Earnings Release • May 18, 2021
Earnings Release
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Avancées dans la simplification du Groupe : vente annoncée d'ENGIE EPS et sortie de la Turquie
Forte croissance brute et organique de l'EBITDA et de l'EBIT
Catherine MacGregor, Directrice générale, a déclaré : "ENGIE a réalisé un bon début d'année avec une croissance du résultat d'exploitation qui s'appuie sur une performance opérationnelle solide. Nous avons poursuivi nos progrès en matière de simplification du Groupe tout en maintenant une attention particulière sur la réalisation de nos objectifs.
Nous avons réaffirmé notre guidance pour 2021 et nos priorités sont claires : améliorer notre performance en nous concentrant sur notre expertise industrielle de premier plan ; finaliser les revues stratégiques en cours et créer de la valeur en allouant le capital aux activités qui permettront d'accélérer la transition vers la neutralité carbone."
| En milliards d'euros | 31/03/2021 | 31/03/2020 | Δ 2021/20 brute |
Δ 2021/20 organique |
|
|---|---|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 16,9 | 16,5 | + 2,3 % | + 4,8 % | |
| EBITDA | 3,2 | 3,1 | + 5,3 % | + 7,3 % | |
| EBIT | 2,1 | 1,9 | + 8,3 % | + 10,0 % | |
| 4 Cash Flow From Operations |
1,7 | 0,2 | +1.5 Md€ | ||
| Dette financière nette | 22,5 | + 0,1 Md€ vs. 31/12/2020 |
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N.B. Les notes de bas de page se trouvent en page 6.
Au cours du premier trimestre, le Groupe a réalisé une performance opérationnelle solide, grâce notamment à une plus grande disponibilité des actifs nucléaires belges, et a bénéficié de prix de l'électricité plus élevés en Europe. Ces effets ont plus que compensé l'impact du froid extrême qui a frappé le Texas pour lequel le Groupe estime que l'impact potentiel sur l'année pleine compris entre 80 et 120 millions d'euros reste inchangé, dans l'attente d'informations complémentaires sur les créances des activités de Supply.
Pour l'année 2021, ENGIE réaffirme sa guidance avec un résultat net récurrent part du Groupe attendu entre 2,3 et 2,5 milliards d'euros. Les informations détaillées sur la guidance sont rappelées en page 5.
Le Groupe a réalisé une performance opérationnelle solide sur la période.
ENGIE a mis en service environ 0,5 GW de capacités renouvelables au cours du premier trimestre, y compris son premier projet éolien offshore fixe (Seamade en Belgique), et le Groupe est en bonne voie pour mettre en service 3 GW de capacités renouvelables en 2021. Également au sein des activités Renouvelables, l'intégration des actifs hydrauliques au Portugal (1,7 GW) acquis en décembre 2020 s'est déroulée avec succès. Le Groupe a maintenu de hauts niveaux de sécurité et de fiabilité de ses Infrastructures et a poursuivi le déploiement des compteurs gaz communicants en France. La construction de 2 800 km de lignes de transport d'électricité au Brésil se déroule comme prévu.
Dans les Solutions Clients, après une année 2020 très impactée, les niveaux d'activité ont progressé et l'impact résiduel de la Covid-19 au premier trimestre a été conforme aux attentes. Dans le Thermique et Supply, les spreads captés ont été plus élevés en Europe et le Groupe a réalisé une bonne performance commerciale. La disponibilité des réacteurs nucléaires belges a atteint un niveau record (95 % vs. 69 % au Q1 2020).
Une nouvelle organisation a été annoncée en janvier et le Groupe a poursuivi ses progrès en matière de simplification. La revue des activités Solutions Clients est en bonne voie, la vente d'ENGIE EPS a été annoncée et la sortie de Turquie a été réalisée.
Un chiffre d'affaires à 16,9 milliards d'euros, en hausse brute de 2 % et de 5 % en organique.
Un EBITDA de 3,2 milliards d'euros, en hausse brute de 5 % et 7 % en organique. Les évolutions sont globalement en ligne avec celles de l'EBIT.
Un EBIT de 2,1 milliards d'euros, en croissance brute de 8 %, et organique de 10 %.
• Variations de périmètre : l'augmentation globale inclut un effet périmètre positif de 49 millions d'euros, principalement lié à la cession de 29,9 % des parts du Groupe dans SUEZ, dont la contribution était négative au Q1 2020, et à la contribution positive des actifs hydrauliques au Portugal acquis en décembre 2020.
| En millions d'euros | 31/03/2021 | 31/03/2020 | Δ 2021/20 brute |
Δ 2021/20 organique |
dont effet temp. vs. Q1 2020 |
|---|---|---|---|---|---|
| Renouvelables | 272 | 327 | - 17 % | - 7 % | |
| Infrastructures | 1 070 | 933 | + 15 % | + 16 % | + 78 |
| Solutions Clients | 149 | 114 | + 31 % | + 9 % | |
| Thermique | 286 | 274 | + 4 % | + 10 % | |
| Supply | 226 | 206 | + 10 % | + 11 % | + 40 |
| Nucléaire | 53 | (80) | - | - | |
| Autres | 10 | 133 | - 93 % | - 93 % | + 10 |
| TOTAL ENGIE | 2 065 | 1 907 | + 8 % | + 10 % | + 128 |
Les Renouvelables ont affiché un EBIT en baisse organique de 7 %. En excluant l'effet du froid extrême au Texas, les Renouvelables ont réalisé une performance conforme aux attentes, avec une contribution en hausse des actifs hydrauliques, liée à des prix captés plus élevés en France (qui ont plus que compensé des volumes en baisse) et une bonne performance au Brésil, ainsi que des actifs mis en service l'année dernière. Cependant, la performance globale des Renouvelables a été impactée par l'épisode de froid extrême survenu au Texas (environ - 80 millions d'euros). Cet impact résulte d'une baisse de la production liée au gel des pales d'éoliennes et au rachat associé de couvertures pour répondre aux obligations contractuelles.
Les Infrastructures ont enregistré une hausse organique de l'EBIT de 16 %, principalement liée à des températures plus froides comparées à l'année dernière en Europe, notamment en France, avec un effet positif sur les activités de distribution de gaz en France (+ 11 TWh vs. 2020). Les Infrastructures ont également bénéficié d'une contribution en hausse des lignes de transport d'électricité en construction et de TAG au Brésil, ainsi que d'une reprise après les impacts de la Covid-19 en 2020 en France.
Les Solutions Clients ont enregistré une hausse organique de l'EBIT de 9 %, avec une meilleure performance aux Etats-Unis, dans les activités d'installations et d'efficacité énergétique, et en France, principalement grâce aux réseaux urbains de chaleur qui ont bénéficié des températures plus froides. Ces effets positifs ont été partiellement compensés par une activité moindre et des marges en baisse au Royaume-Uni (principalement liés aux effets résiduels de la crise de la Covid-19). Les Solutions Clients ont également continué de bénéficier des actions, tant sur les coûts que sur le besoin en fonds de roulement, mises en place en 2020.
L'EBIT de l'activité Thermique a été en croissance organique de 10 %, principalement due à des spreads captés en Europe plus élevés, et à un effet timing positif sur la prise en compte des rémunérations de capacité en France. Ces effets favorables ont été partiellement compensés par une baisse significative des marges au Chili, où le système électrique a été impacté par une série d'évènements défavorables qui a conduit à une augmentation des prix spot.
L'EBIT du Supply a augmenté de 11 % en organique, principalement grâce à un effet température favorable (notamment en France et au Benelux), et à la reprise suite aux impacts de la Covid-19 en 2020. Ces effets positifs ont été en partie compensés par des effets timing négatifs sur les marges en France.
L'EBIT du Nucléaire s'est amélioré significativement, bénéficiant de prix captés plus élevés et de volumes produits en hausse en Belgique (12,3 TWh, + 37 % par rapport au Q1 2020) grâce à un très bon niveau de disponibilité des actifs. Des amortissements moins élevés, principalement liés à l'ajustement de valeur comptabilisé en décembre 2020, ont également contribué à cette hausse.
L'EBIT des activités Autres a baissé en organique notamment en raison de la normalisation des résultats de GEM après une performance en 2020 particulièrement forte, et de GTT après la contribution record de 2020.
ENGIE procède à l'analyse de l'arrêt récent du Tribunal de l'Union Européenne dans la procédure visant les aides d'État qui lui auraient été accordées par le Luxembourg. Le Groupe examine ses possibles options d'appel. Le paiement de 123 millions d'euros a été effectué par ENGIE dès 2018, et tout impact potentiel sur le compte de résultat serait non récurrent.
La dette financière nette s'établit à 22,5 milliards d'euros, en hausse de 0,1 milliard d'euros par rapport au 31 décembre 2020.
(iii) Et le versement de dividendes aux participations ne donnant pas le contrôle de 0,1 milliard d'euros ont été compensés par :
Le Cash Flow From Operations s'établit à 1,7 milliard d'euros, en hausse de 1,5 milliard d'euros par rapport au 1er trimestre 2020, notamment grâce à de moindres appels de marge sur le trading d'énergie et aux actions du management sur le besoin en fonds de roulement d'exploitation.
Le ratio dette financière nette / EBITDA s'élève à 2,4x, stable par rapport à fin décembre 2020. Le coût moyen de la dette brute s'élève à 2,56 %, en hausse de 18 points de base par rapport au 31 décembre 2020.
Le ratio dette économique nette / EBITDA s'élève à 3,9x, en ligne avec l'objectif inférieur ou égal à 4,0x.
Le 24 mars 2021, Fitch a abaissé sa notation long terme à A- et maintenu sa notation court terme à F1.
ENGIE réaffirme la guidance annoncée lors de la présentation de ses résultats annuels en février.
Pour rappel, la guidance 2021 est un résultat net récurrent part du Groupe compris entre 2,3 et 2,5 milliards d'euros. Cet objectif repose sur une fourchette indicative d'EBITDA de 9,9 à 10,3 milliards d'euros et d'EBIT de 5,2 à 5,6 milliards d'euros.
ENGIE continue de viser une notation de crédit "strong investment grade" et un ratio de dette économique nette / EBITDA inférieur ou égal à 4,0x sur le long terme.
Pour 2021, ENGIE prévoit des investissements de croissance entre 5,5 et 6,0 milliards d'euros, et environ 4,0 milliards d'euros d'investissements de maintenance et de financement des provisions nucléaires belges.
La présentation de la conférence vidéo investisseurs sur les informations financières du 1er trimestre 2021 est disponible sur le site internet du Groupe :https://www.engie.com/finance/resultats/2021
| 20 mai 2021 | Assemblée Générale des actionnaires |
|---|---|
| 26 mai 2021 | Paiement du dividende 2020 |
| 30 juillet 2021 | Publication des résultats financiers du 1er semestre 2021 |
| 10 novembre 2021 | Publication des informations financières au 30 septembre 2021 |
1 Variation organique = variation brute hors effets de change et de périmètre
2 Le principal indicateur de performance du Groupe "Résultat Opérationnel Courant (ROC)" a été renommé "EBIT" afin de s'aligner sur les pratiques de marché. Il n'y a pas de changement dans sa définition et dans son calcul. L'EBIT, anciennement ROC, est le résultat courant avant charges financières nettes et taxes mais après quote-part du résultat net récurrent des entités mises en équivalence ; calculé comme le résultat des activités opérationnelles avant éléments nonrécurrents tels que les Mark-to-Market des instruments financiers à caractère opérationnel, les pertes de valeurs, les charges de restructurations, les effets de périmètres et autres éléments non récurrents
3 Ces objectifs et ces indications reposent sur des hypothèses de température moyenne en France pour 2021, de répercussion complète des coûts d'approvisionnement sur les tarifs régulés du gaz en France, d'absence de changement substantiel de réglementation ou de l'environnement macro-économique, d'absence de changement comptable significatif, de prix de commodités sur les conditions de marchés au 31 décembre 2020, de cours de change moyens pour 2020 : €/\$ : 1,23 ; €/BRL : 6,27; jusqu'à 0.1 Md€ d'effet dilutif sur l'EBIT provenant de cessions pour environ 2 milliards d'euros venant en plus des transactions déjà signées. Ces prévisions sont basées sur l'absence de nouvelles mesures de confinement majeur et d'un assouplissement progressif des mesures de restriction au cours de l'année 2021
4 Cash Flow From Operations = Free Cash Flow avant Capex de maintenance
5 Premiers effets dans les activités « Autres » liés au transfert de Entreprises & Collectivités de « Supply » vers « Autres »
Les agrégats présentés sont ceux habituellement utilisés et communiqués aux marchés par ENGIE. La présente communication contient des informations et des déclarations prospectives. Ces déclarations comprennent des projections financières et des estimations ainsi que les hypothèses sur lesquelles celles-ci reposent, des déclarations portant sur des projets, des objectifs et des attentes concernant des opérations, des produits ou des services futurs ou les performances futures. Bien que la direction d'ENGIE estime que ces déclarations prospectives sont raisonnables, les investisseurs et les porteurs de titres ENGIE sont alertés sur le fait que ces informations et déclarations prospectives sont soumises à de nombreux risques et incertitudes, difficilement prévisibles et généralement en dehors du contrôle d'ENGIE qui peuvent impliquer que les résultats et développements attendus diffèrent significativement de ceux qui sont exprimés, induits ou prévus dans les déclarations et informations prospectives. Ces risques comprennent ceux qui sont développés ou identifiés dans les documents publics déposés par ENGIE auprès de l'Autorité des Marchés Financiers (AMF), y compris ceux énumérés sous la section « Facteurs de Risque » du document de référence d'ENGIE (ex GDF SUEZ) enregistré auprès de l'AMF le 17 mars 2021 (sous le numéro D.21-142). L'attention des investisseurs et des porteurs de titres ENGIE est attirée sur le fait que la réalisation de tout ou partie de ces risques est susceptible d'avoir un effet défavorable significatif sur ENGIE.
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Nous sommes un groupe mondial de référence dans l'énergie bas carbone et les services. Avec nos 170 000 collaborateurs, nos clients, nos partenaires et nos parties prenantes, nous sommes engagés chaque jour pour accélérer la transition vers un monde neutre en carbone, grâce à des solutions plus sobres en énergie et plus respectueuses de l'environnement. Guidés par notre raison d'être, nous concilions performance économique et impact positif sur les personnes et la planète en nous appuyant sur nos métiers clés (gaz, énergies renouvelables, services) pour proposer des solutions compétitives à nos clients.
Chiffre d'affaires en 2020 : 55,8 milliards d'euros. Coté à Paris et Bruxelles (ENGI), le Groupe est représenté dans les principaux indices financiers (CAC 40, DJ Euro Stoxx 50, Euronext 100, FTSE Eurotop 100, MSCI Europe) et extrafinanciers (DJSI World, DJSI Europe, Euronext Vigeo Eiris - Eurozone 120/ Europe 120/ France 20, MSCI EMU ESG, MSCI Europe ESG, Euro Stoxx 50 ESG, Stoxx Europe 600 ESG, and Stoxx Global 1800 ESG).
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Chiffre d'affaires de 16,9 milliards d'euros, en hausse brute de 2 % et organique de 5 %. L'effet de change est principalement lié à la dépréciation du dollar américain et du real brésilien par rapport à l'euro. En organique, le chiffre d'affaires a augmenté notamment grâce à des températures plus froides, une augmentation du prix des commodités, une reprise des activités de Solutions Clients et aux actifs renouvelables mis en service l'an dernier.
Chiffre d'affaires En millions d'euros 31 mars 2021 31 mars 2020 Variation brute Variation organique Renouvelables 808 928 - 13,0 % + 3,0 % Infrastructures 2 155 2 019 + 6,7 % + 9,6 % Solutions Clients 5 426 5 240 + 3,6 % + 4,6 % Thermique 851 890 - 4,4 % + 3,0 % Supply 5 028 5 027 + 0,0 % + 1,4 % Nucléaire 4 12 - 71,0 % - 71,0 % Autres 2 599 2 377 + 9,3 % + 10,3 % Groupe ENGIE 16 870 16 493 + 2,3 % + 4,8 %
Chiffre d'affaires contributif, après élimination des opérations intragroupes
Le chiffre d'affaires des Renouvelables a baissé de 13,0 % en brut et a augmenté de 3,0 % en organique. La baisse brute inclut un effet change négatif au Brésil. En organique, le chiffre d'affaires a augmenté principalement en France grâce à des prix captés plus élevés pour la production hydroélectrique, qui ont compensé des volumes plus faibles après le niveau record de production éolienne au premier trimestre 2020
Le chiffre d'affaires des Infrastructures a augmenté de 6,7 % en brut et de 9,6 % en organique. La variation brute est affectée par des effets de change négatifs en Amérique latine et par les variations de périmètre en Turquie. L'augmentation du chiffre d'affaires des infrastructures en France est principalement liée à la hausse des volumes de gaz distribués à la suite des températures plus froides par rapport à 2020. En dehors de France, l'augmentation du chiffre d'affaires provient de la construction des lignes de transport d'électricité au Brésil.
Le chiffre d'affaires des Solutions Clients a augmenté de 3,6 % en brut et de 4,6 % en organique. La hausse brute inclut des effets change défavorables notamment aux Etats-Unis. En organique, l'activité a augmenté significativement en France pour les infrastructures d'énergie et les services associés, ainsi que les activités d'installation.
Le chiffre d'affaires de l'activité Thermique a baissé de 4,4 % en brut et augmenté de 3 % en organique. La baisse brute comprend un effet de change négatif principalement lié au dollar américain. La hausse organique s'explique notamment par une meilleure performance en Europe avec un niveau de services ancillaires plus élevé en France, en Italie et aux Pays-Bas, et un effet timing positif sur la prise en compte des revenus de rémunération de capacité en France. Ces effets positifs ont été partiellement compensés par une moindre production au Brésil et des actifs moins dispatchés au Moyen-Orient.
Le chiffre d'affaires du Supply est resté stable en brut et en croissance de 1,4 % en organique. La stabilité brute inclut un effet change négatif principalement lié au dollar américain. En organique, la hausse provient d'un effet volume positif sur les ventes de gaz, en lien avec des températures plus favorables par rapport à 2020, et à un effet prix positif net notamment sur l'électricité.
Le chiffre d'affaires du Nucléaire est non significatif après élimination des opérations intragroupes, puisque la production est vendue en interne à d'autres activités du Groupe.
Le chiffre d'affaires des activités Autres a augmenté de 9,3 % en brut en raison notamment de volumes et de prix plus élevés chez GEM, partiellement compensés par la baisse des revenus de GTT après une année 2020 record.
| Q1 2021 En millions d'euros |
France | Reste de l'Europe |
Amérique Latine |
Etats Unis & Canada |
Moyen Orient, Afrique & Asie |
Autres | Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Renouvelables | 108 | 45 | 177 | (71) | 17 | (4) | 272 |
| Infrastructures | 854 | 83 | 116 | 0 | 18 | (2) | 1 070 |
| Solutions Clients | 143 | 31 | 1 | (1) | 1 | (25) | 149 |
| Thermique | 120 | 51 | 17 | 105 | (7) | 286 | |
| Supply | 139 | 109 | 24 | (5) | (19) | (22) | 226 |
| Nucléaire | 53 | 53 | |||||
| Autres | 10 | 10 | |||||
| Groupe ENGIE | 1 244 | 440 | 369 | (61) | 121 | (49) | 2 065 |
| Q1 2020 En millions d'euros |
France | Reste de l'Europe |
Amérique Latine |
Etats Unis & Canada |
Moyen Orient, Afrique & Asie |
Autres | Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Renouvelables | 72 | 38 | 207 | 2 | 24 | (16) | 327 |
| Infrastructures | 781 | 66 | 86 | 1 | 2 | (2) | 933 |
| Solutions Clients | 128 | 40 | (2) | (22) | 4 | (33) | 114 |
| Thermique | 80 | 84 | 4 | 112 | (6) | 274 | |
| Supply | 175 | 93 | 6 | (12) | (46) | (10) | 206 |
| Nucléaire | (80) | (80) | |||||
| Autres | (1) | (0) | 2 | (1) | 133 | 133 | |
| Groupe ENGIE | 1 155 | 235 | 380 | (25) | 95 | 67 | 1 907 |
| En millions d'euros | 31 mars 2021 | 31 mars 2020 | Variation brute/organique |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 16 870 | 16 493 | variation + 2,3 % |
| Effet périmètre Effet change |
- 26 | - 63 - 360 |
|
| Données comparables | 16 844 | 16 070 | + 4,8 % |
| En millions d'euros | 31 mars 2021 | 31 mars 2020 | Variation brute/organique |
|---|---|---|---|
| EBITDA | 3 224 | 3 063 | + 5,3 % |
| Effet périmètre Effet change |
- 23 | + 21 - 100 |
|
| Données comparables | 3 201 | 2 984 | + 7,3 % |
| En millions d'euros | 31 mars 2021 | 31 mars 2020 | Variation brute/organique |
|---|---|---|---|
| EBIT | 2 065 | 1 907 | + 8,3 % |
| Effet périmètre Effet change |
- 22 | + 27 - 77 |
|
| Données comparables | 2 043 | 1 857 | + 10,0 % |
Le calcul de la croissance organique vise à présenter des données comparables tant en termes de taux de change utilisés pour la conversion des états financiers de sociétés étrangères qu'en termes d'entités contributives (méthode de consolidation et contribution en termes de nombre de mois comparable). La croissance organique en pourcentage représente le rapport entre les données de l'année en cours (N) et de l'année précédente (N-1) retraitées comme suit :
• Les données N-1 sont corrigées en supprimant les contributions des entités cédées au cours de la période N-1 ou prorata temporis pour le nombre de mois postérieurs à la cession en N.
• Les données N-1 sont converties au taux de change de la période N.
• Les données N sont corrigées des données des acquisitions N ou prorata temporis pour le nombre de mois antérieurs à l'acquisition en N-1
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