Annual Report • Apr 29, 2015
Annual Report
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ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA
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| ATTESTATION DE LA PERSONNE PHYSIQUE RESPONSABLE DU RAPPORT FINANCIER ANNUEL |
01 |
|---|---|
| RAPPORT D'ACTIVITÉ 2014 | 02 |
| PANORAMA ÉCONOMIQUE MONDIAL | 16 |
| RAPPORT SUR L'ENVIRONNEMENT, LES ENGAGEMENTS SOCIÉTAUX ET ENVIRONNEMENTAUX DE VIEL & CIE |
20 |
| COMMUNIQUÉS DE PRESSE | 33 |
| COMPTES CONSOLIDÉS 2014 | 43 |
| RAPPORT GÉNÉRAL DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES CONSOLIDÉS |
105 |
| COMPTES ANNUELS 2014 | 107 |
| RAPPORT GÉNÉRAL DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS |
121 |
| RAPPORT SEMESTRIEL D'ACTIVITÉ | 123 |
| COMPTES CONSOLIDÉS SEMESTRIELS CONDENSÉS | 127 |
| RAPPORT D'EXAMEN LIMITÉ DES COMMISSAIRES AUX COMPTES | 147 |
| RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION | 149 |
| RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LE RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION |
161 |
| HONORAIRES DES COMMISSAIRES AUX COMPTES | 163 |
En ma qualité de Directeur financier de VIEL & Cie, j'atteste qu'à ma connaissance, les comptes sont établis conformément aux normes comptables applicables et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et du résultat de la Société et de l'ensemble des entreprises comprises dans le périmètre de consolidation du Groupe, et que le rapport de gestion présente un tableau fidèle de l'évolution des affaires, des résultats et de la situation financière de la Société et de l'ensemble des entreprises comprises dans le périmètre de consolidation, ainsi qu'une description des principaux risques et incertitudes auxquelles elles sont confrontées.
Catherine Nini Directeur Financier
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR
VIEL & Cie exerce un métier d'investisseur et d'actionnaire long terme pour accompagner le développement de sociétés dans le secteur de la Finance en France et surtout à l'étranger. VIEL & Cie est ainsi un actionnaire de premier rang dans des sociétés cotées ou non cotées.
VIEL & Cie consolide deux participations majoritaires dans des sociétés cotées et une participation minoritaire par mise en équivalence dans une banque privée. Les métiers de ces pôles d'activité sont :
VIEL & Cie enregistre une croissance de ses résultats en 2014 malgré un recul de 2,4 % de son chiffre d'affaires consolidé. Ainsi, le résultat d'exploitation s'élève à 37,2 millions d'euros en 2014 contre 27,1 millions d'euros en 2013 soit une hausse de 37,3 %. Le résultat net est multiplié par plus de deux pour s'établir à 32,2 millions d'euros en 2014 contre 15,4 millions d'euros en 2013.
Compagnie Financière Tradition (CFT), présent dans de nombreux pays, est un des leaders mondiaux du secteur des IDB (Inter Dealer Brokers). Agissant comme intermédiaire, Compagnie Financière Tradition apporte ses services aux institutions financières et autres traders professionnels sur les marchés de capitaux. Les transactions varient en taille et liquidité, allant de la plus simple à la plus sophistiquée et de la plus liquide à la plus illiquide. Face à l'évolution réglementaire observée depuis quelques années et dans le prolongement logique de ses services de courtage à la voix, le Groupe accélère le développement de son offre de services de courtage électronique par le biais de sa technologie propriétaire hybride et le lancement de diverses plateformes.
Le Groupe enregistre un chiffre d'affaires consolidé de CHF 837,5 millions en 2014 contre CHF 874,4 millions pour l'année 2013, soit une baisse de 4,2 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé de Compagnie Financière Tradition est en baisse de 3,5 %.
La société représente 94,8 % du chiffre d'affaires consolidé de VIEL & Cie en 2014. L'activité du Groupe pour l'année 2014 s'est déroulée à nouveau dans un environnement exigeant.
.
Après une légère baisse du niveau d'activité au premier trimestre, les conditions de marché se sont fortement dégradées au deuxième trimestre et durant l'été avec une faible volatilité sur d'importantes classes d'actifs ainsi qu'une structure de marché toujours en mutation du fait des évolutions réglementaires et des incertitudes qui leurs sont liées, notamment sur le marché des dérivés OTC. L'environnement de marché s'est amélioré à partir du mois de septembre et le Groupe a affiché une hausse d'activité importante sur le quatrième trimestre par rapport à la même période l'an dernier, période notamment affectée par l'introduction des SEFs aux Etats-Unis. Dans le cadre de ces évolutions réglementaires aux Etats-Unis, le Groupe a continué de développer avec succès les activités et le positionnement de Tradition SEF, en particulier par le biais de Trad-X, plateforme leader de négociation hybride pour les swaps de taux d'intérêts.
Le bureau de Londres, principal centre d'activité du groupe Tradition, réalise 37,4 % du chiffre d'affaires consolidé en 2014, contre 35,6 % en 2013. Dans l'ensemble, le chiffre d'affaires du Royaume-Uni recule de 2,1 % à cours de change constants par rapport au chiffre d'affaires 2013. Le chiffre d'affaires de la plupart des catégories de produits est en baisse à l'exception des marchés émergents qui présente une hausse par rapport à l'exercice 2013.
En Europe continentale, le chiffre d'affaires recule de 2,6 % à cours de change constants, principalement dans les produits à taux fixe. La région représente 8,4 % du chiffre d'affaires consolidé ajusté, sans changement par rapport à l'année précédente.
Le chiffre d'affaires de cette région comprend celui des plateformes de courtage électronique du Groupe, Trad-X pour les dérivés de taux d'intérêt en euros et en sterling, et ParFX pour le change au comptant.
Le chiffre d'affaires s'inscrit en recul de 2,3 % à taux de change constants par rapport à l'année 2013. Les produits de change et actions sont en hausse alors que les produits à taux fixe et les matières premières affichent les plus fortes baisses. Dans l'ensemble, les activités conduites aux États-Unis génèrent 29,5 % du chiffre d'affaires consolidé ajusté, sans changement par rapport à 2013. Le chiffre d'affaires de Trad-X pour les dérivés de taux d'intérêt en dollars est inclus dans les chiffres de cette région.
Le chiffre d'affaires recule de 5,7 % à cours de change constants par rapport à 2013 et représente 22,7 % du chiffre d'affaires consolidé ajusté, contre 24,1 % sur l'exercice précédent. On observe une hausse du chiffre d'affaires dans les produits de change et de taux alors que les actions et produits à taux fixe affichent une baisse marquée.
* Changement de périmètre par rapport à 2012 en raison de l'application des normes IFRS 11 et IAS 19 révisée.
Bourse Direct, le leader français de la bourse sur Internet, est présent sur tous les métiers, du courtage en ligne sur l'ensemble des produits de bourse aux services de Back-Office. Bourse Direct a enregistré une croissance soutenue de ses activités en 2014 avec 4,1 millions d'ordres exécutés, en croissance de 16,9 % par rapport à 2013. Le chiffre d'affaires s'est établi en hausse de 9,2 %, à 37,5 millions d'euros contre 34,3 millions d'euros en 2013. Avec plus de 93 000 comptes de clients fin 2014, Bourse Direct est le premier acteur du marché de la bourse en ligne en France.
Pour l'année 2014, les indicateurs de performance de Bourse Direct sont positifs comme en 2013 avec une croissance soutenue du volume d'affaires et un recrutement important de nouveaux clients. Le nombre d'ordres exécutés par Bourse Direct en 2014 enregistre ainsi une croissance de 16,9 % pour atteindre les 4,1 millions. Sur la base des informations publiques, Bourse Direct confirme sa position de premier acteur du secteur de la bourse en ligne en France avec une part de marché estimée à plus de 35 %.
Le nombre de comptes de clients s'établit à plus de 93 000 en fin d'année. La clientèle de Bourse Direct reste parmi les plus dynamiques du marché avec un nombre d'ordres par compte par mois d'environ 3,7 pour 2014.
Le produit net bancaire enregistre une hausse de 8,3 % et s'établit à 31,9 millions d'euros contre 29,5 millions en 2013. Le nombre d'ordres exécutés connait une croissance constante pour s'établir à 4,1 millions en 2014 contre 3,5 millions en 2013, soit une croissance de 16,9 %. Cette croissance du volume d'affaires s'explique notamment par le dynamisme commercial de la société.
Bourse Direct se positionne aujourd'hui comme un « expert de la Bourse » en France. La société propose un service de bourse en ligne dédié qui s'articule autour d'outils performants et innovants et d'une large gamme de produits: actions françaises et étrangères, produits de placement (OPCVM, Assurance-Vie), produits dérivés (MONEP, Futures), CFD, Forex. Bourse Direct dispose d'une équipe d'experts des marchés financiers qui accompagne les clients. Dans le cadre d'une démarche pédagogique, des formations gratuites sont proposées à l'ensemble des prospects et clients dont les thèmes couvrent de l'initiation à la bourse à l'analyse technique. Bourse Direct propose ainsi à ses clients le meilleur service au meilleur prix. La société a été primée « Meilleur Service Client de l'année 2015 » dans sa catégorie (Enquête menée par Viseo Conseil).
Bourse Direct dispose également d'un service d'exécution, qui assure une intégration complète de la chaîne de traitement des opérations de ses clients mais également d'un service de négociation, tenue de comptes, conservation auprès d'intervenants privés et institutionnels comprenant une mise à disposition de site Internet en produit « blanc ». Bourse Direct est certifiée selon la norme ISAE 3402 (Type 2) sur différents processus métier depuis 2012.
PRODUITS
VIEL & Cie détient une participation de 40 % dans SwissLife Banque Privée depuis août 2007. Le développement des activités de banque privée du Groupe s'est poursuivi en 2014.
Cette participation est consolidée dans les comptes de VIEL & Cie par une mise en équivalence.
SwissLife Banque Privée exerce avec sa filiale SwissLife Gestion Privée, quatre activités principales :
A fin 2014, les activités du groupe SwissLife Banque Privée regroupent 4,4 milliards d'euros d'actifs en conservation.
Ce pôle d'activité enregistre un produit net bancaire de 45,1 millions d'euros en 2014 contre 30,7 millions d'euros en 2013. Après l'acquisition de la société Prigest en 2013 et le développement des activités bancaires, la société enregistre une marge nette de 13,9 % du produit net bancaire en 2014.
Le chiffre d'affaires consolidé des filiales opérationnelles de VIEL & Cie atteint 727,0 millions d'euros contre 744,6 millions d'euros, en baisse de 2,4 % à cours de change variables. A cours de change constants, la baisse s'élève à 2,8 %. Au 4ème trimestre 2014, le chiffre d'affaires consolidé enregistre une hausse de 6,4 % à cours de change courants par rapport à 2013 (+5,9 % à cours de change constants).
La répartition par secteur d'activité et zone géographique du chiffre d'affaires consolidé de VIEL & Cie s'analyse comme suit :
| Intermédiation professionnelle | Bourse en ligne | Total | ||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| En millions d'euros | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 |
| Europe | 316,6 | 316,0 | 37,5 | 34,3 | 354,1 | 350,3 |
| Amériques | 211,6 | 217,6 | - | - | 211,6 | 217,6 |
| Asie - Pacifique | 161,3 | 176,7 | - | - | 161,3 | 176,7 |
| Total | 689,5 | 710,3 | 37,5 | 34,3 | 727,0 | 744,6 |
Les autres produits d'exploitation s'élèvent à 3,5 millions d'euros et sont constitués de produits divers provenant des filiales opérationnelles.
Les charges d'exploitation, d'un montant de 693,3 millions d'euros en 2014 sont en baisse de 3,8 % par rapport à l'année 2013 et sont principalement constituées de charges de personnel, de frais de télécommunication et d'information financière, et de frais de représentations et de marketing des filiales opérationnelles de VIEL & Cie. Les charges de personnel ont enregistré une baisse de 4,1 % sur l'année.
Le résultat d'exploitation consolidé de VIEL & Cie s'élève à 37,2 millions d'euros en 2014, contre 27,1 millions d'euros en 2013 soit une hausse de 37,3 %.
VIEL & Cie enregistre un résultat avant impôt d'un montant de 44,8 millions d'euros contre 26,9 millions d'euros en 2013.
La quote-part de résultat d'exploitation des sociétés mises en équivalence enregistre une augmentation significative et s'élève à 12,2 millions d'euros au 31 décembre 2014 (7,5 millions d'euros en 2013).
Le résultat financier net est négatif à hauteur de 4,5 millions d'euros en 2014 (-7,7 millions d'euros en 2013) notamment en raison de charges d'intérêt.
La charge d'impôt consolidée constatée en 2014 s'établit à 12,7 millions d'euros, contre 11,5 millions d'euros en 2013.
VIEL & Cie enregistre ainsi un résultat net consolidé de 32,2 millions d'euros contre 15,4 millions d'euros en 2013. Les intérêts minoritaires s'établissent à 10,9 millions d'euros en baisse de 13,8 % par rapport à 2013.
Le résultat net - part du Groupe s'inscrit à 21,3 millions d'euros en 2014, en très forte croissance par rapport à 2013 où il était de 5,9 millions d'euros.
Les capitaux propres consolidés de VIEL & Cie s'établissent à 401,3 millions d'euros contre 362,5 millions d'euros en 2013, dont 303,0 millions d'euros pour la part du Groupe après déduction de la valeur brute des actions propres détenues par VIEL & Cie elle-même pour un montant de 27,3 millions d'euros.
En 2014, l'activité du groupe Tradition s'est déroulée à nouveau dans un environnement exigeant.
Après une légère baisse du niveau d'activité au premier trimestre, les conditions de marché se sont fortement dégradées au deuxième trimestre et durant l'été avec une faible volatilité sur d'importantes classes d'actifs ainsi qu'une structure de marché toujours en mutation du fait des évolutions réglementaires et des incertitudes qui leurs sont liées, notamment sur le marché des dérivés OTC. L'environnement de marché s'est amélioré à partir du mois de septembre et le groupe a affiché une hausse d'activité importante sur le quatrième trimestre par rapport à la même période l'an dernier, période notamment affectée par l'introduction des SEFs aux Etats-Unis. Dans le cadre de ces évolutions réglementaires aux Etats-Unis, le groupe a continué de développer avec succès les activités et le positionnement de Tradition SEF, en particulier par le biais de Trad-X, plateforme leader de négociation hybride pour les swaps de taux d'intérêts.
Après avoir racheté, en avril, l'ensemble des actions détenues par un actionnaire minoritaire dans une filiale au Japon, le groupe Tradition a conclu, en novembre, un nouveau partenariat dans le courtage de produits dérivés japonais. Ces transactions ont généré un impact positif de CHF 33,6 millions dans les capitaux propres attribuables aux actionnaires de CFT.
Dans un contexte de marché mouvementé sur le plan économique, les indicateurs de performance de Bourse Direct sont positifs comme en 2013 avec une croissance soutenue du volume d'affaires et un recrutement important de nouveaux clients. Bourse Direct a de ce fait conforté sa position de leader de la bourse en ligne en France et accru sa part de marché. Le nombre d'ordres exécutés par Bourse Direct en 2014 enregistre ainsi une croissance de 16,9 % pour atteindre les 4,1 millions.
Sur la base des informations publiques, Bourse Direct confirme sa position de premier acteur du secteur de la bourse en ligne en France avec une part de marché estimée à plus de 35 %. Le nombre de comptes de clients s'établit à plus de 93 000 en fin d'année. La clientèle de Bourse Direct reste parmi la plus dynamique du marché avec un nombre d'ordres par compte par mois de plus de 3,7 en 2014.
L'économie mondiale est entrée en 2014 dans un nouveau monde, marqué par des indicateurs traditionnellement annonciateurs de reprise économique : abondance de liquidité, absence d'inflation, taux d'intérêt nominaux très bas, voire même négatifs, et effondrement du coût des matières premières, au premier rang desquelles l'énergie. A première vue, que de signaux positifs !
Pourtant, en regardant le tableau d'un peu plus près, apparaissent la forte progression de l'endettement des Etats, une guerre des monnaies larvée qui ne dit pas son nom, et les effets néfastes d'une trop grande abondance de liquidité qui laisse entrevoir un risque de mauvaise allocation des investissements qui quittent l'économie réelle et productive pour aller alimenter les marchés financiers.
L'économie mondiale affiche cependant des signaux encourageants qui n'avaient pas été observés depuis plusieurs années ; à charge désormais au malade de se passer progressivement de sa lourde pharmacopée pour revenir dans le monde réel.
Aucune nouvelle transaction n'est intervenue au cours de l'exercice 2014.
L'impact financier des transactions avec les parties liées est présenté en note 27 de l'annexe aux comptes consolidés.
Dans le cadre d'un démarrage de l'activité encourageant en début d'année 2015 sur ses différents métiers, VIEL & Cie accompagnera ses filiales opérationnelles dans leur développement. En 2014, Compagnie Financière Tradition a nettement amélioré sa rentabilité dans un contexte de marché exigeant et en pleine évolution avec une première opération de consolidation du secteur aux Etats-Unis. En 2015, Compagnie Financière Tradition poursuivra ses développements dans la technologie et ses efforts de réduction des coûts dans un contexte de marché prometteur afin de conforter son positionnement dans le secteur.
Bourse Direct accélèrera en 2015 son rythme de recrutement de nouveaux clients dans le cadre d'une politique d'investissement plus active en 2015 pour atteindre en milieu d'année le cap de 100 000 comptes de clients et accroitre ainsi son volume d'affaires.
La structure du capital de la Société est décrite dans le présent document. La Société a un actionnaire majoritaire à hauteur de 52,86 % du capital social et 70,99 % des droits de vote (compte tenu du droit de vote double et des actions auto détenues dépourvues du droit de vote), ce qui est susceptible de limiter le succès d'une éventuelle offre publique sur la Société sans l'accord de cet actionnaire.
Il n'existe pas de restriction statutaire à l'exercice des droits de vote et aux transferts d'actions. Il existe en revanche un mécanisme de vote double prévu par les statuts.
Les participations directes ou indirectes dans le capital de la Société dont elle a connaissance figurent en page 76 du présent rapport.
Il n'existe pas de détenteurs de titres comportant des droits de contrôle spéciaux à la connaissance de la Société, en-dehors des droits de vote double.
Il n'existe pas de mécanismes de contrôle prévus dans un éventuel système d'actionnariat du personnel.
Il n'existe pas d'accord entre actionnaires en cours dont la Société a connaissance et qui peuvent entraîner des restrictions au transfert d'actions et à l'exercice des droits de vote.
Les règles applicables à la nomination et au remplacement des membres du Conseil d'administration ainsi qu'à la modification des statuts de la Société sont le reflet des dispositions légales et figurent dans les statuts de la Société.
Les pouvoirs du Conseil d'administration sont le reflet des dispositions légales et figurent dans les statuts de la Société.
Le Conseil d'administration a en outre été autorisé par l'Assemblée générale à racheter les actions de la Société dans la limite de 10 % du capital, d'annuler les actions dans la limite de 10 % du capital social et bénéficie des délégations telles qu'exposées dans le présent rapport. L'Assemblé générale a délégué au Conseil d'administration les autorisations financières décrites en page 10 du présent rapport, incluant les bons d'offre.
Le contrat de prêt souscrit en 2011, et présenté dans la note 20 de l'annexe aux comptes consolidés prévoit l'exigibilité immédiate des sommes restant dues en cas de changement de contrôle de la Société.
Il n'y a pas d'accord prévoyant des indemnités pour les membres du Conseil d'administration ou les salariés de la Société, s'ils démissionnent ou sont licenciés sans cause réelle et sérieuse ou si leur emploi prend fin en raison d'une offre publique.
Par ailleurs, la Société détient indirectement des participations majoritaires ou minoritaires dans des entreprises d'investissement et un établissement de crédit, français et étrangères, dans lesquels le franchissement de certains seuils même indirectement, est susceptible de faire l'objet de déclaration ou d'autorisation des autorités locales.
L'Assemblée générale extraordinaire du 12 juin 2014 a autorisé le Conseil d'administration à procéder, en une ou plusieurs fois, à des attributions, à son choix, soit d'actions gratuites existantes (autres que des actions de préférence) de la Société provenant d'achats effectués préalablement dans les conditions prévues par les dispositions légales, soit d'actions gratuites à émettre (autres que des actions de préférence) de la Société aux bénéfices de membres du personnel salarié et/ou de dirigeants et mandataires sociaux de la Société ou de société ou groupement qui lui sont liés, dans la limite de 10 % du capital de la Société, et pour une durée maximale de 26 mois.
Conformément à l'article 223-26 du Règlement général de l'AMF, il n'y a eu aucune opération mentionnée à l'article L. 621-18-2 du Code monétaire et financier réalisées au cours du dernier exercice, déclaré à la Société.
En application des dispositions de l'article L. 225-100, al.7 du Code du Commerce, un tableau récapitulatif des délégations accordées au Conseil d'administration par l'Assemblée générale en cours de validité et leur utilisation au cours des de l'exercice 2014 est présenté ci-dessous :
| Type de délégation | AGE | Echéance | Montant autorisé |
Utilisation en 2014 |
Autorisations résiduelles |
|---|---|---|---|---|---|
| Augmentation de capital (délégation globale avec maintien du DPS) |
07-juin-13 | AGO 2015 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital (délégation globale avec suppression du DPS) |
12-juin-14 | août-16 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital (délégation globale avec suppression du DPS-Art-L411-2,II CMF) |
12-juin-14 | août-16 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital par incorporation de réserves | 12-juin-14 | AGO 2015 | € 5 000 000 | - | € 5 000 000 |
| Augmentation de capital par émission de BSA (avec maintien du DPS) |
07-juin-13 | août-15 | € 30 000 000 | - | € 30 000 000 |
| Augmentation de capital par attribution d'actions gratuites, existantes ou à créer |
07-juin-13 | août-15 | € 1 542 735 | - | € 1 538 700 |
| Augmentation de capital par émission de BSA (en cas d'offre publique) |
12-juin-14 | déc-15 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital (attribution d'options de souscription ou d'achat d'actions) |
01-juin-12 | août-15 | € 1 542 735 | - | € 1 542 735 |
| Réduction de capital (annulation d'actions) | 12-juin-14 | AGO 2015 | € 1 542 735 | - | € 1 542 735 |
Les délégations d'augmentation de capital sont globalement plafonnées à € 20 000 000.
Au cours de l'exercice 2014, aucune action nouvelle n'a été créée.
Le Président-Directeur Général de la société a perçu au titre de l'exercice 2014, 321 437 euros de rémunération fixe versée par VIEL et Compagnie-Finance, actionnaire majoritaire de VIEL & Cie, ainsi que des jetons de présence pour un montant de 12 000 euros versés en 2014 par VIEL & Cie, et 7 622,45 euros versés en 2014 par VIEL et Compagnie-Finance.
Le Président-Directeur Général ne bénéficie au 31 décembre 2014 d'aucun plan d'options de souscription d'actions ni d'actions gratuites. Par ailleurs, aucun avantage en nature, avantage postérieur à l'emploi, autre avantage à long terme, indemnité de fin de contrat de travail et paiement fondé sur des actions n'est accordé au Président-Directeur général.
La rémunération versée aux mandataires sociaux est la suivante :
Fonction et rémunération : Président- Directeur Général, 321 437 euros versés par VIEL et Compagnie-Finance, actionnaire majoritaire de VIEL & Cie, en rémunération fixe.
Durée du mandat : Renouvelé le 4 juin 2009 pour une durée de six ans.
Autres mandats : Président-Directeur Général de VIEL et Compagnie-Finance, Président du Conseil d'administration de Compagnie Financière Tradition (Suisse), Président du Conseil d'administration de Financière Vermeer NV (Pays-Bas), Administrateur de SwissLife Banque Privée, Administrateur de Verbalys, Président de la SAS La Compagnie Vendôme, Gérant de la SCI VIEL Foch, Gérant de la SCI de Vaullongue, Gérant de Immoviel.
Jetons de présence : 12 000 euros versés en 2014 par VIEL & Cie et 7 622 euros versés en 2014 par VIEL et Compagnie-Finance.
Fonction et rémunération : Administrateur.
Durée du mandat : Renouvelé le 17 juin 2011 pour une durée de six ans.
Autres mandats : Président de la SAS Anglo-Française et de Terold Invest S.L.U. (Espagne), Vice-Président de Quilvest Switzerland (Suisse), Membre du Conseil de surveillance de la SA Quilvest Banque Privée, Gérant de Terold SARL (Luxembourg), Administrateur de Quilvest Europe SA (Luxembourg), Vice-Président du Conseil de surveillance de Bourse Direct, Administrateur de VIEL et Compagnie-Finance, Belhyperion (Belgique), Quilvest European Partners (Luxembourg), QS Geo (Luxembourg), QS Italy (Luxembourg), QS Luxembourg Services (Luxembourg), Quilvest Wealth Management (Luxembourg), CBP Quilvest (Luxembourg), Arconas (Luxembourg), Quilvest European Investment CORP (Luxembourg), Compagnie Générale De Participations (Luxembourg), Barkingside (Luxembourg), Otito Properties (Luxembourg), Tradition (UK) Ltd, TFS Derivatives Ltd, TFS Ltd, Trad-X (UK) Ltd (Royaume-Uni), Vice-Président du Conseil de surveillance de Bourse Direct.
Jetons de présence : 12 000 euros versés en 2014 par VIEL & Cie, 7 622 euros versés en 2014 par VIEL et Compagnie-Finance.
Fonction et rémunération : Administrateur.
Durée du mandat : Renouvelé le 17 juin 2011 pour une durée de six ans.
Autres mandats : Président du Conseil de Surveillance de Solution 30, Président de la FNEGE (France), FONDACT (France), Administrateur de Assurances et Conseils St-Honoré (France), Compagnie Financière Tradition (Suisse), Membre du Conseil stratégique de Bolloré (France).
Jetons de présence : 12 000 euros versés en 2014 par VIEL & Cie, 24 699 euros au titre des jetons de présence et 16 466 euros au titre du comité d'audit versés par les sociétés contrôlées.
Fonction et rémunération : Administrateur. Durée du mandat : Renouvelé le 17 juin 2011 pour une durée de six ans. Autres mandats : Administrateur de GTI, TFI, EIM Espagne. Jetons de présence : 12 000 euros versés par VIEL & Cie.
Fonction et rémunération : Administrateur.
Durée du mandat : Depuis le 17 juin 2011 pour une durée de six ans.
Autres mandats : Président du Directoire de Bourse Direct, Administrateur d'E-VIEL, Représentant de VIEL & Cie au Conseil d'administration d'Arpège, Administrateur de SwissLife Banque Privée, Administrateur de SwissLife Gestion Privée, Représentant permanent de Bourse Direct au Conseil d'administration, de EASDAQ, Directeur général délégué de Viel et Compagnie-Finance, Directeur Financier de VIEL & Cie, Administrateur de TSAF, Administrateur de TSAF OTC. Jetons de présence : 12 000 euros versés par VIEL & Cie.
Conformément à l'article 223-26 du règlement général de l'AMF, nous vous précisons qu'au cours de l'exercice 2014, aucune action gratuite n'a été accordée.
Au cours de l'exercice 2014, VIEL & Cie n'a pas utilisé l'autorisation d'acquisition de ses propres titres. Au 31 décembre 2014, VIEL & Cie détient 9,20 % de son capital, soit 7 096 996 actions.
Il est rappelé qu'au titre des trois exercices précédents, les dividendes suivants ont été distribués (avant déduction de la part revenant aux titres d'autocontrôle) :
VIEL & Cie, dans son rôle d'investisseur, dispose d'un système d'information et de reporting interne fondé sur une approche par métier, déclinée pour chaque pôle d'activité du Groupe qui présente des profils de risques globalement homogènes.
Afin de présenter une information financière en adéquation avec le système de reporting interne, VIEL & Cie présente donc son information sectorielle selon quatre secteurs, que sont l'intermédiation professionnelle autour de la participation dans Compagnie Financière Tradition, la bourse en ligne avec Bourse Direct, la banque privée au travers de SwissLife Banque Privée, le pôle immobilier.
Au 31 décembre 2014, VIEL & Cie détient 68,90 % du capital de Compagnie Financière Tradition, sans changement au cours del'exercice 2014, et 76,57 % du capital de Bourse Direct, contre 76,04 % au 31 décembre 2013.
Les risques identifiés concernent principalement les filiales opérationnelles de VIEL & Cie dans le cadre de leurs activités. Sont exposés ci-après les principaux risques dans la mesure où ils peuvent avoir un impact sur la valeur des investissements concernés dans le portefeuille de VIEL & Cie. Chaque filiale opérationnelle dispose de son entière autonomie de gestion, mais présente un reporting financier régulier à VIEL & Cie.
Ces filiales opérationnelles sont principalement exposées aux risques suivants :
Le Conseil d'administration apprécie les risques existants au sein du Groupe et exerce une surveillance sur la Direction. Il est assisté dans ces tâches par le Comité d'audit dont le rôle est de surveiller le système de contrôle interne sur le reporting financier, la gestion des risques ainsi que la conformité avec les lois et réglementations locales. L'audit interne effectue régulièrement des revues de gestion des risques et de contrôles internes dont les résultats sont communiqués au Comité d'audit des différents pôles opérationnels.
Dans le cadre du suivi des risques opérationnels, les filiales du Groupe ont développé une cartographie des risques homogène selon la nomenclature Bâle II. Un outil a été déployé dans le Groupe (E-Front) afin de recenser les risques opérationnels par filiale et de consolider l'information relative à la nature de ces risques opérationnels. Cette approche s'inscrit dans le cadre d'une meilleure maîtrise des risques opérationnels.
VIEL & Cie en tant que société holding n'est pas exposée au risque de crédit.
Le risque de crédit est avant tout le risque de perte financière pour les filiales opérationnelles si un client ou une contrepartie à un instrument financier manque à une de ses obligations. Ce risque concerne principalement la rubrique des clients et autres créances. Les filiales opérationnelles de VIEL & Cie exercent le métier d'intermédiaire sur les marchés financiers et non financiers, principalement auprès d'une clientèle de professionnels pour Compagnie Financière Tradition, et auprès de particuliers pour Gaitame (filiale de Compagnie Financière Tradition) et Bourse Direct.
Le métier de courtier consiste à rapprocher deux contreparties pour la réalisation d'une opération, et à percevoir une rémunération pour le service apporté. Compagnie Financière Tradition a donc une exposition très limitée au risque de crédit dans le cadre de cette activité. La qualité des contreparties est évaluée localement par les filiales selon des directives émises par le Groupe et les commissions à recevoir font l'objet d'un suivi régulier. Des dépréciations sont comptabilisées si nécessaire sur certaines créances.
Par ailleurs, certaines sociétés opérationnelles du Groupe agissent à titre de principal dans l'achat et la vente simultanés de titres pour le compte de tiers. Ces transactions sont gérées sur la base de règlement d'espèces contre livraisons de titres à travers des chambres de compensation. Le délai entre la date de transaction et la date de dénouement est majoritairement de deux jours depuis octobre 2014, pendant lesquels ces sociétés sont exposées au risque de contrepartie.
Ce risque de contrepartie est contenu dans les limites déterminées par le Comité de crédit de Compagnie Financière Tradition ; celui-ci base son appréciation sur la qualité financière de la contrepartie, prenant en considération les ratings publiés par les organismes reconnus (ECAI, External Credit Assesment Institutions), ainsi que toutes informations financières disponibles (cours de bourse, Credit Default Swaps, évolution des rendements du marché secondaire obligataire, etc.) ; lorsqu'aucun rating externe n'est disponible, Compagnie Financière Tradition calcule un rating interne, selon une méthodologie interne. En sus de la notation de la contrepartie, le type d'instruments traités et leur liquidité sont pris en compte pour déterminer la limite.
La détermination des limites et le suivi de leur respect sont assurés de manière indépendante par le département des risques de Compagnie Financière Tradition, ou bien par les départements des risques des régions opérationnelles. Les limites sont régulièrement révisées selon une périodicité prédéterminée ou bien à la suite d'événements pouvant affecter la qualité de la contrepartie ou l'environnement dans lequel elle opère (pays, types de secteur, etc.). Les expositions se concentrent sur des établissements financiers régulés, majoritairement notés « investment grade ».
Le clearing est quant à lui traité par des équipes spécialisées. À cet effet, le groupe Tradition dispose d'une filiale indirecte dédiée aux activités de compensation, Tradition London Clearing Ltd, pivot des opérations en principal du Groupe pour l'Europe et l'Asie. Tradition London Clearing Ltd. est en charge du suivi des opérations introduites par les entités opérationnelles du groupe Tradition jusqu'à leur dénouement final dans les chambres de compensation. Tradition Asiel Securities Inc., filiale du groupe Tradition aux États-Unis, effectue par ailleurs toutes les opérations de clearing aux États-Unis. Cette société est membre du FICC (Fixed Income Clearing Corporation), une contrepartie centrale de marché pour les titres d'État américains. L'adhésion au FICC induit une réduction notable du risque de défaut d'une contrepartie, la responsabilité de la bonne fin des opérations incombant au FICC une fois les opérations confirmées.
Bourse Direct traite principalement avec des particuliers, dont la couverture est assurée par les liquidités déposées sur leur compte espèces ; à ce titre, une opération de marché dont la couverture ne serait pas assurée, doit être rendue impossible par les systèmes automatiques de contrôle des couvertures dans le cadre du correct fonctionnement des outils mis à disposition par les prestataires techniques de la société.
Bourse Direct traite également avec des clients institutionnels. Dans ce cadre, toute contrepartie doit faire l'objet d'une autorisation accordée par le Comité de crédit. La majorité des contreparties sont d'importantes institutions financières bénéficiant d'une excellente notation de crédit. Un élément fondamental dans le processus d'approbation des contreparties est la séparation entre les fonctions opérationnelles et celles d'évaluation des risques et d'autorisation. La Direction de cette société s'assure régulièrement que les décisions sont observées et que les procédures de contrôle concernant les contreparties et le clearing sont efficaces.
VIEL & Cie doit disposer des ressources financières nécessaires au financement de son activité courante et maintenir sa capacité d'investissement à tout moment. La gestion du risque de liquidité est assurée au niveau de la holding par une surveillance permanente de la durée des financements, de l'existence de lignes de crédit disponibles et de la diversification des ressources. VIEL & Cie gère par ailleurs de façon prudente sa trésorerie disponible en la plaçant sur des supports sans risques, liquides et monétaires. Une convention de trésorerie est établie entre VIEL & Cie et certaines de ses filiales dans le cadre de l'optimisation de la gestion de trésorerie du Groupe.
Le risque de liquidité intervient lorsque des filiales rencontreraient des difficultés à honorer leurs obligations financières. Aux fins de la gestion des risques, ce risque est divisé en deux catégories.
Le risque de liquidité transactionnel concerne la capacité à couvrir les flux de trésorerie liés aux opérations en principal ou aux besoins des contreparties du marché - par exemple, la nécessité de financer des titres en cours de règlement ou de placer des marges ou des garanties auprès de chambres de compensation ou de banques fournissant des services de compensation aux sociétés consolidées du Groupe.
Quoique difficiles à anticiper, ces besoins de liquidités sont généralement de court terme, à un jour voire intra journaliers, et sont généralement couverts par des découverts auprès de l'entité de compensation. Pour gérer ces risques, les filiales pratiquant des opérations en principal disposent d'une trésorerie et d'équivalents de trésorerie suffisants pour couvrir leurs besoins potentiels de financement en faisant appel à une approche statistique basée sur les données historiques, qui sont soumises à un test de résistance pour définir un niveau de réserve approprié.
Le risque de liquidité sur bilan est le risque qu'une entité du Groupe soit incapable de couvrir ses besoins en fonds de roulement nets pendant un certain laps de temps du fait de difficultés opérationnelles ou d'investissements importants dans l'activité. Pour gérer ce risque, toutes les entités opérationnelles du groupe Tradition établissent des prévisions de trésorerie glissantes sur douze mois dans le cadre de la procédure mensuelle d'information financière afin de déceler les problèmes potentiels de liquidité. Au minimum, toutes les entités conservent des liquidités ou des équivalents de trésorerie suffisants pour couvrir les sorties nettes de trésorerie anticipées pour les trois mois suivants. Des contrôles sont effectués deux fois par an pour déterminer les fonds en excédent par rapport aux exigences locales.
En outre, dans le cadre des contraintes réglementaires propres aux entreprises d'investissement, certaines sociétés du Groupe placent la trésorerie de leur clientèle dans des produits liquides, sans risque de taux ni de contrepartie, et immédiatement disponibles.
VIEL & Cie est exposé au risque de marché par rapport à la valeur de ses actifs et à l'évolution des coûts de sa dette. Le risque de marché est le risque que la juste valeur ou les flux de trésorerie futurs d'un instrument financier fluctuent en raison des variations des prix du marché et affectent le résultat net du Groupe ou la valeur de ses instruments financiers. Le risque de marché inclut le risque de change et le risque de taux d'intérêt.
De par son positionnement international, le Groupe est exposé au risque de change. Celui-ci se produit lorsque des transactions sont effectuées par des filiales dans une monnaie autre que leur monnaie fonctionnelle. Les monnaies dans lesquelles les transactions sont principalement effectuées sont le dollar US (USD), la livre sterling (GBP), l'euro (EUR),le franc suisse (CHF) et le yen (JPY).
Le risque de change est analysé comme un risque global et sa gestion fait l'objet de prises de décision de la Direction Générale. La politique du Groupe en termes de couverture du risque de change ne s'inscrit pas dans le cadre d'une politique de couverture à long terme mais dans le choix de couverture ponctuelle en fonction des évolutions conjoncturelles.
L'exposition du Groupe au risque de taux d'intérêt résulte principalement de la structuration de sa dette financière. Cependant, ce risque reste très marginal dans la mesure où la quasi-totalité de la dette financière à long terme à taux variable fait l'objet d'une couverture au moyen de swaps de taux d'intérêt. La mise en place d'une dette financière au sein du Groupe fait l'objet d'une décision approuvée par la Direction Générale.
Dans le cadre de sa stratégie d'investissement, VIEL & Cie a depuis de nombreuses années, privilégié une position majoritaire au capital de ses participations. Lorsque VIEL & Cie a procédé à un investissement en partenariat avec un autre établissement, un pacte d'actionnaires a été mis en place afin de protéger ses intérêts dans cet investissement.
Le risque opérationnel couvre tous les risques liés au traitement des opérations, allant de la correcte exécution des ordres de la clientèle, à la confirmation de ceux-ci puis au traitement administratif qui suit. D'éventuels dysfonctionnements informatiques, qui pourraient venir fausser l'exécution des opérations, entrent également dans cette catégorie.
Par ailleurs, le risque opérationnel provient du rôle majeur que peuvent jouer les personnes clés au sein de l'organisation. Concernant les équipes opérationnelles, le risque de « débauchage » par les concurrents existe. Enfin, l'évolution et le perfectionnement des outils informatiques constituent un enjeu majeur.
La sensibilité du Groupe aux risques de marché est présentée en note 30 des annexes consolidées.
Bourse Direct, filiale de VIEL & Cie, produit de la recherche au travers d'une équipe spécialisée sur les nouvelles technologies applicables au métier de la bourse en ligne. Dans le cadre de ces travaux, Bourse Direct bénéficie du crédit impôt recherche.
Chacune des filiales opérationnelles de VIEL & Cie veille à disposer en permanence d'un montant de trésorerie lui permettant de faire face aux besoins en fonds de roulement liés à leurs activités, ainsi qu'aux différentes orientations stratégiques du Groupe.
Au 31 décembre 2014, VIEL & Cie est endettée à hauteur de € 60 000 000, sur des échéances allant de 1 à 5 ans, et dispose par ailleurs d'une trésorerie immédiatement disponible de € 9 095 000. La trésorerie consolidée s'établit à € 299 754 000 ; avec un endettement consolidé de € 237 104 000, le Groupe affiche une situation financière solide, avec trésorerie nette positive de € 62 650 000.
Les emprunts bancaires de VIEL & Cie sont soumis à des clauses de remboursement anticipé ; le Groupe doit respecter certains ratios fixés contractuellement, portant notamment sur le niveau d'endettement du Groupe par rapport à sa trésorerie consolidée, ou sur le niveau des charges financières. Avec une trésorerie nette positive, le Groupe respecte ces ratios au 31 décembre 2014.
Par ailleurs, dans le cadre de la gestion de sa dette, VIEL & Cie et sa filiale Compagnie Financière Tradition utilisent des instruments de couverture ; des swaps de taux d'intérêt sont au 31 décembre 2014 parfaitement adossés en terme de nominal et d'échéance aux dettes dont ils couvrent le risque de taux, et répondent aux caractéristiques des instruments de couverture selon la norme IAS 39. Le Groupe n'utilise pas d'instruments financiers à des fins de transaction.
| Dettes non échues | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Au 31 décembre 2014 | De 1 à 30 jours De 30 à 60 jours | Plus de 60 jours | Dettes échues | Total | |
| Encours au 31/12/2014 | 57 370 | - | - | 1 120 | 58 490 |
| Factures non parvenues | 171 000 | - | - | - | 171 000 |
| Total | 225 817 | 2 554 | - | 1 120 | 229 490 |
| Dettes non échues | |||||
| Au 31 décembre 2013 | De 1 à 30 jours De 30 à 60 jours | Plus de 60 jours | Dettes échues | Total | |
| Encours au 31/12/2013 | 73 821 | 30 000 | - | 7 467 | 111 287 |
| Factures non parvenues | 140 267 | - | - | 140 267 |
Les dates d'échéance ci-dessus correspondent aux mentions présentes sur les factures ou à défaut à la fin du mois civil au cours duquel les factures ont été reçues.
Les dettes échues le sont pour la plupart depuis moins de 30 jours.
VIEL & Cie dispose d'un processus de validation des factures par les services compétents préalable à tout paiement.
Viel & Cie constate des charges non déductibles fiscalement pour un montant de € 57 715 au titre de l'exercice 2014, constituées intégralement de la part non déductible fiscalement des jetons de présence.
L'économie mondiale est en train de vivre un moment exceptionnel : les taux nominaux sont très bas, les banques centrales sont extrêmement actives, l'inflation est tombée à un niveau proche, voire inférieur, à zéro et la dette mondiale a dépassé le niveau de 200 trillions de dollars et rappelle la fameuse cantate BWV 163 de Bach - Nur jedem das Seine! - qui parle de la dette.
Au cours de 2014 les banques Centrales ont décidé 63 baisses des taux et 44 hausses et au cours des premiers trois mois de 2015 on a déjà enregistré 24 baisses et 8 hausses.
Les Banques Centrales occupent progressivement l'espace abandonné par les politiques fiscales et budgétaires, en général moins efficaces et avec des effets qui se manifestent trop lentement.
Le monde politique a souvent confié la barre du bateau aux banques centrales dans les moments difficiles et les banquiers centraux ont su naviguer à travers des eaux périlleuses, sans trop de dégâts. Les Banques Centrales sont devenues des acteurs incontournables de l'économie mondiale et les marchés ont intégré cette réalité. A ce propos il faut rappeler que les principales banques centrales en Europe, et aussi aux USA, ont été créées dans le passé pour aider les Etats à gérer leurs finances pendant ou après une guerre et que... le Vice-gouverneur de la Banque d'Angleterre avait été tué par une balle de mousquet au cours de sa visite aux tranchées lors du siège de Namur, un an après la création de la « Old Lady »...
Après une brève expérience des années « septante » de la Suisse, quelques banques centrales en Europe ont décidé de faire descendre certains de leurs taux officiels sous le niveau de zéro ! Il s'agit d'une expérience extraordinaire, nouvelle dans toute l'histoire de la finance. Les Banques appliquent des rémunérations négatives pour les capitaux déposés dans leurs caveaux par les banques commerciales pour les dissuader de prendre cette décision et surtout pour les encourager à prêter à l'économie réelle. Cette décision a un impact important sur toutes les courbes des taux d'intérêts, sur l'industrie de la gestion des capitaux et sur la structure du patrimoine des compagnies d'assurances qui doivent jongler avec des taux longs très bas et avec des taux courts souvent négatifs. Le risque d'une allocation des ressources qui ne reflète pas la meilleure stratégie est très évident et préoccupe de nombreux acteurs de l'économie et même les hauts responsables de Banques Centrales.
On a très rarement enregistré des taux bas dans l'histoire. Il y a cependant quelques cas. Par exemple, après la conquête romaine de l'Egypte, la disponibilité du trésor des pharaons a permis à Rome de ne pas augmenter la fiscalité pendant plusieurs lustres et les taux d'intérêts sont tombés à environ 4 %, contre une moyenne de 8-10 %. Bien plus tard, l'arrivée dans les ports européens des galions espagnols chargés d'argent et d'or extraits des mines andines et mexicaines a permis de faire baisser les taux d'intérêts. A Gènes, une des principales places bénéficiaires, les taux sont ainsi tombés à 1 et 3/8 % quand l'arrivée de ces galions a été presque régulière (entre 1600 et 1625) et les banquiers parlaient de « moneda larga » pour indiquer l'abondance de liquidité.
Après la faillite de la Banque de Law (1720), en France, la crise de l'économie réelle a été si violente que les taux ont baissé à environ 2 %. Il faut attendre un autre moment très difficile de l'évolution de l'économie mondiale pour retrouver des taux particulièrement faibles (proches de 2 %). Il s'agit de la grande déflation des années 1873-96 qui a accompagné une longue récession mondiale, alimentée par des gains de productivité et de grandes migrations de populations vers les pays nouveaux (Amériques et Australie).
Paraphrasant Shakespeare on peut affi rmer que toutes les Banques Centrales disent : « I want my bond ! » , comme l'affi rme Shylock dans le Marchand de Venise (acte III, sc. 3). La Federal Reserve a juste arrêté de procéder à des achats de bons du trésor et d'ABS et a passé le témoin à la BoJ et à la BCE, pour ne citer que deux banques parmi les plus importantes qui pratiquent le Quantitative Easing (Q.E.) (une des formules de politique monétaire - inventée par la BoJ – et classée parmi les opérations « non conventionnelles »)... Mais le Q.E. est tellement diff us qu'on ne peut plus classer cette opération dans cette catégorie : progressivement la manœuvre devient de plus en plus conventionnelle.
Des opérations comparables à celles de Q.E. avaient été lancées par la FED au cours des années 1930-40 et avaient été reprises par la BoJ pour lutter contre l'infl ation au début des années 2000.
En eff et, les Banques Centrales se sont lancées dans une lutte contre l'infl ation jusqu'à la dernière goutte de sang. Pendant une trentaine d'années les mêmes se sont battues contre cette hydre aux sept têtes avec un certain succès, même si l'économie réelle en a subi les conséquences.
Dernièrement, les gains de productivité, les migrations de main-d'œuvre à bon marché, l'ouverture des économies de certains pays qui ont un vrai bassin de main-d'œuvre, l'internationalisation de l'économie et l'abondance des matières premières ont freiné la hausse des prix à la consommation. Cet indicateur de l'infl ation a même enregistré des taux de croissance négatifs avec un impact sur la psychologie des consommateurs qui pèse mécaniquement sur la conjoncture de l'économie.
L'action des Banques Centrales contre l'infl ation faible est très diffi cile. L'expérience a montré que l'arme des taux est très effi cace contre une infl ation trop élevée (voir les choix de politique monétaire de Volker, suivies par un nombre important d'autres banques centrales). En revanche, la bataille contre l'infl ation trop faible est beaucoup plus diffi cile à cause de la malédiction contenue dans l'équation de Fisher, en particulier la chute verticale de la vélocité de la monnaie !
Les Banques centrales ont décidé d'inonder les marchés avec une masse énorme de liquidités. Les bilans des principales banques centrales (FED, BOJ, BOE, SNB, PBOC) montrent une forte hausse de l'exposition face aux marchés. En revanche, le bilan de la BCE, pour des raisons essentiellement techniques (le remboursement des deux opérations de LTRO), a été réduit passant de trois à deux trillions d'euros. Mario Draghi a réussi à convaincre la grande majorité de ses collègues de prendre des mesures très musclées pour injecter plus d'un trillion d'euros au cours d'un an et demi, avec l'engagement à continuer l'opération, si celle-ci ne s'avérait pas suffi sante. Cette opération a un impact très favorable sur la structure de la courbe des taux dans l'Eurozone et, naturellement, sur l'évolution de l'Euro. Par contre, la sortie de ces politiques de soutien à l'économie risque de poser des problèmes importants car les économies s'habituent très facilement à cette drogue douce de la liquidité facile et très abondante.
L'eff et-richesse et, éventuellement, un « eff et-infl ation par surévaluation des actifs », se manifestent très clairement avec un risque de mauvaises allocations des ressources et des capitaux, favorisant surtout l'investissement fi nancier et défavorisant, voire même pénalisant l'investissement réel.
(source Jardeni Research - Mars 2015)
Officiellement il n'y a pas de guerre des monnaies. Il faut trouver un autre mot pour dire la même chose par un exercice de sémantique. On peut parler de réajustement des parités décidé par le marché ou bien directement par les gouvernements et les banques centrales pour protéger les économies. La guerre des monnaies est silencieuse, mais aussi meurtrière qu'une guerre chaude. L'année 2014 a été largement caractérisée par une guerre mondiale financière permanente, subtile et pernicieuse. Tous ces mouvements ont eu lieu dans un cadre totalement nouveau, rendu compliqué par une chute de l'inflation sur base mondiale et par l'arrivée de taux d'intérêt négatifs. La structure du système financier reste faible. L'internationalisation et la libéralisation du système financier est probablement le talon d'Achille du système lui-même ; en effet, tout mouvement de l'économie réelle génère un mouvement beaucoup plus fort avec une amplitude plus large du cycle de l'économie financière. Les mouvements de capitaux sur les marchés financiers ont été particulièrement importants au cours de 2014 et au début de cette année : on peut les estimer à plus de 10 % du PIB mondial.
La devise américaine a été la vraie super-star du marché des devises. Les anticipations d'un possible resserrement des taux de la FED, une nette amélioration de la croissance aux USA et la fuite des monnaies offrant des rendements faibles ou présentant un risque de perte de leur valeur, ont poussé les opérateurs à acheter massivement le dollar. Par ailleurs, de nombreux participants du marché ont pris des positions spéculatives contre les autres monnaies, en les vendant à terme. La hausse du dollar a été enregistrée contre presque toutes les monnaies, sauf contre le franc suisse et pour la première partie de l'année contre la livre anglaise. Cette demande de la devise américaine a largement compensé les déficits permanents de la balance commerciale du pays et même la demande inférieure de dollars des pays importateurs de pétrole (la baisse des prix réduit la demande d'environ 135 milliards de dollars par mois) et de matières premières, qui sont dans une large mesure facturées en dollars.
La hausse violente du dollar a fortement préoccupé le monde productif et politique américain. Les gouverneurs de la Banque Fédérale ont confirmé qu'ils tenaient compte de cette réalité dans les décisions de politique monétaire, sachant que le FOMC souhaite limiter progressivement une politique de très fort soutien de l'économie.
La première décision a été prise en 2014, quand la FED a réduit de façon régulière le montant des achats de bons du trésor et d'ABS pour les abandonner totalement.
Avec une utilisation très dosée de la sémantique, la FED a communiqué au marché son intention de commencer à faire monter les taux dont la vitesse dépendra de l'évolution de l'économie domestique et internationale.
Un nombre très important de pays producteurs de matières premières a subi de plein fouet la baisse des prix des « commodities». La « Dutch desease », la bénédiction/malédiction qui réconforte/frappe les pays producteurs de matières s'est retournée contre ces pays.
Au cours de la dernière décennie la demande réelle très forte (Chine et pays émergents) et la demande spéculative (les commodities considérées comme un actif financier) ont encouragé des investissements extrêmement importants dans la prospection minière (métaux et énergie) avec des investissements dans les infrastructures (transports, pipelines, flotte mercantile) et un important progrès technologique. L'offre des matières premières nouvelles est arrivée d'un seul coup. Mais elle a trouvé une économie beaucoup plus faible, le ralentissement de l'économie chinoise, une désaffection des investisseurs financiers et la hausse de la valeur du dollar qui a freiné toute hausse des prix. Ces conditions ont modifié radicalement les équilibres entre l'offre et la demande. Les prix ont joué leur rôle de charnière avec une baisse prononcée et ont retrouvé des paliers bas qui pourraient représenter les nouveaux équilibres pendant quelques années.
Les devises de tous les pays émergents producteurs de matières premières ont été pénalisées. Les responsables politiques et monétaires de ces pays ont dû jongler avec la faiblesse prononcée de l'économie, la baisse de leur devise, la fuite des capitaux étrangers et dans certains cas domestiques, les déséquilibres dans les comptes publics, et enfin avec l'inflation qui peut aller dans les deux sens : en hausse avec la faiblesse de la monnaie ou/et en baisse avec une difficile conjoncture du cycle économique. Les politiques monétaires ont été très divergentes : certains pays ont coupé les taux et poussé leur devise vers le bas pour soutenir l'économie très faible, d'autres ont monté les taux pour protéger leur devise et arrêter l'hémorragie de la fuite des capitaux.
Tous ces mouvements ont été très importants avec une recomposition générale du panorama des devises et des changements significatifs des relations entre elles avec de nouveaux équilibres parmi les macro-régions économiques.
Les estimations sur la dette mondiale signalent que maintenant le total est de 200 trillions de dollars, dont 55,6 trillions ont émis par les gouvernements (52,7 il y a 12 mois). De ce dernier montant presque 4 trillions sont négociés à des taux inférieurs à zéro ! La dette est devenue un compagnon rassurant, mais aussi très dangereux, de toute l'économie mondiale.
Le débiteur (Etat, entreprise, particulier) a fait un pari faustien pour continuer sa vie confortable et accepte ce nouveau paradigme. Presque toute la dette est remboursée très régulièrement, mais on a bâti un énorme schéma Ponzi qui permet de rembourser la dette existante par l'émission d'une dette nouvelle ; le débiteur rembourse la dette à l'ancien prêteur avec l'argent qu'un nouveau prêteur accepte de lui offrir. Le mot crédit provient de la langue indo-européenne : le mot kerd (cœur) qui a donné origine à kardia en grec. Octroyer du crédit signifie « garder le bénéficiaire dans son cœur ». Mais pendant combien de temps le créditeur peut « garder dans son cœur » le débiteur si celui-ci ne lui paye pas d'intérêt voire même comme en ce moment, si le créditeur doit lui verser de l'argent ?
Les règlements qui sont progressivement appliqués au monde bancaire, financier et de l'assurance (Bâle III, Mifid, Solvency II, Volker Rule) sont particulièrement stricts. Ils corrigent les excès du passé, mais en ce moment ils ont un impact totalement procyclique avec des conséquences importantes pour l'économie réelle.
Le contenu très sévère des nouvelles normes oblige beaucoup d'acteurs à modifier leurs structures de façon importante et, dans certains cas, à abandonner certaines activités qui présentent des risques difficiles à gérer. La réduction de l'exposition à certains métiers participe à la réduction de la liquidité des marchés et, paradoxalement crée encore plus de problèmes.
De plus la Fed et la BCE ont lancé des opérations très capillaires de contrôle du système bancaire pour en vérifier la solidité et la capacité à résister à des chocs financiers majeurs. Les Banques centrales ont demandé formellement à certaines banques de recapitaliser leurs structures financières et cette opération devrait consolider la structure bancaire mondiale, surtout celle de certaines grandes banques considérées comme stratégiques pour la stabilité des marchés.
L'action des Banques Centrales et des gouvernements semble avoir stabilisé l'économie mondiale et il y a l'espoir que beaucoup de pays soient finalement sortis de la crise qui a commencée en 2007. Mais la reprise est fragile et beaucoup d'économies sont encore sous assistance respiratoire.
Beaucoup de questions se posent sur la nature structurelle de cette reprise avec de forts doutes sur la consistance de la croissance. Certains se posent la question de la nouvelle nature de la croissance mondiale et formulent l'hypothèse d'une stagnation séculaire. En d'autres mots, ils se demandent si la croissance n'a pas changé de vitesse de croisière, après les moments magiques de « trente glorieuses », le développement très prononcé des pays émergents et la croissance à double chiffre du monde chinois.
Il y a bien eu, à la fin du XIXe siècle, un long moment de stagnation 1873-1896 et de faible inflation, paradoxalement crée par la diffusion du progrès technologique, les migrations humaines transocéaniques, l'ouverture du Canal de Suez, et l'abandon du bimétallisme avec les grandes dévaluations en Chine, Inde, Japon.
La période actuelle rappelle avec de nombreuses similitudes cette période longue de 23 ans qui a dû attendre la révolution de l'énergie électrique et du moteur thermique pour entrer dans la Belle Époque.
ALESSANDRO GIRAUDO Chef Economiste TSAF
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
| 22 22 |
||
|---|---|---|
| 1. Informations sociales 1.1. Effectif consolidé au 31 décembre 2014 par fonction |
22 | |
| 1.2. Effectif consolidé au 31 décembre 2014 par zone géographique | 22 | |
| 1.3. Mouvements de personnel en 2014 | 23 | |
| 1.4. Politique salariale | 23 | |
| 1.5. Organisation du temps de travail | 23 | |
| 1.6. Procédures d'information et de consultation du personnel | 23 | |
| 1.7. Santé et sécurité | 24 | |
| 1.8. Formation | 24 | |
| 1.9. Egalité de traitement | 24 | |
| 1.10. Loyauté des pratiques | 24 | |
| 2. Informations environnementales | 25 | |
| 2.1. Maintien et amélioration de la politique actuelle en matière de réduction | ||
| de consommation et de recyclage du papier et des déchets | 25 | |
| 2.2. Actions engagées sur la maîtrise de la consommation d'énergie notamment | ||
| au niveau de l'éclairage électrique | 26 | |
| 2.3. Sensibilisation des salariés aux enjeux environnementaux | 26 | |
| 2.4. Politique d'achat | 26 | |
| 3. Informations relatives aux engagements sociétaux en faveur | ||
| du développement durable | 26 | |
| 3.1. Impact territorial, économique et social de l'activité de la société | 26 | |
| 3.1.1. Maintien d'une expertise et d'un savoir-faire, et impact territorial | 27 | |
| 3.1.2. Répartition de la valeur ajoutée | 27 | |
| 3.1.2.1. Intermédiation professionnelle | 27 | |
| 3.1.2.2. Bourse en ligne | 28 | |
| 3.2. Relations entretenues avec les personnes ou les organisations intéressées | ||
| par l'activité de la société, notamment les associations d'insertion, les | ||
| établissements d'enseignement, les associations de défense de l'environnement, | ||
| les associations de consommateurs et les populations riveraines | 29 | |
| 3.2.1. Relation clients | 29 | |
| 3.2.2. Relation avec ses actionnaires | 29 | |
| 3.2.3. Associations professionnelles et activités de marché | 30 | |
| 3.2.4. Sous-traitance et fournisseurs | 30 |
VIEL & Cie exerce un métier d'investisseur et d'actionnaire long terme pour accompagner le développement de sociétés dans le secteur de la finance en France et surtout à l'étranger. VIEL & Cie est ainsi un actionnaire de premier rang dans des sociétés cotées ou non cotées.
VIEL & Cie consolide deux participations majoritaires dans des sociétés cotées et une participation minoritaire par mise en équivalence dans une banque privée. Les métiers de ces pôles d'activité sont :
Au 31 décembre 2014, l'effectif consolidé de VIEL & Cie est de 2 295 personnes principalement implantées à Londres, à New York, à Tokyo, à Singapour et à Paris. Le reporting RSE couvre les pôles d'activité détenus majoritairement, c'est-à-dire le groupe Tradition et Bourse Direct.
Compte tenu du secteur d'activité dans lequel opèrent les filiales du Groupe et leur faible empreinte écologique, les indicateurs environnementaux ne représentent pas un enjeu majeur, et très peu sont à ce jour déployés de façon homogène ; le Groupe se caractérise plutôt par des pratiques impulsées au niveau local, et les filiales françaises du Groupe, de part la réglementation qui leur est applicable, affichent un degré de maturité supérieur. La démarche est cependant engagée afin de disposer prochainement de quelques indicateurs qualitatifs, tels que les consommations d'énergie et de consommables.
Il en est de même pour les indicateurs sociaux ; en effet, le Groupe est organisé de façon très décentralisée ; la rapidité de la décision et la vitesse d'adaptation au marché étant des critères importants dans le secteur de l'intermédiation financière et de la bourse en ligne, les centres de décisions sont situés au plus près des problématiques opérationnelles. Quelques indicateurs de pilotage seront cependant déterminés et suivis dans les prochains mois, relatifs notamment à l'absentéisme et à la formation.
Au 31 décembre 2014, les filiales opérationnelles détenues majoritairement par VIEL & Cie emploient 2 292 salariés répartis dans les différentes implantations du Groupe à travers le monde.
| 31/12/2014 | Front | Support | Total |
|---|---|---|---|
| Pôle d'intermédiation professionnelle | 1 457 | 727 | 2 184 |
| Pôle de bourse en ligne | 15 | 93 | 108 |
| Effectif total | 1 457 | 820 | 2 292 |
Au 31 décembre 2013, la répartition était la suivante :
| 31/12/2013 | Front | Support | Total |
|---|---|---|---|
| Pôle d'intermédiation professionnelle | 1 539 | 755 | 2 294 |
| Pôle de bourse en ligne | 19 | 84 | 103 |
| Effectif total | 1 539 | 839 | 2 397 |
| Royaume-Uni | Europe continentale |
Amériques | Asie-Pacifique | Total | |
|---|---|---|---|---|---|
| Pôle d'intermédiation professionnelle | 623 | 264 | 571 | 726 | 2 184 |
| Pôle de bourse en ligne | - | 108 | - | - | 108 |
| Effectif total | 623 | 372 | 571 | 726 | 2 292 |
| Effectif au 31/12/2013 retraité des MEE (ex-IP) |
Entrées | Sorties | Effectif au 31/12/2014 |
|
|---|---|---|---|---|
| Pôle d'intermédiation professionnelle | 2 294 | 247 | 357 | 2 184 |
| Pôle de bourse en ligne | 103 | 29 | 24 | 108 |
| Effectif total | 2 397 | 276 | 381 | 2 292 |
Le secteur de l'intermédiation professionnelle se caractérise par un taux de rotation important ; cet état de fait est lié à des pratiques de marché, et les arrivées et départs d'équipes sont inhérents à ce secteur d'activité. Le taux de rotation affiché est considéré comme structurel.
Dans le cadre de sa politique salariale, chaque pôle opérationnel assure une gestion individualisée des salaires, valorisant l'expertise et les responsabilités de chacun, et des rémunérations variables tenant compte des performances tant individuelles que collectives et des objectifs de rentabilité fixés pour chacune des filiales opérationnelles.
Le secteur de l'intermédiation professionnelle se caractérise par une forte technicité, et une production de valeur ajoutée très dépendante du facteur humain ; c'est dans ce cadre que les différentes filiales opérationnelles sont amenées à fixer leurs pratiques, afin de recruter et de conserver les talents. Cet objectif passe dans une très large mesure par la rémunération accordée aux salariés, ce qui explique que c'est à un niveau très décentralisé que ces décisions sont prises. Sans remettre en cause la pertinence des efforts d'harmonisation et la fixation de grands objectifs, la fixation de politiques générales et globales est peu pertinente dans ce secteur d'activité. Cet état de fait se traduit également par un fort poids de la masse salariale dans le compte de résultat du Groupe, comme l'illustre la répartition de la valeur ajoutée présentée en 3.1.2.1
Par ailleurs, la qualité du travail individuel et collectif des collaborateurs est valorisée, en s'appuyant principalement sur une formation très opérationnelle des collaborateurs.
Au sein des filiales opérationnelles de VIEL & Cie, les horaires de travail sont organisés dans chacune des zones géographiques où le Groupe est implanté en fonction des jours et heures d'ouverture des marchés financiers et de la réglementation locale. Ainsi, aucun salarié n'est employé le week-end et le travail s'organise habituellement sur une base de 8 heures par jour, 5 jours par semaine. Il peut arriver cependant que dans le cas de produits spécifiques (produits dérivés notamment) ou d'intervention sur des marchés étrangers, les horaires de travail soient aménagés afin de permettre un service optimal pour le client. Par ailleurs, les personnes en charge de la maintenance des plateformes techniques peuvent être amenées à aménager leur temps de travail afin d'assurer la permanence de surveillance des outils concernés. Ces aménagements se font dans le cadre de la réglementation du travail en vigueur dans le pays concerné.
Dans le cas spécifique des activités françaises du Groupe qui représentent environ 9 % de l'effectif consolidé, le temps de travail dépend des conventions collectives et des accords-cadres. Les contrats de travail sont établis sur des bases de 35 à 39 h en fonction des besoins des services concernés. Les collaborateurs procèdent à des récupérations de leur temps de travail en fonction des modalités définies par le service concerné.
Chaque pays dispose de son propre corpus de règles d'information et de consultation du personnel auquel chaque société consolidée doit se conformer.
Le Royaume-Uni dispose à ce titre d'un intranet où figurent les différentes informations à porter à la connaissance des employés ; Bourse Direct dispose également d'un tel outil.
La France dispose à ce titre d'une organisation spécifique. La consultation du personnel s'effectue dans le cadre d'une DUP (Délégation Unique du Personnel). Des réunions mensuelles du Comité d'Entreprise sont organisées afin de traiter les différents sujets relatifs au personnel, ainsi que des réunions des délégués du personnel. Des comptes rendus des réunions des Comités d'Entreprise sont affichés sur un tableau prévu à cet effet au sein de l'entreprise.
Plusieurs réunions avec le représentant syndical et un représentant du Comité d'Entreprise sont organisées avec la direction de la société dans le cadre des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO).
L'activité du Groupe n'expose pas ses employés à des risques spécifiques graves ; cela explique l'absence de mise en place d'indicateurs précis et centralisés dans les sociétés du Groupe relatives à des maladies professionnelles, aux affections pathologiques à caractère professionnel ou aux conditions de travail de leurs salariés.
L'absentéisme est ainsi faible pour l'ensemble du Groupe. A titre d'exemple, il s'établit à 2,3 % sur le pôle de Bourse en ligne en 2014 (3,4 % en 2013), et sur la zone Asie, 1 083 jours d'arrêt maladie ont été répertoriés en 2014, soit compte tenu de l'effectif total, un taux d'absentéisme total inférieur à 1 %. En Europe, des accidents du travail ont été répertorié, dont deux relatifs au trajet entre le domicile et son lieu de travail.
Les pôles opérationnels de VIEL & Cie opèrent dans un secteur financier qui a connu depuis quelques années un renforcement drastique des règles qui lui sont applicables (règles de marché, règles éthiques et déontologiques, lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme, etc.).
Des formations sont dispensées dans toutes les sociétés du Groupe, en fonction des réglementations et besoins locaux, principalement axées sur les exigences réglementaires. Le Groupe est en cours de déploiement d'un standard prévoyant la formation et le suivi.
A Hong Kong et Singapour, la réglementation impose un nombre minimum de formation sur la lutte anti-blanchiment de 5 heures par an. Dans les entités françaises du groupe Tradition, 63 salariés sur un effectif total de 126 personnes ont bénéficié de formations en 2014. Dans le pôle de bourse en ligne, 866 heures de formation ont été dispensées en 2014, soit 0,44 % de la masse salariale de l'exercice.
Ces formations dispensées aux salariés ont également pour but d'assurer la correcte adéquation entre les connaissances et les compétences de chaque salarié avec le poste qu'il occupe, mais également d'assurer leur maintien et leur progression, dans le cadre d'une démarche permanente d'amélioration des processus des sociétés, et de formation de leur personnel.
Dans le cadre de l'activité du Groupe, une part importante de la formation est également assurée par la transmission du savoir entre salariés, ou par le recrutement ponctuel de personnes aux compétences techniques spécifiques.
Enfin, les sociétés françaises organisent également des cessions de formation plénières pour l'ensemble de leurs salariés sur des sujets réglementaires relatifs par exemple à la détection des abus de marché ou les impacts des évolutions réglementaires sur le métier. Ces formations sont obligatoires.
Ces formations sont effectuées par des moyens informatiques ou par des séminaires, en fonction des sujets.
Ces formations collégiales et individuelles représentent 2 387 heures en 2014 (1 817 heures au cours de l'année 2013).
Par ailleurs, les sociétés du groupe VIEL & Cie ne pratiquent aucune discrimination à l'embauche, les seuls critères retenus relevant de l'adéquation entre le profil des différents candidats avec le poste à pourvoir. Les mêmes principes servent de base à la politique salariale.
La lutte contre les discriminations est par ailleurs intégrée dans les procédures éthiques des principales sociétés du Groupe ou mise à disposition des salariés. La plupart de ces sociétés disposent ainsi de procédures et de guides à ce sujet, et dispensent des formations sur ce thème ; ces documents sont relayés dans la zone Amérique, au Royaume-Uni et sur le pôle de bourse en ligne par le biais d'un intranet à la disposition des salariés.
Les pôles opérationnels de VIEL & Cie interviennent dans un secteur marqué par une très forte régulation et par des normes prudentielles très strictes.
A titre d'exemple, les filiales françaises du Groupe ont établi des procédures et mis en place un dispositif de lutte contre le blanchiment, qui inclut la surveillance de l'instrumentalisation éventuelle des opérations boursières pour se livrer à la corruption. Cette surveillance est basée notamment sur la connaissance du client et sur l'utilisation d'outil de filtrage des transactions.
Les opérations susceptibles de représenter la matérialisation d'un acte de corruption sont analysées et donnent lieu le cas échéant à une déclaration de soupçon auprès des autorités compétentes en matière de lutte contre le blanchiment (Tracfin).
Des règles similaires s'appliquent dans l'ensemble des entités du Groupe. A ce titre, un code d'éthique a été rédigé par Compagnie Financière Tradition, et est applicable à l'ensemble de ses filiales. Il est disponible sur le site internet de la société, rubrique « compliance ».
Les sociétés du groupe VIEL & Cie n'ignorent pas les conclusions présentées par le GIEC dans son cinquième rapport dont la troisième partie a été présentée le 13 avril 2014, même si compte tenu de son activité, le Groupe a un impact environnemental direct très limité.
Le Groupe reste néanmoins sensible aux enjeux environnementaux et met en œuvre des mesures concrètes dès que cela est pertinent.
Dans le secteur de l'intermédiation professionnelle comme dans la bourse en ligne, les deux principaux consommables auxquels les sociétés ont recours pour leur activité sont le papier et l'énergie. L'activité nécessite également l'utilisation de matériels informatiques destinés à l'infrastructure technique.
De ce fait, les sociétés du Groupe s'engagent en interne dans plusieurs projets visant à réduire la production de déchets, à favoriser le recyclage et la réduction de la consommation d'énergie et mènent depuis plusieurs années des actions concrètes visant à limiter l'impact de leur activité sur l'environnement.
Un des principaux consommables est le papier.
Dans le cadre de l'activité d'intermédiation professionnelle, la dématérialisation des informations est la règle sur la plupart des marchés. Ainsi, les opérations sont transmises sur les marchés par des moyens électroniques, et les « retours-marché » permettant l'alimentation des bases internes a également été automatisées afin d'éviter les doubles saisies ; cette action qui vise à réduire les risques d'erreur et donc les risques opérationnels a également eu pour corollaire l'abandon progressif de supports papier au profit d'outils informatiques.
Dans le cadre de l'activité de bourse en ligne, les prospects souhaitant ouvrir un compte titres sont incités et aidés afin d'ouvrir leur compte en ligne. De même les documents à destination des clients (Avis d'Opéré, Relevés de compte, ...) sont disponibles sur le site internet de Bourse Direct ou leur sont adressés par email.
Les rapports annuels de la société et des sociétés consolidées cotées sont imprimés sur du papier issu de forêts gérées durablement et de sources contrôlées. Ils sont certifiés PEPC. Par ailleurs, VIEL & Cie et ses sociétés consolidées diminuent régulièrement le nombre de rapports annuels imprimés en privilégiant les supports numériques. Ainsi, le nombre de rapports imprimés par VIEL & Cie et ses filiales consolidées est en baisse de 58 % entre 2012 et 2014, ces rapports étant disponibles en version électronique sur le site www.viel.com, www.tradition.com et www.boursedirect.fr dans la rubrique « Corporate ». Les rapports annuels sont envoyés en priorité en version électronique aux actionnaires ayant manifesté le désir de les recevoir.
En outre, les rapports financiers annuels et semestriels ne sont disponibles qu'en version électronique.
Par ailleurs, en interne, des dispositions ont donc été prises, qui tendent à devenir des réflexes pour chaque salarié, comme :
En termes de recyclage, tous les pôles opérationnels géographiques ont mis en place des démarches de recyclage qui portent principalement sur le papier et quelques consommables comme les cartouches d'imprimante. La démarche est en cours de systématisation afin de disposer dans les prochains mois d'indicateurs quantitatifs.
Sur les implantations parisiennes du Groupe, un contrat de recyclage et de valorisation a été signé dès 2011 afin de recycler et de valoriser les déchets papier. Le mode de traitement mis en place permet, outre le respect des impératifs de confidentialité des éléments détruits, de valoriser et de réintroduire dans le processus de production les papiers et cartons usagés.
En outre, la consommation de papier au sein des locaux parisiens du Groupe a baissé de 7.4 % en 2014 par rapport à 2013, alors que ces sociétés connaissaient un accroissement très significatif de son volume d'activité ainsi qu'une augmentation de son effectif. La consommation des locaux parisiens du Groupe représente en 2014, 4,9 tonnes de papier.
Enfin, un système de visioconférence interne et sécurisé a été mis en place entre les principales implantations du Groupe, afin de réduire les déplacements des collaborateurs et ainsi réduire les émissions de CO2 engendrées par ces déplacements, sans que cette contribution ne soit pour autant quantifiable.
L'électricité est consommée pour l'activité quotidienne de l'entreprise, éclairage et climatisation, ainsi que par la majorité des appareils et de l'infrastructure technique des sociétés opérationnelles. Différentes initiatives ont été mises en place afin de réduire l'empreinte environnementale des sociétés du Groupe.
Ainsi, aux Etats-Unis, les sociétés opérationnelles ont mené une action de changement de l'éclairage électrique, afin d'utiliser des LED ; l'économie par rapport à la consommation annuelle de l'ancien système a été estimée à 30 % ; de plus les sources d'énergie ont été diversifiées lorsque cela était possible afin de privilégier les énergies renouvelables. En Asie, des instructions sont données aux différentes équipes afin d'éteindre tous les matériels inutilisés et à Londres, les bureaux sont dotés de détecteur de présence qui éteignent automatiquement les lumières.
Sur les sociétés parisiennes du Groupe, depuis avril 2009, une partie des équipes a été relocalisée dans de nouveaux locaux plus lumineux et ne nécessitant plus un éclairage continuel à la lumière électrique. Des politiques ont par ailleurs été mises en place, notamment l'extinction de tous les ordinateurs des collaborateurs chaque soir. Un collaborateur de l'équipe informatique procède à une vérification tous les soirs afin de s'assurer que ces instructions sont bien suivies.
La climatisation des locaux est également coupée automatiquement tous les soirs à 18 h.
En outre, certaines parties du bâtiment ainsi que le parking souterrain sont pourvus d'un éclairage automatique avec système de détection de présence afin de limiter les éclairages inutiles.
Les pratiques actuelles relatives à l'achat de nouveaux matériels prennent en compte des éléments comme la durabilité et la consommation électrique des équipements.
Cela passe avant tout par la communication auprès des collaborateurs sur le sujet des problèmes environnementaux via un service de communication dédié au développement durable du groupe, ayant pour mission de sensibiliser chacun aux actions à mener au quotidien aussi bien dans l'entreprise que chez soi, et à réaliser l'impact que peuvent avoir nos actions présentes sur l'avenir.
Dans le cadre de l'organisation très décentralisée du groupe VIEL, aucune politique globale d'achat n'a été mise en place, ce rôle incombant aux filiales qui ont ainsi toute latitude pour prendre les initiatives qu'elles jugeraient nécessaires.
Les filiales opérationnelles de VIEL & Cie opèrent dans 28 pays différents, avec des bureaux significatifs dans les principales places financières mondiales.
L'activité d'intermédiation professionnelle compte parmi ses clients les grands acteurs de la finance mondiale, banques, hedge funds, fonds de pensions etc. Ces clients sont implantés au plus près des grandes places financières mondiales, Londres, Paris, New-York, Tokyo, Hong Kong, Singapour pour ne citer que les plus importantes, et l'activité de Tradition s'est donc localisée au plus près d'eux. Tradition participe, par ses équipes et par la liquidité qu'elle apporte aux marchés, au bon fonctionnement des grandes places financières mondiales ainsi que des marchés émergents.
Parmi les acteurs de l'intermédiation financière, Tradition est en outre le seul acteur global et majeur à ne pas être anglo-saxon ; les principaux concurrents du Groupe sont deux acteurs britanniques et deux acteurs américains. Dans ce domaine, qui est depuis longtemps dominé par les anglo-saxons, Tradition est une société suisse majoritairement contrôlée depuis Paris.
En ce qui concerne le pôle de bourse en ligne, Bourse Direct dispose d'un savoir-faire technique qu'il maintient à Paris et qu'il met au service de ses clients. Expert de la bourse en ligne, Bourse Direct propose aux investisseurs une plateforme complète de services, d'outils et de produits financiers via Internet : actions françaises et étrangères, produits dérivés, CFD (Contract For Difference), FOREX, trackers, warrants, certificats, turbos, OPCVM, assurance-vie. La majorité des outils mis à la disposition des clients de Bourse Direct est développée en interne par des équipes techniques basées à Paris et travaillant en coordination avec la Direction Générale pour mettre en œuvre la stratégie produit définie.
Par ailleurs, sous la marque Direct Securities, Bourse Direct propose une solution globale de back-office en marque blanche, à destination des établissements financiers, pour le traitement et la gestion des comptes de leurs clients. Cette prestation de sous-traitance leur apporte une maîtrise technique de l'ensemble du processus : transmission et réception d'ordres en temps réel, négociation et compensation, tenue de comptes et conservation de titres.
Les équipes dédiées au traitement de ces opérations sont basées principalement à Paris. Bourse Direct participe ainsi au maintien sur le territoire français d'un savoir-faire technique très spécifique ainsi que d'une expertise des marchés.
Bourse Direct est une société internet, dont la communication et les contacts avec ses clients et prospects se fait très majoritairement via ses sites internet.
La société dispose cependant d'implantations à Paris et en province qui permettent de maintenir un contact moins dématérialisé avec sa clientèle. Ainsi, la clientèle qui le souhaite peut se rendre dans le siège parisien de la société ou dans les agences de Lyon, de Toulouse et de Lille (depuis début 2015), afin de rencontrer des équipes commerciales ou avoir un contact direct avec les collaborateurs de la société. Ces structures permettent d'établir et de maintenir ce contact entre la société et ses clients ou prospects.
Enfin, Bourse Direct dispose d'un service de formations qu'elle met à la disposition de ses clients mais également de toute personne désireuse d'accroître ses connaissances dans le domaine de la bourse ou de la finance en général ; ces formations sont présentées dans la partie « formations » du site internet de Bourse Direct. Ces cessions de formation, délivrées gratuitement, illustrent la volonté de Bourse Direct de s'inscrire comme un acteur majeur soucieux, d'une part, de la compétence et de la formation de ses clients, et d'autre part, de la connaissance générale des marchés financiers et de leur mode de fonctionnement.
Les filiales opérationnelles de VIEL & Cie ont privilégié une implantation locale, au plus près de leurs clients. Les spécificités de chaque secteur d'activité amène une répartition de la valeur ajoutée différente, que l'on peut présenter ainsi.
La valeur ajoutée de cette activité, à laquelle est ajoutée celle des structures de contrôle du Groupe, est la suivante :
Les salariés reçoivent près de 82 % de la valeur ajoutée de l'année ; cela s'explique par les spécificités du secteur, c'est-à-dire la grande technicité et l'expertise personnelle nécessaires pour la production de cette valeur ajoutée. A titre de comparaison, la répartition était la suivante en 2013 (comptes retraités) :
Bourse Direct exerce son activité depuis le territoire français où est concentré la majeure partie de ses impacts territoriaux. A ce titre, la valeur ajoutée produite par la société est répartie de la façon suivante :
La valeur ajoutée est ainsi répartie de façon très équilibrée entre trois catégories :
A titre de comparaison, la valeur ajoutée a été répartie de la façon suivante en 2013 :
VIEL & Cie et ses filiales opérationnelles estiment que l'accès au marché du travail des jeunes est une priorité pour les acteurs économiques. Aussi, des étudiants sont employés pendant les périodes estivales, et tout au long de l'année pour leur permettre de se former à ses métiers, et d'obtenir des expériences professionnelles valorisante dans le secteur de la bourse et de l'intermédiation professionnelle.
Par ailleurs, les sociétés opérationnelles peuvent être amenées à employer des étudiants pendant les périodes estivales ou en fonction de besoins ponctuels ; ces sociétés peuvent avoir recours à des étudiants en provenance d' établissements d'enseignement secondaire pour former et employer des jeunes étudiants et leur offrir une première expérience de la finance ou de la bourse.
Les clients de l'activité d'intermédiation professionnelle sont principalement des opérateurs de grandes banques mondiales, des hedge funds, des compagnies d'assurance ou des gestionnaires d'actifs. La relation client avec ce type de contrepartie repose essentiellement sur des contacts personnels et des besoins ponctuels exprimés par la clientèle.
La relation est de plus, très largement, encadrée par des règles prudentielles et de marché.
Dans le cadre de l'activité de bourse en ligne, qui s'adresse principalement à une clientèle de particuliers, Bourse Direct dispose d'équipes dédiées au Service client qui assure un suivi et une coordination avec les autres services de la société pour proposer une qualité de service en adéquation avec les attentes des clients. Des outils sont à la disposition de la clientèle pour suivre leur besoin et répondre à des questions ou réclamations. Le mode de communication le plus utilisé aujourd'hui est le courriel adressé par les clients au service dédié qui fait l'objet d'une réponse adaptée à chaque demande. Les clients peuvent également contacter ce service par téléphone ou par courrier. Les demandes sont prises en compte et font l'objet d'une réponse formelle. Bourse Direct travaille en permanence à l'amélioration de son Service client et participe régulièrement à des contrôles par des organismes externes afin d'identifier les points de faiblesse de son service.
Dans le cadre de cette démarche, Bourse Direct a participé à trois reprises à l'élection du meilleur Service client de l'année. Cette démarche a conduit à identifier les principaux leviers de la satisfaction clients ainsi que les forces et faiblesses de la société. La notation de Bourse Direct lors de la deuxième participation a montré une très forte progression dans le classement, confirmant ainsi la pertinence des choix et les efforts entrepris. Ces efforts ont été récompensés fin 2014 par l'obtention de la meilleure note et donc l'élection en tant que Service client de l'année 2015.
Bourse Direct poursuivra dans cette voie, afin de maintenir ce haut niveau de qualité, voire s'améliorer encore davantage.
Dans le cadre des obligations inhérentes à son statut de société cotée, VIEL & Cie est attentive à diffuser l'ensemble de l'information requise auprès de ses actionnaires.
La communication avec les actionnaires est organisée autour de différents supports. La société dispose sur son site Internet d'une rubrique « Corporate » qui a pour objet d'apporter une communication permanente sur l'évolution de la société avec les actionnaires. Cette rubrique, outre l'indication sur le cours de bourse de la société, comporte des informations sur le calendrier financier, l'ensemble des communiqués publiés, les présentations effectuées. Dans le cadre de ses obligations de société cotée, VIEL & Cie publie semestriellement un rapport financier déposé auprès de l'AMF intégrant des informations très détaillées sur son organisation, l'évolution de son capital, sa stratégie et sa situation financière. Ce document est mis à disposition de l'ensemble des actionnaires.
La Société adresse au marché des communiqués réguliers pour informer ses actionnaires de l'évolution de son activité (chiffre d'affaires, résultats) et de toute opération capitalistique qu'elle serait amenée à réaliser.
VIEL & Cie rencontre une fois par an ses actionnaires dans le cadre de l'Assemblée générale et leur donne ainsi l'opportunité de discuter avec la Direction de la société sur des thèmes très larges.
Enfin, les deux pôles opérationnels de VIEL & Cie sont des sociétés elles-mêmes cotées : Compagnie Financière Tradition sur le marché Suisse (SIX) et Bourse Direct en France sur Euronext Paris.
Les filiales opérationnelles de VIEL & Cie opèrent dans un secteur réglementé, et sont donc amenées à échanger avec les autorités de marché dont le but est de s'assurer de leur correct fonctionnement, dans le respect de la réglementation en vigueur.
Certaines filiales sont également membre d'une association professionnelle dont le but est la plupart du temps de représenter les professionnels de la bourse et des marchés financiers pour promouvoir ces activités dans le pays concerné et défendre les intérêts de ses adhérents ; l'association dont sont membres les filiales françaises du Groupe compte ainsi 120 adhérents.
L'activité des sociétés opérationnelles de VIEL & Cie ne repose pas sur des achats vente de biens matériels ; les principaux fournisseurs externes sont des acteurs de marché lui fournissant des données immatérielles.
Dans leur pratique d'achats pour leurs besoins propres, les sociétés privilégient dans la mesure du possible des biens recyclables ou recyclés ou produits dans des conditions responsables. Certaines sociétés du Groupe ont ainsi recours à des fournitures produites par une structure d'insertion de personnes handicapées qui leur permet de disposer d'un travail dans des conditions adaptées.
Sans qu'il existe de politique clairement établie et formalisée, les entités du Groupe participent ponctuellement à des opérations de charité, comme par exemple des journées où les courtages sont reversés à des associations caritatives, ou par la subvention d'associations caritatives.
| Référentiel | Ref | Volet | Thème | Informations | Chapitres et justification des éventuelles exclusions |
||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Grenelle II | 1 | Social | I | a | Emploi | L'effectif total et la répartition des salariés par sexe, par âge et par zone géographique 1.1 |
|
| Grenelle II | 2 | Social | I | a | Emploi | Les embauches et les licenciements | 1.2 |
| Grenelle II | 3 | Social | I | a | Emploi | Les rémunérations et leur évolution | 1.3 |
| Grenelle II | 4 | Social | I | b | Organisation du travail | L'organisation du temps de travail | 1.4 |
| Grenelle II | 5 | Social | I | b | Organisation du travail | L'absentéisme | 1.7 |
| Grenelle II | 6 | Social | I | c | Relations sociales | L'organisation du dialogue social ; notamment les procédures d'information et de consultation du personnel et de négociations avec celui-ci |
1.5 et 1.6 |
| Grenelle II | 7 | Social | I | c | Relations sociales | Le bilan des accords collectifs | N/A |
| Grenelle II | 8 | Social | I | d | Santé et sécurité | Les conditions de santé et de sécurité au travail |
1.7 |
| Grenelle II | 9 | Social | I | d | Santé et sécurité | Le bilan des accords signés avec les organisations syndicales ou les représentants du personnel en matière de santé et de sécurité au travail |
N/A |
| Grenelle II | 10 | Social | I | d | Santé et sécurité | Les accidents du travail, notamment leur fréquence et leur gravité, ainsi que les maladies professionnelles |
1.7 |
| Grenelle II | 11 | Social | I | e | Formation | Les politiques mises en œuvre en matière de formation |
1.8 |
| Grenelle II | 12 | Social | I | e | Formation | Le nombre total d'heures de formation | 1.8 |
| Grenelle II | 13 | Social | I | f | Egalité de traitement | Les mesures prises en faveur de l'égalité entre les femmes et les hommes |
1.9 |
| Grenelle II | 14 | Social | I | f | Egalité de traitement | Les mesures prises en faveur de l'emploi et de l'insertion des personnes handicapées N/A |
|
| Grenelle II | 15 | Social | I | f | Egalité de traitement | La politique de lutte contre les discriminations |
1.9 |
| Grenelle II | 16 | Social | I | g | Promotion et respect des stipulations des conventions fondamentales de l'OIT relatives |
Le respect de la liberté d'association et du droit de négociation collective |
Les sociétés du Groupe respectent les stipulations des conventions fondamentales de l'OIT relatives à la liberté d'association et du droit de négociation collective. Les informations sur l'organisation du dialogue social sont détaillées aux paragraphes 1.4 à 1.6 |
| Grenelle II | 17 | Social | I | g | Promotion et respect des stipulations des conventions fondamentales de l'OIT relatives |
L'élimination des discriminations en matière d'emploi et de profession |
Les sociétés du Groupe respectent les stipulations des conventions fondamentales de l'OIT relatives à l'élimination des discriminations en matière d'emploi et de profession. Les informations sur ce sujet sont présentées au paragraphe 1.9 |
| Grenelle II | 18 | Social | I | g | Promotion et respect des stipulations des conventions fondamentales de l'OIT relatives |
L'élimination du travail forcé ou obligatoire | Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Elles ne sont pas concernées par le travail forcé ou obligatoire. Les impacts indirects sont traités, notamment dans les pratiques d'achats. |
| Référentiel | Ref | Volet | Thème | Informations | Chapitres et justification des éventuelles exclusions |
||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Grenelle II | 18 | Social | I | g | Promotion et respect des stipulations des conventions fondamentales de l'OIT relatives |
L'élimination du travail forcé ou obligatoire | Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Elles ne sont pas concernées par le travail forcé ou obligatoire. Les impacts indirects sont traités, notamment dans les pratiques d'achats. |
| Grenelle II | 19 | Social | I | g | Promotion et respect des stipulations des conventions fondamentales de l'OIT relatives |
L'abolition effective du travail des enfants | Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Elles ne sont pas concernées par le travail forcé ou obligatoire. Les impacts indirects sont traités, notamment dans les pratiques d'achats. |
| Grenelle II | 20 | Environnement | II | a Politique générale en matière environnementale |
L'organisation de la société pour prendre en compte les questions environnementales et, le cas échéant, les démarches d'évaluation ou de certification en matière d'environnement |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct est donc très limité. C'est ce qui explique l'absence de démarche globale et formalisée sur les enjeux environnementaux. |
|
| Grenelle II | 21 | Environnement | II | a Politique générale en matière environnementale |
Les actions de formation et d'information des salariés en matière de protection de l'environnement |
2.3 | |
| Grenelle II | 22 | Environnement | II | a Politique générale en matière environnementale |
Les moyens consacrés à la prévention des risques environnementaux et des pollutions |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct est donc très limité. C'est ce qui explique l'absence de démarche globale et formalisée sur les enjeux environnementaux. |
|
| Grenelle II | 23 | Environnement | II | a Politique générale en matière environnementale |
Les mesures de prévention, de réduction ou de réparation de rejets dans l'air, l'eau et le sol affectant gravement l'environnement |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct est donc très limité. C'est ce qui explique l'absence de démarche globale et formalisée sur les enjeux environnementaux. |
|
| Grenelle II | 24 | Environnement | II | a Politique générale en matière environnementale |
Le montant des provisions et garanties pour risques en matière d'environnement, sous réserve que cette information ne soit pas de nature à causer un préjudice sérieux à la société dans un litige en cours |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct est donc très limité. C'est ce qui explique l'absence de démarche globale et formalisée sur les enjeux environnementaux. |
|
| Grenelle II | 25 | Environnement | II | b Pollution et gestion des déchets | Les mesures de prévention, de recyclage et d'élimination des déchets |
2.3.2 | |
| Grenelle II | 26 | Environnement | II | b Pollution et gestion des déchets | La prise en compte des nuisances sonores et de toute autre forme de pollution spécifique à une activité |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct est donc très limité. C'est ce qui explique l'absence de démarche globale et formalisée sur les enjeux environnementaux. |
|
| Grenelle II | 27 | Environnement | II | c Utilisation durable des ressources | La consommation d'eau et l'approvisionnement en eau en fonction des contraintes locales ; |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct sur ce thème est donc très limité. |
|
| Grenelle II | 28 | Environnement | II | c Utilisation durable des ressources | La consommation de matières premières et les mesures prises pour améliorer l'efficacité dans leur utilisation |
2.1 et 2.2 | |
| Grenelle II | 29 | Environnement | II | c Utilisation durable des ressources | La consommation d'énergie, les mesures prises pour améliorer l'efficacité énergétique et le recours aux énergies renouvelables |
2.1 et 2.2 | |
| Grenelle II | 30 | Environnement | II | c Utilisation durable des ressources | L'utilisation des sols | Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct sur ce thème est donc très limité. |
|
| Grenelle II | 31 | Environnement | II | d Changement climatique | Les rejets de gaz à effet de serre | Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct sur ce thème est donc très limité. |
|
| Grenelle II | 32 | Environnement | II | d Changement climatique | L'adaptation aux conséquences du changement climatique |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct sur ce thème est donc très limité. |
|
| Grenelle II | 33 | Environnement | II | e Protection de la biodiversité | Les mesures prises pour préserver ou développer la biodiversité |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct sur ce thème est donc très limité. |
|
| Grenelle II | 34 | Sociétal | III a Impact territorial, économique et social de l'activité de la société |
Impact en matière d'emploi et de développement régional |
3.1 | ||
| Grenelle II | 35 | Sociétal | III a Impact territorial, économique et social de l'activité de la société |
Impact sur les populations riveraines ou locales |
3.1 |
| Référentiel | Ref | Volet | Thème | Informations | Chapitres et justification des éventuelles exclusions |
|
|---|---|---|---|---|---|---|
| Grenelle II | 36 | Sociétal | III b | Relations entretenues avec les personnes ou les organisations intéressées par l'activité de la société, notamment les associations d'insertion, les établissements d'enseignement, les associations de défense de l'environnement, les associations de consommateurs et les populations riveraines |
Les conditions du dialogue avec ces personnes ou organisations |
3.2.3 |
| Grenelle II | 37 | Sociétal | III b | Relations entretenues avec les personnes ou les organisations intéressées par l'activité de la société, notamment les associations d'insertion, les établissements d'enseignement, les associations de défense de l'environnement, les associations de consommateurs et les populations riveraines |
Les actions de partenariat ou de mécénat |
3.2 |
| Grenelle II | 38 | Sociétal | III c Sous-traitance et fournisseurs | La prise en compte dans la politique d'achat des enjeux sociaux et environnementaux. |
3.2.4 | |
| Grenelle II | 39 | Sociétal | III c Sous-traitance et fournisseurs | L'importance de la sous-traitance et la prise en compte dans les relations avec les fournisseurs et les sous-traitants de leur responsabilité sociale et environnementale |
3.2.4 | |
| Grenelle II | 40 | Sociétal | III d Loyauté des pratiques | Les actions engagées pour prévenir la corruption |
1.10 | |
| Grenelle II | 41 | Sociétal | III d Loyauté des pratiques | Les mesures prises en faveur de la santé et de la sécurité des consommateurs |
3.2.2 | |
| Grenelle II | 42 | Sociétal | III e | Autres actions engagées, au titre du présent 3o, en faveur des droits de l'homme |
Autres actions engagées en faveur des droits de l'homme |
Les filiales directes et indirectes de VIEL & Cie exercent dans le secteur de l'intermédiation professionnelle ou de la bourse en ligne. Leur impact environnemental direct sur ce thème est donc très limité. |
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
| Date | Objet |
|---|---|
| 21 mai 2014 | Mise à disposition des documents préparatoires à l'Assemblé générale mixte du 12 juin 2014 |
| 7 mai 2014 | Convocation des actionnaires pour l'Assemblée générale mixte du 12 juin 2014 |
| Date | Objet |
|---|---|
| 6 février 2014 | Chiffre d'affaires consolidé de l'exercice 2013 |
| 21 mars 2014 | Résultats annuels 2013 |
| 29 avril 2014 | Mise à disposition du rapport financier annuel 2013 |
| 12 mai 2014 | Chiffre d'affaires du premier trimestre 2014 |
| 30 juillet 2014 | Chiffre d'affaires du deuxième trimestre 2014 |
| 29 août 2014 | Résultats du premier semestre 2014 |
| 30 août 2014 | Mise à disposition du rapport financier semestriel |
| 6 novembre 2014 | Chiffre d'affaires du troisième trimestre 2014 |
| 5 février 2015 | Chiffre d'affaires du quatrième trimestre 2014 |
| 19 mars 2015 | Résultats annuels 2014 |
Le groupe VIEL & Cie applique les Normes Internationales d'Information Financière (IFRS) pour l'établissement de ses comptes consolidés.
Jusqu'en 2013, les sociétés sur lesquelles le Groupe exerce un contrôle conjoint avec des partenaires étaient consolidées par intégration proportionnelle. Le bilan et le compte de résultat consolidés de VIEL & Cie reprenaient, poste par poste, la fraction représentative des intérêts du Groupe dans ces coentreprises.
En raison de l'adoption par le Groupe de la norme IFRS 11 - Partenariat à compter du 1er janvier 2014, la méthode de l'intégration proportionnelle a été remplacée par la méthode de la mise en équivalence. Cette modification affecte presque tous les postes des états financiers, entrainant une diminution des revenus et des charges, des actifs et des passifs mais sans impact sur le résultat net de la période et sur les capitaux propres - part du Groupe. Par ailleurs, ce changement de présentation a nécessité le retraitement de l'information financière pour l'exercice précédent.
Cependant, le Groupe conserve l'application de la méthode d'intégration proportionnelle pour consolider ces sociétés dans le cadre des rapports de gestion (ci-après Non-IFRS) car cela permet une appréciation plus précise de la performance économique du Groupe et des indicateurs clés. Cette méthode de présentation est utilisée dans la publication de l'information sectorielle présentée en annexe des comptes semestriels et annuels.
Dans ce contexte, le groupe VIEL & Cie communique son chiffre d'affaires sur une base IFRS et Non-IFRS.
Au premier trimestre 2014, le chiffre d'affaires consolidé IFRS des filiales opérationnelles de VIEL & Cie s'élève à 191,7 millions d'euros contre 200,5 millions d'euros sur la même période en 2013, en baisse de 4,4 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé enregistre une baisse de 1,8 %.
Pour la même période, le chiffre d'affaires consolidé Non-IFRS du Groupe atteint 204,5 millions d'euros contre 214,7 millions d'euros en 2013 soit une baisse de 4,7 % à cours de change variables et de 2,0 % à cours de change constants.
La contribution des différents pôles d'activité au chiffre d'affaires consolidé est la suivante :
| IFRS | NON IFRS | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| En millions d'euros | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | |
| Intermédiation professionnelle | 181,2 | 191,4 | 194,0 | 205,6 | |
| Bourse en ligne | 10,5 | 9,1 | 10,5 | 9,1 | |
| Chiffre d'affaires consolidé | 191,7 | 200,5 | 204,5 | 214,7 |
* Sur la base des rapports d'activité.
La situation financière du Groupe n'a pas connu de changement significatif depuis la publication de son rapport financier annuel 2013.
Paris, le 12 mai 2014
Au premier semestre 2014, le chiffre d'affaires consolidé IFRS des filiales opérationnelles de VIEL & Cie s'élève à 368,3 millions d'euros contre 404,1 millions d'euros sur la même période en 2013, en baisse de 8,9 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé IFRS enregistre une baisse de 6,7 %.
Le chiffre d'affaires consolidé Non-IFRS* s'établit à 390,3 millions d'euros contre 432,6 millions d'euros sur la même période en 2013, en baisse de 9,8 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé enregistre une baisse de 7,7 %.
Le chiffre d'affaires consolidé IFRS du deuxième trimestre 2014 s'établit à 176,6 millions d'euros, en baisse de 13,3 % par rapport à 2013. A cours de change constants, le chiffre d'affaires trimestriel des filiales opérationnelles est en baisse de 12,9 %.
A cours de change courants, l'évolution des chiffres d'affaires consolidés semestriels par pôle d'activité est la suivante :
| IFRS | NON IFRS | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| En millions d'euros | S1 2014 | S1 2013 | S1 2014 | S1 2013 | |
| Intermédiation professionnelle | 348,3 | 386,8 | 370,3 | 415,3 | |
| Bourse en ligne | 20,0 | 17,3 | 20,0 | 17,3 | |
| Chiffre d'affaires consolidé | 368,3 | 404,1 | 390,3 | 432,6 |
La situation financière du Groupe n'a pas connu de changement significatif depuis la publication de son rapport financier annuel 2013.
* Selon les normes IFRS 2012 en intégrant les coentreprises consolidées par intégration proportionnelle et ce conformément aux reporting d'activités du groupe concerné (« Non-IFRS).
Le groupe VIEL & Cie applique les Normes Internationales d'Information Financière (IFRS) pour l'établissement de ses comptes consolidés.
Jusqu'en 2013, les sociétés sur lesquelles le Groupe exerce un contrôle conjoint avec des partenaires étaient consolidées par intégration proportionnelle. Le bilan et le compte de résultat consolidés de VIEL & Cie reprenaient, poste par poste, la fraction représentative des intérêts du Groupe dans ces coentreprises.
En raison de l'adoption par le Groupe de la norme IFRS 11 - Partenariat à compter du 1er janvier 2014, la méthode de l'intégration proportionnelle a été remplacée par la méthode de la mise en équivalence. Cette modification affecte presque tous les postes des états financiers, entrainant une diminution des revenus et des charges, des actifs et des passifs mais sans impact sur le résultat net de la période et sur les capitaux propres - part du Groupe. Par ailleurs, ce changement de présentation a nécessité le retraitement de l'information financière pour l'exercice précédent.
Cependant, le Groupe conserve l'application de la méthode d'intégration proportionnelle pour consolider ces sociétés dans le cadre des rapports de gestion (ci-après Non-IFRS) car cela permet une appréciation plus précise de la performance économique du Groupe et des indicateurs clés. Cette méthode de présentation est utilisée dans la publication de l'information sectorielle présentée en annexe des comptes semestriels et annuels.
Dans ce contexte, le groupe VIEL & Cie communique son chiffre d'affaires sur une base IFRS et Non-IFRS.
| En millions d'euros | er semestre 2014 1 |
1 er semestre 2013 (retraité) |
|---|---|---|
| Chiffre d'affaires consolidé | 368,3 | 404,1 |
| Résultat d'exploitation | 23.,0 | 23,6 |
| Résultat avant impôt | 27,5 | 29,7 |
| Résultat net consolidé | 18,5 | 20,8 |
| Résultat net - part du groupe | 12,7 | 11,0 |
| Intérêts minoritaires | 5,8 | 9,8 |
Le Groupe VIEL & Cie applique les Normes Internationales d'Information Financière (IFRS) pour l'établissement de ses comptes consolidés. Jusqu'en 2013, les sociétés sur lesquelles le Groupe exerce un contrôle conjoint avec des partenaires étaient consolidées par intégration proportionnelle. Le bilan et le compte de résultat consolidés de VIEL & Cie reprenaient, poste par poste, la fraction représentative des intérêts du Groupe dans ces coentreprises. En raison de l'adoption par le Groupe de la norme IFRS 11 - Partenariat à compter du 1er janvier 2014, la méthode de l'intégration proportionnelle a été remplacée par la méthode de la mise en équivalence. Cette modification affecte presque tous les postes des états financiers, entrainant une diminution des revenus et des charges, des actifs et des passifs mais sans impact sur le résultat net de la période et sur les capitaux propres - part du Groupe. Par ailleurs, ce changement de présentation a nécessité le retraitement de l'information financière pour l'exercice précédent.
L'activité du Groupe Tradition au premier semestre 2014 s'est déroulée dans un environnement exigeant avec une faible volatilité sur d'importantes classes d'actifs ainsi qu'une structure de marché toujours en mutation du fait des évolutions réglementaires et des incertitudes qui leurs sont liées, notamment sur le marché des dérivés OTC. Dans le cadre de ces évolutions réglementaires aux Etats-Unis, le Groupe a continué de développer avec succès les activités et le positionnement de Tradition SEF, en particulier par le biais de Trad-X, plateforme leader de négociation hybride pour les swaps de taux d'intérêts.
Dans ce contexte, le Groupe enregistre un chiffre d'affaires consolidé de CHF 425,4 millions au premier semestre 2014 contre CHF 475,9 millions au premier semestre 2013, en baisse de 7,8 % à cours de change constants. Après une baisse de 2,8 % à cours de change constants au cours du premier trimestre par rapport à la même période l'an dernier, le chiffre d'affaires consolidé a reculé de 12,8 % à cours de change constants lors du second trimestre. Le résultat d'exploitation est en baisse de 3,4 % à cours de change constants à CHF 26,8 millions pour une marge de 6,3 % contre 6,0 % lors du premier semestre 2013.
Des mesures sont continuellement prises afin d'adapter la base de coûts du Groupe à cet environnement de marché en mutation et ce, par une réduction des coûts fixes et une augmentation de sa flexibilité. Au cours de 24 derniers mois, des économies nettes de plus de CHF 100 millions ont été réalisées par une baisse des coûts fixes. Le ratio de rémunération des opérateurs atteint désormais 58,7 % du chiffre d'affaires avec une quote-part variable de près de 44 %. Ces actions vont se poursuivre au cours des mois à venir.
En parallèle, le Groupe Tradition a poursuivi ses investissements dans la technologie, essentiels au déploiement de sa stratégie de courtage électronique de développement de plateformes de négociation hybrides à partir de sa technologie propriétaire, aux fonctionnalités innovantes, couvrant de multiples classes d'actifs dans le prolongement logique de ses services de courtage à la voix. Ces investissements très significatifs ont un impact négatif sur la rentabilité du Groupe à court terme mais sont primordiaux afin de lui permettre de profiter pleinement des opportunités offertes par les évolutions réglementaires. Au cœur de sa stratégie de courtage électronique se trouvent les plateformes primées par l'industrie, Trad-X et ParFX.
Au cours du premier semestre 2014, Bourse Direct a enregistré une croissance soutenue de son activité. Le nombre d'ordres exécutés s'établit à plus de 2 millions en progression de 26,9 % par rapport à la même période en 2013. Ces données confirment la position de leader de Bourse Direct sur le marché de la bourse en ligne en France en nombre d'ordres exécutés. Les clients de Bourse Direct comptabilisent ainsi 4,2 ordres par compte par mois au cours de ce premier semestre 2014.
Avec 88 250 comptes au 30 juin 2014, Bourse Direct a poursuivi son rythme actif de recrutement d'une nouvelle clientèle enregistrant ainsi une croissance du recrutement de nouveaux clients de 20,1 % sur une année glissante.
Le chiffre d'affaires de Bourse Direct s'établit à 20,0 millions d'euros en hausse de 15,6 % par rapport à la même période en 2013 (17,2 millions d'euros).
L'activité de SwissLife Banque Privée, dont VIEL & Cie détient 40 %, a connu une forte croissance de son produit net bancaire à 22,1 millions d'euros au cours du 1er semestre 2014 (+53,7 %) en raison notamment de l'intégration dans son périmètre de consolidation de la société Prigest. Le résultat d'exploitation est bénéficiaire sur la période.
Au premier semestre 2014, le chiffre d'affaires consolidé IFRS des filiales opérationnelles de VIEL & Cie s'élève à 368,3 millions d'euros contre 404,1 millions d'euros sur la même période en 2013, en baisse de 8,9 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé IFRS enregistre une baisse de 6,7 %.
Le résultat d'exploitation consolidé de VIEL & Cie s'établit à 23,0 millions d'euros contre 23,6 millions d'euros sur la même période en 2013 soit une baisse de 2,5 %.
Le résultat net consolidé de VIEL & Cie affiche une baisse de 11,1 % par rapport à l'exercice précédent sur la même période et s'inscrit à 18,5 millions d'euros au premier semestre 2014 (20,8 millions d'euros sur la même période en 2013).
Le résultat net-part du groupe enregistre une hausse de 15,5 % au premier semestre 2014 comparé à 2013 et s'élève à 12,7 millions d'euros, contre 11,0 millions d'euros en 2013.
Ce résultat porte les capitaux propres consolidés de VIEL & Cie à 358,9 millions d'euros au 30 juin 2014, dont 273,9 millions d'euros pour la part du Groupe et après déduction de la valeur brute des actions propres détenues par VIEL & Cie elle-même pour un montant de 27,3 millions d'euros (250,2 millions d'euros de capitaux propres - part du groupe au 30 juin 2013).
Sur le pôle d'intermédiation professionnelle, Compagnie Financière Tradition poursuivra en 2014 son développement ainsi que sa politique d'investissement dans la technologie avec le déploiement de nouvelles plateformes technologiques. Les marchés financiers connaissent des évolutions réglementaires significatives qui impactent fortement l'ensemble du secteur de l'intermédiation professionnelle. L'adaptation du métier aux technologies permettant également de répondre au nouvel environnement réglementaire et la poursuite de la maîtrise des coûts constitueront ainsi des éléments essentiels de l'amélioration de la performance du groupe.
Sur le pôle de bourse en ligne, Bourse Direct a connu au premier semestre 2014, une croissance soutenue de ses principaux indicateurs d'activité (volume d'ordres, recrutement de nouveaux clients). De nouveaux outils sur la mobilité ont été mis à la disposition de la clientèle afin d'améliorer la qualité des services proposés. Des formations plus nombreuses seront offertes à la clientèle dans le cadre d'une bonne connaissance des marchés. Bourse Direct poursuivra son développement dans le cadre d'une offre innovante et toujours élargie, au meilleur prix.
Sur son pôle de banque privée et de gestion d'actifs, SwissLife Banque Privée qui a connu une accélération de son chiffre d'affaires et une amélioration de ses résultats, poursuivra sa politique de développement par croissance organique et externe.
Le rapport financier semestriel 2014 de VIEL & Cie est disponible sur le site internet de la société : www.viel.com.
Paris, le 29 août 2014
Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires consolidé des filiales opérationnelles de VIEL & Cie s'établit à 540,2 millions d'euros contre 577,2 millions d'euros sur la même période en 2013, soit une baisse de 6,4 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé enregistre une baisse de 5,5 %.
Le chiffre d'affaires consolidé au 3ème trimestre 2014 atteint 168,4 millions d'euros, en baisse de 2,7 % par rapport au niveau observé au 3ème trimestre 2013. A cours de change constants, le chiffre d'affaire trimestriel affiche une baisse de 2,4 %.
La contribution des différents pôles d'activité au chiffre d'affaires consolidé est la suivante :
| En millions d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Intermédiation professionnelle | 511,7 | 551,8 |
| Bourse en ligne | 28,5 | 25,4 |
| Chiffre d'affaires consolidé | 540,2 | 577,2 |
L'activité du pôle de bourse en ligne affiche une hausse de son chiffre d'affaires de 12 % par rapport à la même période en 2013. L'activité d'intermédiation professionnelle connait quant à elle une baisse de 9,1 % à cours de change courants (-9 % à cours de change constants).
La situation financière du Groupe n'a pas connu de changement significatif depuis la publication de son rapport financier semestriel 2014.
Paris, le 6 novembre 2014
Le chiffre d'affaires consolidé des filiales opérationnelles de VIEL & Cie atteint 727,0 millions d'euros pour l'année 2014 contre 744,7 millions d'euros sur la même période en 2013, soit une baisse de 2,4 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé affiche une baisse de 2,8 %.
Au 4ème trimestre 2014, le chiffre d'affaires consolidé des filiales du Groupe s'élève à 186,8 millions d'euros soit une hausse de 6,4 % à cours de change courants par rapport à 2013 (+5,9 % à cours de change constants).
La contribution des différents pôles d'activité au chiffre d'affaires consolidé est la suivante :
| En millions d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Intermédiation professionnelle | 689,5 | 710,4 |
| Bourse en ligne | 37,5 | 34,3 |
| Chiffre d'affaires consolidé | 727,0 | 744,7 |
L'activité d'intermédiation professionnelle connait une baisse de 2,9 % à cours de change courants (-3,4 % à cours de change constants).
L'activité du pôle de bourse en ligne quant à elle affiche une hausse de son chiffre d'affaires de 9,2 % par rapport à la même période en 2013.
En termes de répartition géographique, le Royaume-Uni ainsi que l'Amérique du Nord et du Sud restent toujours les principaux contributeurs avec respectivement 35,3 % et 29,1 % du chiffre d'affaires consolidé contre 34,0 % et 29,2 % en 2013. L'Asie réalise 22,2 % du chiffre d'affaires consolidé cumulé du Groupe contre 23,7 % au 31 décembre 2013 et l'Europe continentale 13,4 % contre 13,1 % en 2013.
La société publiera ses résultats de l'exercice 2014 le 19 mars 2015.
Paris, le 5 février 2015
| En millions d'euros | 2014 | 2013 | Variations |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires consolidé | 727,0 | 744,6 | -2,4 % |
| Résultat d'exploitation | 37,2 | 27,1 | +37,3 % |
| Résultat financier | -4,5 | -7,7 | +40,9 % |
| Résultat des sociétés mises en équivalence | 12,1 | 7,5 | +63,4 % |
| Résultat avant impôt | 44,8 | 26,9 | +66,9 % |
| Résultat net consolidé | 32,2 | 15,4 | +108,5 % |
| Résultat net - part du Groupe | 21,3 | 5,9 | +262,3 % |
| Intérêts minoritaires | 10,9 | 9,5 | +13,8 % |
Le Groupe VIEL & Cie applique les Normes Internationales d'Information Financière (IFRS) pour l'établissement de ses comptes consolidés. Jusqu'en 2013, les sociétés sur lesquelles le Groupe exerce un contrôle conjoint avec des partenaires étaient consolidées par intégration proportionnelle. Le bilan et le compte de résultat consolidés de VIEL & Cie reprenaient, poste par poste, la fraction représentative des intérêts du Groupe dans ces coentreprises.
En raison de l'adoption par le Groupe de la norme IFRS 11 - Partenariat à compter du 1er janvier 2014, la méthode de l'intégration proportionnelle a été remplacée par la méthode de la mise en équivalence. Cette modification affecte presque tous les postes des états financiers, entrainant une diminution des revenus et des charges, des actifs et des passifs mais sans impact sur le résultat net de la période et sur les capitaux propres - part du Groupe. Par ailleurs, ce changement de présentation a nécessité le retraitement de l'information financière pour l'exercice précédent.
L'activité 2014 des filiales opérationnelles de VIEL & Cie s'est déroulée dans un environnement exigeant.
Dans le cadre des activités d'intermédiation professionnelle de VIEL & Cie, l'année 2014 a été marquée par une très faible volatilité sur de nombreuses classes d'actifs et un ralentissement de l'activité sur les trois premiers trimestres. L'environnement de marché s'est amélioré à partir du mois de septembre 2014 pour enregistrer une croissance au quatrième trimestre. Dans le cadre des évolutions réglementaires sur les marchés notamment aux Etats-Unis, le groupe Tradition a continué de développer avec succès les activités et le positionnement de Tradition SEF, en particulier par le biais de Trad-X, plateforme leader de négociations hybrides pour les swaps de taux d'intérêts. Globalement, l'activité de Tradition a enregistré une évolution meilleure que la tendance du secteur des IDB (Inter Dealer Broker) avec un résultat d'exploitation en nette amélioration en raison d'une politique rigoureuse de baisse des coûts menée depuis plusieurs années.
Dans le cadre de son activité de bourse en ligne, l'année 2014 a enregistré une nouvelle année de croissance avec un volume d'ordres en hausse de 16,9 %, plus de 4 millions d'ordres exécutés et 93 000 comptes de clients particuliers. Leader de son secteur, la société a connu une amélioration de son résultat d'exploitation et a été primée pour la qualité de son service clients.
Les activités de banque privée (SwissLife Banque Privée) ont connu une forte croissance de l'activité et des résultats en 2014.
********
Le chiffre d'affaires consolidé des filiales opérationnelles de VIEL & Cie atteint 727,0 millions d'euros contre 744,6 millions d'euros, en baisse de 2,4 % à cours de change variables. A cours de change constant, la baisse s'élève à 2,8 %.
La répartition par secteur d'activité des revenus consolidés de VIEL & Cie se présente comme suit :
| En millions d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Intermédiation professionnelle | 689,5 | 710,4 |
| Bourse en ligne | 37,5 | 34,3 |
| Chiffre d'affaires consolidé | 727,0 | 744,7 |
Les charges d'exploitation, d'un montant de 693,3 millions d'euros en 2014 sont en baisse de 3,8 % par rapport à l'année 2013 et sont principalement constituées de charges de personnel, de frais de télécommunication et d'information financière, et de frais de représentations et de marketing des filiales opérationnelles de VIEL & Cie. Les charges de personnel ont enregistré une baisse de 4,1 % sur l'année.
Le résultat d'exploitation consolidé de VIEL & Cie s'élève à 37,2 millions d'euros en 2014, contre 27,1 millions d'euros en 2013 soit une hausse de 37,3 %. L'amélioration de la rentabilité s'explique principalement par une baisse des charges d'exploitation du Groupe permise par une politique de réduction des coûts.
Le résultat financier net est négatif à hauteur de 4,5 millions d'euros en 2014 (-7,7 millions d'euros en 2013) notamment en raison de charges d'intérêts.
La charge d'impôt consolidée constatée en 2014 s'établit à 12,6 millions d'euros, contre 11,5 millions d'euros en 2013. Le taux d'imposition effectif est en nette amélioration par rapport à l'année précédente.
VIEL & Cie enregistre un résultat net consolidé en hausse de 108,5 %, de 32,2 millions d'euros contre 15,4 millions d'euros en 2013. Les intérêts minoritaires s'établissent à 10,9 millions d'euros par rapport à 9,5 millions d'euros en 2013.
Le résultat net - part du Groupe s'inscrit à 21,3 millions d'euros en 2014 en très forte croissance par rapport à 2013 où il s'inscrivait à 5,9 millions d'euros.
Les capitaux propres consolidés de VIEL & Cie s'établissent à 401,3 millions d'euros contre 363,1 millions d'euros en 2013, dont 303,1 millions d'euros pour la part du Groupe après déduction de la valeur brute des actions propres détenues par VIEL & Cie elle-même pour un montant de 27,3 millions d'euros.
Il sera proposé à l'Assemblée générale des actionnaires qui se réunira le 11 juin 2015, la distribution d'un dividende de 15 centimes d'euro par action versé en numéraire ou en actions et un rendement par action de 5,6 %(1).
Le Conseil d'administration de VIEL & Cie s'est réuni le 18 mars 2015 pour examiner et arrêter les comptes de l'exercice 2014. Ces comptes annuels et consolidés sont en cours d'audit par le collège des Commissaires aux Comptes de la Société. Les états financiers dans leur intégralité seront inclus dans le rapport financier de la Société.
Dans le cadre d'un démarrage de l'activité encourageant en 2015 sur ses différents métiers, VIEL & Cie accompagnera ses filiales opérationnelles dans leur développement. En 2014 Compagnie Financière Tradition a nettement amélioré sa rentabilité dans un contexte de marché exigeant. En 2015, Compagnie Financière Tradition poursuivra ses développements dans la technologie et ses efforts de réduction des coûts dans un contexte de marché prometteur.
Bourse Direct accélèrera son rythme de recrutement de nouveaux clients dans le cadre d'une politique de développement plus étendue en 2015.
(1) Sur la base du cours de bourse au 18 mars 2015.
Paris, le 19 mars 2015
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
| En milliers d'euros | Note | 2014 | 2013 (retraité) |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 1 | 726 980 | 744 645 |
| Autres produits d'exploitation | 2 | 3 510 | 2 861 |
| Produits d'exploitation | 730 490 | 747 506 | |
| Charges de personnel | -510 985 | -532 887 | |
| Autres charges d'exploitation | 3 | -166 368 | -170 981 |
| Amortissements | 7, 8 | -15 952 | -16 260 |
| Gains/(Pertes) de valeur des actifs | 7, 8 | -16 | -301 |
| Charges d'exploitation | -693 321 | -720 429 | |
| Résultat d'exploitation | 37 169 | 27 077 | |
| Quote-Part de résultat d'exploitation de sociétés mises en équivalence dans le prolongement de l'activité du groupe |
9 | 12 197 | 7 462 |
| Résultat d'exploitation après quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence dans le prolongement de l'activité du groupe |
49 366 | 34 539 | |
| Produits financiers | 4 | 7 259 | 3 988 |
| Charges financières | 4 | -11 796 | -11 670 |
| Quote-part de résultat des autres sociétés mises en équivalence | 9 | - | - |
| Résultat avant impôt | 44 829 | 26 857 | |
| Impôt sur les bénéfices | 5 | -12 662 | -11 434 |
| Résultat net de l'exercice | 32 167 | 15 423 | |
| Intérêts minoritaires | 10 857 | 9 542 | |
| Résultat net part du Groupe | 21 310 | 5 881 | |
| Résultat par action (en euros) : | |||
| Résultat de base par action | 6 | 0,30 | 0,08 |
| Résultat dilué par action | 6 | 0,30 | 0,08 |
| En milliers d'euros | Note | 2014 | 2013 (retraité) |
|---|---|---|---|
| Résultat de la période comptabilisé au compte de résultat | 32 167 | 15 423 | |
| Autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
|||
| Ecarts actuariels des régimes à prestations définies | -946 | 4 493 | |
| Total des autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
16 | -946 | 4 493 |
| Autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
|||
| Ajustement à la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie | |||
| - constatés dans la réserve de couverture | 756 | 1 799 | |
| - transférés au compte de résultat | 259 | 957 | |
| Ajustement à la juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente | |||
| - constatés dans la réserve de réévaluation | 5 580 | 2 430 | |
| - transférés au compte de résultat | - | - | |
| Ecart de conversion | 20 167 | -34 546 | |
| Transfert de l'écart de conversion au compte de résultat | 41 | - | |
| Autres éléments du résultat global des sociétés associées | -296 | -2 271 | |
| Total des autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
16 | 26 507 | -31 631 |
| Autres éléments du résultat global de l'exercice, nets d'impôts | 25 561 | -27 138 | |
| Résultat global de l'exercice | 57 728 | -11 715 | |
| Part du Groupe | 39 712 | -6 159 | |
| Intérêts minoritaires | 18 016 | -5 556 |
L'impact fiscal de chacun des éléments du résultat global est présenté en note 5.
| ACTIF En milliers d'euros |
Note | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|---|
| Immobilisations corporelles | 7 | 16 374 | 18 236 | 22 705 |
| Immobilisations incorporelles | 8 | 113 082 | 112 141 | 113 615 |
| Participations dans les sociétés associées et coentreprises | 9 | 139 025 | 143 778 | 172 207 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 14 | 27 176 | 16 392 | 14 575 |
| Autres actifs financiers | 10 | 3 144 | 6 109 | 6 164 |
| Impôts différés actifs | 5 | 21 460 | 21 322 | 23 821 |
| Immeubles de placement | 7 | 5 508 | 5 730 | 6 230 |
| Trésorerie non disponible | 11 | 28 888 | 21 560 | 23 643 |
| Total actif non courant | 354 657 | 345 268 | 382 960 | |
| Autres actifs courants | 10 615 | 10 012 | 9 965 | |
| Instruments financiers dérivés actifs | 25 | 368 | 955 | 138 |
| Impôt à recevoir | 24 | 6 627 | 7 858 | 4 808 |
| Clients et autres créances | 12 | 874 713 | 788 298 | 883 393 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 13 | 548 | 762 | 9 433 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 14 | 6 637 | 7 127 | 2 757 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 15 | 270 866 | 271 953 | 276 804 |
| Total actif courant | 1 170 374 | 1 086 965 | 1 187 298 | |
| TOTAL ACTIF | 1 525 031 | 1 432 233 | 1 570 258 |
| CAPITAUX PROPRES ET PASSIF En milliers d'euros |
Note | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|---|
| Capital | 16 | 15 427 | 15 427 | 15 423 |
| Prime d'émission | 21 180 | 21 180 | 21 180 | |
| Actions propres | 16 | -27 298 | -27 298 | -27 298 |
| Ecart de conversion | -16 972 | -30 049 | -10 765 | |
| Réserves consolidées | 16 | 310 717 | 270 976 | 263 988 |
| Total des capitaux propres - Part du Groupe | 303 054 | 250 235 | 262 528 | |
| Intérêts minoritaires | 17 | 98 291 | 112 272 | 126 970 |
| Total des capitaux propres | 401 345 | 362 507 | 389 498 | |
| Dettes financières | 20 | 129 480 | 157 259 | 90 062 |
| Autres passifs financiers | - | 240 | - | |
| Provisions | 21 | 24 279 | 34 782 | 42 687 |
| Produits différés | 3 859 | 3 394 | 341 | |
| Impôts différés passifs | 5 | 2 691 | 520 | 3 896 |
| Total passif non courant | 160 309 | 196 195 | 136 986 | |
| Dettes financières | 20 | 107 624 | 97 717 | 165 139 |
| Fournisseurs et autres créanciers | 23 | 832 662 | 762 558 | 859 786 |
| Provisions | 21 | 14 937 | 3 673 | 3 609 |
| Impôt à payer | 24 | 5 640 | 5 619 | 7 748 |
| Instruments financiers dérivés passifs | 25 | 2 080 | 3 108 | 6 505 |
| Produits différés | 433 | 856 | 987 | |
| Total passif courant | 963 376 | 873 531 | 1 043 774 | |
| TOTAL CAPITAUX PROPRES ET PASSIF | 1 525 031 | 1 432 233 | 1 570 258 |
| En milliers d'euros | Note | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Flux de trésorerie résultant des activités opérationnelles | |||
| Résultat avant impôts | 44 829 | 26 857 | |
| Amortissements | 7, 8 | 15 952 | 16 260 |
| Perte de valeur des actifs | 7, 8 | 16 | 301 |
| Résultat financier net | 6 602 | 1 638 | |
| Quote part dans le résultat des sociétés associées et coentreprises | 9 | -12 197 | -7 462 |
| Autres éléments sans incidence sur la trésorerie | - | -285 | |
| Augmentation / (diminution) des provisions | 21 | 3 018 | 2 144 |
| Variation des produits différés | -299 | -485 | |
| Dépense relative aux paiement fondés sur des actions | 19 | 460 | 560 |
| Plus / (moins) values sur cessions de filiales | |||
| et sociétés associées / coentreprises | -823 | - | |
| Plus / (moins) values sur cessions d'actifs immobilisés | 2 | -425 | -26 |
| Augmentation / (diminution) du fonds de roulement | -16 919 | 1 295 | |
| Intérêts payés | -7 361 | -5 649 | |
| Intérêts perçus | 1 492 | 1 879 | |
| Impôts payés | -7 983 | -15 203 | |
| Flux de trésorerie nets résultant des activités opérationnelles | 26 363 | 21 824 | |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité d'investissement | |||
| Acquisition d'actifs financiers | -206 | -2 515 | |
| Valeur de vente d'actifs financiers | 1 700 | 7 701 | |
| Acquisition de filiales, net de la trésorerie acquise | 54 | -4 823 | |
| Acquisition d'immobilisations corporelles | 7 | -4 373 | -3 234 |
| Valeur de vente d'immobilisations corporelles | 1 150 | 38 | |
| Acquisition d'immobilisations incorporelles | 8 | -7 003 | -8 924 |
| Valeur de vente d'immobilisations incorporelles | 117 | - | |
| Dividendes reçus | 13 028 | 17 616 | |
| (Augmentation) / diminution de la trésorerie non disponible | -5 182 | 1 297 | |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité d'investissement | -715 | 7 156 | |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité de financement | |||
| Augmentation des dettes financières à court terme | - | 754 | |
| Diminution des dettes financières à court terme | -23 835 | -87 862 | |
| Augmentation des dettes financières à long terme | - | 96 997 | |
| Diminution des dettes financières à long terme | -30 000 | -30 050 | |
| Variation des autres dettes à long terme | - | - | |
| Augmentation de capital et prime d'émission des filiales | - | -65 | |
| Acquisition d'actions propres | - | - | |
| Valeur de vente d'actions propres | - | - | |
| Cession de participation dans une filiale | 17 | 12 114 | - |
| Acquisition d'intérêts non contrôlants | 17 | -19 992 | -7 170 |
| Dividendes versés aux intérêts minoritaires | -6 513 | -6 512 | |
| Dividendes versés aux actionnaires de la société mère | 18 | -4 204 | -5 602 |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité de financement | -72 430 | -39 510 | |
| Impact de la variation des taux de change sur la trésorerie consolidée | 12 602 | -16 266 | |
| Variation de la trésorerie | -34 181 | -26 796 | |
| Trésorerie et équivalent au début de la période | 245 721 | 272 517 | |
| Trésorerie et équivalent à la fin de la période | 15 | 211 540 | 245 721 |
| En milliers d'euros excepté le nombre d'actions |
Notes | Nombre d'actions |
Capital social |
Prime d'émission |
Actions propres |
Ecart de conversion |
Réserves consolidées |
Total part du Groupe |
Intérêts minoritaires |
Total capitaux propres |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Capitaux propres au 1er Janvier 2014 (publié) |
77 136 740 | 15 427 | 21 180 | -27 298 | -30 045 | 270 975 | 250 239 | 112 904 | 363 144 | |
| Impact des changements de politiques comptables |
- | - | - | - | -4 | - | -4 | -632 | -636 | |
| Capitaux propres au 1er Janvier 2014 (retraité) |
77 136 740 | 15 427 | 21 180 | -27 298 | -30 049 | 270 975 | 250 235 | 112 272 | 362 508 | |
| Résultat net de l'exercice | - | - | - | - | - | 21 310 | 21 310 | 10 857 | 32 167 | |
| Autres éléments du résultat global |
16 | - | - | - | - | 13 338 | 5 064 | 18 402 | 7 159 | 25 561 |
| Résultat global de la période | - | - | - | - | 13 338 | 26 374 | 39 712 | 18 016 | 57 728 | |
| Augmentation de capital | 16 | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Dividendes versés | 18 | - | - | - | - | - | -4 204 | -4 204 | -6 513 | -10 717 |
| Variation d'actions propres | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
| Incidence des variations de périmètre |
- | - | - | - | -261 | 17 243 | 16 982 | -25 616 | -8 634 | |
| Composante capitaux propres des plans dont le paiement est fondé sur des actions |
19 | - | - | - | - | - | 328 | 328 | 132 | 460 |
| Capitaux propres au 31 décembre 2014 |
77 136 740 | 15 427 | 21 180 | -27 298 | -16 972 | 310 717 | 303 054 | 98 291 | 401 345 | |
| Total | ||||||||||
| En milliers d'euros excepté le nombre d'actions |
Notes | Nombre d'actions |
Capital social |
Prime d'émission |
Actions propres |
Ecart de conversion |
Réserves consolidées |
Total part du Groupe |
Intérêts minoritaires |
capitaux propres |
| Capitaux propres au 1er Janvier 2013 (publié) |
77 116 740 | 15 423 | 21 180 | -27 298 | -10 765 | 263 988 | 262 528 | 128 000 | 390 527 | |
| Impact des changements de politiques comptables |
- | - | - | - | - | - | - | -1 030 | -1 030 | |
| Capitaux propres au 1er Janvier 2013 (retraité) |
77 116 740 | 15 423 | 21 180 | -27 298 | -10 765 | 263 988 | 262 528 | 126 970 | 389 498 | |
| Résultat net de l'exercice | - | - | - | - | - | 5 881 | 5 881 | 9 542 | 15 423 | |
| Autres éléments du résultat global |
16 | -19 284 | 7 244 | -12 040 | -15 098 | -27 138 | ||||
| Résultat global de la période | -19 284 | 13 125 | -6 159 | -5 556 | -11 715 | |||||
| Augmentation de capital | 16 | 20 000 | 4 | - | - | -4 | - | - | - | |
| Dividendes versés | - | - | - | - | - | -5 602 | -5 602 | -6 512 | -12 114 | |
| Variation des capitaux propres des sociétés associées |
- | - | - | - | - | - | - | - | - | |
| Incidence des variations de périmètre |
- | - | - | - | - | -924 | -924 | -2 797 | -3 721 | |
| Composante capitaux propres des plans dont le paiement est fondé sur des actions |
19 | - | - | - | - | - | 393 | 393 | 167 | 560 |
| Autres variations | ||||||||||
| - | - | - | - | - | - | - | - | - |
VIEL & Cie est une société française anonyme, domiciliée à Paris au 253 Boulevard Pereire - 75017 Paris.
VIEL & Cie, société d'investissement, contrôle deux sociétés cotées spécialisées dans l'intermédiation financière, Compagnie Financière Tradition, présente dans 28 pays, active dans le secteur de l'intermédiation professionnelle et Bourse Direct, intervenant dans le domaine de la bourse sur Internet en France, ainsi qu'un pôle de gestion et de banque privée au travers d'une participation mise en équivalence de 40 % dans SwissLife Banque Privée.
L'action VIEL & Cie (codes : FR0000050049, VIL) est cotée sur le compartiment C d'Euronext Paris, et est incluse dans l'indice SBF 250.
VIEL & Cie est détenue à hauteur de 52,86 % par VIEL et Compagnie-Finance.
Le Conseil d'administration a arrêté les comptes consolidés de VIEL & Cie au 31 décembre 2014 par décision du 18 mars 2015.
Les comptes consolidés de VIEL & Cie sont établis en milliers d'euros sauf explicitement mentionné, l'euro étant la devise fonctionnelle et la devise de présentation de VIEL & Cie. Ils ont été établis selon le principe du coût historique à l'exception de certains instruments financiers réévalués à la juste valeur.
Les comptes consolidés de VIEL & Cie sont établis conformément aux normes internationales d'information financière (IFRS) telles qu'adoptées par l'Union Européenne, disponibles à l'adresse internet suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias_fr.htm#adopted-commission.
Les principes comptables appliqués dans le cadre de la préparation des comptes annuels consolidés sont identiques à ceux appliqués au 31 décembre 2013, à l'exception de la norme IFRS 11 Partenariat appliquée à partir du 1er janvier 2014.
Cette norme IFRS 11 supprime l'option de l'intégration proportionnelle pour les co-entreprises qui doivent être consolidées selon la méthode de la mise en équivalence. Suite à l'adoption de cette norme, le Groupe a modifié sa politique comptable et consolide dorénavant les co-entreprises selon la méthode de la mise en équivalence.
L'impact des changements de politiques comptables sur le bilan, compte de résultat, état du résultat global et tableau de flux de trésorerie du Groupe de l'exercice précédent est présenté en note 33.
L'adoption des autres normes n'a pas eu d'impact significatif sur les comptes consolidés du Groupe lors de leur première application en 2014.
Lors de l'établissement des comptes consolidés, la Direction procède à des estimations lors de l'application des conventions comptables.
En raison des incertitudes inhérentes aux activités du Groupe, certains éléments des comptes consolidés ne peuvent pas être évalués avec précision, et ne peuvent faire l'objet que d'une estimation. Ces estimations impliquent des jugements fondés sur les dernières informations fiables disponibles.
Les hypothèses clefs relatives à l'avenir et les autres sources principales d'incertitude relatives aux estimations à la date de clôture, qui présentent un risque important d'entraîner un ajustement significatif des montants des actifs et des passifs au cours de la période sont les suivantes :
Le Groupe effectue des tests de dépréciation de ses écarts d'acquisition à chaque date de bilan. La valeur d'utilité des écarts d'acquisition est appréciée par référence à des flux de trésorerie futurs actualisés sur les unités génératrices de trésorerie auxquelles les écarts d'acquisition sont affectés. Les projections de flux de trésorerie futurs sont basées sur des estimations faites par la Direction qui estime également le taux d'actualisation à retenir dans le calcul de leur valeur actualisée. Le montant total des écarts d'acquisition est de € 90 809 000 au 31 décembre 2014 (€ 90 997 000 au 31 décembre 2013). Des informations complémentaires sont données en note 8.
Des impôts différés actifs sont enregistrés pour les reports fiscaux déficitaires dans la mesure où il est probable de les récupérer à un horizon prévisible grâce à l'existence de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces reports fiscaux déficitaires pourront être imputés. La Direction estime le montant des actifs d'impôts différés à comptabiliser, sur la base des prévisions de bénéfices imposables futurs. Le montant total des impôts différés actifs relatifs aux reports fiscaux déficitaires au 31 décembre 2014 est de € 8 579 000, contre € 5 836 000 au 31 décembre 2013. Des informations complémentaires sont données en note 5.
Les obligations du Groupe liées aux régimes à prestations définies sont évaluées chaque année sur la base d'évaluations actuarielles. Ce type d'évaluation implique l'utilisation d'hypothèses actuarielles, notamment les taux d'actualisation, les rendements attendus des actifs des régimes, les augmentations futures des salaires et des retraites ainsi que les taux de mortalité. En raison de leur perspective long terme, ces estimations sont sujettes à incertitudes. Les engagements nets des régimes à prestations définies sont de € 9 166 000 au 31 décembre 2014, contre € 7 889 000 au 31 décembre 2013. Des informations complémentaires sont données en note 22.
Des provisions sont constatées pour les litiges en cours lorsque l'issue probable d'une action en justice ou de tout autre litige impliquant le Groupe peut être estimée de manière fiable. L'échéance des sorties de trésorerie relative à ces provisions est incertaine car elle dépend de l'issue des procédures en question. Celles-ci ne sont par conséquent pas actualisées car leur valeur actuelle ne représenterait pas une information fiable. Le montant total des provisions pour litiges au 31 décembre 2014 est de € 14 348 000 contre € 9 107 000 au 31 décembre 2013. Des informations complémentaires sont données en note 21.
Les comptes consolidés comprennent ceux de VIEL & Cie ainsi que ceux de ses filiales, co-entreprises et sociétés associées (appelées collectivement le « Groupe »).
La liste des sociétés consolidées, ainsi que les taux de contrôle, taux d'intérêt et méthode de consolidation retenue pour chacune de ces sociétés, figurent en note 32.
L'acquisition d'entreprises est comptabilisée selon la méthode de l'acquisition. Le coût d'acquisition est mesuré en additionnant les justes valeurs, à la date d'échange, des actifs remis, des passifs encourus ou assumés et des instruments de capitaux propres émis par le Groupe en échange du contrôle de l'entreprise acquise. Les frais d'acquisition engagés au titre de regroupement d'entreprise sont comptabilisés en charges.
Les actifs, passifs et passifs éventuels identifiables de l'entreprise acquise, qui satisfont aux conditions de comptabilisation, sont comptabilisés à leur juste valeur à la date d'acquisition. L'écart d'acquisition est comptabilisé en tant qu'actif et évalué initialement à son coût, celui-ci étant l'excédent du coût d'acquisition sur la part d'intérêt du Groupe dans la juste valeur nette des actifs, passifs et passifs éventuels identifiables ainsi constatée. Si, après réévaluation, la part d'intérêt du Groupe dans la juste valeur nette des actifs, passifs et passifs éventuels identifiables excède le coût d'acquisition, l'excédent est comptabilisé immédiatement en résultat.
Après la comptabilisation initiale, les écarts d'acquisition positifs sont évalués au coût d'acquisition diminué du cumul des pertes de valeur.
Les écarts d'acquisition positifs sur les filiales sont présentés au bilan dans les immobilisations incorporelles en note 8.
Dans le cadre du test de dépréciation effectué sur une base semestrielle, ces écarts d'acquisition positifs sont alloués à des unités génératrices de trésorerie. Leur valeur d'utilité est appréciée par référence à des flux futurs de trésorerie actualisés.
Les intérêts minoritaires dans l'entreprise acquise sont évalués initialement en fonction de leur quote-part de la juste valeur des actifs nets acquis.
La méthode d'intégration globale est appliquée à toutes les sociétés dans lesquelles VIEL & Cie exerce, directement ou indirectement, le contrôle sur la gestion des affaires. Il y a contrôle lorsque le Groupe est exposé à des rendements variables résultant de sa participation dans la société ou détient des droits sur ces rendements, et s'il peut utiliser son pouvoir sur la société pour influer sur les rendements. Pour déterminer l'existence du contrôle, les droits de vote potentiels exerçables et convertibles sont pris en considération. Les états financiers des filiales sont intégrés aux comptes consolidés à partir de la date de prise de contrôle jusqu'à la date où le contrôle cesse. La part des actionnaires minoritaires à l'actif net des filiales consolidées et au résultat global de l'exercice est présentée distinctement au bilan et au compte de résultat global consolidé même si cela se traduit par un solde déficitaire pour les intérêts minoritaires.
Une co-entreprise est un partenariat qui confère au Groupe des droits sur l'actif net de la société dans laquelle le Groupe exerce un contrôle conjoint avec d'autres actionnaires. Le Groupe comptabilise ses intérêts dans les co-entreprises selon la méthode de la mise en équivalence.
Les sociétés associées sur lesquelles VIEL & Cie exerce une influence notable sur les politiques financières et opérationnelles, mais sans toutefois en avoir le contrôle, sont intégrées selon la méthode de la mise en équivalence. Une influence notable est notamment présumée lorsque VIEL & Cie détient, directement ou indirectement, plus de 20 % des droits de vote de ces sociétés. Les comptes consolidés incluent la quote-part du Groupe dans l'actif net et le résultat des sociétés associées. Les écarts d'acquisition déterminés sur les sociétés associées sont inclus dans la valeur comptable de l'investissement et soumis à un test de dépréciation semestriel en tant que part de l'investissement.
Lors de l'établissement des comptes consolidés, les soldes et transactions significatives intragroupes ainsi que les gains et pertes non réalisés résultant de transactions intragroupes sont éliminés. Les gains et pertes non réalisés résultant de transactions avec des sociétés associées et des sociétés contrôlées conjointement sont éliminés à hauteur de la participation du Groupe dans ces entités.
Au sein du Groupe, dont l'euro est la monnaie de présentation des comptes, les transactions en devises étrangères sont converties dans la monnaie fonctionnelle de chaque entité, au cours de change en vigueur au moment de la transaction. Les actifs et les passifs monétaires libellés en devises étrangères à la fin de la période sont convertis aux cours de change en vigueur à cette date. Les différences de change résultant de ces opérations sont constatées au compte de résultat. Les actifs et les passifs non monétaires libellés en devises étrangères et constatés à leur coût historique sont convertis aux cours de change en vigueur au moment de la transaction. Les actifs et les passifs non monétaires libellés en devises étrangères et constatés à leur juste valeur sont convertis aux cours de change en vigueur au moment où la juste valeur est déterminée.
Lors de la consolidation, les actifs et les passifs des filiales étrangères exprimés en monnaies étrangères, incluant les écarts d'acquisition et les écarts d'évaluation, sont convertis en euros aux cours de change en vigueur à la date d'établissement des comptes. Les produits et charges des filiales étrangères exprimés en monnaies étrangères sont convertis en euros aux cours de change moyens de l'année écoulée.
Les différences de change résultant de la variation des cours de change d'un exercice sur l'autre, appliquées à la situation nette des filiales étrangères exprimée en monnaies étrangères, ainsi que la différence entre le cours moyen de l'année écoulée et le cours de clôture appliquée au résultat des filiales, sont directement imputées aux capitaux propres, sous la rubrique « Ecart de conversion ». Lors de la cession d'une filiale étrangère, le montant cumulé de l'écart de conversion relatif à cette dernière et imputé dans les capitaux propres est constaté au compte de résultat.
Un tableau des principaux cours de change utilisés au titre des exercices 2014 et 2013 est présenté en note 31.
Le chiffre d'affaires est constitué de revenus de courtages et de commissions liés aux opérations d'intermédiation menées par les filiales opérationnelles de VIEL & Cie avec des tiers. Pour les transactions à titre d'agent, le chiffre d'affaires est présenté net des remises et escomptes ainsi que des frais versés aux correspondants et est constaté dès la négociation de l'opération. Dans le cadre des activités en principal où les filiales du Groupe agissent à titre de principal pour l'achat et la vente simultanés de titres pour le compte de tiers, les revenus de commissions représentent la différence entre le montant de la vente de ces titres et le montant de leur achat et sont constatés en date de livraison.
Le résultat financier net comprend les intérêts issus du placement de la trésorerie à court terme, les intérêts payés sur les dettes financières à court et à long terme, les intérêts liés aux activités de teneur de comptes ainsi que les plus et moins-values sur actifs et passifs financiers. Cette rubrique inclut également les gains et pertes de change sur les actifs et passifs financiers. Les charges et revenus d'intérêts sont comptabilisés au compte de résultat prorata temporis en appliquant la méthode du taux d'intérêt effectif.
Cette rubrique comprend l'impôt exigible ainsi que l'impôt différé sur les bénéfices. L'effet fiscal des éléments comptabilisés directement dans les capitaux propres consolidés est enregistré dans les capitaux propres consolidés.
L'impôt exigible est le montant des impôts sur le bénéfice payable au titre du bénéfice imposable de la période calculé en utilisant les taux d'impôt qui ont été adoptés ou quasi adoptés à la date de clôture ainsi que les ajustements d'impôts d'années précédentes.
Des impôts différés sont constatés sur les différences temporelles entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale. Les impôts différés sont calculés selon la méthode du report variable sur la base des taux d'imposition attendus lors de la réalisation des actifs ou le règlement des passifs. Tout changement du taux d'imposition est enregistré au compte de résultat sauf s'il est relatif directement à des éléments de capitaux propres. Des impôts différés sont calculés et comptabilisés sur toutes les différences temporelles imposables, à l'exception des écarts d'acquisition non déductibles. Les impôts différés actifs sont enregistrés sur toutes les différences temporelles déductibles, dès lors qu'il est probable de les récupérer à un horizon prévisible grâce à l'existence de bénéfices futurs. Dans le cas contraire, ils ne sont retenus qu'à hauteur des passifs d'impôts différés pour une même entité fiscale.
Les immobilisations corporelles sont inscrites au bilan à leur valeur d'acquisition, diminuées de l'amortissement cumulé et, si nécessaire, diminuées d'une dépréciation pour perte de valeur. Les terrains ne sont pas amortis. L'amortissement est calculé selon la méthode linéaire en fonction de leur durée d'utilisation estimée, soit :
| - Agencements et installations : | entre 5 et 10 ans, |
|---|---|
| - Matériel informatique et de téléphonie : | entre 2 et 5 ans, |
| - Autres immobilisations corporelles : | entre 3 et 5 ans. |
Lorsque des éléments d'une même immobilisation corporelle ont une durée d'utilisation estimée différente, ils sont constatés distinctement dans les immobilisations corporelles et amortis sur leur durée d'utilisation estimée respective.
Les charges d'entretien et de réparation sont imputées au compte de résultat de l'exercice au cours duquel elles sont encourues. Les dépenses permettant d'augmenter les avantages économiques futurs liés aux immobilisations corporelles sont capitalisées et amorties.
La juste valeur des immobilisations corporelles comptabilisées suite à un regroupement d'entreprises est déterminée sur la base de données du marché. La valeur de marché correspond au montant qui peut être obtenu de la vente d'un actif lors d'une transaction dans des conditions de concurrence normale entre des parties bien informées et consentantes.
Une filiale de VIEL & Cie détient un ensemble de biens immobiliers dans une optique patrimoniale. Ces actifs sont présentés sous la rubrique « Immeubles de placement » dans le bilan consolidé en application de la norme IAS 40 et comptabilisés au coût historique et amortis selon la méthode linéaire sur leur durée d'utilité probable (40 ans) ; cet amortissement est constaté par le biais du compte de résultat.
Un contrat de location est classé en tant que contrat de location-financement lorsqu'il transfère au Groupe la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété. Un contrat de location est classé en tant que contrat de location simple lorsque ce transfert n'a pas lieu.
Les immobilisations financées par des contrats de location-financement sont constatées au bilan à la valeur la plus basse entre la juste valeur de l'actif loué et la valeur actualisée des loyers minimums dus au début du contrat de location et amorties, en accord avec les principes du Groupe concernant l'évaluation des immobilisations corporelles, sur la durée la plus courte de la durée du bail ou de leur durée de vie utile. Les engagements qui en découlent sont présentés dans les dettes financières.
Les engagements futurs résultant de contrats de location simple sont comptabilisés en charges dans le compte de résultat sur la durée du contrat.
Les immobilisations incorporelles sont inscrites au bilan à leur valeur d'acquisition, diminuée de l'amortissement cumulé et, si nécessaire, d'une dépréciation pour perte de valeur.
L'amortissement est calculé selon la méthode linéaire en fonction de leur durée d'utilisation estimée sauf si cette durée est indéfinie. Les immobilisations incorporelles dont la durée d'utilisation estimée est indéfinie font l'objet d'un test de dépréciation annuel. Les durées d'utilisation estimées sont les suivantes :
| - Logiciels : | entre 3 et 5 ans |
|---|---|
| - Relation clientèle : | durée contractuelle |
| - Autres immobilisations incorporelles : | entre 3 et 5 ans |
| - Fonds de commerce : | indéfinie |
| - Ecarts d'acquisition : | indéfinie |
Les actifs non financiers sont examinés à chaque date de bilan afin de déterminer s'il existe des indices révélant une perte de leur valeur. Si de tels indices existent, la valeur recouvrable des actifs est estimée. Pour déterminer la valeur recouvrable, le Groupe utilise des données de marché, et lorsque ces dernières ne sont pas disponibles ou fiables, des techniques d'actualisation de flux de trésorerie futurs.
Pour les écarts d'acquisition et les immobilisations incorporelles à durée de vie indéfinie, la valeur recouvrable est estimée respectivement à chaque date de bilan et annuellement qu'il y ait un indice révélant une perte de valeur ou non.
Une perte de valeur est constatée dans le compte de résultat dès lors que la valeur comptable d'un actif ou de l'unité génératrice de trésorerie est supérieure à sa valeur recouvrable. La valeur recouvrable d'un actif correspond à la valeur la plus élevée entre le prix de vente net de l'actif et sa valeur d'utilité. La valeur d'utilité correspond à la valeur actualisée des flux de trésorerie futurs susceptibles de découler d'un actif ou d'une unité génératrice de trésorerie.
Une perte de valeur est comptabilisée pour une unité génératrice de trésorerie tout d'abord en réduction de la valeur comptable de tout écart d'acquisition affecté à l'unité génératrice de trésorerie (au groupe d'unités) et ensuite, aux autres actifs de l'unité (du groupe d'unités) au prorata de la valeur comptable de chaque actif dans l'unité (le groupe d'unités).
Les pertes de valeur comptabilisées au cours des périodes antérieures pour des actifs non financiers, autres que les écarts d'acquisitions, sont revues annuellement et reprises si nécessaire.
En cas d'achat ou de vente ordinaire d'actifs financiers, la date de transaction est retenue pour la comptabilisation initiale et la décomptabilisation subséquente.
Les actifs financiers sont classés en quatre catégories distinctes :
Il s'agit des actifs financiers détenus à des fins de transaction et des actifs financiers désignés à la juste valeur par le résultat lors de leur comptabilisation initiale. Ces actifs sont évalués à la juste valeur et les écarts de réévaluation sont enregistrés dans le résultat de la période. Les instruments financiers dérivés font partie de cette catégorie à moins qu'ils soient des instruments de couverture désignés et efficaces.
Ce sont des actifs financiers non dérivés à paiements déterminés ou déterminables qui ne sont pas cotés sur un marché actif. Ces actifs sont comptabilisés initialement à leur juste valeur puis évalués au coût amorti en utilisant la méthode du taux d'intérêt effectif déduction faite d'éventuelles pertes de valeur. Les variations de valeur sont comptabilisées dans le compte de résultat de la période. Les actifs de cette catégorie sont présentés dans l'actif courant à l'exception de ceux qui ont une échéance supérieure à douze mois après la date de clôture du bilan qui sont présentés dans l'actif non courant sous la rubrique « autres actifs financiers ». Dans l'actif courant, les prêts et créances incluent les clients et autres créances et comprennent aussi les créances liées aux activités de teneur de comptes et les créances liées aux activités en principal.
Ce sont les actifs financiers non dérivés, assortis de paiements fixes ou déterminables et d'une échéance fixée, que le Groupe à l'intention manifeste et la capacité de conserver jusqu'à leur échéance. Ces actifs sont comptabilisés à un coût amorti intégrant les primes et décotes ainsi que les éléments accessoires comme les frais d'acquisition.
Ce sont les actifs financiers non dérivés qui sont désignés comme étant disponibles à la vente ou qui ne sont pas classés dans les trois catégories précédentes. Les actifs financiers disponibles à la vente sont évalués à la juste valeur. Par exception, les instruments financiers pour lesquels un prix de négociation sur un marché liquide n'est pas disponible, et dont la juste valeur ne peut être établie de manière fiable, sont maintenus à leur prix de revient, qui comprend le coût de transaction après déduction d'éventuelles pertes de valeurs. Les gains ou pertes causés par la variation de la juste valeur des actifs disponibles à la vente sont comptabilisés directement dans les capitaux propres. Lorsque les actifs en question sont vendus, encaissés ou transférés, les gains ou pertes qui avaient été constatés dans les capitaux propres sont enregistrés au compte de résultat.
La juste valeur des actifs financiers qui sont traités sur un marché actif est déterminée par référence au cours acheteur à la date d'évaluation. Si un marché actif n'est pas disponible, la juste valeur est estimée par l'application d'une technique de valorisation appropriée. De telles techniques comprennent l'utilisation de transactions récentes, de la juste valeur actuelle d'un autre instrument identique en substance, l'analyse des flux de trésorerie actualisés ou les modèles de valorisation des options.
Certaines sociétés du Groupe exercent une activité de teneur de comptes au cours de laquelle elles reçoivent des dépôts de la part de leur clientèle, qu'elles déposent à leur tour auprès d'organismes de compensation afin d'assurer la bonne fin des opérations menées par leur clientèle. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de courtage en ligne sur opérations de change, certaines sociétés du Groupe reçoivent des dépôts de la part de leurs clients, qu'elles déposent à leur tour auprès de leurs banques compensatrices. Les créances et dettes liées à cette activité sont présentées au bilan à l'actif dans la rubrique « Clients et autres créances » et au passif dans la rubrique « Fournisseurs et autres créanciers ».
Certaines sociétés du Groupe agissent à titre de principal dans l'achat et la vente simultanés de titres pour le compte de tiers. Ces transactions sont débouclées lorsque les deux opérations de la transaction sont réglées ; le règlement effectué d'une part et la livraison des titres d'autre part (délai technique de règlement – livraison).
Afin de refléter la substance de ces transactions, ces dernières sont constatées à la date de livraison. Les montants à recevoir et à payer aux contreparties découlant des transactions en cours de livraison ayant dépassé le délai de livraison prévu sont présentés au bilan en valeur brute à l'actif dans la rubrique « Clients et autres créances » et au passif dans la rubrique « Fournisseurs et autres créanciers ». Les montants à recevoir et à payer aux contreparties pour les transactions dont la livraison est prévue dans le cadre normal des affaires sont présentés en note 28.
A chaque date de clôture, le Groupe apprécie s'il existe une indication objective de dépréciation d'un actif financier ou d'un groupe d'actifs financiers.
S'il existe des indications objectives d'une perte de valeur sur les prêts et créances ou sur des placements détenus jusqu'à l'échéance comptabilisés au coût amorti, le montant de la perte est égal à la différence entre la valeur comptable de l'actif et la valeur des flux de trésorerie futurs estimés actualisée au taux d'intérêt effectif calculé lors de la comptabilisation initiale. La valeur comptable de l'actif est réduite via l'utilisation d'un compte de correction de valeur. Le montant de la perte est comptabilisé au compte de résultat.
Si le montant de la perte de valeur diminue au cours d'une période ultérieure, et si cette diminution peut être objectivement liée à un évènement survenant après la comptabilisation de la dépréciation, la perte de valeur comptabilisée précédemment est reprise par l'ajustement d'un compte de correction de valeur. Le montant de la reprise est limité à la valeur du coût amorti de l'actif à la date de la reprise. Le montant de la reprise est comptabilisé au compte de résultat.
Les actifs financiers disponibles à la vente font l'objet d'une étude individuelle afin de déterminer la survenance éventuelle d'indicateurs d'une dépréciation durable.
Pour les instruments à revenu variable côtés, le Groupe considère les situations lors d'une baisse significative de leur cours en deçà de leur valeur d'acquisition ou lors d'une moins-value latente prolongée. Ces indicateurs amènent à une analyse fondée sur trois critères, le premier considérant comme significative une baisse du cours de plus de 50 % par rapport au prix d'acquisition des titres (net de tout remboursement en principal et de tout amortissement), le second fondé sur l'observation d'un cours inférieur au prix d'acquisition pendant une période continue d'au moins 24 mois avant la date de clôture, le troisième fondé sur d'autres facteurs comme la situation financière de l'émetteur ainsi que ses perspectives d'évolution.
Pour les investissements de capitaux propres, une baisse significative ou prolongée de la juste valeur de l'instrument en dessous de son coût d'acquisition est considérée comme une indication objective d'une perte de valeur.
Le Groupe considère que ces critères sont en mesure de refléter un phénomène durable de dépréciation tout en prenant en considération la volatilité inhérente aux marchés financiers ainsi que les variations cycliques de certains instruments de capitaux propres.
Le Groupe applique les mêmes critères aux instruments à revenu variable non côtés, la dépréciation éventuelle étant alors déterminée sur la base d'une valeur de modèle.
Pour les titres à revenu fixe, les critères de dépréciation appliqués par le Groupe sont similaires à ceux qui s'appliquent aux prêts et créances au niveau individuel, en prenant comme base le dernier cours coté lorsque ces titres bénéficient d'un marché actif, et d'une valeur de modèle dans le cas contraire.
Lorsqu'une dépréciation d'actif financier disponible à la vente a été comptabilisée dans les capitaux propres et que l'analyse conduite selon les critères présentés plus haut conclut à une dépréciation durable de cet actif, la totalité de la perte latente cumulée est constatée dans le compte de résultat, y compris la part précédemment constatée dans les capitaux propres, déduction faite de toute perte de valeur afférente à cet actif préalablement comptabilisée au compte de résultat. Cette dépréciation ne peut être reprise en compte de résultat que lors de la cession du titre concerné ; en outre, toute dépréciation ultérieure constitue une dépréciation reconnue dans le compte de résultat.
Les reprises de pertes de valeur sur les instruments d'emprunt classés comme disponibles à la vente sont comptabilisées en résultat si l'augmentation de la juste valeur est objectivement reliée à un événement survenant après la comptabilisation en résultat de la perte de valeur.
Le Groupe utilise de façon ponctuelle des instruments financiers dérivés principalement pour gérer les risques de change auxquels il est confronté dans le cadre de ses opérations. Ces instruments financiers dérivés consistent principalement en des contrats de change à terme et options sur devises.
Les instruments financiers sont initialement constatés à leur coût d'acquisition. Par la suite, tous les instruments financiers dérivés sont valorisés à leur juste valeur, soit la valeur de marché pour les instruments cotés en bourse soit une estimation selon des modèles de valorisation couramment utilisés pour les instruments non cotés. Les variations de juste valeur des instruments financiers dérivés qui ne sont pas qualifiés d'instruments de couverture sont comptabilisées au compte de résultat.
Afin de réduire le risque de taux d'intérêt, le Groupe utilise de manière ponctuelle des swaps de taux d'intérêts pour convertir certaines dettes bancaires à taux variables en dettes à taux fixe. Le Groupe les désigne comme des couvertures de risque de taux d'intérêts sur flux de trésorerie. Au début de la transaction, le Groupe documente la relation entre les instruments de couverture et les positions couvertes ainsi que l'objectif et la stratégie de gestion du risque qui ont conduit à ces opérations de couverture. En particulier, la documentation inclut l'identification de l'instrument de couverture, la position couverte, la nature du risque couvert et la manière dont le Groupe évaluera l'efficacité de l'instrument de couverture. De telles opérations de couverture sont présumées être hautement efficaces pour couvrir les variations de flux de trésorerie et le Groupe les évalue à intervalles réguliers afin de mesurer leur efficacité réelle durant la période de couverture.
La part efficace des gains ou pertes sur les instruments de couverture désignés et qualifiés comme tel est comptabilisée dans les capitaux propres tandis que la part inefficace est comptabilisée immédiatement au compte de résultat.
Les montants accumulés dans les capitaux propres sont transférés dans le compte de résultat de la ou des période(s) au cours desquelles la transaction prévue couverte affecte le compte de résultat.
Les autres actifs courants comprennent principalement les charges payées d'avance imputables au prochain exercice.
La trésorerie se compose de la caisse et des dépôts bancaires à vue alors que les équivalents de trésorerie regroupent les dépôts bancaires à court terme et les placements monétaires à court terme dont l'échéance, à partir de la date d'acquisition, est égale ou inférieure à trois mois. Les placements monétaires à court terme sont constitués d'instruments de trésorerie négociables à court terme tels que les titres d'Etat ou des fonds d'investissement monétaires. Ceux-ci sont valorisés à leur juste valeur. Les gains et les pertes sur ces titres, réalisés et non réalisés, sont comptabilisés directement au compte de résultat. Les découverts bancaires sont présentés avec les dettes bancaires à court terme.
Les découverts bancaires remboursables sur demande sont inclus dans la trésorerie et équivalents de trésorerie dans le cadre du tableau des flux de trésorerie.
Les actifs ou les groupes d'actifs à céder sont présentés comme détenus en vue de la vente lorsque leur valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d'une transaction de vente plutôt que par l'utilisation continue. Cette condition est considérée comme remplie uniquement lorsque la cession est très probable et que les actifs ou les groupes d'actifs à céder sont disponibles en vue de la vente immédiate dans leur état actuel. La Direction doit s'être engagée à la vente, ce qui doit permettre de comptabiliser la finalisation de la cession dans l'année suivant la date de classification des actifs dans cette catégorie.
Les actifs ou les groupes d'actifs détenus en vue de la vente sont évalués à la valeur la plus basse entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de cession.
Une perte de valeur est comptabilisée sur les actifs ou les groupes d'actifs détenus en vue de la vente tout d'abord en réduction de la valeur comptable de tout écart d'acquisition existant et ensuite, aux autres actifs au prorata de la valeur comptable de chaque actif.
Toutes les actions émises sont des actions au porteur et sont présentées dans les capitaux propres.
Les actions propres sont enregistrées au bilan à leur valeur d'acquisition et portées en diminution des capitaux propres consolidés. Lors de cessions ultérieures, la plus ou moins-value n'a pas d'effet sur le résultat mais est enregistrée comme apport ou réduction aux réserves provenant de primes d'émission.
Les dettes financières à court et à long terme portant intérêts sont incluses dans cette catégorie et sont initialement constatées à leur juste valeur diminuée des coûts de transactions associés. Par la suite, les dettes financières à court et à long terme sont valorisées au coût amorti en utilisant la méthode du taux d'intérêt effectif où toute différence entre ce montant et le montant à l'échéance est constatée dans le compte de résultat en fonction de la durée de la dette. Les dettes financières à court terme sont exigibles ou renouvelables dans un délai d'un an maximum.
Cette catégorie comprend les fournisseurs et autres créanciers qui sont exigibles dans un délai d'un an maximum. Les fournisseurs et autres créanciers sont initialement constatés à leur juste valeur et sont ensuite évalués au coût amorti en utilisant la méthode du taux d'intérêt effectif.
Il s'agit des passifs financiers détenus à des fins de transaction et des passifs financiers désignés à la juste valeur par le résultat lors de leur comptabilisation initiale. Ces passifs sont évalués à la juste valeur et les écarts de réévaluation sont enregistrés dans le résultat de la période. Les instruments financiers dérivés font partie de cette catégorie à moins qu'ils soient des instruments de couverture désignés et efficaces.
La juste valeur des passifs financiers qui sont traités sur un marché actif est déterminée par référence au cours vendeur à la date d'évaluation. Si un marché actif n'est pas disponible, la juste valeur est estimée par l'application d'une technique de valorisation appropriée. De telles techniques comprennent l'utilisation de transactions récentes, de la juste valeur actuelle d'un autre instrument identique en substance, l'analyse des flux de trésorerie actualisés ou les modèles de valorisation des options.
Une provision est constatée lorsque le Groupe a une obligation juridique ou implicite résultant d'événements passés au titre de laquelle il est probable qu'une sortie de ressources représentatives d'avantages économiques sera nécessaire pour éteindre l'obligation, et que le montant de l'obligation peut être estimé de manière fiable. Lorsque l'effet de la valeur temps de l'argent est significatif, le montant de la provision correspond à la valeur actualisée des dépenses attendues que l'on pense nécessaires pour éteindre l'obligation, estimée en utilisant un taux d'actualisation avant impôts reflétant les appréciations actuelles par le marché de la valeur temps de l'argent et des risques spécifiques à ce passif.
Les produits différés comprennent les produits encaissés d'avance afférents aux prochains exercices.
Selon les pays où le Groupe est implanté et en fonction des réglementations en vigueur localement en matière de prestations de retraite, il a été mis en place des régimes de retraite à cotisations ou à prestations définies.
Les régimes à cotisations définies donnent lieu à des versements par les employés et par les sociétés du Groupe auprès d'organismes habilités à gérer de tels fonds de retraite. Les versements par des sociétés du Groupe sont constatés dans le compte de résultat dans l'exercice au cours duquel ils sont exigibles.
Les obligations du Groupe liées aux régimes à prestations définies sont évaluées chaque année, en valeur actuarielle, par des experts indépendants selon la méthode des unités de crédit projetées. Les hypothèses actuarielles utilisées pour déterminer les engagements varient selon le pays dans lequel le régime est situé.
Les écarts actuariels résultent principalement des modifications des hypothèses à long terme (taux d'actualisation, taux d'augmentation des salaires, etc.) et de la différence entre les hypothèses prises et l'évolution réelle des régimes. Ceux-ci sont enregistrés intégralement dans les autres éléments du résultat global.
La charge des prestations comptabilisée au compte de résultat comprend le coût des services rendus au cours de l'exercice ainsi que les intérêts nets sur les engagements des régimes à prestations définies.
Les autres engagements de retraite, tels que les indemnités de départs, font également l'objet d'une évaluation actuarielle selon la méthode des unités de crédit projetées et sont intégralement provisionnés.
Des options de souscription d'actions sont octroyées aux membres de la Direction Générale ainsi qu'à des collaborateurs du Groupe, leur conférant ainsi le droit de recevoir des actions au terme de la période d'acquisition des droits. L'octroi et les conditions de participation des collaborateurs sont définis par le Conseil d'administration. Lors de l'exercice de leurs options de souscriptions, de nouvelles actions sont créées par l'utilisation du capital conditionnel (cf. note 19).
La juste valeur des options de souscription consenties est reconnue en tant que charge de personnel avec, en contrepartie, une augmentation des capitaux propres. La juste valeur est déterminée à la date d'attribution des options de souscription et amortie sur la période d'acquisition des droits. La juste valeur des options de souscriptions octroyées est déterminée par un expert indépendant en recourant au modèle de valorisation binomial et en prenant en compte les caractéristiques et conditions générales d'acquisition des droits prévalant à cette date.
A chaque date de clôture, le Groupe révise ses estimations du nombre d'options sur actions qui seront exercées dans un futur proche. L'impact de cette révision est comptabilisé au compte de résultat avec un ajustement correspondant dans les capitaux propres.
Lors de l'exercice d'options de souscription, la valeur des instruments est transférée de la réserve pour options de souscription d'actions au compte de prime d'émission.
Les actifs et passifs éventuels résultant d'événements passés et dont l'existence ne sera confirmée que par la survenance, ou non, d'un ou plusieurs événements futurs incertains qui ne sont pas totalement sous le contrôle du Groupe sont présentés en note annexe aux états financiers.
Les événements postérieurs à la date de clôture sont les événements qui se produisent entre la date de clôture et la date d'approbation des comptes consolidés.
La valeur des actifs et passifs à la date du bilan est ajustée afin de refléter les événements postérieurs à la date de clôture qui contribuent à confirmer des situations qui existaient à la date de clôture. Les événements postérieurs à la date de clôture qui indiquent des situations apparues postérieurement à la date de clôture sont présentés en note aux comptes consolidés lorsque significatifs.
Le Conseil des standards comptables internationaux (IASB) a publié certaines normes et amendements de norme qui n'ont pas tous été adoptés par l'Union Européenne au 31 décembre 2014 et dont la date d'entrée en vigueur pour le Groupe est postérieure à la date des comptes consolidés. Ceux-ci n'ont donc pas été appliqués par anticipation pour la préparation des comptes consolidés au 31 décembre 2014.
| Normes ou interprétations | Nom | Dates d'adoption par l'Union Européenne |
Date d'entrée en vigueur |
|---|---|---|---|
| IFRIC 21 | Taxes | 13 juin 2014 | 1 er janvier 2015 |
| IAS19R (amendements) | Régimes à prestations définies : cotisations des membres du personnel |
17 décembre 2014 | er février 2015 1 |
| Améliorations annuelles (2010 - 2012) des IFRS |
Améliorations annuelles (2010-2012) des IFRS | 17 décembre 2014 | 1 er février 2015 |
| Norme | Nom | Date d'entrée en vigueur |
|---|---|---|
| IFRS 9 | Instruments financiers | er janvier 2018 1 |
| IFRS 11 (amendements) | Comptabilisation des acquisitions d'intérêts dans une entreprise commune | er janvier 2016 1 |
| IFRS 14 | Comptes de report réglementaires | er janvier 2016 1 |
| IFRS 15 | Produits des activités ordinaires tirés des contrats conclus avec des clients | 1 er janvier 2017 |
| IAS 16 et IAS 38 (amendements) | Clarification sur les modes d'amortissement acceptables | 1 er janvier 2016 |
| IAS 16 et IAS 41 (amendements) | Agriculture : plantes productrices | er janvier 2016 1 |
| IFRS 10 et IAS 28 (amendements) | Ventes ou apports d'actifs réalisés entre le Groupe et les entités mises en équivalence |
er janvier 2016 1 |
| IAS 27 (amendement) | Utilisation de la méthode de la mise en équivalence dans les états financiers individuels |
1 er janvier 2016 |
| Améliorations annuelles (2012-2014) des IFRS |
Améliorations annuelles (2012-2014) des IFRS | er janvier 2016 1 |
| IFRS 10, 12 et IAS 28 (amendements) | Entités d'investissement | 1 er janvier 2016 |
| IAS 1 (amendements) | Présentation des états financiers | 1 er janvier 2016 |
Le Groupe prévoit que l'adoption de ces normes et amendements n'aura pas d'impact significatif sur les comptes consolidés du Groupe lors de la première application.
L'adoption de la norme IFRS 9 entraînera une modification de la présentation des instruments financiers sans impact significatif sur leur évaluation.
La structure d'organisation interne et de gestion de VIEL & Cie, et son système d'information financière permettant l'élaboration des rapports à l'attention de la Direction Générale et du Conseil d'administration, sont fondés sur une approche métier en premier lieu, déclinée pour chaque pôle d'activité du Groupe.
Les trois segments d'activité retenus par VIEL & Cie pour son information de gestion, qui présentent des profils de risques et de rentabilité globalement homogènes, sont l'intermédiation professionnelle autour de la participation dans Compagnie Financière Tradition, la bourse en ligne avec Bourse Direct, et la banque privée au travers de SwissLife Banque Privée.
Au niveau secondaire, les activités du Groupe sont regroupées par zones géographiques : l'Europe, les Amériques et la zone Asie-Pacifique. Les activités menées par le Groupe en Afrique et en Amérique latine ont été regroupées respectivement au sein des zones Europe et Etats-Unis, dans la mesure où elles sont supervisées opérationnellement par les responsables de ces zones et ne représentent pas, individuellement, un poids significatif (moins de 2 % des revenus du Groupe).
L'approche géographique retenue repose sur la localisation des bureaux, et ainsi des équipes opérationnelles, et non sur la localisation géographique des clients, la rentabilité d'une activité d'intermédiation étant fondée avant tout sur les caractéristiques d'un marché local, notamment en termes de pression concurrentielle ou de niveau des rémunérations et autres dépenses opérationnelles. La répartition des revenus consolidés par destination -localisation géographique de ses clients- n'est toutefois pas sensiblement différente de la répartition par implantation géographique.
Les actifs sectoriels ne sont pas inclus dans les rapports de gestion à l'attention de la Direction Générale mais sont néanmoins présentés ci-dessous.
Les produits, charges d'exploitation et actifs sectoriels sont alloués intégralement aux pôles sectoriels, à l'exception de quelques éléments de résultat ou d'actifs et de passifs afférents exclusivement au fonctionnement des sociétés « holdings » du Groupe et présentés distinctement à titre d'éléments non alloués.
Les principes comptables appliqués pour évaluer le résultat d'exploitation sectoriel sont identiques à ceux appliqués aux comptes consolidés.
| En 2014 En milliers d'euros |
Intermédiation professionnelle |
Bourse en ligne |
Banque Privée |
Immobilier et autres activités |
Total | Contribution des holdings |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 689 472 | 37 508 | - | - | 726 980 | - | 726 980 |
| Charges d'exploitation(1) | -655 593 | -32 364 | - | 202 | -687 755 | - | -687 755 |
| Résultat d'exploitation sectoriel | 33 879 | 5 144 | - | 202 | 39 225 | - | 39 225 |
| Produits/ Charges non alloués(2) | - | - | - | - | - | -2 056 | -2 056 |
| Résultat d'exploitation | 33 879 | 5 144 | - | 202 | 39 225 | -2 056 | 37 169 |
| Résultat des participations mise en équivalence |
10 072 | - | 2 528 | - | 12 600 | -403 | 12 197 |
| Résultat financier | -4 058 | -107 | - | -23 | -4 188 | -349 | -4 537 |
| Résultat avant impôt | 39 893 | 5 037 | 2 528 | 179 | 47 637 | -2 808 | 44 829 |
| Impôt sur les bénéfices | -10 577 | -1 791 | - | - | -12 368 | -294 | -12 662 |
| Résultat net | 29 316 | 3 246 | 2 528 | 179 | 35 269 | -3 102 | 32 167 |
(1) Charges nettes des autres produits d'exploitation et incluant les amortissements.
(2) Produits/Charges nets afférents aux holdings du Groupe.
| En 2013 retraité En milliers d'euros |
Intermédiation professionnelle |
Bourse en ligne |
Banque Privée |
Immobilier et autres activités |
Total | Contribution des holdings |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 710 355 | 34 290 | - | - | 744 645 | - | 744 645 |
| Charges d'exploitation(1) | -684 395 | -28 769 | - | -147 | -713 311 | - | -713 311 |
| Résultat d'exploitation sectoriel | 25 960 | 5 521 | - | -147 | 31 334 | - | 31 334 |
| Produits/ Charges non alloués(2) | - | - | - | - | - | -4 257 | -4 257 |
| Résultat d'exploitation | 25 960 | 5 521 | - | -147 | 31 334 | -4 257 | 27 077 |
| Résultat des participations mise en équivalence |
6 777 | - | 1 522 | - | 8 299 | -837 | 7 462 |
| Résultat financier | -5 084 | -385 | - | - | -5 469 | -2 213 | -7 682 |
| Résultat avant impôt | 27 653 | 5 136 | 1 522 | -147 | 34 164 | -7 307 | 26 857 |
| Impôt sur les bénéfices | -9 738 | -1 696 | - | - | -11 434 | - | -11 434 |
| Résultat net | 17 915 | 3 440 | 1 522 | -147 | 22 730 | -7 307 | 15 423 |
(1) Charges nettes des autres produits d'exploitation et incluant les amortissements.
(2) Produits/Charges nets afférents aux holdings du Groupe.
Les actifs sectoriels se répartissent de la sorte :
| En 2014 En milliers d'euros |
Intermédiation professionnelle |
Bourse en ligne |
Banque Privée |
Immobilier et autres activités |
Total | Contribution des holdings |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Actifs sectoriels | 714 039 | 606 685 | - | 5 540 | 1 326 264 | - | 1 326 264 |
| Participations dans sociétés associées |
100 385 | - | 37 275 | - | 137 660 | 1 366 | 139 026 |
| Actifs non alloués(3) | - | - | - | - | - | 59 741 | 59 741 |
| 814 424 | 606 685 | 37 275 | 5 540 | 1 463 924 | 61 107 | 1 525 031 |
(3) Actifs afférents aux holdings du Groupe.
| En 2013 retraité En milliers d'euros |
Intermédiation professionnelle |
Bourse en ligne |
Banque Privée |
Immobilier et autres activités |
Total | Contribution des holdings |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Actifs sectoriels | 637 840 | 583 910 | - | 5 852 | 1 227 602 | - | 1 227 602 |
| Participations dans sociétés associées |
107 293 | - | 34 747 | - | 142 040 | 1 737 | 143 777 |
| Actifs non alloués(3) | - | - | - | - | - | 60 856 | 60 856 |
| 745 133 | 583 910 | 34 747 | 5 852 | 1 369 642 | 62 593 | 1 432 235 |
(3) Actifs afférents aux holdings du Groupe.
| En 2014 | Activités poursuivies | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Europe | Amérique | Asie-Pacifique | Total | ||
| Chiffre d'affaires | 353 999 | 211 644 | 161 337 | 726 980 | ||
| Actifs non courants | 111 471 | 14 404 | 3 581 | 129 456 | ||
| Activités poursuivies | ||||||
| En 2013 retraité En milliers d'euros |
Europe | Amérique | Asie-Pacifique | Total | ||
| Chiffre d'affaires | 350 233 | 217 637 | 176 775 | 744 645 |
La zone Europe est principalement constituée des activités du Groupe à Londres. Aux Etats-Unis, les activités sont essentiellement développées à partir de New York et en Asie à partir de Tokyo.
Les actifs non courants comprennent uniquement les immobilisations corporelles et incorporelles.
Aucun client ne représente plus de 10 % du chiffre d'affaires pour les exercices 2013 et 2014.
Cette rubrique se décompose comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Plus- / Moins-values sur cession d'actifs immobilisés | 355 | 26 |
| Autres produits d'exploitation | 3 155 | 2 835 |
| TOTAL | 3 510 | 2 861 |
Cette rubrique se décompose comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Charges de télécommunication et d'information financière | 51 958 | 55 694 |
| Charges de voyages et de représentation | 27 050 | 31 469 |
| Honoraires professionnels | 25 524 | 22 093 |
| Charges de location immobilière | 24 291 | 24 707 |
| Autres charges d'exploitation | 37 545 | 37 018 |
| TOTAL | 166 368 | 170 981 |
Cette rubrique se décompose comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Produits d'intérêts | 1 456 | 2 062 |
| Produits des titres de participation | 443 | 528 |
| Plus-values sur actifs financiers évalués à la juste valeur | 197 | 92 |
| Gains de change | 5 116 | 1 164 |
| Autres produits financiers | 47 | 142 |
| Produits financiers | 7 259 | 3 988 |
| Charges d'intérêts | -6 958 | -6 148 |
| Moins-values sur actifs financiers évalués à la juste valeur | -51 | -167 |
| Pertes de change | -4 177 | -4 273 |
| Charges financières sur contrats location financement | - | -3 |
| Variation nette de la juste valeur des actifs disponibles à la vente transférée des capitaux propres | - | - |
| Variation nette de la juste valeur des instruments de couverture des flux de trésorerie transférée des capitaux propres |
-280 | -1 007 |
| Autres charges financières | -330 | -72 |
| Charges financières | -11 796 | -11 670 |
| Résultat financier net | -4 537 | -7 682 |
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Charge d'impôts courants | 9 690 | 12 284 |
| Charges / (Produits) d'impôts différés | 2 972 | -850 |
| Impôts sur le bénéfice | 12 662 | 11 434 |
L'écart entre le taux d'imposition effectif et le taux d'imposition normatif de VIEL & Cie peut s'analyser comme suit :
| 2014 | 2013 retraité | |||
|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | % | En milliers d'euros |
% | En milliers d'euros |
| Résultat avant impôts | 44 829 | 26 857 | ||
| Ajustement de la quote-part des sociétés associées et coentreprises |
-12 197 | -7 462 | ||
| Résultat avant impôts et quote-part dans le résultat des sociétés associées et coentreprises |
32 632 | 19 395 | ||
| Taux d'imposition normatif | 22,73 % | 7 416 | 18,96 % | 3 677 |
| Effet fiscal des éléments suivants : | ||||
| Consommation de reports déficitaires non valorisés | -0,65 % | -212 | -2,20 % | -427 |
| Déficits de l'exercice non valorisés | 14,65 % | 4 782 | 32,80 % | 6 361 |
| Charge d'impôt des minoritaires pour les sociétés fiscalement transparentes et intégrées globalement |
-2,48 % | -809 | -7,59 % | -1 472 |
| Effet fiscal des produits non imposables | -4,99 % | -1 629 | -2,06 % | -400 |
| Effet fiscal des charges non déductibles | 16,00 % | 5 222 | 23,75 % | 4 606 |
| Pertes fiscales non comptabilisées précédemment | -7,22 % | -2 355 | - | - |
| Variation du taux d'impôt | 0,55 % | 180 | 0,67 % | 130 |
| Impôts concernant les exercices antérieurs | -7,05 % | -2 299 | -10,94 % | -2 122 |
| Divers | 7,25 % | 2 366 | 5,57 % | 1 081 |
| Taux d'imposition effectif du Groupe | 38,80 % | 12 662 | 58,95 % | 11 434 |
La rubrique « Charges non déductibles » comprend essentiellement des frais de représentation considérés comme non déductibles fiscalement dans certains pays.
Le taux moyen d'imposition consolidé normatif de VIEL & Cie est calculé comme la moyenne pondérée des taux d'imposition en vigueur dans les différentes juridictions fiscales où ses filiales sont présentes.
Celui-ci varie d'un exercice à l'autre en fonction du poids relatif de chaque entité individuelle dans le résultat avant impôts du Groupe, ainsi que des changements de taux d'imposition des filiales opérationnelles.
Des impôts différés ont été comptabilisés sur les autres éléments du résultat global comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Ecarts actuariels des régimes à prestations définies | -58 | 389 |
| Couverture de flux de trésorerie | 388 | 128 |
| Actifs financiers disponible à la vente | 192 | 586 |
| Total charges / (produits) d'impôts différés | 522 | 1 103 |
Les impôts différés ont évolué comme suit :
| En milliers d'euros | 31.12.2013 retraité |
Enregistrés au compte de résultat |
Enregistrés dans les autres éléments du résultat global |
Reclassements | Ecarts de conversion |
31.12.2014 |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Impôts différés actifs | ||||||
| Immobilisations corporelles | 1 468 | 138 | - | - | 97 | 1 703 |
| Immobilisations incorporelles | 70 | 132 | - | - | 16 | 218 |
| Provisions et charges à payer | 12 980 | -1 836 | 58 | - | 1 108 | 12 310 |
| Reports fiscaux déficitaires | 5 836 | 2 146 | - | - | 597 | 8 579 |
| Autres | 2 076 | 588 | -580 | - | 172 | 2 256 |
| Total | 22 430 | 1 168 | -522 | - | 1 990 | 25 066 |
| Impôts différés passifs | ||||||
| Immobilisations corporelles | 81 | -854 | - | - | 1 784 | 1 011 |
| Immobilisations incorporelles | 1 119 | -553 | - | - | 1 266 | 1 832 |
| Autres | 428 | -2 763 | - | - | 5 789 | 3 454 |
| Total | 1 628 | -4 170 | - | - | 8 839 | 6 297 |
| Total impôts différés nets | 20 802 | 5 338 | -522 | - | -6 849 | 18 769 |
| Présenté au bilan comme suit : | ||||||
| Impôts différés actifs | 21 322 | 21 460 | ||||
| Impôts différés passifs | 520 | 2 691 | ||||
| Net | 20 802 | 18 769 | ||||
| En milliers d'euros | 31.12.2012 retraité |
Enregistrés au compte de résultat |
Enregistrés dans les autres éléments du résultat global |
Reclassements | Ecarts de conversion |
31.12.2013 retraité |
| Impôts différés actifs | ||||||
| Immobilisations corporelles | 1 739 | -175 | - | - | -96 | 1 468 |
| Immobilisations incorporelles | 1 491 | -137 | - | - | -1 284 | 70 |
| Provisions et charges à payer | 13 729 | 161 | - | - | -910 | 12 980 |
| Reports fiscaux déficitaires | 4 880 | 571 | -389 | - | 774 | 5 836 |
| Autres | 3 919 | -76 | -1 779 | - | 12 | 2 076 |
| Total | 25 758 | 345 | -2 168 | - | -1 505 | 22 430 |
| Impôts différés passifs | ||||||
| Immobilisations corporelles | 94 | -6 | - | - | -7 | 81 |
| Immobilisations incorporelles | 1 710 | -538 | - | - | -53 | 1 119 |
| Autres | 1 350 | 36 | -1 065 | - | 107 | 428 |
| Total | 3 154 | -507 | -1 065 | - | 47 | 1 628 |
| Total impôts différés nets | 22 604 | 852 | -1 103 | - | -1 551 | 20 802 |
| Présenté au bilan comme suit : | ||||||
| Impôts différés actifs | 22 964 | 21 322 | ||||
| Impôts différés passifs | 360 | 520 |
Les pertes fiscales donnent lieu à la reconnaissance d'un impôt différé actif lorsque, sur la durée des prévisions d'activité, il est probable de les utiliser grâce à l'existence de profits futurs ; l'horizon de recouvrement peut ainsi varier mais il est en général inférieur à cinq ans. Les pertes fiscales pour lesquelles aucun impôt différé actif n'est comptabilisé expirent comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| A moins d'un an | ||
| Entre un et cinq ans | 9 340 | 7 426 |
| Supérieur à cinq ans | 14 088 | 16 474 |
| Durée illimitée | 44 910 | 38 395 |
| Total | 68 337 | 62 295 |
Les pertes fiscales à durée illimitée incluent un montant de € 2 605 000 (2013 : € 2 568 000) qui peut être utilisé uniquement à l'encontre de gains en capitaux.
Le résultat de base par action est obtenu en divisant le résultat net - part du Groupe par le nombre moyen pondéré d'actions en circulation au cours de l'exercice, déduction faite du nombre moyen des actions propres détenues par le Groupe. Le résultat dilué par action résulte de la division entre, au numérateur, le résultat net - part du Groupe corrigé des éléments liés à l'exercice des instruments dilutifs et, au dénominateur, le nombre moyen pondéré d'actions en circulation au cours de l'exercice augmenté du nombre moyen pondéré d'actions qui seraient créées dans le cadre de l'exercice des instruments dilutifs, déduction faite des actions propres.
Les éléments de calcul retenus pour la détermination du résultat par action de VIEL & Cie sont détaillés ci-après :
| Résultat de base | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Résultat net - part du Groupe (en milliers d'euros) | 21 310 | 5 881 |
| Nombre moyen pondéré d'actions en circulation | 77 136 740 | 77 132 411 |
| Nombre moyen d'actions autodétenues | 7 096 996 | 7 096 996 |
| Résultat de base par action (en euro) | 0,30 | 0,08 |
| Résultat dilué | 2014 | 2013 retraité |
| Résultat net - part du Groupe (en milliers d'euros) | 21 310 | 5 881 |
| Nombre moyen pondéré d'actions en circulation | 77 136 740 | 77 132 411 |
| Ajustement pour effet dilutif des options sur actions | 375 000 | 375 000 |
| Nombre moyen d'actions autodétenues | 7 096 996 | 7 096 996 |
| Nombre moyen pondéré d'actions retenu pour le résultat dilué par action | 70 414 744 | 70 410 415 |
| Résultat dilué par action (en euro) | 0,30 | 0,08 |
| Au 31 décembre 2014 En milliers d'euros |
Terrains et construction |
Agencements et installations |
Informatique et téléphonie |
Autres immos corporelles |
Total |
|---|---|---|---|---|---|
| Valeur brute au 1er janvier 2014 | - | 35 692 | 48 587 | 2 145 | 86 424 |
| Variation de taux d'intérêts | - | 17 | 42 | 57 | 116 |
| Acquisitions de l'exercice | - | 552 | 3 766 | 89 | 4 407 |
| Cessions - mises au rebut | - | -412 | -2 060 | -344 | -2 816 |
| Reclassement | - | -57 | -21 | -16 | -94 |
| Ecarts de conversion | - | 2 108 | 2 530 | 64 | 4 702 |
| Valeur brute au 31 décembre 2014 | - | 37 900 | 52 844 | 1 995 | 92 739 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 1er janvier 2014 |
- | -26 764 | -40 669 | -755 | -68 188 |
| Variation de taux d'intérêts | - | - | - | - | - |
| Amortissements de l'exercice | - | -2 817 | -4 458 | -257 | -7 532 |
| Perte de valeur de l'exercice | - | -16 | - | - | -16 |
| Cessions - mises au rebut | - | 352 | 2 218 | 196 | 2 766 |
| Reclassement | - | 49 | 148 | 16 | 213 |
| Ecarts de conversion | - | -1 536 | -2 042 | -30 | -3 608 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 31 décembre 2014 |
- | -30 732 | -44 803 | -830 | -76 365 |
| Valeur nette au 31 décembre 2014 | - | 7 168 | 8 041 | 1 165 | 16 374 |
| Dont actifs sous contrat de location-financement | - | - | 326 | - | 326 |
| Au 31 décembre 2013 retraité En milliers d'euros |
Terrains et construction |
Agencements et installations |
Informatique et téléphonie |
Autres immos corporelles |
Total |
|---|---|---|---|---|---|
| Valeur brute au 1er janvier 2013 | - | 36 819 | 46 936 | 2 470 | 86 225 |
| Variation de taux d'intérêts | - | - | - | - | - |
| Acquisitions de l'exercice | - | 358 | 2 681 | 195 | 3 234 |
| Cessions - mises au rebut | - | -404 | -113 | -380 | -897 |
| Reclassement | - | 107 | 667 | -16 | 758 |
| Ecarts de conversion | - | -1 188 | -1 584 | -124 | -2 896 |
| Valeur brute au 31 décembre 2013 | - | 35 692 | 48 587 | 2 145 | 86 424 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 1er janvier 2013 |
- | -24 832 | -37 697 | -990 | -63 519 |
| Variation de taux d'intérêts | - | - | - | - | - |
| Amortissements de l'exercice | - | -3 025 | -4 024 | -201 | -7 250 |
| Perte de valeur de l'exercice | - | - | - | - | - |
| Cessions - mises au rebut | - | 400 | 113 | 372 | 885 |
| Reclassement | - | -107 | -305 | - | -412 |
| Ecarts de conversion | - | 800 | 1 244 | 64 | 2 108 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 31 décembre 2013 |
- | -26 764 | -40 669 | -755 | -68 188 |
| Valeur nette au 31 décembre 2013 | - | 8 928 | 7 918 | 1 390 | 18 236 |
| Dont actifs sous contrat de location-financement | - | - | 309 | 5 | 314 |
Le montant des dotations aux amortissements des immobilisations corporelles d'un montant de € 7 532 000 (2013 : € 7 250 000) est enregistré dans le poste des dotations aux amortissements au compte de résultat.
Une filiale de VIEL & Cie détient un ensemble de biens immobiliers pour un investissement initial total de € 6 289 000. Ces actifs sont comptabilisés au coût amorti selon la norme IAS 40, et ont connu les variations suivantes au cours de l'exercice 2014 :
| Au 31 décembre 2013 | 5 730 |
|---|---|
| Acquisition | - |
| Cession | -777 |
| Amortissement | -137 |
| Ecarts de conversion | 692 |
| Au 31 décembre 2014 | 5 508 |
Au 31 décembre 2014, l'amortissement cumulé de ces actifs est de € 1 015 000.
Les produits locatifs perçus en 2014 s'élèvent à € 301 900 contre € 542 040 de charges opérationnelles directes.
Au cours de l'exercice 2014, un des biens a été cédé ; par ailleurs parmi les € 5 508 000 d'actifs enregistrés en immeubles de placement au 31 décembre 2014, un ensemble de biens immobiliers a fait l'objet d'un compromis de vente fin 2014 et la réalisation de la vente est intervenue en 2015.
| Au 31 décembre 2014 En milliers d'euros |
Fonds de commerce |
Logiciels | Ecarts d'acquisition |
Relation clientèle |
Autres immos incorporelles |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Valeur brute au 1er janvier 2014 | 13 898 | 52 437 | 75 373 | 47 563 | 5 810 | 195 081 |
| Variation de taux d'intérêts | - | - | 59 | - | 59 | |
| Acquisitions de l'exercice | - | 5 223 | - | - | 1 780 | 7 003 |
| Cessions - mises au rebut | - | -1 430 | - | - | -2 184 | -3 614 |
| Reclassement | - | -118 | - | - | - | -118 |
| Ecarts de conversion | 33 | 3 501 | 409 | 6 120 | 171 | 10 234 |
| Valeur brute au 31 décembre 2014 | 13 931 | 59 613 | 75 841 | 53 683 | 5 577 | 208 645 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 1er janvier 2014 |
-146 | -32 523 | -793 | -47 178 | -2 299 | -82 939 |
| Variation de taux d'intérêts | - | - | - | - | - | - |
| Amortissements de l'exercice | - | -7 887 | - | -400 | 4 | -8 283 |
| Perte de valeur de l'exercice | - | - | - | - | - | - |
| Cessions - mises au rebut | - | 3 497 | - | - | - | 3 497 |
| Reclassement | - | - | - | - | - | - |
| Ecarts de conversion | -20 | -1 674 | -16 | -6 105 | -22 | -7 837 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 31 décembre 2014 |
-166 | -38 587 | -809 | -53 683 | -2 317 | -95 562 |
| Valeur nette au 31 décembre 2014 | 13 765 | 21 026 | 75 032 | - | 3 260 | 113 082 |
| Au 31 décembre 2013 retraité En milliers d'euros |
Fonds de commerce |
Logiciels | Ecarts d'acquisition |
Relation clientèle |
Autres immos incorporelles |
Total |
| Valeur brute au 1er janvier 2013 | 11 825 | 47 827 | 75 702 | 49 955 | 5 301 | 190 610 |
| Variation de taux d'intérêts | - | - | - | - | - | |
| Acquisitions de l'exercice | 320 | 7 610 | - | - | 994 | 8 924 |
| Cessions - mises au rebut | -301 | -839 | - | - | -111 | -1 251 |
| Reclassement | 2 071 | -531 | - | - | -9 | 1 531 |
| Ecarts de conversion | -17 | -1 630 | -329 | -2 392 | -365 | -4 733 |
| Valeur brute au 31 décembre 2013 | 13 898 | 52 437 | 75 373 | 47 563 | 5 810 | 195 081 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 1er janvier 2013 |
1 918 | -28 197 | -806 | -47 199 | -2 712 | -76 996 |
| Variation de taux d'intérêts | - | - | - | - | - | - |
| Amortissements de l'exercice | - | -6 498 | - | -2 267 | -6 | -8 771 |
| Perte de valeur de l'exercice | -301 | - | - | - | - | -301 |
| Cessions - mises au rebut | 301 | 839 | - | - | 112 | 1 252 |
| Reclassement | -2 071 | 266 | - | - | - | -1 805 |
| Ecarts de conversion | 7 | 1 067 | 13 | 2 288 | 307 | 3 682 |
| Amortissement cumulé et perte de valeur au 31 décembre 2013 |
-146 | -32 523 | -793 | -47 178 | -2 299 | -82 939 |
A la date de clôture, les relations clientèle ont fait l'objet d'un test de dépréciation selon la méthode d'actualisation des flux de trésorerie futurs attendus sur la durée résiduelle d'utilisation. Au 31 décembre 2014, la valeur recouvrable estimée est supérieure à la valeur comptable.
Le montant des dotations aux amortissements des immobilisations incorporelles d'un montant de € 8 283 000 (2013 : € 8 771 000) est enregistré dans le poste des dotations aux amortissements au compte de résultat.
| 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Valeur brute | Dépréciation | Valeur nette | Valeur brute | Dépréciation | Valeur nette | |
| Bourse Direct | 31 489 | - | 31 489 | 31 489 | - | 31 489 | |
| Compagnie Financière Tradition | 25 968 | - | 25 968 | 25 968 | - | 25 968 | |
| Gaitame | - | - | - | - | - | - | |
| TFS | 12 522 | - | 12 522 | 12 265 | - | 12 265 | |
| E-VIEL | 3 833 | - | 3 833 | 3 833 | - | 3 833 | |
| Autres | 2 029 | -809 | 1 220 | 1 817 | -792 | 1 025 | |
| Total inclus dans les immobilisations incorporelles |
75 841 | -809 | 75 032 | 75 372 | -792 | 74 580 | |
| Total inclus dans les participations dans les sociétés associées et coentreprises (cf. note 9) |
15 777 | - | 15 777 | 16 417 | - | 16 417 | |
| Total des écarts d'acquisition | 91 618 | -809 | 90 809 | 91 789 | -792 | 90 997 |
Les écarts d'acquisition se présentent comme suit au 31 décembre 2014 :
Les unités génératrices de trésorerie (UGT) sont définies par l'ensemble des activités des entités ayant généré ces écarts d'acquisition. Les écarts d'acquisition constatés au bilan de VIEL & Cie ont fait l'objet de tests de dépréciation. La valeur recouvrable est estimée selon une méthode d'actualisation des flux de trésorerie futurs des activités afférentes à chacun de ces écarts d'acquisition. Sur la base de prévisions d'exploitation établies sur 5 ans, le flux de trésorerie normatif est actualisé afin de déterminer la valeur de l'activité sous-jacente par rapport aux écarts d'acquisition constatés. Des taux d'actualisation de 3,8 % à 7,5 % (2013 : 4,7 % à 7,4 %) ont été retenus dans le cadre de ces évaluations afin de refléter le risque présent sur chacun des marchés. Ces taux incluent également une prime de risque complémentaire en raison de la sensibilité de cette hypothèse dans l'actualisation des flux de trésorerie futurs.
Par ailleurs, des taux de croissance de 1,0 % à 2,0 % (2013 : 1,0 % à 2,0 %) ont été utilisés pour extrapoler les projections de flux de trésorerie au-delà de la période couverte par les prévisions d'exploitation sur la base de l'expérience passée et en fonction du marché dans lequel ces sociétés sont présentes.
Les différentes hypothèses retenues dans le cadre de l'actualisation des flux de trésorerie futurs des principales unités génératrices de trésorerie (UGT) sont les suivantes :
| Taux d'actualisation | Taux de croissance | |||
|---|---|---|---|---|
| 2014 2013 |
2014 | 2013 | ||
| Pôle Intermédiation professionnelle | ||||
| Compagnie Financière Tradition | 3,80 % | 4,70 % | 1,00 % | 1,00 % |
| TFS | 3,80 % | 4,70 % | 1,00 % | 1,00 % |
| Pôle Bourse en ligne | ||||
| Bourse Direct | 7,50 % | 7,40 % | 2,00 % | 2,00 % |
| E-VIEL | 7,50 % | 7,40 % | 2,00 % | 2,00 % |
Les évaluations obtenues par l'utilisation de cette méthode sont supérieures aux valeurs comptables et par conséquent aucune perte de valeur n'a été constatée sur les écarts d'acquisition en 2014 et 2013.
La sensibilité de la valeur d'utilité ainsi déterminée à la variation de ces deux hypothèses clefs est faible. Ainsi, une augmentation de 100 points de base appliquée au taux d'actualisation n'entraînerait pas une baisse de la valeur d'utilité qui nécessiterait de constater une dépréciation ; il en est de même pour une réduction de 100 points de base du taux de croissance à long terme. Pour le pôle de bourse en ligne, cette méthode comprend également d'autres indicateurs d'activité tels que le nombre de comptes clients ou le niveau d'activité de la clientèle (volume d'ordres exécutés). Dans le cadre de ces évaluations, le taux de croissance de l'activité et du volume d'ordres exécutés varie entre 12 % et 2 % selon l'échéance. La sensibilité de la valeur d'utilité à la variation de ces dernières hypothèses est plus importante mais une réduction de 100 points de base appliquée au taux de croissance ne nécessiterait pas de constater de dépréciation.
Cette rubrique comprend la quote-part des sociétés associées et co-entreprises détenue par VIEL & Cie ou ses filiales opérationnelles, consolidées selon la méthode de mise en équivalence. Le détail des sociétés consolidées selon cette méthode est présenté en note 32.
La variation des participations dans les sociétés associées se présente comme suit :
| En milliers d'euros | Sociétés associées | Coentreprises | Total |
|---|---|---|---|
| Au 1er janvier 2014 | 68 840 | 74 938 | 143 778 |
| Résultat net de la période | 7 516 | 4 681 | 12 197 |
| Dividendes distribués | -8 497 | -4 060 | -12 557 |
| Autres éléments du résultat global | -125 | - | -125 |
| Autres variations de capitaux propres | - | - | - |
| Variations de périmètre | -6 655 | - | -6 655 |
| Ecart de conversion | 1 643 | 744 | 2 387 |
| Au 31 décembre 2014 | 62 722 | 76 303 | 139 025 |
| En milliers d'euros | Sociétés associées | Coentreprises | Total |
|---|---|---|---|
| Au 1er janvier 2013 | 69 284 | 102 923 | 172 207 |
| Résultat net de la période | 1 228 | 6 234 | 7 462 |
| Autres éléments du résultat global | -2 271 | - | -2 271 |
| Dividendes distribués | -1 087 | -17 863 | -18 950 |
| Autres variations de capitaux propres | 1 513 | - | 1 513 |
| Variations de périmètre | - | - | - |
| Ecart de conversion | 173 | -16 356 | -16 183 |
| Au 31 décembre 2013 retraité | 68 840 | 74 938 | 143 778 |
Les informations financières résumées, avant élimination des comptes et opérations réciproques, des sociétés associées se présentent comme suit :
| Au 31 décembre 2014 En milliers d'euros |
Capital Markets Holding SA |
PingAn Tradition International Money Broking Company Ltd |
Ong First Tradition Hol dings (Pte) Ltd |
SwissLife Banque privée |
Easdaq | Autres sociétés associées |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Lieu d'activité | Madrid | Shenzhen | Singapour | Paris Londres | |||
| Pourcentage de détention | 31,0 % | 33,0 % | 35,0 % | 40,0 % | 19,0 % | ||
| Actif non courant | 19 240 | 1 566 | 10 202 | 37 431 | 254 | ||
| Actif courant | 58 785 | 19 820 | 294 | 933 686 | 3 299 | ||
| Passif non courant | 6 195 | - | - | ||||
| Passif courant | 22 121 | 8 328 | 2 | 887 606 | 398 | ||
| Actif net | 49 709 | 13 057 | 10 494 | 83 511 | 3 155 | ||
| Quote-part du Groupe dans : | |||||||
| - dans l'actif net | 15 360 | 4 309 | 3 673 | 36 837 | 600 | 12 | |
| - Ecarts d'acquisition | - | - | - | 437 | 766 | 728 | |
| Valeur comptable au 31 décembre | 15 360 | 4 309 | 3 673 | 37 274 | 1 366 | 740 | 62 722 |
| Chiffre d'affaires | 34 374 | 15 484 | - | 45 332 | 3 431 | ||
| Résultat net de l'exercice | 1 358 | 3 822 | 14 488 | 6 320 | -2 118 | ||
| Autres éléments du résultat global | -405 | - | - | - | - | ||
| Résultat global de l'exercice | 953 | 3 822 | 14 488 | 6 320 | -2 118 | ||
| Quote-part du Groupe dans : | |||||||
| - le résultat net | 420 | 1 261 | 5 071 | 2 528 | -403 | -1 361 | 7 516 |
| - les autres éléments du résultat global |
-125 | - | - | - | - | - | -125 |
| - le résultat global | 295 | 1 261 | 5 071 | 2 528 | -403 | -1 361 | 7 392 |
| Dividendes versés au Groupe | 94 | 860 | 7 505 | - | - | 38 | 8 497 |
Cette participation est présentée au bilan dans les participations dans les sociétés associées en raison de l'influence notable exercée par le Groupe en vertu de sa présence au Conseil d'administration de la société.
En décembre 2013, Ong First Tradition Holdings Pte Ltd a signé un contrat de vente pour céder sa filiale opérationnelle à un investisseur tiers. La finalisation de cette transaction est intervenue en 2014 avec l'approbation des autorités de surveillance respectives et un gain de € 4,9 millions a été constaté au cours de l'exercice dans la rubrique « Quote-Part de résultat d'exploitation de sociétés mises en équivalence dans le prolongement de l'activité du Groupe ».
Dans le cadre d'une réorganisation de ces sociétés, le Groupe a perdu la possibilité d'exercer une influence notable sur les politiques financières et opérationnelles de ces entités. En effet, malgré un taux de contrôle inchangé à 20 %, le Groupe n'est plus en mesure d'élire un représentant au Conseil d'administration de ces sociétés. Par conséquent, le Groupe a cessé d'appliquer la méthode de la mise en équivalence au 31 décembre 2014 et la juste valeur de cet investissement est présentée dans la rubrique « Actifs financiers disponibles à la vente » (cf. note 14).
| Au 31 décembre 2013 En milliers d'euros |
Capital Markets Holding SA |
FXDD | PingAn Tradition International Money Broking Company Ltd |
Ong First Tradition Holdings (Pte) Ltd |
SwissLife Banque privée |
Easdaq | Autres sociétés associées |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Lieu d'activité | Madrid | New York, Malta |
Shenzhen | Singapour | Paris Londres | |||
| Pourcentage de détention | 31,0 % | 20,0 % | 33,0 % | 35,0 % | 40,0 % | 19,0 % | ||
| Actif non courant | 20 820 | 9 187 | 1 152 | 1 347 | - | 362 | ||
| Actif courant | 56 900 | 112 568 | 13 084 | 17 658 | 1 228 650 | 5 206 | ||
| Passif non courant | 6 247 | 159 | - | 1 857 | - | - | ||
| Passif courant | 22 373 | 93 597 | 3 684 | 2 059 | 1 151 459 | 462 | ||
| Actif net | 49 100 | 27 999 | 10 553 | 15 090 | 77 191 | 5 106 | ||
| Quote-part du Groupe dans : | ||||||||
| - dans l'actif net | 15 216 | 5 477 | 3 482 | 5 281 | 34 310 | 971 | ||
| - Ecarts d'acquisition | - | - | - | 625 | 437 | 766 | 700 | |
| Valeur comptable au 31 décembre |
15 216 | 5 477 | 3 482 | 5 906 | 34 747 | 1 737 | 2 275 | 68 840 |
| Chiffre d'affaires | 36 612 | 44 277 | 13 757 | 9 080 | 30 646 | 2 264 | ||
| Résultat net de l'exercice | 597 | -7 167 | 3 210 | 2 222 | 3 805 | -4 400 | ||
| Autres éléments du résultat global |
-7 364 | - | - | - | - | - | ||
| Résultat global de l'exercice | -6 766 | -7 167 | 3 210 | 2 222 | 3 805 | -4 400 | ||
| Quote-part du Groupe dans : | ||||||||
| - le résultat net | 185 | -1 433 | 1 059 | 778 | 1 522 | -837 | -46 | 1 228 |
| - les autres éléments du résultat global |
-2 271 | - | - | - | - | - | - | -2 271 |
| -le résultat global | -2 086 | -1 433 | 1 059 | 778 | 1 522 | -837 | -46 | -1 044 |
| Dividendes versés au Groupe | 432 | - | 570 | - | - | - | 85 | 1 087 |
Les sociétés sur lesquelles le Groupe exerce un contrôle conjoint avec des partenaires concernent essentiellement l'activité sur les options de change réalisée conjointement avec ICAP et Volbroker ainsi que l'activité de change auprès d'une clientèle de particuliers au Japon menée par l'intermédiaire de Gaitame.com Co., Ltd. L'activité sur les options de change est réalisée principalement depuis Londres, New York et Singapour au travers de plusieurs sociétés qui ont été regroupées sous « Tradition-ICAP » dans le tableau ci-dessous et qui intègrent entre 25,0 % et 55,0 % des actifs et du résultat net de cette activité.
Les informations financières résumées, avant élimination des comptes et opérations réciproques, des principales co-entreprises se présentent comme suit :
| Au 31 décembre 2014 en milliers d'euros |
Gaitame.com Co., Ltd |
TFS-ICAP | Autres sociétés |
Total |
|---|---|---|---|---|
| Lieu d'activité | Tokyo | Londres, New York, Singapour |
||
| Pourcentage de détention | 49,8 % | 25,0 % - 55 % | ||
| Actif non courant | 29 314 | 1 096 | ||
| Actif courant | 797 962 | 34 214 | ||
| Dont trésorerie et équivalents de trésorerie | 69 216 | 21 116 | ||
| Passif non courant | 375 | - | ||
| Dont dettes financières | 33 | - | ||
| Passif courant | 727 279 | 11 607 | ||
| Dont dettes financières | 134 | - | ||
| Actif net | 99 622 | 23 703 | ||
| Quote-part du Groupe dans : | ||||
| - dans l'actif net | 49 450 | 11 587 | 1 420 | |
| - Ecarts d'acquisition | 13 785 | - | 61 | |
| Valeur comptable au 31 décembre | 63 235 | 11 587 | 1 481 | 76 303 |
| Chiffres d'affaires | 29 179 | 65 538 | ||
| Amortissements | -2 575 | -282 | ||
| Produits d'intérêts | 202 | 21 | ||
| Charges d'intérêts | -9 | -1 | ||
| Impôts sur le bénéfice | -648 | -1 840 | ||
| Résultats net/global de l'exercice | 795 | 10 995 | ||
| Quote- part du Groupe dans : | ||||
| - le résultat net/global | 396 | 4 136 | 149 | 4 681 |
| Dividendes versés au Groupe | 1 204 | 2 856 | 4 060 |
| Au 31 décembre 2013 retraité en milliers d'euros |
Gaitame.com Co., Ltd |
TFS-ICAP | Autres sociétés |
Total |
|---|---|---|---|---|
| Lieu d'activité | Tokyo | Londres, New York, Singapour |
||
| Pourcentage de détention | 49,8 % | 25,0 % - 55,0 % | ||
| Actif non courant | 39 741 | 730 | ||
| Actif courant | 744 250 | 29 456 | ||
| Dont trésorerie et équivalents de trésorerie | 62 908 | 13 982 | ||
| Passif non courant | 1 005 | - | ||
| Dont dettes financières | 167 | - | ||
| Passif courant | 681 619 | 9 962 | ||
| Dont dettes financières | 132 | - | ||
| Actif net | 101 368 | 20 224 | ||
| Quote-part du Groupe dans : | ||||
| - dans l'actif net | 50 319 | 9 557 | 1 173 | |
| - Ecarts d'acquisition | 13 834 | 55 | ||
| Valeur comptable au 31 décembre | 64 153 | 9 557 | 1 228 | 74 938 |
| Chiffres d'affaires | 37 615 | 60 872 | ||
| Amortissements | -2 913 | -252 | ||
| Produits d'intérêts | 170 | 61 | ||
| Charges d'intérêts | -11 | - | ||
| Impôts sur le bénéfice | -3 926 | -1 492 | ||
| Résultats net/global de l'exercice | 5 618 | 8 057 | ||
| Quote- part du Groupe dans : | ||||
| - le résultat net/global | 2 799 | 3 105 | 330 | 6 234 |
| Dividendes versés au Groupe | 13 691 | 4 172 | 17 863 |
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 |
|---|---|---|
| Prêts aux employés | 1 341 | 3 730 |
| Créances sur les parties liées (Cf. note 27) | - | 603 |
| Autres actifs financiers | 1 803 | 1 776 |
| TOTAL | 3 144 | 6 109 |
Les prêts aux employés portent intérêt à un taux moyen de 2,26 % et ont une échéance moyenne de 11 mois.
Cette rubrique inclut notamment les créances de VIEL & Cie et de ses filiales sur les anciens actionnaires ultimes de Compagnie Financière Tradition, Comipar, Paris et Banque Pallas Stern, Paris (cf. note 27).
L'exposition du Groupe liée aux risques de crédit, de change et de taux d'intérêts sur les autres actifs financiers est décrite en note 30.
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Dépôts de liquidités ou de titres bloqués en garantie dans le cadre de l'activité de courtage | 28 888 | 21 560 |
| TOTAL | 28 888 | 21 560 |
Outre ces dépôts de liquidités bloqués auprès de sociétés de compensation, tels qu'Euroclear ou le FICC (Fixed Income Clearing Corporation), certaines filiales sont soumises à des contraintes de capitaux propres fixées par leurs autorités de tutelle qui limitent la disponibilité ou la libre circulation de leurs liquidités au sein du Groupe.
L'exposition du Groupe liée aux risques de crédit, de change et de taux d'intérêts sur la trésorerie non disponible est décrite en note 30.
Les clients et autres créances se décomposent comme suit :
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Créances liées aux activités teneurs de comptes | 507 364 | 495 893 |
| Créances liées aux activités en principal | 186 574 | 127 203 |
| Clients et comptes rattachés | 110 247 | 111 131 |
| Créances sur les employés | 24 722 | 28 055 |
| Créances sur les parties liées | 27 455 | 5 371 |
| Autres créances à court terme | 18 351 | 20 645 |
| TOTAL | 874 713 | 788 298 |
Le poste des « Créances sur les employés » comporte des primes et bonus payés d'avance et conditionnés à la présence de l'employé durant la durée du contrat. Ainsi, la charge liée à ces primes et bonus est constatée en résultat de façon linéaire sur la durée du contrat.
L'exposition du Groupe liée aux risques de crédit, de change et de taux d'intérêts sur les clients et autres créances est décrite en note 30.
Les actifs financiers détenus à des fins de transaction se décomposent comme suit :
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Obligations | 85 | 406 |
| Actions | 463 | 356 |
| TOTAL | 548 | 762 |
L'exposition du Groupe liée aux risques de crédit, de change et de taux d'intérêts sur les actifs financiers évalués à la juste valeur est décrite en note 30.
| Non courant En milliers d'euros |
31.12.2014 | 31.12.2013 |
|---|---|---|
| Actions | 27 176 | 16 341 |
| Autres | - | 51 |
| Total | 27 176 | 16 392 |
| Courant | ||
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 |
| Actions | 1 991 | 1 993 |
| Dépôts bancaires à court terme | 4 646 | 5 134 |
| Total | 6 637 | 7 127 |
Cette rubrique comprend des dépôts bancaires à court terme dont la maturité est supérieure à 3 mois à partir de la date d'acquisition.
L'exposition du Groupe liée aux risques de crédit, de change et de taux d'intérêts sur les actifs financiers évalués à la juste valeur est décrite en note 30.
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Caisse et dépôts bancaires à vue | 260 165 | 254 241 |
| Dépôts bancaires à court terme | 2 541 | 5 508 |
| Placements monétaires à court terme | 8 160 | 12 204 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie au bilan | 270 866 | 271 953 |
| Trésorerie non disponible | 28 888 | 21 560 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie - actif | 299 754 | 293 513 |
| Découverts bancaires | -59 326 | -26 232 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie dans le tableau des flux de trésorerie | 211 540 | 245 721 |
La caisse et les dépôts bancaires à vue génèrent des intérêts à des taux variables basés sur les taux bancaires quotidiens. Les dépôts bancaires à court terme ont une maturité comprise entre une journée et trois mois selon les besoins en liquidités du Groupe et génèrent des intérêts sur la base des taux bancaires pour leur durée respective.
Au 31 décembre 2013, les placements monétaires à court terme incluent un montant de € 3 544 000 donné en garantie dans le cadre d'une notification fiscale. Cette garantie a été levée en 2014 après réception d'une mainlevée émanant de l'administration fiscale.
L'exposition du Groupe liée aux risques de crédit, de change et de taux d'intérêts sur la trésorerie et équivalents de trésorerie est décrite en note 30.
Au 31 décembre 2014 le capital social de VIEL & Cie est composé de 77 136 740 actions d'une valeur nominale de € 0,2 soit un capital de € 15 427 348.
Au 31 décembre 2014, le capital de VIEL & Cie est réparti de la façon suivante :
Au 31 décembre 2014, le seul actionnaire détenant plus de 5 % des droits de vote de VIEL & Cie est VIEL et Compagnie-Finance, Paris, avec 70,99 % des droits de vote.
VIEL et Compagnie-Finance bénéficie de droits de vote doubles.
En application des dispositions de l'article L.225-100, al.7 du Code de commerce, un tableau récapitulatif des délégations accordées au Conseil d'administration par l'Assemblée générale en cours de validité et leur utilisation au cours de l'exercice 2014 est présenté ci-dessous :
| Type de délégation | AGE | Echéance | Montant autorisé |
Utilisation en 2014 |
Autorisations résiduelles |
|---|---|---|---|---|---|
| Augmentation de capital (délégation globale avec maintien du DPS) |
07-juin-13 | AGO 2015 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital (délégation globale avec suppression du DPS) |
12-juin-14 | aout 2016 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital (délégation globale avec suppression du DPS-Art-L411-2,II CMF) |
12-juin-14 | aout2016 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital par incorporation de réserves | 12-juin-14 | AGO 2015 | € 5 000 000 | - | € 5 000 000 |
| Augmentation de capital par émission de BSA (avec maintien du DPS) |
07-juin-13 | août-15 | € 30 000 000 | - | € 30 000 000 |
| Augmentation de capital par attribution d'actions gratuites, existantes ou à créer |
07-juin-13 | août-15 | € 1 542 735 | - | € 1 538 735 |
| Augmentation de capital par émission de BSA (en cas d'offre publique) |
12-juin-14 | déc-15 | € 10 000 000 | - | € 10 000 000 |
| Augmentation de capital (attribution d'options de souscription ou d'achat d'actions) |
01-juin-12 | août-15 | € 1 542 735 | - | € 1 542 735 |
| Réduction de capital (annulation d'actions) | 12-juin-14 | AGO 2015 | € 1 542 735 | - | € 1 542 735 |
VIEL & Cie détient au 31 décembre 2014, 7 096 996 de ses propres titres, soit 9,20 % de son capital, pour un montant total brut de € 27 298 000 (7 096 996 titres pour un montant brut de € 27 298 000 au 31 décembre 2013), détention autorisée préalablement par l'Assemblée générale des actionnaires. Le montant de ces titres a été constaté en diminution des capitaux propres consolidés de VIEL & Cie au 31 décembre 2014.
Cette rubrique se décompose comme suit :
| en milliers d'euros | Bénéfice au bilan |
Réserve pour actions propres |
Réserve pour option de souscription d'actions |
Réserve de couverture |
Réserve de réévaluation |
Ecarts actuariels à prestations définies |
Réserve générale |
Autres réserves |
Réserves consolidées |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Réserves consolidées au 1er Janvier 2014 |
214 033 | 27 298 | 11 632 | -1 173 | -473 | -5 107 | 1 542 | 23 225 | 270 976 |
| Résultat net de l'exercice | 21 310 | - | - | - | - | - | - | - | 21 310 |
| Réévaluation des régimes à prestations définies |
- | - | - | - | - | -676 | - | - | -676 |
| Incidence de la comptabilisation d'instruments de couverture |
- | - | - | 931 | - | - | - | - | 931 |
| Incidence de la réévaluation d'actifs financiers disponibles à la vente |
- | - | - | - | 4 927 | - | - | - | 4 927 |
| Incidence de la réévaluation d'actifs financiers disponibles à la vente des entreprises associées et coentreprises |
- | - | - | - | -118 | - | - | - | -118 |
| Résultat global de la période | 21 310 | - | - | 931 | 4 809 | -676 | - | - | 26 374 |
| Affectation à la réserve générale | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Affectation à l a réserve pour actions propres |
- | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Incidence de la comptabilisation des options de souscriptions d'actions |
- | - | 328 | - | - | - | - | - | 328 |
| Dividendes versés | -4 204 | - | - | - | - | - | - | - | -4 204 |
| Incidence des variations de périmètre |
17 260 | - | - | - | 28 | -45 | - | - | 17 243 |
| Réserves consolidées au 31 décembre 2014 |
248 399 | 27 298 | 11 960 | -242 | 4 364 | -5 828 | 1 542 | 23 225 | 310 717 |
| en milliers d'euros | Bénéfice au bilan |
Réserve pour actions propres |
Réserve pour option de souscription d'actions |
Réserve de couverture |
Réserve de réévaluation |
Ecarts actuariels à prestations définies |
Réserve générale |
Autres réserves |
Réserves consolidées |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Réserves consolidées au 1er Janvier 2013 |
214 134 | 27 298 | 11 239 | -3 452 | -1 725 | -8 263 | 1 532 | 23 225 | 263 988 |
| Résultat net de l'exercice | 5 881 | - | - | - | - | - | - | - | 5 881 |
| Réévaluation des régimes à prestations définies |
- | - | - | - | - | 3 156 | - | - | 3 156 |
| Incidence de la comptabilisation d'instruments de couverture |
- | - | - | 2 308 | - | - | - | - | 2 308 |
| Incidence de la réévaluation d'actifs financiers disponibles à la vente |
- | - | - | - | 2 239 | - | - | - | 2 239 |
| Incidence de la réévaluation d'actifs financiers disponibles à la vente des entreprises associées et coentreprises |
- | - | - | - | -459 | - | - | - | -459 |
| Résultat global de la période | 5 881 | - | - | 2 308 | 1 780 | 3 156 | - | - | 13 125 |
| Affectaton à la réserve générale | -10 | - | - | - | - | - | 10 | - | - |
| Affectation à l a réserve pour actions propres |
- | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Incidence de la comptabilisation des options de souscriptions d'actions |
- | - | 393 | - | - | - | - | - | 393 |
| Dividendes versés | -5 602 | - | - | - | - | - | - | - | -5 602 |
| Incidence des variations de périmètre |
-370 | - | - | -29 | -528 | - | - | - | -927 |
| Réserves consolidées au 31 décembre 2013 |
214 033 | 27 298 | 11 632 | -1 173 | -473 | -5 107 | 1 542 | 23 225 | 270 976 |
La réserve générale et la réserve pour actions propres de VIEL & Cie ne sont pas disponibles pour une distribution. La réserve pour actions propres comprend le coût d'acquisition des actions de la société VIEL & Cie détenues par la société elle-même.
La réserve pour options de souscription d'actions est utilisée pour comptabiliser la juste valeur des instruments de capitaux propres consentis aux collaborateurs du Groupe. Lors de l'exercice d'options de souscription, la valeur des instruments est transférée de cette réserve au compte de prime d'émission.
La réserve de couverture comprend la part effective des variations cumulées nettes de la juste valeur des instruments de couverture de flux de trésorerie qui sont relatifs à des positions couvertes n'ayant pas encore impacté le compte de résultat.
La réserve de réévaluation comprend les variations cumulées nettes de la juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente jusqu'au moment de leur cession ou d'une constatation d'une perte de valeur.
La réserve d'écarts de conversion comprend les écarts de change relatifs à la conversion en euros des états financiers des sociétés du Groupe libellés en monnaies étrangères ainsi que les changements de juste valeur des instruments utilisés pour couvrir des investissements nets dans des entités étrangères. Cette réserve est présentée distinctement dans le tableau de variation des capitaux propres consolidés.
Cette rubrique se décompose comme suit :
| Attribuables aux actionnaires de la société mère | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 2014 en milliers d'euros |
Ecart de conversion |
Réserve de couverture |
Réserve de réévaluation |
Ecarts actuariels des régimes à prestations définies |
Total part du Groupe |
Intérêts minoritaires |
Total |
| Autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
|||||||
| Ecarts actuariels des régimes à prestations définies |
- | - | - | -676 | -676 | -270 | -946 |
| Total des autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - | - | -676 | -676 | -270 | -946 |
| Autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
|||||||
| Ajustement à la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie |
|||||||
| - constatés dans la réserve de couverture |
- | 748 | - | - | 748 | 9 | 756 |
| - transférés au compte de résultat |
- | 183 | - | - | 183 | 75 | 259 |
| Ajustement à la juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente |
|||||||
| - constatés dans la réserve de réévaluation |
- | - | 4 927 | - | 4 927 | 653 | 5 580 |
| - transférés au compte de résultat |
- | - | - | - | - | - | - |
| Ecart de conversion | 13 394 | - | - | - | 13 394 | 6 773 | 20 167 |
| Transfert de l'écart de conversion au compte de résultat |
41 | - | - | - | 41 | - | 41 |
| Autres éléments du résultat global des sociétés associées et coentreprises |
-97 | - | -118 | - | -215 | -81 | -296 |
| Total des autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
13 338 | 931 | 4 809 | - | 19 078 | 7 429 | 26 506 |
| Autres éléments du résultat global de l'exercice, nets d'impôts |
13 338 | 931 | 4 809 | -676 | 18 402 | 7 159 | 25 561 |
| Attribuables aux actionnaires de la société mère | ||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 2013 Retraité en milliers d'euros |
Ecart de conversion |
Réserve de couverture |
Réserve de réévaluation |
Ecarts actuariels des régimes à prestations définies |
Total part du Groupe |
Intérêts minoritaires |
Total | |
| Autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
||||||||
| Ecarts actuariels des régimes à prestations définies |
- | - | - | 3 156 | 3 156 | 1 337 | 4 493 | |
| Total des autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - | - | 3 156 | 3 156 | 1 337 | 4 493 | |
| Autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
||||||||
| Ajustement à la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie |
||||||||
| - constatés dans la réserve de couverture |
- | 1 636 | - | - | 1 636 | 163 | 1 799 | |
| - transférés au compte de résultat |
- | 672 | - | - | 672 | 285 | 957 | |
| Ajustement à la juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente |
||||||||
| - constatés dans la réserve de réévaluation |
- | - | 2 239 | - | 2 239 | 191 | 2 430 | |
| - transférés au compte de résultat |
- | - | - | - | - | - | - | |
| Ecart de conversion | -18 134 | - | - | - | -18 134 | -16 412 | -34 546 | |
| Transfert de l'écart de conversion au compte de résultat |
- | - | - | - | - | - | - | |
| Autres éléments du résultat global des sociétés associées et coentreprises |
-1 150 | - | -459 | - | -1 609 | -662 | -2 271 | |
| Total des autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
-19 284 | 2 308 | 1 780 | - | -15 196 | -16 435 | -31 631 | |
| Autres éléments du résultat global de l'exercice, nets d'impôts |
-19 284 | 2 308 | 1 780 | 3 156 | -12 040 | -15 098 | -27 138 |
Les principales sociétés dans lesquelles les intérêts minoritaires ont été jugés significatifs sont Bourse Direct qui représente l'activité de bourse en ligne et le sous-groupe Tradition qui regroupe l'activité d'intermédiation professionnelle. Les sociétés jugées significatives au sein du sous-groupe Tradition sont présentées dans les notes annexes aux comptes consolidés de Compagnie Financière Tradition, société cotée.
Conformément à la décision prise par l'IFRIC IC lors de sa réunion de septembre 2014, les informations financières résumées du sous-groupe Tradition sont présentées après élimination des comptes et opérations réciproques internes au sous-groupe.
Transactions significatives avec les intérêts minoritaires du sous-groupe Tradition sans perte de contrôle En avril 2014, Meitan Tradition Co., Ltd a racheté l'ensemble de ses actions détenues par des intérêts minoritaires pour un montant de € 17,8 millions générant un impact positif sur les réserves consolidées de VIEL & Cie de € 12,6 millions.
En décembre 2014, le Groupe Tradition a cédé une partie de sa participation dans une filiale au Japon à un investisseur externe pour un montant de € 12,1 millions générant un impact positif sur les réserves consolidées de VIEL & Cie de € 6,0 millions.
Ces transactions expliquent les variations significatives constatées en flux de trésorerie nets provenant de l'activité de financement dans le tableau de flux de trésorerie.
| Au 31 décembre 2014 | Au 31 décembre 2013 | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Groupe Tradition |
Bourse Direct | Groupe Tradition |
Bourse Direct | |
| Suisse | France | Suisse | France | ||
| Pourcentage de détention des intérêts minoritaires | 29,12 % | 23,43 % | 29,74 % | 23,96 % | |
| Actif non courant | 219 126 | 5 160 | 211 902 | 4 856 | |
| Actif courant | 572 982 | 556 188 | 509 960 | 534 135 | |
| Dont trésorerie et équivalents de trésorerie | 208 634 | 50 389 | 191 854 | 46 125 | |
| Passif non courant | 120 884 | 1 451 | 124 625 | 754 | |
| Passif courant | 376 716 | 523 291 | 326 366 | 504 368 | |
| Actif net | 294 508 | 36 606 | 270 871 | 33 869 | |
| Valeur comptable des intérêts minoritaires | 10 330 | 8 392 | 41 121 | 7 862 | |
| Chiffre d'affaires | 689 472 | 37 508 | 710 355 | 34 290 | |
| Résultat net | 26 315 | 3 246 | 17 683 | 3 440 | |
| Quote-part attribuable aux intérêts minoritaires dans le résultat net du Groupe dans : |
10 147 | 761 | 8 908 | 824 | |
| Flux de trésorerie nets opérationnels | 44 171 | 6 719 | 17 643 | 4 747 | |
| Flux de trésorerie nets d'investissement | -3 245 | -2 455 | 12 707 | -3 292 | |
| Flux de trésorerie nets de financement (hors dividendes versés aux intérêts minoritaires) |
-41 258 | - | 15 364 | - | |
| Dividendes versés aux intérêts minoritaires | -6 513 | - | -3 064 | - | |
| Variation de la trésorerie et équivalents de trésorerie | 2 006 | 4 264 | 29 237 | 1 455 |
Le dividende à payer n'est comptabilisé qu'après l'approbation par l'Assemblée générale. Le dividende suivant a été proposé par le Conseil d'administration :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Dividende par action au titre de 2014 : € 0,15 (2013 : € 0,06) | 11 571 | 4 628 |
Au 31 décembre 2014, les options de souscription d'actions consenties aux collaborateurs du Groupe Tradition présentent les caractéristiques suivantes :
| Date d'attribution |
Nombre d'actions de 2,50 francs suisses de nominal |
Augmentation de capital potentielle en francs suisses |
Date de début d'exercice(1) |
Date d'échéance |
Prix d'exercice en francs suisses |
Condition d'exercice(2) |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 17.05.02 | 20 000 | 50 000 | 17.05.04 | 16.05.16 | 97,5 | - |
| 24.04.06 | 75 000 | 187 500 | 24.04.09 | 23.04.16 | 129,9 | - |
| 21.05.08 | 15 000 | 37 500 | 12.12.14 | 12.12.17 | 2,5 | 80,00 |
| 15.09.08 | 30 000 | 75 000 | 21.01.11 | 21.01.16 | 2,5 | 156,00 |
| 02.09.10 | 23 000 | 57 500 | 01.09.13 | 01.09.18 | 2,5 | 80,00 |
| 23.08.13 | 100 000 | 250 000 | 33 333 titres le 01.09.14 33 333 titres le 01.09.15 33 334 titres le 01.09.16 |
01.09.21 | 2,5 | 65,00 |
| 23.08.13 | 10 000 | 25 000 | 01.09.16 | 01.09.21 | 2,5 | 65,00 |
| TOTAL | 273 000 | 682 500 |
(1) Les collaborateurs doivent être salariés du Groupe afin d'exercer les options de souscription d'actions consenties.
(2) Le cours de l'action doit être supérieur à ces seuils pendant 10 jours consécutifs au cours des 12 mois précédant la date d'exercice.
En 2014, Compagnie Financière Tradition SA n'a consenti aucune option de souscription d'actions à des collaborateurs du Groupe (110 000 options consenties en 2013 à des collaborateurs du Groupe).
La juste valeur des options octroyées est déterminée à la date d'attribution des options de souscription en recourant au modèle de valorisation binomial et en prenant en compte les caractéristiques et conditions générales d'acquisition des droits prévalant à cette date.
Sur la base d'observations historiques, les paramètres d'évaluation suivants ont été utilisés afin de déterminer la juste valeur des options de souscription consenties ou des modifications des conditions d'octroi :
| 2014 | 2013 | |
|---|---|---|
| Rendement de dividendes | - | 4,5 % |
| Volatilité attendue | - | 25,0 % |
| Taux d'intérêt sans risque | - | 0,4 % |
| Prix de l'action à la date d'attribution (en francs suisses) | - | 47,5 |
Le nombre et les prix d'exercice moyens pondérés des options de souscription sur action consenties aux collaborateurs de la Société sont les suivants :
| 2014 | 2013 | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| en francs suisses | Prix d'exercice moyen pondéré |
Nombre d'options |
Prix d'exercice moyen pondéré |
Nombre d'options |
|
| En circulation au début de l'exercice | 43,12 | 282 000 | 72,04 | 197 000 | |
| Attribuées | - | - | 2,5 | 110 000 | |
| Exercées | - | - | - | - | |
| Expirées | - | - | 92,25 | -25 000 | |
| Annulées | 2,5 | -9 000 | - | - | |
| En circulation à la fin de l'exercice | 44,46 | 273 000 | 43,12 | 282 000 | |
| Exerçables à la fin de l'exercice | 123,08 | 95 000 | 123,08 | 95 000 |
Les options exercées donnent uniquement droit à la livraison des actions. En 2014, le montant des charges liées aux paiements fondés sur des actions est de CHF 574 000 (CHF 688 000 en 2013).
Au 31 décembre 2014, il n'existe aucun plan de souscription d'actions en vigueur.
Au 31 décembre 2014, les options de souscription consenties aux collaborateurs du Groupe VIEL & Cie présentent les caractéristiques suivantes :
| Date d'attribution | Nombre d'actions de 0,2 € de nominal |
Augmentation de capital potentielle en € |
Date de début d'exercice |
Date d'échéance |
Prix d'exercice en € |
|---|---|---|---|---|---|
| Plan du 03/01/2006 | 375 000 | 75 000 | 03.01.08 | 02.01.18 | 3,42 |
| TOTAL | 375 000 | 75 000 |
Le nombre et les prix d'exercice moyens pondérés des options de souscription sur action consenties aux collaborateurs de la Société sont les suivants :
| 2014 | 2013 | |||
|---|---|---|---|---|
| En nombre d'options | Prix d'exercice moyen pondéré |
Nombre d'options |
Prix d'exercice moyen pondéré |
Nombre d'options |
| En circulation au début de la période | 3,89 | 570 300 | 3,89 | 570 300 |
| Attribuées pendant la période | - | - | - | - |
| Auxquelles il est renoncé pendant la période | - | - | - | - |
| Exercées pendant la période | - | - | - | - |
| Expirées/annulées pendant la période | 4,78 | -195 300 | - | - |
| En circulation à la fin de la période | 3,42 | 375 000 | 3,89 | 570 300 |
| Exerçables à la fin de la période | 3,42 | 375 000 | 3,89 | 570 300 |
Le paiement de ces options consenties à des salariés de la société s'effectuera en actions.
Au cours de l'exercice 2014, un plan a expiré entraînant l'annulation de 195 300 options.
Au 31 décembre 2014, les caractéristiques des plans sont les suivantes :
| Nature du plan (En euros) | Plan d'attribution 2013 |
|---|---|
| Date de l'Assemblée Générale | 07-juin-12 |
| Date d'attribution | 20-mars-13 |
| Nombre total d'actions gratuites octroyées | 100 000 |
| Date de départ de l'octroi des actions | 20-mars-17 |
| Date de fin d'indisponibilité des actions | 20-sept-17 |
| Date des octrois au titre du plan | 20-mars-13 |
| Nombre d'actions gratuites en circulation au 1er janvier | 100 000 |
| Nombre d'actions octroyées aux mandataires sociaux au cours de la période | - |
| Nombre d'actions octroyées au cours de la période | - |
| Nombre d'actions annulées au cours de la période | - |
| Nombre d'actions livrées en cours de période | - |
| Dont actions des mandataires sociaux annulées au cours de la période | - |
| Nombre d'actions gratuites en circulation au 31 décembre | 100 000 |
| Nombre de personnes concernées | 1 |
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Découverts bancaires | 59 327 | 26 232 |
| Emprunts bancaires | 18 297 | 41 456 |
| Portion court terme des emprunts bancaires à long terme | 30 000 | 30 000 |
| Engagement à court terme sur contrat de location-financière | - | 29 |
| A court terme | 107 624 | 97 717 |
| Emprunts à long terme | 30 000 | 60 000 |
| Engagement sur contrats de location-financière | - | - |
| Emprunts obligataires | 99 480 | 97 259 |
| A long terme | 129 480 | 157 259 |
| TOTAL | 237 104 | 254 976 |
Les dettes financières à long terme sont composées d'un emprunt obligataire, émis au pair en septembre 2013, d'une valeur nominale de CHF 120 millions avec un coupon à 3,5 % pour une échéance en septembre 2016. Compte tenu des frais d'émissions, le taux d'intérêt effectif est de 3,71 %.
Au 31 décembre 2014, les emprunts bancaires incluent une ligne disponible à hauteur de CHF 80 millions (CHF 80 millions au 31 décembre 2013), tirée pour un montant de CHF 18 millions (CHF 30 millions au 31 décembre 2013).
En outre, le groupe Tradition dispose de deux lignes de crédit bilatérales confirmées, non garanties : la première, d'un montant de CHF 25,0 millions, tirée pour un montant de CHF 4,0 millions au 31 décembre 2014 (tirée pour un montant de CHF 20,0 millions au 31 décembre 2013) est automatiquement renouvelable quotidiennement pour une période de 364 jours. La deuxième, mise en place en 2012 et disponible en euro, d'un montant de CHF 4,8 millions, non tirée au 31 décembre 2014 et 2013, peut être résiliée en tout temps avec effet immédiat. Par ailleurs, un montant de CHF 8 millions, non utilisé aux 31 décembre 2014 et 2013, est disponible pour l'émission de garanties bancaires en faveur de tiers.
Au 31 décembre 2014, Compagnie Financière Tradition dispose de facilités de crédit non utilisées pour un montant de CHF 94 733 000 (CHF 62 470 000 au 31 décembre 2013).
Les emprunts bancaires à long terme incluent un montant de € 60 000 000 remboursable par annuités et venant à échéance en janvier 2016 (€ 90 000 000 au 31 décembre 2013).
Les dettes à long terme font l'objet de clause de remboursement anticipé en cas de non-respect de différents ratios de gestion ; ces ratios concernent principalement le niveau d'endettement par rapport aux capitaux propres consolidés du Groupe, ou le niveau des charges financières nettes par rapport au résultat d'exploitation du Groupe. Au 31 décembre 2014, le Groupe respecte l'intégralité de ces conditions.
Au 31 décembre 2014, VIEL & Cie et ses filiales disposent de facilités de crédit non utilisées pour un montant de € 78 786 000, contre € 50 888 000 au 31 décembre 2013.
VIEL & Cie a opté pour l'étalement des frais d'émission de ses emprunts sur leur durée d'amortissement.
Aucun engagement n'existe au 31 décembre 2014.
Les engagements futurs minimaux relatifs à la période contractuelle non résiliable et valeur actualisée des paiements minimaux au 31 décembre 2013 se présentent comme suit :
| 2013 retraité | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Engagements de location minimum |
Intérêt | Principal | ||
| A moins d'un an | 29 | 25 | 54 | ||
| Entre un et cinq ans | - | - | - | ||
| Supérieurs à cinq ans | - | - | - | ||
| TOTAL | 29 | 25 | 54 |
L'exposition du Groupe liée aux risques de liquidité, de change et de taux d'intérêts sur les dettes financières est décrite en note 30.
Les provisions se décomposent comme suit :
| en milliers d'euros | Provisions pour pensions et retraites |
Provisions pour litiges |
Provisions pour impôts |
Autres provisions |
TOTAL |
|---|---|---|---|---|---|
| Montant au 1 Janvier 2013 retraité | 12 192 | 10 219 | 3 609 | 10 690 | 36 710 |
| Variation de périmètre | - | - | - | - | - |
| Dotation | 2 126 | 1 279 | 64 | 179 | 3 648 |
| Utilisation | -2 212 | -539 | - | - | -2 751 |
| Dissolution | - | -1 504 | - | - | -1 504 |
| Réévaluation des régimes à prestations définies | -4 880 | - | - | - | -4 880 |
| Reclassement | 9 567 | - | - | - | 9 567 |
| Ecarts de conversion | -1 987 | -348 | - | - | -2 335 |
| Montant au 31 décembre 2013 retraité | 14 806 | 9 107 | 3 673 | 10 869 | 38 455 |
| Dont montant qui devrait être réglé dans les 12 mois | 3 673 | ||||
| Variation de périmètre | - | - | - | - | - |
| Dotation | 1 109 | 4 904 | 968 | 601 | 7 582 |
| Utilisation | -5 361 | -256 | - | - | -5 617 |
| Dissolution | -747 | -708 | - | -2 843 | -4 298 |
| Réévaluation des régimes à prestations définies | 1 003 | - | - | - | 1 003 |
| Reclassement | 347 | - | - | - | 347 |
| Ecarts de conversion | 443 | 1 301 | - | - | 1 744 |
| Montant au 31 décembre 2014 | 11 600 | 14 348 | 4 641 | 8 627 | 39 216 |
| Dont montant qui devrait être réglé dans les 12 mois | 14 937 |
Les provisions pour pensions et retraites sont constatées au bilan afin de couvrir les obligations du Groupe dans le cadre des régimes à cotisations définies et d'autres avantages à long terme en faveur du personnel. L'impact des régimes à prestations définies est présenté en note 22.
Dans le cadre de leurs activités, il arrive que des filiales du Groupe soient impliquées dans des litiges avec des anciens employés suite à la résiliation de leur contrat de travail ou avec des sociétés concurrentes lors de l'engagement de nouveaux collaborateurs. Au cours de l'exercice, un montant de € 4,9 million a été provisionné (2013 : € 1,3 million).
L'échéance des sorties de trésorerie relative à ces provisions est incertaine car elle dépend de l'issue des procédures en question qui peuvent durer de nombreuses années.
Par ailleurs, des procédures administratives peuvent être menées à l'encontre de filiales par les régulateurs locaux. En 2013, un montant de € 1,1 million a été dissous du fait du règlement amiable d'une procédure engagée contre une filiale du Groupe par des administrations.
En avril 2008, une série d'actions ont été lancées par d'anciens employés d'un concurrent à l'encontre de ce concurrent. Ultérieurement, ce concurrent a lancé une action en justice, suite à l'engagement de nouveaux collaborateurs aux Etats-Unis, pour empêcher ces personnes de débuter leur activité au sein du Groupe. Cette action en justice a été rejetée par le tribunal de l'Etat de New York en juillet 2008 autorisant les employés à continuer de travailler pour ces filiales du Groupe. Par la suite, ce concurrent a déposé une procédure d'arbitrage auprès de l'autorité de surveillance des marchés financiers (« FINRA ») à l'encontre de filiales du Groupe et de certains employés à New York pour notamment rupture de contrat et concurrence déloyale. Les accusations portées ont été rejetées par les parties concernées et dans certains cas des demandes reconventionnelles ont été déposées à l'encontre de ce concurrent.
En février 2015, tous les litiges entre ces filiales du Groupe et certains employés d'une part, et ce concurrent d'autre part, ont été résolus suite à un règlement à l'amiable. Toutes les procédures en cours ont été définitivement abandonnées. Le montant de ce règlement est inclus dans la rubrique des provisions à court terme.
Des filiales françaises de Compagnie Financière Tradition ont fait l'objet de contrôles fiscaux en 2003 et 2006, portant sur des exercices antérieurs. Dans ce cadre, elles ont reçu des notifications de redressement fiscal portant principalement sur le traitement fiscal retenu pour certaines de ces provisions. Les redressements signifiés ont été couverts par la constitution d'une provision de € 4 641 000 au 31 décembre 2014 (€ 3 673 000 au 31 décembre 2013). Un jugement exécutoire est intervenu au cours de l'exercice 2013. Celui-ci a fait l'objet d'une requête en interprétation pour laquelle une décision est attendue. En l'état des circonstances actuelles, le Groupe pense que ces contrôles fiscaux n'auront pas d'incidence défavorable importante sur sa situation financière en-dehors des montants provisionnés au 31 décembre 2014.
En 2014, l'augmentation des provisions dans le tableau de flux de trésorerie de € 3 018 000 ne comprend pas la dotation relative à l'impôt sur le bénéfice de € 266 000 qui est présentée en charge fiscale dans le compte de résultat.
VIEL & Cie et ses filiales consolidées ont constitué au cours des exercices précédents des provisions afin de couvrir divers risques auxquelles elles sont confrontées. Ces provisions couvrent l'intégralité des risques potentiels estimés.
La majorité des employés de VIEL & Cie et de ses filiales opérationnelles bénéficie de prestations de retraites octroyées par des régimes à cotisations définies dont les cotisations sont inscrites en charges lorsqu'elles sont encourues. Les éventuels montants à payer en fin de période sont présentés dans la rubrique des « Fournisseurs et autres créanciers ».
Les régimes à prestations définies concernent principalement les employés du Groupe basés en Suisse.
Les collaborateurs en Suisse sont assurés auprès de l'institution de prévoyance de l'employeur contre les risques de vieillesse, d'invalidité et de décès. L'institution de prévoyance a la forme juridique d'une fondation. L'institution de prévoyance assume elle-même le risque vieillesse alors que les risques décès et invalidité sont réassurés auprès d'une compagnie d'assurance. Les prestations de vieillesse sont définies en fonction du solde des comptes d'épargne individuels (avoir de vieillesse) à la date du départ à la retraite. L'âge ordinaire de la retraite est fixé à 63 ans. La rente vieillesse annuelle se calcule en multipliant l'avoir de vieillesse à la date du départ par le taux de conversion défini dans le règlement de la fondation. Le taux de conversion pour un départ à la retraite à 63 ans s'élève à 6,0 % pour les hommes et 6,4 % pour les femmes. Les collaborateurs peuvent prendre une retraite anticipée au plus tôt à 58 ans révolus, auquel cas le taux de conversion est réduit en fonction de la prolongation de la durée attendue du versement de la rente et de l'avoir de vieillesse moins important. Les collaborateurs ont en outre la possibilité de percevoir tout ou partie de la rente vieillesse sous forme de capital.
Les cotisations ordinaires de l'employeur englobent les cotisations de risque de 2,8 % et les cotisations pour les bonifications de 9 % à 22 % du salaire assuré (selon l'âge) versées sur les avoirs de vieillesse individuels.
La politique d'investissement de l'institution de prévoyance se fonde sur l'objectif de réaliser un rendement qui, associé aux cotisations versées, soit suffisant pour garder un contrôle raisonnable sur les différents risques de financement du régime. Les conseillers en placement, nommés par le Conseil de fondation, sont chargés de déterminer la pondération des catégories d'actifs et les allocations cibles, lesquelles sont révisées périodiquement. L'allocation effective des actifs est déterminée par une série de conditions économiques et de marché et en considération des risques spécifiques aux catégories d'actifs.
En 2014, les engagements de prévoyance ont été réduits de CHF 2,6 millions avec un impact favorable de CHF 1,1 million au compte de résultat, du fait d'une réduction conséquente du nombre d'assurés en Suisse.
Les autres avantages à long terme concernent essentiellement des employés de filiales du Groupe au Japon qui ont la possibilité de différer le versement d'une partie de leur rémunération jusqu'à l'âge de la retraite ou de leur départ de la société. Ils constituent ainsi des charges à payer dont le paiement effectif interviendra lors du départ à la retraite des salariés concernés.
Les provisions pour pensions et retraites se répartissent comme suit :
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Autres avantages à long terme | 2 434 | 6 917 |
| Provision pour des régimes à prestations définies | 9 166 | 7 889 |
| Total des provisions pour pensions et retraites | 11 600 | 14 806 |
Les charges liées aux régimes à prestations et cotisations définies sont présentées sous la rubrique « charges de personnel ». En 2014, le montant des charges liées aux régimes à cotisations définies est de € 3 483 000 (€ 3 861 000 en 2013).
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 |
|---|---|---|
| Valeur actualisée des obligations | 40 752 | 37 065 |
| Juste valeur des actifs des régimes | -31 586 | -29 176 |
| Engagements nets des régimes à prestations définies | 9 166 | 7 889 |
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Valeur actualisée des obligations au 1er janvier | 37 065 | 40 360 |
| Dont obligations financées | 34 363 | 38 426 |
| Dont obligations non financées | 2 702 | 1 934 |
| Coût financier | 879 | 847 |
| Coût des services rendus | 1 180 | 1 221 |
| Cotisation des employés | 477 | 548 |
| Prestations payées | -1 023 | -2 151 |
| (Gains) / pertes actuariel(le)s liés à l'expérience | -1 547 | -713 |
| (Gains) / pertes actuariel(le)s sur les hypothèses démographiques | - | -1 626 |
| (Gains) / pertes actuariel(le)s sur les hypothèses financières | 4 599 | -1 309 |
| Réduction de régime | -2 165 | - |
| Reclassement | 342 | -77 |
| Ecart de conversion | 945 | -35 |
| Valeur actualisée des obligations au 31 décembre | 40 752 | 37 065 |
| Dont obligations financées | 36 959 | 34 363 |
| Dont obligations non financées | 3 793 | 2 702 |
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Juste valeur des actifs des régimes au 1er janvier | 29 176 | 28 299 |
| Rendement attendu des actifs des régimes | 644 | 562 |
| Cotisations de l'employeur | 684 | 810 |
| Cotisations des employés | 477 | 548 |
| Prestations payées | -807 | -2 151 |
| Frais d'administration | -33 | -32 |
| Gains / (pertes) actuariels | 2 050 | 1 232 |
| Réduction de régime | -1 226 | - |
| Ecart de conversion | 620 | -92 |
| Juste valeur des actifs des régimes au 31 décembre | 31 586 | 29 176 |
Le Groupe estime à € 615 000 le montant des cotisations liées aux régimes à prestations définies pour l'exercice 2015.
| 2014 | 2013 | |
|---|---|---|
| Actions | 26,9 % | 27,8 % |
| Obligations | 49,2 % | 48,1 % |
| Immobilier | 15,4 % | 10,5 % |
| Contrats d'assurance | 1,4 % | 1,6 % |
| Liquidités | 4,7 % | 4,9 % |
| Divers | 2,4 % | 7,1 % |
| TOTAL | 100 % | 100 % |
Le taux de rendement attendu des actifs des régimes est déterminé en fonction de prévisions à long terme de taux d'inflation, de taux d'intérêt et de primes de risque pour les différentes catégories d'actifs. Ces prévisions prennent en considération les taux de rendement historiques à long terme.
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Ecarts actuariels sur les passifs des régimes | -4 599 | 2 935 |
| Ajustements liés à l'expérience relatifs aux passifs des régimes | 1 547 | 713 |
| Ajustements liés à l'expérience relatifs aux actifs des régimes | 2 050 | 1 232 |
| Gain (perte) sur la réévaluation des régimes à prestations définies | -1 002 | 4 880 |
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Coût des services rendus | 1 213 | 1 221 |
| Charge d'intérêt net | 236 | 285 |
| Frais d'administration | - | 32 |
| Coût des services passés | -937 | - |
| Coût /(produit) des régimes à prestations définies | 512 | 1 538 |
| en % | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Taux d'actualisation | 1,66 % | 2,44 % |
| Augmentations futures des salaires | 2,15 % | 2,05 % |
L'espérance de vie est prise en compte dans les engagements définis sur la base de tables de mortalité du pays dans lequel le régime est situé. Des tables générationnelles, permettant de modéliser l'évolution future de la mortalité, ont été utilisées au 31 décembre 2014 et 2013.
L'impact sur le montant des engagements des régimes à prestations définies au 31 décembre 2014 d'une augmentation ou diminution des principales hypothèses actuarielles est présenté ci-dessous :
| En milliers d'euros | Augmentation | Diminution |
|---|---|---|
| Taux d'actualisation (variation de 0,5 %) | -2 932 | 3 362 |
| Augmentation futures des salaires (variation de 0,5 %) | 107 | -107 |
Cette analyse repose sur l'hypothèse que toutes les autres variables demeurent constantes.
Cette rubrique se décompose comme suit :
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Dettes liées aux activités teneurs de comptes | 511 211 | 498 567 |
| Dettes liées aux activités en principal | 168 093 | 120 168 |
| Charges à payer | 104 510 | 96 304 |
| Dettes envers les parties liées | 1 602 | 3 435 |
| Autres dettes à court terme | 47 246 | 44 084 |
| TOTAL | 832 662 | 762 558 |
L'exposition du Groupe liée aux risques de liquidité, de change et de taux d'intérêts sur les fournisseurs et autres créanciers est décrite en note 30.
Au 31 décembre 2014, l'impôt à payer consolidé de VIEL & Cie s'élève à € 5 640 000, contre € 5 619 000 au 31 décembre 2013.
Les impôts à recevoir pour un montant de € 6 627 000 au 31 décembre 2014 contre € 7 858 000 au 31 décembre 2013 sont principalement constitués d'acomptes d'impôt versés par des sociétés du Groupe.
| 2014 | 2013 retraité | |||
|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Actifs | Passifs | Actifs | Passifs |
| Contrats de change à terme sur devises | 368 | 512 | 955 | - |
| Swaps de taux d'intérêts | - | 1 568 | - | 3 108 |
| Total | 368 | 2 080 | 955 | 3 108 |
Le Groupe utilise des instruments dérivés sur devises de manière ponctuelle pour gérer les risques de change à court terme sur les principales monnaies du Groupe. La juste valeur des instruments financiers dérivés correspond à leur valeur comptable.
Le Groupe utilise des swaps de taux d'intérêts pour gérer son exposition découlant des taux d'intérêts variables par rapport aux taux fixes.
Des contrats d'une valeur nominale de CHF 90 000 000 (CHF 90 000 000 au 31 décembre 2013) à un taux d'intérêts fixe moyen de 0,95 % (0,95 % au 31 décembre 2013) pour des durées variables et un taux d'intérêts variable calculé sur base du Libor. Ces contrats viennent à échéance respectivement les 1er juin 2015 et 2016. Certains de ces instruments ont été désignés par le Groupe comme une couverture sur flux de trésorerie.
Par ailleurs, des contrats d'une valeur nominale de € 60 000 000 (€ 90 000 000 au 31 décembre 2013) ont des taux d'intérêt fixes de 1,99 % et 2,13 %, pour des durées variables et des taux d'intérêt variables moyens calculés sur la base de l'EURIBOR 3 mois. Ces contrats viennent à échéance le 17 janvier 2016.
La juste valeur des swaps de taux d'intérêts correspond à leur valeur comptable. Le montant est basé sur des prix de marché à la date du bilan, reçus de tiers et pour des instruments équivalents.
Au 31 décembre 2014, la part efficace de la juste valeur des instruments de couvertures est une perte de € 516 000, contre une perte de € 1 554 000 au 31 décembre 2013, et a été comptabilisée dans les capitaux propres.
L'exposition du Groupe liée aux risques de liquidité, de crédit, de change et de taux d'intérêts sur les instruments financiers dérivés est décrite en note 30.
Engagements futurs minimum relatif à la période contractuelle non résiliable :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| A moins de un an | 15 970 | 13 724 |
| Entre un et cinq ans | 32 182 | 33 049 |
| Supérieurs à cinq ans | 2 741 | 7 426 |
| Engagements minimum futurs | 50 893 | 54 198 |
Ces engagements de location non portés au bilan concernent principalement des bureaux que louent les sociétés du Groupe. Les montants indiqués se rapportent uniquement à la période contractuelle non résiliable.
Les charges de location simple s'élèvent à € 18 081 000 pour l'exercice 2014, contre € 19 232 000 pour l'exercice 2013, et sont incluses sous la rubrique « Autres charges d'exploitation ».
VIEL & Cie est une société qui consolide trois pôles d'activité, dans le domaine de l'intermédiation professionnelle au travers de Compagnie Financière Tradition, de la bourse en ligne au travers de Bourse Direct, et une participation mise en équivalence de 40 % dans SwissLife Banque Privée. Est considéré comme employé clef, le Président du Conseil d'administration de VIEL & Cie.
Le Président du Conseil d'administration ne perçoit pas de rémunération de la société VIEL & Cie mais de sa maison-mère VIEL et Compagnie-Finance ; il bénéficie de la part de la société VIEL & Cie de jetons de présence pour un montant de € 12 000 au titre de l'exercice 2014 (€ 12 000 en 2013).
Aucun avantage en nature, avantage postérieur à l'emploi, autre avantage à long terme, indemnité de fin de contrat de travail et paiement fondé sur des actions n'est accordé au Président-Directeur général.
| Non courant En milliers d'euros |
31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Créances sur les sociétés associées | - | 603 |
| TOTAL | - | 603 |
| Courant En milliers d'euros |
31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
| Créances sur les sociétés associées | 1 971 | 847 |
| Créances sur les coentreprises | 2 509 | 829 |
| Créances sur l'actionnaire et les sociétés liées | 22 975 | 3 695 |
| TOTAL | 27 455 | 5 371 |
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Dettes envers les sociétés associées | 41 | 1 904 |
| Dettes sur les coentreprises | 1 259 | 1 531 |
| Dettes envers l'actionnaire et les sociétés liées | 302 | - |
| TOTAL | 1 602 | 3 435 |
Les rubriques « Créances sur l'actionnaire et les sociétés liées » et « Dettes envers l'actionnaire et les sociétés liées » comprennent l'ensemble des créances et dettes de VIEL & Cie et de ses filiales vis-à-vis de leur actionnaire majoritaire ultime, VIEL et Compagnie-Finance, Paris, ainsi que des filiales de cette société.
L'une des filiales du Groupe a renouvelé le 1er janvier 2013 un contrat de bail à loyer d'une durée non résiliable de 5 ans avec une société appartenant à son actionnaire ultime. En 2014, une charge locative d'un montant de € 790 000 (€ 780 000 en 2013) est constatée sous la rubrique « Autres charges d'exploitation ».
Jusqu'en juin 2014, Compagnie Financière Tradition SA avait un contrat de liquidité avec une société liée à l'un de ses administrateurs pour une activité de « market making » sur ses actions. Dans le cadre de ce mandat, des commissions forfaitaires d'un montant de € 9 000 ont été versées en 2014 (€ 15 500 en 2013).
Une société de services appartenant à l'actionnaire majoritaire de VIEL & Cie a facturé au Groupe des frais de déplacement pour un montant de € 827 000 en 2014 (€ 806 000 en 2013).
Les filiales françaises de VIEL & Cie ont conclu un contrat de bail avec son actionnaire majoritaire ultime pour une durée restant à courir de 11 mois. En 2014, une charge locative d'un montant de € 4 101 000 (€ 3 910 000 en 2013) est constatée sous la rubrique « Autres charges d'exploitation ».
Lors du rachat des actions de Compagnie Financière Tradition SA détenues par Banque Pallas Stern, VIEL et Compagnie-Finance s'est engagée à payer à Compagnie Financière Tradition SA et à ses filiales la différence entre le montant total des créances sur Comipar et Banque Pallas Stern et les dividendes de liquidation qui seront encaissés par Compagnie Financière Tradition SA et ses filiales au titre du recouvrement de ces mêmes créances. Le solde total de ces créances, garanti par VIEL et Compagnie-Finance, maison-mère de VIEL & Cie, a été contre-garanti par VIEL & Cie.
Cet engagement porte sur le montant des créances déclarées par Compagnie Financière Tradition SA et ses filiales lors de la mise en redressement judiciaire de ces deux structures, soit un total € 16 444 000. VIEL et Compagnie-Finance exécutera cet engagement de payer dès versement, par Banque Pallas Stern et par Comipar, du dernier dividende de liquidation se rapportant aux créances susmentionnées.
Entre 1999 et 2014, VIEL & Cie et ses filiales ont reçu des remboursements partiels de la part de Banque Pallas Stern et Comipar, à hauteur de 91,0 % des créances déclarées (sans changement par rapport à l'exercice précédent). Les créances résiduelles de VIEL & Cie et de ses filiales s'établissent ainsi à € 1 752 800 au 31 décembre 2014, sans changement par rapport à 2013.
Ces créances sont intégralement adossées en termes de risques à un passif qui figure au passif consolidé de VIEL & Cie sous la rubrique « Fournisseurs et autres créanciers ».
| En milliers d'euros | 31.12.2014 | 31.12.2013 |
|---|---|---|
| Titres à livrer | 128 133 430 | 94 634 118 |
| Titres à recevoir | 128 129 553 | 94 601 525 |
Les titres à livrer et à recevoir reflètent les opérations d'achat et de vente de titres initiées avant le 31 décembre 2014 et débouclées après cette date, dans le cadre des activités en principal réalisées par les sociétés du Groupe traitant avec des institutionnels, ou des opérations en règlements différés pour l'activité de bourse en ligne.
Le Groupe est principalement exposé aux risques suivants :
Des informations sur l'exposition du Groupe à chacun des risques cités ci-dessus, les objectifs, politique et procédures de gestion du risque, ainsi que les méthodes utilisées pour les mesurer sont présentés dans la section « Gouvernement d'entreprise » du rapport annuel de la société.
Les objectifs du Groupe au niveau de la gestion du capital sont de maintenir un niveau de capitaux propres suffisant afin d'assurer la continuité des opérations et d'apporter un retour sur investissement aux actionnaires.
Le Conseil d'administration effectue le suivi de la rentabilité des capitaux propres qui est défini par la relation entre le résultat net d'exploitation et les capitaux propres, nets de la part attribuable aux actionnaires minoritaires. Le Conseil d'administration effectue aussi le suivi des dividendes versés aux actionnaires.
Le Groupe gère la structure du capital et y apporte des rectifications en fonction des variations de l'environnement économique. Afin de maintenir ou d'ajuster la structure du capital, le Groupe peut soit ajuster le montant des dividendes distribués aux actionnaires, rembourser du capital aux actionnaires, émettre de nouvelles actions, ou vendre des actifs pour réduire le montant des dettes.
En 2014, il n'y a pas eu de changement dans l'approche du Groupe en relation avec la gestion du capital.
VIEL & Cie n'est pas soumise à des exigences en matière de capital. Cependant, certaines filiales du Groupe sont soumises localement à des exigences de capital réglementaire imposées par les autorités de surveillance des pays concernés. Le suivi et l'application des directives réglementaires sont effectués par les responsables locaux en charge de la conformité.
La valeur comptable des actifs financiers représente l'exposition maximale du Groupe au risque de crédit. L'exposition au risque de crédit se présente comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Actifs financiers disponibles à la vente | 33 813 | 23 519 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 548 | 762 |
| Prêts et créances | 863 680 | 781 001 |
| Instruments financiers dérivés actifs | 368 | 955 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 270 866 | 271 953 |
| Trésorerie non disponible | 28 888 | 21 560 |
| TOTAL | 1 198 163 | 1 099 750 |
L'échéancier des créances clients et comptes rattachés se présente comme suit :
| 2014 | 2013 retraité | |||
|---|---|---|---|---|
| En nombre d'options | Valeur brute | Pertes de valeur |
Valeur brute | Pertes de valeur |
| Créances non arriérées | 60 023 | -27 | 50 719 | -1 |
| Moins de 30 jours d'arriéré | 19 262 | - | 21 464 | - |
| Entre 31 et 60 jours d'arriéré | 12 287 | - | 11 988 | - |
| Entre 61 et 90 jours d'arriéré | 6 147 | - | 8 448 | - |
| Entre 91 et 180 jours d'arriéré | 5 440 | -57 | 11 754 | -364 |
| Plus de 180 jours d'arriéré | 8 696 | -1 524 | 8 349 | -1 226 |
| TOTAL | 111 855 | -1 608 | 112 722 | -1 591 |
Selon l'expérience acquise au niveau des défaillances de paiement, le Groupe estime qu'une dépréciation des créances qui ne présentent pas d'arriéré, ou dont l'arriéré est inférieur à 60 jours n'est pas nécessaire.
Une perte de valeur est comptabilisée sur une créance lorsqu'il existe une indication objective que le Groupe ne sera pas en mesure d'encaisser les montants dus selon les termes initiaux de la créance. Des difficultés financières importantes du débiteur, la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière ou des défauts de paiement sont considérés comme des indications objectives que la créance est dépréciée. La majorité des clients sont d'importantes institutions financières bénéficiant d'une bonne notation de crédit.
Le mouvement de la provision pour pertes de valeur sur les créances clients et comptes rattachés au cours de la période se présente comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Provision au 1er janvier | 1 591 | 3 052 |
| Dotation de l'exercice | 314 | 2 354 |
| Reprise utilisée | -12 | -3 263 |
| Dissolution | -372 | -447 |
| Ecart de conversion | 87 | -105 |
| Provision au 31 décembre | 1 608 | 1 591 |
L'échéancier des créances liées aux activités en principal se présente comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Moins de 5 jours d'arriéré | 32 281 | 12 557 |
| Entre 6 et 15 jours d'arriéré | 116 587 | 98 041 |
| Entre 16 et 30 jours d'arriéré | 34 438 | 13 643 |
| Entre 31 et 45 jours d'arriéré | 3 268 | 1 900 |
| Plus de 45 jours d'arriéré | - | 1 062 |
| TOTAL | 186 574 | 127 203 |
Ces montants représentent des opérations non dénouées après la date de livraison prévue et sont causés essentiellement par des retards de règlement des titres de la part des contreparties. Sur la base de l'analyse des données historiques des pertes encourues, le Groupe estime qu'une dépréciation des créances liées aux activités en principal n'est pas nécessaire. La majorité des contreparties sont d'importantes institutions financières bénéficiant d'une excellente notation de crédit. De plus, les transactions sont soumises à des limites de crédit appropriées déterminées en fonction de la qualité de la contrepartie.
Les échéances contractuelles résiduelles des passifs financiers incluant le montant estimatif des paiements d'intérêts se présentent comme suit :
| Au 31 décembre 2014 en milliers d'euros |
A moins de 3 mois |
De 3 à 6 mois |
De 6 à 12 mois |
De 1 à 5 ans |
A plus de 5 ans |
Total |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Dettes financières à long terme | - | - | - | 30 000 | - | 30 000 |
| Location financement - Paiement minimum futur | - | - | - | - | - | - |
| Emprunts obligataires | - | - | 3 684 | 103 165 | 106 849 | |
| Fournisseurs et autres créanciers | 824 045 | 2 284 | 6 333 | - | - | 832 662 |
| Instruments financiers dérivés passifs | 1 594 | 142 | 188 | 156 | - | 2 080 |
| Dettes financières à court terme | 107 624 | - | - | - | - | 107 624 |
| Autres passifs financiers | - | - | - | - | - | - |
| TOTAL | 933 263 | 2 426 | 10 205 | 133 321 | - | 1 079 215 |
| Au 31 décembre 2013 retraité en milliers d'euros |
A moins de 3 mois |
De 3 à 6 mois |
De 6 à 12 mois |
De 1 à 5 ans |
A plus de 5 ans |
Total |
| Dettes financières à long terme | - | - | - | 60 000 | - | 60 000 |
| Location financement - Paiement minimum futur | 54 | - | - | - | - | 54 |
| Emprunts obligataires | - | - | 3 609 | 104 476 | - | 108 085 |
| Fournisseurs et autres créanciers | 753 234 | 1 788 | 7 536 | - | - | 762 558 |
| Instruments financiers dérivés passifs | 2 189 | 160 | 319 | 440 | - | 3 108 |
| Dettes financières à court terme | 97 688 | - | - | - | - | 97 688 |
| Autres passifs financiers | - | - | - | 240 | - | 240 |
Dans le cadre de ses activités, le Groupe est exposé au risque de change principalement sur le dollar américain (USD), la livre sterling (GBP), l'euro (EUR) et le franc suisse (CHF).
Le tableau suivant détaille la sensibilité du Groupe à une variation de 10 % d'une devise de transaction par rapport aux devises fonctionnelles correspondantes. Cette analyse inclut les actifs et passifs monétaires libellés dans une devise autre que la devise fonctionnelle des différentes entités du Groupe et ajuste leur valeur à la fin de la période pour une variation de 10 % du taux de change.
Cette analyse repose sur l'hypothèse que toutes les autres variables demeurent constantes et est effectuée sur la même base que l'année précédente.
Au 31 décembre, une appréciation de 10 % d'une devise de transaction à l'encontre des autres devises fonctionnelles correspondantes aurait augmenté (diminué) le résultat de l'exercice comme suit, sans impact sur les capitaux propres :
| Au 31 décembre 2014 en milliers d'euros |
USD | GBP | EUR | CHF | Autres | Total |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Devises fonctionnelles | ||||||
| USD | -246 | 462 | - | 245 | 461 | |
| GBP | 1 400 | 1 948 | 193 | 144 | 3 685 | |
| EUR | 2 559 | -110 | 104 | 174 | 2 727 | |
| CHF | 3 902 | 1 546 | 1 733 | 3 996 | 11 177 | |
| Autres | 2 156 | -41 | 172 | -99 | 2 188 | |
| 10 017 | 1 149 | 4 315 | 198 | 4 559 |
| Au 31 décembre 2013 retraité en milliers d'euros |
USD | GBP | EUR | CHF | Autres | Total |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Devises fonctionnelles | ||||||
| USD | -369 | 600 | - | 246 | 477 | |
| GBP | 1 176 | 1 983 | 107 | 158 | 3 424 | |
| EUR | 2 187 | - | 164 | 153 | 2 504 | |
| CHF | 3 134 | 1 418 | 1 728 | 3 278 | 9 558 | |
| Autres | 988 | -26 | 69 | -340 | 691 | |
| 7 485 | 1 023 | 4 380 | -69 | 3 835 |
Profil
Au 31 décembre, le profil des instruments financiers portant intérêts se présente comme suit :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 retraité |
|---|---|---|
| Actifs financiers | 21 726 | 21 315 |
| Passifs financiers | 100 108 | 98 669 |
| Instruments à taux fixe (net) | -78 382 | -77 354 |
| Actifs financiers | 183 101 | 157 449 |
| Passifs financiers | 142 928 | 168 567 |
| Instruments à taux variable (net) | 40 173 | -11 118 |
| Dont dettes financières à taux variable | 137 602 | 156 951 |
Les actifs et passifs financiers à taux variables comprennent essentiellement de la trésorerie et équivalents de trésorerie ainsi que des dettes financières. Les dettes financières émises à des taux variables exposent le Groupe aux risques de flux de trésorerie sur taux d'intérêt.
Au 31 décembre, une augmentation de 50 points de base des taux d'intérêts aurait augmenté (diminué) le résultat et les capitaux propres des montants présentés ci-après. Cette analyse repose sur l'hypothèse que toutes les autres variables demeurent constantes et est effectuée sur la même base pour l'année précédente.
| Au 31 décembre 2014 En milliers d'euros |
Résultat | Capitaux propres |
|---|---|---|
| Actifs financiers nets | 875 | - |
| Swap de taux d'intérêt | 220 | 322 |
| Au 31 décembre 2013 retraité En milliers d'euros |
Résultat | Capitaux propres |
| Actifs financiers nets | 761 | - |
| Swap de taux d'intérêt | 375 | 687 |
Le tableau suivant analyse les instruments financiers évalués à la juste valeur en différents niveaux en fonction des méthodes utilisées. Les niveaux retenus sont les suivants :
La juste valeur n'est pas indiquée pour les postes dont la valeur comptable représente une estimation raisonnable de leur juste valeur.
Les méthodes pour déterminer les justes valeurs sont décrites dans la section regroupant les principales méthodes comptables.
Certains instruments de capitaux propres non cotés présentés dans la rubrique « actifs disponibles à la vente » et dont la juste valeur ne peut être établie de manière fiable, sont évalués au coût d'acquisition après déduction d'éventuelles pertes de valeur. Par conséquent, la juste valeur de ces titres n'est pas indiquée dans les tableaux ci-dessous. Au 31 décembre 2013, la valeur de ces titres était présentée au niveau hiérarchique 3 de juste valeur pour un montant de € 2,6 millions. Les chiffres comparatifs ont été modifiés en conséquence.
| Au 31 décembre 2014 | Valeur | Juste valeur | |||
|---|---|---|---|---|---|
| en milliers d'euros | comptable | Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | Total |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 33 813 | 18 546 | 9 460 | - | 28 007 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 548 | 548 | - | - | 548 |
| Prêts et créances | 874 713 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés actifs | 368 | - | 368 | - | 368 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 270 866 | 8 161 | - | - | 8 161 |
| Trésorerie non disponible | 28 888 | - | - | - | - |
| Total actifs financiers | 1 209 196 | 27 255 | 9 829 | - | 37 084 |
| Dettes financières à court terme | 107 624 | - | - | - | - |
| Fournisseurs et autres créanciers | 832 662 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés passifs | 2 080 | - | 2 080 | - | 2 080 |
| Dettes financières à long terme | 129 480 | 103 194 | 103 194 | ||
| Autres passifs financiers à long terme | - | - | - | - | - |
| Total passifs financiers | 1 071 846 | 103 194 | 2 080 | - | 105 274 |
| Au 31 décembre 2013 retraité | Valeur | Juste valeur | |||
|---|---|---|---|---|---|
| en milliers d'euros | comptable | Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | Total |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 23 519 | 15 813 | 5 134 | - | 20 946 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 762 | 762 | - | - | 762 |
| Prêts et créances | 788 298 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés actifs | 955 | - | 955 | - | 955 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 271 953 | 12 205 | - | - | 12 205 |
| Trésorerie non disponible | 21 560 | - | - | - | - |
| Total actifs financiers | 1 107 047 | 28 779 | 6 088 | - | 34 868 |
| Dettes financières à court terme | 97 717 | - | - | - | - |
| Fournisseurs et autres créanciers | 762 558 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés passifs | 3 108 | - | 3 108 | - | 3 108 |
| Dettes financières à long terme | 157 259 | 101 369 | - | 101 369 | |
| Autres passifs financiers à long terme | 240 | - | - | - | - |
| Total passifs financiers | 1 020 882 | 101 369 | 3 108 | - | 104 476 |
Les principaux cours de change de l'euro, qui ont été utilisés dans le cadre de la consolidation, sont les suivants :
| 31.12.2014 | 31.12.2013 | |||
|---|---|---|---|---|
| Cours de clôture |
Cours moyen |
Cours de clôture |
Cours moyen |
|
| 1 Franc suisse - CHF | 1,2024 | 1,2146 | 1,2276 | 1,2309 |
| 1 Livre sterling - GBP | 0,7789 | 0,8064 | 0,8337 | 0,8493 |
| 1 Yen japonais - JPY | 145,23 | 140,38 | 144,72 | 129,66 |
| 1 Dollar américain - USD | 1,2141 | 1,3288 | 1,3791 | 1,3282 |
La liste des principales sociétés consolidées, ainsi que les pourcentages de détention directe ou indirecte et les méthodes de consolidation retenues pour chacune des sociétés, sont présentés ci-après :
| Pays | Entrées de l'exercice |
% de contrôle |
% d'intérêt |
Capital en milliers |
Méthode MEE/IG/IP |
|
|---|---|---|---|---|---|---|
| VIEL & Cie | Société consolidante 100,00 % |
EUR 15 427 | ||||
| EUROPE | ||||||
| Tradition Government Bond Brokers and Derivative Brokers (Pty) Ltd |
100,00 % | 70,88 % | ZAR 1 000 | IG | ||
| Afrique du Sud | Tradition Data analytic's Services (PTY) Ltd Johannesburg |
100,00 % | 70,88 % | ZAR n/s | IG | |
| TFS Securities (Pty.) Ltd, Johannesbourg | 74,90 % | 53,05 % | ZAR 1 000 | IG | ||
| Allemagne | Finacor Deutschland GmbH, Francfort, et succursale de Munich |
100,00 % | 70,88 % | EUR 1 500 | IG | |
| Tradition Financial Services GmbH, Francfort | 27,50 % | 19,48 % | EUR 75 | MEE | ||
| Finacor & Associés S.A., Bruxelles | 100,00 % | 70,81 % | EUR 1 527 | IG | ||
| Belgique | Easdaq, N.V. | 19,02 % | 16,79 % | EUR 149 658 | MEE | |
| Emirats Arabes Unis Tradition Dubai Ltd, Dubai | 100,00 % | 70,82 % | USD 450 | IG | ||
| Espagne | C.M. Capital Market Holdings S.A. Madrid | 30,90 % | 21,90 % | EUR 379 | MEE | |
| Arpège, Paris | 100,00 % | 100,00 % EUR 22 280 | IG | |||
| Bourse Direct, Paris | 76,57 % | 76,57 % | EUR 13 909 | IG | ||
| E-VIEL, Paris | 100,00 % | 100,00 % | EUR 8 886 | IG | ||
| France | SwissLife Banque Privée, Paris | 40,00 % | 40,00 % | EUR 37 902 | MEE | |
| Tradition Securities And Futures S.A., Paris, et succursale de Londres |
99,90 % | 70,81 % | EUR 13 325 | IG | ||
| TSAF OTC, Paris | 100,00 % | 70,81 % | EUR 10 601 | IG | ||
| Israël | TFS Israel (Brokers) Ltd, Tel Aviv | 80,00 % | 56,66 % | ILS 2 778 | IG | |
| Italie | Tradition Italia Sim S.p.A., Milan | 100,00 % | 70,88 % | EUR 50 | IG | |
| Luxembourg | Tradition Luxembourg S.A., Luxembourg | 100,00 % | 70,88 % | EUR 6 771 | IG | |
| Tradition Management Services Ltd, Londres(2) | 100,00 % | 70,88 % | GBP n/s | IG | ||
| Tradition (UK) Ltd, Londres | 100,00 % | 70,88 % | GBP 21 050 | IG | ||
| Tradition London Clearing Ltd, Londres | 100,00 % | 70,88 % | GBP 3 450 | IG | ||
| Tradition Financial Services Ltd, Londres | 100,00 % | 70,82 % | GBP 250 | IG | ||
| Royaume-Uni | TFS-ICAP Ltd, Londres | 51,00 % | 19,85 % | GBP 20 | MEE | |
| TFS Derivatives Ltd, Londres | 100,00 % | 70,82 % | GBP 1 200 | IG | ||
| Trad - X (UK) Ltd, Londres | 100,00 % | 70,88 % | GBP 3 000 | IG | ||
| ParFX (UK) Limited, Londres | 100,00 % | 70,88 % | GBP n/s | IG | ||
| Russie | Tradition CIS LLC, Moscow | 100,00 % | 70,88 % | RUB 2 680 | IG | |
| Pays-Bas | Financière Vermeer N.V., Amsterdam | 100,00 % | 100,00 % | EUR 90 | IG | |
| Compagnie Financière Tradition SA , Lausanne | 68,90 % | 70,88 % | CHF 16 805 | IG | ||
| Finarbit AG, Küsnacht | 100,00 % | 70,88 % | CHF 1 500 | IG | ||
| Tradition Service Holding SA, Lausanne(1) | 100,00 % | 70,88 % | CHF 21 350 | IG | ||
| Tradition S.A., Lausanne et succursale de Zurich | 100,00 % | 70,88 % | CHF 100 | IG | ||
| Suisse | TFS, Lausanne(1) | 99,92 % | 70,82 % | CHF 3 916 | IG | |
| Trad - X Holding S.A, Lausanne(1) | 100,00 % | 70,88 % | CHF 100 | IG | ||
| Par FX Holding SA, Lausanne(1) | 100,00 % | 70,88 % | CHF 100 | IG | ||
| Tradificom International, Lausanne(2) | 100,00 % | 70,88 % | CHF 200 | IG |
(1) Société holding. (2) Société de services. IG : intégration globale. MEE : mise en équivalence.
| Pays | Entrées de l'exercice |
% de contrôle |
% d'intérêt |
Capital en milliers |
Méthode MEE/IG/IP |
|
|---|---|---|---|---|---|---|
| AMÉRIQUES | ||||||
| Argentine | Tradition Argentina S.A., Buenos Aires | 100,00 % | 70,88 % | ARS 1 546 | IG | |
| Chili | Tradition Chile S.A., Santiago | 100,00 % | 70,88 % | CLP 476 805 | IG | |
| Tradition Securities Colombia S.A., Bogota | 100,00 % | 70,88 % | COP 200 000 | IG | ||
| Colombie | Tradition Colombia S.A., Bogota | 100,00 % | 70,88 % | COP 90 000 | IG | |
| Tradition (North America) Inc., New York | 100,00 % | 70,88 % | USD 500 | IG | ||
| Tradition SEF Inc New York | 100,00 % | 70,88 % | USD n/s | IG | ||
| Tradition Asiel Securities Inc., New York | 100,00 % | 70,88 % | USD 5 | IG | ||
| Trad-X US LLC, New York | 100,00 % | 70,88 % | USD n/s | IG | ||
| Tradition Financial Services Inc., New York | 100,00 % | 70,82 % | USD 50 | IG | ||
| Etats-Unis | TFS Derivatives Corp., New York | 100,00 % | 70,82 % | USD 95 | IG | |
| TFS-ICAP LLC, New York | 27,48 % | 19,46 % | USD n/s | MEE | ||
| TFS Energy LLC, Stamford | 55,50 % | 39,31 % | USD n/s | IG | ||
| TFS Energy Futures LLC, Stamford | 100,00 % | 39,31 % | USD n/s | IG | ||
| TFS Energy Solutions LLC, Houston | 60,00 % | 42,49 % | USD n/s | IG | ||
| StreamingEdge.com Inc., New Jersey(2) | 80,00 % | 56,66 % | USD n/s | IG | ||
| Mexique | Tradition Services S.A. de C.V., Mexico | 100,00 % | 70,88 % | MXN 50 | IG | |
| ASIE-PACIFIQUE | ||||||
| TFS Australia Pty. Ltd, Sydney | 100,00 % | 70,82 % | AUD 5 | IG | ||
| Australie | Tradition Australia Pty. Ltd, Sydney | 100,00 % | 70,88 % | AUD - | IG | |
| Tradition (Asia) Ltd, Hong Kong | 100,00 % | 70,88 % | HKD 25 001 | IG | ||
| Chine | TFS Derivatives HK Ltd, Hong Kong | 100,00 % | 70,82 % | HKD 12 500 | IG | |
| Ping An Tradition International Money Broking Company Ltd, Shenzhen |
33,00 % | 23,39 % | CNY 50 000 | MEE | ||
| Corée | Tradition Korea Ltd, Séoul | 100,00 % | 70,88 % KRW 5 000 000 | IG | ||
| Inde | Derivium capital & Securities Private Ltd, Mumbai |
50,00 % | 35,44 % | INR 6 000 | MEE | |
| Indonésie | PT Tradition Indonesia, Jakarta | 99,00 % | 70,17 % | USD 5 000 000 | IG | |
| Meitan Tradition Co. Ltd, Tokyo | 100,00 % | 70,88 % | JPY 300 000 | IG | ||
| Tradition Japan FX Holdings Ltd, Tokyo(1) | * | 100,00 % | 70,88 % | JPY 500 | IG | |
| Gaitame.com Co., Ltd, Tokyo | 49,81 % | 35,31 % | JPY 801 354 | MEE | ||
| Japon | Tradition Holding Japan Ltd, Tokyo(1) | * | 60,00 % | 42,53 % | JPY 1 000 | IG |
| Tradition Derivative Products Ltd, Tokyo | 60,00 % | 42,53 % | JPY 5 000 | IG | ||
| Tradition Securities Japan Ltd Tokyo | 60,00 % | 42,53 % | JPY 199 000 | IG | ||
| Malaisie | First Taz Money Sdn Bhd, Kuala Lumpur | 40,00 % | 28,35 % | MYR 500 | MEE | |
| Philippines | Tradition Financial Services Philippines Inc., Makati |
100,00 % | 70,88 % | PHP 78 000 | IG | |
| Tradition Singapore (Pte) Ltd, Singapour | 100,00 % | 70,88 % | SGD 300 | IG | ||
| TFS Currencies Pte Ltd, Singapour | 100,00 % | 70,82 % | SGD 700 | IG | ||
| Singapour | Tradition Asia Pacific (Pte) Ltd, Singapour(1) | 100,00 % | 70,88 % | SGD n/s | IG | |
| Ong First Tradition Holding (Pte) Ltd, Singapour | 35,00 % | 30,53 % | SGD 2 500 | MEE | ||
| Tradition Brokers (Thailand) Ltd, Bangkok | 82,50 % | 37,22 % | THB 12 000 | IG | ||
| Thaïlande | Tradition Siam (Brokers) Ltd, Bangkok | 82,50 % | 37,22 % | THB 1 250 | IG |
(1) Société holding. (2) Société de services. IG : intégration globale. MEE : mise en équivalence.
Les tableaux ci-dessous détaillent l'impact des changements de politiques comptables sur le bilan, compte de résultat, état du résultat global et tableau de flux de trésorerie du Groupe résultant de l'adoption de la norme IFRS 11.
| en milliers d'euros | 31.12.2013 publié |
Impact IFRS 11 |
31.12.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Résultat de la période comptabilisé au compte de résultat | 15 520 | -98 | 15 423 |
| Autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
|||
| Ecarts actuariels des régimes à prestations définies | 4 493 | - | 4 493 |
| Total de autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
4 493 | - | 4 493 |
| Autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
|||
| Ajustement à la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie | |||
| - constatés dans la réserve de couverture | 1 799 | - | 1 799 |
| - transférés au compte de résultat | 957 | - | 957 |
| Ajustement à la juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente | |||
| - constatés dans la réserve de réévaluation | 2 430 | - | 2 430 |
| - transférés au compte de résultat | - | - | - |
| Ecart de conversion | -34 542 | -4 | -34 546 |
| Autres éléments du résultat global des sociétés associées | - | - | - |
| Total des autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
-31 627 | -4 | -31 631 |
| Autres éléments du résultat global de l'exercice, nets d'impôts | -27 134 | -4 | -27 138 |
| Résultat global de l'exercice | -11 614 | -102 | -11 715 |
| Part du Groupe | -6 153 | -7 | -6 159 |
| Intérêts minoritaires | -5 461 | -95 | -5 556 |
| en milliers d'euros | 31.12.2013 publié |
Impact IFRS 11 |
31.12.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 793 166 | -48 521 | 744 645 |
| Autres produits d'exploitation | 4 178 | -1 317 | 2 861 |
| Produits d'exploitation | 797 344 | -49 838 | 747 506 |
| Charges de personnel | -555 280 | 22 393 | -532 887 |
| Autres charges d'exploitation | -187 916 | 16 935 | -170 981 |
| Amortissements | -17 727 | 1 467 | -16 260 |
| Gains/(Pertes) de valeur des actifs | -434 | 133 | -301 |
| Charges d'exploitation | -761 357 | 40 928 | -720 429 |
| Résultat d'exploitation | 35 987 | -8 910 | 27 077 |
| Produits financiers | 4 361 | -373 | 3 988 |
| Charges financières | -11 726 | 56 | -11 670 |
| Quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence | 1 228 | 6 234 | 7 462 |
| Résultat avant impôt | 29 850 | -2 994 | 26 857 |
| Impôt sur le bénéfice | -14 330 | 2 896 | -11 434 |
| Résultat net de l'exercice | 15 520 | -98 | 15 423 |
| Intérêts minoritaires | 9 638 | -96 | 9 542 |
| Résultat net part du Groupe | 5 882 | - | 5 881 |
| Résultat par action (en euros) : | |||
| Résultat de base par action | 0,08 | - | 0,08 |
| Résultat dilué par action | 0,08 | - | 0,08 |
| ACTIF en milliers d'euros |
01.01.2013 publié |
Impact IFRS 11 |
01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Immobilisations corporelles | 23 774 | -1 069 | 22 705 |
| Immobilisations incorporelles | 132 027 | -18 412 | 113 615 |
| Participations dans les sociétés associées | 69 284 | 102 923 | 172 207 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 14 575 | - | 14 575 |
| Autres actifs financiers | 6 164 | - | 6 164 |
| Impôts différés actifs | 27 192 | -3 371 | 23 821 |
| Immeubles de placement | 6 230 | - | 6 230 |
| Trésorerie non disponible | 41 295 | -17 652 | 23 643 |
| Autres actifs non courants | - | - | - |
| Total Actifs non courants | 320 541 | 62 420 | 382 960 |
| Autres actifs courants | 12 878 | -2 913 | 9 965 |
| Instruments financiers dérivés actifs | 161 | -23 | 138 |
| Impôts à recevoir | 4 847 | -39 | 4 808 |
| Clients et autres créances | 1 390 626 | -507 233 | 883 393 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 9 433 | - | 9 433 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 2 771 | -14 | 2 757 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 337 716 | -60 912 | 276 804 |
| Total Actifs courants | 1 758 432 | -571 134 | 1 187 298 |
| TOTAL ACTIF | 2 078 973 | -508 715 | 1 570 258 |
| CAPITAUX PROPRES ET PASSIF en milliers d'euros |
01.01.2013 publié |
Impact IFRS 11 |
01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Capital | 15 423 | - | 15 423 |
| Prime d'émission | 21 180 | - | 21 180 |
| Actions propres | -27 298 | - | -27 298 |
| Ecart de conversion | -10 765 | - | -10 765 |
| Réserves consolidées | 263 988 | - | 263 988 |
| Capitaux propres attribuables aux actionnaires de la société mère | 262 528 | - | 262 528 |
| Intérêts minoritaires | 128 000 | -1 030 | 126 970 |
| Total capitaux propres | 390 528 | -1 030 | 389 498 |
| Dettes financières | 90 062 | - | 90 062 |
| Provisions | 43 218 | -531 | 42 687 |
| Impôts différés passifs | 360 | -19 | 341 |
| Produits différés | 3 896 | - | 3 896 |
| Total Passifs non courants | 137 536 | -550 | 136 986 |
| Dettes financières | 165 197 | -58 | 165 139 |
| Fournisseurs et autres créanciers | 1 366 109 | -506 323 | 859 786 |
| Provisions | 3 609 | - | 3 609 |
| Impôts à payer | 8 355 | -607 | 7 748 |
| Instruments financiers dérivés passifs | 6 507 | -2 | 6 505 |
| Produits différés | 1 132 | -145 | 987 |
| Total Passifs courants | 1 550 909 | -507 135 | 1 043 774 |
| TOTAL PASSIF | 1 688 445 | -507 685 | 1 180 760 |
| TOTAL PASSIF ET CAPITAUX PROPRES | 2 078 973 | -508 715 | 1 570 258 |
| ACTIF en milliers d'euros |
31.12.2013 publié |
Impact IFRS 11 |
31.12.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Immobilisations corporelles | 18 856 | -620 | 18 236 |
| Immobilisations incorporelles | 128 140 | -15 999 | 112 141 |
| Participations dans les sociétés associées | 68 840 | 74 938 | 143 778 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 16 392 | - | 16 392 |
| Autres actifs financiers | 6 109 | - | 6 109 |
| Impôts différés actifs | 22 877 | -1 555 | 21 322 |
| Immeubles de placement | 5 730 | - | 5 730 |
| Trésorerie non disponible | 37 292 | -15 732 | 21 560 |
| Total Actifs non courants | 304 235 | 41 033 | 345 268 |
| Autres actifs courants | 11 291 | -1 279 | 10 012 |
| Instruments financiers dérivés actifs | 1 076 | -121 | 955 |
| Impôts à recevoir | 8 221 | -363 | 7 858 |
| Clients et autres créances | 1 130 938 | -342 640 | 788 298 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 7 127 | - | 7 127 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 1 122 | -360 | 762 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 310 884 | -38 931 | 271 953 |
| Total Actifs courants | 1 470 659 | -383 694 | 1 086 965 |
| TOTAL ACTIF | 1 774 894 | -342 661 | 1 432 233 |
| CAPITAUX PROPRES ET PASSIF en milliers d'euros |
31.12.2013 publié |
Impact IFRS 11 |
31.12.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Capital | 15 427 | - | 15 427 |
| Prime d'émission | 21 180 | - | 21 180 |
| Actions propres | -27 298 | - | -27 298 |
| Ecart de conversion | -30 045 | -4 | -30 049 |
| Réserves consolidées | 270 975 | - | 270 976 |
| Capitaux propres attribuables aux actionnaires de la société mère | 250 239 | -4 | 250 235 |
| Intérêts minoritaires | 112 904 | -632 | 112 272 |
| Total capitaux propres | 363 143 | -635 | 362 507 |
| Dettes financières | 157 342 | -83 | 157 259 |
| Autres passifs financiers | 240 | - | 240 |
| Provisions | 35 199 | -417 | 34 782 |
| Impôts différés passifs | 536 | -16 | 520 |
| Produits différés | 3 394 | - | 3 394 |
| Total Passifs non courants | 196 711 | -516 | 196 195 |
| Dettes financières | 97 782 | -65 | 97 717 |
| Fournisseurs et autres créanciers | 1 102 986 | -340 428 | 762 558 |
| Provisions | 3 673 | - | 3 673 |
| Impôts à payer | 6 446 | -827 | 5 619 |
| Instruments financiers dérivés passifs | 3 108 | - | 3 108 |
| Produits différés | 1 045 | -189 | 856 |
| Total Passifs courants | 1 215 040 | -341 509 | 873 531 |
| TOTAL PASSIF | 1 411 751 | -342 025 | 1 069 726 |
| TOTAL PASSIF ET CAPITAUX PROPRES | 1 774 894 | -342 661 | 1 432 233 |
| en milliers d'euros | 31.12.2013 publié |
Impact IFRS 11 |
31.12.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Flux de trésorerie résultant des activités opérationnelles Résultat avant impôts |
29 850 | -2 994 | 26 857 |
| Amortissements | 17 727 | -1 467 | 16 260 |
| Perte de valeur des actifs | 434 | -133 | 301 |
| Résultat financier net | 1 395 | 243 | 1 638 |
| Quote part dans le résultat des sociétés associées | -1 228 | -6 234 | -7 462 |
| Produits d'exploitation sans impact sur les liquidités | -285 | - | -285 |
| Augmentation / (diminution) des provisions | 2 143 | 1 | 2 144 |
| Variation des produits différés | -402 | -83 | -485 |
| Dépense relative aux paiement fondés sur des actions | 560 | - | 560 |
| Plus / (moins) values sur cessions de filiales et sociétés associées | - | - | - |
| Plus / (moins) values sur cessions d'actifs immobilisés | -28 | 2 | -26 |
| Augmentation / (diminution) du fonds de roulement | -9 719 | 11 014 | 1 295 |
| Intérêts payés | -5 649 | - | -5 649 |
| Intérêts perçus | 2 009 | -130 | 1 879 |
| Impôts payés | -16 908 | 1 705 | -15 203 |
| Flux de trésorerie nets résultant des activités opérationnelles | 19 900 | 1 924 | 21 824 |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité d'investissement | |||
| Acquisition d'actifs financiers | -6 257 | 3 742 | -2 515 |
| Valeur de vente d'actifs financiers | 7 701 | - | 7 701 |
| Acquisition de filiales, net de la trésorerie acquise | -4 823 | - | -4 823 |
| Acquisition d'immobilisations corporelles | -3 321 | 87 | -3 234 |
| Valeur de vente d'immobilisations corporelles | 40 | -2 | 38 |
| Acquisition d'immobilisations incorporelles | -11 653 | 2 729 | -8 924 |
| Dividendes reçus | 1 615 | 16 001 | 17 616 |
| (Augmentation) / diminution de la trésorerie non disponible | - | 1 297 | 1 297 |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité d'investissement | -16 698 | 23 854 | 7 156 |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité de financement | |||
| Augmentation des dettes financières à court terme | 754 | - | 754 |
| Diminution des dettes financières à court terme | -87 924 | 62 | -87 862 |
| Augmentation des dettes financières à long terme | 96 997 | - | 96 997 |
| Diminution des dettes financières à long terme | -30 092 | 42 | -30 050 |
| Variation des autres dettes à long terme | - | - | - |
| Augmentation de capital et prime d'émission des filiales | -65 | - | -65 |
| Acquisition d'actions propres | - | - | - |
| Valeur de vente d'actions propres | - | - | - |
| Acquisition d'intérêts non contrôlants | - | -7 170 | -7 170 |
| Dividendes versés aux intérêts minoritaires | -6 512 | - | -6 512 |
| Dividendes versés aux actionnaires de la société mère | -5 602 | - | -5 602 |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité de financement | -32 444 | -7 066 | -39 510 |
| Impact de la variation des taux de change sur la trésorerie consolidée | -23 538 | 7 272 | -16 266 |
| Variation de la trésorerie | -52 780 | 25 984 | -26 796 |
| Trésorerie et équivalent au début de la période | 374 724 | -102 207 | 272 517 |
| Trésorerie et équivalent à la fin de la période | 321 944 | -76 223 | 245 721 |
VIEL & Cie fait l'objet d'une consolidation dans les comptes consolidés de VIEL et Compagnie-Finance, dont le siège social est situé au 23 Place Vendôme, 75001 Paris.
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2014, sur :
Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.
Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.
Nous certifions que les comptes consolidés de l'exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.
Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur les notes « Modification des principes régissant l'établissement des comptes consolidés » et 33 « Impact relatif à la première application de normes comptables » de l'annexe aux comptes consolidés qui expose les impacts de la première application de la norme IFRS 11 relative aux partenariats.
En application des dispositions de l'article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :
Comme mentionné dans les notes suivantes de l'annexe aux comptes consolidés, votre groupe procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur l'évaluation des impôts différés (Note 5), des écarts d'acquisition et des fonds de commerce (Note 8), des actifs financiers disponibles à la vente (Note 14), des provisions (Note 21), des instruments dérivés (Note 25) ainsi que de l'évaluation des engagements de retraite et autres avantages postérieurs à l'emploi (Note 22). Nous avons examiné les hypothèses retenues et vérifié que ces estimations comptables s'appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans ces notes de l'annexe aux comptes consolidés relatives aux principales conventions comptables. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.
Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.
Paris et Paris-La Défense, le 20 avril 2015
Les Commissaires aux Comptes
FIDORG AUDIT Manuel Le Roux ERNST & YOUNG Audit Marc Charles
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
| 2014 | 2013 | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| ACTIF En milliers d'euros |
Note | Brut | Amort. / Dépr | Net | Net |
| Actif immobilisé | |||||
| Immobilisations incorporelles | II.1 | 898 | 898 | - | - |
| Immobilisations corporelles | II.1 | 3 778 | 3 759 | 19 | 26 |
| Immobilisations financières | |||||
| Participations | II.2 | 143 498 | 7 031 | 136 467 | 110 510 |
| TIAP et autres immobilisations financières | II.2 | 30 191 | 473 | 29 718 | 29 717 |
| TOTAL DE L'ACTIF IMMOBILISE | 178 365 | 12 161 | 166 204 | 140 253 | |
| Actif circulant | |||||
| Clients et comptes rattachés | |||||
| Autres créances | II.3 | 61 928 | - | 61 928 | 91 799 |
| Valeurs mobilières de placement | II.4 | 1 000 | - | 1 000 | - |
| Disponibilités | II.4 | 9 095 | - | 9 095 | 14 131 |
| Charges constatées d'avance | 44 | 44 | 35 | ||
| TOTAL DE L'ACTIF CIRCULANT | 72 067 | - | 72 067 | 105 965 | |
| Charges à répartir | II.5 | 285 | - | 285 | 570 |
| TOTAL DE L'ACTIF | 250 717 | 12 161 | 238 556 | 246 788 |
PASSIF En milliers d'euros Note 2014 2013 Capitaux propres Capital social 15 427 15 427 Prime d'émission, de fusion, d'apport 21 180 21 180 Réserve légale 1 543 1 542 Réserve des plus-values à long terme - - Autres réserves 23 090 23 089 Report à nouveau 62 225 60 618 Résultat de l'exercice 6 717 5 810 TOTAL DES CAPITAUX PROPRES II.6 130 182 127 667 Provisions II.7 3 594 6 435 Dettes Emprunts et dettes financières diverses II.8 103 666 111 536 Dettes fournisseurs et comptes rattachés 229 252 Dettes fiscales et sociales II.9 128 96 Autres dettes II.10 757 802 TOTAL DES DETTES 104 780 112 686 TOTAL DU PASSIF 238 556 246 788
En milliers d'euros Note 2014 2013 Chiffre d'affaires net - - Reprises d'amortissements et provisions - - Autres produits d'exploitation 20 20 Produits d'exploitation III.1 20 20 Frais de personnel -497 -474 Autres achats et charges externes -3 116 -2 026 Impôts, taxes et versements assimilés -62 -84 Dotations aux amortissements et provisions -294 -307 Autres charges -64 -84 Charges d'exploitation -4 033 -2 975 Résultat d'exploitation -4 013 -2 955 Résultat financier III.2 7 729 9 115 Résultat courant avant impôt 3 716 6 160 Résultat exceptionnel III.3 2 848 -182 Impôt sur le bénéfice III.4 153 -168 Résultat net de l'exercice 6 717 5 810
VIEL & Cie est une société d'investissement dont le but est d'investir sur le long terme dans des sociétés du secteur de la finance et d'accélérer leur croissance et leur développement afin d'en faire des acteurs majeurs dans leur métier respectif.
VIEL & Cie contrôle deux sociétés cotées spécialisées dans l'intermédiation financière, Compagnie Financière Tradition, présente dans 28 pays, active dans le secteur de l'intermédiation professionnelle et Bourse Direct, intervenant dans le domaine de la bourse sur Internet en France, ainsi qu'un pôle de gestion et de banque privée, au travers d'une participation de 40 % dans SwissLife Banque Privée.
Au 31 décembre 2014, les comptes annuels de VIEL & Cie sont établis conformément aux dispositions du règlement n° CRC 99-03 applicables aux sociétés commerciales ainsi qu'aux principes comptables généralement admis.
Les conventions générales comptables ont été appliquées dans le respect du principe de prudence, conformément aux hypothèses de base :
Néant
Ces immobilisations sont enregistrées à leur coût d'acquisition. Les amortissements sont calculés sur la durée d'utilité estimée du bien suivant les modes et les durées suivants :
| $\epsilon$ | |
|---|---|
installations et agencements : 10 ans, linéaire
mobilier et matériel de bureau : 10 ans, linéaire
logiciel : 2 ans, linéaire - matériel informatique : 2 à 5 ans, linéaire ou dégressif
Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation ainsi que les titres d'autocontrôle sont enregistrés à leur coût d'acquisition incluant les frais y afférents, et évalués en fonction de leur valeur d'utilité par la méthode la plus pertinente selon les cas de figure, représentée notamment :
Une dépréciation est constatée en cas de moins-value latente.
Les titres de placement sont comptabilisés à leur valeur brute d'achat. Une dépréciation est constituée lorsque la valeur estimative est inférieure à la valeur d'achat. Cette valeur estimative peut être basée sur le cours moyen du dernier mois pour les titres cotés, sur la quote-part de la dernière situation nette connue pour les titres non cotés, ou sur une analyse multicritères tenant compte des spécificités du titre concerné lorsque les critères précédents ne sont pas pertinents.
Les valeurs mobilières de placement sont enregistrées à leur coût d'acquisition. Lors de leur cession, la méthode d'évaluation retenue est le FIFO. Une dépréciation est constatée en cas de moins-value latente.
La société a pris l'option de comptabiliser à l'actif les frais d'émission des emprunts.
L'euro étant la monnaie de présentation des comptes de la société, les actifs et les passifs monétaires libellés en devises étrangères à la fin de la période sont convertis aux cours de change en vigueur à cette date. Les différences de change résultant de ces opérations sont constatées au compte de résultat, sous la rubrique « Résultat financier net ».
Les immobilisations incorporelles et corporelles de VIEL & Cie se décomposent comme suit :
| 2014 | 2013 | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Brut | Amort. | Net | Brut | Amort. | Net |
| Immobilisations incorporelles | 898 | 898 | - | 898 | 898 | - |
| Immobilisations corporelles | ||||||
| Agencements - Installations | 1 608 | 1 608 | - | 1 608 | 1 608 | - |
| Matériels informatiques, de bureaux | 1 989 | 1 981 | 8 | 1 989 | 1 974 | 15 |
| Autres immobilisations corporelles | 181 | 170 | 11 | 181 | 170 | 11 |
| TOTAL des immobilisations | 4 676 | 4 657 | 19 | 4 676 | 4 650 | 26 |
Les immobilisations incorporelles sont constituées des logiciels et progiciels informatiques.
Aucune variation significative n'est intervenue au cours de l'exercice 2014.
Le portefeuille d'immobilisations financières de VIEL & Cie se décompose comme suit, aux 31 décembre 2014 et 2013 :
| % de détention 31.12.2014 |
Dernier résultat disponible 2013-2014 |
Capitaux propres disponibles 31.12.2013- 2014 |
Valeur brute des titres 31.12.2014 |
Dépréciation des titres 31.12.2014 |
Valeur nette 31.12.2014 |
Valeur nette 31.12.2013 |
|
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| € 1 000 | € 1 000 | ||||||
| Participations | |||||||
| Financière Vermeer N.V., Amsterdam | 100,00 % | 12 003 EUR | 103 056 | 73 349 | - | 73 349 | 43 349 |
| E-VIEL | 100,00 % | 300 EUR | 26 116 | 18 110 | - | 18 110 | 18 110 |
| Swiss Life Banque Privée | 40,00 % | 6 318 EUR | 83 128 | 32 209 | - | 32 209 | 32 209 |
| Verbalys | 16,30 % | -1 315 EUR | * | 1 982 | -1 431 | 551 | 551 |
| Exchangelab | 6,99 % | * USD | * | 337 | -337 | - | - |
| Superformance | 33,99 % | 124 EUR | 768 | 500 | -239 | 261 | 219 |
| Arpège | 100,00 % | -204 EUR | 27 118 | 8 900 | 8 900 | 8 900 | |
| Boost Venture | 8,40 % | * EUR | * | 263 | -263 | - | - |
| Ong First Tradition Pte Ltd Singapour | 19,66 % | 49 475 SGD | 19 707 | 6 529 | -4 569 | 1 960 | 6 000 |
| Insead OEE Data Services | 18,94 % | -239 EUR | 304 | 250 | -192 | 58 | 103 |
| Easdaq NV Belgique | 9,51 % | -2 104 EUR | 3 169 | 1 069 | 1 069 | 1 069 | |
| 143 498 | -7 031 | 136 467 | 110 510 | ||||
| Autres immobilisations financières | |||||||
| Sociétés technologiques | |||||||
| Result Venture | 5,00 % | - | - | 114 | -114 | - | - |
| Conexant Syst. | - | - | - | 14 | -14 | - | - |
| Wansquare | 2,78 % | - EUR | 50 | -48 | 2 | 1 | |
| LCH Clearnet | 0,14 % | 53 600 EUR | 834 100 | 1 044 | 1 044 | 1 044 | |
| Fonds d'investissement | |||||||
| Woodside IV LP | 0,35 % | * USD | * | 371 | -297 | 74 | 74 |
| Titres d'autocontrôle | 9,20 % | 27 298 | 27 298 | 27 298 | |||
| Autres | 1 300 | 1 300 | 1 300 | ||||
| 30 191 | -473 | 29 718 | 29 717 |
* Information non disponible.
Au 31 décembre 2014, VIEL & Cie détient 7 096 996 de ses propres titres, soit 9,20 % de son capital, détention préalablement autorisée par l'Assemblée générale des actionnaires. Ces titres ont pour la plupart été acquis avant le 31 décembre 2006 ; ils ne sont pas destinés à être cédés, mais à être utilisés dans le cadre d'une éventuelle opération en titre, remis dans le cadre de paiements fondés sur des actions, ou annulés.
Ces titres autodétenus sont présentés au bilan pour leur valeur d'acquisition, soit une valeur brute de k€ 27 297 au 31 décembre 2014 (k€ 27 298 au 31 décembre 2013). Aucune dépréciation n'est constatée sur ces titres.
La ligne « autres » comprend notamment un prêt subordonné vis-à-vis de SwissLife Banque Privée.
Au cours de l'exercice 2014, VIEL & Cie a incorporé une partie de sa créance au capital de sa filiale Financière Vermeer N.V. pour un montant de k€ 30 000.
En décembre 2013, Ong First Tradition Holdings Pte Ltd dans laquelle VIEL & Cie détient une participation de 19,66 %, a signé un contrat de vente pour céder sa filiale opérationnelle à un investisseur tiers. La finalisation de cette transaction est intervenue en 2014 avec l'approbation des autorités de surveillance respectives. Cette cession a été réalisée à un prix égal à la valeur nette des titres chez VIEL & Cie.
VIEL & Cie constate par ailleurs une dépréciation des titres Ong First Tradition Holding Pte Ltd à mesure que cette société lui reverse le produit de cette cession sous forme de dividendes (cf. note III.2).
Au titre de l'exercice 2014, une dépréciation égale au montant du dividende perçu, soit k€ 4 040, a été constatée.
Au cours de l'exercice 2013, VIEL & Cie a participé à l'opération de restructuration du capital de la société EASDAQ, actionnaire unique de la plateforme Equiduct. A l'issue de cette opération, VIEL & Cie détient 9,51 % du capital de la société EASDAQ, pour un investissement total de k€ 1 069.
Au 31 décembre 2014, cette participation a fait l'objet d'une évaluation multicritères visant à s'assurer que sa valeur d'utilité est au moins égale à sa valeur nette comptable ; cette méthode comprend comme critères principaux une analyse de cash-flow actualisés basée sur les prévisions de la société.
Dans le cadre de ces évaluations, les principaux paramètres utilisés dans le cadre de l'actualisation des cash-flow et de la détermination de la valeur terminale sont les suivants :
Le taux d'actualisation est appliqué sur le résultat après impôts.
La sensibilité de la valeur d'utilité ainsi déterminée à la variation des deux premières hypothèses clefs est faible. Ainsi, une augmentation de 100 points de base appliquée au taux d'actualisation n'entraînerait pas une baisse de la valeur d'utilité qui nécessiterait de constater une dépréciation ; il en est de même pour une réduction de 100 points de base du taux de croissance à long terme.
Sur la base de cette analyse, aucune dépréciation n'est nécessaire au 31 décembre 2014.
Les autres créances se décomposent de la façon suivante :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Créances sur les sociétés liées | 59 592 | 88 904 |
| Etat et collectivités publiques | 2 268 | 2 844 |
| Autres créances | 68 | 51 |
| TOTAL | 61 928 | 91 799 |
| Dépréciation | - | - |
| TOTAL NET | 61 928 | 91 799 |
Les créances de VIEL & Cie sur les sociétés liées sont détaillées en note II.11.
Les créances sur l'Etat sont principalement constituées d'une créance de carry-back constatée au titre de l'exercice 2010 ; cette créance peut être utilisée pour régler une dette d'impôt sur les sociétés pendant un délai de cinq ans, et remboursable à l'issue de ce délai si elle n'a pas pu être imputée sur un paiement.
Au 31 décembre 2014, une partie de la trésorerie de VIEL & Cie est placée en dépôts à terme ne présentant pas de risque de perte en capital, et dont la liquidité est assurée à tout moment.
Un montant de € 3 816 000 est nanti dans le cadre d'un litige fiscal provisionné à hauteur du risque estimé par la société (cf. note II.7).
Le 19 juin 2014, la société a souscrit pour k€ 1 000 en parts de SICAV actions.
Les charges à répartir, d'un montant de k€ 285 au 31 décembre 2014 (contre k€ 570 au 31 décembre 2013) sont constituées de frais d'émission d'emprunt. VIEL & Cie a en effet opté pour l'étalement de ces frais sur la durée d'amortissement de sa dette.
La variation des capitaux propres au cours de l'exercice 2014 s'analyse comme suit :
| En milliers d'euros | Ouverture au 01.01.2014 |
Affectation du résultat 2013 |
Résultat 2014 | Solde au 31.12.2014 |
|---|---|---|---|---|
| Capital social | 15 427 | - | - | 15 427 |
| Prime d'émission | 21 180 | - | - | 21 180 |
| Réserve légale | 1 542 | 1 | - | 1 543 |
| Réserves réglementées | - | - | - | - |
| Autres réserves | 23 089 | - | - | 23 089 |
| Report à nouveau | 60 618 | 1 607 | - | 62 225 |
| Résultat de la période | 5 810 | -5 810 | 6 717 | 6 717 |
| TOTAL | 127 668 | -4 202 | 6 717 | 130 182 |
Au 31 décembre 2014, le capital social de VIEL & Cie est composé de 77 136 740 actions d'une valeur nominale de € 0,2, soit un capital de 15 427 348 euros.
L'Assemblée générale mixte du 12 juin 2014 a voté, sur proposition du Conseil d'administration, le versement d'un dividende de € 0,06 par action au titre de l'exercice 2013. La fraction du dividende correspondant aux actions auto détenues par VIEL & Cie a été inscrite au compte de « Report à nouveau».
Au 31 décembre 2014, les options de souscription consenties aux collaborateurs du Groupe VIEL & Cie présentent les caractéristiques suivantes :
| Date d'attribution | Nombre d'actions de 0,2 € de nominal |
Augmentation de capital potentielle en € |
Date de début d'exercice |
Date d'échéance |
Prix d'exercice en € |
|---|---|---|---|---|---|
| Plan du 03/01/2006 | 375 000 | 75 000 | 03.01.08 | 02.01.18 | 3,42 |
| TOTAL | 375 000 | 75 000 |
Le nombre et les prix d'exercice moyens pondérés des options de souscription sur action consenties aux collaborateurs de la Société sont les suivants :
| 2014 | 2013 | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| en nombre d'options | Prix d'exercice moyen pondéré |
Nombre d'options |
Prix d'exercice moyen pondéré |
Nombre d'options |
|
| En circulation au début de la période | 3,89 | 570 300 | 3,89 | 570 300 | |
| Attribuées pendant la période | - | - | - | - | |
| Auxquelles il est renoncé pendant la période | - | - | - | - | |
| Exercées pendant la période | - | - | - | - | |
| Expirées/annulées pendant la période | 4,78 | -195 300 | - | - | |
| En circulation à la fin de la période | 3,42 | 375 000 | 3,89 | 570 300 | |
| Exerçables à la fin de la période | 3,42 | 375 000 | 3,89 | 570 300 |
Le paiement de ces options consenties à des salariés de la société s'effectuera en actions.
Au 31 décembre 2014, les caractéristiques des plans sont les suivantes :
| Nature du plan | |
|---|---|
| (En euros) | Plan d'attribution 2013 |
| Date de l'Assemblée Générale | 07-juin-12 |
| Date d'attribution | 20-mars-13 |
| Nombre total d'actions gratuites octroyées | 100 000 |
| Date de départ de l'octroi des actions | 20-mars-17 |
| Date de fin d'indisponibilité des actions | 20-sept-17 |
| Date des octrois au titre du plan | 20-mars-13 |
| Nombre d'actions gratuites en circulation au 1er janvier | 100 000 |
| Nombre d'actions octroyées aux mandataires sociaux au cours de la période | - |
| Nombre d'actions octroyées au cours de la période | - |
| Nombre d'actions annulées au cours de la période | - |
| Nombre d'actions livrées en cours de période | - |
| Dont actions des mandataires sociaux annulées au cours de la période | - |
| Nombre d'actions gratuites en circulation au 31 décembre | 100 000 |
| Nombre de personnes concernées | 1 |
Au cours de l'exercice, les provisions ont évolué de la manière suivante :
| En milliers d'euros | 31.12.2013 | Dotations 2014 | Reprises 2014 | 31.12.2014 |
|---|---|---|---|---|
| Autres provisions | 6 435 | 2 | 2 844 | 3 594 |
| Total | 6 435 | 2 | 2 844 | 3 594 |
VIEL & Cie a fait l'objet de différents contrôles fiscaux qui ont donné lieu à des propositions de notification qui portent notamment sur le traitement fiscal retenu par VIEL & Cie dans le cadre d'opérations de croissance externe. Ces redressements ont été contestés par VIEL & Cie et sont provisionnés à hauteur du risque estimé par la Société. Après deux jugements prononcés en faveur de la société, ce processus d'estimation a conduit à une reprise de provision à hauteur de k€ 2 844.
En 2011, VIEL & Cie a contracté une nouvelle dette bancaire pour un montant de k€ 150 000 qui est venue se substituer à son endettement précédent ; la société a ainsi allongé la maturité de sa dette.
Cette dette, d'une maturité de 5 ans, est amortie linéairement.
En 2014, la société a procédé au troisième amortissement, conformément à l'échéancier prévu.
Pour faire face au risque de taux engendré par cette dette à taux variable, VIEL & Cie a contracté un contrat de swap de taux parfaitement adossé, en termes de nominal et d'échéances.
La Société a opté pour l'étalement sur leur durée de vie des frais engagés pour l'émission de ses emprunts.
Les dettes fiscales et sociales se répartissent de la façon suivante :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Dettes envers les organismes sociaux | 71 | 36 |
| Dettes fiscales | 56 | 60 |
| Dettes diverses | - | - |
| TOTAL | 128 | 96 |
Ces dettes ont une échéance inférieure à un an.
Les autres dettes d'un montant de k€ 757 au 31 décembre 2014, contre k€ 802 au 31 décembre 2013, sont principalement constituées de dettes envers les sociétés liées, détaillées en note II.11, ainsi que des intérêts courus sur les swaps de couverture détenus par VIEL & Cie (cf. note II.8).
Les créances et les dettes vis-à-vis de sociétés affiliées se décomposent de la façon suivante :
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Créances sur les sociétés liées | ||
| Financière Vermeer N.V., Amsterdam | 19 187 | 48 887 |
| TSAF OTC, Paris | 5 | 6 |
| E - Viel, Paris | 40 121 | 40 010 |
| Arpège | 280 | - |
| Autres sociétés | - | 1 |
| TOTAL | 59 593 | 88 904 |
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
| Dettes envers les sociétés liées | ||
| GIE VIEL Gestion, Paris | 386 | 329 |
| Autres sociétés | 56 | 54 |
| TOTAL | 442 | 383 |
Les produits d'exploitation s'établissent à k€ 20 en 2014, contre k€ 20 en 2013. Ils sont constitués d'une redevance de locationgérance perçue sur l'activité de courtage du fonds de commerce de VIEL & Cie.
Le résultat financier net de VIEL & Cie s'élève à k€ 7 729 en 2014 (k€ 9 115 en 2013). Ce résultat comprend des dividendes versés par des filiales pour un montant de k€ 13 241 en 2014, contre k€ 12 000 en 2013, dividendes provenant des sociétés Financière Vermeer N.V. et Ong First Tradition Holding Pte Ltd (cf. note II.2)
VIEL & Cie enregistre une charge d'intérêts financiers nette d'un montant de k€ 1 470 en 2014, contre € 1 976 en 2013 (Cf. II.8).
VIEL & Cie constate également l'amortissement de la charge de mise en place de ses dettes bancaires, pour un montant de k€ 285 en 2014 (k€ 285 en 2013).
Le solde des charges financières comprend notamment les variations de valeur du portefeuille de titres.
VIEL & Cie constate en 2014 un produit exceptionnel de k€ 2 848 contre une charge de k€ 182 constatée en 2013, principalement constitué d'une reprise de provision liée aux risques estimés par la Société (cf. note II.7).
VIEL & Cie est fiscalement intégrée avec les sociétés E-VIEL et Arpège. En vertu de cet accord, les sociétés E-VIEL et Arpège versent à VIEL & Cie le montant de l'impôt qui aurait grevé leur résultat en l'absence de tout accord d'intégration. Le résultat d'intégration est définitivement acquis à VIEL & Cie. Au 31 décembre 2014, le déficit reportable du groupe fiscal s'élève à € 21 526 281 ; ce déficit pourra venir en déduction de la charge d'impôt future du groupe fiscal.
VIEL & Cie a constaté en 2014 une charge relative à la contribution additionnelle à l'impôt sur les sociétés sur les revenus distribués pour un montant de k€ 126 contre k€ 168 en 2013.
Le 30 septembre 1997, VIEL & Cie a repris, auprès de VIEL et Compagnie-Finance, 100 % du capital de Rubens S.A., société dont le principal actif est constitué d'une participation de 60,99 % dans Compagnie Financière Tradition, Lausanne. La société Rubens S.A. a fait l'objet d'une fusion avec VIEL & Cie en 2000.
Cette prise de participation indirecte s'est faite dans les mêmes conditions que celles qui avaient prévalu lors de l'acquisition par VIEL et Compagnie-Finance de 60,99 % du capital de Compagnie Financière Tradition auprès de Banque Pallas Stern en juin 1996.
Ces trois derniers engagements, qui avaient été souscrits par VIEL et Compagnie-Finance solidairement avec Financière Vermeer N.V. lors de sa prise de participation initiale, ont fait l'objet d'une contre-garantie de VIEL & Cie le 30 septembre 1997.
Au 31 décembre 2014, VIEL & Cie a pris des engagements d'investissement pour 3 millions d'euros dans des sociétés en création ainsi que dans des fonds d'investissement spécialisés dans le domaine des nouvelles technologies. L'engagement total net des sommes déjà versées s'élève à € 1 275 000 au 31 décembre 2014.
Autres engagements hors-bilan
| En milliers d'euros | 2014 | 2013 |
|---|---|---|
| Engagements donnés | ||
| Engagements de garantie donnés | 20 000 | 20 000 |
| Cautions données | - | - |
| Engagements reçus | ||
| Engagements de garantie reçus | 20 000 | 20 000 |
| Cautions de découvert reçues | - | - |
Par ailleurs, un swap de taux a été mis en place pour couvrir en partie le risque de taux lié à la dette à taux variable de la société (cf. note II.8).
Au 31 décembre 2014, VIEL & Cie compte 2 cadres.
Organes d'administration : des jetons de présence ont été alloués pour un montant de € 60 000 au titre de l'exercice 2014.
Organes de direction : cette information est communiquée dans le rapport de gestion.
Les honoraires versés par la société à ses commissaires aux comptes au titre des exercices 2014 et 2013 sont les suivants :
| Ernst & Young Audit | Fidorg Audit | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| En millions d'euros | Montant (€ HT) | % | Montant (€ HT) | % | ||||
| 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | |
| Audit | ||||||||
| Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés |
167 500 | 167 500 | 100 % | 100 % | 40 000 | 40 000 | 100 % | 100 % |
| Autres diligences et prestations directement liées à la mission du commissaire aux comptes |
- | - | - | - | - | - | - | |
| TOTAL | 167 500 | 167 500 | 100 % | 100 % | 40 000 | 40 000 | 100 % | 100 % |
La Société n'a constaté aucun événement postérieur à la clôture de ses comptes.
VIEL & Cie publie des comptes consolidés au 31 décembre 2014, et est en outre intégrée dans la consolidation des comptes de VIEL et Compagnie-Finance, dont le siège social est situé au 23, Place Vendôme - 75001 Paris.
Il est proposé d'affecter le bénéfice distribuable qui s'élève à :
| 68 942 026,33 | |
|---|---|
| - report à nouveau créditeur | 62 225 130,14 |
| - bénéfice net de l'exercice | 6 716 896,19 |
Soit 68 942 026,33 euros,
de la manière suivante :
| 68 942 026,33 | |
|---|---|
| - au compte « report à nouveau » | 57 371 515,33 |
| - à la distribution de dividende | 11 570 511 |
Il est rappelé qu'au titre des trois exercices précédents, les dividendes versés ont été les suivants :
| Année | Dividende net total (en milliers d'euros) |
Dividende net par action (en euros) |
|---|---|---|
| 2012 | 10 429 k€ | 0,15 € |
| 2013 | 5 602 k€ | 0,08 € |
| 2014 | 4 202 k€ | 0,06 € |
Un dividende de 15 centimes d'euro par action, soit un montant total de € 10 428 000 (déduction faite de la part revenant aux titres d'autocontrôle), a été mis en paiement en juillet 2012.
Un dividende de 8 centimes d'euro par action, soit un montant total de € 5 602 000 (déduction faite de la part revenant aux titres d'autocontrôle), a été mis en paiement en juin 2013
Un dividende de 6 centimes d'euro par action, soit un montant total de € 4 202 000 (déduction faite de la part revenant aux titres d'autocontrôle), a été mis en paiement en juin 2014.
| En milliers d'euros | Valeur brute comptable des titres |
Valeur nette au bilan des titres |
Prêts et avances consentis |
Montant des cautions, avals et autres garanties données |
Dividendes encaissés par la Société |
|---|---|---|---|---|---|
| Financière Vermeer N.V. | 73 349 | 73 349 | - | - | 9 200 |
| E-VIEL | 18 110 | 18 110 | - | - | - |
| Verbalys | 1 982 | 551 | - | - | - |
| Swiss Life Banque Privée | 32 209 | 32 209 | - | - | - |
| Arpège | 8 900 | 8 900 | - | - | - |
| Ong First Tradition Singapour | 6 529 | 6 259 | - | - | 4 041 |
| EASDAQ N.V. | 1 069 | 1 069 | - | - | - |
* Participations représentant un investissement significatif et supérieur à 10 % du capital de la société concernée.
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FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2014, sur :
Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.
Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.
Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice.
En application des dispositions de l'article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :
Dans le cadre habituel de l'arrêté des comptes, votre société procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur la valorisation des titres immobilisés de l'activité de portefeuille, des titres de participation, des titres d'autocontrôle et sur l'évaluation des provisions et dépréciations.
Nous avons revu les hypothèses retenues et vérifié que ces estimations comptables s'appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans les notes annexes aux comptes annuels relatives aux principes comptables et aux méthodes d'évaluation. Nous avons procédé à l'appréciation du caractère raisonnable de ces estimations.
Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.
Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.
Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les documents adressés aux actionnaires sur la situation financière et les comptes annuels.
Concernant les informations fournies en application des dispositions de l'article L. 225-102-1 du Code de commerce sur les rémunérations et avantages versés aux mandataires sociaux ainsi que sur les engagements consentis en leur faveur, nous avons vérifié leur concordance avec les comptes ou avec les données ayant servi à l'établissement de ces comptes et, le cas échéant, avec les éléments recueillis par votre société auprès des sociétés contrôlant votre société ou contrôlées par elle. Sur la base de ces travaux, nous attestons l'exactitude et la sincérité de ces informations.
En application de la loi, nous nous sommes assurés que les diverses informations relatives à l'identité des détenteurs du capital ou des droits de vote vous ont été communiquées dans le rapport de gestion.
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
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VIEL & Cie détient plusieurs participations, principalement majoritaires, dans des sociétés actives dans le domaine de la finance.
Son portefeuille de participations se compose de trois pôles d'activité :
Le portefeuille de participations n'a pas évolué de façon significative depuis l'arrêté des comptes établis au 31 décembre 2013.
Les filiales de VIEL & Cie ont enregistré une baisse du chiffre d'affaires consolidé de 8,9 % à cours de change courants au cours du premier semestre 2014 par rapport à la même période en 2013 ; à cours de change constants, la baisse est de 6,7 %.
L'activité du Groupe au premier semestre 2014 s'est déroulée dans un environnement exigeant avec une faible volatilité sur d'importantes classes d'actifs ainsi qu'une structure de marché toujours en mutation du fait des évolutions réglementaires et des incertitudes qui leurs sont liées, notamment sur le marché des dérivés OTC. Dans le cadre de ces évolutions réglementaires notamment aux Etats-Unis, le Groupe a continué de développer avec succès les activités et le positionnement de Tradition SEF, en particulier par le biais de Trad-X, plateforme leader de négociation hybride pour les swaps de taux d'intérêts, qui a enregistré des volumes de négociation électronique records pour les swaps en dollars, et ce, successivement lors des mois de mai et juin. Dans ce contexte, le chiffre d'affaires consolidé du Groupe Tradition s'établit à CHF 425,4 millions au premier semestre 2014 contre CHF 475,9 millions au premier semestre 2013, soit une baisse de 10,6 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé de Compagnie Financière Tradition est en baisse de 7,8 %.
Au cours du premier semestre 2014, Bourse Direct a enregistré une croissance soutenue de son activité.
Le nombre d'ordres exécutés s'établit à 2 177 772 en progression de 26,9 % par rapport à la même période en 2013. Ces données confirment la position de leader de Bourse Direct sur le marché de la bourse en ligne en France en nombre d'ordres exécutés. Les clients de Bourse Direct comptabilisent ainsi 4,2 ordres par compte par mois au cours de ce premier semestre 2014.
Avec 88 250 comptes au 30 juin 2014, Bourse Direct a poursuivi son rythme actif de recrutement d'une nouvelle clientèle enregistrant ainsi une croissance du recrutement de nouveaux clients de 20,1 % sur une année glissante.
Le chiffre d'affaires de Bourse Direct s'établit à 20,0 millions d'euros en hausse de 15,6 % par rapport à la même période en 2013 (17,2 millions d'euros).
L'activité de SwissLife Banque Privée, dont VIEL & Cie détient 40 %, a connu une forte croissance de son produit net bancaire à 22,1 millions d'euros au cours du 1er semestre 2014 (+53,7 %) en raison notamment de l'intégration dans son périmètre de consolidation de la société Prigest. Le résultat d'exploitation est bénéficiaire sur la période.
Le groupe VIEL & Cie applique les Normes Internationales d'Information Financière (IFRS) pour l'établissement de ses comptes consolidés.
Jusqu'en 2013, les sociétés sur lesquelles le Groupe exerce un contrôle conjoint avec des partenaires étaient consolidées par intégration proportionnelle. Le bilan et le compte de résultat consolidés de VIEL & Cie reprenaient, poste par poste, la fraction représentative des intérêts du Groupe dans ces coentreprises.
En raison de l'adoption par le Groupe de la norme IFRS 11 - Partenariat à compter du 1er janvier 2014, la méthode de l'intégration proportionnelle a été remplacée par la méthode de la mise en équivalence. Cette modification affecte presque tous les postes des états financiers, entrainant une diminution des revenus et des charges, des actifs et des passifs mais sans impact sur le résultat net de la période et sur les capitaux propres - part du Groupe. Par ailleurs, ce changement de présentation a nécessité le retraitement de l'information financière pour l'exercice précédent.
Cependant, le Groupe conserve l'application de la méthode d'intégration proportionnelle pour consolider ces sociétés dans le cadre des rapports de gestion (ci-après Non-IFRS) car cela permet une appréciation plus précise de la performance économique du Groupe et des indicateurs clés.
Au premier semestre 2014, le chiffre d'affaires consolidé IFRS des filiales opérationnelles de VIEL & Cie s'élève à 368,3 millions d'euros contre 404,1 millions d'euros sur la même période en 2013, en baisse de 8,9 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé IFRS enregistre une baisse de 6,7 %.
Le chiffre d'affaires consolidé Non-IFRS s'établit à 390,3 millions d'euros contre 432,6 millions d'euros sur la même période en 2013, en baisse de 9,8 % à cours de change courants. A cours de change constants, le chiffre d'affaires consolidé enregistre une baisse de 7,7 %.
En millions d'euros 2014 2013 er trimestre 2ème trimestre Total 1 er trimestre 2ème trimestre Total Intermédiation professionnelle 181,2 167,1 348,3 191,5 195,4 386,9 Bourse en ligne 10,5 9,5 20,0 9,1 8,1 17,2 Chiffre d'affaires consolidé 191,7 176,6 368,3 200,6 203,5 404,1
A cours de change courants, l'évolution des chiffres d'affaires consolidés trimestriels par pôle d'activité est la suivante :
Le résultat d'exploitation consolidé de VIEL & Cie s'établit à 23,0 millions d'euros contre 23,6 millions d'euros sur la même période en 2013 soit une baisse de 2,5 %.
Le résultat net consolidé de VIEL & Cie affiche une baisse de 11,1 % par rapport à l'exercice précédent sur la même période et s'inscrit à 18,5 millions d'euros au premier semestre 2014 (20,8 millions d'euros sur la même période en 2013).
Le résultat net-part du groupe enregistre une hausse de 15,5 % au premier semestre 2014 comparé à 2013 et s'élève à 12,7 millions d'euros, contre 11,0 millions d'euros en 2013.
Ce résultat porte les capitaux propres consolidés de VIEL & Cie à 358,9 millions d'euros au 30 juin 2014, dont 273,9 millions d'euros pour la part du Groupe et après déduction de la valeur brute des actions propres détenues par VIEL & Cie elle-même pour un montant de 27,3 millions d'euros.
Les marchés financiers connaissent une mutation importante dans un contexte de renforcement de la réglementation sur toutes les places mondiales. Dans un environnement de faible volatilité, les marchés financiers connaissent une contraction significative des volumes de transactions interbancaires.
Face aux évolutions réglementaires et dans le prolongement logique de ses services de courtages à la voix, le Groupe Tradition a poursuivi le développement de son offre de services de courtages électroniques par le biais de sa technologie propriétaire hybride. Ainsi, dans le cadre des évolutions réglementaires notamment aux Etats-Unis, le Groupe a continué de développer avec succès les activités et le positionnement de Tradition SEF par le biais de Trad-X, plateforme leader de négociation hybride pour les swaps de taux d'intérêts, qui a enregistré des volumes de négociation électronique records pour les swaps en dollars, et ce, successivement lors des mois de mai et juin.
Ainsi, Trad-X, plateforme de négociation hydride pour les dérivés de taux d'intérêt, initialement lancée pour les swaps de taux d'intérêt en euros (IRS EUR), est maintenant opérationnelle pour les swaps de taux d'intérêt en dollar (IRS USD) et en sterling (IRS GBP) ainsi que pour les options sur taux d'intérêt (IRO). En avril 2014, Trad-X, plateforme numéro un du marché pour les swaps de taux d'intérêt a annoncé le succès de sa nouvelle offre de produit court terme en euros. Les produits court terme en euros de Trad-X couvrent l'Eonia, l'ECB, l'Annual money 1, l'EONIA/BOR et l'IMM FRA/EONIA ; plus de 10 des plus grandes banques mondiales lui fournissent quotidiennement des prix bidirectionnels en streaming sur ces échéances.
Le Groupe dispose également de sa plateforme, ParFX, une plateforme électronique pour le change au comptant auprès d'une clientèle institutionnelle, développé également à partir de sa technologie propriétaire.
Au cours du premier semestre 2014, Bourse Direct a enregistré de belles performances marquées par un accroissement de sa part de marché en nombre d'ordres exécutés et la poursuite d'un recrutement soutenu de nouveaux clients.
Le chiffre d'affaires de Bourse Direct enregistre une hausse de 15,6 % à 20,0 millions d'euros avec un nombre d'ordres exécutés en croissance de 26,9 % à plus de 2 millions sur le premier semestre 2014. Le résultat d'exploitation s'inscrit à 3,5 millions d'euros et connait ainsi une hausse de 34,5 %. Bourse Direct comptabilise 88 250 comptes de clients au 30 juin 2014. Bourse Direct renforce ainsi sa position de leader sur le marché de la bourse en ligne en France.
Aucune nouvelle transaction significative avec les parties liées n'est intervenue au cours du premier semestre 2014.
Sur le pôle d'intermédiation professionnelle, Compagnie Financière Tradition poursuivra en 2014 son développement ainsi que sa politique d'investissement dans la technologie avec le déploiement de nouvelles plateformes technologiques. Les marchés financiers connaissent une mutation importante qui impacte fortement l'ensemble du secteur de l'intermédiation professionnelle. L'adaptation du métier aux technologies permettant également de répondre au nouvel environnement réglementaire et la poursuite de la maîtrise des coûts constitueront ainsi des éléments essentiels de l'amélioration de la performance du groupe.
Sur le pôle de bourse en ligne, Bourse Direct a connu au premier semestre 2014 une croissance soutenue de ses principaux indicateurs d'activité (volume d'ordres, recrutement de nouveaux clients). De nouveaux outils sur la mobilité ont été mis à la disposition de la clientèle afin d'améliorer la qualité des services proposés. Des formations plus nombreuses seront proposées à la clientèle dans la cadre d'une bonne connaissance des marchés. Bourse Direct poursuivra son développement dans le cadre d'une offre innovante et toujours élargie, au meilleur prix.
Sur son pôle de banque privée et de gestion d'actifs, SwissLife Banque Privée qui a connu une accélération de son chiffre d'affaires et une amélioration de ses résultats, poursuivra sa politique de développement par croissance externe et organique.
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FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
| En milliers d'euros | Note | 1 er semestre 2014 |
2013 Retraité | 1 er semestre 2013 retraité |
|---|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 2 | 368 300 | 744 645 | 404 118 |
| Autres produits d'exploitation | 3 | 1 740 | 2 861 | 1 053 |
| Produits d'exploitation | 370 040 | 747 506 | 405 171 | |
| Charges de personnel | -257 614 | -532 887 | -287 078 | |
| Autres charges d'exploitation | -81 590 | -170 981 | -86 366 | |
| Amortissements | -7 850 | -16 260 | -7 781 | |
| Gains/(Pertes) de valeur des actifs | -15 | -301 | -306 | |
| Charges d'exploitation | -347 069 | -720 429 | -381 531 | |
| Résultat d'exploitation | 22 971 | 27 077 | 23 640 | |
| Produits financiers | 4 | 1 993 | 3 988 | 3 686 |
| Charges financières | 4 | -5 732 | -11 670 | -4 793 |
| Quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence | 9 | 8 231 | 7 463 | 7 169 |
| Résultat avant impôt | 27 463 | 26 858 | 29 702 | |
| Impôt sur les bénéfices | 5 | -8 970 | -11 434 | -8 856 |
| Résultat net | 18 493 | 15 424 | 20 846 | |
| Intérêts minoritaires | 5 762 | 9 542 | 9 815 | |
| Résultat net part du Groupe | 12 731 | 5 882 | 11 031 | |
| Résultat par action (en euros) : | ||||
| Résultat de base par action | 0,18 | 0,08 | 0,16 | |
| Résultat dilué par action | 0,18 | 0,08 | 0,16 |
| ACTIF En milliers d'euros |
Note | 30.06.2014 | 31.12.2013 retraité | 01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|---|
| Immobilisations corporelles | 16 613 | 18 236 | 22 705 | |
| Immobilisations incorporelles | 8 | 112 164 | 112 143 | 113 615 |
| Participations dans les sociétés associées | 9 | 144 493 | 143 777 | 172 207 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 14 413 | 16 392 | 14 575 | |
| Autres actifs financiers | 4 973 | 6 109 | 6 164 | |
| Impôts différés actifs | 21 579 | 21 322 | 23 821 | |
| Stock d'immeubles | 5 670 | 5 730 | 6 230 | |
| Trésorerie non disponible | 6 | 22 427 | 21 560 | 23 643 |
| Total actif non courant | 342 332 | 345 269 | 382 960 | |
| Autres actifs courants | 10 011 | 10 013 | 9 965 | |
| Instruments financiers dérivés actifs | 953 | 955 | 138 | |
| Impôt à recevoir | 5 832 | 7 858 | 4 808 | |
| Clients et autres créances | 7 | 1 173 911 | 788 298 | 883 393 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 14 | 486 | 762 | 9 433 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 7 381 | 7 127 | 2 757 | |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 6 | 218 048 | 271 953 | 276 804 |
| Total actif courant | 1 416 622 | 1 086 966 | 1 187 298 | |
| TOTAL ACTIF | 1 758 954 | 1 432 235 | 1 570 258 |
| CAPITAUX PROPRES ET PASSIF En milliers d'euros |
Note | 30.06.2014 | 31.12.2013 retraité | 01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|---|
| Capital | 15 427 | 15 427 | 15 423 | |
| Prime d'émission | 21 180 | 21 180 | 21 180 | |
| Report à nouveau | - | - | - | |
| Actions propres | 11 | -27 298 | -27 298 | -27 298 |
| Ecart de conversion | -24 871 | -30 045 | -10 765 | |
| Réserves consolidées | 289 477 | 270 975 | 263 988 | |
| Total des capitaux propres - Part du Groupe | 273 915 | 250 239 | 262 528 | |
| Intérêts minoritaires | 85 028 | 112 271 | 126 970 | |
| Total des capitaux propres | 358 943 | 362 510 | 389 498 | |
| Dettes financières | 128 310 | 157 259 | 90 062 | |
| Autres passifs financiers | 250 | 240 | - | |
| Provisions | 36 186 | 34 782 | 42 687 | |
| Produits différés | 3 766 | 3 394 | 341 | |
| Impôts différés passifs | 5 | 69 | 520 | 3 896 |
| Total passif non courant | 168 581 | 196 195 | 136 986 | |
| Dettes financières | 71 608 | 97 717 | 165 139 | |
| Fournisseurs et autres créanciers | 10 | 1 142 209 | 762 558 | 859 786 |
| Provisions | 4 636 | 3 673 | 3 609 | |
| Impôt à payer | 10 021 | 5 619 | 7 748 | |
| Instruments financiers dérivés passifs | 14 | 2 333 | 3 108 | 6 505 |
| Produits différés | 623 | 855 | 987 | |
| Total passif courant | 1 231 430 | 873 530 | 1 043 774 | |
| TOTAL CAPITAUX PROPRES ET PASSIF | 1 758 954 | 1 432 235 | 1 570 258 |
| En milliers d'euros | Note | 1 er semestre 2014 |
1 er semestre 2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Flux de trésorerie résultant des activités opérationnelles | |||
| Résultat avant impôts | 27 463 | 29 702 | |
| Amortissements | 7 850 | 7 781 | |
| Perte de valeur des actifs | 15 | 306 | |
| Résultat financier net | 2 118 | 498 | |
| Quote part dans le résultat des sociétés associées | 9 | -8 231 | -7 169 |
| Plus/moins value sur cessions de filiales et de sociétés associées | -792 | - | |
| Augmentation / (diminution) des provisions | 1 489 | 315 | |
| Variation des produits différés | -4 | -213 | |
| Dépense relative aux paiements fondés sur des actions | 221 | 314 | |
| Plus / (moins) values sur cessions d'actifs immobilisés | 3 | 22 | -26 |
| Augmentation / (diminution) du fonds de roulement | -3 378 | -39 991 | |
| Intérêts payés | -2 788 | -4 711 | |
| Intérêts perçus | 867 | 1 149 | |
| Impôts payés | -2 667 | -10 740 | |
| Flux de trésorerie nets résultant des activités opérationnelles | 22 185 | -22 785 | |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité d'investissement | |||
| Acquisition d'actifs financiers | -68 | -3 403 | |
| Valeur de vente d'actifs financiers | 647 | 3 490 | |
| Acquisition de filiales, net de la trésorerie acquise | 268 | -11 178 | |
| Cession de filiales, net de la trésorerie cédée | - | - | |
| Acquisition d'immobilisations corporelles | -1 519 | -2 234 | |
| Valeur de vente d'immobilisations corporelles | 32 | 28 | |
| Acquisition d'immobilisations incorporelles | -3 309 | -4 423 | |
| Valeur de vente d'immobilisations incorporelles | 9 | - | |
| Dividendes reçus | 10 454 | 16 616 | |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité d'investissement | 6 514 | -1 104 | |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité de financement | |||
| Augmentation des dettes financières à court terme | - | 2 043 | |
| Diminution des dettes financières à court terme | -23 686 | -6 443 | |
| Diminution des dettes financières à long terme | -30 000 | - | |
| Diminution des dettes financières à long terme | - | -30 041 | |
| Variation des autres dettes à long terme | - | -145 | |
| Augmentation de capital et prime d'émission des filiales | - | -78 | |
| Acquisition d'intérêts non contrôlants | 13 | -18 946 | |
| Acquisition d'actions propres | - | - | |
| Valeur de vente d'actions propres | - | - | |
| Dividendes versés aux intérêts minoritaires | -5 319 | -4 853 | |
| Dividendes versés aux actionnaires de la société mère | 12 | -4 164 | -5 602 |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité de financement | -82 115 | -45 119 | |
| Impact de la variation des taux de change sur la trésorerie consolidée | 3 101 | -9 211 | |
| Variation de la trésorerie | -50 315 | -78 219 | |
| Trésorerie et équivalent au début de la période | 267 281 | 296 160 | |
| Trésorerie et équivalent à la fin de la période | 6 | 216 966 | 217 941 |
| En milliers d'euros | 1 er semestre 2014 |
1 er semestre 2013 retraité |
|---|---|---|
| Résultat de la période comptabilisé au compte de résultat | 18 493 | 20 846 |
| Autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - |
| Ecarts actuariels des régimes à prestations définies | - | - |
| Total des autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - |
| Autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - |
| Ajustement à la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie | ||
| - constatés dans la réserve de couverture | 428 | 1 488 |
| - transférés au compte de résultat | 142 | 313 |
| Ajustement à la juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente | ||
| - constatés dans la réserve de réévaluation | -1 611 | 1 559 |
| - transférés au compte de résultat | - | - |
| Ecart de conversion | 8 467 | -17 916 |
| Transfert de l'écart de conversion au compte de résultat | -160 | - |
| Autres éléments du résultat global des sociétés associées | - | - |
| Total des autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
7 266 | -14 556 |
| Autres éléments du résultat global de l'exercice, nets d'impôts | 7 266 | -14 556 |
| Résultat global de l'exercice | 25 759 | 6 290 |
| Part du Groupe | 16 744 | 4 831 |
| Intérêts minoritaires | 9 015 | 1 459 |
| En milliers d'euros (excepté le nombre d'actions) |
Nombre d'actions |
Capital social |
Prime d'émission |
Actions propres |
Écart de conversion |
Réserves consolidées |
Total part du Groupe |
Intérêts minoritaires |
Total capitaux propres |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Capitaux propres au 1er Janvier 2014 (publié) |
77 136 740 | 15 427 | 21 180 | -27 298 | -30 045 | 270 975 | 250 239 | 112 905 | 363 144 |
| Impact des changements de politiques comptables |
- | - | - | - | - | - | - | -633 | -633 |
| Capitaux propres au 1er Janvier 2014 (retraité) |
77 136 740 | 15 427 | 21 180 | -27 298 | -30 045 | 270 975 | 250 239 | 112 272 | 362 511 |
| Résultat net | - | - | - | - | - | 12 731 | 12 731 | 5 762 | 18 493 |
| Autres éléments du résultat global | - | - | - | - | 5 174 | -1 161 | 4 013 | 3 253 | 7 266 |
| Résultat global de la période | - | - | - | - | 5 174 | 11 570 | 16 744 | 9 015 | 25 759 |
| Augmentation de capital | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Dividendes versés | - | - | - | - | - | -4 202 | -4 202 | -5 319 | -9 521 |
| Variation d'actions propres | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Incidence des variations de périmètre | - | - | - | - | - | 10 978 | 10 978 | -31 005 | -20 027 |
| Composante capitaux propres des plans dont le paiement est fondé sur des actions |
- | - | - | - | - | 156 | 156 | 65 | 221 |
| Capitaux propres au 30 Juin 2014 | 77 136 740 | 15 427 | 21 180 | -27 298 | -24 871 | 289 477 | 273 915 | 85 028 | 358 943 |
| En milliers d'euros (excepté le nombre d'actions) |
Nombre d'actions |
Capital social |
Prime d'émission |
Actions propres |
Écart de conversion |
Réserves consolidées |
Total part du Groupe |
Intérêts minoritaires |
Total capitaux propres |
| Capitaux propres au 1er Janvier 2013 (publié) |
77 116 740 | 15 423 | 21 180 | -27 298 | -10 765 | 263 988 | 262 528 | 128 000 | 390 527 |
| Impact des changements de politiques comptables |
- | - | - | - | - | - | - | -1 030 | -1 030 |
| Capitaux propres au 1er Janvier 2013 (retraité) |
77 116 740 | 15 423 | 21 180 | -27 298 | -10 765 | 263 988 | 262 528 | 126 970 | 389 498 |
| Résultat net | - | - | - | - | - | 11 031 | 11 031 | 9 815 | 20 846 |
| Autres éléments du résultat global | - | - | - | - | -9 256 | 3 056 | -6 200 | -8 356 | -14 556 |
| Résultat global de la période | -9 256 | 14 087 | 4 831 | 1 459 | 6 290 | ||||
| Augmentation de capital | 20 000 | 4 | -4 | - | - | - | - | - | - |
| Dividendes versés | - | - | - | - | - | -5 602 | -5 602 | -5 456 | -11 058 |
| Incidence des variations de périmètre | - | - | - | - | - | -1 147 | -1 147 | -542 | -1 689 |
| Composante capitaux propres des plans dont le paiement est fondé sur des actions |
- | - | - | - | - | 219 | 219 | 95 | 314 |
VIEL & Cie est une société française anonyme, domiciliée à Paris au 253 Boulevard Pereire - 75017 Paris, VIEL & Cie, société d'investissement, contrôle deux sociétés cotées spécialisées dans l'intermédiation financière, Compagnie Financière Tradition, présente dans 28 pays, active dans le secteur de l'intermédiation professionnelle et Bourse Direct, intervenant dans le domaine de la bourse sur Internet en France pour une clientèle de particuliers, ainsi qu'un pôle de banque privée et de gestion au travers d'une participation mise en équivalence de 40 % dans SwissLife Banque Privée.
L'action VIEL & Cie (codes : FR0000050049, VIL) est cotée sur le compartiment B d'Euronext Paris.
VIEL & Cie est détenue à hauteur de 52,86 % par la société VIEL et Compagnie-Finance.
Le Conseil d'administration a arrêté les comptes consolidés intermédiaires de VIEL & Cie au 30 juin 2014 par décision du 29 août 2014.
Les comptes consolidés intermédiaires de VIEL & Cie relatifs aux comptes arrêtés au 30 juin 2014 sont établis conformément aux normes IFRS telles qu'adoptées par l'Union Européenne, disponibles à l'adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/ accounting/ias_fr.htm#adopted-commission, et en particulier selon les dispositions de la norme comptable internationale IAS 34 qui traite de l'information financière intermédiaire.
Les principes comptables appliqués dans le cadre de la préparation des comptes consolidés intermédiaires sont identiques à ceux en vigueur au 31 décembre 2013, à l'exception de la norme suivante qui a été appliquée à partir du 1er janvier 2014 : IFRS 11 - Partenariats
IFRS 11 supprime l'option de l'intégration proportionnelle pour les coentreprises qui doivent être consolidées selon la méthode de la mise en équivalence. Suite à l'adoption de cette norme, le groupe a modifié sa politique comptable et consolide dorénavant les coentreprises selon la méthode de la mise en équivalence.
L'impact des changements de politiques comptables sur le bilan, le compte de résultat, le tableau des flux de trésorerie et l'état du résultat global du Groupe résultant de l'adoption de la norme IFRS 11 est présenté en note 16.
L'adoption des autres normes et révisions n'aura pas d'autre impact significatif sur les comptes consolidés de Groupe lors de la première application.
L'activité des filiales d'intermédiation professionnelle de VIEL & Cie ne présente pas de caractère saisonnier particulier compte tenu de la diversité des produits traités et de la couverture géographique de Compagnie Financière Tradition. Ces activités dépendent principalement de la volatilité des marchés. Au cours des dernières années, un ralentissement d'activité a toutefois été constaté lors du mois de décembre et lors des mois d'été.
L'activité de bourse en ligne de Bourse Direct ne connaît pas de caractère saisonnier particulier, hormis un ralentissement traditionnel lors des mois d'été ; ce ralentissement est cependant fortement dépendant de l'évolution des marchés boursiers.
La présentation des secteurs opérationnels du Groupe reflète l'information fournie en interne au Président-Directeur général qui est le principal décideur opérationnel ; celui-ci analyse les rapports qui lui sont fournis afin d'évaluer les performances et d'allouer les ressources nécessaires aux différents secteurs opérationnels.
Dans le cadre de son activité d'investisseur, VIEL & Cie distingue trois pôles d'activité : l'intermédiation professionnelle, avec la participation dans Compagnie Financière Tradition, la bourse en ligne, au travers de la société Bourse Direct, et la banque privée, représentée par la participation mise en équivalence dans SwissLife Banque Privée. La structure d'organisation interne et de gestion du Groupe sont fondés sur cette approche sectorielle.
Les principes appliqués pour évaluer le résultat d'exploitation sectoriel sont identiques à ceux appliqués aux comptes consolidés.
Les actifs sectoriels ne sont pas inclus dans les rapports destinés au Président-Directeur général et ne sont donc par conséquent pas présentés ci-dessous.
Le chiffre d'affaires inclut uniquement les revenus provenant de transactions avec des clients externes ; aucune transaction entre les secteurs opérationnels n'a d'impact sur le chiffre d'affaires.
L'information par secteurs se présente comme suit :
| 1 er semestre 2014 En milliers d'euros |
Intermédiation professionnelle |
Bourse en ligne |
Banque Privée |
Immobilier et autres activités |
Total Contribution des holdings |
Total | |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 348 341 | 19 959 | - | - | 368 300 | - | 368 300 |
| Charges d'exploitation(1) | -326 427 | -16 382 | - | -28 | -342 837 | - | -342 837 |
| Résultat d'exploitation sectoriel | 21 914 | 3 577 | - | -28 | 25 463 | - | 25 463 |
| Produits/ Charges non alloués(2) | - | - | - | - | - | -2 492 | -2 492 |
| Résultat d'exploitation | 21 914 | 3 577 | - | -28 | 25 463 | -2 492 | 22 971 |
| Résultat des participations mise en équivalence |
6 418 | - | 2 047 | - | 8 465 | -234 | 8 231 |
| Résultat financier | -3 076 | -95 | - | - | -3 171 | -568 | -3 739 |
| Résultat avant impôt | 25 256 | 3 482 | 2 047 | -28 | 30 757 | -3 294 | 27 463 |
| Impôt sur les bénéfices | -7 573 | -1 228 | - | - | -8 801 | -169 | -8 970 |
| Résultat net | 17 683 | 2 254 | 2 047 | -28 | 21 956 | -3 463 | 18 493 |
| er semestre 2013 retraité 1 En milliers d'euros |
Intermédiation professionnelle |
Bourse en ligne |
Banque Privée |
Immobilier et autres activités |
Total Contribution des holdings |
Total | |
| Chiffre d'affaires | 386 925 | 17 193 | - | - | 404 118 | - | 404 118 |
| Charges d'exploitation(1) | -363 622 | -14 438 | - | -110 | -378 170 | - -378 170 | |
| Résultat d'exploitation sectoriel | 23 303 | 2 755 | - | -110 | 25 948 | - | 25 948 |
| Produits/ Charges non alloués(2) | - | - | - | - | - | -2 308 | -2 308 |
| Résultat d'exploitation | 23 303 | 2 755 | - | -110 | 25 948 | -2 308 | 23 640 |
| Résultat des participations mise en équivalence |
6 683 | - | 537 | - | 7 220 | -50 | 7 170 |
| Résultat financier | -155 | -188 | - | - | -343 | -764 | -1 107 |
| Résultat avant impôt | 29 831 | 2 567 | 537 | -110 | 32 825 | -3 122 | 29 703 |
| Impôt sur les bénéfices | -8 030 | -827 | - | - | -8 857 | - | -8 857 |
(1) Charges nettes des autres produits d'exploitation.
(2) Charges nettes afférentes aux holdings du Groupe.
| en milliers d'euros | er semestre 2014 1 |
er semestre 2013 retraité 1 |
|---|---|---|
| Produits nets sur cession d'actifs immobilisés | -22 | 26 |
| Autres produits d'exploitation | 1 762 | 1 027 |
| TOTAL | 1 740 | 1 053 |
Le résultat financier se compose des éléments suivants :
| en milliers d'euros | er semestre 2014 1 |
er semestre 2013 retraité 1 |
|---|---|---|
| Produits d'intérêts | 723 | 1 234 |
| Produits des titres de participation | 440 | 178 |
| Plus-values sur actifs financiers évalués à la juste valeur | 16 | 179 |
| Gains de change | 1 029 | 2 095 |
| Autres produits financiers | -215 | - |
| Produits financiers | 1 993 | 3 686 |
| Charges d'intérêts | -3 567 | -2 801 |
| Moins-values sur actifs financiers | -28 | - |
| Pertes de change | -2 119 | -1 555 |
| Charges financières sur contrats de location financement | - | -2 |
| Variation nette de la juste valeur des actifs disponibles à la vente transférée des capitaux propres |
-154 | - |
| Variation nette de la juste valeur des instruments de couverture des flux de trésorerie transférée des capitaux propres |
- | -340 |
| Autres charges financières | 136 | -95 |
| Charges financières | -5 732 | -4 793 |
| Résultat financier net | -3 739 | -1 107 |
La charge d'impôt se compose des éléments suivants :
| en milliers d'euros | er semestre 2014 1 |
er semestre 2013 retraité 1 |
|---|---|---|
| Charge d'impôts courants | 9 385 | 10 329 |
| Charges / (Produits) d'impôts différés | -415 | -1 473 |
| Impôts sur le bénéfice | 8 970 | 8 856 |
La trésorerie et équivalents de trésorerie dans le tableau de flux de trésorerie consolidée intermédiaire se décompose comme suit :
| en milliers d'euros | 30.06.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Caisse et dépôts bancaires à vue | 209 254 | 254 241 |
| Dépôts bancaires à court terme | 3 421 | 5 508 |
| Placements monétaires à court terme | 5 373 | 12 204 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie au bilan | 218 048 | 271 953 |
| Trésorerie non disponible | 22 427 | 21 560 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie - actif | 240 475 | 293 513 |
| Découverts bancaires | -23 509 | -26 232 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie dans le tableau des flux de trésorerie | 216 966 | 267 281 |
Les clients et autres créances se décomposent comme suit :
| En milliers d'euros | 30.06.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Créances liées aux activités teneurs de comptes | 559 902 | 495 893 |
| Créances liées aux activités en principal | 429 228 | 127 203 |
| Clients et comptes rattachés | 114 413 | 111 131 |
| Créances sur les employés | 26 548 | 28 055 |
| Créances sur les parties liées | 25 097 | 5 371 |
| Autres créances à court terme | 18 723 | 20 645 |
| TOTAL | 1 173 911 | 788 298 |
Les immobilisations incorporelles se décomposent comme suit :
| En milliers d'euros | 30.06.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Ecarts d'acquisition | 74 777 | 74 580 |
| Logiciels | 20 372 | 19 914 |
| Fonds de commerce | 13 754 | 13 752 |
| Relations clientèle | - | 387 |
| Autres | 3 261 | 3 510 |
| TOTAL | 112 164 | 112 143 |
Cette rubrique comprend la quote-part des sociétés associées et coentreprises détenues par le Groupe et consolidées selon la méthode de la mise en équivalence.
| En milliers d'euros | Sociétés associées | Coentreprises | Total |
|---|---|---|---|
| Au 1er janvier 2014 | 67 103 | 76 675 | 143 778 |
| Résultat net de la période | 7 086 | 1 145 | 8 231 |
| Autres éléments du résultat global | 676 | - | 676 |
| Dividendes distribués | -7 079 | -2 935 | -10 014 |
| Variation de périmètre | -1 506 | - | -1 506 |
| Ecart de conversion | 78 | 3 250 | 3 328 |
| Au 30 juin 2014 | 66 358 | 78 135 | 144 493 |
| En milliers d'euros | Sociétés associées | Coentreprises | Total retraité |
| Au 1er janvier 2013 | 69 284 | 103 001 | 172 285 |
| Résultat net de la période | 1 834 | 5 335 | 7 169 |
| Autres éléments du résultat global | -815 | -55 | -870 |
| Dividendes distribués | -517 | -17 062 | -17 579 |
| Autres variations de capitaux propres | - | 2 027 | 2 027 |
| Ecart de conversion | -391 | -8 628 | -9 019 |
La variation pour la période se présente comme suit :
Au premier semestre 2014, le résultat net des sociétés associées inclut une plus-value de 4,9 millions d'euros par Ong First tradition Holdings Pte Ltd et qui résulte de la cession de sa filiale opérationnelle à un investisseur tiers.
Cette rubrique se décompose comme suit :
| En milliers d'euros | 30.06.2014 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|
| Dettes liées aux activités teneurs de comptes | 566 616 | 498 567 |
| Dettes liées aux activités en principal | 396 671 | 120 168 |
| Charges à payer | 108 743 | 96 304 |
| Dettes envers les parties liées | 24 921 | 3 435 |
| Autres dettes à court terme | 45 258 | 44 084 |
| TOTAL | 1 142 209 | 762 558 |
VIEL & Cie détient au 30 juin 2014, 7 096 996 de ses propres titres, soit 9,20 % de son capital, pour un montant total brut de € 27 298 000, sans changement par rapport au 31 décembre 2013. Cette détention a été préalablement autorisée par l'Assemblée générale des actionnaires. Le montant de ces titres a été constaté en diminution des capitaux propres consolidés de VIEL & Cie au 30 juin 2014.
Le dividende suivant a été approuvé par l'Assemblée générale du 12 juin 2014.
| En milliers d'euros | 2013 | 2012 |
|---|---|---|
| Dividende par action au titre de 2013 : € 0,06 (2012* : € 0,08) | 4 628 | 6 169 |
* versé en 2014. ** versé en 2013.
En avril 2014, une filiale du groupe Tradition au Japon a racheté l'intégralité de ses actions détenues par des actionnaires minoritaires pour un montant de 18,1 millions d'euros générant un impact positif de 11,8 millions d'euros dans les capitaux propres consolidés - Part du Groupe.
Le tableau suivant présente la valeur comptable des actifs et passifs financiers ainsi que leur juste valeur selon le niveau hiérarchique correspondant.
Les niveaux retenus sont les suivants :
La juste valeur n'est pas indiquée pour les postes dont la valeur comptable représente une estimation raisonnable de leur juste valeur. Les méthodes pour déterminer les justes valeurs sont décrites dans la section regroupant les principales méthodes comptables des comptes consolidés 2013.
| Au 30 juin 2014 | Juste Valeur | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Valeur comptable | Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | Total |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 21 794 | 14 761 | 5 388 | 1 645 | 21 794 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 486 | 486 | - | - | 486 |
| Prêts et créances | 1 169 031 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés actifs | 953 | - | 953 | - | 953 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 218 048 | - | - | - | - |
| Trésorerie non disponible | 22 427 | - | - | - | - |
| Total actifs financiers | 1 432 739 | 15 247 | 6 341 | 1 645 | 23 233 |
| Dettes financières à court terme | 71 607 | - | - | - | - |
| Fournisseurs et autres créanciers | 1 142 209 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés passifs | 2 333 | - | 2 333 | - | 2 333 |
| Dettes financières à long terme | 128 309 | 133 109 | - | - | 133 109 |
| Autres passifs financiers à long terme | 250 | - | - | - | - |
| Total passifs financiers | 1 344 708 | 133 109 | 2 333 | - | 135 442 |
| Au 31 décembre 2013 (retraité) | Juste Valeur | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| En milliers d'euros | Valeur comptable | Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | Total |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 23 519 | 15 813 | 5 134 | 2 573 | 23 519 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 762 | 762 | - | - | 762 |
| Prêts et créances | 781 001 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés actifs | 955 | - | 955 | - | 955 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 271 953 | - | - | - | - |
| Trésorerie non disponible | 21 560 | - | - | - | - |
| Total actifs financiers | 1 099 750 | 16 575 | 6 089 | 2 573 | 25 236 |
| Dettes financières à court terme | 97 717 | - | - | - | - |
| Fournisseurs et autres créanciers | 762 558 | - | - | - | - |
| Instruments financiers dérivés passifs | 3 108 | - | 3 108 | - | 3 108 |
| Dettes financières à long terme | 157 259 | 161 452 | - | - | 161 452 |
| Autres passifs financiers à long terme | 240 | - | - | - | - |
| Total passifs financiers | 1 020 882 | 161 452 | 3 108 | - | 164 560 |
| En milliers d'euros | Actifs financiers disponibles à la vente |
Actifs financiers évalués à la juste valeur |
Total |
|---|---|---|---|
| Au 1er janvier 2014 | 2 573 | - | 2 573 |
| Acquisitions de la période | 6 | - | 6 |
| Emissions | - | - | - |
| Cessions | - | - | - |
| Gains/pertes enregistrées au compte de résultat | - | - | - |
| Gains/pertes enregistrées dans les autres éléments du résultat global |
- | - | - |
| Reclassement | - | - | - |
| Transfert hors du niveau 3 | - | - | - |
| Ecart de conversion | -934 | - | -934 |
| Au 30 juin 2014 | 1 645 | - | 1 645 |
| En milliers d'euros | Actifs financiers disponibles à la vente |
Actifs financiers évalués à la juste valeur |
Total |
|---|---|---|---|
| Au 1er janvier 2013 | 2 681 | 8 | 2 689 |
| Acquisitions de la période | 1 219 | - | 1 219 |
| Emissions | - | - | - |
| Cessions | - | -134 | -134 |
| Gains/pertes enregistrées au compte de résultat | -122 | 126 | 4 |
| Gains/pertes enregistrées dans les autres éléments du résultat global | 120 | - | 120 |
| Reclassement | - | - | - |
| Transfert hors du niveau 3 | - | - | - |
| Ecart de conversion | -1 326 | - | -1 326 |
| Au 31 décembre 2013 retraité | 2 573 | - | 2 573 |
| En milliers d'euros | 30.06.2014 | 31.12.2013 |
|---|---|---|
| Titres à livrer | 109 865 960 | 94 634 118 |
| Titres à recevoir | 109 859 628 | 94 601 525 |
Les titres à recevoir et à livrer reflètent les opérations d'achat et de vente de titres réalisées dans le cadre des activités en principal réalisées par les sociétés du Groupe, initiées avant le 30 juin 2014 et avant le 31 décembre 2013, et débouclées après ces dates.
Les tableaux suivants détaillent l'impact du changement de politique comptable sur le compte de résultat, le bilan, le tableau des flux de trésorerie et l'état du résultat global du Groupe résultant de l'adoption de la norme IFRS 11.
| en milliers d'euros | 30.06.2013 publié | Impact IFRS 11 | 30.06.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 432 536 | -28 418 | 404 118 |
| Autres produits d'exploitation | 1 920 | -867 | 1 053 |
| Produits d'exploitation | 434 456 | -29 285 | 405 171 |
| Charges de personnel | -299 414 | 12 336 | -287 078 |
| Autres charges d'exploitation | -94 765 | 8 399 | -86 366 |
| Amortissements | -8 546 | 765 | -7 781 |
| Gains/(Pertes) de valeur des actifs | -306 | - | -306 |
| Charges d'exploitation | -403 031 | 21 500 | -381 531 |
| Résultat d'exploitation | 31 425 | -7 785 | 23 640 |
| Produits financiers | 3 906 | -220 | 3 686 |
| Charges financières | -4 791 | -2 | -4 793 |
| Quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence | 1 784 | 5 385 | 7 169 |
| Résultat avant impôt | 32 324 | -2 622 | 29 702 |
| Impôt sur le bénéfice | -11 398 | 2 542 | -8 856 |
| Résultat net de l'exercice | 20 926 | -80 | 20 846 |
| Intérêts minoritaires | 9 895 | -80 | 9 815 |
| Résultat net part du Groupe | 11 031 | - | 11 031 |
| Résultat par action (en euros) : | |||
| Résultat de base par action | 0,16 | - | 0,16 |
| Résultat dilué par action | 0,16 | - | 0,16 |
| en milliers d'euros | 2013 Publié | Impact IFRS 11 | 2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Chiffre d'affaires | 793 166 | -48 521 | 744 645 |
| Autres produits d'exploitation | 4 178 | -1 317 | 2 861 |
| Produits d'exploitation | 797 344 | -49 838 | 747 506 |
| Charges de personnel | -555 280 | 22 393 | -532 887 |
| Autres charges d'exploitation | -187 916 | 16 935 | -170 981 |
| Amortissements | -17 727 | 1 467 | -16 260 |
| Gains/(Pertes) de valeur des actifs | -434 | 133 | -301 |
| Charges d'exploitation | -761 357 | 40 928 | -720 429 |
| Résultat d'exploitation | 35 987 | -8 910 | 27 077 |
| Produits financiers | 4 361 | -373 | 3 988 |
| Charges financières | -11 726 | 56 | -11 670 |
| Quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence | 1 228 | 6 235 | 7 463 |
| Résultat avant impôt | 29 850 | -2 992 | 26 858 |
| Impôt sur les bénéfices | -14 330 | 2 896 | -11 434 |
| Résultat net de l'exercice | 15 520 | -96 | 15 424 |
| Intérêts minoritaires | 9 638 | -96 | 9 542 |
| Résultat net part du Groupe | 5 882 | - | 5 882 |
| Résultat par action (en euros) : | |||
| Résultat de base par action | 0,08 | - | 0,08 |
| Résultat dilué par action | 0,08 | - | 0,08 |
| ACTIF En milliers d'euros |
01.01.2013 publié | Impact IFRS 11 | 01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Immobilisations corporelles | 23 774 | -1 069 | 22 705 |
| Immobilisations incorporelles | 132 027 | -18 412 | 113 615 |
| Participations dans les sociétés associées | 69 284 | 102 923 | 172 207 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 14 575 | - | 14 575 |
| Autres actifs financiers | 6 164 | - | 6 164 |
| Impôts différés actifs | 27 192 | -3 371 | 23 821 |
| Stock d'immeubles | 6 230 | - | 6 230 |
| Trésorerie non disponible | 41 295 | -17 652 | 23 643 |
| Autres actifs non courants | - | - | - |
| Total actifs non courants | 320 541 | 62 420 | 382 960 |
| Autres actifs courants | 12 878 | -2 913 | 9 965 |
| Instruments financiers dérivés actifs | 161 | -23 | 138 |
| Impôts à recevoir | 4 847 | -39 | 4 808 |
| Clients et autres créances | 1 390 626 | -507 233 | 883 393 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 9 433 | - | 9 433 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 2 771 | -14 | 2 757 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 337 716 | -60 912 | 276 804 |
| Total actifs courants | 1 758 432 | -571 134 | 1 187 298 |
| TOTAL ACTIF | 2 078 973 | -508 715 | 1 570 258 |
| CAPITAUX PROPRES ET PASSIF En milliers d'euros |
01.01.2013 publié | Impact IFRS 11 | 01.01.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Capital | 15 423 | - | 15 423 |
| Prime d'émission | 21 180 | - | 21 180 |
| Actions propres | -27 298 | - | -27 298 |
| Ecart de conversion | -10 765 | - | -10 765 |
| Réserves consolidées | 263 988 | - | 263 988 |
| Capitaux propres attribuables aux actionnaires de la société mère | 262 528 | - | 262 528 |
| Intérêts minoritaires | 128 000 | -1 030 | 126 970 |
| Total capitaux propres | 390 528 | -1 030 | 389 498 |
| Dettes financières | 90 062 | - | 90 062 |
| Provisions | 43 218 | -531 | 42 687 |
| Impôts différés passifs | 360 | -19 | 341 |
| Produits différés | 3 896 | - | 3 896 |
| Total passifs non courants | 137 536 | -550 | 136 986 |
| Dettes financières | 165 197 | -58 | 165 139 |
| Fournisseurs et autres créanciers | 1 366 109 | -506 323 | 859 786 |
| Provisions | 3 609 | - | 3 609 |
| Impôts à payer | 8 355 | -607 | 7 748 |
| Instruments financiers dérivés passifs | 6 507 | -2 | 6 505 |
| Produits différés | 1 132 | -145 | 987 |
| Total passifs courants | 1 550 909 | -507 135 | 1 043 774 |
| TOTAL PASSIF | 1 688 445 | -507 685 | 1 180 760 |
| TOTAL PASSIF ET CAPITAUX PROPRES | 2 078 973 | -508 715 | 1 570 258 |
| ACTIF En milliers d'euros |
31.12.2013 publié | Impact IFRS 11 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Immobilisations corporelles | 18 856 | -620 | 18 236 |
| Immobilisations incorporelles | 128 140 | -15 997 | 112 143 |
| Participations dans les sociétés associées | 68 840 | 74 937 | 143 777 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 16 392 | - | 16 392 |
| Autres actifs financiers | 6 109 | - | 6 109 |
| Impôts différés actifs | 22 877 | -1 555 | 21 322 |
| Stock d'immeubles | 5 730 | - | 5 730 |
| Trésorerie non disponible | 37 292 | -15 732 | 21 560 |
| Total actifs non courants | 304 235 | 41 034 | 345 269 |
| Autres actifs courants | 11 291 | -1 278 | 10 013 |
| Instruments financiers dérivés actifs | 1 076 | -121 | 955 |
| Impôts à recevoir | 8 221 | -363 | 7 858 |
| Clients et autres créances | 1 130 938 | -342 640 | 788 298 |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 7 127 | - | 7 127 |
| Actifs financiers évalués à la juste valeur | 1 122 | -360 | 762 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie | 310 884 | -38 931 | 271 953 |
| Total actifs courants | 1 470 659 | -383 693 | 1 086 966 |
| TOTAL ACTIF | 1 774 894 | -342 659 | 1 432 235 |
| CAPITAUX PROPRES ET PASSIF En milliers d'euros |
31.12.2013 publié | Impact IFRS 11 | 31.12.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Capital | 15 427 | - | 15 427 |
| Prime d'émission | 21 180 | - | 21 180 |
| Actions propres | -27 298 | - | -27 298 |
| Ecart de conversion | -30 045 | - | -30 045 |
| Réserves consolidées | 270 975 | - | 270 975 |
| Capitaux propres attribuables aux actionnaires de la société mère | 250 239 | - | 250 239 |
| Intérêts minoritaires | 112 904 | -633 | 112 271 |
| Total capitaux propres | 363 143 | -633 | 362 510 |
| Dettes financières | 157 342 | -83 | 157 259 |
| Autres passifs financiers | 240 | - | 240 |
| Provisions | 35 199 | -417 | 34 782 |
| Impôts différés passifs | 536 | -16 | 520 |
| Produits différés | 3 394 | - | 3 394 |
| Total passifs non courants | 196 711 | -516 | 196 195 |
| Dettes financières | 97 782 | -65 | 97 717 |
| Fournisseurs et autres créanciers | 1 102 986 | -340 428 | 762 558 |
| Provisions | 3 673 | - | 3 673 |
| Impôts à payer | 6 446 | -827 | 5 619 |
| Instruments financiers dérivés passifs | 3 108 | - | 3 108 |
| Produits différés | 1 045 | -190 | 855 |
| Total passifs courants | 1 215 040 | -341 510 | 873 530 |
| TOTAL PASSIF | 1 411 751 | -342 026 | 1 069 725 |
| TOTAL PASSIF ET CAPITAUX PROPRES | 1 774 894 | -342 659 | 1 432 235 |
| en milliers d'euros | 30.06.2013 publié | Impact IFRS 11 | 30.06.2013 retraité |
|---|---|---|---|
| Résultat de la période comptabilisé au compte de résultat | 20 926 | -80 | 20 846 |
| Autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - | - |
| Ecarts actuariels des régimes à prestations définies | - | - | - |
| Total de autres éléments du résultat global qui ne peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - | - |
| Autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
- | - | - |
| Ajustement à la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie | |||
| - constatés dans la réserve de couverture | 1 488 | - | 1 488 |
| - transférés au compte de résultat | 313 | - | 313 |
| Ajustement à la juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente |
|||
| - constatés dans la réserve de réévaluation | 1 559 | - | 1 559 |
| - transférés au compte de résultat | 4 | -4 | - |
| Ecart de conversion | -17 916 | - | -17 916 |
| Autres éléments du résultat global des sociétés associées | - | - | - |
| Total des autres éléments du résultat global qui peuvent être reclassés ultérieurement au compte de résultat |
-14 552 | -4 | -14 556 |
| Autres éléments du résultat global de l'exercice, nets d'impôts | -14 552 | -4 | -14 556 |
| Résultat global de l'exercice | 6 374 | -84 | 6 290 |
| Part du Groupe | 4 835 | -4 | 4 831 |
| Intérêts minoritaires | 1 539 | -80 | 1 459 |
| en milliers d'euros | 30.06.2013 publié | Impact IFRS 11 | 30.06.2013 retraité | |
|---|---|---|---|---|
| Flux de trésorerie résultant des activités opérationnelles | ||||
| Résultat avant impôts | 32 324 | -2 622 | 29 702 | |
| Amortissements | 8 546 | -765 | 7 781 | |
| Perte de valeur des actifs | 306 | - | 306 | |
| Résultat financier net | 415 | 83 | 498 | |
| Quote part dans le résultat des sociétés associées | -1 784 | -5 385 | -7 169 | |
| Produits d'exploitation sans impact sur les liquidités | - | - | - | |
| Augmentation / (diminution) des provisions | 315 | - | 315 | |
| Variation des produits différés | -48 | -165 | -213 | |
| Dépense relative aux paiements fondés sur des actions | 314 | - | 314 | |
| Plus / (moins) values sur cessions de filiales et sociétés associées | - | - | - | |
| Plus / (moins) values sur cessions d'actifs immobilisés | -26 | - | -26 | |
| Plus / (moins) values sur cessions de filiales et participation | - | - | - | |
| Augmentation / (diminution) du fonds de roulement | -41 678 | 1 687 | -39 991 | |
| Intérêts payés | -4 695 | -16 | -4 711 | |
| Intérêts perçus | 1 226 | -77 | 1 149 | |
| Impôts payés | -11 573 | 833 | -10 740 | |
| Flux de trésorerie nets résultant des activités opérationnelles | -16 358 | -6 427 | -22 785 | |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité d'investissement | ||||
| Acquisition d'actifs financiers | -3 403 | - | -3 403 | |
| Valeur de vente d'actifs financiers | 3 490 | - | 3 490 | |
| Acquisition de filiales, net de la trésorerie acquise | -11 178 | - | -11 178 | |
| Cession de filiales, net de la trésorerie cédée | - | - | - | |
| Cession de société associées | - | - | - | |
| Changement de méthode de consolidation | - | - | - | |
| Acquisition d'immobilisations corporelles | -2 236 | 2 | -2 234 | |
| Valeur de vente d'immobilisations corporelles | 28 | - | 28 | |
| Acquisition d'immobilisations incorporelles | -6 286 | 1 863 | -4 423 | |
| Valeur de vente d'immobilisations incorporelles | - | - | - | |
| Autres produits d'investissements | - | - | - | |
| Dividendes reçus | 695 | 15 921 | 16 616 | |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité d'investissement | -18 890 | 17 786 | -1 104 | |
| Flux de trésorerie afférents à l'activité de financement | ||||
| Augmentation des dettes financières à court terme | 2 043 | - | 2 043 | |
| Diminution des dettes financières à court terme | -6 499 | 56 | -6 443 | |
| Augmentation des dettes financières à long terme | - | - | - | |
| Diminution des dettes financières à long terme | -30 048 | 7 | -30 041 | |
| Variation des autres dettes à long terme | -145 | - | -145 | |
| Augmentation de capital et prime d'émission des filiales | -78 | - | -78 | |
| Acquisition d'actions propres | - | - | - | |
| Valeur de vente d'actions propres | - | - | - | |
| Dividendes versés aux intérêts minoritaires | -5 456 | 603 | -4 853 | |
| Dividendes versés aux actionnaires de la société mère | -5 602 | - | -5 602 | |
| Flux de trésorerie nets provenant de l'activité de financement | -45 785 | 666 | -45 119 | |
| Impact de la variation des taux de change sur la trésorerie consolidée |
-12 849 | 3 638 | -9 211 | |
| Variation de la trésorerie | -93 882 | 15 663 | -78 219 | |
| Trésorerie et équivalent au début de la période | 374 724 | -78 564 | 296 160 | |
| Trésorerie et équivalent à la fin de la période | 280 842 | -62 901 | 217 941 | |
Les principaux cours de change utilisés dans le cadre de la consolidation sont les suivants :
| 30.06.2014 | 31.12.2013 | 30.06.13 | |||
|---|---|---|---|---|---|
| Cours de clôture | Cours moyen | Cours de clôture | Cours de clôture | ||
| CHF - 1 Franc suisse | 1,2156 | 1,2213 | 1,2276 | 1,2338 | |
| GBP - 1 Livre sterling | 0,8015 | 0,8214 | 0,8337 | 0,8572 | |
| JPY - 1 Yen japonais | 138,44 | 140,40 | 144,72 | 129,39 | |
| USD - 1 Dollar américain | 1,3658 | 1,3705 | 1,3791 | 1,3080 |
VIEL & Cie consolide Compagnie Financière Tradition à hauteur de 70,57 % au 30 juin 2014, contre 70,26 % au 31 décembre 2013. Le pourcentage de contrôle de Bourse Direct est de 76,04 % au 30 juin 2014 (76,04 % au 31 décembre 2013).
VIEL & Cie fait l'objet d'une consolidation dans les comptes consolidés de VIEL et Compagnie-Finance, dont le siège social est situé au 23 Place Vendôme - 75001 Paris.
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON
En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales et en application de l'article L. 451-1-2 III du Code monétaire et financier, nous avons procédé à :
Ces comptes semestriels consolidés condensés ont été établis sous la responsabilité de votre conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre examen limité, d'exprimer notre conclusion sur ces comptes.
Nous avons effectué notre examen limité selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Un examen limité consiste essentiellement à s'entretenir avec les membres de la direction en charge des aspects comptables et financiers et à mettre en œuvre des procédures analytiques. Ces travaux sont moins étendus que ceux requis pour un audit effectué selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. En conséquence, l'assurance que les comptes, pris dans leur ensemble, ne comportent pas d'anomalies significatives obtenue dans le cadre d'un examen limité est une assurance modérée, moins élevée que celle obtenue dans le cadre d'un audit.
Sur la base de notre examen limité, nous n'avons pas relevé d'anomalies significatives de nature à remettre en cause la conformité des comptes semestriels consolidés condensés avec la norme IAS 34 - norme du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne relative à l'information financière intermédiaire.
Sans remettre en cause la conclusion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 16 de l'annexe aux comptes semestriels consolidés condensés qui expose les impacts de la première application de la norme IFRS 11 relative aux partenariats.
Nous avons également procédé à la vérification des informations données dans le rapport semestriel d'activité commentant les comptes semestriels consolidés condensés sur lesquels a porté notre examen limité. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes semestriels consolidés condensés.
Paris et Paris-La Défense, le 29 août 2014
Les Commissaires aux Comptes
FIDORG AUDIT Manuel Le Roux ERNST & YOUNG Audit Marc Charles
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
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Conformément aux dispositions de l'article L.225-37 du Code de commerce, nous avons l'honneur de vous présenter notre rapport sur la composition du Conseil et de l'application du principe de représentation équilibrée des femmes et des hommes en son sein, sur les conditions de préparation et d'organisation des travaux du Conseil, sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques mises en place par la Société, sur les éventuelles limitations que le Conseil d'administration apporte aux pouvoirs du Directeur Général, ainsi que sur les principes et les règles arrêtés pour déterminer les rémunérations et avantages accordés aux mandataires sociaux, ainsi que les modalités de participation des actionnaires aux Assemblées générales. Ce rapport est le fruit de nos échanges avec l'ensemble des personnes impliquées dans les travaux décrits, en particulier les personnes en charge du contrôle interne.
Ce rapport a été soumis à l'approbation du Conseil d'administration et fait l'objet d'une attestation de la part des Commissaires aux comptes de la Société.
VIEL & Cie est une société holding qui investit dans des sociétés le plus souvent cotées dans le cadre d'une stratégie de long terme. Afin de prévenir ou de limiter l'impact négatif de certains risques internes ou externes sur l'atteinte des objectifs stratégiques et opérationnels fixés par la Société, l'organisation, sous la responsabilité du Conseil d'administration, conçoit et adapte un dispositif de contrôle interne.
L'activité de VIEL & Cie s'exerce quotidiennement dans le cadre d'un environnement où les risques sont identifiés par les filiales opérationnelles dans une cartographie des risques et raisonnablement maîtrisés et les circuits d'information contrôlés afin d'assurer une image fiable de la Société à travers la lecture de ses états financiers.
VIEL & Cie est une société d'investissement cotée en France ayant pour stratégie d'investir sur le long terme dans des sociétés du secteur de la finance et d'accélérer leur croissance et leur développement afin d'en faire des acteurs majeurs dans leur métier respectif.
VIEL & Cie consolide des participations majeures dans les métiers de la finance :
Les opérations réalisées peuvent être classées en deux grandes catégories, dont le profil de risques s'avère légèrement différent. Dans le premier cas, appelé « name give-up », Compagnie Financière Tradition au travers de ses filiales opérationnelles, est un pur intermédiaire qui permet à deux contreparties de conclure ensemble une opération. Ce sont alors ces deux contreparties qui sont responsables de la bonne fin de l'opération. Le Groupe est ici rémunéré sous forme d'une commission, déterminée en général sur la base des montants traités. Dans le second cas, il s'interpose entre deux clients, sans toutefois prendre une position de marché, l'opération d'achat étant réalisée simultanément à l'opération de vente. Le Groupe se rémunère alors par l'écart entre le prix d'achat et le prix de vente. Ce dernier type d'opérations, appelé « matched principal », est une pratique standard sur certains marchés de titres. Dans le cadre des évolutions structurelles et réglementaires des marchés OTC (non organisés), Compagnie Financière Tradition développe sur la base de technologie propriétaire, des plateformes de transactions électroniques en partenariat avec les plus grandes banques mondiales.
Bourse Direct exerce le métier de « courtier en ligne » en assurant la transmission d'ordres en France essentiellement pour une clientèle d'investisseurs particuliers sous le statut d'entreprise d'investissement. De façon plus large, Bourse Direct est négociateur - compensateur - teneur de comptes - conservateur. La société s'adresse à des clients particuliers actifs sur le marché des actions et gérant eux-mêmes leur portefeuille, en leur proposant un accès "direct" au marché à des prix compétitifs et traite le débouclement des opérations de ses clients. La société n'intervient que dans le cadre de la transmission d'ordres et ne prend donc aucune position pour compte propre sur les marchés financiers.
Swisslife Banque Privée exerce le métier de banque privée pour une clientèle de particuliers et dispose d'une large offre de produits de placement et de services d'accompagnement à la gestion de patrimoine.
La fonction de contrôle interne est organisée dans chacun des pôles opérationnels de VIEL & Cie. VIEL & Cie est une société consolidante de l'ensemble des activités de ses filiales. De façon autonome, chaque pôle opérationnel consolidé conçoit et met en œuvre son propre dispositif de contrôle interne adapté à son environnement et à son activité. Les observations issues des missions d'audit interne sont revues à l'occasion des réunions des Comités d'audit de chacune des participations, dans lesquelles VIEL & Cie est représentée par sa Direction Juridique.
Ainsi, le pôle de Compagnie Financière Tradition dispose de sa propre organisation de contrôle de l'activité opérationnelle au travers d'une Direction du Contrôle des Risques et la Compliance, basée au siège social de la holding Compagnie Financière Tradition à Lausanne (Suisse), à laquelle reporte les contrôleurs installés dans les différents bureaux opérationnels à travers le monde. Les contrôleurs localisés dans les bureaux opérationnels sont près de trente. L'audit interne a été externalisé auprès d'un grand cabinet de renom. Sur la base d'un plan d'audit pluriannuel, l'audit interne externalisé intervient dans l'ensemble des filiales dans le monde. Le premier niveau de contrôle se situe dans chaque entité opérationnelle. Les filiales remontent les informations en central à la Direction des risques, qui opère un contrôle à distance ou se déplace dans les filiales dans le cadre de missions d'intervention spécifiques. Cette Direction des risques est directement rattachée au Président du Conseil d'administration, et exerce une responsabilité fonctionnelle sur les contrôleurs locaux.
Le pôle de Bourse Direct a mis en conformité son service du contrôle interne avec les dispositions de l'arrêté du 3 novembre 2014, pour permettre la couverture de l'ensemble des fonctions et des responsabilités du contrôle interne qui prévoit notamment la répartition des contrôles en contrôle permanent, contrôle périodique et contrôle de conformité. Le département est placé sous la responsabilité d'un Directeur, directement rattaché au Président du Directoire. Le Contrôle permanent de Bourse Direct est assuré par deux contrôleurs dédiés. De plus, l'encadrement des services opérationnels participe au contrôle permanent. Le Contrôle périodique de Bourse Direct a été externalisé en 2012. En 2013, Bourse Direct a fait l'objet d'un contrôle de l'AMF sur ses obligations professionnelles ; un accord de composition amiable a été conclu avec l'AMF à l'issue de ce contrôle s'accompagnant d'une amende de 350 000 euros.
Le pôle de SwissLife Banque Privée a organisé un dispositif de contrôle interne en conformité avec ses obligations réglementaires. Ce dispositif a été présenté à VIEL & Cie dans le cadre du Conseil d'administration de la société.
Le métier d'un courtier étant de pouvoir permettre à l'offre et à la demande de ses clients de se rencontrer, les risques qu'il doit gérer s'inscrivent dans le cadre de cette mise en relation.
Il n'est pas dans la vocation de Compagnie Financière Tradition de prendre des risques de marché. Dans le cadre des activités en « matched principal », Compagnie Financière Tradition peut être exposée à un risque de marché si durant la période de règlement/ livraison, la contrepartie s'avère défaillante. Compagnie Financière Tradition est exposée à un risque de marché sur ces principaux investissements. Ce risque est cependant très limité. Enfin, Compagnie Financière Tradition est exposé au risque de marché dans le cadre de son métier (notamment dans le cadre de l'évolution des marchés OTC), un marché défavorable pouvant avoir des conséquences sur le volume d'affaires du Groupe.
Le risque de contrepartie que doit gérer un courtier peut s'analyser sous trois angles. Tout d'abord, un risque commercial découlant d'une trop forte concentration de sa clientèle, ce qui risquerait de lui faire perdre une partie sensible de ses revenus en cas de problème avec un client important. Ensuite, le risque de non-paiement par les clients des commissions dues. Enfin, et dans le seul cas des opérations en « matched principal », qui consistent à acheter un titre à une contrepartie et à le revendre dans le même temps à une autre contrepartie, le courtier subit un risque de contrepartie jusqu'au dénouement des opérations. Une défaillance majeure d'une des parties entre le jour de la négociation des titres et le règlement ou la livraison de ceux-ci, en général trois jours après, obligerait le courtier à trouver une opération de substitution sur le marché à un prix qui pourrait le pénaliser. Le courtier doit en effet pouvoir honorer l'engagement qu'il a pris avec l'autre partie. A titre d'exemple, si la contrepartie défaillante a vendu des titres au courtier, celui-ci doit se procurer à nouveau ceux-ci sur le marché, et le prix de l'actif peut avoir augmenté.
Il s'agit ici de tous les risques liés au traitement de l'opération, allant de la correcte exécution des ordres de la clientèle, à la confirmation de ceux-ci puis au traitement administratif qui suit. D'éventuels dysfonctionnements informatiques, qui pourraient venir fausser l'exécution des opérations, entrent également dans cette catégorie.
Par ailleurs, le risque opérationnel provient du rôle majeur que peuvent jouer les personnes clés au sein de l'organisation. Concernant les équipes opérationnelles, le risque de « débauchage » par les concurrents existe. Enfin, l'évolution et le perfectionnement des outils informatiques constituent un enjeu majeur. En application de la réglementation, le risque opérationnel couvre tous les services et toutes les activités du Groupe. L'analyse du risque opérationnel au sein du Groupe a montré une faible exposition au regard de la taille du Groupe.
Un cadre juridique réglementant les activités financières existe dans la plupart des pays où les filiales de Compagnie Financière Tradition sont installées. Celui-ci doit naturellement être respecté, dans sa forme comme dans son esprit. Enfin, les procédures de contrôle doivent permettre d'éviter le risque de fraude sur des sites opérationnels. Des procédures sur le risque AML ont été renforcées sur un plan international.
Les risques identifiés dans le cadre de l'activité de Bourse Direct sont principalement :
Le contrôle interne est un processus mis en œuvre par le Conseil d'administration, les dirigeants et l'ensemble du personnel dans les filiales de VIEL & Cie, et destiné à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des principaux objectifs suivants : déroulement sécurisé des opérations ; fiabilité des informations financières ; conformité aux lois et règlements en vigueur.
En fonction des lois propres aux différents pays dans lesquels des filiales de VIEL & Cie exercent leur activité, certaines de ces filiales sous soumises à une supervision des autorités de tutelle du secteur financier, et disposent, pour les plus importantes d'entre elles, de contrôleurs internes ou de « compliance officers ».
Pour se conformer aux exigences de la Loi de Sécurité Financière, les entreprises doivent mener à bien un projet qui consiste à documenter et à décrire la structure de contrôle interne mise en place pour répondre aux objectifs d'une communication financière fiable, de l'efficacité des opérations et de la conformité aux lois et réglementations, et ce, au niveau du Groupe.
VIEL & Cie souhaite répondre de manière efficace à la mise en œuvre de la Loi de Sécurité Financière. Depuis quelques années, le Groupe a poursuivi une démarche active afin de se conformer aux textes d'application de cette loi et s'attache à améliorer en permanence l'organisation de son contrôle interne. Le Groupe veille à décrire l'environnement de contrôle ainsi que les risques majeurs du Groupe, en incluant ce qui concerne l'information financière et comptable.
Les objectifs de la mise en place du contrôle interne sont principalement de fournir une assurance raisonnable quant à :
L'un des objectifs du système de contrôle interne est de prévenir et maîtriser les risques résultant de l'activité de l'entreprise et les risques d'erreurs ou de fraudes, en particulier dans les domaines comptable et financier. Le dispositif de contrôle interne, aussi bien conçu et aussi bien appliqué soit-il, ne peut fournir une garantie absolue quant à la réalisation des objectifs du Groupe.
Ainsi, les systèmes comptables et de contrôle interne ne donnent pas à la direction la certitude que les objectifs fixés sont atteints, et ce en raison des limites inhérentes au fonctionnement de tout système. Ces limites sont notamment les suivantes :
VIEL & Cie au travers de ses filiales dispose de systèmes informatiques de gestion développés en interne et adaptés à ses besoins. Une fois une opération saisie, toute la chaîne de traitement est automatisée, ce qui assure la cohérence des données. Les outils de suivi sont issus de ces systèmes et offrent aux filiales ainsi qu'à la Direction Générale du Groupe un ensemble cohérent de données de contrôle et de gestion.
Les filiales opérationnelles de VIEL & Cie disposent de procédures d'entrée en relation avec tout nouveau client, lui permettant de s'assurer de la qualité de la contrepartie et de respecter les lois anti-blanchiment en vigueur dans la plupart des pays et en application de la 3ème directive européenne. Il convient de noter que, à l'exception de l'activité de courtage en ligne parisienne, les filiales de VIEL & Cie, en tant qu'intermédiaires, disposent d'une clientèle dans sa grande majorité professionnelle, constituée de banques, compagnies d'assurance, gestionnaires de fonds et grandes entreprises. Les banques et autres établissements financiers composant la clientèle de VIEL & Cie sont eux-mêmes soumis à un cadre réglementaire rigoureux et à un strict contrôle de leurs autorités de tutelle.
Pour Bourse Direct, la filiale française de courtage en ligne à destination des particuliers, des procédures strictes d'ouverture de comptes ont été mises en place et adaptées à la réglementation MIFID en 2007 et aux nouvelles règles de contrôle relatives à la lutte contre le blanchiment et l'argent du terrorisme. Elles correspondent aux règles imposées par les autorités de tutelle.
Une fois une opération conclue, elle est immédiatement saisie dans le système de gestion. Selon les produits, cette saisie s'effectue au niveau du front-office ou par une personne du back-office. L'envoi d'une confirmation aux clients est immédiatement généré par le système. Toutes les opérations donnent lieu à vérification. En cas de différend avec un client, il peut être procédé pour vérification à l'écoute de la conversation entre l'opérateur et ce client. Toutes les salles de négociation sont en effet équipées de systèmes d'enregistrement des conversations.
Du même système sont issues en fin de mois les factures adressées aux clients, reprenant le total des commissions à recevoir, et les outils de suivi des paiements de ces commissions. Sont concernées par ce traitement les opérations en « name give-up », donnant lieu à une rémunération sous forme de commission. Le paiement des commissions dues est géré localement, mais fait également l'objet d'un contrôle de la Direction Générale.
Pour les opérations en « matched principal », des équipes spécialisées sont responsables des opérations de règlement - livraison de titres.
La règle de séparation des fonctions est strictement respectée à chacun de ces niveaux de traitement.
Dans le cadre du suivi des risques opérationnels, les filiales du Groupe ont développé une cartographie des risques homogène selon la nomenclature Bâle II. Un outil a été déployé dans le Groupe (E-Front) afin de recenser les risques opérationnels par filiale et de consolider l'information relative à la nature de ces risques opérationnels. Cette approche s'inscrit dans le cadre d'une meilleure maitrise des risques opérationnels et de la mise en place progressive d'une méthode avancée pour la détermination de l'impact des risques opérationnels au sein du Groupe.
La règle générale est que VIEL & Cie au travers de sa filiale Compagnie Financière Tradition, ne souhaite pas que ses filiales ou ses opérateurs prennent des positions de marché. Il peut toutefois arriver que, sur certains marchés spécifiques, des positions marginales de très court terme aident à la conclusion des opérations. Les opérateurs ne peuvent prendre de telles positions que dans le cadre de limites autorisées préétablies, définissant le produit concerné, la durée maximum de la position et son ampleur. L'utilisation de ces limites est contrôlée localement, et un reporting quotidien est adressé à la Direction des risques.
Un risque de contrepartie existe donc lorsque sont traitées des opérations en « matched principal ». Aucune opération de ce type ne peut être négociée sans que la contrepartie ait été au préalable autorisée. Un dossier la concernant est soumis pour approbation au Comité de crédit du Groupe. Si nécessaire, une limite d'encours est fixée. Un contrôle quotidien des encours, du respect des limites et des éventuels retards techniques de règlement-livraison des titres est effectué localement et par la Direction des risques.
Quand cela est possible, les filiales de VIEL & Cie essayent, dans le cadre de leurs activités, de réduire leur exposition au risque de contrepartie en recourant aux solutions de place existantes. Une des filiales de Compagnie Financière Tradition aux Etats-Unis est ainsi adhérente à une chambre de compensation multilatérale qui sert de contrepartie centrale de marché pour les titres d'Etat américains. Une fois l'opération confirmée, le risque est porté par la chambre de compensation.
Les données disponibles dans les systèmes d'information permettent à la Direction Générale des filiales opérationnelles d'effectuer des contrôles et analyses. Remontent quotidiennement à ce niveau, et pour chaque société du Groupe, des informations relatives aux revenus, aux éventuelles positions de marché, quand celles-ci sont autorisées, et aux encours de titres par contrepartie pour les entités du Groupe habilitées à traiter les opérations en « matched principal ».
Par ailleurs, la Chambre fiduciaire a adopté la nouvelle norme d'audit en vue de la vérification de l'existence d'un système de contrôle interne (NAS 890). Cette norme d'audit est appliquée depuis le 1er janvier 2008 à tous les audits pour lesquels l'existence du SCI (Système de Contrôle Interne), conformément à l'art. 728a al. 1 ch. 3 CO, doit être vérifiée. Compagnie Financière Tradition s'est mise en conformité avec cette norme pour l'ensemble de ses filiales et a ainsi renforcé l'analyse des systèmes de contrôle interne dans l'ensemble de ses filiales.
Ainsi, afin d'atteindre une stratégie d'audit optimale en vue d'émettre un jugement quant à la conformité légale des comptes annuels, l'auditeur procède à des opérations d'audit axées sur les résultats et les procédures. S'il entend s'appuyer sur des opérations d'audit axées sur les procédures et, partant sur le SCI, il doit se convaincre du fonctionnement permanent et correct (= efficacité) des contrôles. Cela peut être fait au moyen de sondages représentatifs. Toutefois, la base d'une confirmation de l'existence du SCI relatif au rapport financier (dans sa totalité) n'est pas encore automatiquement garantie. Il s'agit dans le cadre de la mise en place de ces normes de confirmer l'existence du SCI dans sa totalité sachant que les contrôles doivent être vérifiés aux trois niveaux susmentionnés (entreprise, processus, informatique). L'étendue de l'audit lors de la vérification de l'existence du SCI est en général définie de manière plus large (c.-à-d. domaines supplémentaires soumis à un audit) mais va moins en profondeur (procédures individuelles limitées aux tests de cheminement).
Ainsi, pour la vérification de l'existence du SCI, aucun sondage représentatif n'est nécessaire, étant donné que la loi suisse ne prévoit aucun examen relatif au fonctionnement permanent et correct (efficacité) du SCI. Les éléments importants du SCI (composantes du contrôle) doivent être documentés par écrit et ce, de manière à ce que les processus-clés puissent être compris et analysés.
Le Conseil d'administration de VIEL & Cie est doté d'un Comité d'audit constitué d'administrateurs indépendants, qui se réunit au moins deux fois par an. Il est composé de deux membres.
Le pôle d'activité de Compagnie Financière Tradition dispose d'un Comité d'audit et d'un Comité des Rémunérations qui se réunissent plusieurs fois par an et traitent des sujets relatifs aux performances financières du Groupe et à l'analyse des risques notamment opérationnels.
Bourse Direct et SwissLife Banque Privée dispose également de leur propre Comité d'audit.
Les activités de VIEL & Cie comprennent principalement des activités d'intermédiation, déployées par ses filiales indirectes Compagnie Financière Tradition et Bourse Direct. Compagnie Financière Tradition contrôle majoritairement deux sous-holdings, qui détiennent à leur tour des participations importantes dans des sociétés actives dans l'intermédiation de produits financiers et non financiers auprès d'une large clientèle principalement constituée d'établissements financiers et de grandes sociétés.
Parallèlement, chaque filiale significative dispose d'un Conseil d'administration ou de surveillance, d'une Direction Générale et d'un responsable financier. Ce dernier rapporte tout à la fois à la Direction Générale locale et à la Direction Financière du Groupe, ce qui permet d'assurer la fluidité et la transparence de la remontée de l'information.
Dans le domaine de la bourse en ligne, Bourse Direct est dirigée par un Président du Directoire - Directeur Général.
La direction du pôle d'activité de banque privée est sous la responsabilité des équipes de l'actionnaire majoritaire, SwissLife.
La Direction financière du Groupe VIEL & Cie est organisée en relation avec la Direction financière des participations de VIEL & Cie. Par ailleurs, l'équipe financière de Compagnie Financière Tradition notamment, supervise en parallèle l'ensemble des responsables financiers locaux des filiales opérationnelles du Groupe Tradition. Au sein des pôles opérationnels de VIEL & Cie, le département Finance comprend :
La direction financière du pôle Compagnie Financière Tradition organise régulièrement des séminaires de formation de ces directions financières aux principes comptables en vigueur mis en place par le Groupe ainsi qu'à l'élaboration des liasses de consolidation utilisées pour la préparation des comptes consolidés.
Par ailleurs, la Direction financière est responsable de la relation avec les Commissaires aux comptes.
La Direction financière de VIEL & Cie s'assure de la correcte remontée des informations comptables et financières des filiales au travers de procédure exposées ci-dessous :
VIEL & Cie au travers de ses deux principaux pôles d'activité Compagnie Financière Tradition et Bourse Direct, dispose d'un système d'information unifié dans la quasi-totalité de ses filiales, développé par une équipe interne sur un environnement IBM, qui permet une intégration totale de la chaîne de traitement des opérations d'intermédiation, de la saisie des tickets au back-office à l'alimentation des encours des comptes débiteurs jusqu'à la comptabilité. En effet, cet outil permet une alimentation automatique des tableaux de suivi des encours clients en fonction du chiffre d'affaires saisi au back-office, et parallèlement une intégration directe du chiffre d'affaires généré par la société dans la comptabilité de celle-ci. Ainsi, la chaîne liée au traitement du chiffre d'affaires de la société est intégralement interfacée permettant ainsi le respect de la piste d'audit jusqu'à la production des états comptables. Par ailleurs, des interfaces sont progressivement mises en place avec des outils front-office, au gré du déploiement d'outils transactionnels intégrés ou d'outils de pré-saisie au front-office.
Cet outil alimente la comptabilité générale locale mais aussi la comptabilité analytique locale et centrale et permet ainsi un suivi détaillé au niveau le plus fin, soit les ratios de charges directes de chacun des desks d'un bureau spécifique, avec une comparaison par rapport aux périodes précédentes et au budget. Il est désormais en place dans la majorité des bureaux du Groupe.
De la même façon, les systèmes d'information de Bourse Direct sont interfacés avec la comptabilité, permettant un traitement automatisé de l'ensemble des données de gestion.
La consolidation est produite à partir d'un logiciel acquis auprès d'une société externe, référence sur le marché, mais paramétré afin de répondre aux besoins spécifiques d'analyse d'une activité telle que celle déployée par VIEL & Cie, notamment en ce qui concerne l'analyse de la rentabilité opérationnelle et des ratios de charges directes par pôle d'activité, puis par zone géographique. VIEL & Cie a complété son dispositif de consolidation par la mise en œuvre d'une interface entre son outil comptable IBM et son logiciel de consolidation, qui permet désormais une intégration automatique des balances comptables pour la quasi-totalité des filiales du Groupe. Cette procédure permet une accélération importante des délais de production de l'information financière consolidée, tout en renforçant la piste d'audit et en confortant la fiabilité des données consolidées. La consolidation du Groupe est établie sur une base mensuelle.
Le Contrôle de gestion des différentes filiales élabore des rapports financiers, qui lui permettent de suivre, au fil de l'eau, l'évolution des opérations des sociétés du Groupe :
Les comptes consolidés du Groupe sont établis sur une base mensuelle dans un contexte de développement d'interfaces entre l'outil comptable et le logiciel de consolidation. L'élaboration des comptes consolidés mensuels permet une analyse approfondie des données financières fournies par les sociétés du Groupe. Des rapprochements systématiques sont effectués avec le reporting opérationnel afin de s'assurer de la fiabilité des informations transmises par les filiales au département du contrôle de gestion.
Afin de compléter ce dispositif, VIEL & Cie a mis en place au travers de ses filiales, une procédure plus systématique de formalisation des arrêtés de comptes mensuels au niveau local, comprenant une liste des contrôles minimums devant être mis en œuvre au cours du mois et en fin de mois et une description détaillée du formalisme attaché à ces contrôles. La mise en œuvre effective de ces nouvelles procédures au plan local est contrôlée lors de revues réalisées sur site par les équipes des départements financiers et de contrôle des risques.
Dans le cadre de son gouvernement d'entreprise, VIEL & Cie ne se réfère pas à un code de gouvernement d'entreprise élaboré par des organisations représentatives car aucun ne correspond aux caractéristiques de VIEL & Cie, qui est une société holding contrôlée par un actionnaire majoritaire lequel consolide VIEL & Cie dans ses propres comptes. Aussi le fonctionnement du Conseil d'administration de VIEL & Cie est défini dans son Règlement Intérieur, lequel est disponible sur son site internet.
Les informations concernant la structure du capital de la Société et les éléments susceptibles d'avoir une incidence en cas d'offre publique sont présentés dans le rapport de gestion.
Le Conseil d'administration de VIEL & Cie a pour principales missions de :
Fonction : Président-Directeur Général.
Date de nomination : Administrateur : 1ère nomination : 9 octobre 1979. Dernier renouvellement : 4 juin 2009. Directeur Général : 9 octobre 1979. Président du Conseil : 21 mars 2012. Date d'expiration : AGO 2015 statuant sur les comptes clos le 31 décembre 2014.
Fonction : Administrateur. Date de nomination : 1ère nomination : 25 janvier 1994. Dernier renouvellement : 17 juin 2011.
Date d'expiration : AGO 2017 statuant sur les comptes clos le 31 décembre 2016.
Fonction : Administrateur. Date de nomination : 1ère nomination : 30 décembre 1994. Dernier renouvellement : 17 juin 2011. Date d'expiration : AGO 2017 statuant sur les comptes clos le 31 décembre 2016.
Fonction : Administrateur. Date de nomination : 1ère nomination : 25 janvier 1994. Dernier renouvellement : 17 juin 2011. Date d'expiration : AGO 2017 statuant sur les comptes clos le 31 décembre 2016.
Fonction : Administrateur. Date de nomination : 1ère nomination : 17 juin 2011. Date d'expiration : AGO 2017 statuant sur les comptes clos le 31 décembre 2016.
Les administrateurs sont indépendants à l'exception de Patrick Combes et de Catherine Nini.
Par souci de clarification, les critères qu'examine le Conseil afin de qualifier un administrateur d'indépendant et de prévenir les risques de conflits d'intérêts entre l'administrateur et la direction, la Société ou son Groupe, sont les suivants :
Dans tous les cas, l'existence d'un conflit d'intérêts potentiel sera appréciée par le Conseil au regard de la situation globale de la personne concernée. Monsieur Descarpentries est administrateur de Compagnie Financière Tradition, filiale suisse cotée de VIEL & Cie ; Monsieur Christian Baillet est Vice-président du Conseil de surveillance de Bourse Direct, et administrateur de VIEL et Compagnie-Finance et de Tradition (UK) Ltd, TFS Ltd, TFS Derivatives Ltd et Trad-X Ltd (filiales anglaises du groupe Tradition).
Aucun administrateur n'a été élu par les salariés.
Chaque administrateur doit détenir au minimum une action.
Le Conseil est composé de quatre hommes et d'une femme représentant ainsi 20 % des membres du Conseil.
Le Conseil d'administration s'est réuni deux fois au cours du dernier exercice clos avec un taux de présence de 80 %. Ces réunions ont principalement lieu au siège social de la Société. Outre les Commissaires aux comptes invités à chaque réunion portant sur l'examen de comptes, le Conseil d'administration invite à ses réunions les membres de la direction concernés par l'ordre du jour afin d'obtenir toute précision nécessaire à une prise de décision éclairée.
Les administrateurs sont soumis aux dispositions du règlement du Conseil.
Aucune mesure n'a été prise pour évaluer les performances du Conseil d'administration. Aucune mesure d'évaluation n'est envisagée à ce jour, le Conseil étant équilibré et constitué de membres expérimentés soucieux de l'intérêt social de l'entreprise et de ceux de l'ensemble de ses actionnaires.
Les jetons de présence attribués aux administrateurs au cours de l'exercice écoulé se sont élevés à un montant global de € 60 000, soit € 12 000 pour chaque administrateur ayant siégé sur l'intégralité de l'exercice 2014. Le versement est intervenu en 2015.
Chaque administrateur reçoit toutes les informations nécessaires à l'accomplissement de sa mission et peut se faire communiquer tous les documents qu'il estime utiles. Ils reçoivent dans ce cadre l'ensemble des éléments relatifs à l'ordre du jour de la réunion du Conseil par porteur dans un délai leur permettant d'en prendre connaissance utile et obtenir tout complément, avant la réunion.
Les administrateurs communiquent fréquemment avec les membres de la Direction Générale en-dehors des réunions du Conseil et obtiennent ainsi une information précise sur l'activité de la Société. Ils sont consultés et participent à chaque décision stratégique de la Société.
La date des réunions du Conseil est fixée en fonction de la disponibilité des administrateurs et ensuite confirmée par courrier électronique.
Le Conseil d'administration a décidé de la rémunération de ses membres. A l'exception de Patrick Combes et de Catherine Nini, aucun de ces membres n'occupe de fonction opérationnelle au sein du Groupe et ne perçoit donc de rémunération au titre d'un contrat de travail.
Les administrateurs, dont le Président, perçoivent des jetons de présence dont le montant est réparti par le Conseil d'administration.
Lors de sa réunion du 18 décembre 2008, le Conseil d'administration de VIEL & Cie a examiné l'ensemble des recommandations émises par l'AFEP et le MEDEF sur la rémunération des dirigeants mandataires sociaux des sociétés cotées, rendues publiques le 6 octobre 2008.
Le Conseil d'administration a considéré que ces recommandations s'inscrivaient dans la démarche du gouvernement d'entreprise de VIEL & Cie dès 2011. Le Conseil d'administration tient compte des recommandations AFEP MEDEF pour l'élaboration du rapport prévu à l'article L. 225-37 du Code de commerce pour l'exercice 2014.
VIEL & Cie a mis en place des comités permettant de renforcer, par leur rôle, le dispositif de contrôle interne.
Le Conseil d'administration a constitué deux comités composés d'administrateurs indépendants afin de l'assister dans sa tâche.
Le Comité d'audit, présidé par Christian Baillet, composé de deux membres indépendants et non exécutifs, qui bénéficient de l'expérience et du savoir-faire nécessaires en matière de normes comptables, de finance et d'audit pour s'acquitter des responsabilités qui leur incombent, assiste le Conseil dans son rôle de surveillance du processus reporting financier, du système de contrôle interne sur le reporting financier, du processus d'audit et des processus de l'entreprise destinés à piloter la conformité avec les lois, les réglementations et le code de bonne conduite.
Ce Comité examine les comptes annuels et semestriels sociaux et consolidés de la Société avant que ceux-ci ne soient présentés au Conseil d'administration. Le Comité est associé au choix des Commissaires aux comptes de la Société Il contrôle leur indépendance, examine et valide en leur présence, leur programme d'intervention, les résultats de leurs vérifications, leurs recommandations et le suivi de ces recommandations. Le Comité est informé des règles comptables applicables au sein de la Société et il est saisi des éventuelles difficultés rencontrées dans la bonne application de ces règles. Il examine tout projet de changement de référentiel comptable ou de modification de méthodes comptables. Le Comité est saisi par la Direction Générale ou par les Commissaires aux comptes de tout événement susceptible d'exposer la Société à un risque significatif. Le Comité peut demander la réalisation de tout audit interne ou externe sur tout sujet qu'il estime relever de sa mission. En outre, le Comité examine la situation de trésorerie de la Société lors de chaque réunion.
Il procède également à la revue des sujets de risque et de contrôle.
En effet, le Conseil d'administration a délégué au Comité d'audit les pouvoirs et l'autorité nécessaires pour conduire ou approuver des enquêtes dans tous les domaines inclus dans son champ de responsabilité et notamment :
Le Comité des rémunérations, présidé par Christian Baillet, a pour tâche d'approuver et de suggérer les programmes et stratégies de rémunération mises en place, et plus spécifiquement les modalités de rémunération des membres de la Direction Générale. Son champ de compétence comprend également les programmes de « stock options » et autres programmes de primes ou de gratifications.
L'Assemblée générale ordinaire annuelle et extraordinaire du 29 mai 2002 a mis les statuts de la Société en conformité avec les dispositions de la loi n° 2001-420 du 15 mai 2001 sur les Nouvelles Régulations Economiques.
Le Directeur Général assume sous sa responsabilité la Direction Générale de la Société et la représente dans ses rapports avec les tiers avec les pouvoirs les plus étendus sous réserve, toutefois, de ceux expressément attribués par la loi aux Assemblées générales et au Conseil d'administration. Il ne peut toutefois consentir aucun aval, caution ou garantie en faveur de tiers sans l'autorisation expresse du Conseil d'administration.
Les conditions de participations des actionnaires aux Assemblées générales sont régies par la loi et les statuts de la société (articles 29 à 40), lesquels sont disponibles sur le site de la Société. Les dispositions statutaires sont le reflet des textes législatifs et réglementaires.
Le Président du Conseil d'administration
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En notre qualité de commissaires aux comptes de la société Viel & Cie et en application des dispositions de l'article L. 225 235 du Code de commerce, nous vous présentons notre rapport sur le rapport établi par le président de votre société conformément aux dispositions de l'article L. 225 37 du Code de commerce au titre de l'exercice clos le 31 décembre 2014.
Il appartient au président d'établir et de soumettre à l'approbation du conseil d'administration un rapport rendant compte des procédures de contrôle interne et de gestion des risques mises en place au sein de la société et donnant les autres informations requises par l'article L. 225-37 du Code de commerce relatives notamment au dispositif en matière de gouvernement d'entreprise. Il nous appartient :
Nous avons effectué nos travaux conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France.
Les normes d'exercice professionnel requièrent la mise en œuvre de diligences destinées à apprécier la sincérité des informations concernant les procédures de contrôle interne et de gestion des risques relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière contenues dans le rapport du président. Ces diligences consistent notamment à :
Sur la base de ces travaux, nous n'avons pas d'observation à formuler sur les informations concernant les procédures de contrôle interne et de gestion des risques de la société relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière contenues dans le rapport du président du conseil d'administration, établi en application des dispositions de l'article L. 225 37 du Code de commerce.
Nous attestons que le rapport du président du conseil d'administration comporte les autres informations requises à l'article L. 225 37 du Code de commerce.
Les Commissaires aux Comptes
FIDORG AUDIT Manuel Le Roux ERNST & YOUNG Audit Marc Charles
BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ FRANCFORT JOHANNESBURG KÜSNACHT LAUSANNE LONDRES LUXEMBOURG MILAN MOSCOU MUNICH PARIS ROME TEL AVIV ZURICH BANGKOK HONG KONG JAKARTA KUALA LUMPUR MAKATI CITY MUMBAÏ SÉOUL SHANGHAI SHENZHEN SINGAPOUR SYDNEY TOKYO BOGOTA BOSTON BUENOS AIRES DALLAS HOUSTON MEXICO NEW YORK SANTIAGO STAMFORD BRUXELLES DUBAÏ
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| Ernst & Young Audit | Fidorg Audit | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| En millions d'euros | Montant (€ HT) | % | Montant (€ HT) | % | ||||
| 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | |
| Audit | ||||||||
| Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés |
2 615 787 | 2 500 115 | 100 % | 100 % | 106 750 | 106 750 | 100 % | 100 % |
| - Emetteur | 167 500 | 167 500 | 6 % | 7 % | 40 000 | 40 000 | 37 % | 37 % |
| - Filiales intégrées globalement | 2 448 287 | 2 332 615 | 94 % | 93 % | 66 750 | 66 750 | 63 % | 63 % |
| Autres diligences et prestations directement liées à la mission du commissaire aux comptes |
- | - | - | - | - | - | - | - |
| - Emetteur | - | - | - | - | - | - | - | - |
| - Filiales intégrées globalement | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Sous-total | 2 615 787 | 2 500 115 | 99 % | 99 % | 106 750 | 106 750 | 100 % | 100 % |
| Autres prestations rendues par les réseaux aux filiales intégrées globalement |
||||||||
| - Juridique, fiscal, social | 39 290 | 28 081 | 100 % | 100 % | - | - | - | - |
| - Autres | - | - | - | - | - | - | - | - |
| Sous-total | 39 290 | 28 081 | 1 % | 1 % | - | - | - | |
| TOTAL | 2 655 076 | 2 528 196 | 96 % | 96 % | 106 750 | 106 750 | 4 % | 4 % |
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