figurent au passif courant du bilan, dans les emprunts et autres dettes financières.
Les mouvements bancaires en devises sont valorisés à la date de l'opération. En fin de mois, les comptes sont convertis au cours de clôture. Cette réactualisation a pour contrepartie soit un compte de gain de change, soit un compte de perte de change au compte de résultat.
Le tableau de flux de trésorerie est établi en utilisant la méthode indirecte et présente distinctement les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, d'investissement et de financement. Les flux de trésorerie liés à une prise
de contrôle ou une perte de contrôle dans une filiale sont affectés aux flux nets de trésorerie des activités d'investissement dans la ligne « Variation de périmètre ».
Les titres auto-détenus de Groupe LDLC sont classés selon la destination qui leur est donnée dans les comptes individuels.
Les actions propres classées en titres immobilisés dans les comptes individuels viennent, dans les comptes consolidés, en déduction des capitaux propres pour leur coût d'acquisition (CRC 99-02 §271). Corrélativement, les incidences de toutes les transactions afférentes constatées dans les comptes individuels sont imputées directement sur les réserves consolidées sans affecter le résultat (résultat de cession, dépréciation, etc.).
Les actions propres classées en titres de placement dans les comptes individuels sont maintenues dans cette rubrique dans les comptes consolidés, conformément à l'avis CNC n° 2008-17. Les éventuels mouvements opérés sur ces actions restent comptabilisés en résultat exceptionnel comme dans les comptes individuels, ainsi que les provisions en résultat financier.
En effet, le Groupe procède à des achats de ses propres actions en vue de couvrir les engagements qu'elle assume dans le cadre des plans d'attributions gratuites d'actions mentionnés en note 4.2.
En application de l'article 624 du PCG :
Les mouvements de l'année sur les actions propres sont indiqués dans la note 3.11.
Le résultat net par action correspond au résultat net part du Groupe rapporté au nombre moyen des actions en circulation au cours de l'exercice.
Le Groupe n'a pas d'action ordinaire dilutive en circulation au cours de la période. Le résultat net dilué par action est donc identique au résultat net par action.
Lorsque le résultat par action est négatif, le résultat dilué par action est identique à ce résultat.
La ligne « Impôt » du compte de résultat consolidé correspond à l'impôt exigible au titre de l'exercice écoulé et aux variations d'impôts différés.
Les actifs et passifs d'impôts courants correspondent à des créances et dettes d'impôt dont l'échéance est inférieure à 12 mois.
Le Groupe comptabilise des impôts différés selon la méthode du report variable pour l'ensemble des différences temporaires entre les valeurs fiscales et les valeurs comptables des actifs et passifs enregistrés au bilan consolidé, à l'exception des écarts d'acquisition.
Les soldes nets d'imposition différée sont déterminés sur la base de la situation fiscale de chaque société ou du résultat d'ensemble des sociétés comprises dans le périmètre d'intégration fiscale. Un actif ou passif d'impôt différé est évalué au taux d'impôt dont l'application est attendue sur l'exercice au cours duquel l'actif sera réalisé ou le passif réglé, sur la base des taux d'impôt qui ont été adoptés à la date de clôture. Les actifs nets d'impôts différés ne sont comptabilisés que si la société ou l'ensemble intégré fiscalement a une assurance raisonnable de les récupérer au cours des années ultérieures ; les actifs correspondant à des déficits fiscaux reportables sont inscrits au bilan.
L'activation des impôts différés liés à des déficits fiscaux ou à des moins-values reportables est limitée à ceux dont la récupération est probable.
Le Groupe évalue les avantages à long terme accordés au personnel en application de la recommandation ANC 2013-02. Ces avantages correspondent exclusivement aux indemnités de fin de carrière du personnel en activité.
Conformément à l'option offerte par la méthode préférentielle du référentiel CR 99-02, le Groupe applique la méthode du « Corridor » pour la comptabilisation des écarts actuariels, à compter du 1er avril 2019 compte tenu de l'impossibilité de reconstituer un corridor historique :
La société ne détient aucun actif de régime pour financer cet engagement.
Les hypothèses actuarielles retenues pour le calcul des indemnités de départ en retraite et le montant des écarts actuariels non comptabilisés sont détaillés dans la note 3.12 de la présente annexe.
Le Groupe comptabilise une provision dès lors qu'il a une obligation actuelle, juridique ou implicite résultant d'un événement passé, dont le montant peut être estimé de manière fiable, et dont l'extinction devrait se traduire par une sortie de ressources pour le Groupe.
Le chiffre d'affaires est composé des ventes hors taxes de marchandises et de prestations vendues.
Les ventes de marchandises correspondent essentiellement aux ventes réalisées dans les magasins, sur les sites e-commerce (ventes aux clients finaux), ainsi que dans les entrepôts (ventes aux franchisés).
Les ventes de produits sont comptabilisées en ventes de marchandises lorsque les critères suivants sont remplis :
Les ventes de marchandises destinées aux professionnels et particuliers, hors clients boutiques et filiales, présentées au compte de résultat font l'objet d'un retraitement en moyenne des deux derniers jours de chiffre d'affaires (voir note 3.17). La société estime en effet que le contrôle n'a pas encore été transféré à l'acheteur durant cet intervalle compte tenu des délais moyens de livraison observés par les transporteurs.
En ce qui concerne les prestations de services, le chiffre d'affaires n'est reconnu que lorsque les services sont rendus.
Le résultat d'exploitation correspond au cumul des produits d'exploitation courants sur lequel sont déduites les charges d'exploitation courantes. Il s'agit là d'un indicateur important qui permet de faire ressortir la performance du Groupe.
En application du principe général de prédominance de la substance sur l'apparence propre aux comptes consolidés (CRC 99-02 §300), le Groupe a fait le choix de maintenir le traitement IFRS consistant à reclasser le crédit d'impôt recherche (CIR) en tant que subvention d'exploitation, relativement aux frais de développement immobilisés.
Sont comptabilisés en résultat exceptionnel les éléments en lien avec un évènement majeur survenu lors de l'exercice ayant un caractère inhabituel, anormal et peu fréquent (voir détail en note 4.5).
Le périmètre de consolidation ainsi que les méthodes retenues s'analysent de la manière suivante :
| Filiales | Activité | % détention |
Date de détention |
Méthode de consolidation |
|---|---|---|---|---|
| Hardware.fr | Conception, réalisation et exploitation de sites Internet, contenu éditorial |
100% | 07/2000 | Intégration globale |
| Nemeio | Commerce de gros de tous matériels, logiciels informatiques et tous services rattachés |
100% | 04/2001 | Intégration globale |
| DLP Connect | Installation de réseaux câblés, systèmes de contrôle d'accès, vidéo-surveillance, télécommunications |
80% | 01/2004 | Intégration globale |
| LDLC Distribution | Création et développement d'un réseau de distribution dans le domaine de la vente de tous matériels, tous services, ainsi que la concession de tous droits de franchise ou de licence |
100% | 01/2013 | Intégration globale |
| Anikop | Conception, réalisation et vente de logiciels et prestations de services informatiques, maintenance à titre accessoire SAV matériel vendu, formation |
80% | 12/2006 | Intégration globale |
| L'École LDLC | Enseignement supérieur | 100% | 11/2014 | Intégration globale |
| LDLC Villefranche | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2015 | Intégration globale |
| CAMPUS 2017 | Acquisition d'un terrain et construction d'immeubles à usage de bureaux par voie de crédit-bail, location administration desdits immeubles, acquisition et gestion de tous biens meublés |
100% | 09/2015 | Intégration globale |
| LDLC Bordeaux | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2016 | Intégration globale |
| LDLC Villeurbanne Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2016 | Intégration globale |
|
| LDLC Lille V2 | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2016 | Intégration globale |
| Domimo 2 | Acquisition d'un terrain, exploitation et mise en valeur de ce terrain |
100% | 03/2016 | Intégration globale |
| Domimo 3 | Acquisition d'un terrain, exploitation et mise en valeur de ce terrain pour édification d'un immeuble et exploitation par bail |
100% | 03/2016 | Intégration globale |
| LDLC Event | Organisation d'évènements et gestion de projets évènementiels, notamment dans le domaine du sport électronique |
70% | 05/2016 | Intégration globale |
| LDLC Lyon 7 | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2017 | Intégration globale |
| Filiales | Activité | % détention |
Date de détention |
Méthode de consolidation |
|---|---|---|---|---|
| LDLC Cormeilles | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2017 | Intégration globale |
| ADB Limonest | Commerce de détail en boutique, de produits d'équipement de la personne et de produits de puériculture |
100% | 03/2017 | Intégration globale |
| LDLC7 | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2018 | Intégration globale |
| LDLC9 | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2018 | Intégration globale |
| Bluescreen | Infogérance de parc informatique pour client professionnel sur trois piliers : supervision à distance, prestations de services sur site, centre de réparation de produits informatiques, commerce de tous matériels et logiciels informatiques |
80% | 03/2018 | Intégration globale |
| ADB Orgeval | Commerce de détail en boutique, de produits d'équipement de la personne et de produits de puériculture |
100% | 03/2018 | Intégration globale |
| LDLC11 | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2018 | Intégration globale |
| LDLC12 | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2018 | Intégration globale |
| LDLC13 | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 03/2018 | Intégration globale |
| Avitech | Commerce de détail de tous matériels et logiciels informatiques, de tous produits relevant du domaine des multimédias et du numérique |
100% | 02/2020 | Intégration globale |
| OLYS | Négoce, représentation sous quelque forme que ce soit de matériel informatique et de tous dérivés de matériels de produits de téléphonie et accessoires, de réseau et multimédia |
100% | 01/2018 | Intégration globale |
| I-Artificielle | Commercialisation de services et de produits d'ordinateurs, d'unités périphériques, de logiciels et de tous matériels informatiques complémentaires conçus par des entreprises spécialisées dans ce domaine |
60% | 01/2018 | Intégration globale |
| MyMultimedia | Achat, vente, installation, réparation de matériels informatiques, jeux vidéo, commercialisation de tous produits annexes ou connexes |
60% | 01/2018 | Intégration globale |
| Mac & Co Digital | Informatiques, télécoms, numérique, logiciels, services | 100% | 01/2018 | Intégration globale |
| Filiales | Activité | % détention |
Date de détention |
Méthode de consolidation |
|---|---|---|---|---|
| Groupe LDLC España |
Vente en direct (incluant en boutique, en ligne ou par correspondance) ou par voie de réseaux de franchisés de tous matériels informatiques, logiciels, matériels électroniques, ainsi que tous services pouvant s'y rattacher |
100% | 03/2018 | Intégration globale |
| LDLC VR Studio | Exploitation, y compris en gérance, de tous fonds de commerce ayant pour objet la pratique d'activités sportives et/ou de loisirs indoor, le développement et la commercialisation de jeux vidéo, la restauration à consommer sur place et à emporter |
100% | 12/2019 | Intégration globale |
Les sociétés I-Artificielle, MyMultimedia et Mac & Co Digital sont détenues par OLYS.
Groupe LDLC détient des participations minoritaires dans les sociétés Immo Fi, Presse Non-Stop, Phox et CG Développement ; les comptes de ces entités n'étant pas significatifs, ils ne sont pas consolidés au 31 mars 2020. Ces participations sont présentées à l'actif du bilan au poste d'immobilisations financières.
De par ses activités, le Groupe est exposé à différentes natures de risques financiers : risques de marché (notamment risque de change, risque de variation de valeur due à l'évolution rapide du secteur des technologies et tout autre risque de variation de prix), risque de crédit, risque de taux d'intérêt, risque de liquidité.
Le Groupe exerce ses activités à l'international et notamment au niveau de ses approvisionnements : il est donc exposé au risque de change provenant principalement de l'US dollar. Le risque de change porte sur des transactions commerciales futures, des actifs et des passifs en devises enregistrés au bilan.
Pour gérer le risque de change lié aux transactions commerciales futures et aux actifs et aux passifs en devises enregistrés au bilan, les entités du Groupe peuvent recourir soit à des contrats de change à terme, conclus avec plusieurs établissements financiers, soit à l'ajustement de leur prix de ventes.
Au 31 mars 2020, aucun contrat de change à terme n'est en cours.
Le pourcentage de marchandises payées en US dollars est d'environ 20%, et aucune couverture de change n'a été utilisée sur l'exercice pour régler ces achats.
Le Groupe est exposé au risque de prix affectant les marchandises du secteur informatique / « High-Tech ». Des outils d'analyse de la rotation des stocks permettent de se prémunir contre la déflation des prix inhérente à cette activité en adaptant les volumes d'achats de manière dynamique avec le cycle de vie des produits et leur niveau de ventes.
Compte tenu de son grand nombre de clients, le Groupe estime n'être pas exposé à une concentration importante du risque de crédit. De plus, le Groupe a mis en place des procédures internes lui permettant de s'assurer que les clients ayant acheté ces produits ont un historique de risque de crédit approprié.
Néanmoins, le développement de ses activités en BtoB et en franchise pourrait avoir un effet négatif sur la trésorerie, le résultat, la situation financière du Groupe. Le Groupe met en place des procédures internes permettant de contrôler ces risques notamment au travers d'une souscription d'assurance-crédit pour ses activités en BtoB. Concernant son activité en franchise, le risque est limité au vu des délais de paiements donnés par le Groupe à ces clients et du suivi interne mis en place pour arriver à atténuer ce risque. Ces encours clients relatifs aux franchises sont suivis régulièrement.
Le Groupe a à disposition plusieurs lignes de découvert (voir note 3.13).
Pour couvrir le risque lié aux intérêts d'emprunts à taux variable, des contrats swap ont été souscrits par le Groupe (voir note 3.14).
Une analyse de sensibilité au risque de taux d'intérêt est faite dans la note 3.15.
Afin de gérer le risque de liquidité pouvant résulter de l'exigibilité des passifs financiers, que ce soit à leur échéance contractuelle ou par anticipation, le Groupe met en œuvre une politique de financement reposant sur :
Les disponibilités ainsi que la dette financière sont respectivement décrites en notes 3.10 et 3.13.
La segmentation adoptée pour l'analyse sectorielle est issue de celle qui prévaut en matière d'organisation interne du Groupe et de l'évaluation de sa performance par la Direction. Sur la base de l'analyse de la répartition sectorielle de ses activités, le Groupe considère qu'il opère sur un seul segment agrégé : la distribution de matériel informatique et des services associés. Par ailleurs, la quasi-intégralité du chiffre d'affaires est réalisée en France et dans les pays francophones limitrophes à la France. Le Groupe considère par conséquent qu'il opère sur un seul et unique secteur géographique distinct. Le principal décideur opérationnel du
Groupe, le Directoire, mesure sa performance au regard de la marge brute dégagée par ses activités. Pour ces raisons, la Direction du Groupe n'estime pas opportun de constituer de secteurs d'activité distincts dans son reporting interne.
L'EBITDA n'étant pas un agrégat défini par le Règlement CRC 99-02, et son mode de calcul pouvant différer selon les sociétés, il est précisé que l'excédent brut d'exploitation avant impôt et dotations aux amortissements et provisions d'exploitation correspond à la somme du résultat d'exploitation et des dotations nettes aux amortissements et provisions d'exploitation.
Du 01/04/2019 au 31/03/2020 Du 01/04/2018 au 31/03/2019 Résultat net 8 308 (4 820) Dot. & rep. aux amortissements et provisions (9 104) (7 390) Autres produits et charges financières (962) (2 060) Autres produits et charges exceptionnels 10 489 (56) Charge d'impôt (7 862) 2 839 EBE 15 747 1 848
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Résultat d'exploitation | 6 643 | (5 543) |
| Amortissements d'exploitation | (9 104) | (7 390) |
| EBE | 15 747 | 1 848 |
Les chiffres en (-) ont un impact positif sur le calcul de l'EBE.
L'activité de la société Groupe LDLC, de distribution de matériel informatique et de services associés, s'adresse à des clients particuliers ou professionnels. Aucun client ne représente un chiffre d'affaires supérieur à 5% des ventes du Groupe.
À compter du 1er avril 2020, le site Internet espagnol est hébergé sur la société Groupe LDLC.
Le 10 avril 2020, la société Groupe LDLC a réalisé l'acquisition du fonds de commerce de Top Achat pour un montant de 3 millions d'euros. Ce rapprochement est une source d'opportunités et de synergies complémentaires. L'activité de Top Achat s'intègre pleinement à la stratégie de distributeur de produits High-Tech.
Fin avril 2020, la société Groupe LDLC a souscrit 4 prêts « PGE » de 4,5 millions d'euros chacun en vue de financer les besoins de trésorerie du Groupe. Ce montant de 18 millions d'euros de prêt bénéficie à hauteur de 90% de la garantie de
Les transactions conclues avec les parties liées sont réalisées à des conditions normales de marché et ne présentent pas une information significative.
l'État accordée aux établissements de crédits et sociétés de financement en application de l'article 6 de la loi n°2020-289 du 23 mars 2020 de finance rectificative pour 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau fermées depuis le 17 mars 2020 de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des mesures « barrières » préconisées.
À la connaissance de la société, aucun autre événement susceptible d'avoir une incidence significative sur les comptes sociaux de la société n'est intervenu depuis le 31 mars 2020.
Le tableau des parties liées est présenté dans la note 3.18.
Les dirigeants sont ceux présents sur l'exercice et listés dans la partie gouvernement d'entreprise du rapport annuel (voir note 5.1).
La consolidation est réalisée à partir des comptes arrêtés au 31 mars 2020 pour toutes les sociétés.
Le compte de résultat consolidé intègre les comptes de résultat des sociétés acquises ou créées au cours de l'exercice à compter de la date d'acquisition ou de création, excepté celui de la société Avitech. Du fait d'une date d'acquisition proche de la clôture annuelle, l'entrée dans le périmètre de consolidation a été réalisée sur la base des comptes arrêtés au 31 mars 2020. L'impact du compte de résultat ne présente pas un caractère significatif.
Le compte de résultat intègre les comptes de résultat des sociétés cédées en cours d'exercice jusqu'à la date de cession.
Au cours de l'exercice clos au 31 mars 2020, la société Avitech a réalisé un chiffre d'affaires de 2 064 milliers d'euros
Les colonnes « Variations de périmètre » qui figurent dans les tableaux correspondent aux sociétés LDLC VR Studio et Avitech.
et un résultat net de 62 milliers d'euros.
| Valeurs brutes | 31/03/2019 | Acquisitions | Var. périmètre |
Cessions | 31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|---|
| Groupe Materiel.net | 20 084 | 0 | 0 | 0 | 20 084 |
| Groupe OLYS | 7 058 | 0 | 0 | 0 | 7 058 |
| LDLC VR Studio | 0 | 0 | 89 | 0 | 89 |
| Avitech | 0 | 0 | 236 | 0 | 236 |
| Total | 27 142 | 0 | 324 | 0 | 27 467 |
| Amortissements et dépréciations |
31/03/2019 | Acquisitions | Var. périmètre |
Reprises | 31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|---|
| Groupe Materiel.net | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| Groupe OLYS | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| LDLC VR Studio | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| Avitech | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| Total | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Conformément à l'application du référentiel 99-02 (voir principes comptables en note 2.2.6) :
Les données de l'exercice précédent ont été retraitées pour tenir compte de l'application rétrospective du Règlement CRC 99-02.
L'écart d'acquisition « groupe Materiel.net » de 20 084 milliers d'euros provient de l'acquisition du groupe Materiel.net réalisée en mars 2016, constitué de la société Domisys, et des SCI Domimo 2 et Domimo 3.
Sur l'exercice clos au 31 mars 2019, la société Groupe LDLC a procédé à la fusion par absorption de la société Domisys.
L'écart d'acquisition « groupe OLYS » de 7 058 milliers d'euros provient de l'acquisition en janvier 2018 de la société OLYS ainsi que ses filiales : I-Artificielle, MyMultimedia et Mac & Co Digital, auxquelles s'ajoutent les sociétés BIMP Éducation, Synopsis et Bizen qui ont toutes les trois fusionné avec OLYS sur l'exercice clos au 31 mars 2019.
L'écart d'acquisition « LDLC VR Studio » de 89 milliers d'euros, constaté au 31 mars 2020, fait suite à l'acquisition de 100% des actions de cette société réalisée le 18 décembre 2019.
| 31/12/2019 | |
|---|---|
| (devise : en milliers d'euros) | Valeur comptable |
| Autres immobilisations incorporelles | 11,4 |
| Immobilisations corporelles | 402,6 |
| Immobilisations financières | 28,5 |
| Actif immobilisé | 442,5 |
| Stocks | - |
| Clients et comptes rattachés | - |
| Autres créances et comptes de régularisation | 59,8 |
| Disponibilités | 49,3 |
| Actif circulant | 109,1 |
| Total actifs | 551,6 |
| Réserves consolidées | - |
| Intérêts minoritaires | - |
| Total des capitaux propres | |
| Provisions | - |
| Provisions | |
| Emprunts et dettes financières | (148,0) |
| Fournisseurs et comptes rattachés | (34,2) |
| Autres dettes et comptes de régularisation | (438,1) |
| Dettes | (620,2) |
| Total passifs | (620,2) |
| Actif net | (68,6) |
| Goodwill | 88,7 |
| Contrepartie transférée | 20,1 |
L'écart d'acquisition « Avitech » de 236 milliers d'euros, constaté au 31 mars 2020, fait suite à l'acquisition de 100% des actions de cette société réalisée le 5 février 2020.
| 31/03/2020 Valeur |
|
|---|---|
| (devise : en milliers d'euros) | comptable |
| Autres immobilisations incorporelles | 4,4 |
| Immobilisations corporelles | 160,1 |
| Immobilisations financières | 15,3 |
| Actif immobilisé | 179,8 |
| Stocks | 65,9 |
| Clients et comptes rattachés | 26,9 |
| Autres créances et comptes de régularisation | 112,2 |
| Disponibilités | 265,5 |
| Actif circulant | 470,5 |
| Total actifs | 650,3 |
| Réserves consolidées | - |
| Intérêts minoritaires | - |
| Total des capitaux propres | |
| Provisions | (1,8) |
| Provisions | (1,8) |
| Emprunts et dettes financières | (128,7) |
| Fournisseurs et comptes rattachés | (121,0) |
| Autres dettes et comptes de régularisation | (544,5) |
| Dettes | (794,2) |
| Total passifs | (796,0) |
| Actif net | (145,7) |
| Goodwill | 235,7 |
| Contrepartie transférée | 90,0 |
Le Groupe n'a pas identifié de perte de valeur sur les écarts d'acquisition.
Les flux de trésorerie ont été évalués à partir des budgets et des plans à cinq ans établis à partir des perspectives de croissance et de marge cohérents avec les performances historiques du Groupe et de ses marchés. Dans le contexte des évènements survenus, en lien avec le Covid-19, trois scénarios différents ont été pris en compte et ont été pondérés en fonction de leur probabilité de survenue. Chaque scénario reflète les hypothèses d'impact du Covid-19 sur le chiffre d'affaires et la marge d'EBITDA sur la période du business plan. Le taux de croissance retenu pour la projection des cash-flows à l'infini, soit 1,9%, est cohérent avec les taux d'inflation à long terme en France.
Le taux d'actualisation utilisé correspond au coût moyen pondéré du capital et représente le niveau de rémunération attendu des capitaux engagés. Il est calculé à partir des données financières d'un échantillon de sociétés comparables, composé de sociétés cotées du même secteur d'activité que le Groupe. Au 31 mars 2020, le taux d'actualisation déterminé à partir des données de marché est de 9,7% pour l'UGT Groupe LDLC.
Après examen de la valeur des écarts d'acquisition, aucune dépréciation n'a été comptabilisée au 31 mars 2020.
Le Groupe a procédé aux analyses de sensibilité des résultats des tests de dépréciation en fonction de différentes hypothèses de ratio d'EBITDA utilisées pour le calcul de la valeur terminale et de taux d'actualisation.
Des analyses de sensibilité ont été réalisées pour chaque scénario aux hypothèses prises individuellement incluant des changements raisonnablement possibles de ces dernières (-50 pdb pour le ratio EBITDA/CA, +100 pdb pour le taux d'actualisation) et n'ont pas fait apparaître de scénarios dans lesquels la valeur recouvrable deviendrait inférieure à la valeur comptable des actifs testés.
Sur la base des hypothèses retenues, la valeur d'utilité de l'UGT issue de la moyenne pondérée des trois scénarios est supérieure de 86,4 millions d'euros à sa valeur comptable au 31 mars 2020. Les résultats du test de sensibilité sont les suivants :
Appréciation/(Dépréciation) – Headroom en millions d'euros
| Ratio EBITDA/CA | -50 pdb |
|---|---|
| 65,7 | |
| Taux d'actualisation | +100 pdb |
| 66,3 |
Les immobilisations incorporelles se décomposent comme suit :
| Valeurs brutes | 31/03/2019 | Acquisitions | Var. périmètre |
Virt. poste |
Cessions M. Rebut |
31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Marque Materiel.net | 8 300 | 8 300 | ||||
| Contrat Apple | 11 584 | 11 584 | ||||
| Logiciels et autres immob. incorp. | 6 236 | 1 357 | 87 | 2 248 | 80 | 9 849 |
| Droit au bail | 1 481 | 70 | (50) | 1 501 | ||
| Immobilisations incorporelles en cours | 3 422 | 656 | (2 451) | 1 627 | ||
| Total | 31 023 | 2 083 | 87 | (253) | 80 | 32 861 |
| Amortissements | Var. | Virt. | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| et dépréciations | 31/03/2019 | Dotations | périmètre | poste | Reprises | Dépréciations | 31/03/2020 |
| Marque Materiel.net | 2 490 | 830 | 3 320 | ||||
| Contrat Apple | 579 | 579 | 1 158 | ||||
| Logiciels et autres | |||||||
| immob. incorp. | 1 317 | 1 460 | 71 | 6 | 80 | 9 | 2 783 |
| Droit au bail | 1 061 | 64 | (6) | 1 119 | |||
| Total | 5 447 | 2 933 | 71 | 0 | 80 | 9 | 8 380 |
La marque Materiel.net d'une valeur de 8,3 millions d'euros est amortie sur 10 ans. La durée d'amortissement restante de la marque est de 6 ans (31 mars 2026) et sa valeur nette comptable au 31 mars 2020 s'élève à 5 millions d'euros.
L'actif incorporel constitué par le contrat avantageux qui lie la société OLYS avec le fournisseur Apple, est amorti sur une durée de 20 ans (date de fin au 31 mars 2038). Sa valeur nette comptable au 31 mars 2020 s'élève à 10,4 millions d'euros.
L'augmentation des immobilisations incorporelles provient principalement des développements en interne de projets informatiques pour un montant de 943 milliers d'euros, des projets de recherche et développement à hauteur de 986 milliers d'euros, dont 595 milliers en immobilisations incorporelles en cours. L'ensemble des projets informatiques en cours au 31 mars 2019 a été activé au 31 mars 2020.
Les projets informatiques mis en service sur l'exercice s'élèvent à 2 537 milliers d'euros et les projets de recherche et développement à 996 milliers d'euros.
L'activation des coûts de développement de projets informatiques et de recherche et développement est présentée en déduction du poste « Autres achats charges externes » du compte de résultat. Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, ces coûts de développement s'élèvent à 1 575 milliers d'euros et sont composés essentiellement de coûts externes (928 milliers d'euros) et de coûts de personnel (647 milliers d'euros).
La variation de périmètre constatée sur les immobilisations incorporelles provient de la société Avitech à hauteur de 47 milliers d'euros et de la société LDLC VR Studio pour 40 milliers d'euros.
La forte augmentation des dotations au 31 mars 2020 provient essentiellement de l'amortissement des différents projets internes, ce qui représente un montant de 1 208 milliers d'euros contre 202 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Les immobilisations corporelles se décomposent comme suit :
| Valeurs brutes | 31/03/2019 | Acquisitions | Var. périmètre |
Virt. poste |
Cessions M. Rebut |
31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Terrains | 3 375 | 0 | 0 | 0 | 3 375 | 0 |
| Constructions | 35 094 | 0 | 0 | 0 | 33 896 | 1 198 |
| Installations et agencements | 17 385 | 839 | 1 144 | 723 | 611 | 19 480 |
| Matériel | 6 503 | 54 | 143 | 664 | 19 | 7 345 |
| Matériel de transport | 406 | 7 | 0 | 0 | 11 | 403 |
| Matériel de bureau et mobilier | 7 517 | 749 | 180 | 242 | 267 | 8 422 |
| Immobil. corporelles en cours | 1 636 | 283 | (1 633) | 1 | 285 | |
| Total | 71 918 | 1 932 | 1 469 | (4) | 38 181 | 37 133 |
| Amortissements | Var. | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| et dépréciations | 31/03/2019 | Dotations | périmètre | Reprises | Dépréciations | 31/03/2020 |
| Terrains | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| Constructions | 8 802 | 514 | 0 | 8 346 | 0 | 970 |
| Installations et agencements | 10 251 | 1 427 | 613 | 285 | 545 | 12 551 |
| Matériel | 4 310 | 661 | 143 | 19 | 0 | 5 096 |
| Matériel de transport | 272 | 49 | 0 | 10 | 0 | 311 |
| Matériel de bureau et mobilier | 4 483 | 1 244 | 150 | 156 | 84 | 5 806 |
| Total | 28 118 | 3 896 | 906 | 8 816 | 630 | 24 733 |
Les acquisitions d'immobilisations corporelles correspondent à des travaux d'aménagement :
Le montant total des agencements mis en service et réalisés pour les locaux situés à Grandchamps-des-Fontaines s'élève à 1 148 milliers d'euros.
Le projet de l'Autostore (système de stockage et robots de manutention) a été mis en service sur l'exercice pour 675 milliers d'euros dont 672 milliers d'euros acquis au 31 mars 2019.
Les cessions de terrains et constructions concernent la sortie du contrat de location-financement immobilier du siège social pour 22 000 milliers d'euros, la réalisation de la vente des murs de l'entrepôt et des locaux administratifs situés à Grandchamps-des-Fontaines pour 14 208 milliers d'euros ainsi que la cession de son concept store de Nantes pour 1 063 milliers d'euros.
Les cessions relatives aux autres postes des immobilisations corporelles concernent principalement la restitution des locaux de la boutique de Barcelone par la société Groupe LDLC España pour 520 milliers d'euros, dont 384 milliers d'euros d'installations et agencements, et 136 milliers d'euros de matériel de bureau et mobilier.
La variation de périmètre constatée sur les immobilisations corporelles provient des sociétés LDLC VR Studio et Avitech pour respectivement 1 134 milliers d'euros et 335 milliers d'euros.
Le 6 février 2020, le Groupe a fermé ses deux boutiques situées à Barcelone et Madrid en Espagne. Au 31 mars 2020, la société Groupe LDLC España est toujours locataire de la boutique de Madrid ; ainsi l'ensemble des installations, agencements et mobiliers ont été dépréciés à hauteur de la valeur nette comptable restante au 31 mars 2020 et représente un montant de 630 milliers d'euros (voir note 2.1).
| Valeurs nettes | 31/03/2019 | Virt. poste |
Acquis. | Cessions M. Rebut |
Cessions | Dépréciation | 31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Titres Presse Non-Stop | 13 | 13 | |||||
| Divers titres | 39 | 0 | 39 | ||||
| Titres Immo FI 1 | 348 | 348 | |||||
| Titres NLCL | 1 500 | 1 500 | |||||
| Titres CG Développement | 400 | 400 | |||||
| Dépôts et cautionnements | 1 372 | (188) | 676 | 44 | 103 | 1 801 | |
| Fonds de garantie | 333 | 188 | 58 | 0 | 579 | ||
| Prêts | 1 296 | 1 296 | 0 | ||||
| Total | 5 301 | 0 | 734 | 44 | 1 400 | 0 | 4 679 |
Les acquisitions concernent principalement les dépôts de garantie versés aux nouveaux propriétaires du siège social situé à Limonest à hauteur de 386 milliers d'euros ainsi qu'à ceux de l'entrepôt et des bureaux de Grandchamps-des-Fontaines à hauteur de 188 milliers d'euros.
Les cessions concernent principalement le remboursement du prêt qui avait été consenti au bailleur, la société Finamur, dans le cadre du financement de l'investissement du siège social du Groupe LDLC pour un montant de 1 296 milliers d'euros.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Valeur brute | Dépréciation Valeur nette | Valeur brute | Dépréciation Valeur nette | |||||
| Stocks de marchandises | 68 989 | 1 888 | 67 101 | 64 817 | 1 334 | 63 482 | ||
| Total stocks marchandises | 68 989 | 1 888 | 67 101 | 64 817 | 1 334 | 63 482 | ||
| Stocks aut. approvision. | 34 | 3 | 31 | 35 | 2 | 32 | ||
| Travaux en cours | 63 | 0 | 63 | 18 | 18 | |||
| Total stocks et en-cours | 69 087 | 1 892 | 67 195 | 64 869 | 1 336 | 63 532 |
Une dépréciation est appliquée sur les stocks en fonction de l'ancienneté du produit et sur les produits pouvant présenter un risque de mévente et/ou dont la valeur de réalisation serait inférieure au coût d'acquisition.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| Brut | Depr. | Net | Brut | Depr. | Net | |
| Créances clients échues | 13 961 | 2 757 | 11 203 | 12 136 | 1 283 | 10 853 |
| Créances clients non échues | 13 302 | 13 302 | 15 632 | 15 632 | ||
| Créances clients | 27 262 | 2 757 | 24 505 | 27 768 | 1 283 | 26 485 |
Au 31 mars 2020, le Groupe a cédé 4,8 millions d'euros de créances commerciales à Eurofactor. Au 31 mars 2019, le montant cédé représentait 4,4 millions d'euros.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| Brut | Depr. | Net | Brut | Depr. | Net | |
| Avances et acomptes | 1 320 | 1 320 | 771 | 771 | ||
| Fournisseurs avoirs à recevoir | 4 297 | 60 | 4 237 | 4 591 | 75 | 4 516 |
| État (IS, TVA) | 1 659 | 1 659 | 5 686 | 5 686 | ||
| État produits à recevoir | 79 | 79 | 6 | 6 | ||
| Impôts différés actifs | 1 246 | 1 246 | 1 469 | 1 469 | ||
| Produits à recevoir | 63 | 63 | 264 | 264 | ||
| Compte courant Eurofactor | 204 | 204 | 1 517 | 1 517 | ||
| Retenue garantie Eurofactor | 279 | 279 | 264 | 264 | ||
| Compte courant | 150 | 150 | 151 | 151 | ||
| Débiteurs divers | 212 | 212 | 73 | 73 | ||
| Charges const. d'avance liées aux marchandises | 2 555 | 2 555 | 2 893 | 2 893 | ||
| Autres | 102 | 102 | 15 | 15 | ||
| Charges const. d'avance | 2 634 | 2 634 | 2 140 | 2 140 | ||
| Total | 14 800 | 60 | 14 740 | 19 841 | 75 | 19 766 |
L'ensemble des autres créances et comptes de régularisation est à moins d'un an.
Pour rappel, le poste « État » est constitué principalement au 31 mars 2019 d'une créance d'impôt suite aux versements d'acomptes d'impôt société pour un montant de 3 651 milliers d'euros. Au 31 mars 2020, un impôt société est dû et figure dans le poste « Autres dettes » (voir note 3.17).
Les autres créances incluent un montant de 483 milliers d'euros correspondant au compte courant et retenue de garantie Eurofactor.
Le poste « Charges constatées d'avance liées aux marchandises » correspond à des factures de marchandises dont la livraison a été effectuée après la clôture de l'exercice.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| Valeurs | Brutes | Prov. | Nettes | Brutes | Prov. | Nettes |
| Valeurs mob. de placement | 1 614 | 0 | 1 614 | 1 464 | (248) | 1 216 |
| Total | 1 614 | 0 | 1 614 | 1 464 | (248) | 1 216 |
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Disponibilités | 18 245 | 17 315 |
| Total | 18 245 | 17 315 |
Au 31 mars 2020, le capital de la société Groupe LDLC est composé de 6 322 106 actions d'un montant nominal de 0,18 euro.
Les personnes possédant plus de 5% des droits de vote ou des actions au 31 mars 2020 sont les suivantes :
| Actionnaires | Nombre d'actions |
% détention capital |
% détention droit de vote |
|---|---|---|---|
| Laurent de la Clergerie | 1 226 746 | 19,40% | 25,32% |
| Caroline de la Clergerie | 628 579 | 9,94% | 12,23% |
| Olivier de la Clergerie | 615 500 | 9,74% | 11,94% |
| Suzanne de la Clergerie | 71 423 | 1,13% | 6,16% |
Il est rappelé que les statuts prévoient un droit de vote double lorsque les actions sont détenues depuis plus de 2 ans au nominatif conformément à l'article L.225-123 du Code du Commerce.
| Nombre d'actions |
Dont titres auto‑détenus |
Nombre d'AGA |
|
|---|---|---|---|
| Total au 31 mars 2018 | 6 322 106 | 120 943 | 118 643 |
| Nouvelles actions | |||
| Rachats d'actions (cessions) | 48 266 | 46 318 | |
| Attribution d'actions gratuites | (41 731) | (41 731) | |
| Total au 31 mars 2019 | 6 322 106 | 127 478 | 123 230 |
| Nouvelles actions | |||
| Rachats d'actions (cessions) | 75 866 | 77 402 | |
| Attribution d'actions gratuites | (64 726) | (64 726) | |
| Total au 31 mars 2020 | 6 322 106 | 138 618 | 135 906 |
Le résultat net par action correspond au résultat net part du Groupe rapporté au nombre moyen des actions en circulation au cours de l'exercice.
Le Groupe n'a pas d'action ordinaire dilutive en circulation au cours de la période. Le résultat net dilué par action est donc identique au résultat net par action.
Lorsque le résultat par action est négatif, le résultat dilué par action est identique à ce résultat.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Numérateur | ||
| Résultat net revenant aux actionnaires de la société | 8 308 | (4 820) |
| Résultat net pour le calcul du résultat par action dilué | 8 308 | (4 820) |
| Dénominateur | ||
| Nombre moyen pondéré d'actions ordinaires pour le calcul du résultat par action de base | 6 319 394 | 6 317 858 |
| Effet des actions ordinaires dilutives | 0 | |
| Nombre moyen pondéré d'actions ordinaires pour le calcul du résultat par action dilué | 6 319 394 | 6 317 858 |
| Résultat net par action (en euros) | 1,31 | (0,76) |
| Résultat net dilué par action (en euros) | 1,31 | (0,76) |
Ce poste s'analyse comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Solde ex. antér. |
Prov. risq. & ch. |
Mont. util. |
Mont. non util. |
Total | Solde ex. antér. |
Prov. risq. & ch. const./ex. |
Mont. util./ex. |
Mont. non util. rep./ex. |
Total | |
| Garanties clients | 26 | 95 | (26) | 95 | 126 | 26 | (126) | 0 | 26 | |
| Ind. fin carrière | 3 521 | 172 | 6 | (31) | 3 667 | 2 322 | 1 216 | 0 | (17) | 3 521 |
| Litiges prud'homaux | 23 | 3 | (18) | 8 | 57 | 18 | (47) | (5) | 23 | |
| Loyer & charges locatives |
0 | 428 | 428 | 18 | 0 | (18) | 0 | 0 | ||
| Attrib. actions gratuites | 574 | 320 | (481) | 413 | 566 | 367 | (335) | (24) | 574 | |
| Provisions salariés | 0 | 400 | 0 | 400 | 0 | 0 | ||||
| Autres provisions | 17 | 87 | (17) | 87 | 12 | 17 | (12) | 17 | ||
| Total | 4 160 | 1 504 | (535) | (31) | 5 097 | 3 101 | 1 644 | (538) | (47) | 4 160 |
La société n'a pas connaissance au 31 mars 2020 d'événements susceptibles de justifier la constitution de provisions pour risques et charges autres que ceux ayant fait l'objet des provisions suivantes :
Les principales hypothèses utilisées au 31 mars 2020 pour le calcul de la provision d'indemnités de fin de carrière sont les suivantes :
| Hypothèses retenues | Au 31 mars 2020 | Au 31 mars 2019 |
|---|---|---|
| Hypothèses économiques | ||
| Taux de croissance des salaires cadres | 2,5% | 2,5% |
| Taux de croissance des salaires non cadres | 2,5% | 2,5% |
| Taux d'actualisation par référence à l'iBoxx Corporates AA | 1,42% | 1,05% |
| Durée moyenne résiduelle d'activité | 12 à 22 ans | 12 à 23 ans |
| Hypothèses démographiques | ||
| Âge de départ en retraite | 60 à 67 ans | 60 à 67 ans |
| Tables de mortalité | Insee 2018 | Insee 2017 |
| Turn-over | Taux décroissant selon l'âge et en fonction du nombre réel de démissions au sein de la société |
Taux décroissant selon l'âge et en fonction du nombre réel de démissions au sein de la société |
Le montant des écarts actuariels neutralisés au 31 mars 2020 dans la cadre de l'application de la méthode du corridor s'élève à 1,8 millier d'euros.
√ Conventions collectives applicables :
Plusieurs plans d'attribution d'actions gratuites sont en cours. Ces avantages sont étalés sur la période d'acquisition. (voir note 4.2).
La provision pour charges de 413 milliers d'euros comptabilisée au 31 mars 2020 est destinée à couvrir la sortie probable de ressources pour chacune des tranches des plans de 2017 à 2018, en fonction de la probabilité d'atteinte des conditions de présence et du prorata de service rendu.
La contrepartie de cette provision est une charge de personnel.
Suite à la décision d'arrêter les activités boutiques de l'Espagne, une provision de 828 milliers d'euros a été constituée. Cette provision correspond à hauteur de 428 milliers d'euros aux coûts de location de la boutique de Madrid jusqu'à la fin du bail et aux coûts de ruptures de contrats des salariés pour 400 milliers d'euros.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Emprunts | 455 | 1 697 |
| Billets financiers | 0 | 0 |
| Dettes sur contrats de location-financement | 0 | 11 748 |
| À plus de cinq ans | 455 | 13 445 |
| Emprunts | 4 660 | 4 494 |
| Billets financiers | 0 | 0 |
| Dettes sur contrats de location-financement | 0 | 3 288 |
| Entre trois et cinq ans | 4 660 | 7 782 |
| Emprunts | 14 683 | 6 380 |
| Billets financiers | 0 | 0 |
| Dettes sur contrats de location-financement | 40 | 3 075 |
| Entre un et trois ans | 14 724 | 9 455 |
| Total des dettes financières long terme | 19 839 | 30 682 |
| Emprunts | 7 704 | 45 467 |
| Billets financiers | 0 | 0 |
| Intérêts courus/emprunts | 24 | 29 |
| Dettes sur contrats de location-financement | 30 | 1 459 |
| À moins d'un an | 7 758 | 46 956 |
| Total des dettes financières court terme | 7 758 | 46 956 |
| Total des dettes financières | 27 597 | 77 638 |
| Dépôts reçus en garantie | 0 | 0 |
| Banques | 510 | 852 |
| Concours bancaires | 0 | 0 |
| Comptes courants | 327 | 308 |
| Dividendes à payer | 0 | 0 |
| Endettement financier | 28 435 | 78 797 |
Le 31 mars 2016, la société Groupe LDLC a contracté un emprunt de 23 millions d'euros aux fins de financer partiellement l'acquisition de Materiel.net et des frais y afférents. Cet emprunt est remboursable sur une durée de 7 ans au taux Euribor 3 mois auquel s'ajoute une marge de prêt d'acquisition qui sera réajustée annuellement en fonction du niveau de ratio de levier.
Le 19 janvier 2018, la société Groupe LDLC a contracté deux emprunts d'un montant respectif de 10 millions d'euros et 5,3 millions d'euros aux fins de financer l'acquisition de la société OLYS ainsi que des frais y afférents.
Concernant l'emprunt de 10 millions d'euros, un avenant n°2 au contrat de crédit en date du 31 mars 2016 a été signé le 19 janvier 2018. La durée de remboursement a été alignée avec le prêt relatif à l'acquisition 2016. Les conditions du prêt de 23 millions d'euros s'appliquent de manière identique à celui de 10 millions d'euros.
Ces emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros sont assortis également d'un crédit renouvelable de 15 millions d'euros utilisable par tirage d'un montant minimum de 1 million d'euros destiné à financer partiellement les besoins en fonds de roulement de la société Groupe LDLC et de ses filiales. Le crédit renouvelable est rémunéré sur la base du taux Euribor auquel s'ajoute une marge crédit renouvelable qui sera réajustée annuellement en fonction du ratio de levier. Au 31 mars 2020, ce crédit n'est pas utilisé.
Le 11 décembre 2019, un accord à la majorité a été donné par le pool bancaire sur la prorogation jusqu'au 31 mars 2021 du crédit renouvelable pour un montant de 13,5 millions d'euros.
Pour couvrir les intérêts de ces emprunts à taux variable relatifs aux acquisitions 2016 et 2018, des contrats de swap ont été souscrits.
L'avenant au contrat de crédit qui intègre les acquisitions de 2016 et 2018 est assorti de respect de « ratios bancaires » (ratios, limites d'investissements…) dont le non-respect peut entraîner, sous certaines conditions, le remboursement anticipé.
Ces « ratios bancaires » sont basés contractuellement sur les comptes consolidés et sont testés semestriellement.
Le contrat de crédit comporte deux ratios bancaires financiers basés contractuellement sur les comptes consolidés et qui sont testés semestriellement :
Le contrat de crédit comporte également une limite d'investissements à respecter par les membres du Groupe.
Les ratios bancaires du contrat de crédit sont respectés au 31 mars 2020.
Au 31 mars 2019, les ratios bancaires du contrat de crédit n'étaient pas respectés et les dettes adossées avaient été reclassées en court terme pour un montant de 35,4 millions d'euros dans le bilan du 31 mars 2019.
Conformément à l'avenant n°2 du contrat de crédit, les cessions des actifs immobiliers réalisées sur l'exercice ont entraîné un remboursement anticipé de 6 millions d'euros en date du 13 décembre 2019, soit 3 millions d'euros sur chacun des deux emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros, écourtant ainsi la durée de remboursement de ces deux emprunts. Le dernier remboursement interviendra donc le 30 septembre 2022 pour l'emprunt de 23 millions d'euros et le 30 septembre 2021 pour celui de 10 millions d'euros.
L'emprunt de 5,3 millions d'euros est remboursable sur une durée de 7 ans au taux fixe de 1,31% l'an avec un différé d'amortissement des 8 premiers trimestres. Le premier versement comprenant l'amortissement du capital et le paiement des intérêts devait intervenir au 30 avril 2020.
Les emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros figurant au bilan sont enregistrés au coût amorti pour un montant respectif de 8,5 millions d'euros et 3,4 millions d'euros au 31 mars 2020.
Suite à la crise sanitaire liée au Covid-19, les sociétés du Groupe ont obtenu fin mars 2020 de la part de l'ensemble des banques une suspension des mensualités d'emprunts pour une durée de 6 mois, ce qui représente un report des échéances de fin mars 2020 à hauteur de 2,9 millions d'euros, ainsi qu'un report de la dette à moins d'un an de 1,7 million d'euros.
La cession des entrepôts et des bureaux situés à Grandchamps-des-Fontaines, réalisée en juin 2019 par la SCI Domimo 2, justifie une baisse de la dette à hauteur de 4,3 millions d'euros.
En avril 2019, un emprunt de 1,1 million d'euros a été souscrit par la société Groupe LDLC afin de financer le BFR du Groupe.
Les ouvertures de crédit sont rémunérées pour une durée indéterminée sur la base des taux suivants s'élevant, selon les établissements financiers, à :
√ Euribor 3 M + 1% à Euribor 3 M + 3,2%
Les autorisations de découverts accordées au Groupe s'élèvent à 8,02 millions d'euros au 31 mars 2020.
Les dettes sur contrats de location-financement concernaient principalement l'activation du nouveau siège social de Groupe LDLC situé sur Limonest pour lequel l'échéancier prévoyait un remboursement de 22 millions d'euros sur 12 ans. Suite à la cession du siège social en juillet 2019, le Groupe a soldé la totalité du contrat de location-financement, ce qui représente un montant de 19,1 millions d'euros.
Ce poste se décompose comme suit :
| Date souscription |
Date de maturité |
Type de contrat |
Notionnel couvert |
Mark to Market | Impact sur le résultat de la période |
|---|---|---|---|---|---|
| 30/06/2016 | 31/03/2021 | Swap | 11 500 000 | 12 035 | (12 931) |
| 31/03/2018 | 31/03/2023 | Swap | 6 363 636 | 24 855 | (19 522) |
| Total | 36 890 | ( 32 453) |
En juin 2016, la société Groupe LDLC a signé un contrat de swap de taux qui a pour vocation à couvrir le risque lié à la variation du taux d'emprunt de 23 millions d'euros.
Suite à l'acquisition de janvier 2018, qui a donné lieu à la signature de l'avenant n°2 du crédit signé en mars 2016 et auquel s'est rajouté un emprunt de 10 millions d'euros lui aussi indexé sur un taux variable, un nouveau contrat de swap a été signé en mars 2018.
Comme le démontrent les résultats des tests de sensibilité en note 3.15, l'impact des variations de taux d'intérêt se trouve être limité par la mise en place des contrats de swap.
Concourant ainsi à la réduction du risque d'impact défavorable de l'élément couvert, ces instruments financiers sont qualifiés de couverture de flux de trésorerie au sens du Règlement ANC 2015-05.
L'exposition aux risques de taux d'intérêts est composée de passifs financiers à taux variable exposés à un risque de flux de trésorerie comme suit :
| Échéancier au 31/03/2019 | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Moins d'un an | Un à cinq ans | Plus de cinq ans | |||
| Autres dettes financières | 37 211 | 2 383 | 277 | ||
| Passifs financiers à taux variable | 37 211 | 2 383 | 277 |
| Échéancier au 31/03/2020 | |||
|---|---|---|---|
| Moins d'un an | Un à cinq ans | Plus de cinq ans | |
| Autres dettes financières | 5 104 | 6 760 | 0 |
| Passifs financiers à taux variable | 5 104 | 6 760 | 0 |
Sur la base des éléments présentés ci-dessus, une variation de 0,50 point de base des taux d'intérêts aurait un impact sur l'exposition nette du Groupe, en année pleine, de 152 milliers d'euros sur le résultat consolidé avant impôt du Groupe au 31 mars 2020.
| Au 31 mars 2020 | Impact résultat |
|---|---|
| Variation de + 0,5 point de base | (152) |
| Variation de - 0,5 point de base | 152 |
Les chiffres indiquant une variation négative correspondent à une charge financière.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Fournisseurs | 45 242 | 51 494 |
| Fournisseurs effets à payer | 13 274 | 10 397 |
| Fournisseurs factures non parvenues | 2 754 | 2 488 |
| Total | 61 270 | 64 379 |
Les échéances de la totalité des dettes fournisseurs et comptes rattachés sont à moins d'un an.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Avances et acomptes reçus sur commandes | 4 011 | 2 942 |
| Dettes envers le personnel | 7 249 | 6 541 |
| Dettes envers les organismes sociaux | 3 613 | 3 231 |
| État (impôt sur les bénéfices, TVA, autres) | 13 187 | 7 482 |
| Impôts différés passifs | 2 917 | 1 805 |
| Clients autres avoirs | 1 543 | 3 305 |
| Dettes diverses | 709 | 669 |
| Produits constatés d'avance | 4 838 | 2 537 |
| Total | 38 067 | 28 511 |
Les échéances de la totalité des autres dettes sont à moins d'un an.
La hausse des dettes envers le personnel provient principalement de la participation des salariés aux résultats de l'entreprise pour 778 milliers d'euros constatée dans la société Groupe LDLC.
Au 31 mars 2020, la forte hausse des dettes envers l'État provient essentiellement de :
Au 31 mars 2020, un impôt différé passif est comptabilisé sur actif incorporel relatif à la marque Materiel.net pour 1 308 milliers d'euros et au titre du contrat Apple pour 2 707 milliers d'euros, contre respectivement 1 539 et 2 869 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Le poste « Produits constatés d'avance » correspond essentiellement à l'étalement des « packs garantis » facturés aux clients et au retraitement en moyenne des deux derniers jours de chiffre d'affaires du mois de mars.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Participations | |||||
| Brut | Dépr. | Net | Brut | Dépr. | Net |
| 2 307 | (39) | 2 267 | 2 307 | (39) | 2 267 |
| 6 | 0 | 6 | 136 | 0 | 136 |
| 150 | 0 | 150 | 150 | 0 | 150 |
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| 2 463 | (39) | 2 424 | 2 593 | (39) | 2 553 |
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| (157) | 0 | (157) | (172) | 0 | (172) |
| (221) | 0 | (221) | (178) | 0 | (178) |
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| (378) | 0 | (378) | (349) | 0 | (349) |
| Participations | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
Les immobilisations financières correspondent principalement aux titres NLCL pour 1 500 milliers d'euros et 400 milliers pour les titres de CG Développement. Les dépréciations concernent les titres Phox et Presse non-Stop. Les autres créances concernent le compte courant NLCL.
Les dettes fournisseurs sont composées essentiellement des dettes CG Développement pour 11 milliers d'euros, et Phox pour 112 milliers d'euros.
Les autres dettes proviennent du compte courant d'associé entre Groupe LDLC et la SCI Immo Fi pour 221 milliers d'euros.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| France métropole |
Export | Total | France métropole |
Export | Total | |
| Vente m/ses | 414 963 | 53 921 | 468 884 | 426 745 | 57 762 | 484 507 |
| Prest. vendues* | 19 726 | 4 786 | 24 512 | 18 283 | 4 704 | 22 987 |
| Total | 434 689 | 58 707 | 493 396 | 445 028 | 62 465 | 507 494 |
* Les prestations vendues correspondent notamment aux frais de port.
Au 31 mars 2020, 88% du chiffre d'affaires est réalisé en France Métropole, au même titre qu'au 31 mars 2019.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Salaires et traitements | 33 097 | 35 379 |
| Charges sociales et charges de personnel | 14 216 | 14 955 |
| Participation des salariés aux résult. entreprises | 778 | 0 |
| Total | 48 091 | 50 334 |
| Effectif salariés moyen | 1 007 | 1 085 |
| Dont non cadres | 653 | 722 |
| Dont cadres | 311 | 311 |
| Dont intérimaires | 44 | 51 |
La baisse des charges de personnel s'explique principalement par la baisse des effectifs entre le 31 mars 2019 et le 31 mars 2020.
Le CICE est supprimé depuis le 1er janvier 2019 et est remplacé par un nouvel allègement des charges sociales.
| Date d'attribution | 29/06/2017 | 23/02/2018 |
|---|---|---|
| Nombre total d'actions attribuées gratuitement | 10 000 | 35 000 |
| Date d'acquisition des actions | 1 000 actions au 29/06/2019 | 10 000 actions au 23/02/2020 |
| 1 000 actions au 29/06/2020 | 12 500 actions au 23/02/2021 | |
| 2 000 actions au 29/06/2021 | 12 500 actions au 23/02/2022 | |
| 3 000 actions au 29/06/2022 | ||
| 3 000 actions au 29/06/2023 | ||
| Période de conservation | 2 ans | 1 an |
Les avantages accordés sous forme d'attributions gratuites d'actions, auparavant évalués à la juste valeur à la date d'attribution des actions et comptabilisés en contrepartie des capitaux propres selon les normes IFRS, sont désormais évalués au coût d'entrée des actions à la date de leur affectation aux plans et comptabilisés en contrepartie d'une provision pour charges, conformément aux dispositions du Règlement CRC 99-02. Tout comme en IFRS, ces charges de personnel sont linéairement étalées sur la période d'acquisition (voir méthodes comptables en note 2.2.17).
L'attribution de ces actions est soumise à une condition de présence, sauf pour le plan d'attribution du 9 juillet 2014, mais n'est pas soumise à une condition de performance.
Une provision de charge de personnel est constatée et est destinée à couvrir la sortie probable de ressources pour chacune des tranches des plans de 2017 à 2018, en fonction de la probabilité d'atteinte des conditions de présence et du prorata de service rendu (voir note 3.12).
Les plans de juin 2017, novembre 2017 et février 2018 font l'objet de conventions de refacturation avec des filiales (voir note 2.2.17).
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, 64 726 actions ont été attribuées définitivement.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Dot. et rep. aux amortissements des immobilisations | (6 822) | (6 510) |
| Dot. et rep. aux prov. pour indemnités de fin de carrière | (145) | (1 214) |
| Dot. et rep. aux provisions pour dépréciation des stocks | (555) | 349 |
| Dot. et rep. aux prov. pour dépréc. des créances | (1 458) | (178) |
| Dot. et rep. aux prov. pour dépréc. de compte courant | 0 | 0 |
| Dot. et rep. aux provisions pour garantie clients | (69) | 100 |
| Dotations et reprises diverses | (55) | 63 |
| Total dotations et reprises aux amort. et aux provisions | (9 104) | (7 390) |
Les chiffres en (-) correspondent à une charge.
La baisse des dotations aux provisions d'indemnités de fin de carrière est principalement liée à la baisse des effectifs et à la variation du taux d'actualisation (voir note 3.12).
La hausse des dépréciations clients s'explique essentiellement par une augmentation des créances douteuses sur la société OLYS pour laquelle une provision nette de 1,2 million d'euros est constatée au 31 mars 2020.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Reprise de provisions pour dépréciation d'éléments financiers | 248 | 0 |
| Autres produits financiers | 36 | 87 |
| Produits financiers | 284 | 87 |
| Intérêts des emprunts | (968) | (1 653) |
| Intérêts bancaires | (161) | (135) |
| Intérêts compte courant | (67) | (21) |
| Commissions de financement | (31) | (26) |
| Dotations de provisions pour dépréciation d'éléments financiers | 0 | (286) |
| Autres charges financières | (21) | (26) |
| Charges financières | (1 246) | (2 147) |
| Résultat financier | (962) | (2 060) |
Les écarts actuariels relatifs aux engagements de retraite, auparavant constatés en autres éléments du résultat global (OCI) selon les normes IFRS, sont désormais comptabilisés immédiatement en résultat financier, conformément aux dispositions du Règlement CRC 99-02 (voir méthodes comptables en note 2.2.20.1). Au 31 mars 2020, l'écart actuariel n'excède pas 10% de la valeur la plus élevée en début d'exercice, entre le montant de l'engagement et la juste valeur des actifs du régime. Ainsi, aucun écart actuariel n'a été constaté en résultat financier.
Au 31 mars 2020, le poste d'intérêts d'emprunts (voir note 3.13) comprend à hauteur de :
Ce poste se décompose comme suit :
Suite à la vente des murs de l'entrepôt et des bureaux détenus par la SCI Domimo 2, le contrat de swap de taux souscrit pour couvrir le risque lié à la variation du taux d'emprunt variable a été soldé, ce qui a généré une charge nette d'intérêts bancaires de 121 milliers d'euros.
Les reprises financières sur provisions correspondent à la reprise de la dépréciation des actions propres acquises avec un objectif d'attribution de plan d'actions gratuites mais non attribuées à un plan déterminé au 31 mars 2019.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Produits/cessions immobilisations | 45 056 | 11 |
| Reprise excep./provisions | 447 | 330 |
| Autres produits exceptionnels | 48 | 40 |
| Total produits exceptionnels | 45 551 | 381 |
| Valeur nette comptable des immob. cédées | 32 620 | 67 |
| Charges exceptionnelles rachat de ses actions | 447 | 330 |
| Dotation excep./dépréc. et provisions | 638 | 0 |
| Autres charges exceptionnelles | 1 357 | 40 |
| Total charges exceptionnelles | 35 062 | 437 |
| Total | 10 489 | (56) |
Le résultat exceptionnel se compose principalement de :
la sortie des immobilisations liées aux aménagements de la boutique de Barcelone pour un montant de 410 milliers d'euros ;
la dotation exceptionnelle sur dépréciations et provisions de 638 milliers d'euros correspond à la dépréciation des investissements incorporels et corporels de la boutique de Madrid (voir notes 3.3 et 3.4) ;
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Résultat net part du Groupe | 8 308 | (4 820) |
| (Charge) Produit d'impôt courant | (6 422) | 202 |
| (Charge) Produit d'impôt différé | (1 441) | 2 637 |
| Résultat des sociétés mises en équivalence | 0 | 0 |
| Résultat avant impôt | 16 170 | (7 658) |
| Taux d'impôt théorique | 34,43% | 34,43% |
| Charge d'impôt théorique | (5 568) | 2 637 |
| Différences permanentes | (158) | 222 |
| Classification du CIR | 14 | 85 |
| Crédits d'impôts | 160 | 202 |
| Impact changement de taux | (194) | (346) |
| Autres impacts | 0 | 38 |
| Déficits fiscaux antérieurement activés | (596) | 0 |
| Déficits fiscaux non activés | (1 520) | 0 |
| Charge d'impôt réelle | (7 862) | 2 839 |
Le taux d'impôt applicable en France est le taux de base de 33,33% pour les sociétés intégrées fiscalement augmenté de la contribution sociale de 3,3%, soit 34,43%. La loi de finance 2019 a voté une baisse progressive du taux normal de l'impôt sur les sociétés pour parvenir à un taux de 25% à horizon 2022.
Le taux d'impôt applicable en Espagne est le taux de base de 25%.
La charge d'impôt nette du Groupe tient compte de cette baisse, par l'application d'une taxation de 25% augmentée de la contribution de 3,3% pour les principaux éléments dont l'imposition est à échéance 2022 et au-delà.
Les déficits fiscaux antérieurement activés et les déficits non activés correspondent aux pertes cumulées de l'entité Groupe LDLC España suite à la décision d'arrêter les activités boutiques de l'Espagne.
La CVAE, auparavant comptabilisée en « Impôt sur le résultat » selon les normes IFRS, est désormais incluse dans la rubrique « Impôts et taxes ».
Le Groupe fiscalement intégré, dont la société Groupe LDLC est la tête du Groupe, est composé des filiales Hardware.fr, Nemeio, LDLC Distribution, LDLC Villefranche, L'École LDLC, LDLC Bordeaux, LDLC Villeurbanne, LDLC Lille V2, CAMPUS 2017, LDLC Lyon 7, LDLC Cormeilles, ADB Limonest, Domimo 2, Domimo 3, ADB Orgeval, LDLC7, LDLC9, LDLC11, LDLC12, LDLC13 et OLYS.
La cession de 20% des titres de la société Bluescreen, le 29 novembre 2019, engendre sa sortie du périmètre d'intégration fiscale sur l'exercice clos au 31 mars 2020.
La convention d'intégration fiscale prévoit que chaque filiale intégrée supporte un impôt égal à celui dont elle aurait dû s'acquitter en l'absence d'intégration.
L'intégration fiscale a généré une économie d'impôt de 1 166 milliers d'euros sur l'exercice clos le 31 mars 2020.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Avantages à court terme | ||
| Rémunérations fixes | 530 | 522 |
| Rémunérations variables | 43 | 140 |
| Autres avantages | ||
| Rémunérations payées en actions (attribution d'actions gratuites) | 0 | 0 |
| Total rémunérations et avantages accordés aux dirigeants | 573 | 662 |
√ Nantissement des parts sociales Domimo 2 et Domimo 3 en garantie du prêt de 23 millions d'euros.
√ Privilège de prêteur de deniers consenti par Domimo 3 sur un immeuble commercial situé 188 bis, route de Rennes 44300 Nantes, en garantie du prêt conclu entre Domimo 3 et Crédit Industriel de l'Ouest en date du 15 mai 2008. La mainlevée a été réalisée le 4 mai 2020.
La mainlevée a été réalisée le 22 mai 2020.
√ Hypothèque consentie par Domimo 2 à concurrence de 2,6 millions d'euros sur un immeuble sis Zac Erette, rue Olivier de Serres, 44119 Grandchamps-des-Fontaines, parcelle ZB – 116 -117 – 119, en garantie du prêt conclu entre Domimo 2 et Crédit Industriel de l'Ouest en date du 7 juillet 2010. La mainlevée a été réalisée le 22 mai 2020.
√ Nantissement du fonds de négoce de l'établissement OLYS situé au 7, rue de la Poste 74000 Annecy au profit de la société Générale en garantie d'un prêt à hauteur de 251 milliers d'euros.
√ Nantissement du fonds de négoce de l'établissement OLYS situé au 7, rue de la Poste 74000 Annecy au profit de la société Générale en garantie d'un prêt à hauteur de 125 milliers d'euros et présentant un solde de 17,9 milliers d'euros.
√ Engagement sur opération de crédit-bail sur biens mobiliers des établissements OLYS situés au profit de la société Financo en garantie d'un contrat de location de crédit-bail à hauteur de 12 milliers d'euros et présentant un solde de 3,8 milliers d'euros.
√ Engagement sur opération de crédit-bail sur biens mobiliers de la société MyMultimedia au profit de Mercedes Benz Financial Services France en garantie d'un contrat de location de crédit-bail à hauteur de 37 milliers d'euros et présentant un solde de 7 milliers d'euros.
√ En janvier, 2015, la société Groupe LDLC a signé avec le Crédit Agricole une convention cadre relative à des achats de dollars (USD) à terme. À ce jour, aucun contrat n'est en cours.
√ Caution personnel et solidaire de OLYS au profit de la société Mac & Co Digital au bénéfice de la société Techdata à hauteur de 50 milliers d'euros sur contrat commercial.
√ La société OLYS bénéficie d'une garantie au titre du programme opérationnel « Compétitivité Régionale et Emploi » co-financé par les Fonds Structurels de l'Union européenne et la région Languedoc-Roussillon au titre de l'initiative JEREMIE (Joint European Ressources for Micro to Medium Entreprises) dans le cadre de l'emprunt de 200 milliers d'euros souscrit auprès de la Banque Populaire Sud-Ouest à hauteur de 80% de son capital, soit 6 milliers d'euros au 31 mars 2020.
√ Dans le cadre de l'emprunt de 500 milliers d'euros souscrit auprès du CIC, la société LDLC VR Studio bénéficie d'une garantie de la BPI, à hauteur de 50% de son capital, soit 64 milliers d'euros au 31 mars 2020.
Les tableaux ci-dessous présentent l'ensemble des engagements et obligations en matière de location-financement et location simple.
La valeur actualisée des loyers futurs incluse dans le poste « Emprunts et dettes financières » et concernant des biens activés répondent à la définition de contrat de location-financement.
La répartition des échéances est la suivante :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| À moins d'un an | 0 | 1 415 |
| De un à cinq ans | 0 | 5 985 |
| À plus de cinq ans | 0 | 10 269 |
| Valeur actualisée des loyers futurs | 0 | 17 668 |
Le tableau ci-dessous présente l'ensemble des engagements liés aux contrats de location simple et correspondent aux loyers non résiliables de magasins, plateformes logistiques et autres bâtiments (sièges et administratifs).
La répartition des échéances est la suivante :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| À moins d'un an | 6 747 | 3 694 |
| De un à cinq ans | 23 808 | 11 654 |
| À plus de cinq ans | 20 502 | 8 239 |
| Valeur actualisée des loyers futurs | 51 057 | 23 587 |
Le Groupe a retraité les comptes comparatifs au titre de l'application du Règlement CRC 99-02 (voir note 2.2.2).
Conformément à l'ANC 2010-01, les comptes comparatifs ont été retraités, comme si le Règlement CRC 99-02 avait été appliqué au 1er avril 2018.
Certaines différences entre les IFRS et le Règlement CRC 99-02 sont sans incidence sur le résultat et les capitaux propres. Il s'agit notamment des différences de présentation suivantes :
En IFRS, les éléments d'actif et de passif sont classés en « non courants » ou « courants ». Une telle distinction n'existe pas dans le Règlement CRC 99-02. En normes françaises, ces éléments sont classés en « actif immobilisé » « actif circulant » « provisions » ou « dettes ».
Le Groupe procède à des cessions de créances sans recours. En IFRS, la part des créances cédées non garantie est comptabilisée en créances clients et comptes rattachés. En normes françaises, elle est comptabilisée en autres créances.
En normes françaises, il y a obligation de distinguer le résultat courant et le résultat exceptionnel. Cependant, le PCG ne fournit pas de définition précise du résultat exceptionnel. Il a été décidé de classer en résultat exceptionnel les opérations selon les critères définis par le Groupe et précisés en note 4.5.
En IFRS, la CVAE est présentée en impôt sur le résultat. En normes françaises, la CVAE est classée dans le résultat d'exploitation.
En IFRS, les écarts d'acquisition peuvent être traités selon la méthode du « goodwill complet ». En normes françaises, les écarts d'acquisition sont comptabilisés sur la base de la différence entre prix payé par le Groupe et sa quote-part dans la situation nette de la société acquise.
En IFRS, les frais d'acquisition sont comptabilisés en charges opérationnelles. En normes françaises, ils sont inclus dans le prix d'acquisition des titres pour leur montant net d'impôt.
Le passage en normes françaises impacte la valeur de l'écart d'acquisition et la situation nette.
En IFRS, ces actions (ainsi que les provisions pour dépréciation) sont déduites des capitaux propres jusqu'à leur attribution définitive. En normes françaises, ces actions propres classées en titres de placement dans les comptes individuels sont maintenues dans cette rubrique dans les comptes consolidés, ainsi que les provisions en résultat financier.
En IFRS, les avantages accordés sous forme d'actions gratuites sont évalués à la juste valeur à la date d'attribution des actions et comptabilisés en contrepartie des capitaux propres. En normes françaises, ces actions sont évaluées au coût d'entrée des actions à la date de leur affectation aux plans et comptabilisées en contrepartie d'une provision pour charges. Le traitement comptable appliqué dans les comptes individuels est maintenu dans les comptes consolidés, y compris pour les mouvements qui restent comptabilisés en résultat exceptionnel.
En IFRS, les hypothèses actuarielles utilisées pour déterminer les engagements d'indemnités de fin de carrière sont constatées immédiatement en autres éléments du résultat global non recyclables (OCI) pour leur montant net d'impôt. En normes françaises, l'impact est constaté directement en charge d'exploitation. Le Groupe a choisi d'étaler cette charge selon la méthode du corridor.
En IFRS, en application de l'IFRIC 21, les taxes dont une entreprise est redevable en vertu d'une loi ou d'un règlement doivent être provisionnées au moment du fait générateur de la taxe telle que définie légalement.
Le Règlement CRC 99-02 ne prévoit pas de retraitement spécifique sur la comptabilisation des taxes.
| -> CRC 99-02 | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 31/03/2019 IFRS |
Engagement IFC |
IFRIC 21 | CVAE | Frais d'acquisition |
Écart d'acquisition |
Actions propres destinées aux salariés |
|
| Écarts d'acquisition nets | 26 725 | 589 | (172) | ||||
| Autres immobilisations incorporelles nettes | 25 576 | ||||||
| Immobilisations corporelles nettes | 43 800 | ||||||
| Immobilisations financières nettes | 5 301 | ||||||
| Impôts différés | 4 210 | (21) | (17) | ||||
| Actifs non courants | 105 612 | - | (21) | (17) | 589 | (172) | - |
| Stocks | 63 731 | ||||||
| Clients et comptes rattachés | 27 949 | ||||||
| Autres créances | 16 833 | ||||||
| - | 1 216 | ||||||
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 17 315 | ||||||
| Actifs courants | 125 829 | - | - | - | - | - | 1 216 |
| Total de l'actif | 231 441 | - | (21) | (17) | 589 | (172) | 1 216 |
Retraitements IFRS
| Reclassements IFRS -> CRC 99-02 |
|||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 31/03/2019 Normes françaises |
Actifs non courants et courants |
Impôt différé |
AGA Swap Eurofactor | Plans | Stock | Contrat ASVEL |
|||
| Écarts d'acquisition nets | 27 142 | ||||||||
| Autres immobilisations incorporelles nettes | 25 576 | ||||||||
| Immobilisations corporelles nettes | 43 800 | ||||||||
| Immobilisations financières nettes | 5 301 | ||||||||
| - | (1 469) | (2 680) | (48) | 63 | (38) | ||||
| Actif immobilisé | 101 820 | (1 469) | (2 680) | (48) | - | 63 | (38) | ||
| Stocks | 63 532 | (198) | |||||||
| Clients et comptes rattachés | 26 485 | (1 464) | |||||||
| Autres créances et comptes de régularisation | 19 766 | 1 469 | 1 464 | ||||||
| Valeurs mobilières de placement | 1 216 | ||||||||
| Disponibilités | 17 315 | ||||||||
| Actif circulant | 128 315 | 1 469 | - | - | - | - | (198) | - | |
| Total de l'actif | 230 134 | - | (2 680) | - | (48) | - | (135) | (38) |
| Retraitements IFRS -> CRC 99-2 |
|||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 31/03/2019 IFRS |
Engagement IFC |
IFRIC 21 | CVAE | Frais d'acquisition |
Écart d'acquisition |
Actions propres destinées aux salariés |
|
| Capital | 1 138 | ||||||
| Primes | 21 053 | ||||||
| Réserves consolidées | 36 655 | 625 | (164) | (16) | 589 | 10 | |
| Titres auto-détenus | (1 491) | 1 464 | |||||
| Résultat | (4 264) | (625) | 29 | (1) | (169) | ||
| Total des capitaux propres revenant aux actionnaires |
53 091 | - | (134) | (17) | 589 | 10 | 1 296 |
| Intérêts minoritaires | 132 | (182) | |||||
| Participations ne donnant pas le contrôle | - | ||||||
| Total des capitaux propres | 53 222 | - | (134) | (17) | 589 | (172) | 1 296 |
| Emprunts à + d'un an | 30 682 | ||||||
| Impôts différés | 4 564 | (0) | (80) | ||||
| Provisions retraite | 3 521 | ||||||
| Passifs non courants | 38 767 | - | - | (0) | - | - | (80) |
| Emprunts et autres financements courants | 48 115 | ||||||
| Provisions pour risques et charges | 92 | ||||||
| Fournisseurs et comptes rattachés | 64 499 | ||||||
| Autres dettes | 26 745 | 113 | |||||
| Passifs courants | 139 451 | - | 113 | - | - | - | - |
| Total du passif | 231 441 | - | (21) | (17) | 589 | (172) | 1 216 |
| Reclassements IFRS -> CRC 99-2 |
||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 31/03/2019 Normes françaises |
Passifs non courants et courants |
Impôt différé |
Swap Eurofactor | Plans AGA |
Stock | Contrat ASVEL |
||
| Capital | 1 138 | |||||||
| Primes | 21 053 | |||||||
| Réserves consolidées | 36 993 | 81 | (646) | (142) | ||||
| Titres auto-détenus | (27) | |||||||
| Résultat | (4 820) | 21 | 99 | 8 | 82 | |||
| Total des capitaux propres part du Groupe |
54 337 | - | 103 | (547) | (135) | 82 | ||
| Intérêts minoritaires | (50) | |||||||
| Participations ne donnant pas le contrôle | - | |||||||
| Total des capitaux propres | 54 287 | - | - | 103 | (547) | (135) | 82 | |
| - | (30 682) | |||||||
| - | (1 805) | (2 680) | ||||||
| Provisions | 4 160 | 639 | ||||||
| Provisions | 4 160 | (31 847) | (2 680) | - | - | - | - | - |
| Emprunts et dettes financières | 78 797 | 30 682 | ||||||
| - | (639) | 547 | ||||||
| Fournisseurs et comptes rattachés | 64 379 | (120) | ||||||
| Autres dettes et comptes de régularisation | 28 511 | 1 805 | (151) | |||||
| Dettes | 171 687 | 31 847 | - | - | (151) | 547 | - | (120) |
| Total du passif | 230 134 | - | (2 680) | (48) | - | (135) | (38) | |
Retraitements IFRS
| -> CRC 99-02 | ||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 31/03/2019 IFRS |
Engagement IFC |
Actions propres destinées aux salariés |
Contrat ASVEL |
Stock | Plans | AGA Swap | ||
| Chiffre d'affaires | 507 494 | |||||||
| Autres produits opérationnels | 382 | |||||||
| Achats consommés | (421 812) | 11 | ||||||
| Marge brute | 86 063 | - | - | - | 11 | - | - | |
| Autres achats charges externes | (29 965) | 120 | ||||||
| Impôts et taxes | (2 630) | |||||||
| Charges de personnel | (50 851) | (843) | 146 | |||||
| Dot. & rep. aux amortissements et provisions | (6 176) | |||||||
| Autres charges et produits | (653) | |||||||
| Résultat opérationnel courant | (4 211) | (843) | - | 120 | 11 | 146 | - | |
| Autres charges opérationnelles | (67) | |||||||
| Autres produits opérationnels | 11 | |||||||
| Résultat opérationnel | (4 267) | (843) | - | 120 | 11 | 146 | - | |
| Coût de l'endettement financier net | (1 858) | |||||||
| Autres charges et produits financiers | 16 | (248) | 31 | |||||
| Résultat avant impôt sur le résultat | (6 109) | (843) | (248) | 120 | 11 | 146 | 31 | |
| (330) | ||||||||
| 330 | ||||||||
| Impôt | 1 845 | 218 | 80 | (38) | (4) | (47) | (10) | |
| Résultat des sociétés intégrées | (4 264) | (625) | (169) | 82 | 8 | 99 | 21 | |
| Résultat après IS des activités cédées | 0 | 0 | ||||||
| Résultat net de l'exercice | (4 264) | (625) | (169) | 82 | 8 | 99 | 21 | |
| Réévaluation des avantages au personnel nette d'IS | (614) | 614 | ||||||
| Couverture des flux de trésorerie futurs | (7) | 0 | 7 | |||||
| Gains et pertes enregistrés en capitaux propres | (621) | 614 | - | - | - | - | 7 | |
| Résultat net global | (4 885) | (11) | (169) | 82 | 8 | 99 | 28 |
| Reclassements IFRS -> CRC 99-02 |
|||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 31/03/2019 Normes françaises |
Résultat financier |
Provision indemnités fin de carrière |
Résultat exceptionnel |
CVAE | IFRIC 21 | CVAE | |
| Chiffre d'affaires | 507 494 | ||||||
| Autres produits d'exploitation | 382 | ||||||
| Achats consommés | (421 801) | ||||||
| - | |||||||
| Marge brute | 86 074 | - | - | - | - | - | - |
| - | |||||||
| Autres achats charges externes | (29 845) | ||||||
| Impôts et taxes | (3 395) | (793) | 28 | ||||
| Charges de personnel | (50 334) | 1 214 | |||||
| Dot. & rep. aux amortissements et provisions | (7 390) | (1 214) | |||||
| Autres charges et produits | (653) | (0) | |||||
| - | |||||||
| Résultat d'exploitation | (5 543) | - | (0) | (793) | 28 | 0 | |
| - | 67 | ||||||
| - | (11) | ||||||
| (5 543) | 56 | (793) | 28 | 0 | |||
| - Coût de l'endettement financier net |
1 858 | ||||||
| - Autres charges et produits financiers |
202 | ||||||
| Charges financières | (2 147) | (2 147) | |||||
| Produits financiers | 87 | 87 | |||||
| Résultat courant des sociétés intégrées | (7 603) | - | - | 56 | (793) | 28 | 0 |
| Charges exceptionnelles | (437) | (107) | |||||
| Produits exceptionnels | 381 | 51 | |||||
| Impôts sur les résultats | 2 839 | 0 | 793 | 2 | (1) | ||
| Résultat net des sociétés intégrées | (4 820) | - | 0 | 29 | (1) | ||
| Résultat après IS des activités cédées | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | ||
| Résultat net de l'exercice | (4 820) | - | - | - | 0 | 29 | (1) |
| - | |||||||
| - | |||||||
| - | - | - | - | - | - | ||
| (4 820) | - | - | - | 0 | 29 | (1) | |
| Réserves | |||
|---|---|---|---|
| Capital | Primes | consolidées | |
| Capitaux propres au 31 mars 2019 - IFRS | 1 138 | 21 053 | 32 391 |
| Résultat net au 31 mars 2019 | (486) | ||
| Gains-pertes enreg. en capitaux propres | 984 | ||
| Mouvements actions propres | (169) | ||
| Attribution gratuite d'actions | (547) | ||
| Augmentation de capital et primes | |||
| Dividendes versés | |||
| Divers | |||
| Première application IFRS 15 (a) | |||
| Réserves part. ne donnant pas le contrôle | |||
| Capitaux propres au 31 mars 2019 - CRC 99-02 | 1 138 | 21 053 | 32 173 |
| Retraitements IFRS | |
|---|---|
| -> CRC 99-02 |
| 31/03/2019 IFRS |
Engagement IFC IFRIC 21 CVAE |
Frais d'acquisition |
Écart d'acquisition Stock |
|||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Résultat net des activités poursuivies | (4 264) | (625) | 29 | (1) | 8 | |||
| Élimination des charges et produits sans incidence sur la trésorerie (a) |
6 946 | 843 | ||||||
| Charge d'impôts (courants et différés) | (1 845) | (218) | (2) | 1 | 4 | |||
| Plus ou moins-values de cessions d'actifs | 67 | |||||||
| Sous-total (capacité d'autofinancement avant impôt) |
903 | - | 28 | - | - | - | 11 | |
| Impôts versés | (413) | 793 | (67) | |||||
| Variation du besoin en fonds de roulement | 2 485 | (28) | 198 | |||||
| Flux nets de trésorerie générés par l'activité | 2 975 | - | - | 793 | - | - | 142 | |
| Produits des cessions d'actifs immobilisés nets d'impôts | (11) | |||||||
| Acquisitions d'actifs immobilisés | (11 824) | |||||||
| Réductions d'actifs immobilisés financiers | 345 | |||||||
| Variation de périmètre | 0 | |||||||
| Flux nets de trésorerie liés aux investissements | (11 491) | - | - | - | - | - | - | |
| Opérations sur actions propres et AGA | (329) | |||||||
| Autres impacts | (156) | 140 | ||||||
| Opérations sur instruments financiers | 4 | |||||||
| Augmentation part des minoritaires | 0 | |||||||
| Nouveaux emprunts | 6 408 | |||||||
| Remboursements des emprunts | (10 864) | |||||||
| Variation des autres dettes financières | (176) | |||||||
| Dividendes versés aux minoritaires | (50) | |||||||
| Dividendes versés | 0 | |||||||
| Flux nets de trésorerie liés aux financements | (5 164) | - | - | - | 140 | - | - | |
| (Diminution)/augmentation de la trésorerie, des équivalents de trésorerie et des découverts bancaires |
(13 679) | - | - | 793 | 140 | - | 142 | |
| Trésorerie, équivalents de trésorerie et découverts bancaires à l'ouverture |
30 143 | |||||||
| Trésorerie, équivalents de trésorerie et découverts bancaires à la clôture |
16 464 |
| Capitaux propres |
Intérêts minoritaires |
Capitaux propres part du Groupe |
Titres auto détenus |
|---|---|---|---|
| 53 222 | 132 | 53 091 | (1 491) |
| (486) | (486) | ||
| 984 | 984 | ||
| 1 296 | 1 296 | 1 464 | |
| (547) | (547) | ||
| 0 | 0 | ||
| 0 | 0 | ||
| 0 | 0 | ||
| 0 | 0 | ||
| (182) | (182) | ||
| 54 287 | (50) | 54 337 | (27) |
| Reclassements | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| IFRS -> CRC 99-02 | ||||||
| 31/03/2019 | ||||||
| Plans | Normes | |||||
| AGA Swap Eurofactor | CVAE | françaises | ||||
| 99 | 21 | (4 820) | Résultat net des activités poursuivies | |||
| (330) | 8 053 | Élimination des charges et produits sans incidence sur la trésorerie |
||||
| 47 | 10 | (793) | (2 839) | Charge d'impôts (courants et différés) | ||
| 67 Plus ou moins-values de cessions d'actifs |
||||||
| (185) | 31 | - | (793) | 462 Sous-total (capacité d'autofinancement avant impôt) |
||
| (47) | (6) | 260 Impôts versés |
||||
| 49 | (21) | 2 564 | Variation du besoin en fonds de roulement | |||
| (182) | 4 | - | (793) | 3 286 | Flux nets de trésorerie générés par l'activité | |
| (11) Produits des cessions d'actifs immobilisés nets d'impôts |
||||||
| (11 824) | Acquisitions d'actifs immobilisés | |||||
| 345 Réductions d'actifs immobilisés financiers |
||||||
| - Variation de périmètre |
||||||
| - | - | - | - | (11 491) | Flux nets de trésorerie liés aux investissements | |
| (151) | (14) Opérations sur actions propres et AGA |
|||||
| (312) Autres impacts |
||||||
| (4) | - Opérations sur instruments financiers |
|||||
| - Augmentation part des minoritaires |
||||||
| 6 408 | Nouveaux emprunts | |||||
| (10 864) | Remboursements des emprunts | |||||
| (176) Variation des autres dettes financières |
||||||
| (50) Dividendes versés aux minoritaires |
||||||
| - Dividendes versés |
||||||
| (151) | (4) | - | - | (5 009) | Flux nets de trésorerie liés aux financements | |
| (332) | - | - | (793) | (13 213) | (Diminution)/augmentation de la trésorerie, des équivalents de trésorerie et des découverts bancaires |
|
| 31 141 | Trésorerie, équivalents de trésorerie et des découverts bancaires à l'ouverture |
|||||
| 17 928 | Trésorerie, équivalents de trésorerie et des découverts bancaires à la clôture |
| PricewaterhouseCoopers | Cap Office | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Montant HT | % | Montant HT | % | |||||
| Exercice clos au 31/03/19 |
Exercice clos au 31/03/20 |
Exercice clos au 31/03/19 |
Exercice clos au 31/03/20 |
Exercice clos au 31/03/19 |
Exercice clos au 31/03/20 |
Exercice clos au 31/03/19 |
Exercice clos au 31/03/20 |
|
| Audit | ||||||||
| Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés |
||||||||
| Émetteur | 147 | 0 | 78% | 0% | 138 | 50 | 79% | 30% |
| Filiales intégrées globalement | 41 | 22% | 38 | 117 | 21% | 70% | ||
| Sous-total audit | 188 | 100% | 175 | 167 | 100% | 100% | ||
| Autres prestations | ||||||||
| SACC émetteur | ||||||||
| 25 | 12 | 100% | 100% | 4 | 20 | 55% | 100% | |
| SACC filiales intégrées globalement | 3 | 45% | ||||||
| Sous-total autres prestations | 25 | 12 | 100% | 100% | 6 | 20 | 100% | 100% |
| TOTAL | 213 | 12 | 182 | 186 | ||||
Les SACC réalisés ont consisté en :
• rapport de l'organisme tiers indépendant sur les informations sociales, environnementales et sociétales,
• attestations sur les ratios,
• revue limitée sur les comptes semestriels.
| % Montant HT % Montant HT % Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice clos au clos au clos au clos au clos au clos au clos au clos au clos au clos au 31/03/19 31/03/20 31/03/19 31/03/20 31/03/19 31/03/20 31/03/19 31/03/20 31/03/19 31/03/20 57 90% (21) -141% 264 107 70% 6 10% 36 13 241% 100% 114 136 30% 63 100% 15 13 100% 100% 378 243 100% 100% 20 100% 4 100% 32 51 92% 3 0 8% 0% 20 100% 4 100% 35 51 100% 100% |
Mazars | Autres | TOTAL | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Montant HT | ||||||||||||
| Exercice clos au 31/03/19 |
Exercice clos au 31/03/20 |
|||||||||||
| 44% | ||||||||||||
| 56% | ||||||||||||
| 100% | ||||||||||||
| 13 | 83 | 19 | 413 | 294 |
En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée Générale, nous avons effectué l'audit des comptes consolidés de la société Groupe LDLC relatifs à l'exercice clos le 31 mars 2020, tels qu'ils sont joints au présent rapport. Ces comptes ont été arrêtés par le Directoire le 18 juin 2020 sur la base des éléments disponibles à cette date dans un contexte évolutif de la crise liée au Covid-19.
Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice, de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.
Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.
Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes consolidés » du présent rapport.
Nous avons réalisé notre mission d'audit dans le respect des règles d'indépendance qui nous sont applicables, sur la période du 1er avril 2019 à la date d'émission de notre rapport, et notamment nous n'avons pas fourni de services interdits par le code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes.
Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur les notes 2.2.2 « Changement de référentiel comptable » et 5.3 « Impacts du changement de référentiel comptable sur les comptes consolidés » de l'annexe des comptes consolidés qui exposent les principaux retraitements réalisés sur les comptes comparatifs dans le cadre de la première application du Règlement CRC 99-02 au 31 mars 2020.
En application des dispositions des articles L.823-9 et R.823-7 du Code de Commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les appréciations suivantes qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importantes pour l'audit des comptes consolidés de l'exercice.
Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l'audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble, arrêtés dans les conditions rappelées précédemment, et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes consolidés pris isolément.
Les écarts d'acquisition, dont le montant net figurant au bilan au 31 mars 2020 s'établit à 27 467 Keuros, ont fait l'objet de tests de dépréciation selon les modalités décrites dans les notes 2.2.6 « Regroupement d'entreprises et écarts d'acquisition associé à ces transactions » et 3.2.5 « Tests de dépréciation » de l'annexe aux comptes consolidés. Nos travaux ont consisté à apprécier les éléments pris en considération pour estimer les valeurs recouvrables de ces écarts d'acquisition et la cohérence des hypothèses retenues lors de l'application de la méthode des flux de trésorerie actualisés. Dans le cadre de nos appréciations, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.
Les stocks de votre Groupe sont dépréciés selon les modalités décrites dans les notes 2.2.13 et 3.6 « Stocks » de l'annexe aux comptes consolidés. Dans le cadre de nos appréciations des principes comptables suivis par votre Groupe, nous avons apprécié le caractère approprié des méthodes comptables retenues et leur correcte application.
Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires des informations relatives au Groupe, données dans le rapport de gestion du Directoire arrêté le 18 juin 2020. S'agissant des événements survenus et des éléments connus postérieurement à la date d'arrêté des comptes relatifs aux effets de la crise liée au Covid-19, la Direction nous a indiqué qu'ils feront l'objet d'une communication à l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes.
Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes consolidés.
Nous attestons que la déclaration consolidée de performance extra-financière prévue par l'article L.225-102-1 du Code de Commerce figure dans le rapport sur la gestion du Groupe, étant précisé que, conformément aux dispositions de l'article L.823-10 de ce Code, les informations contenues dans cette déclaration n'ont pas fait l'objet de notre part de vérifications de sincérité ou de concordance avec les comptes consolidés et doivent faire l'objet d'un rapport par un organisme tiers indépendant.
Il appartient à la Direction d'établir des comptes consolidés présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes consolidés ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs.
Lors de l'établissement des comptes consolidés, il incombe à la Direction d'évaluer la capacité de la société à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d'exploitation et d'appliquer la convention comptable de continuité d'exploitation, sauf s'il est prévu de liquider la société ou de cesser son activité.
Les comptes consolidés ont été arrêtés par le Directoire.
Il nous appartient d'établir un rapport sur les comptes consolidés. Notre objectif est d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés pris dans leur ensemble ne comportent pas d'anomalies significatives. L'assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d'assurance, sans toutefois garantir qu'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d'erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l'on peut raisonnablement s'attendre à ce qu'elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci.
Comme précisé par l'article L.823-10-1 du Code de Commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre société.
Dans le cadre d'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre :
• il identifie et évalue les risques que les comptes consolidés comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs, définit et met en œuvre des procédures d'audit face à ces risques, et recueille des éléments qu'il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d'une anomalie significative provenant d'une fraude est plus élevé que celui d'une anomalie significative résultant d'une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ;
Fait à Lyon et à Villeurbanne, le 18 juin 2020
Les commissaires aux comptes
Cap Office Rémi Charnay Mazars Pierre Beluze Séverine Hervet
| Bilan actif | Au 31 mars | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| (en milliers d'euros sauf indication contraire) | Note | 2020 | 2019 | ||
| Immobilisations incorporelles nettes | (2.3.1) | 25 735 | 26 136 | ||
| Immobilisations corporelles nettes | (2.3.2) | 6 766 | 7 773 | ||
| Immobilisations financières nettes | (2.3.3) | 22 806 | 25 797 | ||
| Actif immobilisé | 55 306 | 59 706 | |||
| Stocks et en-cours | (2.3.4) | 62 764 | 57 870 | ||
| Clients et comptes rattachés | (2.3.5) | 20 338 | 20 496 | ||
| Autres créances | (2.3.6) | 22 541 | 27 374 | ||
| Disponibilités | (2.3.7) | 16 522 | 16 245 | ||
| Actif circulant | 122 164 | 121 985 | |||
| Comptes de régularisation | (2.3.8) | 4 696 | 4 297 | ||
| Total actif | 182 166 | 185 988 |
| Bilan passif | Au 31 mars | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| (en milliers d'euros sauf indication contraire) | Note | 2020 | 2019 | |||||
| Capital | (1.3) | 1 138 | 1 138 | |||||
| Prime d'émission ou de fusion | (1.3) | 21 053 | 21 053 | |||||
| Réserve légale | (1.3) | 114 | 114 | |||||
| Autres réserves | (1.3) | 28 838 | 32 909 | |||||
| Report à nouveau | (1.3) | 0 | (2 780) | |||||
| Résultat de l'exercice | (1.3) | 244 | (1 291) | |||||
| Provisions réglementées | 268 | 169 | ||||||
| Total capitaux propres | 51 654 | 51 312 | ||||||
| Provisions pour risques et charges | (2.3.9) | 4 494 | 4 134 | |||||
| Dettes financières | (2.3.10) | 42 649 | 56 345 | |||||
| Dettes fournisseurs et comptes rattachés | (2.3.11) | 53 873 | 53 731 | |||||
| Dettes fiscales et sociales | (2.3.12) | 19 919 | 13 007 | |||||
| Autres dettes | (2.3.13) | 5 243 | 5 720 | |||||
| Comptes de régularisation | (2.3.14) | 4 334 | 1 740 | |||||
| Total passif | 182 166 | 185 988 |
| Compte de résultat | Au 31 mars | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Note (en milliers d'euros sauf indication contraire) |
2020 | 2019 | |||||
| Vente de marchandises (2.3.18) |
404 585 | 422 353 | |||||
| Prestations vendues (2.3.18) |
16 070 | 14 119 | |||||
| Coût d'achat | (344 396) | (368 620) | |||||
| Marge commerciale | 76 258 | 67 851 | |||||
| Autres produits | 482 | (321) | |||||
| Autres achats charges externes | (21 647) | (25 203) | |||||
| Impôts et taxes | (2 144) | (2 540) | |||||
| Charges de personnel (2.3.20) |
(31 618) | (33 887) | |||||
| Dot. & rep. aux amortissements et provisions (2.3.21) |
(5 558) | (3 627) | |||||
| Autres charges | (2 635) | (3 212) | |||||
| Résultat d'exploitation | 13 137 | (938) | |||||
| Produits financiers (2.3.22) |
441 | 506 | |||||
| Charges financières (2.3.22) |
(10 820) | (1 655) | |||||
| Résultat financier | (10 379) | (1 149) | |||||
| Résultat courant | 2 757 | (2 087) | |||||
| Résultat exceptionnel (2.3.23) |
(131) | 13 | |||||
| Participation des salariés aux résult. entrepr. | (778) | (0) | |||||
| Impôt (2.3.24) |
(1 604) | 783 | |||||
| Résultat net | 244 | (1 291) |
(en milliers d'euros sauf indication contraire)
| Primes de |
Total | ||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| (en milliers d'euros) | Capital social |
fusion et émission |
Réserve légale |
Réserve indispon. |
Autres réserves |
Report à nouveau |
Prov. régl. |
Résultat de l'ex. |
des cap. propres |
| Capitaux propres au 31 mars 2018 |
1 138 | 21 053 | 114 | 0 | 28 348 | 480 | 246 | 4 081 | 55 459 |
| Affectation résultat exercice précédent |
4 561 | (480) | (4 081) | 0 | |||||
| Dividendes attribués/ ex. clos 31/03/2018 |
0 | ||||||||
| Amortissements dérogatoires |
(77) | (77) | |||||||
| Impact changement de méthode |
(2 780) | (2 780) | |||||||
| Résultat de l'exercice au 31/03/2019 |
(1 291) | (1 291) | |||||||
| Capitaux propres au 31 mars 2019 |
1 138 | 21 053 | 114 | 0 | 32 909 | (2 780) | 169 | (1 291) | 51 312 |
| Affectation résultat exercice précédent |
(4 071) | 2 780 | 1 291 | 0 | |||||
| Dividendes attribués/ ex. clos 31/03/2019 |
0 | ||||||||
| Amortissements dérogatoires |
98 | 98 | |||||||
| Résultat de l'exercice au 31/03/2020 |
244 | 244 | |||||||
| Capitaux propres au 31 mars 2020 |
1 138 | 21 053 | 114 | 0 | 28 838 | 0 | 268 | 244 | 51 654 |
Au 31 mars 2020, le capital de la société Groupe LDLC est composé de 6 322 106 actions d'un montant nominal de 0,18 euro.
Il est rappelé que les statuts prévoient un droit de vote double lorsque les actions sont détenues depuis plus de 2 ans au nominatif conformément à l'article L.225-123 du Code du Commerce.
| Nombre d'actions |
Dont titres auto-détenus |
Nombre d'AGA |
|
|---|---|---|---|
| Total au 31 mars 2018 | 6 322 106 | 120 943 | 118 643 |
| Nouvelles actions | |||
| Rachats d'actions (cessions) | 48 266 | 46 318 | |
| Attribution d'actions gratuites | (41 731) | (41 731) | |
| Total au 31 mars 2019 | 6 322 106 | 127 478 | 123 230 |
| Nouvelles actions | |||
| Rachats d'actions (cessions) | 75 866 | 77 402 | |
| Attribution d'actions gratuites | (64 726) | (64 726) | |
| Total au 31 mars 2020 | 6 322 106 | 138 618 | 135 906 |
(Montants exprimés en milliers d'euros sauf mention contraire)
Les notes indiquées ci-après font partie intégrante des comptes annuels couvrant la période du 1er avril 2019 au 31 mars 2020 ; ces comptes ont été arrêtés par le Directoire de l'entreprise.
Comme annoncé dans sa communication du 20 mai 2019, Groupe LDLC a procédé, sur le premier semestre de son exercice 2019/2020, au transfert de la cotation de ses actions sur le marché Euronext Growth à Paris. La demande d'admission des titres sur ce dernier a été approuvée par l'Euronext Listing Board le 14 août 2019 et rendue effective le 2 septembre 2019.
Par ce transfert vers Euronext Growth, la société souhaite se positionner sur un marché plus approprié à sa taille, simplifier son fonctionnement et diminuer ses coûts, tout en lui permettant de continuer à bénéficier des attraits des marchés financiers.
Le 29 novembre 2019, la société Groupe LDLC a cédé 6 000 actions détenues sur la société Bluescreen pour un montant de 6 milliers d'euros, ce qui ramène son pourcentage de détention sur cette société à 80%.
Le 17 décembre 2019, la société Groupe LDLC ouvre les portes de sa marketplace. Cette offre complémentaire vise à élargir significativement le nombre de références proposées. La marketplace concerne principalement des catégories connexes sur lesquelles un sourcing n'est pas justifié.
Depuis le 17 décembre 2019, la société Groupe LDLC via sa marque SOLAARI lance la commercialisation de son premier sabre connecté. Ce sabre fabriqué par la société Groupe LDLC avait bénéficié en janvier 2019 d'un pré-lancement sous le format d'un Kickstarter. Cette plateforme de financement participatif avait permis à plus de 400 passionnés de pré-commander leur sabre. Le 5 mars 2020, la société Groupe LDLC a signé un partenariat avec la Fédération Française d'Escrime et son académie de sabre laser pour une durée de 3 ans.
Le 18 décembre 2019, la société Groupe LDLC a acquis 100% des actions de la société LDLC VR Studio pour un montant de 20 milliers d'euros.
Le 5 février 2020, la société Groupe LDLC a racheté une boutique faisant partie du réseau de franchises du Groupe et a ainsi acquis 100% des actions de la société Avitech pour un montant de 90 milliers d'euros.
Le 6 février 2020, la société Groupe LDLC a annoncé le désengagement de sa présence physique en Espagne avec la fermeture de ses deux boutiques, situées à Madrid et Barcelone. Cependant, la société conserve une activité de distribution en ligne à destination de l'Espagne (voir note 2.3.3, note 2.3.5, note 2.3.6, note 2.3.9 et note 2.3.22).
Durant la crise sanitaire du Covid-19, l'activité des boutiques du réseau LDLC et Materiel.net a été définie par arrêté ministériel du 15 mars 2020 comme indispensable à la vie de la Nation. Malgré ce statut, certaines boutiques ont fermé leurs portes. La société a maintenu quelques boutiques ouvertes avec une activité réduite, afin de permettre notamment la distribution et la gestion des SAV de matériel informatique aux particuliers et aider les entreprises dans l'accès au matériel nécessaire au télétravail.
Les activités BtoB connaissent également temporairement une baisse sensible d'activité.
L'ensemble des activités de distribution en ligne de Groupe LDLC est resté opérationnel durant toute la période du confinement.
La société a eu recours au chômage partiel pour faire face à la baisse temporaire de son activité en boutique ; à ce titre un produit de 18 milliers d'euros a été enregistré dans les comptes du 31 mars 2020.
Dans ce contexte de crise sanitaire, la société Groupe LDLC a sollicité l'ensemble des banques auprès desquelles des emprunts sont souscrits et a pu obtenir, fin mars 2020, une suspension des échéances dues pour une durée de 6 mois (voir note 2.3.10).
Les comptes sont établis conformément au Plan Comptable Général, Règlement ANC n° 2018-01 du 20 avril 2018 (homologué par arrêté ministériel du 8 octobre 2018) sur les changements comptables.
Les conventions générales comptables ont été appliquées, dans le respect du principe de prudence, conformément aux hypothèses de base :
et conformément aux règles généralement admises d'établissement et de présentation des comptes annuels.
La méthode de base retenue pour l'évaluation des éléments inscrits en comptabilité est la méthode des coûts historiques.
Les principales méthodes utilisées sont les suivantes :
Les immobilisations incorporelles sont inscrites au bilan à leur coût d'acquisition. Elles sont principalement constituées de licences d'utilisation de logiciels, de droit au bail, de frais de développement liés à des projets informatiques et de frais de recherche et développement.
Le mode d'amortissement retenu est l'amortissement linéaire à compter de la mise en service sauf pour les logiciels dont la date de début d'amortissement correspond à la date d'acquisition.
La société Groupe LDLC a pris l'option d'amortir les droits au bail sur la durée restante du bail.
Les durées d'amortissement sont les suivantes :
| Logiciels | 3 ans |
|---|---|
| Autres immobilisations incorporelles | 3 à 8 ans |
Les frais de recherche et développement sont comptabilisés en immobilisations ou en charges de l'exercice au cours duquel ils sont encourus, selon si les projets répondent ou pas aux critères d'activation d'une immobilisation.
Les conditions d'activation cumulatives à respecter sont les suivantes :
Les immobilisations corporelles sont évaluées à leur coût d'achat y compris frais d'acquisition, incluant, le cas échéant, des coûts d'assemblage si le matériel informatique est acheté par la société pour son propre compte.
Les amortissements sont calculés suivant le mode linéaire en fonction de la durée de vie estimée, dès que l'actif est prêt à être mis en service.
Les durées d'amortissement sont les suivantes :
| Installations et agencements | 8 à 10 ans |
|---|---|
| Matériel | 5 à 8 ans |
| Installations techniques | 8 à 10 ans |
| Matériel de bureau et informatique | 3 ans |
| Mobilier | 5 ans |
Les immobilisations financières sont comptabilisées à leur coût d'acquisition.
La société a opté pour le rattachement au coût d'acquisition des immobilisations financières des frais d'acquisition tels que les droits de mutations, honoraires, commissions, frais d'actes et autres frais visés dans l'avis n°2006 du 7 juin 2006 du Comité d'urgence du CNC. Ces frais sont amortis comptablement sur 5 ans et font l'objet d'une dotation aux amortissements dérogatoires.
Une dépréciation des titres de participation est constatée dès lors que leur valeur d'utilité devient inférieure à leur coût d'acquisition.
La valeur d'utilité est calculée à partir de différentes méthodes faisant référence aux actifs nets comptables, à la rentabilité prévisionnelle et au respect des prévisions pluriannuelles ainsi que sur des cash-flows futurs actualisés ajustés de la trésorerie nette.
Les autres immobilisations financières comprennent les actions propres acquises soit dans le cadre de liquidité soit dans le cadre d'un contrat de rachat avec une société d'investissement. Les actions sont dépréciées en fonction du cours de bourse moyen du dernier mois de l'exercice.
Les marchandises sont évaluées selon la méthode premier entré-premier sorti.
Les stocks comprennent tous les coûts d'achat ainsi que les coûts variables de logistique, du service achat et les frais de transport. Les avantages obtenus des fournisseurs comptabilisés en déduction du coût d'achat des marchandises vendues sont déduits de la valeur des stocks.
Une dépréciation est enregistrée lorsque :
La valeur nette de réalisation représente le prix de vente estimé dans des conditions d'activité normales, déduction faite des frais de vente.
Les comptes clients et autres créances sont enregistrés à leur valeur nominale.
Ils sont dépréciés au cas par cas en fonction de l'ancienneté et de la recouvrabilité de la créance.
Les disponibilités comprennent à la fois la trésorerie immédiatement disponible et des actions propres achetées dans le cadre de plans d'attribution gratuite d'actions.
Les mouvements bancaires en devises sont valorisés à la date de l'opération. En fin de mois, les comptes sont réactualisés au cours de clôture. Cette réactualisation a pour contrepartie, soit un compte de gain de change, soit un compte de perte de change.
Conformément à l'avis du CNC du 6 novembre 2008, les actions propres affectées aux plans en cours ne sont pas dépréciées en fonction du cours de bourse.
Les provisions pour risques et charges sont établies conformément au « Règlement sur les passifs » (CRC 200-06).
Elles sont constituées pour faire face à des sorties de ressources probables au profit de tiers, sans contrepartie pour la société. Elles sont estimées en tenant compte des hypothèses les plus probables ou en utilisant des méthodes statistiques selon la nature des provisions.
La première application du Règlement ANC 2015-05, relatif aux instruments financiers à terme et aux opérations de couverture applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2017, a eu pour impact le classement en résultat d'exploitation des gains et pertes de change sur les opérations commerciales.
Les charges et produits en devises sont enregistrés pour leur contre-valeur à la date de l'opération.
Les créances et dettes en devises figurent au bilan pour leur contre-valeur au cours de clôture.
La différence résultant de l'actualisation des créances et dettes en devises à ce dernier cours est portée au bilan en écart de conversion. Les pertes latentes de change font l'objet d'une provision pour risques.
Les revenus résultant des produits sont présentés en « Ventes de marchandises » et les services associés sont présentés en « Prestations vendues » dans le compte de résultat.
Les ventes de produits sont comptabilisées en ventes de marchandises lorsque les critères suivants sont remplis :
Les ventes de marchandises destinées aux professionnels et particuliers, hors clients boutiques et filiales, présentées au compte de résultat sont retraitées de l'effet, en moyenne, des deux derniers jours des ventes. La société estime en effet que les risques et avantages inhérents à la propriété n'ont pas encore été transférés à l'acheteur durant cet intervalle compte tenu des délais moyens de livraison observés par les transporteurs. En ce qui concerne les prestations de services, le chiffre d'affaires n'est reconnu que lorsque les services sont rendus.
Les transactions avec les parties liées sont conclues à des conditions normales de marché et ne sont donc pas visées par les règlements ANC n° 2010-02 et 2010-03.
À compter du 1er avril 2020, le site Internet espagnol est hébergé sur la société Groupe LDLC.
Le 10 avril 2020, la société Groupe LDLC a réalisé l'acquisition du fonds de commerce de Top Achat pour un montant de 3 millions d'euros. Ce rapprochement est une source d'opportunités et de synergies complémentaires. L'activité de Top Achat s'intègre pleinement à la stratégie de distributeur de produits High-Tech.
Fin avril 2020, la société Groupe LDLC a souscrit 4 prêts « PGE » de 4,5 millions d'euros chacun en vue de financer les besoins de trésorerie du Groupe. Ce montant de 18 millions d'euros de prêt bénéficie à hauteur de 90% de la garantie de l'État accordée aux établissements de crédits et sociétés de financement en application de l'article 6 de la loi n°2020-289 du 23 mars 2020 de finance rectificative pour 2020.
Les déclarations gouvernementales sur les mesures de déconfinement ont permis aux boutiques du réseau LDLC et Materiel.net, fermées depuis le 17 mars 2020, de rouvrir progressivement à partir du 11 mai 2020 dans le respect des mesures « barrières » préconisées.
À la connaissance de la société, aucun autre événement susceptible d'avoir une incidence significative sur les comptes sociaux de la société n'est intervenu depuis le 31 mars 2020.
Les immobilisations incorporelles se décomposent comme suit :
| Valeurs brutes | 31/03/2019 | Acquisitions | Virt. poste | Cessions M. Rebut |
31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|---|
| Logiciels et autres immob. incorp. | 5 658 | 1 356 | 2 198 | 50 | 9 162 |
| Droit au bail | 470 | 70 | 540 | ||
| Immobilisations incorporelles en cours | 3 399 | 611 | (2 386) | 1 624 | |
| Mali de fusion Domisys | 11 945 | 11 945 | |||
| Marque Domisys | 6 640 | 6 640 | |||
| Total | 28 112 | 2 037 | (188) | 50 | 29 910 |
Les immobilisations incorporelles concernent essentiellement des logiciels, droits au bail, frais de développement de projets informatiques et frais de projets de recherche et développement.
L'augmentation des immobilisations incorporelles provient principalement des développements en interne de projets informatiques pour un montant de 943 milliers, des projets de recherche et développement à hauteur de 986 milliers d'euros, dont 595 milliers en immobilisations incorporelles en cours.
Les projets informatiques mis en service sur l'exercice s'èlevent à 2 537 milliers d'euros et les projets de recherche et développement à 996 milliers d'euros. L'ensemble des projets informatiques en cours au 31 mars 2019 a été activé au 31 mars 2020.
Le compte de production immobilisée correspondant à l'activation des projets informatiques et de recherche et développement est présenté sur la ligne « Autres achats charges externes » du compte de résultat. Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, ces coûts de développement s'élèvent à 1 575 milliers d'euros et sont composés essentiellement de coûts externes (928 milliers d'euros) et de coûts de personnel (647 milliers d'euros).
| Amortissements et dépréciations | 31/03/2019 | Dotations | Reprises | 31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|
| Logiciels et autres immob. incorp. | 1 024 | 1 360 | 50 | 2 333 |
| Droit au bail | 122 | 60 | 182 | |
| Marque Domisys | 830 | 830 | 1 660 | |
| Total | 1 976 | 2 250 | 50 | 4 176 |
La forte augmentation des dotations au 31 mars 2020 provient essentiellement de l'amortissement des différents projets internes, ce qui représente un montant de 1 208 milliers d'euros contre 202 milliers d'euros au 31 mars 2019.
Les immobilisations corporelles se décomposent comme suit :
| Valeurs brutes | 31/03/2019 | Acquis. | Virt. poste | Cessions M. rebut |
31/03/2020 |
|---|---|---|---|---|---|
| Installations et agencements | 11 841 | 767 | 722 | 153 | 13 176 |
| Matériel | 6 289 | 28 | 664 | 6 980 | |
| Matériel de transport | 34 | 34 | |||
| Matériel de bureau et mobilier | 4 407 | 376 | 229 | 59 | 4 953 |
| Immobil. corpor. en-cours | 1 618 | (1 615) | 1 | 2 | |
| Total | 24 189 | 1 171 | 0 | 214 | 25 146 |
La finalisation des travaux de réaménagement des locaux situés à Grandchamps-des-Fontaines a généré sur l'exercice des acquisitions d'immobilisations corporelles à hauteur de 296 milliers d'euros et pour 118 milliers d'euros sur les locaux administratifs situés à Limonest.
Suite à la levée d'option du crédit-bail immobilier exercée par la filiale CAMPUS 2017, la société Groupe LDLC a racheté des agencements à la société CAMPUS 2017 pour un montant de 314 milliers d'euros.
Le montant total des agencements mis en service et réalisés pour les locaux situés à Grandchamps-des-Fontaines s'élève à 1 148 milliers d'euros.
Le projet de l'Autostore (système de stockage et robots de manutention) a été mis en service sur l'exercice pour 675 milliers d'euros.
Les immobilisations financières se décomposent comme suit :
| 31/03/2019 | Virt. | Cessions | 31/03/2020 | 31/03/2020 | |||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| valeur brute | Acquis. | poste | M. Rebut | valeur brute | Dépréc. | valeur nette | |
| Titres Hardware | 3 033 | 3 033 | 3 033 | ||||
| Titres Nemeio | 8 | 8 | (8) | 0 | |||
| Titres DLP Connect | 24 | 24 | 24 | ||||
| Titres Anikop | 24 | 24 | 24 | ||||
| Titres LDLC Distribution | 100 | 100 | 100 | ||||
| Titres École LDLC | 500 | 500 | 500 | ||||
| Titres LDLC Villefranche | 303 | 303 | 303 | ||||
| Titres LDLC Bordeaux | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres LDLC Villeurbanne | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres LDLC Lille V2 | 2 | 2 | 2 | ||||
| Titres LDLC Event | 21 | 21 | 21 | ||||
| Titres CAMPUS 2017 | 2 | 2 | 2 | ||||
| Titres LDLC Lyon 7 | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres LDLC Cormeilles | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres ADB Limonest | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres Domimo 2 | 1 907 | 1 907 | 1 907 | ||||
| Titres Domimo 3 | 224 | 224 | 224 | ||||
| Titres NLCL | 1 500 | 1 500 | 1 500 | ||||
| Divers titres | 1 | 1 | 1 | ||||
| Titres OLYS | 15 347 | 15 347 | (3 500) | 11 847 | |||
| Titres LDLC7 | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres Bluescreen | 30 | (6) | 24 | 24 | |||
| Titres LDLC9 | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres ADB Orgeval | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres LDLC11 | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres LDLC12 | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres LDLC13 | 30 | 30 | 30 | ||||
| Titres Groupe LDLC España | 50 | 5 200 | 5 250 | (5 250) | 0 | ||
| Titres Avitech | 0 | 20 | 20 | 20 | |||
| Titres LDLC VR Studio | 0 | 90 | 90 | 90 | |||
| Tittres CG Développement | 400 | 400 | 400 | ||||
| Titres Phox | 2 | 2 | (2) | 0 | |||
| Titres Immo FI 1 | 348 | 348 | 348 | ||||
| Titres Presse non-stop | 51 | 51 | (38) | 13 | |||
| Titres auto-détenus | 27 | 1 779 | (597) | (1 183) | 25 | 25 | |
| Dépôts et cautionnements | 1 279 | 673 | (188) | (276) | 1 489 | 1 489 | |
| Intérêts courus s/dépôts et | |||||||
| cautionnements | 23 | 3 | (0) | 26 | 26 | ||
| Fonds de garantie | 310 | 55 | 188 | 553 | 553 | ||
| Total brut | 25 845 | 7 820 | (597) | (1 465) | 31 603 | (8 797) | 22 806 |
Les acquisitions concernent principalement les dépôts de garantie versés aux nouveaux propriétaires du siège social situé à Limonest à hauteur de 386 milliers d'euros, ainsi qu'à ceux de l'entrepôt et des bureaux de Grandchamps-des-Fontaines à hauteur de 188 milliers d'euros.
La diminution des dépôts et cautionnements s'explique essentiellement par le remboursement de la caution de 215 milliers d'euros à la SCI Domimo 2 suite à la cession des murs de Grandchamps-des-Fontaines.
En date du 27 mars 2020, Groupe LDLC a procédé à une augmentation de capital d'un montant de 5 200 milliers d'euros de sa filiale Groupe LDLC España par incorporation de créance. Suite à la décision de se désengager de ses activités boutiques en Espagne, les titres de participation détenus sur la société Groupe LDLC España pour un montant de 5 250 milliers d'euros ont été totalement dépréciés au 31 mars 2020.
Le 29 novembre 2019, la société Groupe LDLC a cédé 20% des actions détenues sur la société Bluescreen pour un montant de 6 milliers d'euros.
La société Groupe LDLC a acquis 100% des actions de la société LDLC VR Studio le 18 décembre 2019 et de la société Avitech le 5 février 2020. Ces acquisitions ont été réalisées à hauteur d'un montant de 90 milliers d'euros pour Avitech et 20 milliers d'euros pour LDLC VR Studio.
La société Groupe LDLC détient 2 712 de ses propres actions au 31 mars 2020. Leur valeur de marché au 31 mars 2020 s'élève à 24 milliers d'euros.
Les principales dépréciations concernent les filiales :
Les flux de trésorerie ont été évalués à partir des budgets et des plans à cinq ans établis à partir des perspectives de croissance et de marge cohérents avec les performances historiques de la société OLYS et de ses marchés. Dans le contexte des évènements survenus en lien avec le Covid-19, trois scénarios différents ont été pris en compte et ont été pondérés en fonction de leur probabilité de survenue. Chaque scénario reflète les hypothèses d'impact du Covid-19 sur le chiffre d'affaires et la marge d'EBITDA sur la période du business plan. Le taux de croissance retenu pour la projection des cash-flows à l'infini, soit 1,9%, est cohérent avec les taux d'inflation à long terme en France.
Le taux d'actualisation utilisé correspond au coût moyen pondéré du capital et représente le niveau de rémunération attendu des capitaux engagés. Il est calculé à partir des données financières d'un échantillon de sociétés comparables, composé de sociétés cotées du même secteur d'activité que le Groupe. Au 31 mars 2020, le taux d'actualisation déterminé à partir des données de marché est de 12,9% pour OLYS.
Après examen de la valeur des titres de participation, une dépréciation de 3,5 millions d'euros a été comptabilisée au 31 mars 2020.
Le Groupe a procédé aux analyses de sensibilité des résultats des tests de dépréciation en fonction de différentes hypothèses de ratio d'EBITDA utilisées pour le calcul de la valeur terminale et de taux d'actualisation.
Des analyses de sensibilité ont été réalisées pour chaque scénario aux hypothèses prises individuellement incluant des changements raisonnablement possibles de ces dernières (-50 pdb pour le ratio EBITDA/CA, +100 pdb pour le taux d'actualisation).
Sur la base des hypothèses retenues, la valeur d'utilité des titres OLYS issue de la moyenne pondérée des trois scénarios est inférieure de 3,5 millions d'euros à sa valeur comptable au 31 mars 2020. Les résultats du test de sensibilité sont les suivants :
Appréciation/(Dépréciation) – Headroom en millions d'euros
| Ratio EBITDA/CA | -50 pdb |
|---|---|
| -5,2 | |
| Taux d'actualisation | +100 pdb |
| -4,2 |
Les stocks et en-cours se décomposent comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Valeur brute |
Dépréciation | Valeur nette |
Valeur brute |
Dépréciation | Valeur nette |
||
| Stocks de m/ses | 64 240 | 1 476 | 62 764 | 59 106 | 1 236 | 57 870 | |
| Total stocks de m/ses | 64 240 | 1 476 | 62 764 | 59 106 | 1 236 | 57 870 |
Une dépréciation est appliquée sur les stocks en fonction de l'ancienneté du produit et sur les produits pouvant présenter un risque de mévente et/ou dont la valeur de réalisation serait inférieure au coût d'acquisition.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Brut | Dépréciation | Net | Brut | Dépréciation | Net | ||
| Créances clients | 21 579 | 1 241 | 20 338 | 20 885 | 389 | 20 496 | |
| Total | 21 579 | 1 241 | 20 338 | 20 885 | 389 | 20 496 |
L'échéance de la totalité des créances clients est à moins d'un an.
L'augmentation de la dépréciation par rapport au 31 mars 2019 s'explique principalement par la provision de la créance détenue sur la société Groupe LDLC España pour un montant de 557 milliers d'euros.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
||||
|---|---|---|---|---|---|
| Brut | Dépréciation | Net | Net | ||
| Avances et acomptes | 1 235 | 59 | 1 177 | 396 | |
| Fournisseurs avoirs à recevoir | 4 134 | 4 134 | 4 297 | ||
| État (IS, TVA, autres produits à recevoir) | 1 073 | 1 073 | 4 224 | ||
| État produits à recevoir | 18 | 18 | 0 | ||
| Produits à recevoir | 742 | 742 | 1 123 | ||
| Compte courant et retenue garantie Eurofactor | 483 | 483 | 1 781 | ||
| Compte courant des filiales | 15 099 | 252 | 14 847 | 15 546 | |
| Débiteurs divers | 67 | 67 | 6 | ||
| Total | 22 852 | 311 | 22 541 | 27 374 |
L'ensemble des autres créances est à échéance à moins d'un an.
Les autres créances incluent un montant de 483 milliers d'euros correspondant au compte courant et retenue de garantie Eurofactor.
Pour rappel, la société Groupe LDLC avait signé en mars 2017 un nouveau contrat d'affacturage avec Eurofactor.
Le poste « Compte courant des filiales » est principalement composé des comptes courants avec les filiales suivantes :
Ce poste s'analyse comme suit :
La dépréciation des comptes courants filiales de 252 milliers d'euros concerne exclusivement celui de la filiale Groupe LDLC España (voir note 2.3.5).
Pour rappel, le poste « État » était constitué principalement au 31 mars 2019 d'une créance d'impôt suite aux versements d'acomptes d'impôt société pour un montant de 3 237 milliers d'euros. Au 31 mars 2020, un impôt société est dû et figure dans le poste « Dettes fiscales et sociales » (voir note 2.3.12).
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Valeurs | Brutes | Prov. | Nettes | Brutes | Prov. | Nettes | |
| Sous-total disponibilités | 14 908 | 0 | 14 908 | 15 029 | 0 | 15 029 | |
| Sous-total valeurs mob. placem. | 1 614 | 0 | 1 614 | 1 464 | 248 | 1 216 | |
| Total | 16 522 | 0 | 16 522 | 16 493 | 248 | 16 245 |
Les valeurs mobilières de placement correspondent exclusivement aux 135 906 actions auto-détenues par Groupe LDLC contre 123 230 actions sur l'exercice précédent.
Les actions propres sont valorisées à leur coût d'acquisition et comparées au cours moyen du dernier mois de clôture, ce qui n'a donné lieu à aucune dépréciation sur l'exercice.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Factures de marchandises livrées après la clôture | 2 503 | 2 485 |
| Ch. const. avance/loyers immob. et ch. locatives | 824 | 459 |
| Ch. const. avance diverses relevant de l'exploitation | 1 307 | 1 298 |
| Ch. const. avance diverses relevant du financier | 0 | 0 |
| Sous-total charges constatées d'avance | 4 634 | 4 242 |
| Écarts de conversion actifs | 62 | 55 |
| Total | 4 696 | 4 297 |
Ce poste s'analyse comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | ||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Solde ex. antér. |
Prov. Risq. & Ch. Const./ ex. |
Mont. util./ex. |
Mont. non util. rep./ ex. |
Total | Solde ex. antér. |
Apport fusion Domisys |
Prov. Risq. & Ch. Const./ ex. |
Mont. util./ex. |
Mont. non util. rep./ ex. |
Total | |
| Ind. fin carrière | 2 907 | 6 | (20) | 2 894 | 1 589 | 180 | 1 138 | 2 907 | |||
| Attrib. actions grat. |
1 106 | 57 | (481) | 682 | 2 109 | 24 | (330) | (697) | 1 106 | ||
| Autres provisions | 98 | 170 | (98) | 170 | 160 | 0 | 98 | (161) | 98 | ||
| Provision loyer/ chges loc. |
0 | 0 | 18 | (18) | 0 | ||||||
| Prov./sit. nette négative de Groupe LDLC España |
0 | 740 | 740 | 0 | |||||||
| Provisions salariés |
23 | 3 | (18) | 8 | 24 | 34 | 18 | (47) | (5) | 23 | |
| Total | 4 134 | 970 | (590) | (20) | 4 494 | 3 900 | 214 | 1 278 | (556) | (702) | 4 134 |
La société n'a pas connaissance au 31 mars 2020 d'événements susceptibles de justifier la constitution de provisions pour risques et charges autres que ceux ayant fait l'objet des provisions suivantes :
La société Groupe LDLC applique la recommandation n°2013-02 du 7 novembre 2013 émise par l'Autorité des Normes Comptables.
Les principales hypothèses utilisées au 31 mars 2020 pour le calcul de la provision indemnités de fin de carrière sont les suivantes :
| Hypothèses retenues | Au 31 mars 2020 | Au 31 mars 2019 |
|---|---|---|
| Hypothèses économiques | ||
| Taux de croissance des salaires cadres | 2,5% | 2,5% |
| Taux de croissance des salaires non cadres | 2,5% | 2,5% |
| Taux d'actualisation par référence à l'Iboxx Corporates AA | 1,42% | 1,05% |
| Durée moyenne résiduelle d'activité | 19 à 21 ans | 20 à 22 ans |
| Hypothèses démographiques | ||
| Âge de départ en retraite | 60 à 67 ans | 60 à 67 ans |
| Tables de mortalité | Insee 2018 | Insee 2017 |
| Turn-over | Taux décroissant selon l'âge et en fonction du nombre réel de démissions au sein de la société |
Taux décroissant selon l'âge et en fonction du nombre réel de démissions au sein de la société |
√ Convention collective applicable : « des entreprises de vente à distance » - IDCC 2198
Plusieurs plans d'attribution d'actions gratuites sont en cours :
L'attribution de ces actions est soumise à une condition de présence, sauf pour le plan d'attribution du 9 juillet 2014, mais n'est pas soumise à une condition de performance.
La provision pour charges de 682 milliers d'euros comptabilisée au 31 mars 2020 est destinée à couvrir la sortie probable de ressources pour chacune des tranches des plans de 2017 à 2018, en fonction de la probabilité d'atteinte des conditions de présence et du prorata de service rendu.
La contrepartie de cette provision est une charge de personnel.
Les plans de juin 2017, novembre 2017 et février 2018 font l'objet de conventions de refacturation avec des filiales (voir note 2.3.17).
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, 64 726 actions ont été attribuées définitivement.
| Date d'attribution | 29/06/2017 | 23/02/2018 |
|---|---|---|
| Nombre total d'actions attribuées gratuitement | 10 000 | 35 000 |
| Date d'acquisition des actions | 1 000 actions au 29/06/2019 | 10 000 actions au 23/02/2020 |
| 1 000 actions au 29/06/2020 | 12 500 actions au 23/02/2021 | |
| 2 000 actions au 29/06/2021 | 12 500 actions au 23/02/2022 | |
| 3 000 actions au 29/06/2022 | ||
| 3 000 actions au 29/06/2023 | ||
| Période de conservation | 2 ans | 1 an |
Suite à la décision d'arrêter les activités boutiques de l'Espagne, une provision de 740 milliers d'euros a été constituée pour couvrir le risque de combler les pertes à hauteur des capitaux nets négatifs de la filiale Groupe LDLC España.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Montant brut |
De - 1 an |
De 1 à 5 ans |
De + 5 ans |
Montant brut |
De - 1 an |
De 1 à 5 ans |
De + 5 ans |
|
| Emprunts | 26 439 | 7 395 | 18 589 | 455 | 51 824 | 41 586 | 8 818 | 1 420 |
| Découverts bancaires et intérêts courus |
155 | 155 | 258 | 258 | ||||
| Cpte courant Immofi | 205 | 205 | 178 | 178 | ||||
| Associés - intérêts courus | 16 | 16 | 19 | 19 | ||||
| Cpte courant Nemeio | 5 | 5 | 7 | 7 | ||||
| Cpte courant École LDLC | 878 | 878 | 808 | 808 | ||||
| Cpte courant Hardware | 2 309 | 2 309 | 2 365 | 2 365 | ||||
| Cpte courant LDLC Distribution | 37 | 37 | 724 | 724 | ||||
| Cpte courant CAMPUS 2017 | 6 472 | 6 472 | ||||||
| Cpte courant LDLC Villeurbanne | 15 | 15 | ||||||
| Cpte courant Domimo 2 | 5 142 | 5 142 | 163 | 163 | ||||
| Cpte courant Domimo 3 | 976 | 976 | ||||||
| Total | 42 649 | 23 604 | 18 589 | 455 | 56 345 | 46 107 | 8 818 | 1 420 |
Les ouvertures de crédit sont rémunérées pour une durée indéterminée sur la base des taux suivants s'élevant, selon les établissements financiers, à :
√ Euribor 3 M + 1%
Les autorisations de découverts accordées à la société Groupe LDLC s'élèvent à 7,5 millions d'euros au 31 mars 2020.
Le 31 mars 2016, la société Groupe LDLC a contracté un emprunt de 23 millions d'euros aux fins de financer partiellement l'acquisition de Materiel.net et des frais y afférents. Cet emprunt est remboursable sur une durée de 7 ans au taux Euribor 3 mois auquel s'ajoute une marge prêt d'acquisition qui sera réajustée annuellement en fonction du ratio de levier.
Le 19 janvier 2018, la société Groupe LDLC a contracté deux emprunts d'un montant respectif de 10 millions d'euros et 5,3 millions d'euros aux fins de financer l'acquisition des sociétés OLYS et Synopsis et des frais y afférents.
Concernant l'emprunt de 10 millions d'euros, un avenant n°2 au contrat de crédit en date du 31 mars 2016 a été signé le 19 janvier 2018. La durée de remboursement a été alignée avec le prêt relatif à l'acquisition 2016. Les conditions du prêt de 23 millions d'euros s'appliquent de manière identique à celui de 10 millions d'euros.
Ces emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros sont assortis également d'un crédit renouvelable de 15 millions d'euros utilisable par tirage d'un montant minimum de 1 million d'euros destiné à financer partiellement les besoins en fonds de roulement de la société Groupe LDLC et de ses filiales. Le crédit renouvelable est rémunéré sur la base du taux Euribor auquel s'ajoute une marge crédit renouvelable qui sera réajustée annuellement en fonction du ratio de levier. Au 31 mars 2020, ce crédit n'est pas utilisé.
Le 11 décembre 2019, un accord à la majorité a été donné par le pool bancaire sur la prorogation jusqu'au 31 mars 2021 du crédit renouvelable pour un montant de 13,5 millions d'euros.
Pour couvrir les intérêts de ces emprunts à taux variable relatifs aux acquisitions 2016 et 2018, des contrats de swap ont été souscrits.
L'avenant au contrat de crédit qui intègre les acquisitions de 2016 et 2018 est assorti de respect de « ratios bancaires » (ratios, limites d'investissements…) dont le non-respect peut entraîner, sous certaines conditions, le remboursement anticipé.
Ces « ratios bancaires » sont basés contractuellement sur les comptes consolidés et sont testés semestriellement.
Le contrat de crédit comporte deux ratios bancaires financiers basés contractuellement sur les comptes consolidés et qui sont testés semestriellement :
Le contrat de crédit comporte également une limite d'investissements à respecter par les membres du Groupe.
Les ratios bancaires du contrat de crédit sont respectés au 31 mars 2020.
Au 31 mars 2019, les ratios bancaires du contrat de crédit
Ce poste se décompose comme suit :
n'étaient pas respectés et les dettes adossées avaient été reclassées à moins d'un an pour un montant de 33,1 millions d'euros dans le bilan du 31 mars 2019.
Conformément à l'avenant n°2 du contrat de crédit, les cessions des actifs immobiliers réalisées sur l'exercice ont entraîné un remboursement anticipé de 6 millions d'euros en date du 13 décembre 2019, soit 3 millions d'euros sur chacun des deux emprunts de 23 millions d'euros et 10 millions d'euros, écourtant ainsi la durée de remboursement de ces deux emprunts. Le dernier remboursement interviendra donc le 30 septembre 2022 pour l'emprunt de 23 millions d'euros et le 30 septembre 2021 pour celui de 10 millions d'euros.
L'emprunt de 5,3 millions d'euros est remboursable sur une durée de 7 ans au taux fixe de 1,31% l'an avec un différé d'amortissement des 8 premiers trimestres. Le premier versement comprenant l'amortissement du capital et le paiement des intérêts devait intervenir au 30 avril 2020.
Suite à la crise sanitaire liée au Covid-19, la société Groupe LDLC a obtenu fin mars 2020 de la part de l'ensemble des banques une suspension des mensualités d'emprunts pour une durée de 6 mois, ce qui représente un report des échéances de fin mars 2020 à hauteur de 2,9 millions d'euros, ainsi qu'un report de la dette à moins d'un an de 1,5 million d'euros.
En avril 2019, un emprunt de 1,1 million d'euros a été souscrit par la société Groupe LDLC afin de financer le BFR du Groupe.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Fournisseurs | 38 089 | 41 767 |
| Fournisseurs effets à payer | 13 274 | 10 397 |
| Fournisseurs factures non parvenues | 2 510 | 1 567 |
| Total | 53 873 | 53 731 |
Les échéances de la totalité des dettes fournisseurs et comptes rattachés sont à moins d'un an.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Dettes envers le personnel | 5 537 | 4 593 |
| Dettes envers les organismes sociaux | 2 475 | 2 181 |
| État (impôt sur les bénéfices, TVA, autres) | 11 906 | 6 233 |
| Total | 19 919 | 13 007 |
La hausse des dettes envers le personnel provient principalement de la participation des salariés aux résultats de l'entreprise pour 778 milliers d'euros.
Au 31 mars 2020, la forte hausse des dettes envers l'État provient essentiellement de :
√ l'impôt société d'un montant de 4,6 millions d'euros, tandis que l'exercice clos au 31 mars 2019 enregistrant un déficit générait une créance d'impôt constatée dans le poste des « autres créances » (voir note 2.3.6) ;
Ce poste se décompose comme suit :
√ la TVA à décaisser d'un montant de 5,3 millions d'euros au 31 mars 2020 contre 4,1 millions d'euros au 31 mars 2019.
Les échéances de la totalité des dettes fiscales et sociales sont à moins d'un an.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Clients, acomptes reçus sur commandes | 3 264 | 2 233 |
| Clients autres avoirs, rab. rem. à accorder | 1 975 | 3 484 |
| Autres | 4 | 3 |
| Total | 5 243 | 5 720 |
Les échéances de la totalité des autres dettes sont à moins d'un an.
Ils se composent essentiellement de produits constatés d'avance pour 4 324 milliers d'euros dont 1 424 milliers d'euros relatifs à l'étalement des « packs garantis » facturés aux clients et 2 874 milliers euros au retraitement en moyenne des deux derniers jours de chiffre d'affaires du mois de mars.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Emprunts et dettes auprès des éts de crédit | 24 | 24 |
| Disponibilités, intérêts courus à payer | 155 | 120 |
| Dettes fournisseurs et comptes rattachés | 2 510 | 1 567 |
| Dettes fiscales et sociales | 6 849 | 5 783 |
| Autres dettes | 523 | 187 |
| Total | 10 060 | 7 681 |
Sur l'exercice clos au 31 mars 2020, le montant des frais de recherche et de développement s'élève à 1 097 milliers d'euros dont 986 milliers d'euros répondaient aux critères d'activation d'une immobilisation et ont donc été immobilisés sur l'exercice (voir note 2.2.2).
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Créances clients factures à établir | 316 | 31 |
| Divers produits à recevoir | 742 | 1 123 |
| Fournisseurs débiteurs | 3 833 | 3 996 |
| État produits à recevoir | 18 | 0 |
| Total | 4 908 | 5 150 |
Le produit à recevoir relatif à la refacturation de plans d'attribution d'actions gratuites à des salariés de filiales de Groupe LDLC représente un montant de 682 milliers d'euros au 31 mars 2020, contre 889 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La hausse du poste « Créances clients factures à établir » s'explique essentiellement par de la refacturation de loyer aux filiales du Groupe pour un montant de 302 milliers d'euros.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | Du 01/04/2018 au 31/03/2019 | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| France métropole |
Export | Total | France métropole |
Export | Total | |
| Vente m/s | 355 290 | 49 294 | 404 585 | 368 657 | 53 695 | 422 353 |
| Prest. vendues * | 11 982 | 4 088 | 16 070 | 9 854 | 4 264 | 14 119 |
| Total | 367 272 | 53 382 | 420 654 | 378 511 | 57 960 | 436 471 |
* Les prestations vendues correspondent notamment aux frais de port facturés sur les marchandises vendues.
Ce poste se décompose comme suit :
| Poste principalement impacté sur le compte de résultat |
Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|---|
| Transferts de charges liés aux marchandises | Coût d'achat | 341 | 374 |
| Transferts de charges liés à de la refacturation interne | Aut. achats ch. externes | 1 824 | 1 665 |
| Transferts de charges liés au social | Autres produits | 194 | (536) |
| Transferts de charges liés aux assurances | Autres produits | 110 | 148 |
| Total | 2 469 | 1 650 |
Le poste « Transferts de charges liés à de la refacturation interne » d'un montant de 1 824 milliers d'euros s'explique essentiellement par les refacturations de coûts faites aux filiales.
Le poste « Transferts de charges liés au social » enregistre les opérations relatives aux plans d'attribution d'actions gratuites à des salariés de filiales de Groupe LDLC qui font l'objet de convention de refacturation entre filiales à hauteur de 39 milliers d'euros. Au 31 mars 2019, le départ de l'un des bénéficiaires avait donné lieu à l'annulation d'un plan à hauteur d'un montant de 697 milliers d'euros.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Salaires et traitements | 21 972 | 24 145 |
| Charges sociales et charges de personnel | 9 647 | 9 742 |
| Total | 31 618 | 33 887 |
| Effectif salariés moyen | 671 | 763 |
| Dont non cadres | 427 | 493 |
| Dont cadres | 200 | 221 |
| Dont intérimaires | 43 | 50 |
La baisse des charges de personnel s'explique principalement par la baisse des effectifs entre le 31 mars 2019 et le 31 mars 2020.
Le CICE est supprimé depuis le 1er janvier 2019 et est remplacé par un nouvel allègement des charges sociales.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Dot. nette aux amort. des immobilisations | (4 414) | (3 418) |
| Dot. nette pour dépréciation des stocks | (240) | 885 |
| Dot. et rep. pour dép. des créances clts | (852) | (23) |
| Dot. et rep. pour dép. des créances frns | (8) | (47) |
| Dot. et rep. aux provisions pour garantie | (69) | 100 |
| Dot. prov. indemnités fin de carrière | 13 | (1 138) |
| Dot. prov. pour risq. chges salariés | 15 | 34 |
| Dotations et reprises diverses | (4) | (19) |
| Total dot. et reprises aux amort. et aux provisions | (5 558) | (3 627) |
La hausse des dotations nettes aux amortissements des immobilisations s'explique essentiellement par l'activation sur l'exercice de plusieurs projets internes immobilisés ayant entraîné des dotations à hauteur de 1 208 milliers d'euros contre 202 milliers d'euros au 31 mars 2019.
La hausse des dotations pour dépréciation des créances clients s'explique notamment par la provision pour dépréciation de la créance client de la filiale Groupe LDLC España pour 557 milliers d'euros (voir note 2.3.5).
La baisse des dotations aux provisions d'indemnités de fin de carrière est principalement liée à la baisse des effectifs et à la variation du taux d'actualisation (voir note 2.3.9).
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Escomptes obtenus | 0 | 322 |
| Produits financiers sur comptes courants | 173 | 118 |
| Gains de change | 13 | 31 |
| Reprises financières sur provisions | 248 | 0 |
| Autres produits financiers | 7 | 36 |
| Sous-total produits financiers | 441 | 506 |
| Dotations financières aux amort. et provisions | 9 742 | 286 |
| Intérêts des emprunts | 847 | 1 211 |
| Charges financières sur comptes courants | 140 | 40 |
| Intérêts bancaires | 24 | 47 |
| Commissions de financements | 31 | 26 |
| Perte de change | 21 | 26 |
| Autres charges financières | 16 | 19 |
| Sous-total charges financières | 10 820 | 1 655 |
| Résultat financier | (10 379) | (1 149) |
Au 31 mars 2020, le poste d'intérêts d'emprunts (voir note 2.3.10) comprend à hauteur de :
Le poste « Reprises financières sur provisions » correspond à la reprise de la dépréciation des actions propres acquises avec un objectif d'attribution de plan d'actions gratuites mais non attribuées à un plan déterminé au 31 mars 2019.
La hausse des « Dotations financières aux amortissements et provisions » s'explique par la dépréciation des titres de la société OLYS à hauteur de 3,5 millions d'euros et par des provisions constatées suite à la décision d'arrêter les activités boutiques de l'Espagne à hauteur de :
Les escomptes obtenus sont désormais reclassés en diminution du coût d'achat.
Ce poste se décompose comme suit :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Produits except. s/cessions immobil. | 0 | 0 |
| Produits except. s/cessions immob. financières | 6 | 1 |
| Bonis/rachat de ses actions | 38 | 25 |
| Reprise excep./provisions | 447 | 330 |
| Reprise amortissement dérogatoire | 0 | 175 |
| Produits exceptionnels divers | 1 | 1 |
| Sous-total produits exceptionnels | 492 | 532 |
| Charges except. s/cessions immobil. | 12 | 11 |
| Charges except. s/cessions immobil. financières | 6 | 0 |
| Mali/rachat de ses actions | 477 | 392 |
| Dot. amortissement dérogatoire | 98 | 98 |
| Charges exceptionnelles diverses | 30 | 18 |
| Sous-total charges exceptionnelles | 623 | 519 |
| Résultat exceptionnel | (131) | 13 |
L'attribution définitive d'actions gratuites justifie le poste de reprises exceptionnelles sur provisions et le mali sur rachat de ses actions pour un montant de 447 milliers d'euros.
La reprise d'amortissements dérogatoires au 31 mars 2019 de 175 milliers d'euros correspond à la part des frais d'acquisition de la société Domisys amortis à la date de fusion.
Le calcul d'impôt est le suivant :
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Résultat avant IS |
Impôt société à 33,33% |
Contrib. sociale à 3,3% |
Impact de l'intégration fiscale et des crédits d'impôts (mécénat, recherche, apprentissage) |
Résultat après IS |
|||||
| Résultat d'exploitation | 13 137 | (6 145) | (186) | 4 978 | 11 784 | ||||
| Résultat financier | (10 379) | (212) | (10 592) | ||||||
| Résultat exceptionnel | (131) | (39) | (170) | ||||||
| Particip. sal. résult. ent. | (778) | (778) | |||||||
| Total | 1 848 | (6 396) | (186) | 4 978 | 244 |
Les chiffres indiquant un impôt société négatif correspondent à une charge d'impôt.
Les chiffres mentionnés ci-dessous correspondent à des allègements ou accroîssements futurs en base d'impôt.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Provision garantie clients | 95 | 26 |
| Provision bons achats | 13 | 17 |
| Organic | 157 | 164 |
| Provision indemnités fin de carrière | (13) | (1 138) |
| Provision sur titres de participation | 0 | 38 |
| Participations des salariés | 778 | 0 |
| Total | 1 029 | (894) |
| Capital | le capital (incluant le résultat de Capitaux propres autres que l'exercice au 31/03/2020) |
Quote-part du capital détenu | Valeur brute des titres détenus | Valeur nette des titres détenus | Prêts et avances consentis (+) et non encore remboursés ou reçus (-) par la société |
et avals donnés par la société Montants des cautions |
Chiffre d'affaires hors taxes au 31/03/2020 |
Résultats (bénéfice (+) ou perte (-) au 31/03/2020) |
société au cours de l'exercice Dividendes encaissés par la |
|
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Filiales détenues à plus de 50% | ||||||||||
| Anikop | 30 | (838) | 80% | 24 | 24 | 659 | 2 804 | 102 | 0 | |
| CAMPUS 2017 | 2 | 6 526 | 100% | 2 | 2 | (6 472) | 525 | 7 498 | 0 | |
| DLP Connect | 30 | (425) | 80% | 24 | 24 | 599 | 1 690 | (129) | 0 | |
| Domimo 2 | 50 | 4 838 99,98% | 1 907 | 1 907 | (5 142) | 323 | 3 557 | 0 | ||
| Domimo 3 | 10 | 888 99,90% | 224 | 224 | (976) | 83 | 688 | 0 | ||
| Hardware.fr | 20 | 2 657 | 100% | 3 033 | 3 033 | (2 309) | 449 | 168 | 0 | |
| LDLC Distribution | 100 | (435) | 100% | 100 | 100 | (37) | 3 237 | (213) | 0 | |
| LDLC Event | 30 | (1 289) | 70% | 21 | 21 | 1 689 | 1 053 | (765) | 0 | |
| LDLC Villefranche | 303 | (196) | 100% | 303 | 303 | 92 | 1 849 | 23 | 0 | |
| LDLC Bordeaux | 30 | (494) | 100% | 30 | 30 | 840 | 1 698 | (72) | 0 | |
| LDLC Villeurbanne | 30 | 101 | 100% | 30 | 30 | (15) | 1 722 | 40 | 0 | |
| LDLC Lille V2 | 2 | (170) | 100% | 2 | 2 | 353 | 1 144 | 41 | 0 | |
| L'École LDLC | 500 | 340 | 100% | 500 | 500 | (878) | 339 | 47 | 0 | |
| Nemeio | 8 | (4) | 100% | 8 | 0 | (5) | 2 | (3) | 0 | |
| LDLC Lyon 7 | 30 | 16 | 100% | 30 | 30 | 95 | 1 660 | 81 | 0 | |
| LDLC Cormeilles | 30 | (40) | 100% | 30 | 30 | 272 | 1 362 | 90 | 0 | |
| ADB Limonest | 30 | (556) | 100% | 30 | 30 | 1 015 | 932 | (174) | 0 | |
| LDLC7 | 30 | (10) | 100% | 30 | 30 | 0 | 0 | (3) | 0 | |
| Bluescreen | 30 | (96) | 80% | 24 | 24 | 38 | 77 | (89) | 0 | |
| LDLC9 | 30 | (10) | 100% | 30 | 30 | 0 | 0 | (3) | 0 | |
| ADB Orgeval | 30 | (61) | 100% | 30 | 30 | 237 | 0 | (54) | 0 | |
| LDLC11 | 30 | (9) | 100% | 30 | 30 | 0 | 0 | (3) | 0 | |
| LDLC12 | 30 | (10) | 100% | 30 | 30 | 0 | 0 | (3) | 0 | |
| LDLC13 | 30 | (9) | 100% | 30 | 30 | 0 | 0 | (3) | 0 | |
| Avitech | 100 | (354) | 100% | 90 | 90 | 514 | 2 064 | 62 | 0 | |
| OLYS | 954 | (6 527) | 100% | 15 347 11 847 | 7 453 | 62 492 | (3 261) | 0 | ||
| Groupe LDLC España * | 5 250 | (6 799) | 100% | 5 250 | 0 | 252 | 2 380 | (5 011) | 0 | |
| LDLC VR Studio ** | 692 | (877) | 100% | 20 | 20 | 511 | (0) | (116) | 0 | |
| Filiales détenues à moins de 50% | ||||||||||
| NLCL*** | 167 | 432 | 10% | 1 500 | 1 500 | 150 | 3 260 | (76) | 0 | |
| CG Développement | 5 | 450 | 20% | 400 | 400 | 0 | 1 032 | 66 | 0 |
* Le compte courant de la filiale Groupe LDLC España est totalement déprécié au 31 mars 2020.
** La société LDLC VR Studio a été acquise le 18 décembre 2019. La date de clôture annuelle des comptes de la société était historiquement le 31 décembre. Elle a été décalée au 31 mars 2020 conformément à la société Groupe LDLC. Les éléments financiers communiqués ci-dessus pour la société LDLC VR Studio correspondent aux données arrêtées au 31 mars 2020 pour 3 mois d'activité.
*** Les éléments financiers communiqués pour la société NLCL correspondent au dernier exercice clos du 31 décembre 2019.
Le Groupe fiscalement intégré dont la société Groupe LDLC est la tête du Groupe est composé des filiales Hardware.fr, Nemeio, LDLC Distribution, LDLC Villefranche, L'École LDLC, LDLC Bordeaux, LDLC Villeurbanne, LDLC Lille V2, CAMPUS 2017, LDLC Lyon 7, LDLC Cormeilles, ADB Limonest, Domimo 2, Domimo 3, ADB Orgeval, LDLC7, LDLC9, LDLC11, LDLC12, LDLC13 et OLYS.
La cession de 20% des titres de la société Bluescreen, le 29 novembre 2019, engendre sa sortie du périmètre d'intégration fiscale sur l'exercice clos au 31 mars 2020.
La convention d'intégration fiscale prévoit que chaque filiale intégrée supporte un impôt égal à celui dont elle aurait dû s'acquitter en l'absence d'intégration.
L'intégration fiscale a généré une économie d'impôt de 1 166 milliers d'euros sur l'exercice clos le 31 mars 2020.
| Du 01/04/2019 au 31/03/2020 |
Du 01/04/2018 au 31/03/2019 |
|
|---|---|---|
| Membres du Directoire | 434 | 530 |
| Membres du Conseil de Surveillance | 38 | 38 |
√ En janvier, 2015, la société Groupe LDLC a signé avec le Crédit Agricole une convention cadre relative à des achats de dollars (USD) à terme. À ce jour, aucun contrat n'est en cours.
√ Groupe LDLC bénéficie d'une garantie au titre du Fonds FNG Prêt Numérique dans le cadre de l'emprunt souscrit auprès de la BPI à hauteur de 80% de son capital, soit 420 milliers d'euros au 31 mars 2020. Une retenue de garantie de 88 milliers d'euros a été retenue par le prêteur BPI comme gage espèces.
La société Groupe LDLC dont le numéro SIRET est le 403 554 181 00178 présente des comptes consolidés dont elle est la mère. Le siège social de Groupe LDLC est situé au 2, rue des Érables 69760 Limonest.
En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée Générale, nous avons effectué l'audit des comptes annuels de la société Groupe LDLC relatifs à l'exercice clos le 31 mars 2020, tels qu'ils sont joints au présent rapport. Ces comptes ont été arrêtés par le Directoire le 18 juin 2020 sur la base des éléments disponibles à cette date dans un contexte évolutif de la crise liée au Covid-19.
Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice.
Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.
Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes annuels » du présent rapport.
Nous avons réalisé notre mission d'audit dans le respect des règles d'indépendance qui nous sont applicables, sur la période du 1er avril 2019 à la date d'émission de notre rapport, et notamment nous n'avons pas fourni de services interdits par le code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes.
En application des dispositions des articles L.823-9 et R.823-7 du Code de Commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les appréciations suivantes qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importantes pour l'audit des comptes annuels de l'exercice.
Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l'audit des comptes annuels pris dans leur ensemble, arrêtés dans les conditions rappelées précédemment, et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes annuels pris isolément.
Les stocks de votre société sont dépréciés selon les modalités décrites dans les notes 2.2.5 et 2.3.4 de l'annexe aux comptes annuels. Dans le cadre de nos appréciations des principes comptables suivis par votre société, nous avons apprécié le caractère approprié des méthodes comptables retenues et leur correcte application.
Les titres de participation, dont le montant net figurant au bilan au 31 mars 2020 s'établit à 22 806 Keuros, sont évalués à leur coût d'acquisition et dépréciés sur la base de leur valeur d'utilité selon les modalités décrites dans les notes 2.2.4 et 2.3.3 de l'annexe aux comptes annuels. Nos travaux ont consisté à apprécier les données et les hypothèses sur lesquelles se fondent ces estimations, à revoir les calculs effectués par votre société et à examiner les procédures d'approbation de ces estimations par la direction. Dans le cadre de nos appréciations, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.
Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires.
Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du Directoire arrêté le 18 juin 2020 et dans les autres documents sur la situation financière et les comptes annuels adressés à l'Assemblée Générale. S'agissant des événements survenus et des éléments connus postérieurement à la date d'arrêté des comptes relatifs aux effets de la crise liée au Covid-19, la Direction nous a indiqué qu'ils feront l'objet d'une communication à l'Assemblée Générale appelée à statuer sur les comptes.
Nous attestons de la sincérité et de la concordance avec les comptes annuels des informations relatives aux délais de paiement mentionnées à l'article D.441-4 du Code de Commerce.
Nous attestons de l'existence, dans le rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise, des informations requises par l'article L.225-37-4 du Code de Commerce.
En application de la loi, nous nous sommes assurés que les diverses informations relatives aux prises de participation et de contrôle et à l'identité des détenteurs du capital ou des droits de vote vous ont été communiquées dans le rapport de gestion.
Il appartient à la Direction d'établir des comptes annuels présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes annuels ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs.
Lors de l'établissement des comptes annuels, il incombe à la Direction d'évaluer la capacité de la société à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d'exploitation et d'appliquer la convention comptable de continuité d'exploitation, sauf s'il est prévu de liquider la société ou de cesser son activité.
Les comptes annuels ont été arrêtés par le Directoire.
Il nous appartient d'établir un rapport sur les comptes annuels. Notre objectif est d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels pris dans leur ensemble ne comportent pas d'anomalies significatives. L'assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d'assurance, sans toutefois garantir qu'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d'erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l'on peut raisonnablement s'attendre à ce qu'elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci.
Comme précisé par l'article L.823-10-1 du Code de Commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre société.
Dans le cadre d'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre :
Fait à Lyon et à Villeurbanne, le 18 juin 2020
Les commissaires aux comptes
Cap Office Rémi Charnay Mazars Pierre Beluze Séverine Hervet
Néant.
La date des dernières informations financières est le 31 mars 2020.
Conformément aux dispositions de l'article 243 bis du Code Général des Impôts, nous vous indiquons le montant des dividendes distribués au titre des trois derniers exercices et le montant des revenus éligibles à l'abattement de 40% ainsi que le montant de ceux qui ne le sont pas :
| Dividendes mis en distribution |
Montant distribué éligible à la réfaction visée à l'article 158 3 2° du Code Général des Impôts |
Montant distribué non éligible à la réfaction visée à l'article 158 3 2° du Code Général des Impôts |
|
|---|---|---|---|
| Exercice clos le 31 mars 2019 | Néant | Néant | Néant |
| Exercice clos le 31 mars 2018 | Néant | Néant | Néant |
| Exercice clos le 31 mars 2017 | Néant | Néant | Néant |
La société ne dispose pas d'une politique de distribution de dividende spécifique.
Toutefois, nous vous indiquons qu'aux termes du contrat de crédit en date du 31 mars 2016 tel que modifié par avenants, la société s'est engagée à ne pas proposer au vote de ses actionnaires des distributions de dividendes, acomptes sur dividendes ou réserves, ou tout autre distribution, sous quelque forme que ce soit, à l'exception de toute distribution de dividende ou de réserves respectant certaines conditions, à savoir notamment que la distribution desdits dividendes n'excède pas 40% du résultat net consolidé de l'exercice social concerné.
Lors de sa réunion du 18 juin 2020, le Directoire de la société, après avoir constaté que le bénéfice de l'exercice clos le 31 mars 2020 s'élevait à la somme de 244 178,73 euros, a décidé à l'unanimité de proposer à l'Assemblée Générale Ordinaire annuelle du 25 septembre 2020 d'affecter ledit bénéfice de la manière suivante :
| Affectation | Origine | |
|---|---|---|
| Bénéfice de l'exercice clos le 31 mars 2020 | 244 178,73 euros | |
| En intégralité au compte « Autres réserves » dont le montant serait porté | 244 178,73 euros | |
| de 28 838 225,65 euros à 29 082 404,38 euros |
Conformément aux dispositions de l'article 223 quater du Code Général des Impôts, nous vous signalons que les comptes de l'exercice écoulé prennent en charge une somme de 134 394,03 euros, correspondant à des dépenses non déductibles fiscalement visées à l'article 39-4 du Code Général des Impôts et que l'impôt correspondant s'élève à 46 276,34 euros (taux de 34,43% intégrant la contribution sociale).
Conformément aux dispositions de l'article 223 quinquies du Code Général des Impôts, nous vous informons qu'il n'existe aucune dépense ni charge non déductible des bénéfices assujettis à l'impôt sur les sociétés, au sens de l'article 39-5 dudit Code.
Conformément aux dispositions de l'article L.441-14 alinéa 1 du Code de Commerce, vous trouverez ci-dessous un tableau indiquant la décomposition, à la clôture de l'exercice clos le 31 mars 2020, du solde des dettes à l'égard des fournisseurs et des créances clients par date d'échéance.
| Article D. 441-4I. - 1° : Factures reçues non réglées à la date de clôture de l'exercice dont le terme est échu |
Article D. 441-4I. - 2° : Factures émises non réglées à la date de clôture de l'exercice dont le terme est échu |
|||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 0 jour | 1 à 30 jours | 60 jours 31 à |
90 jours 61 à |
91 jours et plus |
(1 jour et plus) Total |
0 jour | 1 à 30 jours | 60 jours 31 à |
90 jours 61 à |
91 jours et plus |
(1 jour et plus) Total |
|
| (A) Tranches de retard de paiement | ||||||||||||
| Nombre de factures concernées | 264 | 2 820 | 2 788 | 15 853 | ||||||||
| Montant total des factures concernées (préciser : TTC) |
622 499,01 1 |
109 454,24 6 |
926 083,76 | 151 361,90 | 511 281,32 | 698 181,22 7 |
942 454,69 3 |
026 783,45 5 |
857 381,84 1 |
472 492,67 | 617 590,76 1 |
974 248,72 8 |
| Pourcentage du montant total des achats de l'exercice (préciser : TTC) |
0,4% 1,4% 0,2% 0,0% 0,1% 1,7% |
|||||||||||
| Pourcentage du chiffre d'affaires de l'exercice (préciser : TTC) |
0,8% | 1,0% | 0,4% | 0,1% | 0,3% | 1,8% | ||||||
| (B) Factures exclues du (A) relatives à des dettes et créances litigieuses ou non comptabilisées | ||||||||||||
| Nombre de factures exclues | 0 | 743 | ||||||||||
| Montant total des factures exclues (préciser : TTC) |
0 | 1 407 167,51 | ||||||||||
| (C) Délais de paiement de référence utilisés (contractuel ou délai légal - article L.441-6 ou article L.443-1 du Code de Commerce) |
||||||||||||
| Délais de paiement utilisés pour le calcul des retards de paiement |
Délais contractuels : xx jours Délais légaux : 60 jours |
Délais contractuels : xx jours Délais légaux : 60 jours |
Les créances clients présentées ci-dessus intègrent également l'ensemble des créances cédées à l'Eurofactor.
| Date d'arrêté Durée de l'exercice (mois) |
31/03/2020 12 |
31/03/2019 12 |
31/03/2018 12 |
31/03/2017 12 |
31/03/2016 12 |
|---|---|---|---|---|---|
| Capital en fin d'exercice | |||||
| Capital social | 1 137 979 | 1 137 979 | 1 137 979 | 1 137 979 | 1 137 979 |
| Nombre d'actions ordinaires | 6 322 106 | 6 322 106 | 6 322 106 | 6 322 106 | 6 322 106 |
| Nombre maximum d'actions à créer par droit de souscription |
0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| Opérations et résultats | |||||
| Chiffre d'affaires hors taxes | 420 654 389 436 471 148 447 204 138 346 910 614 316 984 835 | ||||
| Résultat avant impôt, participation, dot. amortissements et provisions |
17 329 401 | 1 431 728 | 5 416 465 | 12 352 878 | 16 489 421 |
| Impôts sur les bénéfices | 1 603 756 | -783 255 | 251 728 | 2 768 063 | 5 346 506 |
| Participation des salariés | 778 082 | 29 | - | 652 679 | 1 336 418 |
| Dot. amortissements et provisions | 14 703 384 | 3 505 700 | 1 083 789 | 2 517 780 | 1 268 453 |
| Résultat net | 244 179 | -1 290 746 | 4 080 948 | 6 414 356 | 8 538 044 |
| Résultat distribué (1) (2) | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 161 053 |
| Résultat par action | |||||
| Résultat après impôt, participation, avant dot. amortissement, provisions |
2,36 | 0,35 | 0,82 | 1,41 | 1,55 |
| Résultat après impôt, participation, dot. amortissements, provisions |
0,04 | - 0,20 | 0,65 | 1,01 | 1,35 |
| Dividende attribué (2) | 0 | 0 | 0 | 0 | 0,50 |
| Personnel | |||||
| Effectif moyen des salariés | 671 | 763 | 485 | 444 | 443 |
| Masse salariale | 21 971 560 | 24 145 395 | 16 322 354 | 13 676 995 | 13 410 429 |
| Sommes versées en avantages sociaux (Sécurité Sociale, œuvres sociales,…) |
9 646 553 | 9 741 502 | 8 713 159 | 5 976 868 | 5 981 004 |
(1) Y compris le dividende revenant aux actions auto-détenues au jour de sa mise en paiement.
(2) Sous réserve de l'approbation de l'Assemblée Générale du 25 septembre 2020.
À ce jour, le Groupe n'a connaissance d'aucune procédure administrative, judiciaire ou d'arbitrage (y compris les procédures en cours ou menaces de procédure dont la société a connaissance), qui pourrait avoir ou a eu récemment des effets significatifs sur la situation financière ou la rentabilité de la société et/ou du Groupe au cours des douze derniers mois.
Les comptes de l'exercice clos le 31 mars 2020 de la société ont été arrêtés par le Directoire le 18 juin 2020 et revus par le Conseil de Surveillance le même jour.
Depuis cette date, il n'est survenu aucun changement significatif de la situation financière du Groupe.
Nous vous invitons toutefois à vous reporter à la section 10 du présent document.
Au 31 mars 2020, le capital social de la société s'élève à 1 137 979,08 euros, divisé en 6 322 106 actions de 0,18 euro de valeur nominale chacune, toutes de même catégorie et entièrement libérées.
Entre le 1er avril 2019 et le 31 mars 2020, le capital social de la société est resté inchangé.
Il est rappelé que les actions de la société sont admises, depuis le 2 septembre 2019, aux négociations sur le système multilatéral de négociation Euronext Growth en lieu et place du marché réglementé d'Euronext Paris (cf. communiqués de presse des 20 mai 2019 et 29 août 2019).
L'attention des actionnaires est attirée sur le fait que tant le droit des offres publiques que les obligations de déclarations de franchissements de seuils et les déclarations d'intention applicables aux sociétés admises à la négociation sur un marché réglementé demeurent applicables pendant une durée de trois ans à compter de l'admission des actions de la société sur le marché Euronext Growth (C. mon. fin. art. L.433-5 ; Règl. gén. AMF art. 231-1, 4°).
Code ISIN : FR0000075442.
Mnémonique : ALLDL.
Néant.
L'Assemblée Générale à caractère mixte de la société du 27 septembre 2019 a autorisé le Directoire, avec faculté de subdélégation dans les conditions législatives et règlementaires, pour une durée de dix-huit mois à compter de l'Assemblée Générale, à acquérir ou faire acquérir, dans les conditions prévues aux articles L.225-209 et suivants du Code de Commerce, des actions de la société.
Les principaux termes de cette autorisation sont les suivants :
Nombre maximal d'actions pouvant être achetées : 10% du nombre total d'actions composant le capital social et existant à la date de ces achats, étant précisé que (i) lorsque les actions seront acquises dans le but de favoriser la liquidité des actions de la société, le nombre d'actions pris en compte pour le calcul de cette limite correspondra au nombre d'actions achetées déduction faite du nombre d'actions revendues pendant la durée de l'autorisation et (ii) que le nombre d'actions susceptibles d'être achetées en vue de leur conservation et de leur remise ultérieure en paiement ou en échange dans le cadre d'une opération de fusion, de scission ou d'apport, ne pourra excéder 5% du capital social existant à la date de ces achats.
En application de l'article L.225-211 alinéa 2 du Code de Commerce, nous vous informons que la société a réalisé, au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020, les opérations suivantes sur ses propres actions :
| Nombre d'actions achetées au cours de l'exercice écoulé | 206 565 |
|---|---|
| Cours moyen d'achat des actions au titre de l'exercice écoulé | 8,61 euros |
| Frais de négociation | Néant |
| Nombre d'actions vendues au cours de l'exercice | 130 699 |
| Cours moyen des ventes des actions au titre de l'exercice écoulé | 9,11 euros |
| Nombre d'actions annulées au cours de l'exercice écoulé | Néant |
| Nombre d'actions utilisées au cours de l'exercice écoulé (dont 51 726 actions correspondant à la remise d'actions auto-détenues en vue de satisfaire aux obligations découlant du plan d'attribution gratuite d'actions de Monsieur Philippe Sauze (1)) |
64 726 |
| Nombre d'actions propres inscrites au nom de la société au 31 mars 2020(2) | 138 618 |
| Pourcentage de capital auto-détenu au 31 mars 2020 | 2,19% |
| Valeur nette comptable des actions propres au 31 mars 2020 (valeur au cours d'achat) | 1 639 547,92 euros |
| Valeur nominale des actions propres au 31 mars 2020 | 24 951,24 euros |
| Valeur de marché des actions propres au 31 mars 2020 (cours de 9 euros à cette date) | 1 247 562,00 euros |
| (1) Nous vous indiquons que conformément aux dispositions de l'article L.225-197-4 du Code de Commerce, un rapport spécial informe chaque année |
l'Assemblée Générale Ordinaire des opérations réalisées en vertu des dispositions prévues aux articles L.225-197-1 à L.225-197-3 dudit Code et figure en section 24 du présent document.
(2) Conformément à la recommandation AMF n°2015-10, nous vous indiquons que les frais de gestion liés à la détention de ces actions se sont élevés à la somme de 2 051,75 euros au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020.
La répartition par objectifs des actions propres au 31 mars 2020 est la suivante :
| Objectifs de rachat | Nombre d'actions |
|---|---|
| Assurer la liquidité des actions de la société dans le cadre d'un contrat de liquidité avec un prestataire de services d'investissement, conforme à une charte de déontologie reconnue par l'Autorité des Marchés Financiers dans le respect des pratiques de marché admises par l'Autorité des Marchés Financiers |
2 712 |
| Couverture des plans d'options d'achats d'actions réservés aux salariés ou autres allocations d'actions | 135 906 |
| dans les conditions prévues aux articles L.3332-1 et suivants et R.3332-4 du Code du Travail ou | (Concerne les |
| allocation à des salariés et/ou des mandataires sociaux de la société ou des sociétés visées à l'article | attributions |
| L.225-197-2 du Code de Commerce des actions de la société ou allocation d'actions dans le cadre | du 29 juin 2017 et |
| de la participation des salariés aux fruits de l'expansion | du 23 février 2018)(1) |
| Annulation de tout ou partie des actions acquises, par voie de réduction de capital | 0 |
| Conservation des titres acquis et leur remise ultérieure en paiement ou à l'échange dans le cadre d'opérations financières ou de croissance externe, conformément à la réglementation applicable |
0 |
| Total | 138 618 |
(1) Nous vous indiquons que conformément aux dispositions de l'article L.225-197-4 du Code de Commerce, un rapport spécial informe chaque année l'Assemblée Générale Ordinaire des opérations réalisées en vertu des dispositions prévues aux articles L.225-197-1 à L.225-197-3 dudit Code et figure en section 24 du présent document.
Nous vous indiquons que la société n'a procédé à l'émission d'aucune valeur mobilière convertible, échangeable ou assortie de bons de souscription.
La société n'a également pas procédé à des attributions gratuites d'actions au profit de salariés de la société, visées aux articles L.225-197-1 et suivants du Code de Commerce. Nous vous rappelons, en revanche, qu'un rapport spécial informe chaque année l'Assemblée Générale Ordinaire des opérations réalisées en vertu des dispositions prévues aux articles L.225-197-1 à L.225-197-3 dudit Code et figure en section 24 du présent document.
Les résolutions d'émission approuvées par les Assemblées Générales du 28 septembre 2018 et du 27 septembre 2019 sont synthétisées en section 14.5 « Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise ».
À la connaissance de la société, il n'existe aucune option ni aucun accord conditionnel ou inconditionnel prévoyant la mise en place d'une telle option, sur le capital de la société.
Au cours des trois derniers exercices, le capital social de la société est demeuré inchangé.
À la connaissance de la société, le capital de cette dernière fait l'objet des nantissements suivants à la date de dépôt du présent document :
| Nom de l'actionnaire inscrit au nominatif pur |
Bénéficiaire | Date de départ du nantissement |
Date d'échéance du nantissement |
Condition de levée du nantissement |
Nombre d'actions nanties de l'émetteur |
% du capital nanti de l'émetteur |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Villemonte de la clergerie Laurent |
Banque Rothschild Martin Maurel |
28/03/2014 | Indéterminée | Remboursement concours bancaires |
28 030 | 0,44 |
| Villemonte de la clergerie Laurent |
Banque Rothschild Martin Maurel |
24/11/2017 | Indéterminée | Remboursement concours bancaires |
309 470 | 4,89 |
| Villemonte de la clergerie Laurent |
Banque Palatine |
09/06/2017 | 09/06/2037 | Remboursement prêt |
95 000 | 1,50 |
| Villemonte de la clergerie Laurent |
Banque Palatine |
06/03/2018 | 12/06/2037 | Remboursement prêt |
75 000 | 1,19 |
| Villemonte de la clergerie Olivier |
Banque Palatine |
12/12/2016 | 12/12/2031 | Remboursement prêt |
38 000 | 0,60 |
| Villemonte de la clergerie Caroline |
Banque Rothschild Martin Maurel |
31/01/2012 | 16/02/2024 | Remboursement prêt |
27 019 | 0,43 |
| Villemonte de la clergerie Caroline |
Banque Crédit Agricole Centre Est |
27/12/2016 | 05/01/2029 | Remboursement prêt |
15 124 | 0,24 |
| Prieur Marc | Banque Rothschild Martin Maurel |
18/06/2015 | 20/07/2023 | Remboursement prêt |
53 864 | 0,85 |
| Prieur Marc | Banque Rothschild Martin Maurel |
24/05/2018 | 20/07/2023 | Remboursement prêt |
30 000 | 0,47 |
Les statuts constitutifs et à jour de la société immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Lyon sous le numéro 403 554 181 sont librement accessibles auprès du Greffe du Tribunal de commerce de Lyon.
L'attention des actionnaires est attirée sur le fait qu'une proposition de mise en harmonie de certains articles des statuts de la société tenant compte (i) de l'admission aux négociations des actions de la société sur le système multilatéral de négociation organisé Euronext Growth au lieu et place du marché réglementé d'Euronext Paris et (ii) des nouveautés législatives et réglementaires sera soumise à leur approbation lors de l'Assemblée Générale annuelle du 25 septembre 2020.
La société a pour objet :
Toute personne physique ou morale, agissant seule ou de concert, qui vient à posséder, de quelque manière que ce soit, un nombre d'actions représentant une fraction égale à 2% du capital ou des droits de vote aux Assemblées Générales, ou tout multiple de ce pourcentage, doit informer la société, dans un délai de 15 jours à compter du franchissement de ce seuil de participation, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception adressée au siège social, du nombre total d'actions et de droits de vote attachés qu'elle possède ainsi que, le cas échéant, du nombre de titres donnant accès à terme au capital et les droits de vote qui y sont attachés.
Cette obligation s'applique dans les mêmes conditions que celles prévues ci-dessus, chaque fois que la fraction du capital ou des droits de vote possédée devient inférieure à l'un des seuils prévus.
En cas de non-respect des stipulations ci-dessus, les actions excédant le seuil donnant lieu à déclaration sont privées de droits de vote pour toute Assemblée d'actionnaires qui se tiendrait jusqu'à l'expiration d'un délai de 2 ans suivant la date de régularisation de la notification. Dans les mêmes conditions, les droits de vote attachés à ces actions et qui n'auront pas été régulièrement déclarés ne pourront être exercés ou délégués par l'actionnaire défaillant.
Sauf en cas de franchissement de l'un des seuils visés à l'article L.233-7 du Code de Commerce, cette sanction ne sera appliquée que sur demande consignée dans un procès-verbal de l'Assemblée Générale, d'un ou plusieurs actionnaires possédant, ensemble ou séparément, 5% au moins du capital social et/ou des droits de vote de la société.
Le respect de cette obligation de déclarer le franchissement du seuil de 2% du capital ou des droits de vote aux Assemblées Générales, ou tout multiple de ce pourcentage, ne dispense en aucun cas les actionnaires, personnes physiques ou morales, du respect des dispositions légales prévoyant une obligation de déclaration auprès de la société en cas de détention de plus du vingtième, du dixième, des trois vingtièmes, du cinquième, du quart, des trois dixièmes, du tiers, de la moitié, des deux tiers, des dix-huit vingtièmes ou des dix-neuf vingtièmes du capital social ou des droits de vote de la société, conformément aux dispositions des articles L.233-7 et suivants du Code de Commerce.
Sous réserve du vote favorable des actionnaires, la rédaction du nouvel article alinéa 12.6 de l'article 12 « Droit et obligations attachés aux actions » serait la suivante :
« Toute personne physique ou morale, agissant seule ou de concert, qui vient à posséder, de quelque manière que ce soit, directement ou indirectement, un nombre d'actions représentant une fraction égale à cinq (5) % du capital ou des droits de vote, ou tout multiple de ce pourcentage, doit communiquer à la société les informations visées à l'article L.233-7, I du Code de Commerce (notamment le nombre total d'actions ou de droits de vote détenus par l'intéressé ou assimilés par l'effet de l'article L.233-9 du Code de Commerce), au plus tard avant la clôture des négociations du 4ème jour de négociation suivant le jour du franchissement du seuil de participation, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception, ou par tout autre moyen
équivalent pour les personnes résidant hors de France, adressée au siège social.
Cette obligation s'applique dans les mêmes conditions que celles prévues ci-dessus, chaque fois que la fraction du capital ou des droits de vote possédée devient inférieure à l'un des seuils prévus.
En cas de non-respect des stipulations ci-dessus et sur demande, consignée dans le procès-verbal de l'Assemblée Générale concernée, d'un ou plusieurs actionnaires détenant 5% au moins du capital ou des droits de vote de la société, les actions excédant la fraction qui n'a pas été régulièrement déclarée sont privées de droit de vote pour toute Assemblée d'actionnaires qui se tiendrait jusqu'à l'expiration d'un délai de deux ans suivant la date de régularisation de la notification. Dans les mêmes conditions, les droits de vote attachés à ces actions et qui n'ont pas été régulièrement déclarés ne peuvent être exercés ou délégués par l'actionnaire défaillant.
Le respect de cette obligation statutaire de déclaration de franchissement de seuils ne dispense en aucun cas, toute personne physique ou morale, du respect des obligations déclaratives prévues par les dispositions législatives et réglementaires (y compris celles du Règlement général de l'Autorité des Marchés Financiers et des règles de marché en vigueur). »
Un droit de vote double de celui conféré aux autres actions, eu égard à la quotité de capital qu'elles représentent, est attribué à toutes les actions entièrement libérées pour lesquelles il est justifié d'une inscription nominative depuis deux ans au moins, au nom du même actionnaire ; la durée d'inscription sous la forme nominative, antérieure à la date de l'Assemblée Générale Extraordinaire instituant ce droit étant prise en compte.
En cas d'augmentation de capital par incorporation de bénéfices, réserves, primes ou provisions disponibles, le droit de vote double est conféré dès leur émission aux actions nominatives attribuées gratuitement à un actionnaire à raison d'actions anciennes pour lesquelles il bénéficie de ce droit.
Toute action convertie au porteur ou transférée en propriété perd le droit de vote double. Néanmoins, le transfert par suite de succession, de liquidation de communauté de biens entre époux ou de donation entre vifs au profit d'un conjoint ou d'un parent au degré successible, ne fait pas perdre le droit acquis et n'interrompt pas le délai de deux ans.
La fusion ou la scission de la société est sans effet sur le droit de vote double qui peut être exercé au sein de la (des) société(s) bénéficiaire(s), si les statuts de celle(s)-ci l'ont institué.
Nous vous résumons ci-dessous (i) les contrats importants (autre que les contrats conclus dans le cadre normal des affaires) pour les deux années précédant immédiatement la publication du présent document et (ii) tout autre contrat (autre que les contrats conclus dans le cadre normal des affaires) contenant des dispositions conférant à un membre quelconque du Groupe une obligation ou un droit important pour l'ensemble du Groupe, auxquels la société ou tout autre membre du Groupe est partie.
Dans le cadre de l'acquisition de Materiel.net, la société a conclu un contrat de crédit en date du 31 mars 2016 tel que modifié par avenants.
Les principales caractéristiques dudit contrat de crédit sont développées dans l'annexe aux comptes consolidés de l'exercice clos le 31 mars 2020 sous la note 3.13.
En vue de permettre au Groupe de disposer de nouveaux locaux adaptés à son développement, la société CAMPUS 2017 (membre du Groupe), filiale dédiée à l'immobilier du Groupe, a conclu le 30 novembre 2015 un contrat de créditbail immobilier et portant sur le siège social d'une partie du Groupe sis 2, rue des Érables, Limonest (69760).
Nous vous rappelons que par décision du Conseil de Surveillance de la société en date du 29 juin 2017, il a été décidé le déplacement du siège social de la société du 18, chemin des Cuers, CS40207, 69574 Dardilly cedex, au 2, rue des Érables, CS 21035, 69578 Limonest cedex, à compter du 1er septembre 2017.
Conformément à l'article L.225-65 du Code de Commerce, l'Assemblée Générale Ordinaire du 29 septembre 2017, sous sa neuvième résolution, a ratifié le déplacement du siège social.
Suite à la cession du siège social en juillet 2019, le Groupe a soldé le contrat de crédit-bail immobilier.
Les principales caractéristiques dudit contrat de crédit-bail immobilier sont développées dans l'annexe aux comptes consolidés de l'exercice clos le 31 mars 2020 sous la note 3.13.
Ce contrat de naming de l'équipe professionnelle sous l'appellation LDLC ASVEL traduit une volonté commune de la société et de l'ASVEL d'afficher des ambitions élevées à l'échelle européenne et internationale. Cet engagement sans précédent dans le basket français, d'une durée de dix ans, est le signe d'une conception moderne, tant sur le plan humain qu'économique (cf. communiqué de presse du 11 septembre 2018).
Déjà partenaire depuis 2012 de LDLC ASVEL, le leader du e-commerce informatique et High-Tech en France réaffirme son soutien au basket de la métropole de Lyon. Pour une durée de 4 ans, LDLC.com marie son patronyme à celui de l'équipe de Lyon ASVEL Féminin, devenant LDLC ASVEL Féminin.
Depuis plus de 6 ans, LDLC.com est engagé aux côtés de l'équipe masculine de l'ASVEL Basket. Un partenariat renforcé par le naming jusqu'en 2028. Aujourd'hui, le leader du High-Tech créé par Laurent de la Clergerie décide d'associer son nom à l'équipe féminine, pour le plus grand bonheur du Président Tony Parker (cf. communiqué de presse du 2 octobre 2019 et dossier de presse du même jour).
Le rapprochement entre l'Olympique Lyonnais et Groupe LDLC, deux marques de référence déjà associées autour de l'équipe LDLC ASVEL, démontre un réel engagement stratégique inédit pour l'e-sport français et dotera la nouvelle équipe d'atouts majeurs.
OL Groupe apportera notamment son savoir-faire commercial pour le développement des partenariats et de la performance de l'équipe, ainsi que le relais de l'actualité e-sport au plus grand nombre via ses médias club.
Ce partenariat se matérialise par le changement immédiat de l'appellation de l'équipe qui devient LDLC OL (cf. communiqué de presse du 8 janvier 2020).
Pendant la durée de validité du présent document d'enregistrement universel, les documents suivants peuvent, le cas échéant, être consultés sur le site Internet de la société (www. groupe-ldlc.com) :
• la dernière version à jour des statuts de la société ; et
222
• tous rapports, courriers et autres documents, évaluations et déclarations établis par un expert à la demande de la société dont une partie est incluse dans le présent document d'enregistrement.
Société cotée sur un marché régulé mais non réglementé (Euronext Growth), le Groupe LDLC est, avant tout, une entreprise familiale qui souhaite contribuer aux enjeux mondiaux et aux défis du développement durable avec une vision pragmatique.
Le Groupe LDLC s'est affirmé comme l'un des pionniers du e-commerce en France lors de sa création en 1996.
Initialement créé sur la distribution de produits High-Tech, le Groupe a diversifié ses activités dans des domaines complémentaires (l'informatique, le High-Tech, le gaming, les médias) ou sur des marchés connexes, comme la puériculture, ou encore plus récemment le marché de l'éducation. Le Groupe LDLC fonde son modèle d'affaires sur celui de la distribution.
Un réseau de 51 boutiques LDLC.com, au 31 mars 2020, permet d'apporter un conseil direct aux consommateurs, mais aussi de nouveaux services de proximité comme la réparation, la sauvegarde ou l'entretien.
L'offre du Groupe LDLC peut être classée en trois catégories, les activités dédiées aux particuliers (BtoC), les activités dédiées aux professionnels (BtoB) et les activités annexes. Le Groupe LDLC exerce son activité principalement en France, mais aussi dans les zones francophones proches comme la Belgique, le Luxembourg, la Suisse et l'Espagne.
LDLC.com est le leader du High-Tech online (estimation management). Il propose un catalogue de plus de 50 000 références parmi plus de 1 700 marques, dont la marque LDLC pour certains produits, dans les univers de l'informatique, l'audio, la téléphonie, l'image, etc.
Materiel.net a été créé en 1999 et a rejoint le Groupe LDLC en 2016. Il est également un spécialiste de la distribution online de produits High-Tech.
L'Armoire de Bébé est un e-shop lancé en 2015 spécialisé dans la puériculture, avec une première boutique ouverte en 2018.
Shop.Hardware.fr propose des ordinateurs fixes et portables, des composants (processeurs, mémoire, etc.), des périphériques (écrans, imprimantes...) ainsi que de quoi mettre en place son réseau domestique (modems, CPL...).
La position de spécialiste du Groupe LDLC lui a permis également, à la différence de nombre de ses compétiteurs notamment généralistes, de mettre en place un site et des services dédiés aux professionnels.
De l'équipement informatique le plus simple jusqu'au plus spécifique, le site www.ldlc.pro est devenu rapidement un partenaire proche des entreprises, des administrations, de l'enseignement, des collectivités et des revendeurs.
DLP Connect est, dans le domaine des professionnels, un atout supplémentaire pour permettre aux entreprises de réaliser leurs installations et intégrations électriques et électroniques (électricité, réseau informatique, vidéosurveillance, domotique).
Enfin, BIMP Apple Premium Reseller offre des solutions informatiques pour particuliers et professionnels, sous macOS, Windows et plateformes mobiles.
Anikop est une société éditrice de logiciels de gestion d'entreprise. Numéro 1 depuis plus de 10 ans sur le marché de la gestion des titres prépayés et chèques (avec sa solution Titres Prépayés), Anikop propose également diverses solutions : affichage dynamique, gestion de caisse, CRM et ERP, gestion de projets et gestion de missions comptables.
Afin de mieux cerner les attentes, le Groupe attache une attention particulière au dialogue avec l'ensemble de ses parties prenantes.
Par son activité de négoce, le Groupe entretient des relations étroites avec ses clients et ses fournisseurs via ses collaborateurs. Il a donc développé de nombreux espaces et outils de dialogue avec chacun d'eux.
Le service relation clients, les boutiques et le site web (via les commentaires clients) www.ldlc.com sont parmi les principaux outils de dialogue avec les consommateurs. La réactivité et le respect des délais d'envoi des commandes clients sont essentiels pour notre activité et constituent notre caractère différenciant.
En 2019, Viséo Customer Insights, organisateur de l'élection du « Service Client de l'Année », a testé la qualité et la réactivité du service relation clients du Groupe LDLC. 225 contacts, par mail, téléphone, Internet et réseaux sociaux, qui ont valu à LDLC.com la note moyenne de 19,07/20, le classant n°1 de la catégorie « Distribution de produits techniques » pour la 6ème année consécutive. Ainsi, les efforts du Groupe sur la relation clients ont été récompensés une nouvelle fois en étant élu « Service Client de l'Année 2020(1) ».
60 conseillers accompagnent les clients du site de e-commerce dans l'avant et l'après-vente. « L'excellence de notre relation client est dans notre ADN depuis nos débuts. Être élu Service Client de l'Année 2020 pour la sixième fois consécutive est une fierté sans limites pour nos équipes qui cherchent toujours à faire mieux pour nos clients. Cette 6ème récompense est le reflet de leur implication constante. », commente Laurent de la Clergerie, Président du Groupe LDLC.
L'organisation d'événements spécialisés à destination des professionnels comme « Tech Your Time » permet d'échanger sur les grandes tendances du moment et celles qui animeront le monde de demain entre acteurs du BtoB. De même, les rencontres à destination des architectes, organisées dans plusieurs villes de France, fin 2019, par la branche BtoB de BIMP ont permis aux acteurs du secteur de partager sur les nouvelles réalités et les nouveaux outils des métiers de la construction. Les négociations annuelles avec les fournisseurs sont un moment privilégié pour leur transmettre les attentes des consommateurs et trouver ensemble de nouvelles solutions. Les afterworks avec les collaborateurs sont aussi autant d'occasions de dialoguer dans une ambiance détendue. La politique RH favorise la prise d'initiative et le collaboratif. Depuis 2018, le réseau professionnel Yammer a été déployé au sein du Groupe pour faciliter les échanges tant professionnels que personnels.
De plus, la présence des équipes LDLC dans différentes manifestations comme les salons professionnels ou les forums métiers permet de dialoguer avec différentes parties prenantes.
Enfin, la volonté du Président Laurent de la Clergerie d'être à l'écoute des équipes l'amène, depuis deux ans, à organiser des rencontres en petit groupe permettant aux collaborateurs d'avoir un temps d'échange direct avec lui.
(1) Catégorie Distribution de produits techniques - Étude BVA Group - Viséo CI - mai à juillet 2019. Plus d'infos sur www.escda.fr
Pour plus d'informations, se reporter au chapitre 5.
Afin de créer durablement de la valeur, le Groupe fonde sa stratégie autour de 8 points clés :
En 2019, un groupe de travail composé des personnes en charge de la politique RSE du Groupe LDLC s'est réuni pour mesurer la pertinence des catégories d'informations présentées au III. de l'article 1 de l'ordonnance n° 2017- 1180 du 19 juillet 2017 et les thématiques présentées au II. de l'article 2 du décret d'application n° 2017-1265 du 9 août 2017, au regard des activités du Groupe LDLC. Les réflexions ont également pris en compte le modèle d'affaires, les principales parties prenantes, les produits et services, ainsi que le contexte législatif et réglementaire.
Cette démarche a permis d'identifier les principaux risques et enjeux extra-financiers auxquels le Groupe est susceptible d'être confronté à travers ses activités, qu'ils aient un impact d'image ou de réputation, ou un impact humain, ou opérationnel, ou financier ou environnemental.
À partir de ce classement, et de ses propres réflexions, le groupe de travail a sélectionné les plus pertinents et significatifs pour établir cette déclaration, et a sollicité toutes les personnes du Groupe concernées par ces risques et enjeux extra-financiers pour rédiger la présente déclaration.
En décembre 2019, le pilote du projet Déclaration de Performance Extra-Financière (DPEF) a sollicité les différents contributeurs, ainsi que la Direction, pour rebalayer les risques et enjeux extra-financiers du Groupe LDLC. Il ressort que la lutte contre l'évasion fiscale ne ressort finalement pas comme un risque prépondérant pour le Groupe, et qu'il convient de ne plus y associer de KPI, qui n'apporte pas d'information pertinente.
C'est donc la liste suivante qui a été validée pour l'exercice 2019/2020 :
| Enjeux | Risques associés |
|---|---|
| La sécurité des collaborateurs | Santé au travail des collaborateurs Conformité légale et réglementaire Image et réputation de l'entreprise |
| La recherche d'une qualité de vie au travail | Environnement de travail inadapté Déséquilibre entre la vie professionnelle et la vie privée Désorganisation de l'entreprise et perte de performance Perte d'attractivité Image et réputation de l'entreprise |
| La lutte contre les discriminations : • Intégration et handicap • Égalité professionnelle |
Risque d'image et de réputation de l'entreprise, associé à l'impact financier sur la contribution Risque humain de non-attractivité de l'entreprise Risque humain de déséquilibre social interne |
| La montée en compétences des équipes | Perte de savoir-faire clé Perte d'opportunité d'innovation Perte d'opportunité de rétention des collaborateurs |
| Enjeux | Risques associés |
|---|---|
| La gestion responsable des déchets | Augmentation des coûts de traitement des déchets Conformité légale et réglementaire Image et réputation de l'entreprise |
| La maîtrise des consommations d'énergie | Augmentation des coûts Contexte légal et réglementaire contraignant (fiscalité carbone) |
| Enjeux | Risques associés |
|---|---|
| La sécurité des consommateurs | Santé et sécurité des clients Non-respect des réglementations par les fournisseurs Image et réputation de l'entreprise Impact financier |
| La participation à l'essor économique des territoires |
Risques d'image ou de réputation et humain Non-attractivité de l'entreprise |
| Enjeux | Risques associés |
|---|---|
| La lutte contre la corruption | Risque éthique Conformité légale et réglementaire Image et réputation de l'entreprise |
| Le respect du Règlement général sur la protection des données |
Conformité légale et réglementaire Image et réputation de l'entreprise en cas de non-protection des données personnelles |
| Les incidents informatiques | Intrusions informatiques, tentatives de phishing conduisant à des pertes financières Image et réputation de l'entreprise |
Groupe LDLC est engagé dans le respect des droits de l'Homme et la lutte contre l'évasion fiscale, et n'a pas considéré ces thématiques comme des risques pour la société.
Les activités du Groupe relèvent du négoce et de la distribution de produits. Celles-ci comprennent notamment la réception, le stockage, le conditionnement et l'expédition de biens manufacturés, l'assemblage de composants informatiques, ainsi que l'ensemble des services associés à l'activité de vente en ligne. À ce titre, le Groupe n'est engagé directement dans aucune activité industrielle de transformation de matière ou de production. Il n'y a généralement pas d'activité de nuit sur les sites du Groupe et les opérations du Groupe sont réalisées à l'intérieur de ses bâtiments.
Les locaux occupés par le Groupe sont soit des bâtiments de bureaux, soit des boutiques commerciales, soit des entrepôts de stockage, implantés dans des zones urbaines ou des zones logistiques existantes. Les implantations du Groupe sont situées en France et en Espagne.
Pour ces raisons, sur les domaines d'information prévus au II de l'article R.225-105 du Code de Commerce (informations sociales, informations sociétales et informations environnementales), ainsi qu'au III de l'article L.225-102-1 du Code de Commerce spécifique pour les sociétés cotées, le Groupe n'a pas identifié de risque ou d'enjeu spécifique en lien avec ses activités ou implantations pour les sujets suivants :
Compte tenu des activités du Groupe, les enjeux liés aux ressources humaines sont prépondérants dans la politique RSE du Groupe LDLC.
Les enjeux extra-financiers majeurs de la responsabilité sociale ont été regroupés autour des 4 thématiques suivantes et Groupe LDLC mobilise son énergie afin d'y répondre par des actions très concrètes :
La politique Santé/Sécurité au travail menée par le Groupe LDLC s'emploie à veiller aux bonnes conditions de travail de l'ensemble des salariés. L'objectif est de poursuivre leur amélioration pour diminuer la pénibilité et de renforcer la sensibilisation et la formation des salariés afin de prévenir l'exposition aux risques.
La mission du Groupe LDLC est d'accompagner les équipes tant individuellement que collectivement pour gagner en compétences et en performance afin de s'inscrire dans la stratégie globale de l'entreprise ; l'humain étant placé au centre de toutes les décisions.
La maîtrise des risques professionnels dans l'entreprise implique la mise à disposition d'indicateurs de santé et sécurité au travail permettant de connaître quantitativement l'importance des problèmes liés aux conditions de travail et aux expositions professionnelles.
L'objectif principal est de fournir à l'ensemble des acteurs des informations synthétiques quant à l'amélioration de la connaissance des risques professionnels et à celle de leur prise en charge.
Nous nous engageons à ce que chaque année la part des risques significatifs et critiques traités soit en constante augmentation de manière à diminuer la fréquence et la gravité des accidents exposant nos salariés aux risques principaux.
Cette politique s'appuie sur le document unique d'évaluation des risques qui permet d'identifier les points sensibles pour chaque site et d'axer des plans d'actions personnalisés en fonction de leurs spécificités et des besoins identifiés. Ce document est mis à jour une fois par an avec le CSE.
Les salariés travaillant dans les entrepôts sont dotés d'EPI (équipements de protection individuelle) pour éviter les blessures. En amont, des mesures de prévention sont appliquées pour limiter le port d'EPI. Par exemple, un système de ventilation des conteneurs permet de limiter l'exposition au risque chimique dès leur ouverture pour procéder au déchargement. Ainsi, le Groupe ne comptabilise aucune maladie professionnelle à ce jour.
Toujours dans une visée préventive, les équipes sont formées au « Comportement physique au travail ». Ces formations sont délivrées par un organisme de formation professionnelle spécialisé dans les gestes et postures et la physiologie humaine. Au-delà de la sensibilisation, les salariés bénéficient ainsi d'un éclairage sur le corps humain. Lancées tout d'abord sur les sites logistiques, ces actions préventives ont été étendues sur Limonest et Nantes avec l'élaboration d'un guide sur le bon positionnement au poste informatique. Ce dernier a été construit en collaboration avec la médecine du travail et les membres du CSE, avec notamment des exemples d'étirements pouvant être réalisés au poste informatique.
Depuis 2017, des entretiens individuels ont été menés au sein d'un service du site de Saint-Quentin-Fallavier dans le cadre d'une étude des risques psycho-sociaux. Cette étude a été poursuivie en 2018 et en 2019 à Limonest, à la boutique de Vaise et à Nantes afin d'aboutir à un plan d'actions concret. L'objectif étant que l'ensemble des services soit concerné d'ici 2020.
Les salariés de Saint-Quentin bénéficient, en parallèle, d'une permanence avec une assistante sociale et une assistante psychologique, qui peuvent également être contactées par téléphone par les équipes du siège et des boutiques. BIMP a également fait appel à ces assistances ponctuellement.
Dans les sites logistiques, les efforts portent particulièrement sur la réduction de la manutention manuelle des charges : des matériels d'aide à la manutention de type transpalettes électriques, à haute levée, sont déployés. Des postes réglables en hauteur électriquement permettant aux personnes de travailler debout ou assis sont installés à raison d'un service par an. Fin 2018, 23 postes ont été changés au service SAV et des doubles écrans neufs ont été installés. La réimplantation de ce service est aussi l'occasion de repenser
la zone et les flux de matériels pour augmenter l'espace de travail et limiter les manutentions.
Dans les boutiques, les deux aspects manutention (pour le stockage du matériel) et ergonomie des postes de travail (aux caisses notamment) sont considérés.
Au siège, l'ergonomie et l'aménagement des postes de travail sont au cœur des actions. Avant l'emménagement sur le Campus de Limonest et le bâtiment Orizon, le CHSCT a réalisé un audit dans la totalité des services pour connaître les attentes des salariés. L'ensemble des postes de travail a été renouvelé et un ou deux postes réglables en hauteur ont été acquis pour chaque service, afin d'augmenter le confort de travail des personnes de grande ou petite taille. Les sièges ont été remplacés par des fauteuils de « gamers », qui reprennent la forme baquet d'un siège de voiture, avec de nombreux réglages possibles (assise, lombaires, appuietête…). En 2018, 99% du parc « écrans » a été changé afin de remplacer tous les écrans de petite taille par des écrans d'au moins 22 pouces.
Pour prévenir le risque d'accidents du travail liés au port de charge et à la manutention – identifiés comme les deux principaux facteurs de risque au sein du Groupe -, des actions sont mises en place depuis plusieurs années. Par exemple, en 2017 sur l'entrepôt logistique de Saint-Quentin-Fallavier, des salariés formés à la méthode Stimcore (consistant à s'échauffer musculairement avant les prises de poste) animaient une séance matinale quotidiennement. Depuis 2018, chaque service de la logistique parvient à fonctionner de façon autonome ; ces séances peuvent être animées par un manager ou un salarié par roulement ou encore une personne en charge de l'échauffement.
Par ailleurs, un ostéopathe propose des massages gratuits sur tous les sites logistiques et au siège sur rendez-vous. Ainsi que des massages assis dans la salle de détente du Campus de Limonest.
• Nombre d'AT avec arrêts : 24 en 2019 (18 en 2018 contre 22 en 2017).
Taux de fréquence/taux de gravité 2019
| Groupe LDLC | ||||
|---|---|---|---|---|
| Logistique | Bureau | Boutiques | Filiales | |
| Taux de fréquence (Tf) | 32,47 | 2,90 | 12,54 | 25,04 |
| Taux de gravité (Tg) | 0,29 | 0,04 | 0,66 | 0,29 |
La Politique Santé et Sécurité au Travail est mise en œuvre dans une vision élargie, englobant la qualité de vie au travail et la recherche du bien-être des équipes.
La société Groupe LDLC, forte de ses valeurs humaines, a construit son développement en plaçant l'Homme au cœur de sa stratégie. Elle s'engage dans une amélioration constante des conditions de travail de ses salariés, consciente que sa performance repose à la fois sur des relations collectives constructrices et innovantes et sur une réelle attention portée aux salariés afin d'allier bien-être au travail et performance collective.
Les bâtiments du Groupe LDLC à Limonest sont conçus pour offrir un cadre de travail hors normes, dans l'esprit start-up. Ils font la part belle à la lumière naturelle et à la vue sur des espaces verts arborés grâce à de grandes surfaces vitrées. Le hub végétalisé, en forme de dôme, peut accueillir les salariés pour des réunions ou des moments de détente conviviaux. Pour absorber le bruit, le Campus est doté de dalles spéciales au plafond et l'open-space de la relation clients est aménagé avec des postes en forme de U plus favorables à l'isolation phonique. Les fenêtres sont équipées de double, voire triple vitrage, et de stores intégrés pour celles qui sont exposées au soleil.
L'année 2018 a été marquée par les travaux de réaménagement et d'embellissement sur le site de Grandchamps. L'année 2019 a vu le regroupement sur le site de Grandchamps des équipes commerciales qui étaient basées à Orvault.
La quasi-totalité des services a déménagé (plusieurs fois pour certains) sans pour autant interrompre leur activité. L'ensemble du mobilier et de la décoration a été remplacé afin de gagner en confort et en fonctionnalité, et de rationaliser les espaces (nouveaux sièges, bureaux, déplacement des services, etc.).
Des achats d'équipements ont aussi été réalisés dans l'entrepôt, avec notamment :
Le Groupe LDLC franchissant une étape dans la nécessaire adaptation de ses modes de travail à l'ère digitale, l'emménagement sur le Campus de Limonest en 2017 et au sein du bâtiment Orizon (situé en face) début 2019, a permis de réunir l'ensemble des filiales et repenser l'aménagement des locaux. Ce changement a conduit à impulser de nouvelles dynamiques visant à travailler autrement, en repensant notamment les espaces de vie au travail, l'organisation et, ainsi, stimuler la créativité, créer des rencontres, favoriser les synergies et s'épanouir.
C'est dans cette logique que des espaces de coworking ont été mis en place dans les trois bâtiments (Nantes et Lyon).
Au sein du Campus, le dôme végétalisé accueille un grand réfectoire décoré dans un esprit bistrot, ouvert aux salariés comme aux étudiants de L'École LDLC. Il comprend également une salle de sport (gérée par la société The Corporate Gym) accessible selon les jours le matin, le midi et/ou le soir, et ce à un tarif mensuel très abordable. Des salles de détente pour des temps informels et des équipements de type baby-foot, ping-pong et pétanque sont à disposition. Le site de Saint-Quentin-Fallavier est aussi doté des mêmes équipements de détente.
« Ma Conciergerie », ouverte chaque matin sur le Campus dans le bâtiment des bureaux, propose des services de dépôt de pain frais, réception de colis personnels, accessoires de dépannage, pressing, etc. Ces services, destinés à améliorer le confort de vie et à générer du gain de temps au quotidien, sont aussi déployés à Saint-Quentin-Fallavier depuis janvier 2018.
Au sein du nouveau bâtiment Orizon, un espace a été instauré au rez-de-chaussée avec des bornes d'arcade favorisant ainsi la détente des équipes.
Le Groupe favorise les rencontres informelles et les moments conviviaux au sein et entre les équipes, dont la moyenne d'âge est jeune (37,69 ans). Cela permet d'entretenir un esprit d'appartenance, de faciliter les liens entre les personnes et leur connaissance mutuelle des métiers de l'autre, et de nourrir une dynamique d'intelligence collaborative, la Direction étant très à l'écoute des idées proposées par les collaborateurs. C'est d'ailleurs en ce sens que, tous les jeudis soir, un afterwork est organisé au siège de Limonest, en présence, régulièrement, de Laurent de la Clergerie, le Président du Groupe. Cette pratique a été étendue à Saint-Quentin-Fallavier en avril 2018.
Équipe de football indoor, tournoi de badminton ou de squash, participation à des trails ou running : de nombreuses actions lancées à l'initiative des salariés voient ainsi le jour au sein du Groupe LDLC. Par exemple, les équipes achats, Anikop marketing, contact clients, comptabilité et Pro1 s'affrontent sur le terrain pour remporter le Challenge Cup LDLC de football. Un tournoi de foot inter-services pour lequel Anikop a d'ailleurs développé une appli dédiée.
Le Groupe LDLC reconnaît l'importance de l'équilibre entre activité professionnelle et vie personnelle, gage d'une meilleure qualité de vie et d'une meilleure performance de l'entreprise.
Il a ainsi été convenu, lors des NAO 2018 avec les Organisations Syndicales, de mener des groupes de travail par service afin de rendre autonomes les salariés dans l'organisation de la gestion de leur temps sous condition de ne pas perturber le fonctionnement global du service et de la société en général.
L'objectif de cette mesure est de rendre autonomes les salariés dans leur organisation du travail en tenant compte de contraintes personnelles, mais dans le respect des impératifs collectifs de chaque service, de l'entreprise et des règles de fonctionnement.
Ainsi, en 2018, les équipes ont travaillé collectivement afin de mettre en place des aménagements horaires à Lyon et à Nantes. Cette démarche d'autonomie et de responsabilisation a été étendue sur Saint-Quentin en 2019 au sujet de la répartition des prises de pause.
Par ailleurs, le Groupe LDLC s'engage à promouvoir une culture et une organisation favorisant cet équilibre. Dans un contexte de croissance et de rapide évolution technologique,
un accord sur la QVT (Qualité de Vie au Travail) et le droit à la déconnexion a été signé en 2017 avec les Organisations Syndicales rappelant à chacun, de façon pragmatique, les bonnes pratiques à respecter. De plus, les ressources humaines sensibilisent régulièrement les salariés sur ce droit à la déconnexion.
Le développement des Technologies de l'Information et des Moyens de Communication à distance a modifié de façon majeure les limites tant temporelles que spatiales qui organisaient la vie professionnelle et la vie personnelle. Elles constituent une opportunité de repenser les équilibres des temps de vie et de favoriser, autant que l'organisation du travail le permet, la conciliation entre la vie personnelle et la vie professionnelle des salariés de l'entreprise. C'est dans ce cadre que le Groupe LDLC a convenu d'expérimenter le télétravail. Un accord d'une durée de 3 ans a donc été signé avec les partenaires sociaux.
* Le KPI a été modifié cette année. KPI 2018/2019 : 0,69 jour d'absences injustifiées par salarié.
Le Groupe LDLC poursuit sa volonté de devenir une entreprise « handi-accueillante ». Dans ce cadre, il est important d'intégrer au mieux le personnel afin de partager la culture et les valeurs du Groupe. Parmi ces dernières, la diversité et le handicap sont deux des grandes priorités d'actions. L'objectif des actions est avant tout d'associer le maximum d'acteurs internes à la mise en œuvre d'une politique handicap, levier de réussite durable de l'inclusion.
La volonté du Groupe LDLC est également de s'ouvrir pleinement aux problématiques du handicap dans le monde du travail et particulièrement de mettre les moyens en œuvre pour maintenir ces personnes dans l'emploi. Chaque année, des salariés font part de leur handicap et sont accompagnés dans le processus de reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé. Ainsi, des aménagements de postes nécessaires sont réalisés.
Une référente handicap a été nommée en 2018 à Nantes et à Lyon. Cette personne, interne à l'établissement, a le rôle de faciliter la mise en œuvre de la politique handicap souhaitée par la Direction et les instances représentatives du personnel. Elle est l'interface reconnue entre les acteurs de l'établissement et l'OETH (Obligation d'Emploi des Travailleurs Handicapés).
Depuis 2017, une politique handicap a été initiée afin de sensibiliser et faire en sorte que le handicap ne soit plus un sujet tabou. Le Groupe LDLC a organisé une sensibilisation de tous les managers du Groupe à la thématique du handicap, soit 91 managers représentant plus de 10% de notre personnel. L'objectif était de porter la politique handicap du Groupe et la mettre en œuvre selon le programme suivant :
Depuis 2017, il a été mis en place des massages assis réalisés par des praticiens mal ou non voyantes sur le site de Saint-Quentin puis étendus sur Nantes et Limonest en 2018.
Des articles de sensibilisation ont été consacrés au handicap, dont notamment sur les aménagements de postes sur la Newsletter RH, et publiés régulièrement sur les réseaux sociaux (Yammer). Des affichages ont été mis en place et un texte dédié au handicap a été mis en ligne sur le site de recrutement du Groupe en avril 2018.
L'ensemble des salariés de la filiale Anikop a suivi une formation sur le langage des signes afin de les sensibiliser.
En 2018, un partenariat a été mis en place avec Sport2Job.
Dans ce cadre, en septembre 2018, une équipe « Fox Team » composée de salariés de Saint-Quentin et du siège, ainsi que de 3 personnes en situation de handicap, ont relevé les défis sportifs suivants (exécutés comme s'ils étaient en situation de handicap) :
Durant cette même journée, l'équipe a été sensibilisée à la langue des signes et a reçu une petite formation sur la communication avec des personnes sourdes et muettes sans connaître la langue des signes. La Fox Team a également pu rencontrer des candidats en situation de handicap demandeurs d'emploi.
Cet évènement a permis aux équipes de vivre une journée de partage, de cohésion et de beaux rapports humains. Cette richesse les a passionnés et a permis de conforter le projet porté par les ressources humaines depuis plus d'un an maintenant dans l'objectif de devenir une entreprise handiaccueillante.
En octobre 2018, la Fox Team LDLC a participé à un challenge culinaire à l'occasion de l'évènement Cook&Job, toujours en partenariat avec Sport2Job, dont l'objectif était de sensibiliser au handicap par le biais d'un moment d'échanges avec des personnes en situation de handicap au sein d'un incubateur culinaire atypique, « La Commune ». Ces évènements ont été suivis par le service communication et relayés en interne sur le réseau social.
En mai 2018, le Groupe LDLC a constitué un dossier « trophée de lumière de l'entreprise inclusive ». Ces trophées récompensent et mettent à l'honneur les initiatives inclusives des entreprises. Ils promeuvent des actions permettant aux personnes en situation de handicap d'exercer, de manière effective, leur droit à une vie professionnelle.
En 2019, sur le site de Grandchamps-des-Fontaines, la référente handicap a rencontré les salariés en situation de handicap, qui le souhaitaient, afin de mieux les connaître et d'identifier ensemble les aménagements de postes qui pouvaient être étudiés.
Une rencontre avec Cap Emploi a été organisée avec le service RH de l'établissement et la référente handicap en décembre 2019. Cap Emploi a pour vocation d'aider les travailleurs handicapés dans leur maintien dans l'emploi.
Une réflexion et des demandes de diagnostics sont en cours et pourront être déployées d'ici fin 2020 sur le site de Grandchamps-des-Fontaines.
L'équipe RH travaille en collaboration avec la médecine du travail, la responsable QHSE et Cap Emploi en vue d'optimiser les postes de travail en les aménageant pour les personnes en situation de handicap.
Ces actions continuent à être déployées sur les entités du Groupe pour les salariés en situation de handicap qui en éprouvent le besoin. C'est notamment le cas avec la filiale DLP Connect pour laquelle 2 salariés ont bénéficié d'un aménagement de poste en 2019.
Le Groupe LDLC noue des liens privilégiés avec des entreprises adaptées, agences intérim… pour mettre à disposition des salariés en situation de handicap depuis 2017. Le Groupe LDLC a procédé à la mise en conformité numérique des sites de vente à distance pour les malentendants en 2018.
En novembre 2019, la chargée de recrutement et la référente handicap ont participé à un blind dating dont l'objectif était de rencontrer différemment des candidats que lors d'un recrutement classique. Cette opération s'est déroulée avec les yeux bandés et les entretiens ont duré environ 10 minutes. À l'issue, les entretiens ont continué de manière classique.
Cette opération a permis d'identifier un candidat en situation de handicap. Ce dernier a effectué un stage d'immersion sur le site de Saint-Quentin-Fallavier en février 2020 et une étude est en cours pour vérifier la faisabilité de lui proposer un contrat à durée indéterminée d'ici fin 2020.
Nonobstant la féminisation de la population active et l'existence de nombreux textes visant à reconnaître les mêmes droits entre les hommes et les femmes, des inégalités significatives persistent que ce soit en matière d'accès aux postes à responsabilité entre les deux sexes, de formation, etc.
Pourtant, les compétences des hommes et des femmes constituent la première richesse de l'entreprise. Facteur déterminant de cohésion sociale et d'efficacité économique, l'égalité professionnelle est un élément essentiel de l'attractivité et de la performance, comme de l'équilibre des relations au travail.
Un accord a été signé en 2016, puis renouvelé en 2019, avec les Organisations Syndicales. Il formalise la politique d'entreprise du Groupe en matière d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, dès leur recrutement et tout au long de leur carrière professionnelle dans l'entreprise, et affirme l'attachement au principe de non-discrimination du fait du sexe dans le monde professionnel.
La société Groupe LDLC assure une égalité de rémunération tout au long de la carrière entre les femmes et les hommes à compétences, expériences équivalentes et évaluations égales, et ce depuis l'embauche. Les écarts pouvant apparaître s'expliquent exclusivement par l'ancienneté dans le poste et l'expérience professionnelle.
Lors du recrutement d'un salarié à un poste donné, le niveau de rémunération de base afférente à ce poste est déterminé avant la diffusion de l'offre. La société réaffirme en outre son attachement au principe de non-discrimination en matière, notamment, de gestion de carrière et de politique de rémunération.
Les salaires moyens bruts par sexe selon la Catégorie Socio-Professionnelle (CSP) sont :
| Cadre | 43 577,19 |
|---|---|
| Femme | 39 724,65 |
| Homme | 45 283,31 |
| Agent de maîtrise | 27 949,06 |
| Femme | 28 542,19 |
| Homme | 27 773,94 |
| Employé | 21 690,98 |
| Femme | 21 412,74 |
| Homme | 21 804,97 |
| Total général | 29 469,17 |
L'accès des salariés à la formation professionnelle est un élément déterminant pour assurer l'égalité entre les femmes et les hommes dans l'évolution de leur qualification et le déroulement de leur carrière.
De façon à ce que l'accès à la formation professionnelle ne soit pas entravé par des contraintes familiales, une attention toute particulière est portée aux conditions d'organisation des sessions de formation organisées ou proposées par l'entreprise.
C'est ainsi que sont évitées, dans la mesure du possible, les formations nécessitant des déplacements, et notamment des découchés, ne permettant pas aux salariés de remplir leurs responsabilités familiales. Pour y remédier, les possibilités de suivre des modules de formation à distance (e-learning) pour certaines formations sont proposées.
Lorsque cela est possible, des sessions de formation locales sont organisées. Le service RH met en œuvre tous les moyens pour organiser les formations au niveau local dans une logique de réduction des découchés et des déplacements et afin que le temps consacré à la formation corresponde le plus possible au temps de travail.
Pour renforcer cette démarche, et l'anticiper, les salariés concernés par des formations, notamment les mères et pères de famille, peuvent prévenir leur hiérarchie et/ou le service RH de leurs contraintes familiales afin que, le cas échéant, des aménagements puissent être apportés à l'organisation des sessions de formation.
Lorsque cela est possible, pour les cas où la formation n'a pu être organisée localement et si cela peut faciliter l'organisation des salariés formés, des formations alternatives (autres organismes de formation, autres horaires, autre organisation, e-learning, etc.) sont proposées aux salariés qui ont fait état de leurs contraintes familiales et de leurs difficultés à participer à la formation dans les meilleures conditions.
Dans le cadre de cet objectif, les actions suivantes ont été mises en place :
Afin d'assurer la mixité de ses emplois, la société LDLC s'engage à veiller à la mise en œuvre de l'égalité dans le processus de recrutement. C'est ainsi que tous les recrutements sont fondés sur les seules compétences, expérience professionnelle, formation et qualifications des candidats.
Les processus de recrutements internes et externes sont identiques et appliqués de la même manière en dehors de toute considération liée au sexe, à la situation familiale ou à l'état de grossesse, l'entreprise s'engageant à offrir à chaque candidat les mêmes chances quelles que soient ses caractéristiques personnelles.
Conformément aux prescriptions du Défenseur des droits, les offres d'emploi sur l'ensemble des postes à pourvoir par l'entreprise doivent s'adresser aux femmes comme aux hommes, sans distinction.
À cet effet, l'entreprise restera attentive à ce que la terminologie utilisée en matière d'offre d'emploi et de définition de fonctions ne soit pas discriminatoire et permette ainsi sur tous les postes, sans distinction - notamment les postes traditionnellement occupés par un sexe ou ceux dont les conditions de travail visent un sexe plutôt qu'un autre - la candidature des femmes comme des hommes, en interne comme en externe.
Le Groupe LDLC entend réaffirmer que la diversité suppose que les femmes et les hommes soient en mesure d'avoir les mêmes parcours professionnels, les mêmes possibilités d'évolution de carrière et d'accès aux postes à responsabilités. Aujourd'hui, les femmes en congé maternité ou parental peuvent rencontrer un « frein » dans l'évolution de leur carrière professionnelle.
C'est pourquoi, la société Groupe LDLC entend faire évoluer les mentalités de façon à donner la possibilité aux femmes d'évoluer vers des postes ou les niveaux de responsabilité sont plus importants.
Ainsi, dès lors qu'une femme évolutive sera détectée par la Direction et même si elle suspend son activité professionnelle au titre d'un congé maternité et/ou parental, la société Groupe LDLC s'engage à maintenir son dossier « actif ».
La société Groupe LDLC s'engage à prendre en compte les obligations des salariés liées à leur vie familiale dans l'organisation du temps de travail tout en tenant compte de l'organisation du service concerné.
✥Avant le départ en congé maternité ou parental :
⇒ Au plus tard 30 jours avant son départ, le salarié sera reçu par son manager afin d'évoquer les dispositions concernant le départ, la durée du congé et les modalités relatives au retour.
✥Au retour du congé maternité ou parental :
L'employeur s'engage à réaliser au moins une action de sensibilisation ou de formation auprès des salariés et des stagiaires des établissements sur une période de trois ans. L'employeur s'engage par ailleurs à prendre en compte le risque de violences sexistes et sexuelles dans le cadre de l'évaluation des risques.
• 20% de femmes dans les 10 plus hautes rémunérations
Dans un contexte de forte croissance et d'internationalisation, le Groupe LDLC attache une grande importance à la montée en compétences de ses collaborateurs et à leur développement personnel. Des actions de formation sont menées pour leur offrir les moyens d'évoluer professionnellement, grâce à la mobilité interne, mais aussi personnellement avec l'acquisition de compétences qui leur seront utiles tout au long de leur carrière. L'objectif est que le maximum de personnes ait suivi une formation.
Notre politique de montée en compétences des équipes repose sur une offre de formation professionnelle sélectionnée parmi des prestataires de qualité. La formation permet le développement permanent des équipes, le maintien de leur employabilité et le transfert de l'actualisation des connaissances.
Le plan de développement des compétences se définit par les objectifs professionnels qu'il vise, les compétences des salariés en fonction des objectifs reliés à son poste ainsi que les orientations et stratégies du Groupe. Il permettra également de développer la polyvalence. Le développement des compétences se fera ainsi à tous les niveaux de l'organisation.
Pour que le plan de développement des compétences soit efficace, il devra être adapté aux besoins de chaque personne avec une adhésion indispensable des salariés formés ; les actions de formation devant avoir du sens pour l'exercice de leurs missions.
En effet, le plan de développement devra avoir des effets positifs, tant pour l'organisation que pour les salariés :
Le socle du plan de développement des compétences sera basé sur une approche collaborative dans un objectif d'accompagnement tant individuel que collectif.
Depuis fin 2018, le Groupe LDLC a la volonté d'accompagner les équipes, sur la base du volontariat, vers une démarche de développement personnel.
Dans le cadre de sa transformation, il laisse place à des modes de coordination plus souples et plus transversaux, où la logique de service progresse, où les équipes doivent aujourd'hui apprendre à coopérer, à gérer leurs interactions et à être « autonomes », c'est-à-dire à construire en partie le cadre de leur action. Ces pratiques visent à permettre à l'individu de mieux comprendre son mode de fonctionnement émotionnel, cognitif et intellectuel, cela pour acquérir un rapport à soi-même, à autrui et à son travail tout à la fois plus harmonieux et plus performant. Ainsi, elles s'inscrivent dans un projet managérial car elles relient des objectifs individuels (augmenter son bien-être) et des objectifs organisationnels (être plus efficace).
Le Groupe LDLC a défini 5 enjeux majeurs :
Le Groupe LDLC travaille à la construction d'un plan de développement annuel adapté aux salariés, à l'évolution de l'entreprise, des postes, et au maintien des emplois tout en tenant compte des évolutions liées à la formation professionnelle.
Le développement de l'entreprise exige une adaptation et un développement constant des compétences présentes en interne afin d'anticiper les évolutions à venir et de gagner en performance.
Le renforcement des compétences techniques spécifiques à chaque métier est donc primordial pour que les collaborateurs puissent assumer les nouveaux enjeux de l'entreprise.
Il s'agit, pour chaque collaborateur, de gagner en termes d'autonomie, de polyvalence, de poly-compétences tout en se responsabilisant, et d'approfondir des points tels que :
La valeur construite par le collectif est supérieure à la somme des talents de chacun. Les équipes capables de coopérer atteignent des résultats sans précédent en termes de réactivité, de développement de compétences et d'innovation. À l'heure où les contextes économiques sont complexes et incertains, l'intelligence collective est l'un des ressorts les plus efficaces pour renforcer la performance des entreprises. Elle est indispensable pour travailler en réseau et réussir des projets transverses.
Nous avons formé des facilitateurs, qui accompagnent et apportent une structure au flux des discussions dans le cadre de travail en équipe, et sont chargés de favoriser un dialogue respectueux permettant l'échange d'idées. Ainsi, leur rôle consiste à limiter les obstacles et les contraintes, à résumer les différents points de vue et à fomenter l'esprit positif et entrepreneurial.
Le facilitateur n'est ni le leader ni le chef du groupe, mais il a la responsabilité du cadre via les processus mis en œuvre pour que tous les participants se centrent et se concentrent sur l'objectif fixé. Il est important que le facilitateur reste neutre lors des discussions, il n'intervient pas sur le contenu, il est garant du cadre.
Par ailleurs, en tant qu'animateur de réunion, le facilitateur s'assure que celle-ci réponde pleinement aux besoins des participants, permette à chacun de s'exprimer, contribue à développer la confiance entre les partenaires et aide à ce qu'ils prennent conscience des évènements. Il est le garant des attitudes actives et de la réciprocité. C'est lui, grâce à son aide et à son rôle d'intermédiaire, qui rend les choses plus accessibles.
De plus, nous avons mis en place des séances pour les salariés volontaires visant à développer une posture, une attitude et de confiance en tant que leadership. Un bon leader écoute, respecte et responsabilise son équipe, et offre à chacun les moyens d'être au sommet de ses compétences.
En effet, le leadership est nécessaire à tous les niveaux de l'organisation. Le leadership n'est pas toujours en relation avec la hiérarchie puisque c'est le groupe qui décide intuitivement de suivre un leader. En entreprise, le leader n'est donc pas forcément manager, tout comme le manager n'est pas toujours reconnu comme leader.
C'est en suscitant la participation volontaire, au regard d'objectifs définis, que le leader parvient à ses fins. La conception moderne du leadership est forcément associée à un exercice démocratique du pouvoir sur des individus libres ayant des droits humains et sociaux.
Dans la vie professionnelle, il est souvent primordial de combiner créativité, implication et exigence de résultats.
Les objectifs de développement du BtoB sont importants, ceci dans un contexte de mutation permanente de ce marché qui oblige de forts gains en compétitivité, à pousser encore plus loin le changement et à saisir toutes les opportunités qu'offrent les nouvelles formes de commerce.
La stratégie du BtoB est de générer de la croissance sur nos clients en développant la partie achats courants transactionnels et les projets à valeur ajoutée.
Dans la continuité de ce qui a été mis en place ces dernières années pour accompagner la transformation et pérenniser l'adaptation à cette transformation, la montée en compétences du BtoB est nécessaire afin de répondre aux objectifs ambitieux qui leur ont été fixés :
Avec la fusion opérée en 2018 avec Domisys, l'objectif pédagogique des actions de formations mises en œuvre en 2019 cible la maîtrise des outils afin d'être en mesure d'exploiter efficacement un point de vente Materiel.net, à la suite du déploiement du nouveau système d'information « C2BO », dans un but d'harmonisation du secteur du retail au sein du Groupe LDLC.
Le second objectif visé était de mettre toutes les équipes en condition de réussite pour mettre le client au cœur du système. Un libre accès à la connaissance a été mis en place pour l'ensemble des équipes retail sur la base du volontariat.
Une meilleure connaissance de son environnement de travail et des bonnes pratiques doit permettre aux équipes :
Les formations habituelles concernant les SST, les autorisations de conduite des engins, etc. sont réalisées.
Étant donné la nature tertiaire de ses activités, le Groupe LDLC a peu d'impact sur l'environnement. Il prend néanmoins en compte les conséquences de son activité et de l'usage des biens et services qu'il produit sur le changement climatique. Trois de nos quatre entrepôts sont classés pour la Protection de l'Environnement (ICPE). Les impacts environnementaux identifiés sont principalement liés aux déchets (produits et emballages) et à la consommation d'énergie des bâtiments, qui constituent des pistes d'adaptation aux conséquences du changement climatique.
Le Groupe LDLC s'est engagé depuis plusieurs années maintenant dans une démarche volontaire de tri des déchets d'activité à la source afin d'en maximiser le recyclage. Il est totalement en phase avec l'obligation de trier à la source 5 flux de déchets. Les services généraux et la responsable qualité-hygiène-sécurité-environnement ont pris en charge la démarche et accompagnent les différents sites, les filiales et les boutiques en propre dans la prise en compte de leurs problématiques déchets.
La politique déchets du Groupe et ses actions font l'objet d'une présentation aux collaborateurs dans le livret d'accueil et lors de leur intégration. Plusieurs affiches rappellent les consignes de tri et de valorisations des déchets sur les sites.
En tant que distributeur de produits, le Groupe LDLC a la responsabilité de participer financièrement et/ou directement à la gestion de la filière concernée. Cinq filières de Responsabilité Élargie du Producteur (REP) le concernent : les équipements électriques et électroniques, les emballages, les piles et accumulateurs, les papiers graphiques et le mobilier. Pour mener à bien cette tâche, il s'appuie sur des éco-organismes agréés (Ecologic, Adelphe, Screlec, Citeo et Écomobilier) et contribue au financement de la gestion de la fin de vie des produits qu'il met sur le marché. De plus, il informe les consommateurs, via son site Internet pour les achats en ligne et ses vendeurs en boutique, des conditions de bonne gestion des produits usagés et de son obligation de les reprendre lors de l'achat d'un produit neuf équivalent («1 pour 1 »).
La DEEE provient en majorité de la reprise de produits en fin de vie ou défectueux. Sur l'exercice 2019/2020, le Groupe LDLC a collecté et remis à un prestataire pour traitement final 19 tonnes de DEEE, soit une quantité similaire par rapport à l'exercice précédent. Ce tonnage est pris en compte dans le taux de valorisation des déchets.
Les autres déchets valorisables - papier, carton, film étirable et palettes - sont triés à la source sur site et valorisés par des prestataires spécialisés dans leur enlèvement et leur traitement. Depuis 2017, le tri s'est élargi à la glassine (papier cristal utilisé en protection des autocollants) dans notre entrepôt de Saint-Quentin-Fallavier, qui a également mis en place cette année le réemploi du polystyrène des colis reçus dans le calage des colis expédiés.
À l'occasion de l'emménagement sur le nouveau siège de Limonest en 2017, les poubelles individuelles ont été supprimées au profit de points de collecte volontaire répartis sur chaque plateau des bâtiments. Une poubelle jaune pour les déchets divers et une poubelle rouge pour le papier ont été installées. Des collecteurs de gobelets ont été positionnés à côté de chaque fontaine à eau, ainsi que des collecteurs de bouteilles en plastique et canettes à proximité des machines à café et de la cafétéria. Des cendriers de la société Cyclop permettent de recycler les mégots de cigarette et les cendres. Les mêmes installations ont été dupliquées dans le bâtiment Orizon, extension du siège, qui a ouvert en janvier 2019.
La récupération des piles (d'usage professionnel ou personnel) est effectuée au niveau des conciergeries du siège, de Saint-Quentin-Fallavier et de Grandchamps-des-Fontaines. La récupération du verre a été ajoutée en 2018 au siège de Limonest.
Début 2019, le Groupe LDLC a mis fin à l'activité du site Maginea après 10 années de présence sur le marché de la décoration online. À cette occasion, un don d'articles divers de plus de 9 tonnes a été réalisé en mars 2019, et un don de près de 5 tonnes en avril 2019. Le choix s'est porté vers le centre de collectes des Pays-de-la-Loire du Secours Populaire Français, car le stock de Maginea était géré sur notre entrepôt de Grandchamps-des-Fontaines.
Fin 2019, le Groupe LDLC a souhaité soutenir 2 antennes lyonnaises d'associations nationales : Sport dans la ville et Habitat et Humanisme (don de tee-shirts et don de sol vinyle).
| Sur l'exercice 2019/2020, les activités du Groupe ont généré 438,3 tonnes de déchets, | N-1 : 555 T |
|---|---|
| soit environ 21% de moins que l'exercice précédent | N-2 : 614 T |
| Type de déchet | Quantité Groupe (tonnes) |
Quantité Groupe (tonnes) N-1 |
Quantité Groupe (tonnes) N-2 |
|---|---|---|---|
| Papiers-cartons et film étirable | 257,9 | 289,6 | 335,9 |
| Palettes en bois | 37,2 | 44,4 | 58 |
| Déchets non dangereux (DIB) | 123,4 | 195,7 | 169,2 |
| Déchets spéciaux (DIS) = liquide issu de la maintenance de la chaîne de production logistique |
0,3 | 0 | 0,6 |
| Déchets d'Équipements Électriques et Électroniques (DEEE) | 18,69 | 18,5 | 22,5 |
| Bois aggloméré | 0 | 6,2 | 4,4 |
| Divers | 0,8 | 0,8 | 23,6 |
| Total | 438,3 | 555,1 | 614,2 |
• 71,79% de taux global de valorisation dans le Groupe LDLC (% de déchets recyclés par rapport au total de déchets évacués)
– 2018/2019 : 64,75%
Le Groupe LDLC s'engage à réduire son empreinte environnementale au niveau énergétique. La politique générale en matière d'énergie est menée par la Direction des services généraux et immobilier, qui garde toujours en tête la maîtrise de l'énergie dans ses projets immobiliers, et dans la mise en œuvre de ses solutions de transport (collaborateurs et marchandises).
Si le Groupe n'est pas doté d'une politique formalisée en matière de consommation énergétique, il veille à réduire et optimiser ses consommations et ses émissions de C02 . Des investissements sont régulièrement effectués pour optimiser le parc d'équipements et de technologies sur le plan de la consommation énergétique. Les bâtiments récents et les rénovations notamment sont l'occasion d'adopter des solutions et des procédures plus économes en énergie.
De plus, des mesures de réduction des consommations sont promues auprès des collaborateurs.
La consommation électrique constitue le premier poste de coûts et d'enjeux énergétiques. L'électricité est utilisée sur tous les sites pour l'éclairage, la climatisation, l'informatique, les chaînes de préparation des colis, les chariots élévateurs, etc. Grâce au suivi des consommations électriques, le Groupe peut analyser et améliorer l'efficacité énergétique de ses activités.
Du gaz est également utilisé pour les entrepôts de Saint-Quentin-Fallavier et de Grandchamps-des-Fontaines, ainsi que dans quatre bâtiments de OLYS/BIMP, tandis que du fioul alimente le chauffage de la boutique de Lyon ainsi que le système de sprinklage de Grandchamps-des-Fontaines.
Le total de la consommation énergétique est de 7 531 MWh pour l'exercice (contre 7 493 à N-1).
| Consommation d'énergie | Quantité Groupe (kWh) |
Quantité Groupe (kWh) N-1 |
|---|---|---|
| Électricité | 4 514 272 | 4 581 446 |
| Gaz | 2 944 146 | 2 830 110 |
| Fioul domestique | 72 635 | 82 123 |
| Total | 7 531 053 | 7 493 679 |
Bien que le nouveau siège du Groupe LDLC ne soit pas un bâtiment certifié HQE, il a été conçu pour être performant en termes d'acoustique et économe en consommation d'énergie. Par exemple, toutes les fenêtres sont équipées d'un double ou triple vitrage. La façade sud bénéficie d'un traitement particulier pour limiter la chaleur, des stores sont intégrés aux fenêtres de toutes les façades, hormis sur la façade nord, qui est dotée d'un minimum d'ouvertures pour éviter la pénétration du froid. L'éclairage LED et des détecteurs de présence sont en place au siège et dans les succursales pour réduire la consommation d'électricité. Mis à part les espaces de circulation, aucun éclairage n'est installé au plafond : l'éclairage des bureaux se fait par des mâts de détection de présence, cela évite qu'un plateau entier reste éclairé si seule une personne est présente par exemple. Enfin, le système de chauffage par pompe à chaleur devrait permettre aussi des économies d'énergie.
Le bâtiment Orizon à Limonest, extension du siège social construit en 2018, est en cours de certification BREEAM avec un objectif de niveau « VERY GOOD ».
Les sites du Groupe ne sont pas soumis au Système Communautaire d'Échange de Quotas d'Émissions. Seule la société Groupe LDLC est soumise à l'obligation de réalisation d'un bilan de gaz à effet de serre (Art. 75 de la loi Grenelle II). Le Groupe n'a pas réalisé de bilan carbone sur son périmètre d'activité.
Les rejets de gaz à effet de serre du Groupe sont les suivants :
999 670 kg CO2
eq N-1 : 978 755 kg CO2 eq N-2 : 779 015 kg CO2 eq
2 voitures électriques sont disponibles pendant le temps de travail sur le siège de Limonest. L'objectif est de permettre aux collaborateurs qui viennent travailler en transports en commun ou en covoiturage de pouvoir sortir du Campus pour aller faire une course.
Afin d'aller encore plus loin, Groupe LDLC échange avec les entreprises de Techlid où est situé le siège social afin de promouvoir le covoiturage.
L'idée est de permettre à tous les salariés de la zone Techlid de partager leur voiture sur les trajets réguliers domiciletravail. Économique, écologique, convivial et solidaire, le covoiturage permet de réduire l'encombrement sur les routes et dans les agglomérations. Il contribue également au respect de l'environnement.
En septembre 2019, Groupe LDLC a participé à un « speed dating du covoiturage » regroupant plusieurs entreprises de la zone Techlid.
Au niveau des transports, le Groupe sous-traite l'ensemble de ses livraisons clients auprès de transporteurs reconnus, et bénéficie ainsi des démarches RSE de ses partenaires. Une partie des expéditions des livraisons aux clients est confiée au groupe La Poste, qui est le premier acteur de la compensation carbone volontaire en Europe. Ainsi, 100% de ses offres courrier, colis, express et numériques sont garanties neutres en carbone.
Le Groupe LDLC a défini deux enjeux majeurs liés à sa responsabilité sociétale :
Le Groupe LDLC a toujours placé la satisfaction client au cœur de son fonctionnement, poussant le Groupe à constituer un service de relation clients solide capable de conseiller et d'informer les clients en avant et après-vente. Un problème de sécurité des consommateurs pourrait par conséquent avoir un impact significatif défavorable sur l'image et la réputation, et sur l'activité du Groupe, en plus des conséquences humaines. Le Groupe LDLC est particulièrement attentif à la qualité et la sécurité de ses produits.
Le Groupe n'étant pas fabriquant de produits, même ceux sous marque LDLC, il ne peut avoir d'influence sur la prise en compte de la santé et sécurité des consommateurs par les constructeurs. Toutefois, dans un esprit de service client de qualité, le Groupe veille à s'assurer de la conformité et au respect de la réglementation des produits commercialisés.
Vis-à-vis de notre marque L'Armoire de Bébé, spécialisée dans la vente de produits dédiés à la puériculture, l'équipe achats respecte les règles suivantes :
Dans un contexte très règlementé des produits de puériculture, l'équipe achats est régulièrement informée si un fournisseur présente des soucis ou subit des tests produits par la DGGCRF.
LDLC.com propose également à ses clients des extensions de garantie aux garanties constructeurs, y compris pour les produits vendus sur le « Coin des affaires » où la garantie commerciale est de 6 mois. Tout cela est gage de la confiance du Groupe dans les produits vendus sur ses sites et dans ses boutiques.
Enfin, le Groupe LDLC donne la parole à ses clients, à travers son outil de dépôt d'avis en ligne, respectant un processus de collecte, de modération et de publication totalement indépendant des opérations de publicité et de ventes de produits et services réalisés sur les sites.
• Zéro sinistre sécurité sur l'assurance RC sur l'exercice 2019/2020
Le Groupe LDLC s'engage dans la société au sein des territoires. L'objectif est de soutenir :
Historiquement implanté en Auvergne Rhône-Alpes, le Groupe LDLC est maintenant présent au travers de ses sites sur plusieurs bassins d'emploi sur le plan national.
Par ailleurs, le réseau de boutiques du Groupe, en grande partie constitué de franchisés, permet une implantation dans une cinquantaine de villes de France. Compte tenu de la stratégie de développement du Groupe, et notamment du développement de son réseau de boutiques LDLC, l'ancrage local du Groupe sera amené à se renforcer d'ici à 2020.
Par ses implantations et ses activités, Groupe LDLC concourt à soutenir de manière indirecte l'emploi et l'activité économique locale via ses prestataires et fournisseurs.
Par ailleurs, le Groupe LDLC poursuit son soutien au Blend Web Mix, une conférence de deux jours sur le web orchestrée par la Cuisine du Web.
Le Groupe, très attaché à son ancrage lyonnais, privilégie le soutien d'actions et de projets locaux et régionaux, en particulier les Nuits de Fourvière, festival culturel de grande ampleur, ce rendez-vous estival bénéficie d'une belle renommée nationale.
Comme les années précédentes, près d'une vingtaine de partenariats et actions de mécénat a été nouée, dont certains ont été initiés par des collaborateurs. Par ces actions, LDLC accroît sa visibilité et affirme son identité. Pour ses fondateurs, c'est aussi un moyen de rendre au territoire et aux acteurs économiques ce qu'ils ont reçu tout au long de leurs parcours.
Déjà engagé depuis 2012 en soutien de l'ASVEL, le club de basket de Villeurbanne, le Groupe LDLC a renforcé son ancrage local en septembre 2018 par la signature d'un naming unique et innovant de l'équipe professionnelle, devenant LDLC ASVEL pour une durée de 10 ans.
Cette alliance est née de la rencontre de deux entrepreneurs qui partagent des valeurs communes : Laurent de la Clergerie et Tony Parker. En plus de ses objectifs sportifs et économiques, Tony Parker s'engage en effet sur des projets sociétaux tels que la création de la Tony Parker Adequat Academy. Partageant les mêmes valeurs, en octobre 2019, Groupe LDLC réaffirme son soutien au basket de la métropole de Lyon. Pour une durée de 4 ans, LDLC.com marie son patronyme à celui de l'équipe de Lyon ASVEL Féminin, devenant LDLC ASVEL Féminin.
Par ailleurs, les deux Présidents se sont également associés à nouveau pour intégrer la passion e-sport au sein de l'Academy, à travers la création du centre de formation de la Team LDLC. Un cursus dédié à l'e-sport a ainsi vu le jour en septembre 2019, où les jeunes passionnés suivent des entraînements e-sportifs donnés par la Team LDLC et des cours au sein du lycée privé Acadomia intégré à l'Academy. Dans le prolongement de cette aventure, en janvier 2020, LDLC Event, opérateur pour le Groupe LDLC de la Team LDLC, et l'Olympique Lyonnais ont annoncé leur partenariat. La Team LDLC aux nombreux titres nationaux et internationaux s'associe à la team OL e-sport pour créer l'équipe LDLC OL, afin de renforcer le leadership de l'équipe sur la scène e-sport française et internationale.
En mars 2020, SOLAARI, la marque française de sabres connectés fabriqués et vendus par le Groupe LDLC, signe un partenariat avec la Fédération Française d'Escrime (FFE) et son Académie de Sabre Laser (ASL) pour une durée de 3 ans. Les 2 entités se donnent pour objectif commun de travailler la notoriété de cette nouvelle pratique sportive sur le plan national et international.
L'École LDLC a été lancée en 2015 à Lyon par Laurent de la Clergerie, le Président Fondateur du Groupe. Son objectif à travers ce projet sociétal : créer un cursus innovant, tant sur le fond que la forme, adapté aux spécificités actuelles des métiers du numérique pour contribuer à la dynamique de l'écosystème numérique et du développement économique français.
Son crédo : accompagner les étudiants pour qu'ils soient agiles, polyvalents, créatifs, inventifs, ingénieux, mâtures et prêts à entrer dans le monde du travail afin de contribuer à la transition digitale des entreprises.
Son coût est de 1 996 euros, un clin d'œil à l'année de création du Groupe qui signe ainsi un véritable engagement sociétal en rendant cet apprentissage accessible au plus grand nombre.
Au 31 mars 2020, 38 étudiants étaient accueillis sur le site.
En 2020, LDLC renouvelle son soutien au célèbre rallye du 4L Trophy, le plus grand rallye étudiant sportif et solidaire du monde, en soutenant un équipage qui a pris la route pour offrir des fournitures scolaires et sportives à l'association « Enfants du Désert ». Fier de s'associer pour la 9ème fois consécutive à l'esprit de cette aventure, qui affute la curiosité, le Groupe LDLC permet la découverte d'autres horizons et soutient un projet humanitaire.
Indicateurs clés de performance
Le Groupe LDLC a défini quatre enjeux majeurs liés au pilotage de l'entreprise :
La continuité des systèmes informatiques est un enjeu crucial pour permettre au Groupe LDLC d'offrir une qualité de service optimum à ses clients.
Le Groupe LDLC s'engage à réagir rapidement en cas d'alertes sur les systèmes d'informations.
Le pôle infrastructure de la DSI a la charge du suivi et du traitement des alertes pour les entités hors OLYS/BIMP. La DSI de OLYS/BIMP travaille avec un partenaire externe pour la gestion de son infrastructure, mais le fonctionnement est complètement en ligne avec le pôle infrastructure de la DSI Groupe. Ils disposent d'un outil de supervision des systèmes, ainsi que d'un outil d'enregistrements des tickets d'incidents.
En cas d'incident réseau, après analyse, les équipes impactées déterminent les actions à mener et les coordonnent. Le directeur infrastructure est informé et assure un suivi du problème. Le cas échéant, les DSI sont averties et une communication est faite auprès des services impactés. La politique en fonction de l'accident est d'activer ou mettre les moyens disponibles pour traiter et écourter le problème.
Pour la partie électrique, en dehors des Data Centers où sont stockés les systèmes sensibles, les autres sites disposent d'onduleurs. Lors de sa construction, le siège social de Limonest s'est équipé des infrastructures nécessaires pour la mise en place d'un groupe électrogène en cas de crise grave et durable.
Depuis plusieurs dizaines d'année, la France met en place des réformes en faveur de la transparence et de l'exigence éthique. En tant que distributeur, le Groupe a un rôle d'intermédiaire auprès des grandes marques de matériel et des clients, qu'ils soient particuliers, professionnels ou administratifs. Compte tenu de sa taille sur le marché, le Groupe a peu d'influence sur la manière dont ses fournisseurs assument leurs responsabilités sociétales sur les sujets comme la protection de l'environnement ou le respect des droits de l'Homme. Pour autant, le Groupe qui exerce ses activités principalement en France, s'attache à partager ses valeurs et une éthique avec l'ensemble de ses collaborateurs, et plus particulièrement ses acheteurs.
La Direction du Groupe LDLC s'engage à ce que l'ensemble de ses activités soit exécuté conformément à toutes les lois en vigueur. Le Groupe a les mêmes attentes auprès de ses fournisseurs et prestataires que lui vis-à-vis de ses clients. De ce fait, sur la fonction achats tout particulièrement, il a pour objectif de former tous les collaborateurs à la lutte contre la corruption.
L'équipe compliance a pour rôle de mettre en place et de développer l'éthique du Groupe dans ses relations d'affaires. Afin de lutter contre la corruption, le Groupe a structuré ses achats pour prévenir tout risque vis-à-vis de ses fournisseurs et prestataires. À noter que les achats se font majoritairement en Europe via des intermédiaires et des grossistes. Les importations directes représentent un faible volume d'achats de marchandises.
L'équipe achats est centralisée au siège à Limonest et est organisée comme suit :
| Zone géographique | Part des achats | |
|---|---|---|
| Union européenne | 77% | |
| Hors Union européenne | 23% |
Par ailleurs, différentes procédures internes permettent de gérer les risques liés à des demandes de cadeaux, de fraude, de corruption ou de conflit d'intérêts. Par exemple, les demandes d'ouverture de compte ou de changement de RIB d'un fournisseur font l'objet d'une double signature, d'une vérification systématique auprès du fournisseur et d'une remontée au N+1.
De plus, le Groupe respecte la législation française, notamment la loi Sapin II.
Le Groupe a réalisé un code de conduite et a mis en place la procédure d'alerte. Aucune alerte significative n'a été constatée à ce jour.
En 2018, le service compliance a envoyé un courrier accompagné de l'annexe sur la politique de lutte contre la corruption à une grande partie de nos fournisseurs. L'annexe a automatiquement été intégrée aux nouveaux contrats transmis.
Enfin, des actions de sensibilisation auprès des équipes jugées les plus à risques tels que les achats ont été renouvelées sur 2019. À ces actions de sensibilisation, il a été rajouté d'autres services tels que les commerciaux, les services généraux ainsi que tous les postes jugés nécessaires par l'équipe compliance. Les supports de sensibilisation seront de nouveau mis à jour sur 2020 et de nouvelles campagnes de sensibilisation seront programmées. L'équipe compliance étudiera si de nouveaux services ou postes devront être intégrés aux actions de sensibilisation.
• 76,5% des acheteurs ont été sensibilisés à la loi Sapin II au cours des 2 dernières années
La récente entrée en vigueur du Règlement Général de Protection des Données a obligé les entreprises européennes à se mettre en conformité quant à la collecte et au traitement des données personnelles. La loi française établissait déjà des règles relatives à l'informatique, aux fichiers et aux libertés. Groupe LDLC est donc sensibilisé depuis de nombreuses années à ces problématiques.
La préoccupation de nos clients et de nos collaborateurs quant à la collecte et au traitement de leurs données personnelles est traitée avec soin par le Groupe LDLC. Il s'agit bien évidemment d'un enjeu légal, mais avant tout d'un engagement de loyauté et commercial majeur. Groupe LDLC travaille à l'amélioration continue de ses pratiques en matière de protection des données personnelles, et vise à sensibiliser 100% des référents métiers concernés par le traitement de données.
La protection des données personnelles est un sujet que le Groupe a toujours traité avec sérieux, une ressource a toujours été nommée pour assurer la conformité réglementaire en la matière.
Ensuite, depuis mai 2018, un DPO externe a été désigné, un référent en interne seconde la fonction de DPO et différents référents par service ont été nommés. Leur rôle est de porter « la bonne parole » au sein de leur service, de sensibiliser leurs collègues, et d'intégrer les impératifs du RGPD dans les projets, en particulier ceux concernant la Direction des Systèmes d'Information. Cette organisation permet au Groupe LDLC de mieux sensibiliser les équipes et d'avancer sur les différents plans d'actions.
De plus, à l'entrée en vigueur du RGPD, une note d'information a été envoyée à l'ensemble des salariés du Groupe afin de les informer des engagements du Groupe. Une adresse mail spécifique a été créée pour toutes les demandes de droit d'accès, de rectification, de portabilité et d'effacement des données personnelles des salariés et des clients.
Sur l'Intranet du Groupe LDLC, un dossier RGPD a été mis en place et est accessible par tous les salariés (pour les salariés OLYS, les documents sont accessibles via leur environnement). Ce dossier regroupe tous les documents utiles à la présentation du RGPD, les guides de la CNIL et autres documents qui sont régulièrement mis à jour.
De nombreuses réunions entre le référent Groupe et les référents par service ont eu lieu sur l'année. Elles ont pour but d'aider les référents de services à mettre en place un fichier de travail sur le suivi de leurs différents traitements, mais également de permettre à tous de garder à l'esprit la notion de protection de données personnelles dans tous les projets. Groupe LDLC a rédigé une annexe de protection de données pour l'ensemble de ses contrats, ainsi qu'un avenant pour ses sous-traitants.
Cette année, Groupe LDLC a organisé des actions de sensibilisation auprès des référents de services ainsi que d'autres postes qu'ils ont jugé utiles dans le cadre de leur fonction.
Sur 2019, Groupe LDLC a changé de DPO, le Groupe est resté sur un DPO externe. À noter que la filiale Bluescreen a, quant à elle, nommé un DPO interne.
• En 2020, 95% des référents ont assisté à une réunion de sensibilisation à la notion du RGPD au cours des deux années écoulées, soit 20 personnes. Les réunions de sensibilisation sont renouvelées tous les 2 ans
Le Groupe LDLC est très sensible à l'ensemble des actions composant les performances extra-financières, ainsi il continuera comme il le fait depuis de nombreuses années à améliorer ces dernières et, s'il le peut, compléter l'étendue de ses actions.
| Engagements / Actions | ODD | Emplacement dans la DPEF |
|---|---|---|
| Garantir la sécurité des collaborateurs : • Prémunir les risques physiques, physiologiques et psychologiques • Améliorer l'ergonomie des espaces de travail • Réduire les risques par l'échauffement musculaire et les massages |
22.3.1. | |
| Rechercher la qualité de vie au travail : • Environnement de travail • Détente, sport, conciergerie : une panoplie de services aux collaborateurs • Activités visant la cohésion des collaborateurs • Équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle |
22.3.2. | |
| Lutter contre les discriminations : Intégration et handicap • Sensibilisation • Mobilisation • Maintien dans l'emploi Égalité professionnelle • Assurer une égalité de rémunération entre les hommes et les femmes • Formation (organisation et aménagements) • Embauche et égalité de traitement dans le processus de recrutement • Promotion professionnelle • Articulation entre la vie professionnelle et l'exercice de la responsabilité familiale • Prévention des violences sexistes et sexuelles |
22.3.3. 22.3.3.1 22.3.3.2 |
|
| La montée en compétences des équipes : • Développer et renforcer les compétences métiers des collaborateurs • Le management collaboratif : moteur d'engagement, d'innovation et de performance • Développer les compétences du BtoB • Accompagner les équipes de vente sur le terrain pour une harmonisation • Assurer la sécurité des biens et des personnes |
22.3.4. | |
| Actions pour l'Environnement : Gestion responsable des déchets • Réduire et valoriser nos déchets • Renforcer l'apport volontaire des déchets • Agir en faveur de l'économie circulaire Maîtrise des consommations d'énergie • Réduire nos consommations et nos émissions • Les émissions de gaz à effet de serre • Favoriser la mobilité des collaborateurs en modes doux • Réduire les émissions de CO2 des transports |
22.4. 22.4.1. 22.4.2. |
|
| Impact sur notre territoire : Sécurité des consommateurs Participation à l'essor économique des territoires • Soutenir l'entrepreneuriat • Soutenir les initiatives culturelles et l'économie locale • Soutenir l'éducation |
22.5. 22.5.1. 22.5.2. |
|
| Sensibilisation et formation à l'éthique : • La lutte contre la corruption • Le respect du Règlement général sur la protection des données |
22.6. |
Les informations présentées dans la déclaration de performance extra-financière du présent rapport ont été établies au titre de l'exercice clos le 31 mars 2020.
Le périmètre de consolidation est constitué des filiales du Groupe consolidées par intégration globale pour l'établissement des états financiers consolidés du Groupe, soit les filiales dont le Groupe détient, directement ou indirectement, le contrôle exclusif (voir note 2.3 des annexes consolidées). Notons que certaines filiales consolidées financièrement dans le Groupe n'ont pas été intégrées dans la DPEF en raison de l'absence d'activité pour ces sociétés.
Il s'agit en particulier de Domimo 2 et Domimo 3, Nemeio, LDLC7, LDLC9, LDLC10, LDLC11, LDLC12, LDLC13 et CAMPUS 2017.
Sauf indication contraire, les données reportées portent sur l'exercice fiscal du 1er avril 2019 au 31 mars 2020.
Certains KPI sont basés sur l'année civile, soit du 1er janvier N-1 au 31 décembre N-1. Il s'agit de :
Les mentions relatives aux effectifs dans le modèle d'affaires sont exprimées en nombre d'employés, c'est-à-dire toute personne payée par l'entreprise et présente dans l'entreprise à la clôture de l'exercice au 31 mars 2020, à l'exception des stagiaires et des intérimaires.
Le taux de fréquence correspond au nombre d'accidents du travail avec arrêt par million d'heures travaillées : nb d'accidents du travail avec arrêt *1 000 000 / nombre d'heures travaillées.
Le taux de gravité correspond au nombre de jours de travail perdus pour accident du travail par millier d'heures travaillées : nb de jours d'arrêt pour accident du travail *1 000 / nb d'heures travaillées.
Ces indicateurs sont hors Espagne. Seuls les accidents du travail avec arrêt, intervenus pendant l'exercice, sont comptabilisés ; les accidents de trajet avec arrêt sont donc exclus du calcul. Les accidents des stagiaires ou intérimaires sont aussi exclus du calcul. Les heures d'absence sont décomptées du nombre d'heures travaillées et le nombre d'heures supplémentaires y est ajouté.
Le taux d'absentéisme est calculé hors effectif Espagne. Les absences prises en compte sont uniquement, en jours ouvrés : maladie, accident du travail/trajet, absences non rémunérées, non justifiées, en attente de justificatif, mi-temps thérapeutique.
Le turnover est calculé hors Espagne. L'effectif pris en compte est celui en CDI, CDD, contrats d'alternance. Sont exclus : les stagiaires et les mandataires.
Les montants retenus pour le calcul sont ceux des déclarations annuelles (DOETH).
Les formations comptabilisées sont celles qui sont associées à l'entreprise soit sur le plan de formation, soit en partie sur du CPF, soit sur des périodes de professionnalisation. Elles comprennent les formations externes, internes, en e-learning et en présentiel. Le personnel intérimaire et les stagiaires dans le cadre d'un cursus scolaire ne suivent pas de formation au sein de notre structure.
Sont considérées comme formations en développement personnel les formations qui permettent de donner l'occasion de mieux se connaître, de développer et utiliser ses talents, booster le bien-être et concrétiser des aspirations professionnelles et personnelles.
La réglementation française est d'application pour la définition du déchet et de son éventuelle dangerosité. Le reporting concerne l'ensemble des sites du Groupe. La production de déchets est calculée d'après les quantités sorties des sites sur la période de reporting.
Les consommations d'énergie correspondent à la somme des quantités d'énergie (électricité, gaz et fioul) facturées au Groupe par ses fournisseurs sur la période de reporting.
Les émissions de gaz à effet de serre ont été calculées à partir de la consommation énergétique sur la période de reporting multipliée par le facteur d'émission standard pour chaque énergie (électricité, gaz et fioul) - source : site de l'ADEME. La flotte de véhicules du Groupe n'est pas suffisamment significative pour être prise en compte au regard du bilan des émissions de GES total.
L'indicateur a été créé cette année.
Le logiciel n'est pas utilisé par OLYS/BIMP. L'an passé, le « taux de disponibilité du logiciel » était donné pour une semaine prise aléatoirement dans l'année, avec pour objectif de développer ce KPI sur une période plus étendue, ce qui a été fait.
En notre qualité d'organisme tiers indépendant, également commissaire aux comptes de la société Groupe LDLC, accrédité par le COFRAC Inspection sous le numéro 3-1321 (portée d'accréditation disponible sur le site www.cofrac.fr), nous vous présentons notre rapport sur la déclaration consolidée de performance extra-financière relative à l'exercice clos le 31 mars 2020 (ci-après la « Déclaration »), présentée dans le rapport de gestion, en application des dispositions légales et réglementaires des articles L.225-102-1, R.225-105 et R.225-105-1 du Code de Commerce.
Il appartient au Directoire d'établir une Déclaration conforme aux dispositions légales et réglementaires, incluant une présentation du modèle d'affaires, une description des principaux risques extra-financiers, une présentation des politiques appliquées au regard de ces risques ainsi que les résultats de ces politiques, incluant des indicateurs clés de performance.
La Déclaration a été établie en appliquant les procédures de la société (ci-après le « Référentiel »), dont les éléments significatifs sont présentés dans la Déclaration et disponibles au siège de la société.
Notre indépendance est définie par les dispositions prévues à l'article L.822-11-3 du Code de Commerce et le Code de déontologie de la profession. Par ailleurs, nous avons mis en place un système de contrôle qualité qui comprend des politiques et des procédures documentées visant à assurer le respect des textes légaux et réglementaires applicables, des règles déontologiques et de la doctrine professionnelle.
Il nous appartient, sur la base de nos travaux, de formuler un avis motivé exprimant une conclusion d'assurance modérée sur :
Il ne nous appartient pas en revanche de nous prononcer sur le respect par la société des autres dispositions légales et réglementaires applicables, notamment en matière de plan de vigilance et de lutte contre la corruption et l'évasion fiscale ni sur la conformité des produits et services aux réglementations applicables.
Nos travaux décrits ci-après ont été effectués conformément aux dispositions des articles A.225-1 et suivants du Code de Commerce, à la doctrine professionnelle de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes relative à cette intervention et à la norme internationale ISAE 30001(1) :
nous avons vérifié que la Déclaration présente les informations prévues au II de l'article R. 225-105 lorsqu'elles sont pertinentes au regard des principaux risques et comprend, le cas échéant, une explication des raisons justifiant l'absence des informations requises par le 2eme alinéa du III de l'article L.225-102-1 ;
nous avons vérifié que la Déclaration présente le modèle d'affaires et une description des principaux risques liés à l'activité de l'ensemble des entités incluses dans le périmètre de consolidation, y compris, lorsque cela s'avère pertinent et proportionné, les risques créés par ses relations d'affaires, ses produits ou ses services ainsi que les politiques, les actions et les résultats, incluant des indicateurs clés de performance afférents aux principaux risques ;
Nous estimons que les travaux que nous avons menés en exerçant notre jugement professionnel nous permettent de formuler une conclusion d'assurance modérée.
Une assurance de niveau supérieur aurait nécessité des travaux de vérification plus étendus.
Nos travaux ont mobilisé les compétences de 5 personnes et se sont déroulés entre octobre 2019 et avril 2020 sur une durée totale d'intervention de 3 semaines.
Nous avons mené huit entretiens avec les personnes responsables de la préparation de la Déclaration, représentant notamment les Directions Comptabilité, Juridique, Ressources Humaines, Paie et Qualité Hygiène Sécurité Environnement.
Sur la base de nos travaux, nous n'avons pas relevé d'anomalie significative de nature à remettre en cause le fait que la déclaration de performance extra-financière est conforme aux dispositions réglementaires applicables et que les Informations, prises dans leur ensemble, sont présentées, de manière sincère, conformément au Référentiel.
Sans remettre en cause la conclusion exprimée ci-dessus et conformément aux dispositions de l'article A.225-3 du Code de Commerce, nous formulons le commentaire suivant :
Le Groupe LDLC a entamé des travaux lui permettant d'évaluer l'impact carbone de ses activités en réponse aux risques de changement climatique et de rejets dans l'air, et sera donc en mesure de fixer et publier un objectif de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre à moyen et long termes lors du prochain exercice.
Fait à Villeurbanne, le 18 juin 2020
L'organisme tiers indépendant
Séverine Hervet Associée
Nicolas Dusson Associé, Directeur Technique
Nous vous rendons compte dans ce rapport spécial de l'usage fait par le Directoire des autorisations données par l'Assemblée Générale Extraordinaire du 28 septembre 2012, du 30 septembre 2016 et du 27 septembre 2019 d'attribuer gratuitement des actions de la société en vertu des dispositions des articles L.225-197-1 et suivants dudit Code.
Aux termes de la onzième résolution adoptée lors des délibérations de l'Assemblée Générale du 28 septembre 2012, de la dixneuvième résolution adoptée lors des délibérations de l'Assemblée Générale du 30 septembre 2016, de la seizième résolution adoptée lors des délibérations de l'Assemblée Générale du 27 septembre 2019 et dans le cadre des dispositions des articles L.225-197-1 à L.225-197-6 et L.225-129-2 alinéa 3 du Code de Commerce, le Directoire a été autorisé à procéder à des attributions gratuites d'actions de la société, existantes ou à émettre, en une ou plusieurs fois, au bénéfice de tout ou partie des salariés et/ou mandataires sociaux de la société et des sociétés visées à l'article L.225-197-2 du Code de Commerce.
Dans le cadre des autorisations visées ci-dessus, le Directoire a décidé, à l'unanimité, lors de ses réunions des 24 juin 2013, 28 mars 2014, 9 juillet 2014, 30 septembre 2016, 29 juin 2017, 13 novembre 2017 et 23 février 2018 d'attribuer gratuitement des actions existantes de la société dans les conditions ci-dessous.
| Aucune opération d'attribution n'a été réalisée au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020. |
|---|
| ---------------------------------------------------------------------------------------------- |
| Date d'Assemblée | 28/09/2012 | 28/09/2012 | 28/09/2012 | 30/09/2016 | 30/09/2016 | 30/09/2016 | 30/09/2016 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Date du Directoire | 24/06/2013 | 28/03/2014 | 09/07/2014 | 30/09/2016 | 29/06/2017 | 13/11/2017 | 23/02/2018 |
| Nombre total d'actions attribuées gratuitement dont le nombre attribué à : |
11 494 | 137 | 161 746 | 1 500 | 10 000 | 2 000 | 70 000 |
| Philippe Sauze (1) | 11 494 | 0 | 160 924 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| Date d'acquisition des actions |
23/06/2015 | 28/03/2016 | (2)(3)(4) | 30/09/2018 (8) | (9) | 13/11/2019(11) | (12) |
| Date de fin de période de conservation |
23/06/2017 | 28/03/2018 | (5)(6)(7) | 01/10/2020 | (10) | 14/11/2021 | (13) |
| Nombre d'actions acquises au 31 mars 2020 |
11 494 | 137 | 161 746 | 1 500 | 1 000 | 2 000 | 10 000 |
| Nombre cumulé d'actions annulées ou caduques |
Néant | Néant | Néant | Néant | Néant | Néant | 35 000 |
| Actions attribuées gratuitement restantes en fin d'exercice |
Néant | Néant | Néant | Néant | 9 000 | Néant | 25 000 |
| Valeur des actions (cours de clôture au jour d'attribution) |
9,68 euros | 22,32 euros | 17,10 euros | 33,30 euros | 28,49 euros | 19,55 euros | 17,94 euros |
| Valorisation en euros des actions selon la méthode retenue pour les comptes consolidés au 31 mars 2020 (14) |
Néant | Néant | 11 670,92 | Néant | 46 459,84 | 13 242,28 | 248 475,71 |
(3) Concernant les actions attribuées gratuitement aux autres bénéficiaires de ce plan, ces derniers ne seront propriétaires desdites actions qu'à l'issue d'une période d'acquisition de deux ans prenant fin le 8 juillet 2016 à minuit.
Le Directoire de la société a décidé la suppression du critère de présence en qualité de salarié de la société de Monsieur Philippe Sauze à la date d'attribution définitive conditionnant l'attribution définitive de la troisième tranche et de la quatrième tranche des actions restant à attribuer gratuitement à M. Sauze, à savoir 91 957 actions.
(4) Toutefois, conformément aux dispositions de l'article L.225-197-3 dernier alinéa du Code de Commerce, en cas de décès d'un bénéficiaire au cours de la période d'acquisition, ses héritiers pourront demander l'attribution de ses actions dans un délai de six mois à compter du décès.
De même, en cas d'invalidité d'un bénéficiaire correspondant au classement dans la deuxième ou la troisième des catégories prévues à l'article L.341-4 du Code de la sécurité sociale, celui-ci pourra demander, avant le terme de la période d'acquisition, l'attribution définitive des actions.
(5) Concernant les actions attribuées gratuitement à Monsieur Philippe Sauze, ce dernier s'est engagé à conserver les actions qui lui auront été attribuées gratuitement pendant une période de conservation qui a été fixée, par le Directoire, à deux années commençant à courir à compter de la date d'attribution définitive de chaque tranche, soit :
(6) Concernant les actions attribuées gratuitement aux autres bénéficiaires, ces derniers se sont engagés à conserver les actions qui leur auront été attribuées gratuitement pendant une période de conservation qui a été fixée, par le Directoire, à deux années commençant à courir à compter de la date d'attribution définitive, soit le 8 juillet 2018 à minuit.
(7) À titre d'exception, en cas de décès d'un bénéficiaire au cours de la période de conservation, ses héritiers pourront céder librement lesdites actions. Il en sera de même en cas d'invalidité d'un bénéficiaire correspondant au classement dans la deuxième ou la troisième des catégories prévues à l'article L.341-4 du Code de la sécurité sociale.
(8) L'attribution gratuite d'actions ne sera définitive pour chaque bénéficiaire, que sous réserve qu'à la date d'attribution définitive, il soit toujours salarié de la société.
(9) Le bénéficiaire ne deviendra définitivement propriétaire des actions attribuées gratuitement qu'à l'issue d'une période d'acquisition définie comme suit par le Directoire :
- Pour une première tranche, correspondant à 1 000 actions attribuées gratuitement : 2 ans, prenant fin le 29 juin 2019 à minuit,
- Pour une deuxième tranche, correspondant à 1 000 actions attribuées gratuitement : 3 ans, prenant fin le 29 juin 2020 à minuit,
- Pour une troisième tranche, correspondant 2 000 actions attribuées gratuitement : 4 ans, prenant fin le 29 juin 2021 à minuit,
L'attribution gratuite d'actions ne sera définitive, pour le bénéficiaire, que sous réserve qu'à la date d'attribution définitive, il soit toujours salarié de la société LDLC Distribution.
Toutefois, conformément à la décision de l'Assemblée Générale du 30 septembre 2016, le bénéficiaire deviendra définitivement propriétaire des actions avant le terme de la période d'acquisition en cas d'invalidité de ce dernier correspondant au classement dans la deuxième ou la troisième des catégories prévues à l'article L.341-4 du Code de la sécurité sociale.
Conformément à l'article L.225-197-3 du Code de Commerce, en cas de décès du bénéficiaire, ses héritiers pourront demander l'attribution des actions dans un délai de six mois à compter du décès. Ces actions sont librement cessibles.
(10) Le bénéficiaire s'est engagé à conserver les actions qui lui auront été attribuées gratuitement pendant une période de deux ans à compter de la date d'attribution définitive de chaque tranche, soit :
(11) L'attribution gratuite d'actions ne sera définitive, pour chaque bénéficiaire, que sous réserve qu'à la date d'attribution définitive, il soit toujours salarié de la société ou d'une société liée au sens de l'article L.225-197-2 du Code de Commerce.
(12) Chaque bénéficiaire ne deviendra définitivement propriétaire des actions attribuées gratuitement qu'à l'issue d'une période d'acquisition définie comme suit : - Pour une première tranche de 10 000 actions attribuées gratuitement : 2 ans, prenant fin le 23 février 2020, à 23h59,
- Pour une deuxième tranche de 12 500 actions attribuées gratuitement : 3 ans, prenant fin le 23 février 2021, à 23h59,
- Pour une troisième tranche de 12 500 actions attribuées gratuitement : 4 ans, prenant fin le 23 février 2022, à 23h59.
L'attribution gratuite d'actions ne sera définitive qu'à la condition que chacun des bénéficiaires, pour ce qui le concerne, ait rempli condition ci-dessous :
- L'attribution gratuite d'actions au titre de la première tranche ne sera définitive, pour chaque bénéficiaire, que sous réserve qu'à la date d'attribution définitive de la première tranche, il ait été salarié, de façon ininterrompue depuis le 23 février 2018 et soit toujours salarié à la date d'attribution définitive de la première tranche, de la société OLYS, société liée à la société au sens de l'article L.225-197-2 du Code de Commerce ou de la société.
- L'attribution gratuite d'actions au titre de la deuxième tranche ne sera définitive, pour chaque bénéficiaire, que sous réserve qu'à la date d'attribution définitive de la deuxième tranche, il ait été salarié, de façon ininterrompue depuis le 23 février 2018 et soit toujours salarié à la date d'attribution définitive de la deuxième tranche, de la société OLYS, société liée à la société au sens de l'article L.225-197-2 du Code de Commerce ou de la société, et
- L'attribution gratuite d'actions au titre de la troisième tranche ne sera définitive, pour chaque bénéficiaire, que sous réserve qu'à la date d'attribution définitive de la troisième tranche, il ait été salarié, de façon ininterrompue depuis le 23 février 2018 et soit toujours salarié à la date d'attribution définitive de la troisième tranche, de la société OLYS, société liée à la société au sens de l'article L.225-197-2 du Code de Commerce ou de la société.
Toutefois, conformément à l'article L.225-197-1 du Code de Commerce et à la décision de l'Assemblée Générale du 30 septembre 2016, chaque bénéficiaire deviendra définitivement propriétaire des actions attribuées gratuitement avant le terme de la période d'acquisition en cas d'invalidité de ce dernier correspondant au classement dans la deuxième ou la troisième des catégories prévues à l'article L.341-4 du Code de la sécurité sociale.
Conformément à l'article L.225-197-3 du Code de Commerce, en cas de décès d'un bénéficiaire, ses héritiers respectifs pourront demander l'attribution des actions attribuées gratuitement dans un délai de six mois à compter du décès. Ces actions sont librement cessibles.
(1) Ces attributions gratuites d'actions ont été réalisées au profit de Monsieur Philippe Sauze en sa qualité de Directeur Général délégué, salarié de la société, en charge des aspects vente, web et marketing. Monsieur Philippe Sauze n'est plus membre du Directoire depuis le 29 novembre 2017.
(2) Concernant les actions attribuées gratuitement à Monsieur Philippe Sauze, ce dernier sera propriétaire desdites actions à l'issue d'une période d'acquisition qui a été fixée par le Directoire comme suit :
(13) Chaque bénéficiaire ne pourra céder les actions attribuées gratuitement définitivement acquises qu'à l'issue d'une période de un an débutant à compter de chaque date d'attribution définitive, soit à compter du :
Toutefois, les actions attribuées gratuitement seront librement cessibles avant la fin de la période de conservation en cas de décès ou d'invalidité du bénéficiaire correspondant à la deuxième ou troisième des catégories prévues à l'article L.341-4 du Code de la sécurité sociale.
De même, en cas de décès du bénéficiaire, les actions attribuées gratuitement définitivement attribuées à ce dernier seront librement cessibles conformément à l'article L.225-197-3 du Code de Commerce.
(14) Nous vous invitons à vous reporter à la note 4.2 de l'annexe aux comptes consolidés figurant en section 18.1.
Nous vous indiquons qu'aucune action n'a été attribuée gratuitement à chacun de ces mandataires par la société et par celles qui lui sont liées dans les conditions prévues à l'article L.225-197-2 du Code de Commerce ainsi que par les sociétés contrôlées au sens de l'article L.233-16 du Code de Commerce durant l'année et à raison des mandats et fonctions exercés dans la société.
Nous vous indiquons qu'aucune action n'a été attribuée gratuitement définitivement (expiration de la période d'acquisition) à chacun de ces mandataires par la société et par celles qui lui sont liées dans les conditions prévues à l'article L.225-197-2 du Code de Commerce ainsi que par les sociétés contrôlées au sens de l'article L.233-16 du Code de Commerce durant l'année et à raison des mandats et fonctions exercés dans la société.
Aucune action n'a été attribuée gratuitement durant l'exercice clos le 31 mars 2020 par la société et par les sociétés ou groupements qui lui sont liés dans les conditions prévues à l'article L.225-197-2 du Code de Commerce, à chacun des dix salariés de la société non mandataires sociaux dont le nombre d'actions attribuées gratuitement est le plus élevé.
Nous vous indiquons ci-après le nombre et la valeur des actions qui, durant l'année, ont été attribuées gratuitement définitivement (expiration de la période d'acquisition) par la société et par les sociétés ou groupements qui lui sont liés dans les conditions prévues à l'article L.225-197-2 du Code de Commerce, à chacun des dix salariés de la société non mandataires sociaux dont le nombre d'actions attribuées gratuitement est le plus élevé.
| Société(s) du Groupe concernée(s) | Date d'octroi | Nombre de salariés concernés |
Nombre d'actions définitivement attribuées |
Valeur des actions (cours de clôture au jour de l'attribution) |
|---|---|---|---|---|
| Groupe LDLC | 29/06/2017 | 1 | 1 000 | 28,49 euros |
| Groupe LDLC | 13/11/2017 | 3 | 2 000 | 19,55 euros |
| Groupe LDLC | 23/02/2018 | 1 | 10 000 | 17,94 euros |
| 13 000 |
(Article L.225-115, 4° du Code de Commerce)
Le montant global des sommes versées (rémunérations directes ou indirectes) aux dix personnes les mieux rémunérées de la société au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020 ressort à la somme de 1 262 495 euros.
Limonest, le 18 juin 2020
Olivier Villemonte de la Clergerie Directeur Général
Aux Actionnaires de la société Groupe LDLC,
En notre qualité de commissaires aux comptes de votre société et en application de l'article L.225-115 4° du Code de Commerce, nous avons établi la présente attestation sur les informations relatives au montant global des rémunérations versées aux personnes les mieux rémunérées pour l'exercice clos le 31 mars 2020, figurant dans le document ci-joint.
Ces informations ont été établies sous la responsabilité de votre Directeur Général.
Il nous appartient d'attester ces informations.
Dans le cadre de notre mission de commissariat aux comptes, nous avons effectué un audit des comptes annuels de votre société pour l'exercice clos le 31 mars 2020. Notre audit, effectué selon les normes d'exercice professionnel applicables en France, avait pour objectif d'exprimer une opinion sur les comptes annuels pris dans leur ensemble, et non pas sur des éléments spécifiques de ces comptes utilisés pour la détermination du montant global des rémunérations versées aux personnes les mieux rémunérées. Par conséquent, nous n'avons pas effectué nos tests d'audit et nos sondages dans cet objectif et nous n'exprimons aucune opinion sur ces éléments pris isolément.
Nous avons mis en œuvre les diligences que nous avons estimé nécessaires au regard de la doctrine professionnelle de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes relative à cette mission. Ces diligences, qui ne constituent ni un audit, ni un examen limité, ont consisté à effectuer les rapprochements nécessaires entre le montant global des rémunérations versées aux personnes les mieux rémunérées et la comptabilité dont il est issu et vérifier qu'il concorde avec les éléments ayant servi de base à l'établissement des comptes annuels de l'exercice clos le 31 mars 2020.
Sur la base de nos travaux, nous n'avons pas d'observation à formuler sur la concordance du montant global des rémunérations versées aux personnes les mieux rémunérées figurant dans le document joint et s'élevant à 1 262 495 euros avec la comptabilité ayant servi de base à l'établissement des comptes annuels de l'exercice clos le 31 mars 2020.
La présente attestation tient lieu de certification de l'exactitude du montant global des rémunérations versées aux personnes les mieux rémunérées au sens de l'article L.225-115 4° du Code de Commerce.
Elle est établie à votre attention dans le contexte précisé au premier paragraphe et ne doit pas être utilisée, diffusée ou citée à d'autres fins.
Fait à Lyon et à Villeurbanne, le 18 juin 2020
Les commissaires aux comptes
Cap Office Rémi Charnay Mazars Pierre Beluze Séverine Hervet
Le montant global des sommes ouvrant droit à la réduction d'impôt visée aux 1. et 5. de l'article 238 bis du Code Général des Impôts au cours de l'exercice clos le 31 mars 2020 s'élève à 216 761 euros.
Limonest, le 21 juillet 2020
Olivier Villemonte de la Clergerie Directeur Général
Aux actionnaires de la société Groupe LDLC,
En notre qualité de commissaires aux comptes de votre société et en application de l'article L. 225-115 5° du Code de commerce, nous avons établi la présente attestation sur les informations relatives au montant global des versements effectués en application des alinéas 1 et 5 de l'article 238 bis du Code Général des Impôts pour l'exercice clos le 31 mars 2020, figurant dans le document ci-joint.
Ces informations ont été établies sous la responsabilité du Directeur Général.
Il nous appartient d'attester ces informations.
Dans le cadre de notre mission de commissariat aux comptes, nous avons effectué un audit des comptes annuels de votre société pour l'exercice clos le 31 mars 2020. Notre audit, effectué selon les normes d'exercice professionnel applicables en France, avait pour objectif d'exprimer une opinion sur les comptes annuels pris dans leur ensemble, et non pas sur des éléments spécifiques de ces comptes utilisés pour la détermination du montant global des versements effectués en application des alinéas 1 et 5 de l'article 238 bis du Code Général des Impôts. Par conséquent, nous n'avons pas effectué nos tests d'audit et nos sondages dans cet objectif et nous n'exprimons aucune opinion sur ces éléments pris isolément.
Nous avons mis en œuvre les diligences que nous avons estimé nécessaires au regard de la doctrine professionnelle de la Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes relative à cette mission. Ces diligences, qui ne constituent ni un audit, ni un examen limité, ont consisté à effectuer les rapprochements nécessaires entre le montant global des versements effectués en application des alinéas 1 et 5 de l'article 238 bis du Code Général des Impôts et la comptabilité dont il est issu et vérifier qu'il concorde avec les éléments ayant servi de base à l'établissement des comptes annuels de l'exercice clos le 31 mars 2020.
Sur la base de nos travaux, nous n'avons pas d'observation à formuler sur la concordance du montant global des versements effectués en application des alinéas 1 et 5 de l'article 238 bis du Code Général des Impôts figurant dans le document joint et s'élevant à 216 761 euros avec la comptabilité ayant servi de base à l'établissement des comptes annuels de l'exercice clos le 31 mars 2020.
La présente attestation tient lieu de certification du montant global des versements effectués en application des alinéas 1 et 5 de l'article 238 bis du Code Général des Impôts au sens de l'article L.225-115 5° du Code de Commerce.
Elle est établie à votre attention dans le contexte précisé au premier paragraphe et ne doit pas être utilisée, diffusée ou citée à d'autres fins.
Fait à Lyon et à Villeurbanne, le 21 juillet 2020
Les commissaires aux comptes
Cap Office Rémi Charnay Mazars Pierre Beluze Séverine Hervet
La table de concordance ci-dessous permet d'identifier dans le présent document d'enregistrement :
√ Les informations qui constituent le rapport annuel (article 4.2.1 des règles de marché Euronext Growth).
√ Les informations qui constituent le rapport de gestion (article L.225-100 et suivants du Code de Commerce).
| Rapport annuel | Document d'enregistrement universel |
Pages | ||
|---|---|---|---|---|
| 2 | Rapport de gestion | Voir index | Voir index | |
| ci-dessous | ci-dessous | |||
| 4 | Comptes consolidés | § 18.1 | 126 | |
| 5 | Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés | § 18.2 | 178 | |
| 7 | Comptes annuels | § 18.3 | 181 | |
| 8 | Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels | § 18.4 | 207 | |
| Rapport de gestion annuel | Document d'enregistrement universel |
Pages | |
|---|---|---|---|
| 1 | Situation de la société et activité au cours de l'exercice écoulé | § 5 & 18 | 39/126 |
| 2 | Examen des comptes et résultats | § 7 & 8 & 18 | 52/71/126 |
| 3 | Affectation des résultats | § 18.8 | 211 |
| 4 | Dépenses non déductibles fiscalement | § 18.9 | 211 |
| 5 | Rappel des dividendes distribués | § 18.7.1 | 210 |
| 6 | Principaux risques et incertitudes auxquels la société est confrontée / Utilisation des instruments financiers par la société |
§ 3 | 30 |
| 7 | Information sur les délais de paiement des fournisseurs et des créances clients |
§ 18.10 | 212 |
| 8 | Activité en matière de recherche et développement | § 7.6 | 69 |
| 9 | Évolution prévisible et perspectives d'avenir | § 5 & 10 | 39/83 |
| 10 | Événements importants survenus depuis la clôture de l'exercice | § 7.7 & 10 | 70/83 |
| 11 | Participation des salariés au capital à la clôture de l'exercice | § 15.3 | 119 |
| 12 | Gouvernement d'entreprise | § 14.5 | 104 |
| 13 | Informations générales concernant les mandataires sociaux | § 12 & 14.5 | 90/104 |
| 14 | Rémunération et engagements de retraite et autres avantages viagers des mandataires sociaux |
§ 13 & 14.5 | 93/104 |
| 15 | État récapitulatif des opérations des dirigeants et des personnes mentionnées à l'article L.621-18-2 du Code monétaire et financier sur les titres de la société réalisées au cours de l'exercice écoulé |
§ 13.3 | 101 |
| 16 | Activités des filiales et des sociétés contrôlées | § 6 & 7.5 | 50/59 |
| 17 | Prises de participations significatives dans des sociétés ayant leur siège en France, ou prises de contrôle de telles sociétés ; cessions de telles participations |
§ 6.3 | 51 |
| 18 | Renseignements relatifs à la répartition du capital et à l'auto-contrôle – Programme de rachat d'actions |
§ 16 & 19.1.3 | 120/215 |
| 19 | Modifications intervenues au cours de l'exercice dans la composition du capital |
§ 19.1.1 | 215 |
| 20 | Évolution du titre – Risque de variation de cours | § 16 & 3 | 120/30 |
| 21 | Délégations de pouvoirs ou de compétences en matière d'augmentation de capital |
§ 14.5 | 104 |
| 22 | Tableau des résultats des cinq derniers exercices | § 18.11 | 213 |
| 23 | Rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise | § 14.5 | 104 |
| 24 | Rapport des commissaires aux comptes sur le rapport du Conseil de Surveillance sur le gouvernement d'entreprise |
§ 14.6 & 18.4 | 117/207 |
| 25 | Déclaration de performance extra-financière | § 22 | 223 |
| 26 | Rapport de l'organisme tiers indépendant sur la déclaration de performance extra-financière |
§ 23 | 249 |
| 27 | Rapport spécial relatif aux attributions gratuites d'actions (article L.225-197-4 du Code de Commerce) |
§ 24 | 251 |
2, rue des Erables CS21035 69578 Limonest cedex FRANCE Tél +33 (0)4 72 52 37 77 Fax +33 (0)4 72 52 37 78
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