Interim / Quarterly Report • Aug 30, 2016
Interim / Quarterly Report
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Avenue de Kéranguen – 56956 Vannes Cedex 9 Tél : 02 97 01 77 77 – Fax : 02 97 01 75 04 www.ca-morbihan.fr
Responsable de la communication financière : Mr Guy FOUQUET Directeur du département des Finances et Risques
Crédit Photo : Bozanne Davis
| Rapport semestriel | 7 |
|---|---|
| Faits marquants des six premiers mois de 2016 et évènements postérieurs à la fin de période | 8 |
| Tableau d'activité (base consolidée) | 8-9 |
| Bilan et Compte de Résultat (base consolidée) | 10-12 |
| Bilan et Compte de Résultat (base sociale) | 13-14 |
| Déclaration de la Caisse Régionale sur les risques | 15 |
| Les facteurs de risques | 16-31 |
| Certificats Coopératifs d'Associés et d'Investissement | 31-33 |
| Perspectives 2016 | 33 |
| Comptes consolidés intermédiaires résumés au 30 juin 2016 | 34 |
| Cadre général | 35 |
| Compte de Résultat | 36 |
| Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres | 37 |
| Bilan Actif | 38 |
| Bilan Passif | 39 |
| Tableau de variation des capitaux propres | 40 |
| Tableau des flux de trésorerie | 41-42 |
| Notes annexes aux comptes consolidés intermédiaires résumés | 43-77 |
| Rapport des Commissaires aux Comptes sur l'information financière semestrielle 2016 | 78 |
| Comptes sociaux intermédiaires résumés au 30 juin 2016 | 79 |
| Bilan Actif | 80 |
| Bilan Passif | 81 |
| Hors Bilan | 82 |
| Compte de Résultat | 83 |
| Notes | 84 |
Conformément à l'article 8 de l'instruction de l'Autorité des Marchés Financiers n°2005-11 du 13 décembre 2005, vous trouverez ci-dessous, la déclaration de Messieurs Christian TALGORN et Pierre-Louis BOISSIERE, respectivement Président du Conseil d'Administration et Directeur Général de la Caisse Régionale de Crédit Agricole du Morbihan, sur la responsabilité du rapport financier semestriel.
Nous attestons, à notre connaissance, que les comptes consolidés résumés aux normes IFRS pour le semestre écoulé sont établis conformément aux normes comptables applicables et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et du résultat de la société et de l'ensemble des entreprises comprises dans le périmètre de consolidation, et que le rapport
semestriel d'activité ci-après présente un tableau fidèle des évènements importants survenus pendant les six premiers mois de l'exercice, de leur incidence sur les comptes, des principales transactions entre parties liées ainsi qu'une description des principaux risques et des principales incertitudes pour les six mois restants de l'exercice.
Le Conseil d'Administration de la Caisse Régionale a décidé, dans sa séance du 19 mars 2010, de développer le sociétariat et, de ce fait, de promouvoir l'émission de parts sociales nouvelles à l'échelon des Caisses Locales affiliées à la Caisse Régionale. La décision d'émettre de nouvelles parts sociales auprès du public a fait l'objet d'une délibération favorable du Conseil d'Administration de chaque Caisse Locale au cours des mois de mars et avril 2010. Depuis le 3 mai 2010 et jusqu'au 30 juin 2016, le total des souscriptions s'élève à 232,3 millions d'euros, dont 23,9 millions au titre de l'année 2016. Le programme d'émission annuel a obtenu le visa de l'AMF sous le numéro 16-330 le 19 juillet 2016. Le montant prévisionnel d'émission est de 40 millions d'euros représentant environ 26 millions de parts sociales.
Conformément aux résolutions des Assemblées Générales Ordinaires et Extraordinaires des 27 mars 2009, 26 mars 2010, 29 mars 2012, 21 mars 2013, 20 mars 2014, 19 mars 2015, et 24 mars 2016, la Caisse Régionale a mis en œuvre, à compter du 9 novembre 2009, le programme de rachat des Certificats Coopératifs d'Investissement. Depuis cette date et jusqu' au 30 juin 2016, 187 442 titres (soit 10,43 % du nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement émis) ont été achetés pour un montant total de 8,9 millions d'euros. Conformément aux décisions de son Conseil d'Administration en date des 17 décembre 2010, 25 novembre 2011, 30 novembre 2012, 29 novembre 2013, 28 novembre 2014 et 27 novembre 2015, la Caisse Régionale a fait procéder à l'annulation des Certificats Coopératifs d'Investissement acquis entre le 9 novembre 2009 et le 31 octobre 2014, soit 149 459 titres (dont 39 278 titres en 2010, 25 798 titres en 2011, 30 478 titres en 2012, 28 356 titres en 2013, 25 549 titres en 2014 et 25 496 titres en 2015) diminuant ainsi ses capitaux propres pour un montant total de 8,1 millions d'euros. Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale détient 12 487 titres (soit 0,77 % du nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement émis) pour un montant total de 0,77 million d'euros.
Dans le cadre de la simplification de la structure du groupe Crédit Agricole, un projet est en cours afin de procéder à un reclassement des Certificats Coopératifs d'Investissement (« CCI ») et des Certificats Coopératifs d'Associé (« CCA ») actuellement détenus par Crédit Agricole S.A. dans une holding («Sacam Mutualisation») conjointement détenue par les Caisses Régionales. Le rachat par « Sacam Mutualisation » de la majorité des CCI/CCA actuellement détenus par Crédit Agricole S.A. est estimé à un montant préliminaire de 18 milliards d'euros (valeur estimée au 31 décembre 2015, à ajuster en fonction de l'évolution des capitaux propres des Caisses Régionales entre cette date et la date de réalisation de l'opération). Le financement de « Sacam Mutualisation » se fera via un apport en capital des Caisses Régionales (souscription par chacune des Caisses Régionales à une augmentation de capital lui permettant d'acquérir les CCI/CCA détenus par Crédit Agricole S.A.). Des prêts à moyen et long termes de Crédit Agricole S.A. pour un montant total d'environ 11 milliards d'euros au taux de 2,15% seront faits aux Caisses Régionales pour financer une partie de l'augmentation de capital de « Sacam Mutualisation ». Cette opération, qui fait l'objet d'une lettre d'intention signée par l'ensemble des parties prenantes mi-février, s'inscrit dans une optique de simplification de la structure du Groupe, d'accroissement de la mutualisation des résultats des Caisses Régionales et permettra le maintien et le renforcement de la solidarité économique entre les Caisses Régionales qui existe déjà aujourd'hui indirectement au travers de la participation de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales et de
la garantie Switch CCI/CCA. Cette opération est sans incidence sur les comptes intermédiaires au 30 juin 2016 de la Caisse Régionale du Morbihan. Sa réalisation prévue au troisième trimestre 2016 entrainera le débouclage de la garantie Switch pour sa composante couvrant les CCI/CCA et le remboursement du dépôt auprès de Crédit Agricole S.A. relatif à cette garantie (5 milliards d'euros pour l'ensemble des Caisses Régionales et 93 millions d'euros pour la Caisse Régionale du Morbihan).
La Caisse Régionale a comptabilisé en 2016 un acompte sur dividendes de 16,7 millions d'euros au titre de sa
Dans un environnement financier et économique compliqué et en faible croissance, la Caisse Régionale du Morbihan continue à soutenir et à accompagner le développement économique du département morbihannais et de ses acteurs en adéquation avec son projet d'entreprise orienté développement multicanal et satisfaction client.
participation au capital de la SAS Rue la Boétie. Dans le cadre du développement du Groupe, la Caisse Régionale a participé, au cours du 1er semestre 2016, à la mise en place d'un compte courant dans les comptes de la SAS Rue la Boétie pour un montant de +16,7 millions d'euros correspondant à l'acompte sur dividendes. Simultanément à cette décision, la Caisse Régionale du Morbihan a décidé de participer à l'augmentation de capital de la SAS Rue la Boétie qui interviendra au cours du mois de Juillet 2016, à hauteur de 16,7 millions d'euros. Cette augmentation de capital sera réalisée par la capitalisation intégrale de l'avance en compte courant consentie par la Caisse Régionale à la SAS Rue la Boétie..
Un nouveau Plan Moyen terme pour la période 2017- 2020 est en cours d'élaboration par la Caisse Régionale du Morbihan en cohérence avec celui du Groupe Crédit Agricole.
Vannes, le 29 Juillet 2016
Le Président du Conseil d'Administration Le Directeur Général
Christian TALGORN Pierre-Louis BOISSIERE
Le Conseil d'Administration de la Caisse Régionale a décidé, dans sa séance du 19 mars 2010, de développer le sociétariat et, de ce fait, de promouvoir l'émission de parts sociales nouvelles à l'échelon des Caisses Locales affiliées à la Caisse Régionale. La décision d'émettre de nouvelles parts sociales auprès du public a fait l'objet d'une délibération favorable du Conseil d'Administration de chaque Caisse Locale au cours des mois de mars et avril 2010. Depuis le 3 mai 2010 et jusqu'au 30 juin 2016, le total des souscriptions s'élève à 232,3 millions d'euros, dont 23,9 millions au titre de l'année 2016. Le programme d'émission annuel a obtenu le visa de l'AMF sous le numéro 16-330 le 19 juillet 2016. Le montant prévisionnel d'émission est de 40 millions d'euros représentant environ 26 millions de parts sociales.
Conformément aux résolutions des Assemblées Générales Ordinaires et Extraordinaires des 27 mars 2009, 26 mars 2010, 29 mars 2012, 21 mars 2013, 20 mars 2014, 19 mars 2015, et 24 mars 2016, la Caisse Régionale a mis en œuvre, à compter du 9 novembre 2009, le programme de rachat des Certificats Coopératifs d'Investissement. Depuis cette date et jusqu' au 30 juin 2016, 187 442 titres (soit 10,43 % du nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement émis) ont été achetés pour un montant total de 8,9 millions d'euros. Conformément aux décisions de son Conseil d'Administration en date des 17 décembre 2010, 25 novembre 2011, 30 novembre 2012, 29 novembre 2013, 28 novembre 2014 et 27 novembre 2015, la Caisse Régionale a fait procéder à l'annulation des Certificats Coopératifs d'Investissement acquis entre le 9 novembre 2009 et le 31 octobre 2014, soit 149 459 titres (dont 39 278 titres en 2010, 25 798 titres en 2011, 30 478 titres en 2012, 28 356 titres en 2013, 25 549 titres en 2014 et 25 496 titres en 2015) diminuant ainsi ses capitaux propres pour un montant total de 8,1 millions d'euros. Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale détient 12 487 titres (soit 0,77 % du nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement émis) pour un montant total de 0,77 million d'euros.
Dans le cadre de la simplification de la structure du groupe Crédit Agricole, un projet est en cours afin de procéder à un reclassement des Certificats Coopératifs d'Investissement (« CCI ») et des Certificats Coopératifs d'Associé (« CCA ») actuellement détenus par Crédit Agricole S.A. dans une holding («Sacam Mutualisation») conjointement détenue par les Caisses Régionales. Le rachat par « Sacam Mutualisation » de la majorité des CCI/CCA actuellement détenus par Crédit Agricole S.A. est estimé à un montant préliminaire de 18 milliards d'euros (valeur estimée au 31 décembre 2015, à ajuster en fonction de l'évolution des capitaux propres des Caisses Régionales entre cette date et la date de réalisation de l'opération). Le financement de « Sacam Mutualisation » se fera via un apport en capital des Caisses Régionales (souscription par chacune des Caisses Régionales à une augmentation de capital lui permettant d'acquérir les CCI/CCA détenus par Crédit Agricole S.A.). Des prêts à moyen et long termes de Crédit Agricole S.A. pour un montant total d'environ 11 milliards d'euros au taux de 2,15% seront faits aux Caisses Régionales pour financer une partie de l'augmentation de capital de « Sacam Mutualisation ». Cette opération, qui fait l'objet d'une lettre d'intention signée par l'ensemble des parties prenantes mi-février, s'inscrit dans une optique de simplification de la structure du Groupe, d'accroissement de la mutualisation des résultats des Caisses Régionales et permettra le maintien et le renforcement de la solidarité économique entre les Caisses Régionales qui existe déjà aujourd'hui indirectement au travers de la participation de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses Régionales et de la garantie Switch CCI/CCA. Cette opération est sans incidence sur les comptes intermédiaires au 30 juin 2016 de la Caisse Régionale du Morbihan. Sa réalisation prévue au troisième trimestre 2016 entrainera le débouclage de la garantie Switch pour sa composante couvrant les CCI/CCA et le remboursement du dépôt auprès de Crédit Agricole S.A. relatif à cette garantie (5 milliards d'euros pour l'ensemble des Caisses Régionales et 93 millions d'euros pour la Caisse Régionale du Morbihan).
La Caisse Régionale a comptabilisé en 2016 un acompte sur dividendes de 16,7 millions d'euros au titre de sa participation au capital de la SAS Rue la Boétie. Dans le cadre du développement du Groupe, la Caisse Régionale a participé, au cours du 1er semestre 2016, à la mise en place d'un compte courant dans les comptes de la SAS Rue la Boétie pour un montant de +16,7 millions d'euros correspondant à l'acompte sur dividendes.
Simultanément à cette décision, la Caisse Régionale du Morbihan a décidé de participer à l'augmentation de capital de la SAS Rue la Boétie qui interviendra au cours du mois de Juillet 2016, à hauteur de 16,7 millions d'euros. Cette augmentation de capital sera réalisée par la capitalisation intégrale de l'avance en compte courant consentie par la Caisse Régionale à la SAS Rue la Boétie.
A la date du 29 juillet 2016, date d'arrêté des comptes par le Conseil d'Administration, la Caisse Régionale n'a pas identifié d'évènements postérieurs à la date d'arrêté et rattachables au 30 juin 2016.
Avec une progression de plus de 10.600 nouveaux clients depuis le début de l'année et une progression du nombre de ses clients sociétaires de 3.500, la Caisse Régionale confirme son attractivité et son engagement mutualiste.
Sur un an, l'activité de collecte globale progresse de 2,0 % avec 10,6 milliards d'euros d'encours : la collecte des dépôts et de l'épargne bancaire réinvestie sur notre territoire pour financer les crédits évolue positivement.
56,5 % de nos clients sont sociétaires du Crédit Agricole du Morbihan en cohérence avec les ambitions définies en 2012 par la Fédération Nationale du Crédit Agricole lors de son congrès à Bruxelles.
Le produit net bancaire atteint 123,5 millions d'euros en retrait de 1,4 %. Cette évolution provient principalement :
Le Crédit Agricole du Morbihan soutient l'économie locale avec une activité crédit de plus de 7,1 milliards d'euros et des réalisations toujours aussi soutenues sur le premier semestre 2016 à 668 millions d'euros sur l'ensemble de ses marchés (+ 4% en année mobile).
Les contrats assurances dommages-prévoyance en portefeuille progressent de + 6,1 %, tout comme l'offre de service « comptes services » dont les « comptes à composer » (+ 2,6 %) facilitant la gestion quotidienne des comptes clients.
| (En milliers d'euros) | Juin 2016 | Juin 2015 | variation en % |
Décembre 2015 |
|---|---|---|---|---|
| Produit net bancaire | 123 456 | 125 147 | -1,4% | 230 512 |
| Charges générales d'exploitation | -64 409 | -62 778 | +2,6% | -122 964 |
| Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles |
-1 934 | -2 061 | -6,2% | -4 059 |
| Résultat Brut d'exploitation | 57 113 | 60 308 | -5,3% | 103 489 |
| Coût du risque | -17 833 | -14 589 | +22,2% | -20 149 |
| Résultat d'exploitation | 39 280 | 45 719 | -14,1% | 83 340 |
| Gains ou pertes nets sur autres actifs | -27 | -307 | -91,2% | -410 |
| Résultat avant impôt | 39 253 | 45 412 | -13,6% | 82 930 |
| Impôts sur les bénéfices | 6 526 | 12 672 | -48,5% | -25 874 |
| Résultat net | 32 727 | 32 740 | / | 57 056 |
Les charges de fonctionnement sont en phase avec les prévisions et évoluent de 2,3 % par rapport au premier semestre de l'année précédente. Elles intègrent les investissements de la Caisse Régionale dans les compétences de sa force commerciale, dans son réseau d'agence et dans des projets technologiques au service de sa clientèle. Par ailleurs, la Caisse Régionale a comptabilisé sa contribution au Fonds de Résolution Unique (FRU) qui s'inscrit dans le cadre du Mécanisme de Supervision Unique (MSU).
Sur le premier semestre 2016, le coût du risque s'établit à – 17,8 millions d'euros (+ 22,2 % par rapport à juin 2015). Les risques sont en légère hausse par
Calculé sur base consolidée, le coefficient d'exploitation ressort à 53,74 % en juin 2016, contre
La Caisse Régionale du Morbihan exerce son activité en France, dans un seul secteur d'activité, celui de la banque de proximité. Cela ne justifie donc pas la rapport au 31 décembre 2015 avec un taux de créances douteuses et litigieuses à 3,12 % (contre 3,09 % en décembre 2015), tandis que le taux de couverture fléchit légèrement à 61,2 % contre 62,4 % au 31 décembre 2015. Avec la comptabilisation de provisions filières, la Caisse Régionale a ainsi amélioré son taux de couverture globale des risques crédits (Encours des dépréciations individuelles, collectives, et filières sur Encours de Crédits Bruts) qui s'établit à 3,37 % contre 3,23 % au 31 décembre 2015.
Au total, il en résulte un Résultat d' Exploitation de 39,3 millions d'euros, et un Résultat Net de 32,7 millions d'euros.
51,81 % en juin 2015 et 55,10 % fin décembre 2015.
production de tableaux détaillés par métier, par pôle d'activité et par zone géographique.
Le total du Bilan consolidé arrêté au 30 juin 2016 s'établit à 9 009 millions d'euros, en retrait de 1,4 % par rapport à décembre 2015.
Parmi les autres postes de l'actif, il convient de noter :
les « prêts et créances sur les établissements de crédits » : le niveau au 30 juin 2016 est de 509 millions d'euros, contre 858 millions d'euros fin 2015, sous l'effet de la tombée d'échéance d'un accord de refinancement avec Crédit Agricole SA.
les « actifs financiers disponibles à la vente » : ils atteignent 604 millions d'euros en retrait de 0,6 %, celle-ci traduisant la tombée d'échéance d'un titre pour 10 millions d'euros et d'autre part l'évolution des valorisations des participations et des placements de la Caisse Régionale.
Quatre postes principaux permettent d'assurer le financement des prêts et créances émis sur la clientèle pour un total de 7 353 millions d'euros :
En premier lieu, le poste « Dettes envers les établissements de crédits » : il atteint 4 538 millions d'euros, en retrait de 4,5 %. Il comprend notamment :
les « avances miroirs », qui représentent 50 % des ressources d'épargne collectées par la Caisse Régionale et remontées à Crédit Agricole S.A.. Ce poste progresse en même temps que la collecte bancaire clientèle.
les emprunts en blanc que la Caisse Régionale sollicite auprès de Crédit Agricole S.A..
En second lieu, les « Dettes envers la clientèle » : ce poste atteint 2 113,9 millions d'euros en léger retrait par rapport à décembre 2015 (- 0,2 %). Cette variation résulte de l'accroissement des comptes créditeurs de la
clientèle (DAV principalement) atténuée par le retrait des dettes à terme.
Puis les « Passifs financiers à la juste valeur par résultat » : il s'agit principalement des BMTN structurés pour une valeur nominale égale à 210 millions d'euros.
Enfin, les « Dettes représentées par un titre » : ce poste représente 134,1 millions d'euros au 30 juin 2016, en baisse de - 26,8 % en raison d'un recours moins important aux CDN interbancaires.
L'autre poste important des ressources du Bilan correspond aux « Capitaux propres – part du Groupe » pour 1 171,1 millions d'euros, en hausse de + 3,7 % (+ 41,8 millions d'euros).
Cette progression provient principalement :
Le Produit Net Bancaire consolidé atteint 123,5 millions d'euros au 30 juin 2016, en retrait de 1,4 % par rapport à
les « Intérêts et Produits ou charges nets assimilés » : diminuent de 9,3 % à 59,3 millions d'euros. Cette évolution résulte :
les « Produits nets des commissions » : il s'agit des commissions et facturations liées au développement commercial sur les activités de collecte, de services et assurances. Ce poste atteint 45,7 millions d'euros, en hausse de 0,3 % (+ 0,1 million d'euros). Cette évolution résulte d'une stabilité des commissions et facturations sur collecte placée auprès de la clientèle légèrement bonifié par une amélioration des commissions de liquidité.
les « gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » et « sur actifs financiers disponibles à la vente » s'améliorent de 3,2 millions d'euros, à + 18,4 millions d'euros. Ces rubriques sont principalement impactées par les éléments suivants :
l'évolution de la qualité de signature de Crédit Agricole S.A.,
Les charges générales d'exploitation consolidées atteignent 64,4 millions d'euros au 30 juin 2016, en progression de 2,6 %. Cette évolution se partage entre :
les frais de personnel, sont stables : avec l'évolution courante des rémunérations, des charges sociales, de la comptabilisation du CICE. Depuis 2015, il bénéficie de l'élargissement des domaines sous-traités dans le cadre des coopérations bretonnes.
les autres frais administratifs, en progression de 5,9 % mais totalement en phase avec les prévisions, après la prise en compte de l'incidence d'une part des investissements dans les compétences de sa force variation d'étalement de la soulte de +-3,0 millions d'euros,
enfin, les « autres éléments du PNB » ne sont pas significatifs.
commerciale, dans son réseau d'agence et dans des projets technologiques au service de la clientèle. Par ailleurs, la Caisse Régionale a comptabilisé différentes contributions dues au titre notamment du Fonds de Résolution Unique (FRU), de l'ACPR, de la BCE..
Les dotations aux amortissements et dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles représentent 1,9 million d'euros en diminution par rapport à juin 2015, avec notamment la dépréciation d'immobilisations corporelles pour + 0,16 million d'euros.
Calculé sur base consolidée, le résultat brut d'exploitation est de 57,1 millions d'euros en juin 2016.
Ce niveau de Résultat Brut d'Exploitation permet de couvrir :
un Coût du Risque de 17,8 millions d' euros (+ 22,2 % par rapport à juin 2015). Les risques sont en légère hausse par rapport au 31 décembre 2015 avec un taux de créances douteuses et litigieuses à 3,12 % (contre 3,09 % en décembre 2015), tandis que le taux de couverture fléchit légèrement à 61,2 % contre 62,4 % au 31 décembre 2015. Avec la comptabilisation de provisions filières, la Caisse Régionale a ainsi amélioré son taux de couverture globale des risques crédits (Encours des dépréciations individuelles, collectives, et filières sur Encours de Crédits Bruts) qui s'établit à 3,37 % contre 3,23 % au 31 décembre 2015.
résultat imposable en relation avec le niveau du résultat d'exploitation.
et de dégager un Résultat net (part du groupe) de 32,7 millions d'euros au même niveau qu'en juin 2014.
La variation du Résultat net consolidé - part du Groupe par rapport au résultat social de + 10,1 millions d'euros s'explique notamment :
par les effets de la variation de valorisation des instruments financiers classés en « Actifs et Passifs à la juste valeur par résultat » pour + 7,2 millions d'euros,
Le total du Bilan social au 30 juin 2016 est de 8 581 millions d'euros, soit 95,2 % du Bilan consolidé. Ainsi, les commentaires présentés ci-dessus valent aussi pour l'analyse du Bilan social. En particulier, nous retrouvons :
(- 0,2 % qui résulte de l'évolution des comptes créditeurs de la clientèle), des « opérations interbancaires et internes au Crédit Agricole » (- 5,2 % avec des tombées d'échéance d'emprunt en blanc) et des « dettes représentées par un titre » (- 12,1 % en raison d'un recours moins important aux CDN interbancaires).
Notons également au Passif :
Au 30 juin 2016, l'écart entre le total bilan social et le total bilan consolidé s'explique principalement par la valorisation des titres de participation, des OPCVM et des BMTN structurés minorée de l'effet des impôts différés.
La ventilation du PNB est la suivante :
le PNB sur fonds propres ressort à 21,6 millions d'euros en hausse de 5,4 millions d'euros compte tenu principalement de la variation de l'acompte sur dividende de la SAS Rue La Boétie (+ 7,3 millions d'euros) et d'un dividende Unexo perçu en 2015 (- 1,0 million d'euros).
Les « Charges de Fonctionnement » en hausse de 2,9 % au 30 juin 2016. Elles progressent mais restent maitrisées car parfaitement en ligne avec les prévisions. Les charges générales d'exploitation ressortent à 64,7 M€, soit une hausse de 2,9 % en année mobile en ligne avec notre budget. Elles intègrent les investissements de la caisse régionale dans les compétences de sa force commerciale, dans son réseau d'agence et dans des projets technologiques au service de sa clientèle. Par ailleurs, la Caisse Régionale a comptabilisé sa contribution au Fonds de Résolution Unique (FRU) qui s'inscrit dans le cadre du Mécanisme de Supervision Unique (MSU).
Le « Résultat Brut d'Exploitation » ressort à 50,8 millions d'euros (- 0,6 %) et le coefficient d'exploitation s'établit à 56,0 %.
Le « coût du risque » atteint - 17,8 millions d'euros. Les risques sont en augmentation par rapport au 30 juin 2016 avec un taux de créances douteuses et litigieuses à 3,16 % (contre 3,14 % en décembre 2015), le taux de couverture évolue à 61,2 % contre 62,4 % au 31 décembre 2015. La Caisse Régionale a ainsi amélioré son taux de couverture globale des risques crédits (Encours des dépréciations individuelles, collectives et Fonds pour Risques Bancaires Généraux sur Encours de Crédits Bruts) qui s'établit à 3,43 % contre 3,28 % au 31 décembre 2015.
La charge d'impôt sur les sociétés ressort à 10,2 millions d'euros, en lien avec l'incidence de la variation des gains et pertes latents sur OPCVM, des provisions non déductibles et des effets des lois de finances.
-Le Résultat Net s'établit à 22,7 millions d'euros.
Le graphique suivant illustre les progressions comparables des soldes intermédiaires de gestion entre les comptes sociaux et les comptes consolidés.
(Déclaration établie en conformité avec l'article 435 (1) (F) du règlement UE n° 575/2013)
La Caisse Régionale du Crédit Agricole du Morbihan, a formulé une déclaration d'appétence au risque qui a été discutée et validée par le Conseil d'Administration du 29 avril 2016 après examen du Comité des Risques. La déclaration d'appétence au risque est une partie intégrante et directrice du cadre de référence de la gouvernance englobant la stratégie, les objectifs commerciaux, le pilotage des risques et la gestion financière globale de la Caisse Régionale. Elle est cohérente avec les orientations stratégiques définies lors de l'élaboration du Plan à moyen terme, le processus budgétaire et l'allocation des ressources aux différents métiers.
L'appétence au risque (« Risk Appetite ») de la Caisse Régionale du Crédit Agricole du Morbihan, est le type et le niveau agrégé de risque que la Caisse Régionale est prête à assumer, dans le cadre de ses objectifs stratégiques.
La détermination de l'appétence au risque de la Caisse Régionale s'appuie en particulier sur la politique financière et la politique crédit qui sont fondées sur :
La formalisation de l'appétence au risque permet à la Direction Générale et au Conseil d'Administration d'orienter la trajectoire de développement de la Caisse Régionale en cohérence avec son Plan Moyen Terme et de la décliner en stratégies opérationnelles. Elle résulte d'une démarche coordonnée et partagée entre la Direction Générale, la Direction Finances et des Risques et le Responsable des Risques, de la Conformité et des Contrôles Permanents.
Cette déclaration vise notamment à :
intégrer pleinement la dimension risque/rentabilité dans le pilotage stratégique et les processus de décision,
disposer d'indicateurs avancés et de seuils d'alertes permettant à la Direction d'anticiper les dégradations excessives des indicateurs stratégiques et d'améliorer la résilience en activant des leviers d'action en cas d'atteinte de niveaux d'alerte par rapport à la norme d'appétit pour le risque,
améliorer la communication externe vis-à-vis des tiers sur la solidité financière et la maîtrise des risques.
L'appétence au risque de la Caisse Régionale s'exprime au moyen :
Les indicateurs clés sont déclinés en trois niveaux de risques :
Le profil de risque de la Caisse Régionale est suivi et présenté régulièrement en Comité des Risques et Conseil d'Administration. Le franchissement des niveaux tolérés des indicateurs ou des limites du dispositif conduisent à l'information et à la proposition d'actions correctrices au Conseil d'Administration. L'organe exécutif est régulièrement informé de l'adéquation du profil de risque avec l'appétence au risque.
| Les indicateurs clefs 2016 du profil de risque de la Caisse Régionale par type de risque sont les suivants : | ||
|---|---|---|
| -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- | -- | -- |
| Indicateurs de risque | Appétence | Tolérance | Capacité | |
|---|---|---|---|---|
| Ratio CET1 | 15,1 % | 12,4 % | 9,4 % | |
| Solvabilité | Evolution des parts sociales/CCI/CCA | 23,0 M€ | -4,3 M€ | -17,2 M€ |
| Liquidité | Ratio LCR | 85 % | 06/16 = 70 % 12/16 = 80 % |
06/16 = 70 % 12/16 = 80 % |
| Résultat | Résultat net social | 31,9 M€ | 15,6 M€ | -176,3 M€ |
| Risque de | Cout du Risque | 25,3 M€ | 67,3 M€ | 247,5 M€ |
| Crédit | Taux de défaut (yc titrisation) | 3,36 % | 5,0 % | 8,5 % |
Au 30 juin 2016, les principaux indicateurs de la Caisse Régionale sont satisfaisants et se situent dans la zone d'appétence définie par la Caisse Régionale. Ils n'ont pas atteint les seuils exprimant son niveau de tolérance.
La gestion des risques, inhérente à l'exercice des activités bancaires, est au cœur du dispositif interne de la Caisse Régionale du Morbihan, mis en œuvre par tous les acteurs, intervenants de l'initiation des opérations jusqu'à leur maturité finale.
Les principales catégories de risques auxquelles la Caisse Régionale du Morbihan est exposée sont :
Le risque de crédit et de contrepartie désigne la possibilité de subir une perte si un emprunteur, un garant ou une contrepartie ne respecte pas son obligation de rembourser un prêt ou de s'acquitter de toute obligation financière.
La Caisse Régionale de Crédit Agricole du Morbihan poursuit une politique rigoureuse de gestion des risques et un provisionnement prudent.
Le risque de crédit se matérialise lorsqu'une contrepartie est dans l'incapacité de faire face à ses obligations et que celles-ci présentent une valeur d'inventaire positive dans les livres de la Caisse Régionale. L'engagement peut être constitué de prêts, de titres de créances ou de propriété ou de contrats d'échange de performance, de garanties données ou d'engagements confirmés non utilisés.
La politique de gestion et de suivi des risques de crédit s'inscrit dans le cadre des orientations stratégiques de la Caisse Régionale et dans le respect des réglementations en vigueur s'appliquant à la distribution du crédit et au suivi des risques.
La politique mise en œuvre par la Caisse Régionale en la matière est définie par le Conseil d'Administration et formalisée dans un document énonçant des principes d'actions clairement établis relatifs à la sélection des dossiers (politique d'intervention, instruction des crédits et système décisionnel), à la diversification des risques (division et partage des risques), à la sécurité des crédits (politique de garanties, réalisation et gestion des crédits), au suivi des risques, au contrôle interne et aux procédures d'information.
Au-delà de sa stratégie d'optimisation de la qualité de la gestion de ses risques, la Caisse Régionale applique notamment les exigences réglementaires du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, des règles internes au Groupe Crédit Agricole S.A. et les recommandations du Comité de Bâle.
L'organisation de la Caisse Régionale permet essentiellement, sous le contrôle des Organes Sociaux et de la Direction Générale, de surveiller étroitement les évolutions du portefeuille et des contreparties, et d'optimiser les processus de notation, de détection et de traitement des risques.
o du risque de taux d'intérêt global, o du risque action.
Une partie développe spécifiquement les politiques de couverture mises en œuvre à la Caisse Régionale du Morbihan.
Ensuite, afin de couvrir l'ensemble des risques inhérents à l'activité bancaire, des informations complémentaires sont également fournies concernant les risques opérationnels, le risque juridique et les risques de non-conformité.
L'organisation du traitement du risque né mis en place permet de cadencer le traitement du risque de contrepartie en fonction de l'ancienneté de l'anomalie, et d'autres critères comme la notation du client, le montant, la nature de l'anomalie et les garanties.
L'organisation risque de la Caisse Régionale comprend un secteur risque regroupant le recouvrement amiable, contentieux et le pilotage des risques de contreparties sur la clientèle.
Le contrôle permanent de la Caisse Régionale au travers du contrôleur central des Risques crédit apporte un regard indépendant et vérifie la bonne tenue du dispositif global.
Méthodologies et systèmes de mesure du risque
Depuis fin 2007, l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de de Résolution (ACPR) a autorisé le Crédit Agricole et en particulier la Caisse Régionale, à utiliser les systèmes de notations internes au Groupe pour le calcul des exigences en fonds propres réglementaires au titre du risque de crédit des portefeuilles de détail et d'entreprises.
La gouvernance du système de notation s'appuie sur le Comité des Normes et Méthodologies présidé par le Directeur des Risques et Contrôles Permanents Groupe, qui a pour mission de valider et de diffuser les normes et méthodologies de mesure et de contrôle des risques. Sur le périmètre de la banque de détail, la Caisse Régionale a défini et mis en œuvre son système de notation, dans le cadre des standards Groupe définis par Crédit Agricole S.A..
Sur le périmètre de la clientèle Entreprises, la Caisse Régionale dispose de méthodologies de notation Groupe utilisant des critères tant financiers que qualitatifs.
La mesure des expositions au titre du risque de crédit intègre les engagements tirés et pour partie les engagements confirmés non utilisés.
Concernant la mesure du risque de contrepartie sur opérations de marché, celle-ci intègre les positions en cash et les dérivés.
Pour les dérivés, l'assiette du risque correspond à la somme de la valeur positive du contrat et d'un coefficient de majoration appliqué au nominal. Ce coefficient add-on représente le risque de crédit potentiel lié à la variation de la valeur de marché des instruments dérivés sur leur durée de vie restant à courir.
La Caisse Régionale du Morbihan dispose d'une politique Crédit qui encadre les risques de crédit. En synthèse cette politique précise :
La Caisse Régionale développe son activité de crédits à la clientèle sur l'ensemble des marchés présents sur le département du Morbihan.
De manière ponctuelle et dans le respect des règles de territorialité définies par le groupe Crédit Agricole dans son guide réglementaire (IV-3-A - mise à jour mai 2003), ce cadre peut être dépassé (droit de suite, financement partagé avec une autre Caisse Régionale, zone de chalandise des agences limitrophes, lien étroit avec le territoire et fréquentant le département régulièrement) hors de son territoire.
La politique d'intervention de la Caisse Régionale est déclinée par marché :
L'organisation commerciale s'appuie sur la gestion par portefeuille des clients. Une analyse précise de la solvabilité, de la capacité de remboursement de l'emprunteur, ainsi que la cohérence du projet sont examinées systématiquement.
L'analyse de la solvabilité financière des contreparties est effectuée avec les outils référencés pour chaque marché par le groupe Crédit Agricole, conformément aux recommandations du Comité de Bâle.
Parallèlement, la Caisse Régionale développe des outils de score d'octroi et de pré-autorisation sur les différents marchés, dans la mesure où ces outils satisfont aux recommandations nationales.
Concernant les engagements détenus par la Caisse Régionale, les limites sont fixées par marché et par nature d'opérations.
Le principe de l'unicité de la relation commerciale est affirmé : toutes les entités appartenant à un même groupe de risques sont gérées dans une seule agence. Si une entité relève du marché des entreprises, l'ensemble du groupe de risques est géré en agence entreprise.
La Caisse Régionale ne pourra pas prendre sur une seule contrepartie un risque qui dépasse 5 % de ses Fonds Propres prudentiels consolidés (CRD - COREP) net de Foncaris.
Les décisions de financement sur les dossiers dont le montant est supérieur à 5 millions d'euros et les dossiers dont l'encours après projet dépasse 15 millions d'euros, relèvent du bureau du Conseil d'Administration, sur recommandation et après avis du Comité des Engagements ou du Comité des Grands Engagements.
La politique de division et de partage des risques crédit (actualisée au Conseil d'Administration une fois par an au moins) définit les règles en la matière. Une limite d'engagements par contrepartie est déterminée en tenant compte à la fois de l'encours porté par la Caisse Régionale, de sa proportion dans l'encours toutes banques et de la note Bâloise de la contrepartie.
Dès lors que la limite est atteinte, toute décision de nouveau financement relève d'une décision du bureau
du Conseil d'Administration sur recommandation et après avis du Comité des Engagements ou du Comité des Grands Engagements (sauf si le montant sollicité est inférieur à 500 milliers d'euros pour les entreprises et 200 milliers d'euros pour les autres marchés).
Le total des grands risques (ceux qui dépassent 10 % des Fonds propres) ne doit pas dépasser 8 fois le montant des fonds propres.
Les grands risques concernés par les aspects réglementaires, ainsi que ceux qui dépassent 5 millions d'euros avant application des principes de pondération, font l'objet d'un rapport au moins annuel au Conseil d'Administration de la Caisse Régionale.
Ainsi, dans le cas de risques importants dépassant des limites contractualisées, la Caisse Régionale présente ses dossiers à Foncaris, établissement de crédit filiale à 100 % de Crédit Agricole S.A..
Après examen, au sein d'un Comité ad hoc, Foncaris peut décider de garantir la Caisse Régionale du Morbihan (en général à 50 %).
La Caisse Régionale du Morbihan a déterminé pour une période de 3 ans (2015-2017) le seuil d'éligibilité de ses engagements à la couverture de Foncaris. Ce seuil s'établit à 25 millions d'euros.
Tous les dossiers garantis par Foncaris, ou éligibles, sont présentés une fois par an au Bureau du Conseil d'Administration.
En cas de défaut effectif, la Caisse Régionale du Morbihan est indemnisée sur sa perte résiduelle à hauteur de la quotité couverte (généralement 50 %) après mise en jeu des sûretés et épuisements de tous les recours. Les encours concernés par Foncaris s'élèvent à 125,5 millions d'euros pour une garantie à hauteur de 34,6 millions d'euros.
Un suivi des encours par filières est présenté trimestriellement au Comité Stratégique des Risques de la Caisse Régionale et annuellement au Conseil d'Administration de la Caisse Régionale.
Sont concernées les filières agricoles (lait, porc,...) et professionnelles (santé, commerce, bâtiment,...).
Le système de surveillance des contreparties s'appuie sur des processus normalisés de traitement des risques avérés, par des spécialistes intégrés au sein de la Direction des Crédits, puis au-delà de seuils définis (ancienneté et encours au Crédit Agricole du Morbihan) par des spécialistes du service Risques.
Le portefeuille des risques de crédit bénéficie d'un pilotage issu des données extraites du système d'information. L'évolution de la situation des risques pour la Caisse Régionale, par marché (approche détaillée) et par secteur géographique (agences et secteurs d'agences) et le suivi des indicateurs clés sont mis en évidence dans les tableaux de bord mensuels analysés par la Direction Générale et par tous les acteurs concernés, notamment par les Directions chargées des Finances et des Risques, de la Distribution, des Crédits et des Contrôles Périodiques et Permanents. Les chiffres-clés de la situation des risques et les passages en pertes sont présentés au Conseil d'Administration semestriellement. A périodicité régulière, notamment après chaque arrêté de fin de trimestre civil, un Comité stratégique des Risques présidé par le Directeur Général examine l'évolution des indicateurs clés de la Caisse Régionale ainsi que ceux des zones de vulnérabilité et décide de toute action
propre à corriger une dégradation ou à optimiser les résultats.
Les contreparties gérées au quotidien par le réseau ou par des services spécialisés du Siège, selon la typologie des dossiers, font l'objet notamment d'une surveillance. La surveillance s'exerce aussi lors :
A périodicité mensuelle, un Comité des Risques présidé par le Directeur des Finances et des Risques étudie et émet des recommandations sur les dossiers ciblés suivant des critères prédéfinis par la direction Finances et Risques en relation avec le responsable des contrôles permanents et des risques. Une synthèse des revues de portefeuille y est également régulièrement présentée.
A périodicité trimestrielle, un Comité des Grands Risques présidé par le Directeur Général étudie et émet des recommandations sur les dossiers dont les engagements sont supérieurs à 5 millions d'euros et selon des critères définis.
A périodicité trimestrielle, un Comité de pilotage et des usages Bâlois, présidé par le Directeur Adjoint, étudie les évolutions des notations et les impacts des évolutions éventuelles du domaine.
La Caisse Régionale optimise son action en s'appuyant sur les apports d'informations et d'usages Bâlois, et notamment sur les systèmes de notations internes. Une communication complète et régulière est effectuée auprès de la Direction Générale et du Conseil d'Administration sur le déploiement des outils et processus Bâlois.
Ainsi, la gestion des concepts constitués par les groupes de risques, les classes et segments de notation et le défaut, ainsi que la constitution des bases d'historisation sont opérationnels, sur la base des cahiers des charges validés avec Crédit Agricole S.A.. La Caisse Régionale actualise en permanence la cartographie de ses risques sur la banque de détail (notamment les particuliers, les agriculteurs, les professionnels).
La banque des entreprises bénéficie d'un système de notation spécifique fonctionnant en mode récurrent validé par Crédit Agricole S.A., s'appuyant sur un outil intégrant une note financière et une note qualitative corrigée par la taille du chiffre d'affaires et l'intégration dans un Groupe de Risques pour les entreprises, pour les professionnels de l'immobilier et pour les collectivités publiques.
Le système de surveillance des contreparties s'appuie aussi sur des processus normalisés de détection et de gestion des comptes et des crédits en anomalie, de détection des risques potentiels et de traitement des risques latents ou avérés, ou des services centraux.
La couverture des risques crédit est assurée au-delà de la couverture individualisée par la constitution :
litigieux portant des notations dégradées révélatrices de fortes probabilités de défaillance à un an, à la fois pour la banque de détail et pour la banque des entreprises.
La constitution des provisions collectives résulte de l'application stricte du modèle défini par Crédit Agricole S.A..
Un avis de la filière risque est porté à la connaissance de l'entité délégataire préalablement à sa décision pour les dossiers les plus significatifs.
Les demandes de crédit sur les contreparties les plus exposées font l'objet d'un avis préalable du directeur des Finances et des Risques ou de son représentant.
Il s'agit :
Avis Responsable des contrôles permanents et des risques
Tous les dossiers en dérogation à la politique crédit font l'objet d'un avis préalable du Responsable des contrôles permanents et des risques ou de son représentant.
Mécanismes de réduction du risque de crédit
La Caisse Régionale applique une politique de garantie différenciée suivant les marchés de financement :
La Caisse Régionale n'a aucune exposition à la vente ou à l'achat de CDS.
Concentration
| Diversification | du | portefeuille | par | zone |
|---|---|---|---|---|
| géographique |
La Caisse Régionale exerce l'essentiel de son activité en France, dans un seul secteur d'activité. Cela ne justifie donc pas la production d'une information par zone géographique.
L'encours brut des prêts et créances sur la clientèle par catégorie de créances (hors créances rattachées) s'élève à 7 001 millions d'euros au 30 juin 2016 (contre 6 982 millions d'euros au 31 décembre 2015). La répartition par catégorie est présentée ci-dessous :
Ventilation des encours de prêts et créances par agent économique (Base sociale – hors créances rattachées)
La ventilation des encours bruts des créances par agent économique est la suivante :
L'encours est en progression de 19,7 millions d'euros depuis le 31 décembre dernier. Après retraitement des rechargements de titrisation « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 » l'encours de crédit est en progression de 31,0 millions d'euros.
Selon les normes applicables, un actif financier est en souffrance lorsqu'une contrepartie n'a pas effectué un paiement à la date d'échéance contractuelle.
Au 30 juin 2016, le montant brut des actifs financiers en « prêts et avances » en souffrance ou dépréciés individuellement ressort à 272,7 millions d'euros pour un montant net déprécié à 86,6 millions d'euros. Au 31 décembre 2015, ces montants ressortaient respectivement à 303,6 millions d'euros et 82,7 millions d'euros, soit en recul brut de 10,2 %. Les dépréciations collectives d'actifs financiers ressortent à 78,3 millions d'euros (dont dépréciations sur risques sectoriels pour 42,3 millions d'euros), contre 66,5 millions d'euros (dont dépréciations sur risques sectoriels pour 22,7 millions d'euros) au 31 décembre 2015 (cf paragraphe 5.3 des Comptes consolidés intermédiaires au 30 juin 2016).
La politique de notation interne vise à couvrir l'ensemble du portefeuille « Corporate » (entreprises, banques et institutions financières, administrations et collectivités publiques). Au 30 juin 2016, tous les emprunteurs sont notés par les systèmes de notation interne, hors banque de détail.
Le périmètre ventilé dans le graphique ci-après est celui des engagements accordés par la Caisse Régionale à ses clients sains, hors banque de détail, soit 1 620 millions d'euros. La répartition du rating est présentée en équivalent notation Standard & Poors.
Le périmètre ventilé dans le graphique ci-après est celui des engagements accordés par la Caisse Régionale à ses clients, banque de détail, soit 6 234 millions d'euros.
Dépréciation et couverture du risque
Les dépréciations sur base individuelle
L'encours des Créances Douteuses et Litigieuses est en hausse, à 222,3 millions d'euros au 30 juin 2016 contre 219,8 millions d'euros au 31 décembre 2015.
Dans le même temps, l'encours total de créances en brut progresse de 0,3 %. En conséquence, le taux de Créances Douteuses et Litigieuses s'établit à 3,16 % à fin juin 2016, contre 3,14 % à fin décembre 2015. Les créances douteuses et litigieuses sont dépréciées à hauteur de 136,1 millions d'euros. Le taux de couverture ressort à 61,2 % en juin 2016, contre 62,4 % en décembre 2014.
La ventilation du taux de CDL et des provisions par agents économiques est la suivante :
| Taux de CDL | Taux de couverture |
|||
|---|---|---|---|---|
| 12- | 06- | 12- | 06- | |
| 2015 | 2016 | 2015 | 2016 | |
| Particuliers | 1,86 % | 1,86 % | 47,5 % | 45,9 % |
| Professionnels | 4,90 % | 4,93 % | 57,1 % | 56,6 % |
| Entreprises | 5,77 % | 5,80 % | 70,8 % | 69,9 % |
| Collectivités Publiques |
0,0 % | 0,0 % | 0,0 % | 0,0 % |
| Agriculteurs | 3,16 % | 4,03 % | 68,9 % | 65,1 % |
| Total | 3,14 % | 3,16 % | 62,4 % | 61,2 % |
La Caisse Régionale comptabilise des dépréciations sur base collective dès lors que sur un ou plusieurs sousensembles homogènes de portefeuille de risques de crédit, des indices objectifs de dépréciation sont identifiés. Ces dépréciations sont calculées essentiellement sur des bases statistiques fondées sur le montant de pertes attendues jusqu'à maturité des transactions en utilisant les critères bâlois d'estimation des probabilités de défaut (PD) et des pertes en cas de défaut (LGD). Au 30 juin 2016, le montant de la dépréciation collective Bâle II ressort à 35,9 millions d'euros complétée par une dépréciation sectorielle de 42,3 millions d'euros.
Afin de renforcer la résistance du secteur bancaire et sa capacité à absorber les chocs des crises économiques, un nouveau ratio de solvabilité a été mis en place au 1er janvier 2014. Son calcul est effectué dans un cadre réglementaire, issu de l'adoption des principes de Bâle III, communément désigné sous le terme de CRD (« Capital Requirement Directive »). Calculé sur base consolidée, il est de 16,29 % au 30 juin 2016 contre 15,89 % au 31 décembre 2015.
Au regard de la définition d'un grand risque, définit comme un risque client qui excède 10% des fonds propres de l'établissement prêteur, les limites de risques à respecter sont les suivantes :
Un dossier est à déclarer dans le cadre de ce dispositif, pour un montant correspondant à 23,5 % des fonds propres prudentiels de la Caisse Régionale.
Le « coût du risque » sur base consolidée atteint – 17,8 millions d'euros. Les risques sont en légère hausse par rapport au 31 décembre 2015 avec un taux de créances douteuses et litigieuses à 3,12 % (contre 3,09 % en décembre 2015), tandis que le taux de couverture fléchit légèrement à 61,2 % contre 62,4 % au 31 décembre 2015. Avec la comptabilisation de provisions filières, la Caisse Régionale a ainsi amélioré son taux de couverture globale des risques crédits (Encours des dépréciations individuelles, collectives, et filières sur Encours de Crédits Bruts) qui s'établit à 3,37 % contre 3,23 % au 31 décembre 2015.
La Caisse Régionale du Morbihan dispose d'une politique annuelle qui encadre les risques de contrepartie sur titres et dérivés. Cette politique a été validée au Conseil d'Administration du 26 février 2016. En synthèse, cette politique précise :
o Limite par contrepartie : le total des risques pondérés d'une contrepartie doit être limité au regard de son activité et à sa notation.
les modalités de suivi et de reporting, avec notamment :
Le risque de marché représente le risque d'incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marché notamment :
La Caisse Régionale est exposée au risque de marché sur les éléments de son portefeuille de titres et de dérivés lorsque ces instruments sont comptabilisés en juste valeur (au prix de marché).
On distingue comptablement le Trading book et le Banking book. La variation de juste valeur du Trading book se traduit par un impact sur le résultat. La variation de juste valeur du Banking book se traduit par un impact sur les capitaux propres.
Le contrôle des risques de marché du groupe Crédit Agricole S.A. est structuré sur trois niveaux distincts mais complémentaires :
La Direction des Risques et Contrôles Permanents Groupe assure la coordination sur tous les sujets de pilotage et contrôle des risques de marchés à caractère transverse. Elle norme les données et les traitements afin d'assurer l'homogénéité de la mesure consolidée des risques et des contrôles.
Les principaux organes de suivi des risques de marchés de niveau Groupe sont :
Le principal organe de suivi des risques de marchés de niveau local est le Comité Financier.
Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale respecte les limites par contrepartie tandis que les limites globales hors Groupe cash et dérivés représentent environ 44,0 % des fonds propres prudentiels.
La Caisse Régionale n'est pas concernée par le risque pays.
Au niveau des filiales
La Caisse Régionale détient les filiales suivantes :
o cette filiale n'est pas concernée par le risque de marchés.
SCI de KERANGUEN :
o la gérance est assurée par M. Pierre-Louis BOISSIERE, Directeur Général de la Caisse Régionale,
o cette filiale n'est pas concernée par le risque de marché.
Un reporting complet est réalisé lors de l'Assemblée Générale Ordinaire annuelle de chaque filiale en présence du Commissaire aux comptes.
Le risque de marché résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d'actions ainsi que des indices sur actions.
La Caisse Régionale est exposée au risque de marché sur les éléments de son portefeuille de titres et de dérivés lorsque ces instruments sont comptabilisés en juste valeur (au prix de marché).
On distingue comptablement le Trading book et le Banking book. La variation de juste valeur du Trading book se traduit par un impact sur le résultat. La variation de juste valeur du Banking book se traduit par un impact sur les fonds propres.
Les sources de l'exposition de la Caisse Régionale au risque de marché résident essentiellement dans l'activité du placement des excédents de fonds propres, après emplois en immobilisations et titres de participations.
Les objectifs de la gestion du risque de marché consistent, en respectant les besoins de constitution de réserves éligibles dans le cadre de la mise en œuvre du ratio LCR, à concilier une contribution cible de la gestion des excédents de fonds propres au Produit Net Bancaire de la Caisse Régionale, avec un niveau de risque pris encadré et suivi régulièrement.
Ainsi, la démarche de maîtrise des risques de marché repose sur les principales étapes suivantes :
Le Responsable des Contrôles Permanents et de la Conformité participe au Comité Financier.
L'encadrement des risques de prix de la Caisse Régionale du Morbihan repose sur la combinaison de quatre dispositifs :
le stress scénario,
les limites en volatilité,
La VAR peut être définie comme étant la perte potentielle maximale que peut subir un portefeuille en cas de mouvements défavorables des paramètres de marché, sur un horizon de temps et pour un intervalle de confiance donnés.
Sur son portefeuille de titres, la Caisse Régionale retient un intervalle de confiance de 99 % et un horizon de temps de 1 mois.
La méthodologie retenue dans le Groupe pour le calcul est une VAR paramétrique.
Les principales limites méthodologiques attachées au modèle de VAR sont les suivantes :
Le calcul de la VAR est réalisé chaque mois, et fait partie du reporting mensuel en Comité Financier. Ce reporting est ainsi communiqué au Responsable des Contrôles Permanents via le compte rendu du Comité Financier. Le résultat obtenu est pris en compte dans les propositions d'allocation des ressources, pour s'assurer de rester dans les limites fixées d'expositions aux risques de marchés.
Le deuxième élément quantitatif, « stress scénario », complète la mesure en VAR qui ne permet pas d'appréhender correctement l'impact de conditions extrêmes de marchés.
Ces calculs de scénarios de stress, conformément aux principes du Groupe, simulent des conditions extrêmes de marché et sont le résultat de trois approches complémentaires :
Ces scénarios sont adaptés aux risques propres aux différents portefeuilles sur lesquels ils sont calculés.
La politique annuelle de gestion des excédents de fonds propres a défini les limites suivantes :
la Caisse Régionale s'autorise des opérations de couverture sur les titres comptabilisés en titres d'investissement,
le risque de marché du portefeuille est encadré comme suit :
A l'arrêté au 30 juin 2016, l'ensemble des limites a été respecté.
Un système de reporting et de suivi mensuel est mis en place pour surveiller l'évolution de ces actifs. Pour chaque limite ci-dessus un dispositif de seuils d'alerte a été défini, il comprend :
A fin mai 2016, la VAR 1 mois à 99 % calculée sur le portefeuille des titres de placement, établit un risque à - 0,8 million d'euros. La VAR est une approche statistique complémentaire au scénario catastrophe de Crédit Agricole S.A.. Elle se situe bien en-deçà des niveaux d'alertes.
Ce dispositif de mesure et d'encadrement des risques de prix donne lieu à des contrôles et reporting réguliers :
Enfin, les éléments clés (allocation, limites, rendement…) sont repris dans le Tableau de Bord du Pôle Middle Office des coopérations bretonnes, à destination de la Direction Générale et du Contrôle Permanent.
Le risque action trouve son origine dans les activités de trading et d'arbitrage sur actions, dans le portefeuille de placement investi en actions, ou encore dans les actions d'autocontrôle.
Risques sur actions provenant des activités de trading et d'arbitrage
Les encours d'actifs financiers détenus à des fins de transaction sont détaillés au paragraphe 5.1 des Comptes consolidés intermédiaires au 30 juin 2016.
Risques sur actions provenant des portefeuilles de placement
Les encours d'actifs financiers disponibles à la vente
Le contrôle des risques de marché du groupe Crédit Agricole S.A. est structuré sur deux niveaux distincts mais complémentaires :
La Direction des Risques et Contrôles Permanents Groupe assure la coordination sur tous les sujets de pilotage et contrôle des risques de marchés à caractère transverse. Elle norme les données et les traitements Gestion Financière des coopérations Bretonnes, procède mensuellement à la valorisation de l'ensemble des titres détenus et au rapprochement des différents chiffres avec ceux du Front Office et ceux enregistrés en Comptabilité par le Back Office Marchés. Ces contrôles sont formalisés dans le Tableau du Pôle Middle Office, qui formalise également le respect des décisions prises (achat ou vente), dans le cadre des délégations données.
De plus, chaque trimestre, la Caisse Régionale procède au rapprochement formalisé du résultat de la gestion financière et du résultat intégré en comptabilité.
Ce rapprochement fait l'objet d'un reporting dédié lors du Comité Financier trimestriel, qui met en évidence, pour chaque classe de volatilité :
Enfin, depuis fin 2013, la Caisse Régionale applique les recommandations de la mission de l'ACPR (conduite par Mr CORDIER) sur les opérations de marché pour compte propre en ventilant ces titres en 4 portefeuilles :
Un reporting de cette ventilation est effectué lors de chaque fin de trimestre.
La Caisse Régionale est exposée au risque de marché sur l'excédent de ses fonds propres après financement de ses immobilisations et de ses participations. Le montant moyen ainsi exposé ressort à 313,0 millions d'euros pour l'année 2016 (à rapprocher d'un total bilan proche de 8,6 milliards d'euros).
sont détaillés au paragraphe 5.1 des Comptes consolidés intermédiaires au 30 juin 2016. A l'intérieur de la rubrique « actions et autres titres à revenu variable », l'encours du portefeuille actions est de 7,8 millions d'euros au 30 juin 2016.
Les encours concernés sont décrits au paragraphe G du présent rapport annuel, chapitre « Informations relatives à l'utilisation du programme de rachat CCI en application des articles L.225-209 et suivants du Code de Commerce et du règlement de la Commission Européenne du 22 décembre 2003 ».
afin d'assurer l'homogénéité de la mesure consolidée des risques et des contrôles.
Les principaux organes de suivi des risques de marchés de niveau Groupe sont :
Le principal organe de suivi des risques de marchés de niveau local est le Comité Financier.
Le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d'un instrument financier du fait de l'évolution des taux d'intérêts.
Les objectifs de la gestion du risque de taux d'intérêt global sont actualisés au minimum une fois par an dans le cadre de la politique annuelle de gestion du risque de taux. Il s'agit au final de s'assurer :
Les sources de l'exposition de la Caisse Régionale au risque de taux résident essentiellement dans l'activité crédit (qui représente plus de 80 % de l'actif du bilan) et dans les modes de refinancement mis en œuvre au passif, qui ne sont pas exactement adossés en termes de durée et /ou de nature de taux.
L'outil de mesure du risque de taux d'intérêt global est l'outil national CRISTAUX II, déployé dans la Caisse Régionale en cours d'année 2008. Les GAPs sont ainsi désormais calculés mensuellement (exception faite du Gap au 31 juillet qui n'est pas publié).
Le périmètre concerné par la gestion du risque de taux d'intérêt global est celui du portefeuille Bancaire (Banking Book).
La méthode utilisée pour le suivi du risque de taux d'intérêt global est la méthode de détermination des GAPs de taux, dans une approche GAPs statiques.
Les indicateurs de mesure utilisés sont les GAPs taux fixe, inflation et équivalent Delta.
Les hypothèses et modèles d'écoulement appliqués correspondent aux conventions d'écoulement nationales, conformément aux recommandations de Crédit Agricole S.A. et aux conventions locales validées par la Caisse Régionale.
Les sources des données sont pour l'essentiel directement ou indirectement les données comptables (interfaces éventuelles).
L'outil est alimenté par le Pôle Gestion Financière des coopérations Bretonnes. A cette occasion, les contrôles de premier degré sont effectués :
Les contrôles de second degré, second niveau sont réalisés par le service « Contrôle Permanent ».
Le dispositif de limites du risque de taux est révisé au minimum une fois par an.
Crédit Agricole S.A. demande que les Caisses Régionales prennent en compte de nouvelles recommandations en termes de limites, à savoir :
Cette évolution est intégrée aux présentations à la Direction Générale lors des Comités Financiers.
La gestion du risque de taux s'appuie sur les principales étapes suivantes :
Le Comité Financier, qui procède à l'analyse régulière des résultats du risque de taux et à la validation des opérations proposées liées aux couvertures, se réunit à fréquence mensuelle (et plus souvent si besoin en fonction de l'actualité des marchés financiers).
Le Responsable des Contrôles Permanents et de la Conformité participe au Comité Financier.
Exposition au risque de taux
La dernière mesure du risque de taux présentée en Comité Financier en juillet 2016 correspond au calcul mensuel de fin juin 2016.
Il s'agit du calcul des GAPs, synthétique, en approche statique, à partir de CRISTAUX II.
Les résultats obtenus pour les prochaines années sont les suivants :
| En M€ | 2016 | 2017 | Moyenne 2018 à 2021 |
|---|---|---|---|
| GAP EUR | -113 | -94 | -91 |
Le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d'un instrument financier du fait de l'évolution du cours d'une devise.
Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l'entreprise n'est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu'ils arrivent à échéance. Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d'emprunts et de placements.
Les objectifs de la Caisse Régionale du Morbihan, en tant qu'établissement de crédit, sont de respecter prioritairement les exigences en matière de liquidité définies par les textes suivants :
Ainsi, une politique de refinancement du déficit est définie chaque année, qui décrit notamment les besoins d'accès aux marchés interbancaires et les différentes formes de ressources autorisées, en cohérence avec le programme de notation interne actualisé chaque année : CDN interbancaires, Emprunts en Blancs, BMTN, …
La gestion du risque de liquidité repose sur l'intervention de :
L'arrêté du 3 novembre 2014 abroge le règlement 97- 02. Ses dispositions reprennent pour l'essentiel celles de l'ancien arrêté, avec plusieurs aménagements sur les points d'identification, de mesure, de gestion et de contrôle du risque de liquidité. Celui-ci permet aux établissements de crédit d'appliquer soit la méthode Ainsi, les calculs mettent en évidence le montant réduit des GAPs.
Sur la base du GAP au 30 juin 2016, en cas de hausse de 2 % de la courbe des taux euros, l'impact de la valeur actuelle nette de la perte encourue mesurée par les GAPs des trente prochaines années ressort à - 37,3 millions d'euros, soit 4,4 % des fonds propres prudentiels mesurés en décembre 2015 (pour une recommandation du Groupe Crédit Agricole S.A. inférieure à 10 %).
La Caisse Régionale du Morbihan n'est pas concernée par le risque de change.
standard définie par l'ACPR, soit la méthode avancée basée sur les méthodes internes de l'entité.
Le Groupe Crédit Agricole a opté pour l'application de l'approche avancée et ce dispositif, avant de s'appliquer définitivement à l'ensemble du groupe Crédit Agricole, devra faire l'objet d'une validation par l'ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution).
Jusqu'à l'obtention de cette validation, et depuis le 30 juin 2010, l'approche standard s'applique. Le passage en approche avancée ne dispensera pas de continuer à calculer le ratio standard.
Elle repose sur 2 types d'obligations :
Les obligations prudentielles demandées par le régulateur :
Elles sont constituées des éléments définis par l'approche standard tels que mentionnés dans l'arrêté du 5 mai 2009, modifié par l'arrêté du 3 novembre 2014 :
Les obligations prudentielles formulées par Crédit Agricole S.A. pour que le groupe Crédit Agricole soit en approche avancée :
Les principaux indicateurs définis à ce stade par les normes internes constituant l'approche avancée (confère arrêté du 3 novembre 2014) sont :
Il repose sur 4 types d'obligations :
Les obligations prudentielles demandées par le régulateur (approche standard) :
Le ratio LCR s'établit à 87,5 % au 30 juin 2016, pour une limite minimale à 70 %.
Les obligations prudentielles formulées par Crédit Agricole S.A. (approche avancée) :
la Limite d'endettement à Court Terme (LCT) fixée par Crédit Agricole S.A. est respectée à tout moment ainsi que les seuils sur les différents composants de cette limite,
la limite en stress à 1 mois sur le risque encouru en situation de crise globale,
L'éligibilité des titres comptabilisés dans les portefeuilles titres de placement et d'investissement, constitue également des réserves pour la Caisse Régionale en cas de crise de liquidité.
Les limites fixées par la Caisse Régionale correspondent aux recommandations définies par le groupe Crédit Agricole S.A. :
Les obligations liées aux besoins de consolidation du Groupe de respecter les obligations d'Organe Central :
Afin de permettre à Crédit Agricole S.A. d'établir des limites globales pour l'ensemble du groupe Crédit Agricole, la Caisse Régionale transmet principalement via l'outil NEW DEAL les éléments nécessaires à la consolidation du Risque de liquidité.
Il repose sur 4 types d'obligations :
La Caisse Régionale et/ou Crédit Agricole S.A. se sont dotés de dispositifs permettant de s'assurer en permanence du respect des procédures et limites fixées, de procéder à l'analyse des causes du non respect des procédures et limites (article 34 a) et b) du règlement 97-02 modifié du CRBF).
Le suivi de ces limites se fait selon le système de reporting adapté à la fréquence de calcul de leurs consommations, selon les recommandations de Crédit Agricole S.A..
Les obligations fixées par la Caisse Régionale :
d'une part l'utilisation de la Limite CT : un suivi quotidien de la liquidité Court Terme est réalisé par le Pôle Middle Office des Coopérations bretonnes avec transmission d'un reporting au Directeur Financier, au Responsable du Secteur Pilotage-Gestion-Finances, au Responsable du secteur Comptable, au Gestionnaire actif/passif et au contrôleur des risques financiers. Ce suivi permet d'analyser régulièrement l'évolution des besoins de refinancements et les conditions de marché ; sur la base de ces informations, des opérations de refinancement sont réalisées dans le cadre des délégations,
d'autre part, la Caisse Régionale présente lors de chaque Comité Financier une synthèse sur le respect des limites et l'évolution du Déficit Crédit / Collecte sur le mois. Le Comité Financier associe le Directeur Général, le Directeur Adjoint, le Directeur Financier, le Responsable du Secteur Pilotage-Gestion-Finances, le Responsable du secteur Comptable, le Responsable du Contrôle Permanent, le Gestionnaire Actif/Passif, le Responsable du Pôle Gestion Financière et du Pôle Middle Office des Coopérations Bretonnes, le gestionnaire Middle Office du pôle des Coopérations Bretonnes et le contrôleur des risques financiers. Il valide les opérations de refinancement à mettre en œuvre.
Les obligations liées aux besoins de consolidation du Groupe afin de respecter les obligations d'Organe Central :
Afin de permettre à Crédit Agricole S.A. d'effectuer le suivi du risque de liquidité pour l'ensemble du groupe Crédit Agricole, la Caisse Régionale lui transmet les éléments nécessaires à la consolidation.
Ces informations sont transmises a minima mensuellement essentiellement par l'intermédiaire de l'outil NEW DEAL (outil validé par Crédit Agricole S.A.).
La notion d'actifs grevés renvoie à celle d'actifs « mobilisés et utilisés pour lever de la liquidité », au sens entendu de la norme « Bilan de liquidité ». Ils correspondent à un apport de collatéral adossé à des émissions de dettes sécurisées au niveau du Groupe par l'intermédiaire de différents véhicules de refinancement (SFH, CRH, BEI…).
A l'inverse, les actifs grevés n'incluent pas les créances :
La mobilisation des actifs est mesurée et pilotée au niveau du groupe Crédit Agricole.
L'évolution est la suivante :
| Véhicules de | 31/12/2015 | 30/06/2016 |
|---|---|---|
| refinancement (En M€) | ||
| SHF | 184 | 178 |
| CRH | 64 | 62 |
| SFEF | 0 | 0 |
| BEI | 14 | 13 |
| CDC | 90 | 92 |
| BDCE | 0 | 0 |
| Total | 352 | 345 |
Le niveau contenu des actifs grevés traduit la politique de « désencombrement » des bilans menée par le groupe Crédit Agricole, en vue de conserver une importante marge de manœuvre pour émettre de nouvelles dettes sécurisées notamment en situation de crise de liquidité.
Le ratio LCR évalue le montant de réserves de haute qualité dont doit disposer un établissement de crédit pour faire face à une crise de liquidité à horizon un mois. Le ratio LCR s'élève à 87,5% au 30/06/2016 pour une norme fixée à 70 % pour cet arrêté.
La gestion du risque de taux d'intérêt global vise à concilier les trois approches ci-dessous :
Les couvertures de juste valeur modifient le risque de variations de juste valeur d'un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d'intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.
En Fair Value Hedge, la Caisse Régionale a classé en micro-couverture les swaps sur crédits structurés sur crédits clientèles.
En Fair Value Hedge, la Caisse Régionale a classé en macro-couverture les swaps relatifs à la couverture du risque de taux.
Le risque opérationnel correspond au risque de perte résultant de l'inadéquation ou de la défaillance des processus internes, des personnes, des systèmes ou d'évènements extérieurs, risque juridique inclus mais risque stratégique et de réputation exclus.
Le dispositif de gestion des risques opérationnels, décliné dans les entités du Groupe, comprend les composantes suivantes, communes à l'ensemble du Groupe :
Limite court terme
Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale respecte la limite court terme fixée à 666 millions d'euros.
Concentration des échéances du refinancement long terme
Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale respecte la limite interne fixée à 1,40 % des encours de crédits par semestre.
Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêts à taux variable. Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.
La Caisse Régionale n'a aucun swap classé en Cash Flow Hedge.
Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale n'a pas documenté de relations de couverture d'investissement net en devise.
L'organisation de la gestion des risques opérationnels s'intègre dans l'organisation globale de la ligne métier Risques et Contrôles Permanents du Groupe : le responsable des risques opérationnels de la Caisse Régionale est rattaché au RCPR (Responsable des Risques et Contrôles Permanents) de la Caisse Régionale.
Le Management du Risque Opérationnel rapporte régulièrement sur son activité et sur le niveau d'exposition au risque dans le cadre du Comité de Pilotage Bâlois réuni trimestriellement dont la présidence est assurée par le Directeur Adjoint de la Caisse Régionale. Le Management du Risque Opérationnel intervient ponctuellement auprès des Comités de Contrôle Interne et de Direction.
L'organe exécutif est par ailleurs informé mensuellement par un tableau de bord après intégration des dernières collectes des incidents et pertes avérés du risque opérationnel dans le cadre du dispositif de recensement de la Caisse Régionale. Le contrôle périodique et les contrôleurs du deuxième degré de deuxième niveau sont destinataires de ces informations.
L'organe délibérant est informé trimestriellement sur l'évolution du coût du risque et les événements marquants du dispositif.
Le dispositif de gestion du risque opérationnel couvre intégralement le périmètre opérationnel et fonctionnel de la Caisse Régionale. Les entités du périmètre prudentiel consolidé (Caisses Locales et Morbihan Gestion) sont pleinement intégrées dans le dispositif de gestion de la Caisse Régionale. Les entités GIE CA TECHNOLOGIES SERVICES, GIE ATTICA et SNC CA TITRES sont dotées de leurs propres dispositifs de gestion et de surveillance. Le déploiement d'un dispositif au sein des autres filiales entrant dans le périmètre de contrôle interne de la Caisse Régionale est en cours de mise en œuvre selon le calendrier et les recommandations émis par Crédit Agricole S.A..
Le tableau de bord produit mensuellement par le Management du Risque Opérationnel permet la mise sous surveillance des processus et risques les plus coûteux. L'état décrit la nature des risques dans ses composantes bâloises, par domaine d'activités et types de conséquences financières. Il recense les causes de risques et mentionne les principaux indicateurs de suivi dans le cadre des limites de risques arrêtées par l'organe exécutif. Le cas échéant, il décrit les plans d'actions correctrices et les alertes émises.
Au cours de l'année 2015, une nouvelle campagne d'analyse des scénarii majeurs dans le domaine des risques opérationnels a débuté en juin 2015 et s'est terminée en novembre 2015.
La campagne de cartographie des risques opérationnels 2015 s'est déroulé du 02 mai 2015 au 29 janvier 2016.
Au cours de l'année 2015, la Caisse Régionale a mis en œuvre des formations d'une part à destination de ses déclarants afin de garantir la fiabilité de l'exhaustivité de la collecte, et d'autre part à destination des nouveaux responsables d'unité et de collaborateurs travaillant notamment dans les domaines du Risque afin de les sensibiliser aux risques opérationnels.
La méthode AMA de calcul des fonds propres au titre du risque opérationnel a pour objectifs principaux :
Les dispositifs Groupe mis en place dans la Caisse Régionale visent à respecter l'ensemble des critères qualitatifs (intégration de la mesure des risques dans la gestion quotidienne, indépendance de la fonction risques, déclaration périodique des expositions au risque opérationnel, …) et des critères quantitatifs Bâlois (intervalle de confiance de 99,9 % sur une période d'un an ; prise en compte des données internes, des données externes, d'analyses de scenarii et de facteurs reflétant l'environnement ; prise en compte des facteurs de risque influençant la distribution statistique, …).
Le modèle AMA de calcul des fonds propres repose sur un modèle actuariel de type « lost distribution approach » qui est unique au sein du Groupe. L'allocation du capital de la Caisse Régionale est prise en charge par celle-ci à partir de principes définis au niveau national.
Les principes qui ont gouverné la conception et la mise au point du modèle sont les suivants :
estimations réalistes et stables d'un exercice à l'autre.
Ce modèle a été régulièrement validé par le Comité des normes et méthodologies du groupe Crédit Agricole, présidé par le Directeur des Risques et Contrôles Permanents Groupe.
La Caisse Régionale du Morbihan a souscrit, auprès de CAMCA, aux polices d'assurances suivantes dans la perspective d'une protection de bilan et du compte de résultat :
Assurance automobile mission collaborateurs
Objet du contrat : garantir les véhicules utilisés par les employés de la Caisse Régionale du Morbihan et de ses filiales au cours de leurs déplacements professionnels (véhicules n'appartenant pas à la Caisse Régionale du Morbihan).
Nature des garanties : couverture des dommages causés à autrui, dommages tous accidents, incendie, vol, bris de glace, défense civile/pénale et recours.
Objet du contrat : garantir les véhicules appartenant à la Caisse Régionale du Morbihan ou dont elle a la garde, utilisés pour les besoins privés et/ou professionnels des conducteurs autorisés.
Nature des garanties : couverture des dommages causés à autrui, dommages tous accidents, incendie, vol, bris de glace, défense civile/pénale et recours.
Objet du contrat : garantir les accidents résultant des faits d'agression, d'attentat et de hold-up causés au personnel de la Caisse Régionale du Morbihan et à toute personne se trouvant dans un point de vente ou à proximité immédiate au moment des faits.
Nature des garanties : couverture des décès accidentels, infirmités permanentes totales ou partielles et frais médicaux.
Objet du contrat : garantir les responsabilités pouvant incomber à la Caisse Régionale du Morbihan (par son propre fait ou en tant que commettant du fait de ses préposés permanents ou occasionnels) en raison des dommages corporels (sans franchise), matériels et immatériels causés à autrui par le fait de l'exploitation de l'entreprise, atteinte à l'environnement.
Objet du contrat : garantir l'indemnisation du préjudice subi par la Caisse Régionale du Morbihan à raison des pertes matérielles directes ou des dommages matériels causés aux matériels destinés au traitement de l'information, matériels d'alimentation électrique/de protection et de climatisation, automates bancaires, matériel bureautique et autres machines dont la Caisse Régionale du Morbihan a la jouissance.
Objet du contrat : indemnisation des préjudices financiers subis par la CRCAM consécutivement à la survenance de dommages sur les biens garantis et indemnisables au titre des contrats multirisques bureaux et tous risques machines.
Objet du contrat : garantir les immeubles, meubles, machines et matériels nécessaires au fonctionnement des immeubles ou à l'activité de la Caisse Régionale du Morbihan, agissant en sa qualité de propriétaire, locataire, occupant ou non occupant, contre les dommages matériels subis à l'occasion d'un incendie, d'une explosion, de dommages électriques, d'un dégât des eaux, d'un bris de glace, d'un vol ou de détériorations consécutives.
Objet du contrat : garantir à la Caisse Régionale du Morbihan l'indemnisation de la perte pécuniaire qui pourrait résulter :
Le risque juridique est le risque de tout litige avec une contrepartie, résultant de toute imprécision, lacune ou insuffisance susceptible d'être imputable à l'entreprise au titre de ses opérations. Il recouvre essentiellement les deux risques suivants, potentiellement générateurs de litiges et de responsabilités, tant civiles que disciplinaires ou pénales pour l'entité, ses dirigeants et ses employés :
Ce risque fait l'objet d'un suivi effectué par le service juridique et contentieux, sous la responsabilité de la Direction Finances et Risques.
La veille juridique de la Caisse Régionale est assurée par le juriste bancaire. A cette fin, il dispose de :
Outre cette veille juridique, chaque collaborateur de la Caisse Régionale dispose de la possibilité de solliciter le service juridique et contentieux afin d'obtenir l'avis d'experts dans des situations commerciales complexes.
La prise en charge des dossiers litigieux dont les conflits relèvent du risque juridique est assurée également par
Le risque de non-conformité est le risque de sanction judiciaire, administrative ou disciplinaire, de perte financière significative ou d'atteinte à la réputation, qui naît du non-respect de dispositions propres aux activités bancaires et financières, qu'elles soient de - de la perte des valeurs entreposées dans un DAB consécutive à un hold-up, un cambriolage, un incendie ou un dégât des eaux.
Objet du contrat : garantir les conséquences pécuniaires de la responsabilité civile encourue à l'égard d'autrui par :
Objet du contrat : garantir les conséquences pécuniaires que la Caisse Régionale du Morbihan peut encourir au titre de sa responsabilité civile professionnelle, délictuelle ou contractuelle, en raison de ses activités de courtage d'assurance, conseil en assurance et conseil en gestion des risques.
le service juridique qui pilote les actions engagées, avec l'appui des partenaires judiciaires de la Caisse Régionale. La couverture du risque d'appel en responsabilité, à raison d'une inexécution d'une obligation juridique à la charge de la banque, est assurée par un provisionnement individuel, réalisé et actualisé à dire d'expert, et comptabilisé en provisions.
Il est à noter que certains dossiers litigieux dont les conflits relèvent des opérations de recouvrement peuvent également présenter un risque juridique. La couverture du risque d'appel en responsabilité est également assurée par un provisionnement individuel, réalisé et actualisé à dire d'expert, et comptabilisé en provision pour risques et charges.
L'ensemble de ces provisions est revu a minima trimestriellement. Les provisions sont détaillées au paragraphe 5.12 des Comptes consolidés intermédiaires résumés au 30 juin 2016.
Aussi, dans le cadre des activités commerciales et financières de la Caisse Régionale, il n'existe, au 30 juin 2016, aucun fait exceptionnel ou litige non provisionné susceptible d'avoir une incidence significative sur la situation financière, l'activité ou le patrimoine de l'entreprise.
Les principales procédures judiciaires en cours impliquant la Caisse Régionale sont :
Toutes sont traitées suivant les règles prudentielles d'usage prenant en compte les évolutions et les natures particulières des procédures.
nature législative ou réglementaire, ou qu'il s'agisse de normes professionnelles et déontologiques, ou d'instructions de l'organe exécutif prises notamment en application des orientations de l'organe délibérant.
Les objectifs de la politique mise en œuvre par la Caisse Régionale visent à se prémunir contre les risques de non-conformité aux lois, règlements et normes internes relatives notamment aux activités de services d'investissement, à la prévention du blanchiment de capitaux et la lutte contre le financement du terrorisme et la prévention et lutte contre la fraude interne et externe.
Le champ d'application de cette politique concerne la Conformité en priorité pour l'ensemble des lois et règlements qui concerne la relation clientèle et les règles déontologiques nécessaires à la bonne application de ces lois et règlements.
Les textes dont il s'agit sont édictés par le Code Monétaire et Financier notamment au regard de la lutte contre le blanchiment, la lutte contre le terrorisme, les embargos et gels des avoirs et la réglementation bancaire en matière de contrôle de la conformité dans le cadre du contrôle interne. Par ailleurs, cette politique prend en compte les textes règlementaires relatifs à la protection des individus et au consumérisme édictés par les Autorités Administratives telles que la CNIL, le Défenseur des Droits, l'Autorité de la Concurrence et plus généralement toute autorité publique habilitée.
La Caisse Régionale s'est ainsi dotée d'une politique de conflits d'intérêt qui s'appuie sur le dispositif de politique de conflits d'intérêts Groupe Crédit Agricole.
La charte de déontologie de la Caisse Régionale annexée au règlement intérieur formalise un certain nombre d'obligations s'imposant aux salariés en vue de prévenir les situations de conflits d'intérêt.
La charte de déontologie intègre également les procédures destinées à prévoir la transmission rapide à la hiérarchie des situations de conflits d'intérêts nécessitant un arbitrage ou une décision.
L'évaluation des risques de non-conformité s'appuie pleinement sur les outils déjà existants en matière de risques opérationnels.
Les outils de cartographie des risques et de collecte des pertes utilisent un référentiel national comportant différents types de risques, notamment : les risques d'interruption de processus, les risques opérationnels, les risques liés à la santé et à la sécurité des travailleurs, et les risques de non-conformité.
Des moyens spécifiques d'encadrement et de surveillance des opérations sont mis en œuvre : formation du personnel, adoption de règles écrites internes, accomplissement des obligations déclaratives vis-à-vis des autorités de tutelle, etc.
La Caisse Régionale s'est ainsi dotée d'une procédure NAP (nouvelles activités, nouveaux produits) qui permet, en amont de la mise en marché des nouveaux produits, d'en sécuriser la commercialisation. Ce dispositif contribue à favoriser le conseil du bon produit au bon client par une attention particulière portée sur :
Les nouveaux produits sont accompagnés, pour les plus complexes, d'un bagage de formation destiné aux vendeurs et dont la compréhension est le cas échéant validée par un quizz.
Dans le cadre de l'application de la directive MIF, des procédures spécifiques destinées à la protection de la clientèle ont été mises en œuvre. Avant toute démarche de souscription d'instruments financiers, la recherche de la « connaissance et expérience du client » permet ainsi d'évaluer à travers un questionnaire le niveau du client de connaissance et d'expérience des marchés financiers. Le résultat de ce questionnaire est intégré dans le système d'information et permet aux conseillers de proposer des produits adéquats ou d'alerter le client lorsque ce dernier sollicite la Caisse Régionale pour la souscription d'un produit dont le profil de risques est supérieur à son niveau de « connaissance expérience ». Puis la phase de connaissance est une étape majeure. Ainsi, la situation financière et personnelle sera détaillée avec le client. Si la connaissance client a déjà été effectuée, une simple mise à jour sera effectuée, afin de disposer de « la connaissance actualisée » du client. L'étape suivante consiste à s'enquérir des objectifs, de l'horizon et du niveau de risques acceptés du placement. Le rappel du niveau de « connaissance expérience » du client est réalisé au travers de l'appréciation du couple « rendement / risque ».
Les procédures internes de la Caisse Régionale prévoient qu'un bilan conseil est systématiquement établi en cas de conseil en investissement pour :
les souscriptions d'assurance vie,
les souscriptions d'instruments financiers.
La Caisse Régionale a intégré dans son dispositif de contrôles permanents les vérifications relatives au respect des obligations professionnelles attachées à la fourniture du service de conseil en investissement afin de suivre la prise en compte de ces dispositions et des procédures internes liées par le réseau des agences.
Enfin, la nouvelle réglementation concernant la certification AMF des vendeurs a également été intégrée dans les procédures de la Caisse Régionale dès 2010 avec l'option choisie d'y inclure l'ensemble des conseillers commerciaux en lien avec la clientèle. Chaque nouvel embauché concerné bénéficie donc systématiquement d'une formation interne, en vue de sa certification professionnelle au regard de la réglementation AMF.
La Caisse Régionale du Morbihan veille par ailleurs à assurer un strict respect des obligations réglementaires dans le domaine de la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.
Conformément aux dispositions de la troisième directive européenne, la surveillance des flux et des opérations de la clientèle s'effectue selon une approche risque. A ce titre, la Caisse Régionale a défini une classification des risques de blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme attachés au client et aux opérations.
Les mesures de vigilance à mettre en œuvre sont adaptées au niveau de risque identifié par la matrice : vigilance allégée, standard ou renforcée. Cette vigilance s'exerce à l'entrée en relation et/ou au cours de la relation d'affaires.
Dans le cadre de la surveillance permanente de dernier niveau, la Caisse Régionale du Morbihan utilise l'outil NORKOM commun à tout le groupe Crédit Agricole. La Caisse Régionale avait déployé au 30 juin 2016, 34 scénarios dont 3 permettent l'identification des PPE (personnes politiquement exposées) et des personnes visées par une mesure de gels des avoirs.
Une formation sur la prévention du blanchiment et la fraude a été délivrée à l'ensemble des collaborateurs du réseau en juin 2015.
La prévention du risque de fraude fait l'objet d'un suivi trimestriel, suite aux préconisations du groupe, et le contrôle de conformité et sécurité financière est en charge des contrôles permanents y afférent. Ce risque est intégré au plan de formation des nouveaux embauchés et a fait l'objet d'un rappel à l'ensemble du personnel en octobre 2015. Des informations sont régulièrement adressées aux collaborateurs afin de renforcer la vigilance sur la fraude.
Le Crédit Agricole du Morbihan a en outre mis en place des procédures d'encadrement et de contrôle du risque de non-conformité dans le cadre de la connaissance des clients avec la réalisation de due diligence tant à l'entrée en relation qu'en cours de relation mais aussi avec des plans d'actions de mise en conformité des dossiers de connaissance des clients.
Ces dispositifs font l'objet d'un suivi renforcé par le Responsable du contrôle de la Conformité de la Caisse Régionale, sous la coordination de la Direction de la Conformité de Crédit Agricole S.A.. Dès lors que des axes d'amélioration ont été identifiés, ceux-ci font l'objet d'un plan de mise en conformité.
Enfin, le responsable du Contrôle de la conformité centralise les dysfonctionnements significatifs de la Caisse Régionale du Morbihan, en prévention du risque de non-conformité.
Les notes du Crédit Agricole du Morbihan sont les suivantes pour 2016 :
| Standard and Poors-Adef | Moody's | |
|---|---|---|
| émissions à court terme | A-1 | P-1 |
| émissions à moyen et long terme | A | A1 |
| émissions à moyen et long terme subordonnées | BBB | Baa3 |
Cette notation traduit la solidité financière du Crédit Agricole du Morbihan accentuée par son appartenance au groupe Crédit Agricole.
En fin d'année 2001, la Caisse Régionale du Morbihan a émis 876.760 Certificats Coopératifs d'Associés, souscrits en totalité par Crédit Agricole S.A. au prix unitaire de 67,6 euros (dont 15,25 euros de nominal).
Pour l'exercice 2015, il a été versé aux porteurs de Certificats Coopératifs d'Associés un dividende de 1,89 euro par titre.
Sur le cours d'émission de 67,6 euros, cette rémunération correspond à un rendement de 2,80 %.
A l'issue des trois émissions (1988-1991-1994), la Caisse Régionale comptait 1.796.694 Certificats Coopératifs d'Investissement. Compte tenu de l'annulation des Certificats Coopératifs d'Investissement achetés dans le cadre du programme de rachat – voir ci-dessous – le nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement ressort à 1.621.739, représentant
Au cours du premier semestre 2016, le cours du Certificat Coopératif d'Investissement est passé de 55,01 euros le 31 décembre 2015 à 53,01 euros le 30 juin 2016, soit une baisse de -3,6 %.
Le cours le plus haut de l'année s'est élevé à 68,74 euros le 3 mars et le cours le plus bas s'est établi à 52,40 euros le 14 janvier.
Pour l'exercice 2015, il a été versé aux porteurs de Certificats Coopératifs d'Investissement un dividende de 1,89 euro par titre.
Sur le cours au 31 décembre 2015, le PER (rapport cours boursier du 31 décembre / bénéfice par action) ressort à 8,44.
Les CCA représentent 16,68 % des titres totaux constitutifs du capital social de la Caisse Régionale du Morbihan (Parts sociales, CCI et CCA).
Pour rappel, les dividendes versés au titre des trois derniers exercices sont :
30,86 % des titres constitutifs du capital social au 31 décembre 2015.
Au cours du premier semestre 2016, le nombre de CCI échangés a été de 59.766, soit une moyenne de 471 titres par séance de bourse, et des capitaux échangés de 3 760 milliers d'euros.
Le cours moyen de l'année 2016 s'établit à 62,28 euros, contre 62,35 euros en 2015.
Sur le cours de clôture à 53,01 euros, la capitalisation boursière des CCI du Crédit Agricole du Morbihan se situe à environ 86,0 millions d'euros. Avec un actif net comptable social à 171 euros par titre, le cours ne valorise la Caisse Régionale qu'à 0,31 fois l'actif net.
Le rendement servi par titre, calculé sur le cours au 31 décembre 2014, sera de 3,44 % en 2015 contre 4,49 % en 2014. Pour rappel, les dividendes versés au titre des trois derniers exercices sont :
Au titre du contrat de liquidité confié par la Caisse Régionale du Crédit Agricole du Morbihan à Kepler Chevreux, les nombres de titres suivants figuraient au compte de liquidité :
au 31 décembre 2012 : 11 361 titres pour 393 090,60 euros,
au 31 décembre 2013 : 8 147 titres pour 429 754,25 euros,
Conformément aux résolutions des Assemblées Générale et Extraordinaire des 27 mars 2009, 26 mars 2010, 31 mars 2011, 29 mars 2012, 21 mars 2013, 20 mars 2014, 19 mars 2015 et 24 mars 2016, la Caisse Régionale a mis en œuvre, à compter du 9 novembre 2009, le programme de rachat des Certificats Coopératifs d'Investissement.
Depuis cette date et jusqu'au 30 juin 2016, 187.442 titres (soit 10,43 % du nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement émis) ont été achetés pour un montant total de 8 902,7 milliers d'euros. Conformément aux décisions des Conseil d'Administration en date du 17 décembre 2010, du 16 décembre 2011, du 30 novembre 2012, du 29 novembre 2013, du 28 novembre 2014 et du 27 novembre 2015, la Caisse Régionale a fait procéder à l'annulation des Certificats Coopératifs d'Investissement acquis entre le 9 novembre 2009 et le 31 octobre 2015, soit 174.955 titres (soit 9,74 % du nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement émis) diminuant ainsi ses capitaux propres pour un montant total de 8 134,9 milliers d'euros.
Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale détient 12 487 titres (soit 0,77 % du nombre de Certificats Coopératifs d'Investissement émis) pour un montant total de 767,8 milliers d'euros.
Conformément à l'article L 225-211 du Code de Commerce, le Conseil d'Administration porte à la connaissance de l'Assemblée Générale les informations ci-dessous concernant l'utilisation du programme de rachat de Certificats Coopératifs d'Investissement pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2015.
Les opérations réalisées dans le cadre du programme de rachat ont été destinées :
| Déclaration par l'émetteur des opérations réalisées sur ses propres titres du 1er janvier 2016 au 30 juin 2016 |
|
|---|---|
| Nombre de CCI inscrits au nom de la Caisse Régionale au 31/12/2015 | 11 009 |
| Dont objectif d'animation du marché dans le cadre du contrat de liquidité | 7 772 |
| Dont objectif d'annulation | 3 237 |
| Nombre de CCI achetés au cours de premier semestre 2016 | 19 626 |
| Dont objectif d'animation du marché dans le cadre du contrat de liquidité | 10 376 |
| Dont objectif d'annulation | 9 250 |
| Volume des CCI effectivement utilisés à la réalisation de l'objectif poursuivi | 33 087 |
| Contrat de liquidité | 20 630 |
| Annulation | 12 487 |
| Nombre de CCI éventuellement réalloués à d'autres objectifs | 0 |
| Cours moyen d'achat des CCI acquis au cours du premier semestre 2016 | 61,94 € |
| Valeur des CCI acquis au cours du premier semestre 2016 évalués au cours d'achat |
1 215 724,24 € |
| Montant des frais de négociation | 0 |
| Nombre de titres cédés au cours du premier semestre 2016 | 10 254 |
| Dont objectif d'animation du marché dans le cadre du contrat de liquidité | 10 254 |
| Cours moyen des CCI cédés au cours du premier semestre 2016 | 62,56 € |
| Nombre de titres annulés au cours du premier semestre 2016 | 0 |
| Nombre de CCI inscrits au nom de la Caisse Régionale au 30/06/2016 | 20 381 |
| Valeur nette comptable unitaire de l'action | |
| CCI acquis dans le cadre du contrat de liquidité | 61,54 € |
| CCI acquis en vue de leur annulation | 62,39 € |
| Valeur nette comptable globale des CCI | 1 021 328,55 € |
| Valeur nominale du CCI | 15,25 |
| Pourcentage du capital social détenu par la Caisse Régionale au 30/06/2016 | 1,26 % |
A la date du 29 juillet 2016, date d'arrêté des comptes par le Conseil d'Administration, la Caisse Régionale n'a
Dans un environnement financier et économique toujours incertain et en faible croissance, la Caisse Régionale du Morbihan continue à soutenir et à accompagner le développement économique du département morbihannais et de ses acteurs en pas identifié d'évènements postérieurs à la date d'arrêté et rattachables au 30 juin 2016.
adéquation avec son projet d'entreprise orienté développement multicanal et satisfaction client. Un nouveau Plan Moyen terme pour la période 2017- 2020 sera élaboré par la Caisse régionale du Morbihan en cohérence avec celui du Groupe Crédit Agricole.
(ayant fait l'objet d'un examen limité)
Examinés par le Conseil d'Administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole du Morbihan en date du 29 juillet 2016
Registre du commerce et des sociétés : Vannes Numéro de Siret : 777 903 816 00026 NAF : 6419Z
Dénomination : Caisse Régionale de Crédit Agricole du Morbihan Adresse : Avenue de Kéranguen 56956 Vannes Cedex 9 Siège social : Avenue de Kéranguen 56956 Vannes Cedex 9
La Caisse Régionale du Crédit Agricole du Morbihan est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.
Sont rattachées à la Caisse Régionale du Morbihan, 44 Caisses Locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre. Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse Régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses Locales, ainsi que ceux d'un Fonds dédié constitué en mars 2008 et d'un Fonds Commun de Titrisation constitué en octobre 2015.
De par la loi bancaire, la Caisse Régionale du Morbihan est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.
| (En milliers d'euros) | Notes | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|---|
| Intérêts et produits assimilés | 3.1 | 137 275 | 272 072 | 138 367 |
| Intérêts et charges assimilées | 3.1 | -78 013 | -138 209 | -73 061 |
| Commissions (produits) | 3.2 | 54 480 | 106 195 | 56 033 |
| Commissions (charges) | 3.2 | -8 796 | -20 597 | -10 464 |
| Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat |
3.3 | -1 807 | -1 098 | 1 835 |
| Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente |
3.4 | 20 250 | 13 597 | 13 438 |
| Produits des autres activités | 3.5 | 1 150 | 1 312 | 389 |
| Charges des autres activités | 3.5 | -1 083 | -2 760 | -1 390 |
| Produit net bancaire | 123 456 | 230 512 | 125 147 | |
| Charges générales d'exploitation | 3.6 | -64 409 | -122 964 | -62 778 |
| Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles |
3.7 | -1 934 | -4 059 | -2 061 |
| Résultat brut d'exploitation | 57 113 | 103 489 | 60 308 | |
| Coût du risque | 3.8 | -17 833 | -20 149 | -14 589 |
| Résultat d'exploitation | 39 280 | 83 340 | 45 719 | |
| Gains ou pertes nets sur autres actifs | 3.9 | -27 | -410 | -307 |
| Résultat avant impôt | 39 253 | 82 930 | 45 412 | |
| Impôts sur les bénéfices | 3.10 | -6 526 | -25 874 | -12 672 |
| Résultat net | 32 727 | 57 056 | 32 740 | |
| Participations ne donnant pas le contrôle | / | / | / | |
| Résultat net-part du Groupe | 32 727 | 57 056 | 32 740 |
| (En milliers d'euros) | Notes | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|---|
| Résultat net | 32 727 | 57 056 | 32 740 | |
| Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi | 3.11 | 343 | -83 | 605 |
| Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entreprises mises |
343 | -83 | 605 | |
| en équivalence Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence |
/ | / | / | |
| Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence |
3.11 | -118 | 28 | -209 |
| Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence |
/ | / | / | |
| Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables |
225 | -55 | 396 | |
| Gains et pertes sur écarts de conversion | / | / | / | |
| Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente | 3.11 | 428 | 3 486 | 2 479 |
| Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture | / | / | ||
| Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entreprises mises en équivalence |
428 | 3 486 | 2 479 | |
| Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables part du Groupe des entreprises mises en équivalence |
/ | / | / | |
| Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence |
3.11 | 353 | -28 | 416 |
| Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence |
/ | / | / | |
| Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées |
/ | / | / | |
| Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables |
781 | 3 458 | 2 895 | |
| Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres |
3.11 | 1 006 | 3 403 | 3 291 |
| Résultat net et autres éléments du résultat global | 33 733 | 60 459 | 36 031 | |
| Dont part du Groupe | 33 733 | 60 459 | 36 031 | |
| Dont participations ne donnant pas le contrôle | / | / | / |
| (En milliers d'euros) | Notes | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|---|
| Caisse, banques centrales | 26 858 | 28 767 | |
| Actifs financiers à la juste valeur par résultat | 5.1–5.6 | 314 488 | 263 086 |
| Instruments dérivés de couverture | 512 | 2 621 | |
| Actifs financiers disponibles à la vente | 5.2–5.4-5.5 | 603 542 | 607 248 |
| Prêts et créances sur les établissements de crédit | 5.3–5.4–5.5 | 509 406 | 858 287 |
| Prêts et créances sur la clientèle | 5.3–5.4–5.5 | 6 969 646 | 6 943 548 |
| Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux | 94 667 | 67 702 | |
| Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance | 5.4–5.5 | 129 068 | 128 530 |
| Actifs d'impôts courants et différés | 75 980 | 58 047 | |
| Comptes de régularisation et actifs divers Actifs non courants destinés à être cédés et activités |
5.8 | 235 570 / |
131 862 / |
| abandonnées Immeubles de placement |
5.9 | 1 990 | 2 011 |
| Immobilisations corporelles | 5.10 | 46 361 | 45 905 |
| Immobilisations incorporelles | 5.10 | 793 | 782 |
| Total de l'Actif | 9 008 881 | 9 138 396 |
| (En milliers d'euros) | Notes | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|---|
| Banques centrales | / | / | |
| Passifs financiers à la juste valeur par résultat | 5.1 | 566 306 | 518 085 |
| Instruments dérivés de couverture | 120 416 | 96 811 | |
| Dettes envers les établissements de crédit | 5.6 | 4 538 564 | 4 751 426 |
| Dettes envers la clientèle | 5.6 | 2 113 934 | 2 118 258 |
| Dettes représentées par un titre | 5.7 | 134 144 | 183 350 |
| Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux | / | / | |
| Passifs d'impôts courants et différés | 15 348 | 8 046 | |
| Comptes de régularisation et passifs divers | 232 788 | 216 140 | |
| Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées |
5.8 | / | / |
| Provisions techniques des contrats d'assurance | / | / | |
| Provisions | 5.12 | 35 716 | 35 615 |
| Dettes subordonnées | 5.7 | 80 523 | 81 361 |
| Total Dettes | 7 837 739 | 8 009 092 | |
| Capitaux Propres Capitaux propres – part du Groupe |
1 171 142 | 1 129 304 | |
| Capital et réserves liées | 1 171 131 | 1 129 293 | |
| Réserves consolidées | 335 406 | 319 800 | |
| Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres |
787 587 | 738 032 | |
| Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs non courants destinés à être cédés |
15 411 | 14 405 | |
| Résultat de l'exercice | 32 727 | 57 056 | |
| Participations ne donnant pas le contrôle | 11 | 11 | |
| Total du Passif | 9 008 881 | 9 138 396 |
| U G RO PA RT D UP E |
IC PA RT IP A |
||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Ca p |
és ita l e t r erv es |
lié es |
ins Ga et rte pe en |
és tab ilis s c om p ita ca p pr op ux |
di tem t rec en res |
||||||
| ( En illi d' ) m ers eu ros |
ita l Ca p |
Pr im et es rés erv es dé oli co ns es lié es au ita l ( 1) ca p |
Eli mi tio na n de itr s t es to au dé ten us |
tal To ita l e Ca t p rés erv es dé oli co ns es |
Ga ins et rte pe s és tab ilis co mp ita en ca p ux pro pre s lab les rec yc |
Ga ins et rte pe s és tab ilis co mp ita en ca p ux pro pre s n on lab les rec yc |
To tal de s ins et rte ga pe s és tab ilis co mp dir ect t em en ita en ca p ux pro pre s |
Ré lta t n et su |
ita Ca p ux pro pre s |
PA S L E CO NT RO LE Ca ita p ux pro pre s |
Ca ita p ux pro pre s dé oli co ns s |
| 1e r ja Ca pit nvi 20 15 aux pr op res au er |
21 6 7 89 |
82 7 3 48 |
-36 7 |
1 0 43 77 0 |
13 45 8 |
-2 45 6 |
11 00 2 |
/ | 1 0 54 77 2 |
11 | 1 0 54 78 3 |
| Va ria tio n d ita l e c ap éte n d d Va ria tio tit to es res au nu s |
10 85 1 / |
/ / |
/ -89 6 |
10 85 1 -89 6 |
/ / |
/ / |
/ / |
/ / |
10 85 1 -89 6 |
/ / |
10 85 1 -89 6 |
| és er s Div ide nd 1 20 15 est es ve rs au em re |
/ | -8 94 5 |
/ | -8 94 5 |
/ | / | / | / | -8 94 5 |
/ | -8 94 5 |
| és éra li les Mo ts tio em en au op ns a ve c uv x tio air ac nn es |
10 85 1 |
-8 94 5 |
-89 6 |
1 0 10 |
/ | / | / | / | 1 0 10 |
/ | 1 0 10 |
| és Va ria tio n d ins tab ilis et rte es ga pe s c om p dir ect t e ita em en n c ap pr op res ux |
/ | / | / | / | 2 8 95 |
39 6 |
3 2 91 |
/ | 3 2 91 |
/ | 3 2 91 |
| és ult R at 30 ju in 20 15 au |
/ | / | / | / | / | / | / | 32 74 0 |
32 74 0 |
/ | 32 74 0 |
| Au ari ati tre s v on s |
/ | 68 | / | 68 | / | / | / | / | 68 | / | 68 |
| Ca pit 30 ju in 20 15 aux pr op res au |
22 7 6 40 |
81 8 4 71 |
-1 263 |
1 0 44 84 8 |
16 35 3 |
-2 06 0 |
14 293 |
32 740 |
1 0 91 88 1 |
11 | 1 0 91 89 2 |
| Va ria tio n d ita l e c ap |
13 4 14 |
-49 5 |
/ | 12 9 19 |
/ | / | / | / | 12 9 19 |
/ | 12 9 19 |
| éte n d d Va ria tio tit to es res au nu s |
/ | / | 78 2 |
78 2 |
/ | / | / | / | 78 2 |
/ | 78 2 |
| és éra Mo li tio les ts uv em en au x op ns a ve c tio air ac nn es |
13 41 4 |
-49 5 |
78 2 |
13 70 1 |
/ | / | / | / | 13 70 1 |
/ | 13 70 1 |
| és Va ria tio n d ins tab ilis et rte es ga pe s c om p dir ect t e ita em en n c ap pr op res ux |
/ | / | / | / | 56 3 |
-45 1 |
11 2 |
/ | 11 2 |
/ | 11 2 |
| és èm R ult du 2 20 15 at est e s em re |
/ | / | / | / | / | / | / | 24 3 16 |
24 3 16 |
/ | 24 3 16 |
| Au tre ari ati s v on s |
/ | -7 17 |
/ | -7 17 |
/ | / | / | / | -7 17 |
/ | -7 17 |
| dé Ca pit 31 bre 20 15 aux pr op res au cem |
24 1 0 54 |
81 7 2 59 |
-48 1 |
1 0 57 83 2 |
16 91 6 |
-2 51 1 |
14 40 5 |
57 05 6 |
1 1 29 293 |
11 | 1 1 29 304 |
| és Aff du ult 20 ect ati at 15 on r |
/ | 05 6 57 |
/ | 05 6 57 |
/ | / | / | 05 6 -57 |
/ | / | / |
| 1e r ja Ca pit nvi 20 16 aux pr op res au er |
24 1 0 54 |
87 4 3 15 |
-48 1 |
1 1 14 88 8 |
16 91 6 |
-2 51 1 |
14 40 5 |
/ | 1 1 29 293 |
11 | 1 1 29 304 |
| Va ria tio n d ita l e c ap |
16 18 8 |
/ | / | 16 18 8 |
/ | / | / | / | 16 18 8 |
/ | 16 18 8 |
| n d d éte Va ria tio tit to es res au nu s |
/ | / | -58 2 |
-58 2 |
/ | / | / | / | -58 2 |
/ | -58 2 |
| és er s ide nd Div 1 est 20 16 es ve rs au em re |
/ | 8 -7 50 |
/ | 8 -7 50 |
/ | / | / | / | 8 -7 50 |
/ | 8 -7 50 |
| és éra Mo ts li tio les uv em en au x op ns a ve c tio air ac nn es |
16 18 8 |
-7 50 8 |
-58 2 |
8 0 98 |
/ | / | / | / | 8 0 98 |
/ | 8 0 98 |
| és n d tab ilis Va ria tio ins et rte es ga pe om p s c dir ita ect t e em en n c ap ux pr op res |
/ | / | / | / | 78 1 |
22 5 |
1 0 06 |
/ | 1 0 06 |
/ | 1 0 06 |
| és R ult at 30 ju in 20 16 au |
/ | / | / | / | / | / | / | 32 72 7 |
32 72 7 |
/ | 32 72 7 |
| Au tre ari ati on s v s |
/ | 7 | / | 7 | / | / | / | / | 7 | / | 7 |
| Ca ita 30 ju in 20 16 p ux pr op res au |
25 7 2 42 |
86 6 8 14 |
-1 06 3 |
1 1 22 99 3 |
17 69 7 |
-2 28 6 |
15 41 1 |
32 72 7 |
1 1 71 13 1 |
11 | 1 1 71 14 2 |
(1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'auto-contrôle
Le tableau des flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.
Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale du Morbihan y compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu'à l'échéance.
Les flux d'impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.
Les activités d'investissement représentent les flux de trésorerie pour l'acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille "actifs financiers disponibles à la vente" sont compris dans ce compartiment.
Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.
La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.
| (En milliers d'euros ) | er 1 semestre 2016 |
er 1 semestre 2015 |
31/12/15 |
|---|---|---|---|
| Résultat avant impôts | 39 253 | 45 412 | 82 930 |
| Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles |
1 934 | 2 062 | 4 058 |
| Dépréciation des écarts d'acquisition et des autres immobilisations | / | / | / |
| Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions | 19 498 | 15 392 | 17 162 |
| Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence | / | / | / |
| Résultat net des activités d'investissement | 27 | 307 | 56 |
| Résultat net des activités de financement | 2 250 | 2 243 | 4 518 |
| Autres mouvements | -4 472 | -3 526 | -4 955 |
| Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements |
19 237 | 16 478 | 20 839 |
| Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit | 91 775 | 7 658 | -145 258 |
| Flux liés aux opérations avec la clientèle | -43 595 | -39 619 | 39 978 |
| Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers (1) | -53 022 | 24 903 | 49 659 |
| Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs non financiers | -85 670 | 96 196 | 100 559 |
| Impôts versés | -16 959 | -8 185 | -23 972 |
| Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles |
-107 471 | 80 953 | 20 966 |
| Flux provenant des activités abandonnées | / | / | / |
| Total flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle | -48 981 | 142 843 | 124 735 |
| Flux liés aux participations | -948 | -450 | -1 001 |
| Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles | -2 430 | -1 539 | -3 141 |
| Flux provenant des activités abandonnées | / | / | / |
| Total flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement | -3 378 | -1 989 | -4 142 |
| Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2) | 8 682 | 1 986 | 15 693 |
| Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement | -3 088 | -3 088 | -4 436 |
| Flux provenant des activités abandonnées | / | / | / |
| Total flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement | 5 594 | -1 102 | 11 257 |
| Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie |
/ | / | / |
| Augmentation/diminution nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie |
-46 765 | 139 752 | 131 850 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture | 192 327 | 60 477 | 60 477 |
| Solde net des comptes de caisse et banques centrales (3) | 28 761 | 28 348 | 28 348 |
| Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (4) |
163 566 | 32 129 | 32 129 |
| Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture | 145 562 | 200 229 | 192 327 |
| Solde net des comptes de caisse et banques centrales (3) | 26 855 | 26 585 | 28 761 |
| Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (4) |
118 707 | 173 644 | 163 566 |
| VARIATION DE LA TRESORERIE NETTE ET DES EQUIVALENTS DE TRESORERIE |
-46 765 | 139 752 | 131 850 |
(1) Au cours du 1er semestre 2016, la Caisse Régionale a émis des certificats de dépôts négociables interbancaires couvrant des échéances pour un montant net de -49 millions d'euros, contre -40 millions au 1er semestre 2015 et - 17 millions d'euros au 31 décembre 2015. Par ailleurs, la Caisse Régionale comme toutes les Caisses Régionales du Groupe Crédit Agricole, a participé fin 2015 à une opération de titrisation consolidante telle qu'elle est décrite en note 2 des comptes consolidés annuels au 31 décembre 2015.
(2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale :
Il inclut en outre la variation au cours du 1er semestre 2016 et de l'exercice 2015 du capital social des Caisses Locales pour respectivement 16 188 milliers d'euros et 24 654 milliers d'euros faisant suite à des souscriptions de parts sociales auprès de la clientèle dans le cadre du programme d'émission des parts sociales validé par l'AMF le 07 mai 2010.
(3) Cette ligne est composée du solde net des postes « caisses et banques centrales », hors intérêts courus.
(4) Cette ligne est composée du solde des postes « Comptes ordinaires débiteurs sains » et « Comptes et prêts au jour le jour sains » tel que détaillés en note 5.3 et des postes « Comptes ordinaires créditeurs et comptes et emprunts au jour le jour » tel que détaillés en note 5.7 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole).
Les comptes consolidés intermédiaires résumés de la Caisse Régionale du Morbihan au 30 juin 2016 ont été préparés et sont présentés en conformité avec la norme IAS 34 relative à l'information financière intermédiaire, qui définit le contenu minimum de l'information, et qui identifie les principes de comptabilisation et d'évaluation devant être appliqués à un rapport financier intermédiaire.
Les normes et interprétations utilisées pour la préparation des comptes consolidés intermédiaires résumés sont identiques à celles utilisées par le groupe Crédit Agricole sur l'élaboration des comptes consolidés au 31 décembre 2015 établis, en application du règlement CE n° 1606/2002, conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC telles qu'adoptées par l'Union européenne (version dite « carve out »), en utilisant donc certaines dérogations dans l'application de la norme IAS39 pour la comptabilité de macrocouverture.
Ces normes et interprétations ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu'adoptées par l'Union européenne au 30 juin 2016 et dont l'application est obligatoire pour la première fois sur l'exercice 2016. Celles-ci portent sur :
| Normes, Amendements ou Interprétations |
Date de publication par l'Union européenne |
Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du |
Applicable dans le Groupe |
|---|---|---|---|
| Améliorations des IFRS cycle 2010-2012 : - IFRS 2 Paiement fondé sur des actions : reformulation de la définition d'une |
17 décembre 2014 (UE n°2015/28) |
er février 2015 1 |
|
| condition d'acquisition de droits - IFRS 3 Regroupements d'entreprises : harmonisation sur la comptabilisation d'un ajustement éventuel du prix ; évaluation à la juste valeur des |
(1) er février 2015 1 (1) |
Oui Oui |
|
| compléments de prix éventuels - IFRS 8 Secteurs opérationnels : regroupement de secteurs opérationnels et réconciliation des actifs sectoriels avec le total des actifs - IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS |
er février 2015 1 (1) |
Oui | |
| 38 Immobilisations incorporelles : clarifications sur la méthode optionnelle de réévaluation des immobilisations corporelles et incorporelles |
er février 2015 1 (1) |
Non | |
| - IAS 24 Information relative aux parties liées : modification de la définition d'une partie liée |
er février 2015 1 (1) |
Oui | |
| Amendement à IAS 19 Avantages du personnel : régimes à prestations définies : précision sur la comptabilisation des cotisations des membres du personnel qui se rattachent aux services rendus mais qui ne dépendent pas du nombre d'années de service |
17 décembre 2014 (UE n°2015/29) |
er février 2015 1 (1) |
Oui |
| Amendement à IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS 41 Agriculture : Evaluation d'un actif biologique selon IAS 41 s'il ne correspond pas à une plante productrice |
23 novembre 2015 (UE 2015/2113) |
er janvier 2016 1 |
Non |
| Amendement à IFRS 11 Partenariats : Comptabilisation des acquisitions d'intérêts dans une activité conjointe selon IFRS 3 si les actifs acquis constituent un « business » au sens d'IFRS 3 et non un simple groupe d'actifs |
24 novembre 2015 (UE 2015/2173) |
er janvier 2016 1 |
Oui |
|---|---|---|---|
| Amendement à IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS 38 Immobilisations incorporelles : Clarifications sur la méthode d'amortissement fondée sur le revenu (interdite sous IAS 16 et acceptable sous IAS 38) |
02 décembre 2015 (UE 2015/2231) |
er janvier 2016 1 |
Oui |
| Améliorations des IFRS cycle 2012-2014 : | 15 décembre 2015 (UE 2015/2343) |
||
| - -IFRS 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente : précision sur les modifications apportées à un plan de cession lorsqu'un actif non courant destiné à être cédé doit être reclassé en actif non courant destiné à être distribué, et réciproquement |
1er janvier 2016 | Oui | |
| - -IFRS 7 Instruments financiers : Informations à fournir : clarification sur le maintien d'implication continue aux contrats de services dont la rémunération dépend de la performance des actifs transférés ; informations non obligatoires pour les arrêtés intermédiaires sur la compensation des actifs et passifs financiers |
1er janvier 2016 | Oui | |
| - -IAS 19 Avantages du personnel : précision sur le taux de rendement des obligations d'Etat utilisé pour l'actualisation de la dette actuarielle |
1er janvier 2016 | Oui | |
| - -IAS 34 Information financière intermédiaire : clarification sur l'emplacement possible des autres informations à fournir |
1er janvier 2016 | Oui | |
| Amendement à IAS 1 Présentation des états financiers : objectif d'amélioration de la présentation d'informations |
18 décembre 2015 (UE 2015/2406) |
er janvier 2016 1 |
Oui |
| Amendement à IAS 27 Etats financiers individuels : autorisation à l'utilisation de la méthode de la mise en équivalence dans les états financiers individuels |
18 décembre 2015 (UE 2015/2441) |
er janvier 2016 1 |
Non |
(1) soit à partir du 1er janvier 2016 dans le Groupe.
Il est rappelé que lorsque l'application anticipée de normes et interprétations adoptées par l'Union européenne est optionnelle sur une période, l'option n'est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique.
Les normes et interprétations publiées par l'IASB mais non encore adoptées par l'Union européenne ne sont pas applicables. Elles n'entreront en vigueur d'une manière obligatoire qu'à partir de la date prévue par l'Union européenne et n'ont donc pas été appliquées par le Groupe au 30 juin 2016.
Cela concerne en particulier les normes IFRS 9, IFRS 15 et IFRS 16.
La norme IFRS 9 Instruments Financiers publiée est appelée à remplacer la norme IAS 39 Instruments financiers. Elle définit de nouveaux principes en matière de classement et d'évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macrocouverture.
La norme IFRS 9 devrait entrer en vigueur de manière obligatoire pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018, sous réserve de son adoption par l'Union européenne.
Le Groupe s'est organisé pour mettre en œuvre cette norme dans les délais requis, en associant les fonctions comptables, finances et risques ainsi que l'ensemble des entités concernées. Dès début 2015, le Groupe a lancé des travaux de diagnostic des principaux enjeux de la norme IFRS 9. Les analyses ont prioritairement porté sur les changements induits par :
Les nouveaux critères de classement et d'évaluation des actifs financiers
La refonte du modèle de dépréciation du risque de crédit qui permet de passer d'un provisionnement de pertes de crédit avérées à un provisionnement de pertes de crédit attendues (ECL). Cette nouvelle approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues sans attendre un événement objectif de perte avérée. Elle repose sur l'utilisation d'un large éventail d'informations, incluant des données historiques de pertes observées, des ajustements de nature conjoncturelle et structurelle, ainsi que des projections de pertes établies à partir de scénarios raisonnables.
A ce stade de l'avancement du projet, le Groupe reste entièrement mobilisé sur la définition des options structurantes liées à l'interprétation de la norme. Parallèlement, le Groupe est entré dans une phase de déclinaison opérationnelle en vue du déploiement des premières évolutions d'architecture des systèmes d'information à partir du second semestre 2016.
La norme IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018 en même temps que l'amendement « Clarification d'IFRS 15 » qui apporte des précisions complémentaires. Elle remplacera les normes IAS 11, Contrats de construction, IAS 18, Produits des activités ordinaires, ainsi que les interprétations IFRIC 13, Programmes de fidélisation de la clientèle, IFRIC 15, Contrats de construction de biens immobiliers, IFRIC 18, Transferts d'actifs provenant de clients et SIC 31, Produits des activités ordinaires - opérations de troc impliquant des services de publicité.
La norme IFRS 15 regroupe dans un texte unique les principes de comptabilisation des revenus issus des ventes de contrats à long terme, ventes de biens, ainsi que des prestations de services qui n'entrent pas dans le champ d'application des normes relatives aux instruments financiers (IAS 39), aux contrats d'assurance (IFRS 4) ou aux contrats de location (IAS 17). Elle introduit des concepts nouveaux qui pourraient modifier les modalités de comptabilisation de certains revenus du produit net bancaire.
Une étude d'impact de la mise œuvre de la norme dans le groupe Crédit Agricole sera réalisée au second semestre 2016. Néanmoins, en première analyse, le groupe n'attend pas d'impacts significatifs sur son résultat.
La norme IFRS 16 Contrats de location remplacera la norme IAS 17 et toutes les interprétations liées (IFRIC 4, Déterminer si un accord contient un contrat de location, SIC 15, Avantages dans les contrats de location et SIC 27, Evaluation de la substance des transactions impliquant la forme juridique d'un contrat de location). Elle sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2019.
La principale évolution apportée par la norme IFRS 16 concerne la comptabilité des locataires. IFRS 16 imposera pour les locataires un modèle visant à comptabiliser au bilan tous les contrats de location, avec la reconnaissance au passif d'une dette locative représentative des engagements sur toute la durée du contrat, et à l'actif un droit d'utilisation à amortir.
Une étude d'impact de la mise en œuvre de la norme dans le groupe Crédit Agricole sera réalisée en 2017 afin d'en évaluer les principaux enjeux.
Par ailleurs, trois amendements à des normes existantes ont été publiés par l'IASB, sans enjeu majeur pour le Groupe : il s'agit des amendements à IAS 7 Etat des flux de trésorerie à IAS 12 Impôts sur le résultat, applicables au groupe Crédit Agricole au 1er janvier 2017, tandis que l'amendement à IFRS 2 Classement et évaluation des transactions dont le paiement est fondé sur des actions sera applicable au 1er janvier 2018, ces dates seront confirmées après adoption de ces textes par l'UE.
Les comptes consolidés intermédiaires résumés sont destinés à actualiser les informations fournies dans les comptes consolidés au 31 décembre 2015 de la Caisse Régionale du Morbihan et doivent être lus en complément de ces derniers. Aussi, seules les informations les plus significatives sur l'évolution de la situation financière et des performances de sont mentionnées dans ces comptes semestriels.
De par leur nature, les évaluations nécessaires à l'établissement des comptes consolidés exigent la formulation d'hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d'hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations réalisées pour les instruments financiers évalués à leur juste valeur, les participations non consolidées, la valorisation des entreprises mises en équivalence, les régimes de retraites et autres avantages sociaux futurs, les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et détenus jusqu'à maturité , les dépréciations de créances irrécouvrables, les provisions, la dépréciation des écarts d'acquisition et les actifs d'impôts différés.
La Caisse Régionale du Morbihan n'est pas concernée par des opérations de structure. Son périmètre de consolidation est présenté de façon détaillée à la fin des notes et annexes en note 11.
Néanmoins, dans le cadre de la simplification de la structure du Groupe Crédit Agricole, un projet est en cours afin de procéder à un reclassement des Certificats Coopératifs d'Investissement (« CCI ») et des Certificats Coopératifs d'Associé (« CCA ») actuellement détenus par Crédit Agricole S.A dans une holding (« Sacam Mutualisation ») conjointement détenue par les Caisses Régionales. Le rachat par « Sacam Mutualisation » de la majorité des CCI/CCA actuellement détenus par Crédit Agricole SA est estimé à un montant préliminaire de 18 milliards d'euros (valeur estimée au 31 décembre 2015, à ajuster en fonction de l'évolution des capitaux propres des Caisses Régionales entre cette date et la date de réalisation de l'opération). Le financement de « Sacam Mutualisation » se fera via un apport en capital des Caisses Régionales (souscription par chacune des Caisses Régionales à une augmentation de capital lui permettant d'acquérir les CCI/CCA détenus par Crédit Agricole SA). Des prêts à moyen et long termes de Crédit Agricole SA pour un montant total d'environ 11 milliards d'euros au taux de 2,15% seront faits aux
Caisses Régionales pour financer une partie de l'augmentation de capital de « Sacam Mutualisation ». Cette opération, qui fait l'objet d'une lettre d'intention signée par l'ensemble des parties prenantes mi-février, s'inscrit dans une optique de simplification de la structure du Groupe, d'accroissement de la mutualisation des résultats des Caisses Régionales et permettra le maintien et le renforcement de la solidarité économique entre les Caisses Régionales qui existe déjà aujourd'hui indirectement au travers de la participation de Crédit Agricole SA dans les Caisses Régionales et de la garantie Switch CCI/CCA.
Cette opération est sans incidence sur les comptes intermédiaires au 30 juin 2016 de la Caisse Régionale du Morbihan. Sa réalisation prévue au troisième trimestre 2016 entrainera le débouclage de la garantie Switch pour sa composante couvrant les CCI/CCA et le remboursement du dépôt auprès de Crédit Agricole SA relatif à cette garantie (5 milliards d'euros pour l'ensemble des Caisses Régionales et 93,0 millions d'euros pour la Caisse Régionale du Morbihan).
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Sur opérations avec les établissements de crédit | 1 468 | 3 969 | 1 933 |
| Sur opérations internes au Crédit Agricole | 11 724 | 23 593 | 11 997 |
| Sur opérations avec la clientèle | 107 396 | 237 343 | 120 476 |
| Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente | 1 058 | 1 628 | 1 061 |
| Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance |
1 816 | 3 695 | 1 855 |
| Intérêts courus et échus des instruments de couverture | 13 813 | 1 844 | 1 045 |
| Sur opérations de location-financement | / | / | / |
| Autres intérêts et produits assimilés | / | / | / |
| Produits d'intérêts (1) (2) | 137 275 | 272 072 | 138 367 |
| Sur opérations avec les établissements de crédit | -1 216 | -3 141 | -1 543 |
| Sur opérations internes au Crédit Agricole | -32 874 | -76 518 | -38 068 |
| Sur opérations avec la clientèle | -13 037 | -21 616 | -15 063 |
| Sur dettes représentées par un titre | -120 | -492 | -294 |
| Sur dettes subordonnées | -2 208 | -4 434 | -2 200 |
| Intérêts courus et échus des instruments de couverture | -28 542 | -31 968 | -15 876 |
| Sur opérations de location-financement | / | / | / |
| Autres intérêts et charges assimilées | -16 | -40 | -17 |
| Charges d'intérêts | -78 013 | -138 209 | -73 061 |
(1) dont 2 464 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 30 juin 2016 contre 5 211 milliers d'euros au 31 décembre 2015 et 2 596 milliers d'euros au 30 juin 2015.
(2) dont 1 533 milliers d'euros correspondant à des rétrocessions de bonifications reçues de l'Etat notamment sur les prêts à taux zéro. Ce poste représentait 2 527 milliers d'euros au 31 décembre 2015 et 1 268 milliers d'euros au 30 juin 2015.
| 30/06/16 | 31/12/15 | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Produits | Charges | Net | Produits | Charges | Net |
| Sur opérations avec les établissements de crédit | 231 | -30 | 201 | 644 | -70 | 574 |
| Sur opérations internes au Crédit Agricole | 7 767 | -6 258 | 1 509 | 16 467 | -14 820 | 1 647 |
| Sur opérations avec la clientèle | 14 186 | -539 | 13 647 | 26 391 | -985 | 25 406 |
| Sur opérations sur titres | / | -2 | -2 | / | -2 | -2 |
| Sur opérations de change | 28 | / | 28 | 46 | / | 46 |
| Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan |
/ | / | / | / | / | / |
| Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers |
31 229 | -1 923 | 29 306 | 60 083 | -4 657 | 55 426 |
| Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues | 1 039 | -44 | 995 | 2 564 | -63 | 2 501 |
| Produits nets des commissions | 54 480 | -8 796 | 45 684 | 106 195 | -20 597 | 85 598 |
| 30/06/15 | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Produits | Charges | Net | |||
| Sur opérations avec les établissements de crédit | 427 | -35 | 392 | |||
| Sur opérations internes au Crédit Agricole | 8 130 | -7 712 | 418 | |||
| Sur opérations avec la clientèle | 13 333 | -494 | 12 839 | |||
| Sur opérations sur titres | / | -2 | -2 | |||
| Sur opérations de change | 19 | / | 19 | |||
| Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan |
/ | / | / | |||
| Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers |
32 694 | -2 204 | 30 490 | |||
| Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues | 1 430 | -17 | 1 413 | |||
| Produits nets des commissions | 56 033 | -10 464 | 45 569 |
Les commissions assimilables à des honoraires pour services rendus sont comptabilisées prorata temporis. Les commissions assimilées à des intérêts sont quant à elles calculées et comptabilisées également prorata temporis selon la durée et le montant de l'instrument concerné.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Dividendes reçus | / | / | / |
| Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature (1) |
62 858 | 203 | -24 372 |
| Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option (1) |
-64 860 | -1 483 | 26 132 |
| Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) |
97 | 182 | 76 |
| Résultat de la comptabilité de couverture | 98 | / | -1 |
| Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat |
-1 807 | -1 098 | 1 835 |
(1) Cet agrégat intègre depuis 2008 les incidences des valorisations des BMTN émis structurés et de leur couverture. Au 30 juin 2016, le montant correspondant à celles-ci est de 4 473 milliers d'euros, contre 8 073 milliers d'euros au 31 décembre 2015 et 5 609 milliers d'euros au 30 juin 2015.
Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :
| 30/06/16 | 31/12/15 | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Profits | Pertes | Net | Profits | Pertes | Net | |
| Couvertures de juste valeur | |||||||
| Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts |
14 169 | 8 735 | 5 434 | 11 621 | 3 582 | 8 039 | |
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures) |
11 620 | 17 054 | -5 434 | 3 582 | 11 621 | -8 039 | |
| Couvertures de flux de trésorerie | |||||||
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture – partie inefficace |
/ | / | / | / | / | / | |
| Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger |
|||||||
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace |
/ | / | / | / | / | / | |
| Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers |
|||||||
| Variations de juste valeur des éléments couverts |
97 292 | 70 328 | 26 964 | 69 881 | 89 546 | -19 665 | |
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture |
70 568 | 97 434 | -26 866 | 89 721 | 70 056 | 19 665 | |
| Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments |
|||||||
| financiers au risque de taux d'intérêt | |||||||
| Variations de juste valeur de l'instrument de couverture – partie inefficace |
/ | / | / | / | / | / | |
| Total Résultat de la comptabilité de couverture |
193 649 | 193 551 | 98 | 174 805 | 174 805 | / |
| 30/06/15 | |||
|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Profits | Pertes | Net |
| Couvertures de juste valeur | |||
| Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts |
10 280 | 4 104 | 6 176 |
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures) |
4 103 | 10 280 | -6 177 |
| Couvertures de flux de trésorerie | |||
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture – partie inefficace |
/ | / | / |
| Couvertures d'investissements nets dans | |||
| une activité à l'étranger | |||
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace |
/ | / | / |
| Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt |
|||
| d'un portefeuille d'instruments financiers | |||
| Variations de juste valeur des éléments couverts |
65 401 | 90 981 | -25 580 |
| Variations de juste valeur des dérivés de couverture |
91 157 | 65 577 | 25 580 |
| Couvertures de l'exposition des flux de | |||
| trésorerie d'un portefeuille d'instruments | |||
| financiers au risque de taux d'intérêt | |||
| Variations de juste valeur de l'instrument de | / | / | / |
| couverture – partie inefficace | |||
| Total Résultat de la comptabilité de couverture |
170 941 | 170 942 | -1 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Dividendes reçus | 17 618 | 11 897 | 11 692 |
| Plus ou moins-values de cession réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (1) |
2 667 | 2 276 | 1 813 |
| Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres) |
-35 | -576 | -67 |
| Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances |
/ | / | / |
| Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente |
20 250 | 13 597 | 13 438 |
(1) hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement mentionnés en note 3.8 Coût du Risque.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation | / | / | / |
| Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance |
/ | / | / |
| Autres produits nets de l'activité assurance | / | / | / |
| Variation des provisions techniques des contrats d'assurance |
/ | / | / |
| Produits/charges nets des immeubles de placement | -43 | -120 | -69 |
| Autres produits/charges nets | 110 | -1 328 | -932 |
| Produits/Charges des autres activités | 67 | - 1 448 | -1 001 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Charges de personnel | 35 406 | 69 961 | 35 395 |
| Impôts et taxes | 4 102 | 4 592 | 3 096 |
| Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation |
24 901 | 48 411 | 24 287 |
| Charges générales d'exploitation | 64 409 | 122 964 | 62 778 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Salaires et traitements | 22 052 | 44 152 | 22 197 |
| Cotisations au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi |
2 579 | 5 656 | 2 461 |
| Autres charges sociales | 6 980 | 14 775 | 7 060 |
| Intéressement et participation | 3 260 | 5 003 | 3 212 |
| Impôts et taxes sur rémunérations | 4 424 | 7 826 | 4 207 |
| Dotations nettes aux provisions | 501 | 566 | 339 |
| Transfert de charges | -4 390 | -8 017 | -4 081 |
| Total Charges de personnel | 35 406 | 69 961 | 35 395 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Dotations aux amortissements | 1 948 | 3 913 | 1 915 |
| - Immobilisations corporelles | 1 911 | 3 864 | 1 897 |
| - Immobilisations incorporelles | 37 | 49 | 18 |
| Dotations aux dépréciations | -14 | 146 | 146 |
| - Immobilisations corporelles | -14 | 146 | 146 |
| - Immobilisations incorporelles | / | / | / |
| Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles |
1 934 | 4 059 | 2 061 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Dotations aux provisions et aux dépréciations | -52 815 | -76 754 | -42 319 |
| Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe | / | / | / |
| Prêts et créances | -47 455 | -70 499 | -33 121 |
| Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance | / | / | / |
| Autres actifs | -273 | -444 | -104 |
| Engagements par signature | -365 | -1 469 | -835 |
| Risques et charges | -4 722 | -4 342 | -8 259 |
| Reprises de provisions et de dépréciations | 34 780 | 56 497 | 31 092 |
| Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe | / | / | / |
| Prêts et créances | 27 876 | 45 751 | 24 843 |
| Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance | / | / | / |
| Autres actifs | 6 | 131 | 9 |
| Engagements par signature | 162 | 1 361 | 746 |
| Risques et charges | 6 736 | 9 254 | 5 494 |
| Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions | -18 035 | -20 257 | -11 227 |
| Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés |
/ | / | / |
| Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés | -232 | -452 | -173 |
| Récupérations sur prêts et créances amortis | 466 | 741 | 231 |
| Décotes sur les crédits restructurés | -32 | -170 | -163 |
| Pertes sur engagements par signature | / | -1 | / |
| Autres pertes | / | -10 | -3 257 |
| Autres produits | / | / | / |
| Autres pertes nettes | 202 | 108 | -3 362 |
| Coût du risque | -17 833 | -20 149 | -14 589 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation | -27 | -410 | -307 |
| Plus-values de cession | 42 | 36 | 13 |
| Moins-values de cession | -69 | -446 | -320 |
| Titres de capitaux propres consolidés | / | / | / |
| Plus-values de cession | / | / | / |
| Moins-values de cession | / | / | / |
| Produits (charges) nets sur opérations de regroupement | / | / | / |
| Gains ou pertes nets sur autres actifs | -27 | -410 | -307 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Charge d'impôt courant de l'exercice : | -10 385 | -29 929 | -15 442 |
| Charge/Produit d'impôt différé | 3 859 | 4 055 | 2 770 |
| Impôts sur les bénéfices consolidés | -6 526 | -25 874 | -12 672 |
Réconciliation du taux d'impôt théorique avec le taux d'impôt constaté au 30/06/16 :
| (En milliers d'euros) | Base | Taux d'impôt |
Impôt |
|---|---|---|---|
| Résultat avant impôt | 39 253 | 34,43 % | -13 515 |
| Effets des différences permanentes | 226 | ||
| Effets des différences de taux d'imposition des entités étrangères | / | ||
| Effets des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires |
5 605 | ||
| Effets de l'imposition à taux réduit | 13 | ||
| Effets des autres éléments | 1 597 | ||
| Taux et charge effectifs d'impôt | 16,63 % | -6 526 |
Le taux d'impôt théorique est le taux d'imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l'impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 30 juin 2016.
Réconciliation du taux d'impôt théorique avec le taux d'impôt constaté au 31/12/15 :
| (En milliers d'euros) | Base | Taux d'impôt |
Impôt |
|---|---|---|---|
| Résultat avant impôt | 82 930 | 38,00 % | -31 513 |
| Effets des différences permanentes | -1 470 | ||
| Effets des différences de taux d'imposition des entités étrangères | / | ||
| Effets des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires |
5 660 | ||
| Effets de l'imposition à taux réduit | 25 | ||
| Effets des autres éléments | 1 424 | ||
| Taux et charge effectifs d'impôt | 31,20 % | -25 874 |
Le taux d'impôt théorique est le taux d'imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l'impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2015.
Réconciliation du taux d'impôt théorique avec le taux d'impôt constaté au 30/06/15 :
| (En milliers d'euros) | Base | Taux d'impôt |
Impôt |
|---|---|---|---|
| Résultat avant impôt | 45 412 | 38,00 % | -17 257 |
| Effets des différences permanentes | -643 | ||
| Effets des différences de taux d'imposition des entités étrangères | / | ||
| Effets des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires |
2 947 | ||
| Effets de l'imposition à taux réduit | 13 | ||
| Effets des autres éléments | 2 268 | ||
| Taux et charge effectifs d'impôt | 27,90 % | -12 672 |
Le taux d'impôt théorique est le taux d'imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l'impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 30 juin 2015.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 | 30/06/15 |
|---|---|---|---|
| Gains et pertes nets comptabilisés directement en |
|||
| capitaux propres non recyclables | |||
| Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi | 343 | -83 | 605 |
| Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en | |||
| capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence |
/ | / | / |
| Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en | |||
| capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en | / | / | / |
| équivalence | |||
| Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur entreprises mises en |
-118 | 28 | -209 |
| équivalence | |||
| Gains et pertes nets comptabilisés en capitaux propres | |||
| non recyclables | 225 | -55 | 396 |
| Gains et pertes nets comptabilisés directement en |
|||
| capitaux propres recyclables | |||
| Gains et pertes sur écarts de conversion | / | / | / |
| Ecart de réévaluation de la période | / | / | / |
| Transferts en résultat | / | / | / |
| Autres variations | / | / | / |
| Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente | 428 | 3 486 | -4 508 |
| Ecart de réévaluation de la période | 3 096 | 5 670 | 2 738 |
| Transferts en résultat | -2 668 | -2 184 | -7 246 |
| Autres variations | / | / | / |
| Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture | / | / | / |
| Ecart de réévaluation de la période | / | / | / |
| Transferts en résultat | / | / | / |
| Autres variations | / | / | / |
| Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en | / | / | / |
| capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence | |||
| Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur entreprises mises en |
353 | -28 | 416 |
| équivalence | |||
| Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en | |||
| capitaux propres recyclables hors entreprises mises en |
/ | / | / |
| équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux |
|||
| propres recyclables des entreprises sur activités abandonnées | / | / | / |
| Gains et pertes nets comptabilisés en capitaux propres | |||
| recyclables | 781 | 3 458 | 2 895 |
| Gains et pertes nets comptabilisés directement en |
1 006 | 3 403 | 3 291 |
| capitaux propres | |||
| Dont part Groupe | 1 006 | 3 403 | 3 291 |
| Dont participations ne donnant pas le contrôle | / | / | / |
Les données « total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres » se décomposent comme suit :
| 3 0 / 0 |
6 / 6 1 |
ia Va r |
io t n |
3 / 1 1 |
2 / 1 5 |
|||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| ( i l l ie d 'e ) En m rs ur os |
Br t u |
ô Im t p |
t d Ne ô 'im t p |
Ne t do t n t p ar g ro up e |
Br t u |
ô Im t p |
t d Ne ô 'im t p |
Ne t do t n t p ar g ro up e |
Br t u |
ô Im t p |
t d Ne ô 'im t p |
Ne t do t n t p ar g ro up e |
| és Ga in b i l is d ire t p te ta te t e s e er om en s c p c m n i la b les ta ca p ux p ro p re s n on re cy c |
||||||||||||
| ls lo Ga ins t p te tu ie ta t e i e er s a c ar su r a va n g es p os mp |
-3 4 8 5 |
1 1 9 9 |
-2 2 8 6 |
-2 2 8 6 |
3 4 3 |
-1 1 8 |
2 2 5 |
2 2 5 |
-3 8 2 8 |
1 3 1 7 |
-2 5 1 1 |
-2 5 1 1 |
| és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta e p er s co mp c me n en c ap ux la b les ho ise ise tre p ro p res no n rec y c rs en p r s m s en éq iva len u ce |
-3 8 4 5 |
9 9 1 1 |
-2 2 8 6 |
-2 2 8 6 |
3 3 4 |
8 -1 1 |
2 2 5 |
2 2 5 |
-3 8 2 8 |
3 1 1 7 |
-2 5 1 1 |
-2 5 1 1 |
| és Ga b l d ins t te ta i is ire te t i ta e p er s co mp c me n en c ap ux la b les de tre ise ise p ro p res no n re cy c s en p r s m s en éq len iva u ce |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és b l d Ga ins t p te ta i is ire te t e i ta e er s c om p c me n n c ap ux és la b les de tre ise t iv i t p ro p res n on re cy c s e n p r s s ur ac ée ba do a n nn s |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és Ga in b i l is d ire t p te ts ta te t e s e er s ne co m p c m en n i la b les ta ca ro re on re p ux p p s n cy c |
-3 8 4 5 |
1 1 9 9 |
-2 2 8 6 |
-2 2 8 6 |
3 3 4 |
-1 1 8 |
2 2 5 |
2 2 5 |
-3 8 2 8 |
1 3 1 7 |
-2 1 1 5 |
-2 1 1 5 |
| és Ga in b i l is d ire t p te ta te t e s e er s c om p c m en n i la b les ta ca p p ro p re s r ec c ux y |
||||||||||||
| éc Ga ins de ion t p te ts e er co nv er s s ur ar s |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| à fs d b le la Ga ins t p te t i isp i te e er s s ur ac on ve n |
2 0 1 5 1 |
-2 4 5 4 |
1 7 6 9 7 |
1 7 6 9 7 |
4 2 8 |
3 5 3 |
7 8 1 |
7 8 1 |
1 9 7 2 3 |
-2 8 0 7 |
1 6 9 1 6 |
1 6 9 1 6 |
| ér és Ga ins ins d iv de t p te tru ts tu e er s s me n co er re ur uv |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és à ê Ga ins i fs de in t te t ts t tre e p er s su r a c no n co an s ur é és d c |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta e p er s co mp c me n en c ap ux la b les ho ise ise tre p ro p res re cy c rs en p s m s en r , éq iva len ce u |
2 0 1 5 1 |
-2 4 5 4 |
1 7 6 9 7 |
1 7 6 9 7 |
4 2 8 |
3 5 3 |
7 8 1 |
7 8 1 |
1 9 7 2 3 |
-2 8 0 7 |
1 6 9 1 6 |
1 6 9 1 6 |
| és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta e p er s co mp c me n en c ap ux éq la b les de ise ise iva len tre p ro p res re cy c s e n p s m s e n ce r u |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta e p er s co mp c me n en c ap ux és la b les de ise iv i tre t t p ro p res rec c s en p s su ac y r r ée ba do a n nn s |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és Ga in b i l is d ire t te ta te t s e p er s co m p c m en en i la b les ta ca p ux p ro p re s r ec y c |
2 0 1 5 1 |
-2 4 5 4 |
1 7 6 9 7 |
1 7 6 9 7 |
4 2 8 |
3 5 3 |
7 8 1 |
7 8 1 |
1 9 7 2 3 |
-2 8 0 7 |
1 6 9 1 6 |
1 6 9 1 6 |
| és in b i l is d ire Ga t te ts ta te t e s e p er s ne c om p c m en n i ta ca p ux p ro p re s |
1 6 6 6 6 |
-1 2 5 5 |
1 5 4 1 1 |
1 5 4 1 1 |
7 7 1 |
2 3 5 |
1 0 0 6 |
1 0 0 6 |
8 1 5 9 5 |
-1 4 9 0 |
1 4 4 0 5 |
1 4 4 0 5 |
| 3 / 1 1 |
2 / 1 5 |
Va r |
ia io t n |
3 / 1 1 |
2 / 1 4 |
|||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| ( i l l ie d 'e ) En os m rs ur |
Br t u |
ô Im t p |
t d Ne ô 'im t p |
Ne t do t n t p ar g ro up e |
Br t u |
ô Im t p |
t d Ne ô 'im t p |
Ne t do t n t p ar g ro up e |
Br t u |
ô Im t p |
t d Ne ô 'im t p |
Ne t do t n t p ar g ro up e |
| és Ga in b i l is d ire t p te ta te t e s e er s c om p c m en n i la b les ta ca ux ro re s n on re c |
||||||||||||
| p p p cy Ga ins ie ls lo i t p te tu ta t e e er s a c ar su r a va n g es p os mp |
-3 8 2 8 |
1 3 1 7 |
-2 1 1 5 |
-2 1 1 5 |
-8 3 |
2 8 |
-5 5 |
-5 5 |
-3 7 4 5 |
1 2 8 9 |
-2 6 4 5 |
-2 6 4 5 |
| és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta e p er s co mp c me n en c ap ux la b les ho ise ise tre p ro p res no n rec c rs en p s m s en y r éq iva len ce u |
-3 8 2 8 |
1 3 1 7 |
-2 5 1 1 |
-2 5 1 1 |
-8 3 |
2 8 |
-5 5 |
-5 5 |
-3 7 4 5 |
1 2 8 9 |
-2 4 5 6 |
-2 4 5 6 |
| és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta e p er co mp me n en ap s c c ux la b les de ise ise tre p ro p res no n re en p m en cy c s r s s éq iva len u ce |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta e p er s co mp c me n en c ap ux és la b les de ise iv i tre t t p ro p res n on r ec y c s en p r s su r ac ée ba do a n nn s |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és Ga in b i l is d ire t p te ts ta te t e s e er s ne co m p c m en n i la b les ta ca p p ro p re s n on re cy c ux |
-3 8 2 8 |
1 3 1 7 |
-2 5 1 1 |
-2 5 1 1 |
-8 3 |
2 8 |
-5 5 |
-5 5 |
-3 7 4 5 |
1 2 8 9 |
-2 4 5 6 |
-2 4 5 6 |
| és in b i l is d ire Ga t p te ta te t e s e er s c om p c m en n i la b les ta ca p ux p ro p re s r ec y c |
||||||||||||
| éc Ga ins de ion t p te ts e er s s ar co nv er s ur |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| à Ga ins i fs d isp i b le la t p te t te e er s s ur ac on ve n |
1 9 7 2 3 |
-2 8 0 7 |
1 6 9 1 6 |
1 6 9 1 6 |
3 4 8 6 |
-2 8 |
3 4 5 8 |
3 4 5 8 |
1 6 2 3 7 |
-2 7 7 9 |
1 3 4 5 8 |
1 3 4 5 8 |
| ér és d de Ga ins t p te ins tru ts iv tu e er s s ur me n co uv er re |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és à ê Ga ins i fs de in t te t ts t tre e p er s su r a c no n co an s ur é és d c |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és b l d Ga ins t te ta i is ire te t i ta e p er s co mp c me n en c ap ux la b les ho tre ise ise p ro p res re cy c rs en p r s m s en , éq len iva u ce |
1 9 7 2 3 |
-2 8 0 7 |
1 6 9 1 6 |
1 6 9 1 6 |
3 4 8 6 |
-2 8 |
3 4 5 8 |
3 4 5 8 |
1 6 2 3 7 |
-2 7 7 9 |
1 3 4 5 8 |
1 3 4 5 8 |
| és b l d Ga ins t te ta i is ire te t i ta e p er s co mp c me n en c ap ux éq la b les de len tre ise ise iva p ro p res re cy c s e n p r s m s e n u ce és Ga ins b i l is d ire i t te ta te t ta |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| e p er s co mp c me n en c ap ux és la b les de ise iv i tre t t p ro p res rec c s en p s su ac y r r ée ba do a n nn s |
/ | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / | / |
| és in b i l is d ire Ga t p te ts ta te t e s e er s ne co m p c m en n i la b les ta ca p ux p ro p re s r ec y c |
1 9 7 2 3 |
8 -2 0 7 |
1 6 9 1 6 |
1 6 9 1 6 |
8 3 4 6 |
8 -2 |
8 3 4 5 |
8 3 4 5 |
1 6 2 3 7 |
-2 7 7 9 |
8 1 3 4 5 |
8 1 3 4 5 |
| és Ga in b i l is d ire t te ts ta te t e s e p er s ne c om p c m en n i ta ca p ux p ro p re s |
8 9 1 5 5 |
9 0 -1 4 |
0 1 4 4 5 |
0 1 4 4 5 |
3 0 3 4 |
/ | 3 0 3 4 |
3 0 3 4 |
2 9 2 1 4 |
9 0 -1 4 |
0 0 2 1 1 |
0 0 2 1 1 |
Le secteur d'activité de la Caisse Régionale du Morbihan est celui de la banque de proximité en France.
La clientèle du Crédit Agricole du Morbihan comprend les particuliers, les agriculteurs, les professionnels, les entreprises et les collectivités locales. Le Crédit Agricole du Morbihan commercialise toute la gamme de services bancaires et financiers : support d'épargne (monétaire, obligataire, titres), placement d'assurance-vie, distribution de crédits, offre de moyens de paiements. Il distribue également une gamme très large de produits d'assurance IARD et de prévoyance, s'ajoutant à la gamme des produits d'assurance-vie.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Actifs financiers détenus à des fins de transaction | 313 240 | 261 838 |
| Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option | 1 248 | 1 248 |
| Valeur au bilan | 314 488 | 263 086 |
| dont titres prêtés | / | / |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Instruments de capitaux propres | / | / |
| - Actions et autres titres à revenu variable | / | / |
| Titres de dettes | / | / |
| - Effets publics et valeurs assimilées | / | / |
| - Obligations et autres titres à revenu fixe | / | / |
| Prêts et créances | / | / |
| - Créances sur les établissements de crédit | / | / |
| - Créances sur la clientèle | / | / |
| - Titres reçus en pension livrée | / | / |
| - Valeurs reçues en pension | / | / |
| Instruments dérivés | 313 240 | 261 838 |
| Valeur au bilan | 313 240 | 261 838 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Instruments de capitaux propres | / | / |
| Actions et autres titres à revenu variable | / | / |
| Titres de dettes | 1 248 | 1 248 |
| Actifs représentatifs de contrats en unités de comptes | / | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | 1 248 | 1 248 |
| Prêts et créances | / | / |
| Créances sur les établissements de crédit | / | / |
| Créances sur la clientèle | / | / |
| Titres reçus en pension livrée | / | / |
| Valeurs reçues en pension | / | / |
| Valeur au bilan | 1 248 | 1 248 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Passifs financiers détenus à des fins de transaction | 9 850 | 8 145 |
| Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option | 556 456 | 509 940 |
| Valeur au bilan | 566 306 | 518 085 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Titres vendus à découvert | / | / |
| Titres donnés en pension livrée | / | / |
| Dettes représentées par un titre | / | / |
| Dettes envers les établissements de crédit | / | / |
| Dettes envers la clientèle | / | / |
| Instruments dérivés | 9 850 | 8 145 |
| Total passifs financiers détenus à des fins de transaction | 9 850 | 8 145 |
| 30/06/16 | 31/12/15 | ||||
|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Juste valeur au bilan |
Différence entre valeur comptable et montant dû à l'échéance |
Juste valeur au bilan |
Différence entre valeur comptable et montant dû à l'échéance |
|
| Dépôts et passifs subordonnés | / | / | / | / | |
| Dépôts d'établissements de crédit | / | / | / | / | |
| Autres dépôts | / | / | / | / | |
| Passifs subordonnés | / | / | / | / | |
| Titres de dettes (1) | 556 456 | 346 456 | 509 940 | 299 940 | |
| Autres passifs financiers | / | / | / | / | |
| Total passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option |
556 456 | 346 456 | 509 940 | 299 940 |
Depuis l'exercice 2007, la Caisse Régionale comptabilise ses BMTN émis structurés en « passifs financiers à la juste valeur par résultat ».
(1) La variation de la rubrique « Actifs et Passifs financiers à la juste valeur par résultat » résulte principalement de l'évolution de la valeur de marché des BMTN structurés émis et des swaps de couverture associés (+4,5 millions d'euros au 30 juin 2016 contre +8,1 million d'euros au 31 décembre 2015) au regard de l'évolution de la qualité de signature de Crédit Agricole S.A. et de la sécurisation du portefeuille des BMTN structurés.
.
| 30/06/16 | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Valeur au bilan |
Gains latents |
Pertes latentes |
Valeur au bilan |
Gains latents |
Pertes latentes |
| Effets publics et valeurs assimilées | 42 830 | 503 | / | 43 055 | 605 | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | 145 405 | 1 783 | / | 150 776 | 2 859 | / |
| Actions et autres titres à revenu variable | 7 828 | 1 626 | 92 | 7 854 | 1 625 | 69 |
| Titres de participation non consolidés (2) | 407 479 | 16 931 | 600 | 405 563 | 15 462 | 759 |
| Total des titres disponibles à la vente | 603 542 | 20 843 | 692 | 607 248 | 20 551 | 828 |
| Créances disponibles à la vente | / | / | / | / | / | / |
| Total des créances disponibles à la vente |
/ | / | / | / | / | / |
| Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1) |
603 542 | 20 843 | 692 | 607 248 | 20 551 | 828 |
| Impôts | / | -2 566 | -112 | / | -2 915 | -108 |
| Gains et pertes sur actifs financiers disponibles à la vente comptabilisés directement en capitaux propres (net d'impôt) |
603 542 | 18 277 | 580 | 607 248 | 17 636 | 720 |
(1) dont 21,45 millions d'euros au 30 juin 2016 comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances contre 21,41 millions d'euros au 31 décembre 2015.
(2) Par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 332 657 milliers d'euros au 30 juin 2016.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Etablissements de crédit | ||
| Titres de dettes | ||
| - Titres non cotés sur un marché actif | 5 910 | 5 810 |
| Prêts et avances | ||
| - Comptes et prêts | 25 676 | 14 121 |
| dont comptes ordinaires débiteurs sains | 3 016 | 8 420 |
| dont comptes et prêts au jour le jour sains | / | / |
| - Valeurs reçues en pension | / | / |
| - Titres reçus en pension livrée (1) | 33 406 | / |
| - Prêts subordonnés | / | / |
| Autres prêts et créances | / | / |
| Valeur brute | 64 992 | 19 931 |
| Dépréciations | 787 | 787 |
| Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit |
64 205 | 19 144 |
| Opérations internes au Crédit Agricole | ||
| Titres de dettes | ||
| - Titres non cotés sur un marché actif | / | / |
| Prêts et avances | ||
| - Comptes ordinaires | 118 775 | 197 554 |
| - Comptes et avances à terme (2) | 326 426 | 620 885 |
| - Prêts subordonnés (3) | / | 20 704 |
| Valeur brute | 445 201 | 839 143 |
| Dépréciations | / | / |
| Valeur nette des prêts et créances internes au Crédit Agricole | 445 201 | 839 143 |
| Valeur au bilan | 509 406 | 858 287 |
(1) Au cours du 1er semestre, la Caisse Régionale a procédé à une opération de cession temporaire de titres (reporeverse/repo) sur une période d'1 an dans le cadre de la gestion de son ratio LCR.
(2)La variation de cet agrégat est liée à la tombée d'échéance d'un accord de refinancement auprès de Crédit Agricole S.A. pour un montant de 295 millions d'euros.
(3)Au cours du 1er semestre, Crédit Agricole S.A. a procédé au remboursement anticipé total du Prêt subordonné à durée indéterminée émis en 2001.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Opérations avec la clientèle | ||
| Titres de dettes | ||
| - Titres non cotés sur un marché actif | 373 | 367 |
| Prêts et avances | ||
| - Créances commerciales | 12 485 | 14 656 |
| - Autres concours à la clientèle | 7 107 712 | 7 081 402 |
| - Titres reçus en pension livrée | / | / |
| - Prêts subordonnés | 128 | 128 |
| - Créances nées d'opérations d'assurance directe | / | / |
| - Créances nées d'opérations de réassurance | / | / |
| - Avances en comptes courants d'associés | 25 206 | 9 404 |
| - Comptes ordinaires débiteurs | 38 515 | 41 381 |
| Valeur brute | 7 184 419 | 7 147 338 |
| Dépréciations | 214 773 | 203 790 |
| Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle |
6 969 646 | 6 943 548 |
| Opérations de location-financement | ||
| Location-financement immobilier | / | / |
| Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées |
/ | / |
| Valeur brute | / | / |
| Dépréciations | / | / |
| Valeur nette des opérations de location financement |
/ | / |
| Valeur au bilan | 6 969 646 | 6 943 548 |
Au 30 juin 2016, la Caisse Régionale du Morbihan a donné en garantie à Crédit Agricole S.A. 1 743,1 millions d'euros de créances dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 802,0 millions d'euros au 31 décembre 2015.
La Caisse Régionale du Morbihan conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.
| 30/06/16 | ||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | dont encours bruts dépréciés Encours bruts sur base individuelle |
Dépréciations individuelles |
Dépréciations collectives |
Total | ||||
| Administrations générales | 563 884 | / | / | / | 563 884 | |||
| Banques centrales | / | / | / | / | / | |||
| Etablissements de crédit | 64 992 | 787 | -787 | 64 205 | ||||
| Grandes entreprises | 1 323 563 | 79 396 | -65 784 | -30 000 | 1 227 779 | |||
| Clientèle de détail | 5 296 972 | 143 687 | -70 733 | -48 256 | 5 177 983 | |||
| Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) |
7 249 411 | 223 870 | -137 304 | -78 256 | 7 033 851 |
Les opérations internes au Crédit Agricole s'élèvent à 445 201 milliers d'euros.
(1) Dont encours restructurés pour 132 052 milliers d'euros.
| 31/12/15 | ||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Encours bruts | dont encours bruts dépréciés sur base individuelle |
Dépréciations individuelles |
Dépréciations collectives |
Total | |||
| Administrations générales | 570 552 | / | / | / | 570 552 | |||
| Banques centrales | / | / | / | / | / | |||
| Etablissements de crédit | 19 931 | 787 | -787 | / | 19 144 | |||
| Grandes entreprises | 1 383 068 | 82 049 | -59 062 | -29 083 | 1 294 923 | |||
| Clientèle de détail | 5 193 718 | 137 979 | -78 217 | -37 428 | 5 078 073 | |||
| Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) |
7 167 269 | 220 815 | -138 066 | -66 511 | 6 962 692 |
Les opérations internes au Crédit Agricole s'élèvent à 839 143 milliers d'euros.
(1) Dont encours restructurés pour 30 454 milliers d'euros.
| (En milliers d'euros) | 31/12/15 | Variations de périmètre |
Dotations | Reprises et utilisa tions |
Ecart de conversion |
Autres mouve ments |
30/06/16 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Créances sur les établissements de crédit |
787 | / | / | / | / | / | 787 |
| Créances sur la clientèle | 203 790 | / | 48 401 | 37 418 | / | / | 214 773 |
| dont dépréciations sur base collective |
66 511 | / | 20 297 | 8 552 | / | / | 78 256 |
| Opérations de location financement |
/ | / | / | / | / | / | / |
| Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance |
/ | / | / | / | / | / | / |
| Actifs financiers disponibles à la vente |
21 413 | / | 35 | / | / | / | 21 448 |
| Autres actifs financiers | 534 | / | 273 | 242 | / | / | 565 |
| Total dépréciations des actifs financiers |
226 524 | / | 48 709 | 37 660 | / | / | 237 573 |
| (En milliers d'euros) | 31/12/14 | Variation de périmètre |
Dotations | Reprises/ Utilisa tions |
Ecart de conversion |
Autres mouve ments |
31/12/15 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Créances sur les établissements de crédit |
787 | / | / | / | / | / | 787 |
| Créances sur la clientèle | 191 339 | / | 72 369 | 59 918 | / | / | 203 790 |
| dont dépréciations sur base collective |
51 208 | / | 23 235 | 7 932 | / | / | 66 511 |
| Opérations de location financement |
/ | / | / | / | / | / | / |
| Titres détenus jusqu'à l'échéance |
/ | / | / | / | / | / | / |
| Actifs disponibles à la vente | 20 839 | / | 577 | 3 | / | / | 21 413 |
| Autres actifs financiers | 442 | / | 444 | 352 | / | / | 534 |
| Total des dépréciations des actifs financiers |
213 407 | / | 73 390 | 60 273 | / | / | 226 524 |
La Caisse Régionale du Morbihan n'est pas exposée au risque souverain sur les pays sous surveillance.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Etablissements de crédit | ||
| Comptes et emprunts | 3 085 | 285 |
| dont comptes ordinaires créditeurs | 3 084 | 284 |
| dont comptes et emprunts au jour le jour | / | / |
| Valeurs données en pension | / | / |
| Titres donnés en pension livrée (1) | 33 415 | / |
| Total | 36 500 | 285 |
| Opérations internes au Crédit Agricole | ||
| Comptes ordinaires créditeurs | 59 | 42 178 |
| Comptes et avances à terme | 4 502 005 | 4 708 963 |
| Total | 4 502 064 | 4 751 141 |
| Valeur au bilan | 4 538 564 | 4 751 426 |
(1) Au cours du 1er semestre, la Caisse Régionale a procédé à une opération de cession temporaire de titres (reporeverse/repo) sur une période d'1 an dans le cadre de la gestion de son ratio LCR.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Comptes ordinaires créditeurs | 1 348 802 | 1 317 669 |
| Comptes d'épargne à régime spécial | 30 319 | 25 484 |
| Autres dettes envers la clientèle | 734 290 | 774 582 |
| Titres donnés en pension livrée | / | / |
| Dettes nées d'opérations d'assurance directe | / | / |
| Dettes nées d'opérations de réassurance | / | / |
| Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques |
523 | 523 |
| Valeur au bilan | 2 113 934 | 2 118 258 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Dettes représentées par un titre | ||
| Bons de caisse | 142 | 141 |
| Titres du marché interbancaire | / | / |
| Titres de créances négociables | 134 002 | 183 209 |
| Emprunts obligataires | / | / |
| Autres dettes représentées par un titre | / | / |
| Valeur au bilan | 134 144 | 183 350 |
| Dettes subordonnées | ||
| Dettes subordonnées à durée déterminée | 80 523 | 81 361 |
| Dettes subordonnées à durée indéterminée | / | / |
| Dépôt de garantie à caractère mutuel | / | / |
| Titres et emprunts participatifs | / | / |
| Valeur au bilan | 80 523 | 81 361 |
L'activité de toute banque est de faire évoluer continuellement le volume et la nature de ses passifs au regard de l'évolution de ses emplois.
Les dettes subordonnées entrent donc dans le cadre de la gestion des fonds propres prudentiels tout en contribuant au refinancement de l'ensemble des activités de la Caisse Régionale du Morbihan.
La Caisse Régionale du Morbihan n'a pas procédé à l'émission de dettes subordonnées au titre du 1er semestre 2016.
La Caisse Régionale du Morbihan n'est pas concernée par ce type d'opération.
| (En milliers d'euros) | 31/12/15 | Variations de périmètre |
Augmen tations (Acquisi tions) |
Diminutions (Cessions et échéances) |
Ecart de conver sion |
Autres mouve ments |
30/06/16 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Valeur brute | 2 981 | / | 6 | / | / | 16 | 3 003 |
| Amortissements et dépréciations |
-970 | / | -43 | / | / | / | -1 013 |
| Valeur au bilan | 2 011 | / | -37 | / | / | 16 | 1 990 |
La valeur de marché des immeubles de placement correspond au coût amorti.
| (En milliers d'euros) | 31/12/14 | Variations de périmètre |
Augmen tations (Acquisi tions) |
Diminutions (Cessions et échéances) |
Ecart de conver sion |
Autres mouve ments |
31/12/15 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Valeur brute | 3 114 | / | 204 | -234 | / | -103 | 2 981 |
| Amortissements et dépréciations |
-967 | / | -92 | 89 | / | / | -970 |
| Valeur au bilan | 2 147 | / | 112 | -145 | / | -103 | 2 011 |
| (En milliers d'euros) | 31/12/15 | Variations de périmètre |
Augmen tations (Acquisi tions) |
Diminutions (Cessions et échéances) |
Ecart de conver sion |
Autres mouve ments |
30/06/16 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Immobilisations | |||||||
| corporelles Valeur brute |
89 333 | / | 2 431 | -1 096 | / | -2 | 90 666 |
| Amortissements et dépréciations |
-43 428 | / | -1 911 | 1 034 | / | / | -44 305 |
| Valeur au bilan | 45 905 | / | 520 | -62 | / | -2 | 46 361 |
| Immobilisations incorporelles |
|||||||
| Valeur brute | 1 024 | / | 48 | / | / | / | 1 072 |
| Amortissements et dépréciations |
-242 | / | -37 | / | / | / | -279 |
| Valeur au bilan | 782 | / | 11 | / | / | / | 793 |
| (En milliers d'euros) | 31/12/14 | Variations de périmètre |
Augmen tations (Acquisi tions) |
Diminutions (Cessions et échéances) |
Ecart de conver sion |
Autres mouve ments |
31/12/15 |
| Immobilisations | |||||||
| corporelles Valeur brute |
91 160 | / | 3 120 | -5 048 | / | 101 | 89 333 |
| Amortissements et dépréciations |
-43 983 | / | -4 009 | 4 564 | / | / | -43 428 |
| Valeur au bilan | 47 177 | / | -889 | -484 | / | 101 | 45 905 |
| Immobilisations incorporelles |
|||||||
| Valeur brute Amortissements et |
6 484 | / | 95 | -5 555 | / | / | 1 024 |
La Caisse Régionale du Morbihan n'est pas concernée par ce type d'opérations.
Valeur au bilan 736 / 46 / / / 782
| ( i l l ier d 'eu ) En m s ro s |
3 1 / 1 2 / 15 |
iat ion Va r s de ér èt im p re |
ion Do ta t s |
Re ise s ut p r ée i l is s |
Re ise p r s n on ée i l is ut s |
Ec de t ar ion co nv er s |
Au tre s mo ts uv em en |
3 0 / 0 6 / 1 6 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| és ép à és is ion in de i de d la i Pro t t tra te v s p ou r mn ar re co ng , èr é- é de f de da l les du l in i t tra i te i tra i c ar r e e p r re s, m va ér à ég à ( l 'em lo ta t ieu i, im ta t ion av an g es p os rs p r es p res s é d f ) ( ) in ies 1 |
5 8 0 7 |
/ | 5 8 3 |
8 3 |
/ | / | -3 4 3 |
5 9 6 4 |
| éc Pro is ion isq d 'ex ion de t ts s p ou ue s s e ng ag em en p ar v r r u ig tu s na re |
2 4 8 5 |
/ | 3 6 5 |
3 1 |
1 6 2 |
/ | / | 2 6 5 7 |
| f Pro is ion isq isc v s p ou r r ue s au x |
5 6 |
/ | / | 4 2 |
/ | / | / | 1 4 |
| is ion isq de l i ig Pro t v s p ou r r ue s es |
7 | / | / | / | / | / | / | 7 |
| Pro is ion isq G I E d 'in iss t t s p ou ue s s ve s em en v r r ur |
/ | / | / | / | / | / | / | / |
| Pro is ion t ic ip t ion v s s ur p ar a s |
/ | / | / | / | / | / | / | / |
| ér ls Pro is ion isq t ion v s p ou r r ue s o p a ne |
3 9 3 4 |
/ | 8 2 1 |
3 3 2 |
9 3 3 |
/ | / | 2 0 4 1 |
| ép les du log ( 2 ) Pro vis ion isq its t s p ou ue s s p ro arg ne em en r r ur |
1 0 5 1 3 |
/ | 3 0 0 0 |
/ | / | / | / | 1 3 5 1 3 |
| ô Pro is ion im ts v s p ou r p |
/ | / | / | / | / | / | / | / |
| is ion ion Pro tru tu t v s p ou r r es c ra s |
/ | / | / | / | / | / | / | / |
| Au is ion isq ha ( 3 ) tre t c s p rov s p ou ue s e rg es r r |
1 3 2 5 4 |
/ | 5 5 0 5 |
1 6 5 6 |
5 9 5 2 |
/ | / | 1 1 1 5 1 |
| To l ta |
3 5 6 1 5 |
/ | 9 6 3 5 |
2 1 4 4 |
7 0 4 7 |
/ | -3 4 3 |
3 5 7 1 6 |
(1) Les « autres mouvements » correspondent aux écarts actuariels sur avantages postérieurs à l'emploi régime à prestations définies, enregistrés en capitaux propres.
(2) Le détail de la provision épargne logement est présenté ci-après.
(3) La dotation aux provisions intègre principalement des provisions sur créances clientèle.
| ( i l l ier d 'eu ) En m s ro s |
/ / 3 1 1 2 14 |
Va iat ion r s de ér èt im p re |
ion Do ta t s |
ise Re s ut p r ée i l is s |
ise Re p s n on r ée i l is ut s |
de Ec t ar ion co nv er s |
Au tre s mo ts uv em en |
/ / 3 1 1 2 15 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| és ép à és Pro is ion in de i de d la i t t tra te s p ou mn ar re co ng v r , èr é- é de f in de i i da i l les du i l t tra te tra c ar e e p re s, m va r r ér à ég à ( ieu l 'em lo i, im ion ta t ta t av an g es p os rs p es p res s r é d f in ies ) ( 1 ) |
5 9 0 9 |
/ | 8 | 7 1 |
1 9 |
/ | -2 0 |
5 8 0 7 |
| éc d 'ex de Pro is ion isq t ion ts v s p ou r r ue s u s e ng ag em en p ar ig tu s na re |
2 3 7 7 |
/ | 1 4 6 9 |
/ | 1 3 6 1 |
/ | / | 2 4 8 5 |
| Pro is ion isq f isc s p ou ue s au v r r x |
5 8 |
/ | 5 3 |
/ | 5 5 |
/ | / | 5 6 |
| de l Pro is ion isq i t ig v s p ou r r ue s es |
7 | / | / | / | / | / | / | 7 |
| G d 'in Pro is ion isq I E t iss t v s p ou r r ue s s ur ve s em en |
/ | / | / | / | / | / | / | / |
| Pro is ion ic ip ion t t s s p ar a s v ur |
2 3 6 |
/ | 6 | 2 3 5 |
7 | / | / | / |
| ér ls Pro is ion isq t ion v s p ou r r ue s o p a ne |
2 8 1 0 |
/ | 1 6 0 4 |
6 0 4 |
3 1 7 |
/ | / | 3 4 9 3 |
| ép les du log Pro vis ion isq its t s p ou r r ue s s ur p ro arg ne em en |
1 0 4 5 3 |
/ | 6 0 |
/ | / | / | / | 1 0 5 1 3 |
| ô Pro is ion im ts v s p ou r p |
/ | / | / | / | / | / | / | / |
| Pro is ion tru tu t ion v s p ou r r es c ra s |
/ | / | / | / | / | / | / | / |
| ha ( 2 ) Au tre is ion isq t c s p rov s p ou r r ue s e rg es |
2 0 1 5 4 |
/ | 2 3 3 5 |
2 9 5 7 |
9 6 1 7 |
/ | / | 3 2 1 5 4 |
| To l ta |
4 2 0 0 4 |
/ | 8 4 3 3 |
3 8 6 7 |
1 0 9 3 5 |
/ | -2 0 |
3 5 6 1 5 |
(1) Les « autres mouvements » correspondent aux écarts actuariels sur avantages postérieurs à l'emploi régime à prestations définies, enregistrés en capitaux propres et détaillés
en note 7.4 des comptes annuels consolidés au 31 décembre 2015.
(2) Le détail de la provision épargne logement est présenté ci-après.
(3) La dotation aux provisions intègre principalement des provisions sur créances clientèle.
| 30/06/16 | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Encours | Encours crédits en vie |
Provision | |||
| (phase épargne) |
octroyés (phase crédit) |
Crédit | Engage ments |
Epargne | Total | |
| Plans d'épargne logement : | ||||||
| Ancienneté de moins de 4 ans | 559 422 | / | / | 5 988 | 5 988 | |
| Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans |
82 869 | / | / | 468 | 468 | |
| Ancienneté de plus de 10 ans | 994 093 | -106 | / | 7 163 | 7 057 | |
| Total des plans d'épargne logement | 1 636 384 | 6 750 | -106 | / | 13 619 | 13 513 |
| Total des comptes épargne logement | 184 411 | 28 214 | / | / | / | / |
| Total Encours collectés au titre des contrats épargne logement |
1 820 795 | 34 964 | -106 | / | 13 619 | 13 513 |
| 31/12/15 | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| (En milliers d'euros) | Encours | Encours crédits en vie |
Provision | ||||
| (phase épargne) |
octroyés (phase crédit) |
Crédit | Engage ments |
Epargne | Total | ||
| Plan d'épargne logement : | |||||||
| Ancienneté de moins de 4 ans | 544 715 | / | / | 2 988 | 2 988 | ||
| Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans |
80 690 | / | / | 468 | 468 | ||
| Ancienneté de plus de 10 ans | 967 958 | -106 | / | 7 163 | 7 057 | ||
| Total des plans d'épargne logement | 1 593 363 | 8 115 | -106 | / | 10 619 | 10 513 | |
| Total des comptes épargne logement | 189 139 | 33 437 | / | / | / | / | |
| Total encours collectés au titre des contrats épargne logement |
1 782 502 | 41 553 | -106 | / | 10 619 | 10 513 |
L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007. Les encours de collecte sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2015 pour les données au 31 décembre 2015 et à fin mai 2016 pour les données au 30 juin 2016.
Variation de la provision :
| (En milliers d'euros) | 31/12/15 | Dotations | Reprises | Autres mouve ments |
30/06/16 |
|---|---|---|---|---|---|
| Plans d'épargne logement | 10 513 | 3 000 | / | / | 13 513 |
| Comptes épargne logement | / | / | / | / | / |
| Total Provision au titre des contrats épargne logement |
10 513 | 3 000 | / | / | 13 513 |
Compte tenu de l'évolution attendue des paramètres du Groupe sur cet exercice, la Caisse Régionale du Morbihan a opté pour son anticipation en constituant une dotation dès le 30 juin 2016.
La Caisse Régionale du Morbihan est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code Monétaire et Financier relatifs au Crédit Agricole, aux articles L. 231- 1 et suivants du Code de Commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.
Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d'Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d'Associés (CCA).
Conformément aux dispositions de l'IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l'entité dispose d'un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.
La cession des parts sociales étant soumise à l'agrément du Conseil d'Administration de la Caisse
Régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.
Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.
A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l'actif net de la société dans la proportion du capital qu'ils représentent.
Les CCI sont émis au profit de titulaires n'ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables.
Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse Régionale et des Caisses Locales qui lui sont affiliées.
| Répartition du capital de la Caisse Régionale |
Nombre de titres au 31/12/15 |
Nombre de titres émis |
Nombre de titres rembour sés |
Nombre de titres au 30/06/16 |
% du capital |
% des droits de vote |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Certificats Coopératifs d'Investissement (CCI) |
1 621 739 | / | / | 1 621 739 | 30,86 | / |
| Dont part du public | 1 132 995 | / | / | 1 123 671 | 21,38 | / |
| Dont part Crédit Agricole S.A. | 480 799 | / | / | 480 799 | 9,15 | / |
| Dont part auto-détenue | 7 945 | / | / | 17 269 | 0,33 | / |
| Certificats Coopératifs d'Associés (CCA) |
876 760 | / | / | 876 760 | 16,68 | / |
| Dont part du public | / | / | / | / | / | / |
| Dont part Crédit Agricole S.A. | 876 760 | / | / | 876 760 | 16,68 | / |
| Parts Sociales | 2 756 782 | / | / | 2 756 782 | 52,46 | 100 |
| Dont 44 Caisses Locales | 2 756 691 | / | / | 2 756 691 | 52,46 | 92,05 |
| Dont 18 administrateurs de la Caisse Régionale |
90 | / | / | 90 | / | 7,53 |
| Dont Crédit Agricole S.A. | 1 | / | / | 1 | / | 0,42 |
| Total | 5 255 281 | / | / | 5 255 281 | 100 | 100 |
La valeur nominale des titres est de 15,25 euros et le montant total du capital est de 80,14 millions d'euros.
Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d'actions ordinaires de l'entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d'actions ordinaires par le nombre moyen d'actions ordinaires en circulation.
Ainsi qu'il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse Régionale du Morbihan sont composés de parts sociales, de Certificats Coopératifs d'Investissement et de Certificats Coopératifs d'Associés.
Conformément aux dispositions de l'article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publié par le ministre chargé de l'économie.
La rémunération des Certificats Coopératifs d'Investissement et des Certificats Coopératifs d'Associés est quant à elle fixée annuellement par l'Assemblée Générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.
Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu'aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action sont inappropriées.
Extrait des résolutions approuvées à l'Assemblée Générale du Crédit Agricole du Morbihan le 24 mars 2016 :
Le montant de rémunération accordée est le suivant :
| (En euros) | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 |
|---|---|---|---|---|
| Certificats Coopératifs d'Investissement (CCI) | 4 201 815,80 | 3 847 403,20 | 3 920 419,30 | 3 065 086,71 |
| Certificats Coopératifs d'Associés (CCA) | 2 165 597,20 | 2 016 548,00 | 2 086 688,80 | 1 657 076,40 |
| Parts Sociales | 1 168 737,73 | 1 034 206,77 | 794 573,49 | 449 837,40 |
| Total | 7 536 150,73 | 6 898 157,97 | 6 801 681,59 | 5 172 000,51 |
La rémunération versée par la Caisse Régionale du Morbihan est la suivante :
| Année de rattachement |
Par CCI | Par CCA | Par part sociale |
|---|---|---|---|
| 2012 | 2,47 € | 2,47 € | 2,78 % |
| 2013 | 2,30 € | 2,30 € | 2,46 % |
| 2014 | 2,38 € | 2,38 € | 1,89 % |
| 2015 | 1,89 € | 1,89 € | 1,07 % |
La Caisse Régionale du Morbihan n'a pas procédé à l'émission d'instruments financiers subordonnés et supersubordonnés à durée indéterminée.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| 1- Engagements donnés : | 1 400 765 | 1 348 295 |
| Engagements de financement : | 740 584 | 699 915 |
| Engagements en faveur des établissements de crédit | 10 472 | 33 212 |
| Engagements en faveur de la clientèle | 730 112 | 666 703 |
| Ouverture de crédits confirmés | 416 997 | 367 307 |
| Ouverture de crédits documentaires | 3 068 | 866 |
| Autres ouvertures de crédits confirmés | 413 929 | 366 441 |
| Autres engagements en faveur de la clientèle | 313 115 | 299 396 |
| Engagements de garantie : | 660 181 | 648 380 |
| Engagements d'ordre d'établissements de crédit | 449 473 | 449 481 |
| Confirmations d'ouverture de crédits documentaires | / | / |
| Autres garanties (1) | 449 473 | 449 481 |
| Engagements d'ordre de la clientèle | 210 708 | 198 899 |
| Cautions immobilières | 32 554 | 19 119 |
| Autres garanties d'ordre de la clientèle | 178 154 | 179 780 |
| 2 - Engagements reçus : | 1 606 828 | 1 580 503 |
| Engagements de financement : | 90 091 | 60 945 |
| Engagements reçus des établissements de crédit | 90 091 | 60 945 |
| Engagements reçus de la clientèle | / | / |
| Engagements de garantie : | 1 516 737 | 1 519 558 |
| Engagements reçus des établissements de crédit | 129 433 | 116 077 |
| Engagements reçus de la clientèle | 1 387 304 | 1 403 481 |
| Garanties reçues des administrations publiques et assimilées | 137 668 | 134 001 |
| Autres garanties reçues (2) | 1 249 636 | 1 269 480 |
(1) Dans le cadre du dispositif switch mis en place le 23 décembre 2011 et complété par un avenant signé le 19 décembre 2013 (cf comptes annuels consolidés au 31 décembre 2015 - Cadre général - paragraphe « garanties spécifiques apportées par les Caisses Régionales à Crédit Agricole S.A. »), la Caisse Régionale a apporté à Crédit Agricole S.A. un montant total de garanties de 449 millions d'euros.
(2) Cet agrégat correspond à des garanties reçues de CAMCA au titre des crédits à l'habitat aux particuliers.
| (en milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Valeur comptable des actifs financiers remis en | / | / |
| garantie (dont actifs transférés) Titres et créances apportés en garanties des dispositifs de |
||
| refinancement (Banque de France, CRH …) | 1 743 085 | 1 801 981 |
| Titres prêtés | / | / |
| Dépôts de garantie sur opérations de marché | / | / |
| Autres dépôts de garantie | / | / |
| Titres et valeurs donnés en pension (1) | 33 419 | / |
| Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie |
1 776 504 | 1 801 981 |
| Juste valeur des instruments reçus en garantie | ||
| réutilisables et réutilisés | / | / |
| Titres empruntés | / | / |
| Titres et valeurs reçus en pension (1) | 33 399 | / |
| Titres vendus à découvert | / | / |
| Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés |
33 399 | / |
(1) Au cours du 1er semestre, la Caisse Régionale a procédé à une opération de cession temporaire de titres (reporeverse/repo) sur une période d'1 an dans le cadre de la gestion de son ratio LCR.
Les créances apportées en garantie à Crédit Agricole S.A. par la Caisse Régionale du Morbihan sont détaillées en note 5.3.
Comme les exercices précédents, la Caisse Régionale du Morbihan n'a pas opéré au 1er semestre 2016 de reclassement au titre de l'amendement de la norme IAS39.
Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation.
| (En milliers d'euros) | Valeur au bilan au 30/06/16 |
Juste valeur au 30/06/16 |
Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : |
Valorisation fondée sur des données observables : |
Valorisation fondée sur des données non observables : |
|---|---|---|---|---|---|
| Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | |||
| Actifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan : |
|||||
| Prêts et créances | 7 453 905 | 7 570 134 | / | 434 979 | 7 135 155 |
| Créances sur les établissements de crédit |
509 406 | 434 979 | / | 434 979 | / |
| Comptes ordinaires et prêts JJ | 121 791 | 121 791 | / | 121 791 | / |
| Comptes et prêts à terme | 349 086 | 274 757 | / | 274 757 | / |
| Valeurs reçues en pension | / | / | / | / | / |
| Titres reçus en pension livrée | 33 406 | 33 399 | / | 33 399 | / |
| Prêts subordonnés | / | / | / | / | / |
| Titres non cotés sur un marché actif |
5 123 | 5 032 | / | 5 032 | / |
| Autres prêts et créances | / | / | / | / | / |
| Créances sur la clientèle | 6 944 499 | 7 135 155 | / | / | 7 135 155 |
| Créances commerciales | 12 485 | 12 485 | / | / | 12 485 |
| Autres concours à la clientèle | 6 907 500 | 7 084 132 | / | / | 7 084 132 |
| Titres reçus en pension livrée | / | / | / | / | / |
| Prêts subordonnés | / | 128 | / | / | 128 |
| Titres non cotés sur un marché actif |
373 | 331 | / | / | 331 |
| Créances nées d'opérations d'assurance directe |
/ | / | / | / | / |
| Créances nées d'opérations de réassurance |
/ | / | / | / | / |
| Avances en comptes courants d'associés |
6 | / | / | / | / |
| Comptes ordinaires débiteurs | 24 135 | 38 079 | / | / | 38 079 |
| Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance |
129 068 | 141 133 | 141 133 | / | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | 63 344 | 67 974 | 67 974 | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe |
65 724 | 73 159 | 73 159 | / | / |
| Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée |
7 582 973 | 7 711 267 | 141 133 | 434 979 | 7 135 155 |
| (En milliers d'euros) | Valeur au bilan au 31/12/15 |
Juste valeur au 31/12/15 |
Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : |
Valorisation fondée sur des données observables : |
Valorisation fondée sur des données non observables : |
|---|---|---|---|---|---|
| Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | |||
| Actifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan : |
|||||
| Prêts et créances | 7 801 835 | 7 767 424 | / | 669 848 | 7 097 576 |
| Créances sur les établissements de crédit |
858 287 | 669 848 | / | 669 848 | / |
| Comptes ordinaires et prêts JJ | 205 974 | 8 420 | / | 8 420 | / |
| Comptes et prêts à terme | 626 586 | 635 607 | / | 635 607 | / |
| Valeur reçues en pension | / | / | / | / | / |
| Titres reçus en pension livrée | / | / | / | / | / |
| Prêts subordonnés | 20 704 | 20 696 | / | 20 696 | / |
| Titres non cotés sur un marché | 5 023 | 5 125 | / | 5 125 | / |
| actif Autres prêts et créances |
/ | / | / | / | / |
| Créances sur la clientèle | 6 943 548 | 7 097 576 | / | / | 7 097 576 |
| Créances commerciales | 14 656 | 14 656 | / | / | 14 656 |
| Autres concours à la clientèle | 6 893 696 | 7 032 220 | / | / | 7 032 220 |
| Titres reçus en pension livrée | / | / | / | / | / |
| Prêts subordonnés | / | 128 | / | / | 128 |
| Titres non cotés sur un marché actif |
367 | 346 | / | / | 346 |
| Créances nées d'opérations d'assurance directe |
/ | / | / | / | / |
| Créances nées d'opérations de réassurance |
/ | / | / | / | / |
| Avances en comptes courants d'associés |
9 404 | 9 303 | / | / | 9 303 |
| Comptes ordinaires débiteurs | 25 425 | 40 923 | / | / | 40 923 |
| Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance |
128 530 | 140 411 | 140 411 | / | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | 62 786 | 67 522 | 67 522 | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe |
65 744 | 72 889 | 72 889 | / | / |
| Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée |
7 930 365 | 7 907 835 | 140 411 | 669 848 | 7 097 576 |
| (En milliers d'euros) | Valeur au bilan au 30/06/16 |
Juste valeur au 30/06/16 |
Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 |
Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 |
Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 |
|---|---|---|---|---|---|
| Passifs financiers non évalués | |||||
| à la juste valeur au bilan : | |||||
| Dettes envers les établissements de crédit |
4 538 564 | 4 535 902 | / | 4 535 902 | / |
| Comptes ordinaires et emprunts JJ |
3 139 | 3 084 | / | 3 084 | / |
| Comptes et emprunts à terme | 4 502 006 | 4 499 419 | / | 4 499 419 | / |
| Valeurs données en pension | / | / | / | / | / |
| Titres donnés en pension livrée | 33 419 | 33 399 | / | 33 399 | / |
| Dettes envers la clientèle | 2 113 934 | 2 105 014 | / | 2 105 014 | / |
| Comptes ordinaires créditeurs | 1 348 802 | 1 348 686 | / | 1 348 686 | / |
| Comptes d'épargne à régime spécial |
30 319 | 30 319 | / | 30 319 | / |
| Autres dettes envers la clientèle | 734 813 | 726 009 | / | 726 009 | / |
| Titres donnés en pension livrée | / | / | / | / | / |
| Dettes nées d'opérations |
/ | / | / | / | / |
| d'assurance directe Dettes nées d'opérations de |
|||||
| réassurance Dettes pour dépôts d'espèces |
/ | / | / | / | / |
| reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques |
/ | / | / | / | / |
| Dettes représentées par un titre |
134 144 | 134 135 | / | 134 135 | / |
| Dettes subordonnées | 80 523 | 79 800 | / | 79 800 | / |
| Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée |
6 867 165 | 6 854 851 | / | 6 854 851 | / |
| (En milliers d'euros) | Valeur au bilan au 31/12/15 |
Juste valeur au 31/12/15 |
Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 |
Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 |
Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 |
|---|---|---|---|---|---|
| Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan : |
|||||
| Dettes envers les établissements de crédit Comptes ordinaires et emprunts |
4 751 426 | 4 748 167 | / | 4 748 167 | / |
| JJ Comptes et emprunts à terme Valeur données en pension Titres donnés en pension livrée |
42 463 4 708 963 / / |
42 408 4 705 759 / / |
/ / / / |
42 408 4 705 759 / / |
/ / / / |
| Dettes envers la clientèle Comptes ordinaires créditeurs Comptes d'épargne à régime spécial Autres dettes envers la clientèle Titres donnés en pension livrée Dettes nées d'opérations d'assurance directe Dettes nées d'opérations de réassurance Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques |
2 118 258 1 317 669 25 484 775 105 / / / / |
1 982 422 1 317 566 25 484 639 372 / / / / |
/ / / / / / / / |
1 982 422 1 317 566 25 484 639 372 / / / / |
/ / / / / / / / |
| Dettes représentées par un titre |
183 350 | 183 537 | / | 183 537 | / |
| Dettes subordonnées | 81 361 | 80 000 | / | 80 000 | / |
| Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée |
7 134 395 | 6 994 126 | / | 6 994 126 | / |
Les montants sont présentés y compris créances rattachées et nets de dépréciation.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : |
Valorisation fondée sur des données observables : |
Valorisation fondée sur des données non observables : |
|---|---|---|---|---|
| Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | ||
| Actifs financiers détenus à des fins de transaction : |
313 240 | / | 313 240 | / |
| Créances sur les établissements de crédit | / | / | / | / |
| Créances sur la clientèle | / | / | / | / |
| Titres reçus en pension livrée | / | / | / | / |
| Valeurs reçues en pension | / | / | / | / |
| Titres détenus à des fins de transaction | / | / | / | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | / | / | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | / | / | / | / |
| Actions et autres titres à revenu variable | / | / | / | / |
| Instruments dérivés | 313 240 | / | 313 240 | / |
| Actifs financiers à la juste valeur par résultat | 1 248 | / | 1 248 | / |
| sur option : | ||||
| Créances sur les établissements de crédit | / | / | / | / |
| Créances sur la clientèle | / | / | / | / |
| Actifs représentatifs de contrats en unités de compte |
/ | / | / | / |
| Valeurs reçues en pension | / | / | / | / |
| Titres à la juste valeur par résultat sur option | 1 248 | / | 1 248 | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | / | / | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | 1 248 | / | 1 248 | / |
| Actions et autres titres à revenu variable | / | / | / | / |
| Actifs financiers disponibles à la vente : | 603 542 | 42 929 | 560 613 | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | 42 830 | 42 830 | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | 145 405 | / | 145 405 | / |
| Actions et autres titres à revenu variable (1) | 415 307 | 99 | 415 208 | / |
| Créances disponibles à la vente | / | / | / | / |
| Instruments dérivés de couverture | 512 | / | 512 | / |
| Total actifs financiers valorisés à la juste valeur |
918 542 | 42 929 | 875 613 | / |
| Transferts issus du Niveau 1 : prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 2 : valorisation fondée sur des données observables |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 3 : valorisation fondée sur des données non observables |
/ | / | / | |
| Total des transferts vers chacun des niveaux | / | / | / | / |
(1) Y compris 332 657 milliers d'euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût.
| (En milliers d'euros) | 31/12/15 | Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : |
Valorisation fondée sur des données observables : |
Valorisation fondée sur des données non observables : |
|---|---|---|---|---|
| Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | ||
| Actifs financiers détenus à des fins de |
261 838 | / | 261 838 | / |
| transaction : Créances sur les établissements de crédit |
/ | / | / | / |
| Créances sur la clientèle | / | / | / | / |
| Titres reçus en pension livrée | / | / | / | / |
| Valeurs reçues en pension | / | / | / | / |
| Titres détenus à des fins de transaction | / | / | / | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | / | / | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | / | / | / | / |
| Actions et autres titres à revenu variable | / | / | / | / |
| Instruments dérivés | 261 838 | / | 261 838 | / |
| Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option : |
1 248 | / | 1 248 | / |
| Créances sur les établissements de crédit | / | / | / | / |
| Créances sur la clientèle | / | / | / | / |
| Actifs représentatifs de contrats en unités de compte |
/ | / | / | / |
| Valeurs reçues en pension | / | / | / | / |
| Titres à la juste valeur par résultat sur option | 1 248 | / | 1 248 | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | / | / | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | 1 248 | / | 1 248 | / |
| Actions et autres titres à revenu variable | / | / | / | / |
| Actifs financiers disponibles à la vente : | 274 591 | 43 170 | 231 421 | / |
| Effets publics et valeurs assimilées | 43 055 | 43 055 | / | / |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | 150 776 | / | 150 776 | / |
| Actions et autres titres à revenu variable (1) | 413 417 | 115 | 413 302 | / |
| Créances disponibles à la vente | / | / | / | / |
| Instruments dérivés de couverture | 2 621 | / | 2 621 | / |
| Total actifs financiers valorisés à la juste valeur |
872 955 | 43 170 | 829 785 | / |
| Transferts issus du Niveau 1 : prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 2 : valorisation fondée sur des données observables |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 3 : valorisation fondée sur des données non observables |
/ | / | / | |
| Total des transferts vers chacun des niveaux | / | / | / | / |
(1) Y compris 332 657 milliers d'euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût.
Les montants sont présentés y compris dettes rattachées.
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : |
Valorisation fondée sur des données observables : |
Valorisation fondée sur des données non observables : |
|---|---|---|---|---|
| Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | ||
| Passifs financiers détenus à des fins de |
9 850 | / | 9 850 | / |
| transaction : | ||||
| Titres vendus à découvert | / | / | / | / |
| Titres donnés en pension livrée | / | / | / | / |
| Dettes représentées par un titre | / | / | / | / |
| Dettes envers les établissements de crédit | / | / | / | / |
| Dettes envers la clientèle | / | / | / | / |
| Instruments dérivés | 9 850 | / | 9 850 | / |
| Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option |
556 456 | / | 556 456 | / |
| Instruments dérivés de couverture | 120 416 | / | 120 416 | / |
| Total passifs financiers valorisés à la juste valeur |
686 722 | / | 686 722 | / |
| Transferts issus du Niveau 1 : prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 2 : valorisation fondée sur des données observables |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 3 : valorisation fondée sur des données non observables |
/ | / | / | |
| Total des transferts vers chacun des niveaux | / | / | / | / |
| (En milliers d'euros) | 31/12/15 | Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : |
Valorisation fondée sur des données observables : |
Valorisation fondée sur des données non observables : |
|---|---|---|---|---|
| Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | ||
| Passifs financiers détenus à des fins de transaction : |
8 145 | / | 8 145 | / |
| Titres vendus à découvert | / | / | / | / |
| Titres donnés en pension livrée | / | / | / | / |
| Dettes représentées par un titre | / | / | / | / |
| Dettes envers les établissements de crédit | / | / | / | / |
| Dettes envers la clientèle | / | / | / | / |
| Instruments dérivés | 8 145 | / | 8 145 | / |
| Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option |
509 940 | / | 509 940 | / |
| Instruments dérivés de couverture | 96 811 | / | 96 811 | / |
| Total passifs financiers valorisés à la juste valeur |
614 896 | / | 614 896 | / |
| Transferts issus du Niveau 1 : prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 2 : valorisation fondée sur des données observables |
/ | / | / | |
| Transferts issus du Niveau 3 : valorisation fondée sur des données non observables |
/ | / | / | |
| Total des transferts vers chacun des niveaux | / | / | / | / |
La Caisse Régionale du Morbihan n'a pas opéré de transfert de niveau de valorisation au titre du 1er semestre 2016.
La Caisse Régionale du Morbihan n'a pas opéré de changement de méthode comptable au cours du 1er semestre 2016.
Les Caisses Locales détiennent dans la Caisse Régionale :
La Caisse Régionale du Morbihan inclut également depuis 2008 dans son périmètre de consolidation un fonds dédié dénommé Morbihan Gestion. Ce fonds est consolidé selon la méthode de l'intégration globale avec un pourcentage de contrôle et d'intérêt de 99,99 %.
La Caisse Régionale inclut en outre depuis le 21 octobre 2015 un Fonds Commun de Titrisation consolidé selon la méthode d'intégration globale avec un pourcentage de contrôle et d'intérêt de 100 % (cf note 2 des comptes annuels consolidés au 31 décembre 2015).
Par ailleurs, la Caisse Régionale du Morbihan a apporté en garantie au 30 juin 2016 à Crédit Agricole S.A. 1 743,1 millions d'euros de créances dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement. Le détail de ces opérations est donné en note 5.3.
Le périmètre de consolidation de la Caisse Régionale du Morbihan n'a pas évolué au 30 juin 2016.
Le périmètre de consolidation est également constitué par :
- les Caisses Locales affiliées à la Caisse Régionale de Crédit Agricole du Morbihan dont la liste est la suivante :
| Caisses Locales | Adresse | Président |
|---|---|---|
| Allaire | 7, Route de Redon 56350 Allaire | M. Pierre-Yves ROBERT |
| Auray | 1, rue Barré 56400 Auray | M. Jean-Claude GUERNEVE |
| Baud | Place du Champ de Foire 56150 Baud | M. Gilles LE PEIH |
| Belle Ile | 2, rue Carnot 56360 Le Palais | Mme Sylvie STRADI |
| Belz | 35 Rue du Docteur Laennec 56550 Belz | M. Jean-Jacques GUILLERMIC |
| Cléguérec | 9, rue du Stade 56480 Cléguérec | M. Jean-Pierre OLIVIERO |
| Elven | Place du Lurin 56250 Elven | M. Hervé LE MEYEC |
| Le Faouët | 2, rue Poher 56320 Le Faouët | Mme Elise PERON |
| La Gacilly | 6, place du Général de Gaulle 56200 La Gacilly | M. Yannick MAHEAS |
| Gourin | 11, rue Jacques Rodallec 56110 Gourin | M. Hervé LE FLOC'H |
| Grand-Champ | Place de la Mairie 56390 Grand-Champ | Mme Béatrice LEVEILLE |
| Guéméné-sur-Scorff | 1, rue du Palais 56160 Guémené-sur-Scorff | Mme Catherine GAUTIER |
| Guer | 19, avenue Général Leclerc 56380 Guer | M. Philippe RENIMEL |
| Guiscriff | 1, rue du terrain des sports 56560 Guiscriff | M. Jean-Claude HUIBAN |
| Hennebont | 27, Avenue de la Libération 56700 Hennebont | Mme Danielle LE MOING |
| Josselin | 1, rue Saint Michel 56120 Josselin | M. Hervé BRULE |
| Locminé | 6, place Joseph Richard 56500 Locminé | M. Roland LORIC |
| Malestroit | 3, Faubourg St Julien 56140 Malestroit | M. Christian LE GAL |
| Mauron | 10, place de la Mairie 56430 Mauron | M. Rémy LECOMTE |
| Muzillac | 1, place du Marché 56190 Muzillac | M. Alain DAVID |
| Ploemeur | 10, rue Saint Bieuzy 56270 Plœmeur | M. Jean-Claude ESVAN |
| Ploërmel | 22, place de la Mairie 56800 Ploërmel | M. Noël DANILO |
| Plouay | 3, place de la Mairie 56240 Plouay | M. Eric LE FOULER |
| Pluvigner | 9 et 11, place Saint Michel 56330 Pluvigner | Mme Catherine SAINT-JALMES |
| Pontivy | 5, avenue Napoléon 1er 56300 Pontivy | M. Jean-Marc RIO |
| Pont-Scorff/Quéven | 26 bis, rue Jean Jaurès 56530 Quéven | M. Christian LE BRIZOUAL |
| Riantec | 1, rue de Kerdurand 56670 Riantec | M. Patrick GUERIZEC |
| Questembert/Malansac | 2, place du Général de Gaulle 56230 Questembert | M. Patrice LE PENHUIZIC |
| Quiberon | 19, rue de la Gare 56170 Quiberon | M. Gilbert BOURON |
| La Roche-Bernard | 6, rue des écoles 56130 La Roche-Bernard | M. Bernard LE ROUZIC |
| Rohan | 4, place de la Mairie 56580 Rohan | M. Paul DUCLOS |
| Saint-Jean-Brévelay | 2 Place du Souvenir Français 56660 St Jean-Brévelay | M. Joseph ROBIN |
| Sarzeau | Place des Trinitaires 56370 Sarzeau | M. Yannick CONAN |
| La Trinité Porhoët | 15, place du Martray 56490 La Trinité-Porhoët | M. Denis PERRAULT |
| Vannes | 22, rue Thiers 56000 Vannes | M. Daniel FOUREL |
| Theix | 4, rue du Général De Gaulle 56450 Theix | M. Raynal NIVANEN |
| Saint-Avé/Ménimur | 2, place François Mitterrand 56890 Saint-Avé | M. Philippe RAULT |
| Lanester | 164 bis, rue Jean Jaurès 56600 Lanester | M. Bertrand HESNARD |
| Lorient | 34, rue du Port 56100 Lorient | M. Raymond LE DOUR |
| Carnac | 50, rue Saint Cornely 56340 Carnac | M. Alain DREANO |
| Vannes-Ouest | Av. Général Borgnis Desbordes 56000 Vannes | M. Christian TALGORN |
| Arradon | 2, rue des Frères Mithouard 56610 Arradon | M. Philippe LE COROLLER |
| Séné | 2, allée des Vosges Centre du Poulfanc 56860 Séné | M. Pascal BEROULE |
| Guidel | 7, place de Polignac 56520 Guidel | Mme Diane GOUJON |
A la date du 29 juillet 2016, date d'arrêté des comptes par le Conseil d'Administration, la Caisse Régionale n'a pas identifié d'évènements postérieurs à la date d'arrêté et rattachables au 30 juin 2016.
En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée Générale et en application de l'article L. 451- 1-2 III du Code monétaire et financier, nous avons procédé à :
l'examen limité des comptes semestriels consolidés résumés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel du Morbihan, relatifs à la période du 1er janvier au 30 juin 2016, tels qu'ils sont joints au présent rapport ; la vérification des informations données dans le rapport semestriel d'activité.
Ces comptes semestriels consolidés résumés ont été établis sous la responsabilité de votre Conseil d'Administration. Il nous appartient, sur la base de notre examen limité, d'exprimer notre conclusion sur ces comptes.
Nous avons effectué notre examen limité selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Un examen limité consiste essentiellement à s'entretenir avec les membres de la direction en charge des aspects comptables et financiers et à mettre en œuvre des procédures analytiques. Ces travaux sont moins étendus que ceux requis pour un audit effectué selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. En conséquence, l'assurance que les comptes, pris dans leur ensemble, ne comportent pas d'anomalies significatives obtenue dans le cadre d'un examen limité est une assurance modérée, moins élevée que celle obtenue dans le cadre d'un audit.
Sur la base de notre examen limité, nous n'avons pas relevé d'anomalies significatives de nature à remettre en cause la conformité des comptes semestriels consolidés résumés avec la norme IAS 34 – norme du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne relative à l'information financière intermédiaire.
Nous avons également procédé à la vérification des informations données dans le rapport semestriel d'activité commentant les comptes semestriels consolidés résumés sur lesquels a porté notre examen limité.
Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes semestriels consolidés résumés.
Nantes et Paris-La Défense, le 29 juillet 2016
Les Commissaires aux Comptes
PricewaterhouseCoopers Audit ERNST & YOUNG Audit
Séverine Machtelinck Luc Valverde
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Opérations interbancaires et assimilées | 185 064 | 142 714 |
| Caisse, banques centrales | 26 857 | 28 766 |
| Effets publics et valeurs assimilées | 102 044 | 102 352 |
| Créances sur les établissements de crédit | 56 163 | 11 596 |
| Opérations internes au Crédit Agricole | 446 583 | 843 891 |
| Opérations avec la clientèle | 6 888 193 | 6 867 659 |
| Opérations sur titres | 324 205 | 334 100 |
| Obligations et autres titres à revenu fixe | 194 095 | 203 972 |
| Actions et autres titres à revenu variable | 130 110 | 130 128 |
| Valeurs immobilisées | 472 963 | 456 447 |
| Participations et autres titres détenus à long terme | 423 712 | 407 639 |
| Parts dans les entreprises liées | 107 | 110 |
| Immobilisations incorporelles | 792 | 782 |
| Immobilisations corporelles | 48 352 | 47 916 |
| Capital souscrit non versé | ||
| Actions propres | 1 021 | 450 |
| Comptes de régularisation et actifs divers | 262 810 | 144 108 |
| Autres actifs | 182 018 | 83 876 |
| Comptes de régularisation | 80 792 | 60 232 |
| Total de l'Actif | 8 580 839 | 8 789 369 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| Opérations interbancaires et assimilées | 33 468 | 285 |
| Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit |
/ 33 468 |
/ 285 |
| Opérations internes au Crédit Agricole | 4 511 605 | 4 760 346 |
| Comptes créditeurs de la clientèle | 2 113 932 | 2 118 259 |
| Dettes représentées par un titre | 350 296 | 398 530 |
| Comptes de régularisation et passifs divers | 259 773 | 244 577 |
| Autres passifs | 142 411 | 127 247 |
| Comptes de régularisation | 117 362 | 117 330 |
| Provisions et dettes subordonnées | 383 167 | 356 365 |
| Provisions | 112 509 | 100 080 |
| Dettes subordonnées | 270 658 | 256 285 |
| Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) | 26 350 | 26 350 |
| Capitaux propres | 902 248 | 884 657 |
| Capital souscrit | 80 143 | 80 143 |
| Primes d'émission | 79 279 | 79 279 |
| Réserves | 720 063 | 690 934 |
| Ecarts de réévaluation | / | / |
| Provisions réglementées et subventions d'investissement |
/ | / |
| Report à nouveau (+/-) | 28 | 41 |
| Résultat de l'exercice | 22 735 | 34 260 |
| Total du Passif | 8 580 839 | 8 789 369 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/16 | 31/12/15 |
|---|---|---|
| 1. Engagements donnés : | 1 401 513 | 1 348 961 |
| Engagements de financement | 740 584 | 699 915 |
| Engagements de garantie | 660 182 | 648 380 |
| Engagements sur titres | 747 | 666 |
| 2. Engagements reçus : | 1 573 543 | 1 549 155 |
| Engagements de financement | 90 091 | 60 945 |
| Engagements de garantie | 1 482 705 | 1 487 544 |
| Engagements sur titres | 747 | 666 |
| (En milliers d'euros) | 30/06/2016 | 30/06/2015 |
|---|---|---|
| Intérêts et produits assimilés | 143 580 | 150 697 |
| Intérêts et charges assimilées | -92 670 | -93 354 |
| Revenus des titres à revenu variable | 17 753 | 11 574 |
| Commissions (produits) | 54 540 | 56 032 |
| Commissions (charges) | -9 259 | -10 922 |
| Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation |
72 | 381 |
| Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés |
7 | 59 |
| Autres produits d'exploitation bancaire | 2 465 | 379 |
| Autres charges d'exploitation bancaire | 980 | 825 |
| Produit net bancaire | 115 508 | 114 021 |
| Charges générales d'exploitation | -62 709 | -60 765 |
| Frais de personnel | -35 376 | -35 365 |
| Autres frais administratifs | -27 333 | -25 400 |
| Dotations aux amortissements et dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles |
-1 978 | -2 106 |
| Résultat brut exploitation | 50 821 | 51 150 |
| Coût du risque | -17 776 | -13 055 |
| Résultat d'exploitation | 33 045 | 38 095 |
| Résultat net sur actifs immobilisés | -79 | -183 |
| Résultat courant avant impôt | 32 966 | 37 912 |
| Résultat net exceptionnel | ||
| Impôt sur les bénéfices Dotations/reprises nettes aux Fonds pour Risques Bancaires Généraux |
-10 231 | -15 168 |
| Résultat net | 22 735 | 22 744 |
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