Interim / Quarterly Report • Aug 28, 2014
Interim / Quarterly Report
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STEF • SA au capital de 13 515 649 euros • 999 990 005 RCS Paris • Identifiant TVA FR 05 999 990 005 93 boulevard Malesherbes 75008 Paris • Tél. 01 40 74 29 00 • Fax : 01 40 74 27 90 • www.stef.com
| I. | Rapport d'activité du premier semestre 2014 | Page 4 | |
|---|---|---|---|
| II. | Comptes consolidés intermédiaires résumés du semestre clos au 30 juin 2014 |
Page 21 | |
| III. | Attestation du responsable du rapport financier semestriel | Page 34 | |
| IV. | Rapport des Commissaires aux comptes sur l'information financière semestrielle 2014 |
Page 37 |
I.
RAPPORT D'ACTIVITE PREMIER SEMESTRE 2014
Rapport financier semestriel 2014 28/08/2014 Page 3 / 38
Si la zone euro est sortie de récession début 2014, la reprise reste fragile et inégale (+0,2% au premier trimestre et 0% au second trimestre 2014). Le niveau de chômage encore élevé (11,5% en zone euro) pèse toujours sur la demande intérieure.
Au cours des prochains mois, la zone euro devra faire face à un double défi : la dette publique et le faible niveau d'inflation qui a atteint en juillet son niveau le plus bas depuis 2009 (0,4%), faisant craindre un risque de déflation.
La plupart des indicateurs économiques du 1er trimestre 2014 sont en deçà des prévisions (prévision annuelle de croissance ramenée de 1% à 0,7% pour la France1 ).
L'activité n'a pas progressé au premier trimestre. Toutefois, la consommation alimentaire des ménages a montré des signes positifs au second trimestre (+0,9% en volume).2
La réduction de la dépense publique et le manque de compétitivité des entreprises françaises ont pesé sur l'économie.
L'économie espagnole s'est renforcée au 1er semestre 2014, notamment grâce à une reprise de la demande intérieure et à un rebond significatif de la production agroalimentaire. Avec une croissance de 0,4% au premier trimestre et de 0,6% au second trimestre, l'Espagne connait sa plus forte croissance économique depuis six ans.
Le taux de chômage, même s'il reste encore élevé, a légèrement fléchi pour s'établir à 24,5% de la population active.
Si la reprise se dessine, celle-ci reste toutefois faible et incertaine. Après un recul de 0,6% au premier trimestre 2014, le PIB a augmenté de 0,6% au second trimestre 2014. Le recul des prix à la consommation et la légère diminution du taux de chômage ont favorisé un modeste redressement de la consommation.
1 Source FMI
2 Source Insee
Avec un PIB en recul de -0,1% au premier trimestre et de -0,2% au second trimestre 2014, l'Italie est de nouveau en récession. Malgré un regain des exportations, notamment dans l'industrie agroalimentaire, la reprise s'avère difficile.
Toutefois, les baisses d'impôts votées, en avril, par le gouvernement peuvent laisser présager une légère reprise de la consommation.
Au cours de la période, la Belgique a enregistré sa plus forte croissance du PIB depuis trois ans. En situation chronique d'instabilité politique, le pays devrait confirmer sa bonne orientation avec une intensification des exportations et une demande intérieure à la hausse, après le recul constaté sur les deux dernières années3 .
La Suisse continue à tirer son épingle du jeu. Des perspectives positives se font jour, orientées par une demande intérieure forte et par la hausse des exportations, jusqu'ici limitées par le ralentissement économique en zone euro.
Les grands groupes mondiaux de l'industrie agroalimentaire ont investi dans les pays émergents en 2013. La croissance de ces derniers s'étant révélée plus faible que prévu, cette situation a contribué au renforcement des concentrations dans l'industrie agroalimentaire au cours du premier semestre 2014.
Si l'industrie agroalimentaire espagnole a poursuivi sa croissance, la production agroalimentaire est restée en retrait, en France et en Belgique, du fait d'un manque de compétitivité.
De surcroît, en France, le premier semestre a particulièrement été marqué par des négociations commerciales tendues entre les acteurs de l'industrie agroalimentaire et les distributeurs.
Si la confiance des consommateurs reprend progressivement en Europe, la grande distribution doit faire face aux risques de déflation. Les prix des produits alimentaires ont reculé de 1,1% en zone euro en juin 2014, comparativement à 2013. En France, cette situation a notamment accentué la guerre des prix que se livrent les distributeurs.
Afin de se développer, les enseignes misent sur trois stratégies de croissance : l'innovation (nouveaux produits et services aux clients), l'international et le développement du e-commerce.
Nota : Les indicateurs figurent en annexe.
3 Source : Bureau Fédéral du Plan en Belgique
Dans la dynamique du dernier trimestre 2013, le groupe affiche, au premier semestre 2014, une hausse de son chiffre d'affaires de + 5,9% par rapport au premier semestre 2013. Celui-ci s'établit à 1 331,4 M€.
Cette progression est essentiellement due au plein effet des flux de la société EBREX, intégrée en début d'année et à une bonne dynamique des activités à l'international.
Malgré un environnement économique peu propice à la consommation, le groupe a renforcé ses actions commerciales qui lui ont permis d'atteindre des niveaux d'activité supérieurs à ses marchés, sur chaque métier.
Malgré la grande volatilité de la consommation alimentaire qui complexifie l'organisation des flux de Transport, le réseau STEF Transport France a poursuivi le renforcement de ses positions sur ses marchés cibles.
Le positionnement stratégique du groupe sur le marché du mid-market et la consolidation des volumes, suite à l'intégration des flux d'EBREX, à partir du mois de janvier, font ressortir une progression du chiffre d'affaires du pôle Transport France de 8,5% par rapport au premier semestre 2013, pour s'établir à 592,0 M€.
Cependant, dans un marché marqué par un tassement des volumes, l'évolution du périmètre a aussi permis de compenser d'autres tendances défavorables :
La production du réseau a été impactée par l'intégration des flux de la société EBREX au premier trimestre.
Les coûts directs liés à l'adaptation des structures de la société EBREX ainsi que les surcoûts de fonctionnement liés à la préservation de la qualité du service ont pesé sur les résultats opérationnels de cette période.
Le second trimestre a fait ressortir une légère amélioration de la performance économique, par rapport à 2013. Cette bonne orientation confirme les capacités du réseau STEF Transport à intégrer cette opération de croissance externe et valide sa pertinence pour le développement du groupe.
Le pôle Logistique France affiche une croissance de chiffre d'affaires de 4,2%, tirée par le fort développement de l'activité de la Restauration hors domicile, dû principalement à l'apport du dossier Quick, issu du rachat de la société EBREX. L'activité a également été soutenue par le démarrage d'un contrat logistique structurant avec une enseigne de la grande distribution pour l'exploitation d'une plate-forme dédiée en région Midi-Pyrénées, courant juin.
A périmètre constant, le premier semestre s'est caractérisé par une activité stable, ponctuée par d'importantes fluctuations des volumes traités sur de très courtes périodes. Cette situation inédite a permis de démontrer les capacités du groupe à ajuster ses processus de planification opérationnelle et à adapter ses moyens de production.
Le périmètre Frais affiche une croissance modeste, mais supérieure à l'évolution du marché sur cette typologie de produits.
Les autres périmètres (Surgelé, GMS, Restauration et Tempéré et Sec alimentaire) sont pénalisés par le ralentissement de la consommation alimentaire. De nouveaux contrats signés en début d'année permettent d'envisager des perspectives de développement au second semestre sur le segment du Tempéré et Sec alimentaire.
La nette amélioration du résultat opérationnel courant (retraité des éléments exceptionnels de l'année 2013) provient :
des performances du périmètre de la Restauration qui poursuit son plan de reconfiguration, à la suite de la phase de forte croissance de la période 2012-2013,
des résultats de l'adaptation du dispositif Surgelé, réalisé en 2013.
Les activités européennes de STEF confirment leur bonne orientation et clôturent le premier semestre 2014 avec un chiffre d'affaires en hausse de 6,9% par rapport à 2013, à même époque. Elles bénéficient des résultats d'un plan d'actions commercial énergique dans un environnement économique peu favorable. Le résultat opérationnel en forte progression contribue significativement au résultat opérationnel d'ensemble.
Dans un environnement économique encore fragile, STEF a poursuivi le plan de redressement de ses activités en Italie. Les choix opérés sur les orientations commerciales ont été couronnés de succès et le chiffre d'affaires affiche, à fin juin, une croissance supérieure à 7%, particulièrement marquée sur le segment du mid-market et sur les activités à l'international.
STEF a rationnalisé son organisation juridique en Italie avec la création de deux pôles opérationnels, transport et logistique, effective depuis le 1er janvier 2014.
Fort de la bonne orientation de ses activités, STEF Italie a renforcé ses parts de marché, avec le rapprochement récent avec Trentino Fresco, dans la région du Nord-Est de l'Italie (apport de 3 M€ de chiffre d'affaires attendus en année pleine).
Le chiffre d'affaires a progressé de 9% par rapport au premier semestre 2013. Le renforcement des actions commerciales entamé en 2012 a porté ses fruits, en particulier sur les segments du mid-market et auprès des clients grands comptes nationaux. L'ensemble des activités est en progression, avec une évolution marquée pour les acteurs de la restauration.
La performance économique est en amélioration, grâce à la bonne maîtrise de l'exploitation et à la politique rigoureuse de maîtrise des coûts initiée en 2013.
Le chiffre d'affaires du premier semestre est stable par rapport à 2013. Les faibles flux constatés sur les activités traditionnelles, du fait de l'environnement économique peu porteur, ont été compensés par le fort dynamisme des flux internationaux.
Les activités logistiques ont enregistré de bonnes performances. Les Pays Bas ont recueilli les fruits des orientations commerciales initiées en 2013. STEF poursuit le déploiement de son modèle en Europe du Nord pour compléter son offre de services sur la zone Benelux.
Dans la continuité de ses activités internationales, le Transport a poursuivi son développement sur les flux à destination de l'Italie.
Les activités en Suisse ont bénéficié du plein effet de la récente implantation en Suisse alémanique, suite à l'acquisition d'un entrepôt à Kriens, réalisée courant 2013.
Le premier semestre 2014 a vu démarrer la nouvelle convention de délégation de service public maritime conclue avec la Collectivité Territoriale de Corse pour la desserte des ports corses à partir de Marseille, d'une période de dix ans.
L'activité du port de Marseille a été impactée par un environnement social perturbé par trois conflits sociaux. Les deux derniers, intervenus au cours du second trimestre, sont restés extérieurs à La Méridionale.
Par ailleurs, le marché maritime entre le continent français et la Corse s'est révélé morose avec un trafic passager en repli de 5,3%, et de 0,5% pour l'activité fret.
Le port de Marseille a continué de souffrir de la concurrence du port de Toulon et a perdu 2,2 % de parts de marché.
Dans ce contexte, La Méridionale est parvenue à afficher une bonne résistance de ses activités.
En passagers, le bon niveau de recette unitaire, grâce à la politique de différenciation commerciale, a permis d'atténuer le retard de 7% constaté sur les volumes.
Le résultat opérationnel positif du premier semestre est de bon augure et les prévisions pour la haute saison sont encourageantes.
Enfin, le renouvellement du contrat de frètement en Espagne du navire SCANDOLA pour 24 mois permettra d'apporter une contribution significative au résultat du pôle maritime.
STEF Information et Technologies (STEF IT) conçoit des solutions logicielles, intègre et maintient les systèmes d'information du Groupe.
Au premier semestre 2014, dans le cadre de la sécurisation du service délivré aux métiers, des infrastructures technologiques de dernière génération ont été mises en place pour l'activité Transport, un outil d'accès unique aux applications du Groupe a été déployé auprès des utilisateurs.
La standardisation des processus de fonctionnement dans l'activité Logistique s'est poursuivie avec la migration de la totalité des sites surgelés vers une version unique du logiciel interne d'entreposage WMS.
STEF IT a contribué à la consolidation de la société Ebrex, grâce à son intégration dans les systèmes d'information transport, logistique et administratif du Groupe.
Enfin, le référentiel des clients du Groupe a été harmonisé en parallèle du déploiement du logiciel de CRM (Customer Relationship Management), SalesForce, dédié à l'encadrement de la relation clients et ce, en péninsule Ibérique, au Benelux, en Suisse et en Italie.
En matière de productivité administrative, STEF IT a mis en place des outils destinés à améliorer la fluidité des opérations : mise en œuvre d'un logiciel d'assistance à la clôture comptable mensuelle, déploiement d'un outil de gestion unifiée du service-après-vente (SAV) Transport.
Immostef regroupe les compétences dédiées à la construction, à la maintenance et à la gestion technique des outils d'exploitation. Parmi les travaux réalisés au premier semestre 2014, quelques opérations d'importance sont à souligner :
Construction d'une plateforme frigorifique de 8930 m 2 à Bischheim, près de Strasbourg, comportant notamment, 4640 m2 sous température positive. Ce site a obtenu la certification NF HQETM Bâtiments tertiaires - classement AFILOG 2 étoiles.
Par ailleurs, de nouvelles opérations d'extension et de rénovation lourde sont en cours sur plusieurs site en France, notamment à Brignais (Lyon), Moulin les Metz, Athis Mons et Niort.
En Italie, des recherches foncières sont en cours pour accompagner le développement des activités en transport et logistique.
Par ailleurs, Immostef poursuit le remplacement des fluides frigorigènes R22 des installations frigorifiques du groupe par des fluides naturels, en vue d'achever cette reconversion dans les délais impartis, conformément à la réglementation européenne.
Enfin, dans le cadre de la politique de Développement durable du groupe, Immostef a contribué au déploiement de plans d'optimisation et de réduction des consommations, avec :
Au 30 juin 2014, par rapport à 2013, les effectifs du Groupe (CDI et CDD) ont évolué de la façon suivante :
| 30/06/2013 | 31/12/2013 | 30/06/2014 | |
|---|---|---|---|
| STEF Transport | 7 473 | 8 356 | 8 182 |
| STEF Logistique | 3 329 | 3 426 | 3 355 |
| Activités Européennes | 2 642 | 2 652 | 2 708 |
| Maritime | 547 | 510 | 528 |
| Autres activités et fonctions centrales | 546 | 546 | 565 |
| TOTAL Groupe | 14 537 | 15 490 | 15 338 |
| Dont Ebrex | 1 019 |
| 30/06/2013 | 31/12/2013 | 30/06/2014 | |
|---|---|---|---|
| Effectifs France | 11 928 | 12 877 | 12 697 |
| Effectifs Hors France | 2 609 | 2 613 | 2 641 |
| dont Espagne | 1 220 | 1 228 | 1 271 |
| dont Portugal | 435 | 425 | 438 |
| dont Italie | 511 | 520 | 541 |
| dont Belgique | 326 | 317 | 305 |
| dont Royaume-Uni4 | 34 | 33 | |
| dont Suisse | 83 | 90 | 86 |
| TOTAL Groupe | 14 537 | 15 490 | 15 338 |
Les effectifs du groupe (CDD+CDI) s'élèvent ainsi au 30 juin 2014 à 15 338 ; ils sont en augmentation de 5,5 % par rapport à juin 2013.
En France, sur cette période, l'évolution des effectifs est étroitement liée à l'accroissement du périmètre des activités :
En Europe, sur les douze derniers mois, les effectifs ont généralement suivi l'évolution de l'activité.
4 Cession des filiales implantées au Royaume-Uni en janvier 2014.
Hormis la cession des deux filiales implantées au Royaume Uni, le groupe n'a pas connu d'évolutions de son périmètre au cours du premier semestre 2014.
Il est rappelé que l'intégration, dans l'organisation métiers du groupe, des activités transport et logistique de la société EBREX, acquise en octobre 2013, a été réalisée en janvier 2014. De ce fait, les flux de STEF et d'EBREX sont traités dans un réseau unique et l'analyse du chiffre d'affaires à périmètre comparable n'est donc pas pertinente.
| Cumul semestriel (en Millions d'euros) |
2014 | 2013 | % |
|---|---|---|---|
| Transport France | 592,0 | 545,4 | + 8,5% |
| Logistique France | 234,0 | 224,6 | + 4,2% |
| Activités Européennes | 261,4 | 244,5 | + 6,9% |
| Sous total | 1 087,3 | 1 014,6 | + 7,2% |
| Maritime | 53,0 | 52,0 | + 1,9% |
| Autres activités (dont négoce) | 191,0 | 190,4 | + 0,3% |
| Total Groupe | 1 331,4 | 1 257,0 | + 5,9% |
Le groupe a repris en 2014 une forte dynamique de croissance de son activité, grâce à l'intégration des flux Ebrex dans le réseau de transport en France et à une progression sensible dans les pays d'Europe du Sud.
L'intégration des flux d'Ebrex dans le réseau de transport en France a entraîné des déséquilibres provisoires dans l'organisation opérationnelle qui se sont concrétisés par des sites en sous-activité et d'autres en saturation. Du fait de cette situation, couplée au ralentissement de l'activité de transport des produits de la mer (intempéries en mer) et à la baisse d'activité dans certaines régions, en raison d'un environnement de marché peu porteur, le transport a enregistré une forte baisse du résultat opérationnel.
Les signaux sont au vert pour toutes les autres activités du groupe, et notamment :
Le résultat opérationnel intègre quelques produits exceptionnels (plus-values de cession d'actifs, notamment) pour un montant global inférieur à ce qui avait été comptabilisé au 1 er semestre 2013 marqué par l'indemnisation d'un sinistre par les assureurs (7,8 M€ contre 9,5 M€ en 2013). Hors éléments non récurrents, le résultat opérationnel est en baisse de 9,7%.
| Cumul semestriel | 2014 | 2013 | Variation |
|---|---|---|---|
| Millions d'euros | Millions d'euros | En % | |
| Chiffre d'Affaires | 1 331,4 | 1 257,0 | + 5,9 |
| Bénéfice opérationnel | 28,2 | 32,1 | - 12,2 |
| Résultat financier | (7,2) | (6,7) | |
| Résultat avant impôt | 21,0 | 25,4 | 17,4 |
| Charge d'impôt | (5,7) | (7,3) | |
| Part du résultat des entreprises mises en équivalence | 0,7 | 0,6 | |
| Résultat net | 16,1 | 18,7 | -14,2 |
| - dont part du Groupe | 14,8 | 18,8 | -20,9 |
| - dont intérêts minoritaires | 1,2 | -0,1 |
Les frais financiers restent maîtrisés malgré le remboursement, en juillet 2013, de l'emprunt obligataire émis dans des conditions très favorables et à la légère remontée des taux d'intérêts sur le semestre.
Le groupe maintient un taux effectif d'impôts bien inférieur au taux légal d'imposition en France (38%), grâce à l'effet combiné :
La quote-part du résultat des entreprises mises en équivalence est en amélioration de 0,1 M€ sur le semestre, grâce aux bonnes performances du groupe Primever (ex-Transcosatal), spécialisé dans le transport des fruits et légumes.
Le résultat net ressort ainsi en baisse de 2,6 M€ sur le 1er semestre (-14,2%).
Après restitution aux minoritaires de la quote-part de plus-value de cession réalisée sur la vente d'un immeuble de bureaux à Bordeaux (via une SCI détenue à 51% par le groupe), le résultat net part du groupe s'inscrit en retrait de 20,9% par rapport à 2013.
Il convient de rappeler qu'en raison de la saisonnalité de son activité et de l'importance d'un certain nombre de coûts fixes, le groupe dégage une part prépondérante de ses bénéfices sur la seconde partie de l'année.
Les capitaux propres consolidés s'élèvent à 422,7 M€, contre 428,2 M€ au 31 décembre 2013 (après retraitement IAS19R), considérant que la société a distribué 19,4 M€ au titre du dividende 2013. Grâce au renforcement des fonds du groupe, le ratio de l'endettement financier net sur capitaux propres totaux est en amélioration à 1,25 au 30 juin 2014, contre 1,34 à fin juin 2013.
Malgré une baisse de la capacité d'autofinancement liée au résultat de la période, le flux de trésorerie généré par l'activité s'est amélioré en raison d'une meilleure maîtrise du fonds de roulement. L'encours client du groupe est, à nouveau, en baisse à 42,9 jours (contre 45,4 jours en 2013), fruit d'une action forte d'optimisation de la trésorerie du groupe.
Le groupe a maintenu un programme d'investissements immobiliers soutenu avec 66 M€ investis sur la période. Quatre sites ont été mis en service au 1er semestre :
Dans le même temps, le groupe a enregistré 14,5 M€ de cession d'actifs, parmi lesquels 3,3 M€ au titre de la cession des activités britanniques (prix de cession des titres et remboursement de comptes courants des filiales cédées) et 6,7 M€ au titre de cessions immobilières.
La nature, les termes et les montants des opérations avec les parties liées n'ont pas connu d'évolution significative au cours du 1er semestre 2014.
A la date du présent rapport financier, il n'y a pas de modification significative par rapport au rapport annuel 2014.
Plus particulièrement, il n'y a pas de modification ou d'incertitude relative aux principaux facteurs de risques exposés dans le rapport annuel 2013 et qui seraient susceptibles d'avoir un impact significatif sur l'activité et les résultats du second semestre 2014.
Néant
M. Bruno Duquenne, Directeur Général Délégué de STEF en charge des activités européennes, ayant fait valoir ses droits à la retraite à partir du 1er juillet 2014, son mandat de Directeur Général délégué a cessé à cette date.
Les fonctions opérationnelles de M. Bruno Duquenne sont désormais assurées, en fonction de la taille et de l'implantation des entités qui étaient sous sa supervision, par M. Jean-Pierre Sancier, Directeur général de STEF et MM. Serge Capitaine et Stanislas Lemor, tous deux Directeurs généraux délégués.
Début 2014, STEF a poursuivi le déploiement de son plan de développement et a vu ses ambitions se concrétiser, avec, en particulier, l'intégration opérationnelle réussie de la société EBREX et de ses équipes.
Au second semestre, la priorité sera donnée à la poursuite de la mise en performance opérationnelle du réseau transport en France, sur les volets de la qualité et de la productivité, telle qu'engagée avec succès au second trimestre. Par ailleurs, les résultats des plans d'amélioration menés, en France, sur les activités logistiques seront amplifiés sur l'ensemble des segments de marché concernés. Le groupe continuera à s'appuyer sur la forte contribution de ses activités en Europe, établie sur une trajectoire saine et rentable depuis le début de l'année.
L'amélioration opérationnelle en France et le décollage confirmé des activités européennes (activités domestiques et flux intra-européens) devraient conduire à une amélioration progressive du résultat d'exploitation sur la seconde partie de l'année.
Par ailleurs, STEF entend poursuivre sa stratégie de densification de son réseau, tant par des investissements immobiliers structurants que par les opportunités de croissance externe qui pourraient se présenter en Europe.
La solidité de son bilan intermédiaire au 30 juin et la structure favorable de la dette du groupe constituent des atouts qui lui permettront de mener à bien ses objectifs.
PIB
| T vs T-1 | Zone Euro | FR | BE | IT | ES | PT | NL | CH | UK |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| T1 2014 | +0,2% | 0% | +0,4% | -0,1% | +0,4% | -0,6% | -1,4% | +0,5% | +0,8% |
| T1 2013 | -0,3% | -0,2% | +0,0% | -0,6% | -0,5% | -0,4% | -0,4% | +0,8% | +0,3% |
(source Eurostat)
| T vs T-1 | Zone Euro | FR | BE | IT | ES | PT | NL | CH | UK |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| T2 2014 | 0% | 0% | +0,1% | -0,2% | +0,6% | +0,6% | 0,5% | +0,3%* | +0,8% |
| T2 2013 | 0,3% | 0,5% | +0,1% | -0,2% | -0,1% | +1,1% | -0,2% | n.d | +0,6% |
(source Eurostat, estimation swisslife pour la Suisse)
| Zone Euro | FR | BE | IT | ES | PT | NL | CH | UK | |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| er semestre 1 |
+0,3% | -0,7% | -1,6%* | +0,9% | +3,6% | -1,1% | n.d. | 0,9% | +4,7% |
| 2014 Vs 2013 | |||||||||
| er semestre 1 |
+0,0% | -1,9% | +1,2%* | +0,2% | -1,9% | +3,9% | n.d. | n.d. | -2,6% |
| 2013 Vs 2012 |
*Donnée à fin mai 2013
| Zone Euro | FR | BE | IT | ES | PT | NL | CH | UK | |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| er semestre 1 2014 Vs 2013 |
+0,3% | -0,8% | +1,1% | -0,7% | -0,1% | +0,4% | +0,6%* | +0,9% | +1,1% |
| er semestre 1 2013 Vs 2012 |
-1,4% | -0,3% | +1,1% | -3,2% | -6,3% | -0,8% | -1,1% | +0,0% | -1,2% |
*Donnée à fin mai 2013
II.
COMPTES CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES DU SEMESTRE CLOS LE 30 JUIN 2014
| (En milliers d'euros) | |||
|---|---|---|---|
| A C T I FS | note | 30 juin 2014 | 31 décembre 2013 |
| Actifs non courants | |||
| Ecarts d'acquisition | 14 | 131 561 | 131 561 |
| Autres immobilisations incorporelles | 15 | 27 036 | 26 410 |
| Immobilisations corporelles | 15 | 873 709 | 865 592 |
| Actifs financiers non courants | 35 957 | 34 406 | |
| Participations dans les entreprises associées | 20 | 14 7 13 |
14 789 |
| Actifs d'impôt différé | 28 437 | 27 410 | |
| Total de l'actif non courant | 1 111 413 | 1 100 168 | |
| Actifs courants | |||
| Stocks et en cours | 39 541 | 41 280 | |
| Clients | 407 841 | 424 721 | |
| Autres créances et actifs financiers courants | 156 59 5 |
147 703 | |
| Actif d'impôt courant | 24 632 | 16 030 | |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie (a) | 53 359 | 53 558 | |
| Actifs classés comme détenus en vue de la vente | 1 010 | ||
| Total de l'actif courant | 681 968 | 684 302 | |
| Total des actifs | 1 793 381 | 1 784 470 | |
| CAPITAUX PROPRES ET PASSIFS | |||
| Capitaux propres | |||
| Capital | 13 516 | 13 516 | |
| Primes | 4 284 | 4 284 | |
| Réserves | 399 344 | 406 290 | |
| Capitaux propres part du Groupe | 16 | 417 144 | 424 090 |
| Intérêts minoritaires | 5 515 | 4 128 | |
| Total des Capitaux propres | 422 659 | 428 218 | |
| Passifs non courants | |||
| Provisions non courantes | 17 | 34 503 | 35 397 |
| Passifs d'impôt différé | 44 663 | 45 228 | |
| Dettes financières non courantes (b) | 18 | 430 429 | 385 011 |
| Total du passif non courant | 509 595 | 465 636 | |
| Passifs courants | |||
| Dettes fournisseurs | 348 165 | 405 590 | |
| Provisions courantes | 17 | 12 645 | 13 148 |
| Autres dettes courantes | 338 346 | 341 629 | |
| Dette d'impôt courant | 9 359 | 983 | |
| Dettes financières courantes (c ) | 18 | 152 612 | 129 266 |
| Passifs classés comme détenus en vue de la vente | |||
| Total du passif courant | 861 127 | 890 616 | |
| Total des capitaux propres et passifs | 1 793 381 | 1 784 470 | |
| Endettement net (b) + (c ) - (a) | 529 682 | 460 719 | |
| Ratio Endettement net /Total des capitaux propres | 1, 25 |
1,08 |
| (En milliers d'euros) | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1er semestre | 1er semestre | Exercice 2013 | Evolution | ||||
| note | 2014 | 2013 | 2014/2013 | ||||
| CHIFFRE D'AFFAIRES | 8 | 1 331 356 | 1 256 961 | 2 633 128 | 5,9% | ||
| Consommations en provenance des tiers | 9 | (872 199) | (824 470) | (1 716 264) | 5,8% | ||
| Impôts, taxes et versements assimilés | (25 389) | (23 730) | (57 572) | 7,0% | |||
| Charges de personnel | (370 668) | (346 455) | (688 634) | 7,0% | |||
| Dotations aux amortissements | (43 603) | (41 311) | (83 684) | 5,5% | |||
| (Dotations) Reprises nettes aux provisions | 888 | 1 610 | 480 | ||||
| Autres produits et charges opérationnels | 10 | 7 789 | 9 502 | 9 923 | |||
| BENEFICE OPERATIONNEL | 8 | 28 174 | 32 107 | 97 377 | -12,2% | ||
| Charges financières | 11 | (7 299) | (6 718) | (14 565) | |||
| Produits financiers | 11 | 128 | 39 | 819 | |||
| Résultat Financier | (7 171) | (6 679) | (13 746) | 7,4% | |||
| RESULTAT AVANT IMPÔT | 8 | 21 003 | 25 428 | 83 631 | -17,4% | ||
| Charge d'impôt | 12 | (5 674) | (7 347) | (25 229) | -22,8% | ||
| Quote-part du résultat des entreprises mises en | |||||||
| équivalence | 20 | 738 | 648 | 1 821 | |||
| RESULTAT DE LA PERIODE | 16 067 | 18 729 | 60 223 | -14,2% | |||
| * dont part du Groupe | 14 848 | 18 768 | 60 153 | -20,9% | |||
| * dont intérêts minoritaires | 1 219 | (39) | 70 | ||||
| EBITDA | 13 | 70 889 | 71 808 | 180 581 | -1,3% | ||
| Résultat par action : | (en euros) | (en euros) | (en euros) | ||||
| - de base : | 1,24 | 1,46 | 4,65 | ||||
| - dilué : | 1,24 | 1,46 | 4,65 |
| (En milliers d'euros) | |||
|---|---|---|---|
| 1er semestre 2014 |
1er semestre 2013 |
Exercice 2013 | |
| RESULTAT DE LA PERIODE | 16 067 | 18 729 | 60 223 |
| Gains ou pertes actuariels sur régimes de retraite | 938 | 666 | 1 508 |
| Charge d'impôt sur les éléments non recyclables | (356) | (240) | (404) |
| Autres éléments du résultat global, nets d'impôt qui ne | |||
| sont pas reclassés ultérieurement en résultat | 582 | 426 | 1 104 |
| Ecart de change résultant des activités à l'étranger | 265 | (240) | 77 |
| Part efficace des variations de juste valeur des | |||
| dérivés de couverture de flux de trésorerie | (4 506) | 4 865 | 6 329 |
| Charge d'impôt sur les éléments recyclables | 1 527 | (1 720) | (2 272) |
| Autres éléments du résultat global, nets d'impôt qui | |||
| sont reclassés ultérieurement en résultat | (2 714) | 2 905 | 4 134 |
| Résultat Global de la période | 13 935 | 22 060 | 65 461 |
| * dont part du Groupe | 12 716 | 22 099 | 65 391 |
| * dont intérêts minoritaires | 1 219 | (39) | 70 |
| Capital | Primes | Réserves consolidées |
Réserves de conversion |
Actions propres |
Réserve de juste valeur |
Total attribuable aux actionnaires de STEF |
Part des minoritaires |
Total Capitaux Propres |
|
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Capitaux propres au 1er janvier 2013 | 13 516 | 4 284 | 403 329 | (149) | (27 299) | (10 082) | 383 599 | 4 594 | 388 193 |
| Dividendes versés | (18 653) | (18 653) | (121) | (18 774) | |||||
| Retraitement lié à la norme IAS 19 révisée (1) | (6 332) | (6 332) | (6 332) | ||||||
| Achats et ventes d'actions propres | (271) | (271) | (271) | ||||||
| Opérations avec les intérêts minoritaires | 0 | (242) | (242) | ||||||
| Total des transactions avec les actionnaires | 0 | 0 | (24 985) | 0 | (271) | 0 | (25 256) | (363) | (25 619) |
| Résultat global de la période | 19 194 | (240) | 3 145 | 22 099 | (39) | 22 060 | |||
| Capitaux propres au 30 juin 2013 | 13 516 | 4 284 | 397 538 | (389) | (27 570) | (6 937) | 380 442 | 4 192 | 384 634 |
| Capitaux propres au 1er janvier 2014 | 13 516 | 4 284 | 438 887 | (398) | (26 500) | (5 699) | 424 090 | 4 128 | 428 218 |
| Dividendes versés | (19 438) | (19 438) | (13) | (19 451) | |||||
| Achats et ventes d'actions propres | (43) | (43) | (43) | ||||||
| Opérations avec les intérêts minoritaires | (181) | (181) | 181 | 0 | |||||
| Total des transactions avec les actionnaires | 0 | 0 | (19 619) | 0 | (43) | 0 | (19 662) | 168 | (19 494) |
| Résultat global de la période | 15 430 | 95 | (2 809) | 12 716 | 1 219 | 13 935 | |||
| Capitaux propres au 30 juin 2014 | 13 516 | 4 284 | 434 698 | (303) | (26 543) | (8 508) | 417 144 | 5 515 | 422 659 |
| 1er semestre 2014 |
1er semestre 2013 |
31 décembre 2013 | |
|---|---|---|---|
| Résultat de la période | 16 067 | 18 728 | 60 223 |
| +/- Dotations nettes aux amortissements, dépréciations d'actifs non | |||
| courants et provisions | 43 411 | 40 664 | 85 100 |
| +/- Plus ou moins values de cession d'actifs non courants | (5 745) | (892) | (2 885) |
| +/- Quote-part de résultat des entreprises associées | (738) | (648) | (1 821) |
| +/- Variation en juste valeur des instruments dérivés | 13 | (30) | |
| +/- Variation des écarts de conversion | 448 | 67 | |
| +/- Autres produits et charges sans incidence sur la trésorerie | 0 | 520 | 578 |
| - Impôts différés | (187) | (248) | 3 200 |
| Capacité d'autofinancement (A) | 53 269 | 58 094 | 144 462 |
| +/- Variation du Besoin en Fonds de Roulement lié à l'activité (B ) | (43 535) | (91 565) | (34 155) |
| FLUX NET DE TRESORERIE GENERE PAR L'ACTIVITE (C )=(A+B) |
9 734 | (33 471) | 110 307 |
| - Décaissements liés aux acquisitions d'immobilisations incorporelles | (4 136) | (706) | (12 043) |
| - Décaissements liés aux acquisitions d'immobilisations corporelles | (62 407) | (49 234) | (103 348) |
| +/- Variation des prêts et avances consentis + actifs financiers | (2 822) | 158 | (792) |
| - Différés de paiement liés aux acquisitions de filiales | (1 250) | ||
| -/+ Encaissements et décaissements liés aux acquisitions et cessions | |||
| de filiales nets de la trésorerie acquise (*) | 3 301 | (237) | (9 202) |
| + Encaissements liés aux cessions d'immobilisations corporelles et | |||
| incorporelles | 11 167 | 1 723 | 7 049 |
| + Subventions d'investissement reçues | 1 150 | ||
| + Dividendes reçus des entreprises associées | 28 | 128 | 853 |
| FLUX NET DE TRESORERIE LIE AUX OPERATIONS | (54 869) | (47 018) | (118 733) |
| D'INVESTISSEMENT (D ) | |||
| +/- Achats et ventes d'actions propres | (43) | (271) | 799 |
| - Dividendes versés aux propriétaires de STEF | (19 438) | (18 653) | (18 653) |
| - Dividendes versés aux minoritaires des filiales | (13) | (125) | (121) |
| + Encaissements liés aux nouveaux emprunts | 109 226 | 81 691 | 149 949 |
| - Remboursements d'emprunts | (32 046) | (29 018) | (158 792) |
| FLUX NET DE TRESORERIE LIE AUX OPERATIONS DE FINANCEMENT (E) |
57 686 | 33 624 | (26 818) |
| Trésorerie nette à l'ouverture | 7 728 | 42 972 | 42 972 |
| Trésorerie nette à la clôture | 20 279 | (3 893) | 7 728 |
| = VARIATION DE LA TRESORERIE NETTE (C+D+E) | 12 551 | (46 865) | (35 244) |
| Montant de l'impôt versé dans la période : | (24 632) | (25 916) |
| Les trésoreries nettes à la clôture s'analysent comme suit : | 1er semestre 2014 |
1er semestre 2013 |
31 décembre 2013 |
|---|---|---|---|
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 53 359 | 51 915 | 53 558 |
| Découverts bancaires et crédits à court terme (note 18) | (33 080) | (55 808) | (45 830) |
| 20 279 | (3 893) | 7 728 | |
| (*) | 1er semestre 2014 |
1er semestre 2013 |
31 décembre 2013 |
| Coût d'achat des titres des entreprises acquises/prix de vente des entreprises cédées |
2 278 | (237) | (20 082) |
| Remboursement du compte courant | 5 856 | ||
| Trésorerie acquise/sortie de trésorerie des entreprises cédées | (4 833) | 10 880 | |
| Décaissement net | 3 301 | (237) | (9 202) |
STEF S.A. est une société anonyme de droit français ayant son siège social à Paris et dont les actions sont inscrites au compartiment B de NYSE Euronext Paris. Les comptes consolidés intermédiaires résumés du semestre clos le 30 juin 2014 comprennent STEF S.A. et ses filiales, l'ensemble étant désigné comme « le Groupe » ainsi que la quote-part du Groupe dans les entreprises associées. Sauf indication contraire, ils sont présentés en euros, arrondis au millier le plus proche. Ces comptes consolidés intermédiaires résumés ont été arrêtés par le Conseil d'Administration de STEF S.A du 28 août 2014.
Les comptes consolidés intermédiaires résumés du semestre clos le 30 juin 2014 ont été établis conformément à la norme IAS 34 « Information financière intermédiaire » du référentiel International Financial Reporting Standards (IFRS), tel qu'adopté par l'Union européenne.
Ces comptes intermédiaires résumés ne comportent pas l'intégralité des informations requises pour les comptes annuels et doivent être lus en liaison avec les comptes consolidés de l'exercice clos le 31 décembre 2013.
Les méthodes comptables appliquées par le Groupe pour la préparation des comptes consolidés intermédiaires sont identiques à celles appliquées aux comptes consolidés de l'exercice clos le 31 décembre 2013, auxquels il convient de se référer, à l'exception des normes, amendements de normes et interprétations applicables pour la première fois en 2014 et des méthodes d'évaluation spécifiques aux arrêtés intermédiaires décrites au paragraphe 4 ci-dessous.
Les normes, amendements ou interprétations d'application obligatoire pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2014 sont les suivants :
Textes d'application obligatoire à partir du 1er janvier 2014 :
L'analyse menée par le Groupe sur ses participations, et ce sur l'ensemble des périodes présentées, a montré que la nouvelle définition du contrôle donnée par IFRS 10 ne modifie pas le périmètre de consolidation du Groupe.
Les autres normes sont sans incidence significative sur les comptes consolidés du Groupe. Le Groupe applique les dispositions de l'IASB dès lors qu'elles ont été approuvées par l'Union Européenne.
La préparation des comptes consolidés intermédiaires nécessite, de la part de la direction du Groupe, l'exercice du jugement, d'effectuer des estimations et de faire des hypothèses qui ont un impact sur l'application des méthodes comptables et sur les valeurs retenues pour arrêter les comptes. En particulier, les valeurs réelles définitives peuvent se révéler différentes des valeurs estimées.
Ainsi, pour la préparation des comptes consolidés intermédiaires, les jugements significatifs exercés pour l'application des méthodes comptables du Groupe et les sources principales d'incertitude relatives aux estimations restent identiques à ceux et celles décrits dans les comptes consolidés de l'exercice clos le 31 décembre 2013.
Les méthodes d'évaluation spécifiques appliquées aux arrêtés intermédiaires sont les suivantes :
L'activité du second semestre est généralement plus soutenue que celle du premier en raison de la concentration de la période estivale et de la période festive de fin d'année. Les résultats opérationnels du premier semestre sont, de ce fait, traditionnellement inférieurs à ceux du second.
Le Groupe a cédé en janvier la totalité des titres qu'il détenait dans deux sociétés anglaises, STEF Transport Limited et Seagull.
Le Groupe a finalisé fin juin, une opération d'apport de fonds de commerce dans une de ses filiales italiennes, sans changement de son pourcentage de détention.
Au cours du premier semestre, le Groupe a profité du faible niveau des taux d'intérêt pour renforcer son dispositif de couverture. Deux swaps d'intérêt ont été conclus en juin 2014, portant sur un montant notionnel de 80 millions d'euros. Ces nouveaux swaps adossés à la dette moyen terme sont venus compléter le dispositif existant qui couvrait jusqu'alors uniquement le risque de taux sur la dette long terme à taux variable.
Au 30 juin 2014, le montant notionnel total des instruments destinés à couvrir le risque de taux sur la dette à taux variable s'élève à 272 millions d'euros contre 184 millions d'euros au 31 décembre 2013.
L'exposition du Groupe au risque de crédit client n'a pas enregistré d'évolution significative au cours du semestre écoulé. Aucun de ses clients n'est d'une taille telle que sa défaillance puisse avoir un effet significatif sur la situation financière du Groupe qui, nonobstant les mécanismes de protection dont il dispose du fait de la réglementation applicable, continue à recourir à l'assurance-crédit dans le secteur du transport et pour l'ensemble de ses activités internationales.
En ce qui concerne le risque de change, le Groupe opère essentiellement dans la zone Euro et son exposition aux variations de cours des autres monnaies demeure faible.
Concernant enfin le risque de liquidité, le Groupe a mis en place une politique de centralisation de trésorerie effective en France et dans les principales filiales européennes du Groupe.
| 1er semestre 2014 | Transport | Logistique | International | Maritime | Autres | Données consolidées |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires externe | 591 998 | 233 968 | 261 378 | 53 021 | 190 991 | 1 331 356 |
| Résultat opérationnel | 5 156 | 5 739 | 11 075 | 729 | 5 475 | 28 174 |
| Résultat avant impôt | 3 602 | 4 653 | 9 185 | - 2 564 |
6 127 | 21 003 |
| 1er semestre 2013 | Transport | Logistique | International | Maritime | Autres | Données consolidées |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires externe | 545 387 | 224 639 | 244 533 | 52 018 | 190 385 | 1 256 961 |
| Résultat opérationnel | 17 553 | 10 829 | 4 897 | - 3 214 |
2 042 | 32 107 |
| Résultat avant impôt | 16 289 | 9 626 | 2 971 | - 6 233 |
2 775 | 25 428 |
Le chiffre d'affaires des Autres activités inclut le négoce de marchandises pour le compte de tiers, pour 178 millions d'euros au 1er semestre 2014 contre 176 millions d'euros au 1er semestre 2013.
L'activité Transport du premier semestre a été impactée par la prise en compte de la société Ebrex dans le réseau du Groupe.
Le résultat des Autres activités comprend des cessions immobilières pour 3 millions d'euros.
| 1er semestre 2014 |
1er semestre 2013 |
|
|---|---|---|
| Achats de gazole, d'énergie et autres consommables | 8 4 018 |
81 473 |
| Achats de matières premières et consommables | 23 140 | 20 872 |
| Achats de marchandises RHD* | 178 488 | 177 246 |
| Sous-traitance | 373 810 | 348 872 |
| Locations, Entretiens, Assurances, litiges | 104 621 | 96 678 |
| Personnel extérieur, intermédiaires, honoraires | 70 1 66 |
62 042 |
| Transports, déplacements, communications, péages | 28 598 |
26 649 |
| Publicité, services bancaires | 2 627 | 2 885 |
| Autres charges externes | 6 731 | 7 753 |
| Total des consommations en provenance des tiers | 872 199 |
824 470 |
* RHD : Restauration Hors Domicile
L'évolution de ce poste est principalement liée à la société Ebrex, acquise fin 2013.
Ce poste comprend essentiellement les plus-values générées par :
Ce poste incluait en juin 2013, une indemnité d'assurance de 8 M€ relative au sinistre d'un entrepôt dans la région lyonnaise.
| 1er semestre 2014 |
1er semestre 2013 |
|
|---|---|---|
| Produits financiers | ||
| Dividendes perçus des actifs disponibles à la vente Variation de juste valeur des actifs et passifs financiers désignés à |
128 | 9 |
| la juste valeur par le résultat | (13) | 30 |
| Charges financières | ||
| Charges nettes d'intérêt sur passifs financiers au coût amorti | (7 211) | (6 692) |
| Perte de change nette | (75) | (26) |
| CHARGES FINANCIERES NETTES | (7 171) | (6 679) |
L'augmentation des charges nettes d'intérêt s'explique principalement par les conditions financières très favorables dont bénéficiait le Groupe au 1er semestre 2013 dans le cadre de l'OBSAAR (remboursé en juillet 2013)
Le taux effectif moyen s'élève à 24,24 % pour le semestre clos le 30 juin 2014 contre 26,69 % pour la même période de 2013. Il s'applique au résultat avant impôt.
L'évolution du taux effectif d'imposition entre 2013 et 2014 s'explique principalement par l'augmentation du du produit de CICE.
| 1er semestre 2014 |
1er semestre 2013 |
|
|---|---|---|
| Bénéfice opérationnel Dotations nettes aux amortissements Dotations (reprises) nettes sur dépréciations et provisions |
28 174 43 603 (888) |
32 107 41 311 (1 610) |
| Total EBITDA | 70 889 | 71 808 |
Les écarts d'acquisition n'ont pas évolué au cours du semestre écoulé. Le Groupe n'a pas identifié d'indice de perte de valeur sur ses écarts d'acquisition et actifs incorporels à durée de vie indéfinie au cours du semestre clos le 30 juin 2014.
L'évaluation de l'écart d'acquisition de la société Ebrex, acquise en fin d'année dernière, est toujours en cours et sera finalisée pour la clôture annuelle.
L'augmentation des immobilisations corporelles provient principalement de la construction ou de l'extension des sites de Corbas, Bischheim, Dijon et Vitry.
Le capital social de STEF S.A est composé, au 30 juin 2014, de 13 515 649 actions libérées d'une valeur nominale de 1 euro.
Le dividende versé au premier semestre 2014, au titre du résultat de l'exercice 2013, s'est élevé à 1,50 euro par action.
L'évolution des provisions pour risques et charges se présente comme suit :
| 31 décembre 2013 |
Dotations | Reprises | Autres | 30 juin 2014 | |
|---|---|---|---|---|---|
| Indemnités de départ à la retraite | 19 510 | 880 | (1 685) | 45 | 18 750 |
| Médailles du travail | 10 023 | 671 | (116) | 10 578 | |
| Provisions litiges | 12 606 | 7 432 | (7 530) | (537) | 11 971 |
| Autres provisions | 6 406 | 410 | (1 493) | 526 | 5 849 |
| TOTAL | 48 545 | 9 393 | (10 824) | 34 | 47 148 |
Ils s'analysent comme suit :
| 30 juin 2014 | 31 décembre 2013 | |
|---|---|---|
| Dettes financières non courantes | ||
| Emprunts bancaires et tirages de lignes de crédit | ||
| confirmées à plus d'un an | 360 559 | 314 110 |
| Dettes liées à des locations financement | 57 765 | 63 016 |
| Juste valeur des instruments financiers dérivés | 12 1 05 |
7 885 |
| Total des dettes non courantes | 430 429 | 385 011 |
| Dettes financières courantes | ||
| Part à moins d'un an des : | ||
| - Emprunt obligataire OBSAAR | 264 | 264 |
| - Emprunts bancaires et lignes de crédit spot | 97 614 |
61 759 |
| - Dettes liées à des locations financement | 13 118 | 12 927 |
| - Dettes financières diverses | 3 126 | 2 538 |
| Intérêts courus non échus | 1 051 | 1 888 |
| Juste valeur des instruments financiers dérivés | 4 35 9 |
4 060 |
| Découverts bancaires et crédits à court terme | 33 080 | 45 830 |
| Total des dettes courantes | 152 612 | 129 266 |
| Total des dettes financières | 583 041 | 514 277 |
Et ont évolué comme suit au cours du semestre écoulé :
| 2014 | 31 décembre 2013 |
nouveaux emprunts |
rembour sements |
variation des taux de change |
autres variations nettes |
30 juin 2014 |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Emprunt obligataire | 264 | 264 | ||||
| Emprunts bancaires et tirages de lignes de crédit | 375 868 | 108 749 | 26 509 - | 64 | 458 172 | |
| Dettes liées à des locations financement | 75 943 | 477 | 5 537 - | 70 883 | ||
| Dettes financières diverses & ICNE | 4 427 | - 249 |
4 178 | |||
| Découverts bancaires et crédits à court terme | 45 830 | - 12 750 |
33 080 | |||
| Juste valeur des instruments financiers dérivés | 11 945 | 4 519 | 16 464 | |||
| Total : | 514 277 | 109 226 | 32 046 - | 64 | 8 480 - | 583 041 |
Au 30 juin 2014, le montant de la dette du Groupe à taux fixe s'élève à 56% contre 44% au 31 décembre 2013.
Les besoins de trésorerie du Groupe sont assurés, majoritairement, par les lignes de crédit obtenues au niveau de la société mère. Le Groupe dispose de 21 lignes de crédit confirmées à moyen terme, totalisant 280 millions d'euros (268 millions d'euros au 31 décembre 2013), utilisées à hauteur de 206 millions au 30 juin 2014 (152 millions d'euros au 31 décembre 2013).
Le Groupe dispose également de crédits spot totalisant 37 millions d'euros, utilisés à hauteur de 28 millions d'euros au 30 juin 2014 (18 millions d'euros au 31 décembre 2013) et d'autorisations de découvert, sans échéance convenue, totalisant 89 millions d'euros (84 millions d'euros au 31 décembre 2013) dont 33 utilisés au 30 juin 2014 (46 millions d'euros au 31 décembre 2013).
| Valeur au | Actifs | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| bilan | Juste valeur | disponibles | Prêts et | ||||
| 30/06/2014 | Juste valeur | par résultat | à la vente | Créances | |||
| Titres de participation non consolidés | 212 | 212 | 212 | ||||
| Autres actifs financiers non courants | 21 234 | 21 234 | 21 234 | ||||
| Prêts et créances des activités de financement | 14 41 6 |
14 416 | 14 416 | ||||
| Titres de placement | 95 | 95 | 95 | ||||
| s/total : actifs financiers non courants | 35 957 | 35 957 | - | 307 | 35 650 | ||
| Clients | 407 841 | 407 841 | 407 841 | ||||
| Autres débiteurs | 181 227 | 181 227 | 181 227 | ||||
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 53 359 | 53 359 | 53 359 | ||||
| Actifs | 678 384 | 678 384 | 53 359 | 307 | 624 718 |
| Instruments | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Valeur au | dérivés | Passifs non | |||
| bilan | Dettes au | qualifiés de | qualifiés de | ||
| 30/06/2014 | Juste valeur | coût amorti | couverture | financiers | |
| Passifs financiers non courants | 12 105 | 12 105 | 12 105 | ||
| Dettes des activités de financement | 537 856 | 537 856 | 466 973 | 70 883 | |
| Passifs financiers courants | 33 080 | 55 808 | 55 808 | ||
| s/total : dettes financières | 583 041 | 605 769 | 522 781 | 12 105 | 70 883 |
| Fournisseurs | 348 165 | 348 165 | 348 165 | ||
| Autres créanciers | 347 705 | 347 705 | 347 705 | ||
| Passifs | 1 278 911 | 1 301 639 | 1 218 651 | 12 105 | 70 883 |
Les instruments financiers comptabilisés à la juste valeur sont classés selon le niveau de hiérarchie suivant :
Niveau 1 : instruments financiers faisant l'objet de cotation sur un marché actif ;
Niveau 2 : instruments financiers dont l'évaluation fait appel à l'utilisation de techniques de valorisation reposant sur des paramètres observables ;
Niveau 3 : instruments financiers dont l'évaluation fait appel à l'utilisation de techniques de valorisation reposant pour tout ou partie sur des paramètres non observables.
| Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 |
|---|---|---|
| - | 53 666 | |
| 12 105 | ||
| 307 53 359 12 105 |
La juste valeur des swaps de taux d'intérêt, et les options reposent sur les cotations effectuées par des intermédiaires financiers. Le groupe s'assure que ces cotations sont raisonnables en valorisant les swaps par actualisation des flux de trésorerie futurs estimés et les options à partir de modèle de valorisation (type Black & Scholes).
La juste valeur des « dettes fournisseurs » et « créances clients » correspond à la valeur comptable au bilan car l'actualisation des flux de trésorerie présente un impact non significatif compte tenu des faibles délais de paiement et de règlement.
Les parties liées, par rapport au Groupe STEF, sont les entreprises associées, les administrateurs (y compris les membres de la direction générale du Groupe) ainsi que les structures d'actionnariat des cadres et dirigeants non administrateurs et le fonds commun de placement des salariés. La nature, les termes et les montants des opérations avec les parties liées n'ont connu aucune évolution significative au cours du 1er semestre 2014.
La valeur des titres et la quote-part du Groupe dans les résultats des entreprises associées se décomposent comme suit :
| 2014 | part groupe |
Total chiffre d'affaires |
Total des actifs |
Total des passifs hors capitaux propres |
Actif net de la société |
Valeur de mise en équivalence |
Résultat net |
Quote part résultat |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| BRIGANTINE DE NAVIGATION (1) FROIDCOMBI GEFA MESSAGERIES LAITIERES OLANO SEAFOOD IBERICA OLANO VALENCIA SDR SUD |
100,00% 25,50% 34,02% 38,69% 32,00% 20,00% 20,00% |
- 8 328 1 366 33 894 12 152 |
8 5 943 6 692 36 862 9 960 |
3 4 785 1 639 23 782 5 968 |
5 1 158 5 053 13 080 3 992 1 255 1 692 |
5 295 3 944 6 397 1 623 672 338 |
3 ) ( 394 ) ( 186 718 688 143 56 |
3 ) ( 100 ) ( 63 278 220 29 11 |
| STEFOVER TUNISIE GROUPE PRIMEVER |
49,00% 33,33% |
265 3 754 |
187 1 251 |
39 663 |
19 221 |
|||
| TOTAL | 14 713 | 2 096 | 738 |
(1) sociétés sans activité ou en cours de liquidation
Les engagements hors bilan et passifs éventuels mentionnés dans l'annexe aux comptes consolidés de l'exercice 2013 n'ont pas connu d'évolution significative au cours du 1er semestre 2014.
Néant.
III.
J'atteste, à ma connaissance, que les comptes consolidés résumés au 30 juin 2014 sont établis conformément aux normes comptables applicables et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et du résultat de l'ensemble des entreprises comprises dans le périmètre de la consolidation du groupe STEF et que le rapport d'activité du premier semestre 2014 présente un tableau fidèle des informations mentionnées à l'article 222-6 du règlement général de l'A.M.F.
Fait à Paris, le 28 août 2014
Stanislas LEMOR Directeur Général Délégué à L'Administration et aux Finances
STEF • SA au capital de 13 515 649 euros • 999 990 005 RCS Paris • Identifiant TVA FR 05 999 990 005 93 boulevard Malesherbes 75008 Paris • Tél. 01 40 74 29 00 • Fax : 01 40 74 27 90 • www.stef.com
KPMG AUDIT IS MAZARS Immeuble Le Palatin Exaltis 3, cours du Triangle 61 rue Henri Regnault CS 80039 92400 Courbevoie 92939 Paris La Défense Cedex France France
Rapport des commissaires aux comptes sur l'information financière semestrielle Période du 1er janvier au 30 juin 2014
Période du 1er janvier au 30 juin 2014 STEF S.A. 93, boulevard Malesherbes – 75008 Paris Ce rapport contient 15 pages
STEF S.A. Rapport des commissaires aux comptes sur l'information financière semestrielle 28 août 2014
Siège social : 93, boulevard Malesherbes – 75008 Paris Capital social : €.13 515 649
Rapport des commissaires aux comptes sur l'information financière semestrielle
Période du 1er janvier au 30 juin 2014
Mesdames, Messieurs les Actionnaires,
En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée Générale, et en application de l'article L. 451-1-2 III du Code monétaire et financier, nous avons procédé à :
Ces comptes semestriels consolidés résumés ont été établis sous la responsabilité de votre Conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre examen limité, d'exprimer notre conclusion sur ces comptes.
Nous avons effectué notre examen limité selon les normes d'exercice professionnel applicables en France.
Un examen limité consiste essentiellement à s'entretenir avec les membres de la direction en charge des aspects comptables et financiers et à mettre en œuvre des procédures analytiques. Ces travaux sont moins étendus que ceux requis pour un audit effectué selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. En conséquence, l'assurance que les comptes, pris dans leur ensemble, ne comportent pas d'anomalies significatives obtenue dans le cadre d'un examen limité est une assurance modérée, moins élevée que celle obtenue dans le cadre d'un audit.
Sur la base de notre examen limité, nous n'avons pas relevé d'anomalies significatives de nature à remettre en cause la conformité des comptes semestriels consolidés résumés avec la norme IAS 34, norme du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne relative à l'information financière intermédiaire.
STEF S.A. Rapport des commissaires aux comptes sur l'information financière semestrielle 28 août 2014
Nous avons également procédé à la vérification des informations données dans le rapport semestriel d'activité commentant les comptes semestriels consolidés résumés sur lesquels a porté notre examen limité. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes semestriels consolidés résumés.
Fait à Paris La Défense et Courbevoie, le 28 août 2014
Les commissaires aux comptes
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